Le Rassemblement national défend le droit des femmes à Blois et à la Région.
Partout en France le Rassemblement national avait organisé des actions le 8 mars, pour la Journée Internationale des Femmes (officialisée en 1977 par l’ONU).
Mathilde Paris, conseillère régionale de Loir et Cher, conseillère municipale et communautaire de Blois et membre du Bureau national, avait transmis un communiqué à la presse locale… qui n’ a pas été publié, la Nouvelle République préférant relayer les positions de la CGT et des détenus (masculins) de la maison d’arrêt.
Vous en retrouver l’intégralité en téléchargeant le document pdf : Communiqué Journée des Femmes Mathilde Paris.
L’élue RN y insiste sur le recul du droit des femmes, très net dans certains quartiers, et Blois n’échappe pas à la règle : on se souvient de l’épisode de cette jeune serveuse interpellée par deux hommes square Augustin Thierry, qui lui reprochaient d’être en jupe, un « manque de respect » selon eux. Et cela se passait en centre-ville, intutile que dans d’autres quartiers la pression est encore plus forte.
Le même jour en Commission permanente au Conseil régional, Michel Chassier a d’abord demandé que symboliquement la séance soit présidée par une femme. Marc Gricourt n’a pas pu accéder à cette demande, car il avait lui-même reçu délégation du Président de Région, délégation qu’il ne pouvait pas transmettre.
Ensuite à l’occasion d’une subvention au collectif In Situ, Mathilde Paris est intervenue pour rappeler à nouveau les menaces sur le droit des femmes du fait de l’islamisation, un phénomène que les différents partenaires -subventionnés – de la Journée des Droits de la Femme refusent de souligner, bien-pensance oblige.
Une intervention courageuse, calme et argumenté, qui a laissé sans voix les élus des différents bords.
Y compris Guillaume Peltier, qui n’a pas prononcé un mot tout au long de cette commission.
Qui ne dit mot consent, dit l’adage populaire.
Un gros travail reste a acomplir mais il ne faut pas compter sur Gricourt.