Loir et Cher : le Rassemblement national déjà offensif.
Dans un entretien récent sur France 2 pour ses 50 ans d’émissions politiques à la télévision, on a demandé à Alain Duhamel quelle avait été sa principale erreur de jugement. Réponse de l’intéressé : c’est en 1984, quand j’avais pensé que le Front national n’était qu’un « feu de paille ».
Beaucoup d’autres observateurs, de journalistes, sans parler de nos adversaires, ont régulièrement annoncé notre mort depuis lors : après la scission en 1998, après l’élection se Sarközy – qui s’était vanté d’avoir tué le FN – en 2007, et à nouveau après la présidentielle de 2017, oubliant les 11 millions d’électeurs de Marine Le Pen.
Mais après un an de travail acharné et en dépit des attaques de nos adversaires, la refondation porte ses fruits, les faits nous donnent raison, la bulle macronnienne implose, et de nouveau nous avons rendez-vous avec l’histoire.
Les sondages nous placent pratiquement à égalité avec le conglomérat LREM-MoDem-UDI, et ce n’est qu’un début.
Au niveau local également, la dynamique est bien là.
La Nouvelle République titrait ce samedi son article consacré à la rentrée politique blésoise : « le Rassemblement national déjà offensif« . Et de fait sur la Ville de Blois nous sommes les seuls désormais à incarner l’alternance attendue par les Blésois après deux mandats de Marc Gricourt. L’autre groupe d’opposition (?) a complètement éclaté, la majorité commence à se fissurer.
C’est le même constat à la Région, où la majorité de François Bonneau est fragilisée par la dissidence des élus passés à LREM sur fond de municipales 2020.
Sans doute pourra-t-il compter sur le soutien de Guillaume Peltier, qui continue à jouer le grand écart entre un discours de « droite forte » visant à séduire notre électorat, tandis que a presse le qualifie ironiquement de « 14ème vice-président ». On se demande d’ailleurs comment son groupe, souvent divisé lors des votes, peut encore tenir. Attendons les élections européennes…
Plus que jamais nous devons être présents auprès de nos compatriotes, plus que jamais nous avons besoin de votre soutien dans cs moments décisifs.
Devant tant de division, nous ne pouvons que gagner !