(image d’illustration)
Il est toujours difficile de connaître les chiffres exacts des incendies de voitures à Blois comme ailleurs.
Tout juste sait-on officieusement que plus de 1000 voitures ont brûlé dans la nuit de la Saint Sylvestre. Mais les médias préfèrent passer en boucle les voitures brûlées à la fin des manifestations de gilets jaunes à Paris, en oubliant de dire que ce sont des casseurs d’extrême gauche qui viennent profiter de l’occasion. Pour le plus grand bénéfice du gouvernement.
A Blois c’est la même chose : les chiffres de 2018 n’ont toujours pas été publiés.
Pourtant la presse locale se fait régulièrement l’écho de ces incendies de voitures.
Dernière épisode en date mercredi soir, avec 3 véhicules incendiés vers 21 h 30 rue Appell, tout près de la ZUP de Blois (2 voitures un fourgon incendiés, une autre voiture partiellement touchée), puis vers 0 h 40 rue Bertheau en Vienne (la Nouvelle République du 25/01/2019).
4 véhicules brûlés dans la même nuit, cela commence à faire beaucoup. La Police a ouvert une enquête.
Durant la même nuit une voiture, dont les plaques d’immatriculation avait été préalablement retirées, a été incendiée à Theillay.
Mais à part ça, madame la Marquise… tout va très bien, tout va très bien !
Nouveaux incendies de voitures à Blois et à Theillay.
Salbris et Vendôme acceptent leur mise sous tutelle par l’Etat.
A Blois comme à la Région, les élus RN ont voté contre la mise sous tutelle.
Après Nicolas Perruchot qui s’était précipité pour signer avec l’Etat au nom du département, ce sont les villes de Salbris et de Vendôme, ainsi que l’agglomération des territoires vendômois, qui ont accepté la mise sous tutelle de leur budget, au mépris du principe constitutionnel de libre administration des collectivités.
Nous avions déjà parlé du débat à Blois, où le conseil municipal a refusé de se soumettre et à la région Centre-Val de Loire, où le président Bonneau a fini par signer, contraint et forcé.
Prochaine étape en 2020 : faudra-t-il soumettre au Préfet les programmes des candidats à l’élection municipale pour vérifier s’ils permettront de respecter cet engagement, et le cas échéant invalider les candidatures qui refusent de s’y plier ?
Le « nouveau monde » de M. Macron ressemble fort au second empire, où ce sont les Préfets qui désignaient les maires ! Et où les banquiers ont véritablement pris le pouvoir…
Fête champêtre de la Fédération de Loir et Cher le 16 juin.
Dans le cadre de la tournée des membres du bureau national, Jean Messiha sera en Loir et Cher le 16 juin prochain aux côtés de Mathilde Paris.
Après une réunion de travail avec le bureau élargi et les militants, il animera une soirée à Vernou en Sologne à partir de 19 heures, en présence de Michel Chassier, Délégué départemental, président du groupe FN Centre-Val de Loire et des élus locaux de Loir et Cher.
Programme : apéritif, repas champêtre (barbecue), allocutions des membres du Bureau national, animations, espace pétanque, stands, boutique FN41. Venez nombreux avec des amis et vos enfants.
Inscription obligatoire par courriel : fn41@frontnational.com, tel 02 54 42 12 17.
Participation aux frais 10€ (gratuit pour les enfants de moins de 12 ans).
Toujours plus de migrants en Loir et Cher : Macron a encore menti aux Français.
30 logements réquisitionnés par le Préfet à Blois en octobre 2016, 125 de plus sont prévus. Combien au total ? (image d’archives FN41)
La loi « asile et immigration » avait provoqué des cris d’orfraie du côté de la gauche et de l’extrême-gauche, allant jusqu’à provoquer des vapeurs chez certains députés « en Marche », où en plus des « godillots » il y a aussi quelques « babouches ».
Cette indignation, réelle ou feinte ne pouvait que servir le tandem Collomb-Macron, dont les Français ont pu croire qu’ils allaient durcir la politique d’asile et d’immigration.
Bien sûr, c’est exactement le contraire.
Cette loi était destinée à faire croire aux Français qu’il y aurait désormais un contrôle plus strict, pour mieux leur faire accepter les quotas de réfugiés qui nous sont imposés par Bruxelles, en plus de ceux qui de toutes façons entrent clandestinement.
Ainsi pour le seul département de Loir et Cher, le Préfet annonce la mise à disposition de 125 logements supplémentaires pour accueillir les familles en sortie de CADA (centres d’accueil de demandeurs d’asile) et ceux qui arrive « via la plateforme nationale », autrement dit des migrants en situation irrégulière que l’on réparti sur le territoire pour désengorger Calais ou Paris.
Et comme il est précisé dans l’article (la Nouvelle République du 26/05/2018) les places ainsi libérées en CADA seront aussitôt occupées par de nouveaux arrivants.
En lire plus …
Nouveaux incendies de voitures à Blois, Vernou et Saint Julien de Chedon.
(image d’illustration : un fléau quasi quotidien.)
Les incendies de voitures continuent en Loir et Cher.
Deux véhicules ont été incendiés jeudi soir à Saint Julien de Chedon, une voiture samedi soir à Vernou en Sologne et un autre véhicule dimanche vers 4 du matin rue Dumont d’Urville à Blois (source : la Nouvelle République 24 et 26/02/2017.)
On retrouve toujours globalement les mêmes zones ciblées : le sud du département et la ville de Blois, avec deux formes de délinquance spécifiques et bien identifiée.
Peux-t-on le dire sans « stigmatiser » ?
Quoiqu’il en soit personne n’est dupe.
Ces incendies à répétition sont pour le moins préoccupants, bien qu’ils soient désormais banalisés, malgré une augmentation inquiétante de 43 % en 2017.
Qu’en sera-t-il cette année ?
Hébergement, soins, formation, emploi : priorité aux clandestins ?
Auchan recrute. N’hésitez pas à proposer votre candidature.
« Samioula, Jahangir, Mohamed, Doghei, sont Soudanais, Afghans, Syriens. Ils sont jeunes, certains sont mariés et ont laissé femmes et enfants très loin d’ici ; ils possédaient un travail et une formation dans leur pays d’origine, qu’ils ont quitté, certains depuis 2003. Ils ont tous un point commun : ils sont arrivés en France il y a un ou deux ans, comme migrants, certains à la fin du mois d’octobre 2015. Ils sont passés par le CADA (Centre d’accueil des Demandeurs d’asile) [de la Région) ».
C’est que révèle le magazine Internet Mag’Centre.
Traduction : ils sont entrés en France clandestinement, après avoir franchi les portes d’une Europe-passoire et au lieu d’être reconduits à la frontière, ce que nous interdit Schengen, ils sont pris en charge intégralement à vos frais : logement, nourriture, soins, formation et promesse d’embauche. Avec bien sûr un petit pécule à la clé.
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Zone rurales défavorisées : la France sous tutelle, les éleveurs en première ligne.
Image d’illustration : manifestations d’agriculteurs à Blois en 2016.
Les agriculteurs solognots manifestaient hier à Romorantin pour le maintien de la Sologne en zone défavorisée (la Nouvelle République du 24/01/2018).
En cause le nouveau zonage actuellement à l’étude au ministère de l’Agriculture avec les représentants des professions agricoles et des Régions.
Une fois de plus cette révision, qui concerne tous les Etats membres de l’UE, est une obligation qui découle des observations de la Cour des comptes européenne.
Même si chaque Etat a la possibilité de mettre en avant des spécificités qui lui sont propres et dispose de marges de manœuvre, il s’agit donc bien d’une conséquence de la politique agricole de l’Union européenne.
A cela s’ajoute le lobbying des écologistes et prétendus tels, qui poussent à réorienter une partie des aides vers des mesures agro-environnementales, qui relèvent parfois davantage d’une politique d’aménagement du territoire que des aides agricoles, puisqu’il ne s’agit pas de productions à proprement parler.
Les agriculteurs solognots ont obtenu un rendez-vous au ministère de l’Agriculture d’ici vendredi.
Mais la France sous tutelle de l’UE n’a pas beaucoup de marges de manoeuvres.
Les élus du groupe Front National au Conseil régional, qui n’ont pas été associés à cette réflexion au niveau de la Région, vont s’adresser au Président de Région pour connaître sa position.
Salbris redoute l’arrivée de nouveaux migrants, le maire dément.
Extrait du PV du conseil municipal du 14 décembre (cliquez sur l’image pour agrandir).
La question a été posée lors du dernier conseil municipal le 14 décembre : est-il prévu d’accueillir de nouveaux « migrants » (*) dans un immeuble rue de Verdun.
Le maire répond que la ville de Salbris est déjà largement au-dessus de la moyenne en matière de ration d’accueil, et q’une demande d’extension serait irrecevable.
Espérons-le. Mais nous savons aussi que l’intérêt de l’association Coalia est de développer toujours davantage ses activités.
Et si le Préfet décidait d’une extension de la capacité d’accueil, le Maire pourrait-il s’y opposer ?
Lors de la réunion publique du 3 novembre 2016, il avait pourtant déclaré qu’il n’avait pas pu s’opposer à la demande formulée par Coalia.
Le pourrait-il aujourd’hui ?
Il est permis d’en douter et le Front National restera vigilant pour avertir les Salbrisiens.
(*) appellation contrôlée des immigrés clandestins
Salbris : permis d’aménager bloqué derrière la mosquée. Restons vigilants.
On se souvient de la polémique créée par un projet d’extension de la moquée de Salbris en octobre 2016.
Le maire de Salbris et le président de l’association islamique locale avaient réagi violemment en nous accusant de mensonges.
Sauf que nous avions pu apporter des preuves irréfutables.
Les menaces d’une plainte ne nous ont pas davantage impressionné, et nous avions même publié de nouveaux documents, incitant les uns et les autres à modérer leurs propos… et à se faire plus discrets.
Mais les riverains du site ont été alertés par des travaux de démolition sur un terrain à proximité, et par un permis d’aménager déposé en mairie pour « trois terrains à usage d’habitation et un espace commun« .
Instruit par un précédent à Mer, déjà dénoncé par le Front National, un de nos adhérents de Salbris a écrit au maire de la ville pour lui faire part des inquiétudes des riverains, qui viennent naturellement nous trouver.
Il faut dire qu’Olivier Pavy partage peut-être ces inquiétudes, car le permis d’aménager a été refusé « considérant l’insuffisance de la défense incendie nécessitant le remplacement pour renforcement du réseau d’alimentation d’eau potable« … pour lequel la mairie n’est pas en mesure de s’engager (document joint : Arrêté refus permis d’aménager Salbris).
Dont acte, mais le refus repose sur des éléments qui ne sont pas définitifs et n’en dit pas plus sur la destination réelle de l’espace « commun », ni sur les conditions de la démolition.
D’où le courrier envoyé au maire, malheureusement la réponse demeure tout aussi évasive.
Affaire à suivre.
Encore le Front National demeure le seul recours.
Véhicules incendiés à Pruniers et à Gy en Sologne.
(image d’illustration)
Dans la même nuit de mercredi à jeudi, deux véhicules ont été incendiés à Pruniers en Sologne et Gy en Sologne à quelques kilomètres de distance.
D’abord une voiture vers 22 h 30 à Gy, puis un utilitaire vers 2 heures du matin à Pruniers, près du pont de l’A85.
Une forme de délinquance devenue quotidienne mais que pour autant nous ne pouvons pas accepter de banaliser.
Il est difficile d’obtenir les chiffres annuels, d’autant plus que les véhicules brûlés « par contagion » ne sont pas comptabilisés, mais en se basant sur nos observations et le statistiques nationales, on peut arriver à une estimation de 200 véhicules pas an en Loir et Cher.
Compte-tenu de l’âge moyen du parc des véhicules en circulation, sur la base de 5000 euros par sinistre, cela représente un préjudice annuel d’au moins 1 million d’euros pour notre seul département, somme dont les assurances répercutent la charge sur chacun d’entre nous.
Sans compter le coût que représente la mobilisation des services de secours.
Il serait temps que des peines plus sévères soient prononcées pour ce type de délit.
Le parti du Premier ministre se réunit à Souvigny en Sologne.
La Fête de la violette est passée du château à la ferme, dans un format plus modeste.
Il est vrai que le coeur n’y était pas tout à fait, puisque les Républicains sont à la fois au gouvernement, dans l’opposition, et pour certains entre les deux au sein du groupe des « constructifs ».
Pas facile de s’y retrouver, ni de de faire revenir dans ces conditions les électeurs qui votent pour le Front National, et vers lesquels lorgne Laurent Wauqiez, tout en rejetant de façon méprisante les élus du même mouvement.
Le choix de Souvigny convenait donc tout à fait à ce qui ressemble fort à un vaudeville de la politique, puisque Eugène Labiche a été maire de la commune.
Et le cocus, au sens politique du terme, sont certainement encore plus nombreux au sein des électeurs Républicains que dans les pièces de Labiche.
Feux de voitures, feux de poubelles, feu de cave.
Les sapeurs-pompiers ont dû intervenir dans la nuit de samedi à dimanche rue Georges Litalien à Blois pour circonscrire un feu de poubelles qui s’était déclaré dans une cave. Une personne incommodée par les fumées a été transportée au centre hospitalier (la Nouvelle République du 31/07/2017).
Aucune précision sur l’origine de l’incendie : accidentel ou volontaire ?
Les conteneurs situés au bout de la rue avaient déjà été incendiés.
A Selles sur Cher c’est un voiture qui a brûlé dans la nuit de vednredi à samedi, rue de Saugirard. Toujours pour une cause indéterminée.
Enfin à Selles Saint Denis dans la nuit de lundi à mardi une voiture a été incendiée impasse de la Corne, tandis que peu après des conteneurs étaient en feu tout près de là à La Ferté Imbault.
Salbris : la facture du Teknival.
Nous vous avions tenu informé du Teknival de Salbris il y a un an.
En dépit des propose rassurants du Préfet de l’époque, de la presse locale et du maire de Salbris, nous avions annoncé qu’au final ce sont les habitants de Salbris qui paieraient la note.
Nous en avons la confirmation aujourd’hui, dans un article publié par la Nouvelle République où le maire de la ville avoue que la facture, pour la seule commune, s’est élevée à 60 000 €. L’État a remboursé 25 000 €, il reste 35 000 € plusieurs fois réclamés, sans succès.
Le même scénario risque de se reproduire avec l’accueil des « migrants », dont le charge supportée par la ville reste soigneusement cachée.
Mais nous les aurons bien un jour.
#Marine2017 : nos équipes de campagne sur les marchés.
Ce samedi matin nos équipes de campagnes étaient sur les marchés à Blois, Romorantin, Salbris et Vendôme.
Malgré un climat un peu tendu entre les deux tours, l’accueil a été très intéressant.
Si une minorité a choisi Macron, souvent par défaut et sans grande conviction, nous rencontrons énormément de gens qui nous soutiennent et nous encouragent.
Il y a ceux aussi dont le candidat au 1er tour n’a pas été qualifié. Certains ne veulent plus rien entendre et se réfugient dans l’abstention ou le vote blanc, mais beaucoup hésitent encore, et sont à l’écoute de notre message.
La campagne a pris un nouveau tournant depuis que nous sommes rejoints par Nicolas Dupont Aignan dans le cadre d’une véritable alliance.
Il est clair depuis lundi que la dynamique est du côté de Marine Le Pen.
Et le candidat du système qui se voyait déjà élu sans même faire campagne est désormais sur la défensive.
#Marine 2017 : nouvelles actions militantes en Loir et Cher
Marché de Lamotte-Beuvron, boîtage dans plusieurs cantons, affichage en Sologne, en Beauce et dans le Blésois.
Nos militants sont chaque jour sur le terrain. Désolé de ne pas pouvoir citer tout le monde ni relayer toutes les actions.
Nous devons aussi faire attention à ne pas publier de photos qui indiqueraient trop facilement à nos adversaires où nous avons collé.
Les échos que nous avons du terrain, en particulier avec le porte à porte, sont vraiment très encourageants, et nul doute que l’accueil que nous recevons renforce encore le moral des militants.
#Marine2017 : élus et militants présents sur le terrain !
Encore un week-end de campagne particulièrement actif pour nos élus et nos militants : présence sur les marchés, cérémonies officielles, action devant l’hôpital de Blois, accueil de François Hollande à Chambord avec un concert de casseroles, et bien sûr les actions habituelles d’affichage, distribution de tracts, porte-à-porte.
Sur la marché de Blois, nous n’avons pas croisé d’adversaires qui se font plutôt discrets
On sent parfois que nos concitoyens sont écoeurés du climat délétère entretenu par l’Elysée dans cette campagne, et n’ont pas envie d’entendre parler de politique… sauf quand ils voient que c’est Marine !
Alors on voit les visages fermés se détendre et naître un sourire approbateur.
Bien que nous soyons en désaccord sur le choix du 19 mars, certains élus se sont rendus aux cérémonies, ainsi que des anciens combattants voulant retrouver leurs camarades. L’occasion pour eux de constater à quel point les déclarations de Macron qualifiant l’oeuvre française outre-mer de « crime contre l’humanité » a profondément choqué le milieu combattant.
Enfin le concert de casseroles à Chambord a permis de remettre les choses en place, de dénoncer Hollande et les casseroles de son quinquennat, tout en dénonçant l’imposture Macron, l’enfant caché de François Hollande et Nadine de Rothschild !
Et nous avons bien l’intention de récidiver !
#Marine2017 : campagne non-stop en Loir et Cher.
Repas convivial entre militants de retour de Châteauroux.
Nos adversaires vont devoir s’y habituer. En Loir et Cher, la campagne c’est tous les jours.
Y compris au retour du meeting régional de Châteauroux ou de nouveaux collages ont eu lieu dans plusieurs secteurs, dont la Beauce et le Nord du département.
La campagne s’est poursuivie également dimanche à Blois et à Romorantin. Ce matin Mathilde Paris était à nouveau sur le terrain comme tous les jours, rencontrant aussi bien les habitants que les maires de chaque commune visitée.
Ce soir avec Josette Mazoyer, secrétaire de circonscription, elle tenait une réunion à Romorantin.
#Marine2017 : nos équipes en action dans le canton de Sologne.
#Marine 2017 : en campagne sur le marché de Salbris.
Ce matin Mathilde Paris accompagnée d’une équipe de campagne (Josette Mazoyer Secrétaire de circonscription, Philippe Bobe responsable du canton, William, Laurent) était sur le marché de Salbris.
Comme partout nous avons reçu un excellent accueil.
Après un repas avec les militants dans un restaurant ami, l’après-midi sera consacré à la rencontre de commerçants et d’habitants en porte à porte.
A noter la présence sur la marché d’une petite équipe qui distribuait un tract pour Macron… en l’absence de Jean Bernard, dont la simple évocation semble mettre très mal à l’aise les représentants du candidat des banques et des médias du système !
Un ex-candidat FN rejoint Macron : quelques précisions.
Qui veut m’investir ? Je soutiendrai son programme.
Un ex-candidat FN qui se tourne vers le candidat du système, des médias, des banques, favorable à l’immigration massive etc…
Cela paraît tellement invraisemblable que la presse locale et régionale s’est interrogée, cherchant à comprendre les motivations de l’intéressé.
Après la Nouvelle République, c’est le site de France Info qui publie un article sur cette péripétie originale de la campagne.
Et une nouvelle fois Jean Bernard tente d’expliquer qu’il avait adhéré au Front National pour exprimer un mécontentement alors qu’il adhère au discours d’Emmanuel Macron qui selon lui « parle du fond ».
Surprenant quand on voit la vacuité des propositions de l’ancien ministre de François Hollande.
Pour se justifier, l’ancien frontiste ajoute qu’il est en désaccord avec le volet social du programme de Marine, en particulier sur la retraite à 60 ans.
Rappelons tout de même que la position de Marine Le Pen et du Front National sur la retraite n’est pas nouvelle, et que notre ex-candidat feint de découvrir aujourd’hui une mesure qu’il a approuvé cinq fois en sollicitant une candidature qui l’engageait sur l’honneur à défendre le programme du mouvement dont il demandait l’investiture.
Quand on veut tuer son chien, on dit qu’il a la rage…
Mais faisons d’abord un petit retour en arrière.
Jean Bernard déclare à France Info : « En 2013, j’ai donc choisi de rejoindre le Front national, par défaut, parce qu’il n’y avait aucune autre formation dans laquelle je pouvais exprimer mon mécontentement. »
En fait, Jean Bernard adhère au Front National le 22 novembre 2011, pour aussitôt demander son investiture en vue des législatives de juin 2012. Sa candidature ne sera pas retenue, en particulier pour respecter l’impératif de parité.
A la suite de se premier refus, il restera en retrait pendant un peu plus d’un an, avant de s’intéresser aux élections municipales. Il sera investi tête de liste à Salbris, mais ne parvient pas à rassembler une équipe et ne pourra donc pas être candidat.
En 2015, il obtient à nouveau l’investiture pour les élections départementales dans le canton de Sologne et mènera campagne sous les couleurs du Front National, dont il défend le programme sans exprimer de réticence.
Il explique largement autour de lui que le vote Front National n’est plus un vote protestataire mais un vote d’adhésion.
Il fera en définitive un score de 25,04% (ce qui le classe 12ème sur 15 cantons).
Il demande à nouveau à être investi, en position éligible, sur la liste des régionales.
Dans un souci d’équilibre territorial, il sera finalement en 5ème place, ce qui ne le satisfait pas pleinement.
Cela ne l’empêche pas d’être candidat à l’investiture pour les législatives de 2017, c’est donc sa 5ème demande d’investiture successive sur cinq élections. Pas mal pour un engagement « par défaut ».
Mais la commission nationale d’investiture ne va pas le retenir, ce qui provoque son mécontentement, puis sa démission, assortie de la menace de se présenter contre la candidate pré-investie par le FN.
Oui, mais sous quelle étiquette ? Debout la France ? La place était déjà prise, et puis faire 2% ne devait pas lui sembler digne de ses ambitions.
C’est pourquoi il n’a pas hésité, non sans une certaine naïveté, à demander l’investiture du mouvement « En marche ! ».
C’était ignorer que les investitures sont verrouillées par un vieux routier de la politique, champion en son temps du cumul des mandats et des fonctions, Jean-Paul Delevoye.
Le web-magazine Mag’centre ironisait il y a quelques jours au sujet des législatives : « recalés des autres partis, opportunistes de tous bords, doux rêveurs, responsables associatifs, quidams en manque de reconnaissance ont saisi l’occasion. »
Dans quelle catégorie faut-il classer Jean Bernard ?
Toujours est-il que le président de la commission annonce qu’un premier écrémage aurait déjà eu lieu et, « pour les faire redescendre sur terre, je demande s’ils sont capables de trouver 30.000 euros pour financer leur campagne » ! (voir notre article du 21 février).
L’affaire semble bien mal engagée, puisque la référente locale du mouvement en Loir et Cher a refusé de créer un comité à Salbris que voulait présider notre ex-frontiste, qui restera donc comme beaucoup un adhérent virtuel.
En attendant, conformément à nos statuts, cette adhésion l’exclut de facto du Front National. Bien qu’il n’ait pas renouvelé sa cotisation il a donc été classé en « indésirable » afin d’éviter qu’il tente un jour de revenir… pour obtenir une nouvelle investiture !
Disparition des Services publics postaux de proximité : stop ou encore ?
Nous avions déjà dénoncé la fermeture du Bureau de Poste de Blois les Cornillettes, en zone urbaine (blog FN41 du 26-01-2017) et la réduction des horaires du Bureau de Poste de Romorantin Les Favignolles (blog FN41 du 28-01-2017). Plus récemment, c’est au tour du Bureau de Poste de Salbris qui voit ses horaires d’ouverture réduits (voir communiqué de la Mairie de Salbris du 15-02-2017).
Rappelons quand même que les mêmes amis politiques du Maire de Salbris, au niveau national et européen, ont voté toutes les transpositions des directives de l’Union Européenne qui ont déréglementé La Poste et ses missions de Service Public postaux de proximité. Résultat : fermeture de Bureaux de Poste dits « non rentables », fin des missions d’aménagement du territoire, logique de financiarisation au détriment du service rendu.
C’est encore une fois de plus la France des oubliés, des villes et des champs, celle qui subit en silence, qui ne braille pas et ne casse pas tout, qui se trouve abandonnée par cette classe politique de Gauche comme de Droite, totalement sourde aux aspirations du peuple de France et à ses souffrances. Les Français renverseront-ils la table en Avril et Mai prochain en élisant une candidate libre, défendant les seuls intérêts du peuple ?
Avec Marine, « l’accès aux services publics de proximité sera garanti sur tout le territoire, en particulier en milieu rural (Engagement 138) : La Poste et la SNCF resteront des entreprises publiques ».
Laurent Bras, Secrétaire Général du cercle Front syndical
En panne.
L’ancien responsable FN de Salbris, Jean Bernard, déçu de ne pas avoir été investi pour les législatives avait annoncé sa démission en septembre dernier.
Un geste de mécontentement assez commun bien que regrettable lorsqu’on se prétend animé par des convictions.
Il déclare aujourd’hui adhérer au mouvement «En marche», expliquant qu ‘il avait rejoint le FN « par révolte et protestation » (la Nouvelle République du 14 février 2017). Il oublie qu’il a été candidat à plusieurs élections, en signant à chaque fois un engagement sur l’honneur.
Il oublie aussi à quel point il insistait régulièrement pour figurer en position éligible.
Il figurait en 5ème place sur la liste FN aux régionales, et nous lui demandons publiquement, s’il a changé d’idée au point de soutenir l’euro-mondialisme et l’immigration, d’envoyer sa lettre de démission au cas il serait appelé à siéger en remplacement d’un conseiller élu.
Dans le cas contraire, il n’y aurait plus personne pour croire à la sincérité de sa démarche.
Cette volte-face surprendra sans doute ceux qui l’avaient suivi. On peut en effet évoluer. Mais passer du souverainisme à la défense d’une Europe supra-nationale, c’est tout de même plus qu’une simple évolution. Quant à la question de l’immigration, rappelons que l’intéressé, qui avait pourtant quitté le FN, manifestait encore le 3 novembre contre l’ouverture d’un centre d’accueil à Salbris. Il parle aujourd’hui d’un tract FN dénonçant « l’arrivée supposée de migrants à Salbris« . Ils sont pourtant bien arrivés !
Cette péripétie ne peut que décrédibiliser encore un peu plus le mouvement attrape-tout d’Emmanuel Macron, qui se transforme jour après jour en voiture-balai du système.
Ceci dit le moment est peut-être mal choisi pour rejoindre ce mouvement qui semble désormais en panne. La bulle ne devrait pas tarder à éclater avec ses adhérents-fantômes qui ont simplement cliqué sur Internet, comme pour un simple « like » sur Facebook.
Quant à ses chances d’être investi aux législatives par « En marche », elles semblent proches de 0,01%.
D’autant plus que la commission d’investiture est présidée par un vieux routier de la politique, Jean-Paul Delevoye, dont la carrière représente exactement le contraire de ce que préconise la charte du mouvement.
Salbris : coups de feu rue des Mésanges.
Voiture brûlée, coups de feu, trafic de drogue… Que se passe-t-il rue des Mésanges à Salbris.
Dans la nuit de la Saint Sylvestre des coups de feu ont été tirés rue des Mésanges à Salbris.
Selon la Nouvelle République, « des traces de plombs auraient été retrouvées sur un volet et le mur d’un petit collectif HLM« .
Le lendemain nous apprenons que l’auteur des coups de feu a été interpellé et placé en garde à vue pour violences aggravées. Il faut dire que ce n’est pas un inconnu, puisqu’il avait déjà été interpellé le 30 décembre, et devait comparaître (prochainement ?) devant le tribunal pour détention d’armes et de cannabis.
La NR évoque une possible vengeance suite à une dénonciation ?
Toujours est-il que c’est devant ce même immeuble qu’une voiture avait été incendiée le 21 décembre dernier.
Y aurait-il aussi un lien avec une affaire de trafic de drogue ?
Il se passe des choses étranges rue des Mésanges !
Une voiture brûlée à Salbris.
Rue des Mésanges à Salbris.
Une voiture a brûlé mercredi matin vers 5 heures rue des Mésanges à Salbris (source : la Nouvelle République). Comme d’habitude, nous n’en saurons pas davantage, mais les circonstances laissent à penser à un incendie criminel.
Une forme de délinquance aux causes multiples, mais trop souvent banalisée.
Salbris : quand le maire joue sur les mots.
La réunion publique du 3 novembre n’avait pas vraiment convaincu les Salbrisiens.
Mais le « mot du maire », dans le dernier bulletin municipal (Salbris mag n°8)a de quoi les rendre encore plus perplexes.
En effet le maire y déclare que « l’augmentation du nombre de places d’accueil de demandeurs d’asile » et non pas de « la création d’un C.A.D.A. comme beaucoup le pense (sic) car cela existe à Salbris depuis 2004« .
On ne voit pas bien l’intérêt de ce subtil distingo, ce que tout le monde à compris est qu’il existait 16 places en C.A.D.A. depuis 2004 à Salbris, et que 60 places supplémentaires ont été créées dans une extension du Centre sur un nouveau site.
« Cette décision difficile prise avant l’été après obligation prononcée par les services de l’État provoque encore aujourd’hui rumeurs et bruits de couloir‘, croit-il bon d’ajouter. Mais si la décision était déjà prise avant l’été, pourquoi avoir attendu fin septembre pour l’annoncer publiquement suite à des « fuites » auxquelles notre blog a modestement contribué suite à un article publié le 23 septembre, bientôt relayé par un tract pour informer les Salbrisiens.
Et force est de constater que ce que le maire qualifie de « rumeurs et bruits de couloir » s’est avéré être la stricte vérité.
Nous attendons également de sa part une réponse sur ses relations avec l’association Coalia gestionnaire du Centre, afin de savoir si elles ont pu jouer un rôle dans le choix de Salbris.
Enfin, la question du permis de construire en vue d’une extension de la mosquée en lien avec le mouvement Mili Görus ne relève pas non plus des « bruits de couloir » et sur ce point les informations sont toujours aussi difficiles à obtenir.
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