Blois : le voile islamique s’impose à l’antenne de droit.
Avec 200 étudiants inscrits et une légère progression en 1ère année, le directeur de l’antenne universitaire de droit s’estime plutôt satisfait, au moment où d’autres enseignements sur le site de Blois sont remis en cause par l’Université de Tours, ex-François Rabelais.
Mais ce qui frappe sur photo de la Nouvelle République illustrant l’article, c’est la présence de deux étudiantes portant le hijab, c’est à dire le voile islamique.
Mais si la loi de 2004 avait interdit le port du voile dans l’enseignement secondaire (primaire, collège, lycée) pour les élèves comme pour les personnels, y compris les accompagnants des sorties scolaires, ce n’est pas le cas dans l’enseignement supérieur, où les présidents d’université sont priés de se « débrouiller », et comme ils ne veulent surtout pas d’histoire, on connaît le résultat.
En tout cela ne semble pas déranger le président, Pierre Boisseau, par ailleurs dixième adjoint en charge de la démocratie locale, de l’intégration républicaine, de la laïcité, de l’histoire et de la mémoire et des égalité des droits, et défenseur intransigeant de la laïcité… quand il s’agit de l’Eglise catholique…
Pour notre part nous considérons que le port ostensible, pour ne pas dire provocateur, du voile islamique dans cette enceinte manifeste une revendication communautaire et l’affirmation de la supériorité du droit coranique par rapport au droit français.
Inquiétant pour des étudiantes en droit qui peuvent demain se retrouver magistrats, et peut-être présider une audience en portant le voile, sans parler des orientations que pourraient prendre leurs jugements.
Article très instructif ce 26 septembre 2018 et c’était à prévoir une telle constat
De plus en plus, nous subissons et voyons ce qui se passe vraiment.
Les lois ne sont pas appliquées avec fermeté
Que ne fait pas faire la peur!
Bienvenue dans la République Islamique Française !