Ce soir se tenait le dernier conseil communautaire d’Agglopolys pour 2018.
Quelques ajustements budgétaires de fin d’année ont été adoptés, ainsi que les tarifs pour 2019 pour les bibliothèques de l’Agglo, sans changement.
Pas de changement non plus pour le tarif de séjour dans aires d’accueil pour les gens du voyage, mais Michel Chassier s’est tout de même étonné de la faiblesse des recettes par rapport aux dépenses. A 1,60 € par jour pour un emplacement de deux caravanes, c’est en effet très loin de couvrir les frais.
Mais il semblerait que ce soit difficile de demander davantage…
Vos élus au Conseil d’Agglopolys.
Blois : des orientations budgétaires floues.
Le débat sur les orientations budgétaires a pour but de présenter une perspectives pour les prochaines années.
Comment vont évoluer les recettes, quelles dépenses sont maîtrisables, quels sont les investissements nécessaires pour le quotidien des Blésois, mais aussi pour préparer l’avenir ? (la Nouvelle République du 27/11/2018).
C’est assez difficile d’y répondre cette année, car il est impossible aujourd’hui de savoir comment le gouvernement va compenser la taxe d’habitation.
Même dans l’hypothèse où la Ville conserverait une recette équivalente, les projections en 2024 sont inquiétantes avec une épargne nette négative, et un endettement qui n’est maintenu sous la barre de dix ans qu’en diminuant de moitié les dépenses d’investissement, au point de compromettre l’entretien du patrimoine (voirie, écoles, bâtiments communaux, équipements sportifs).
On ne voit pas bien comme Marc Gricourt pourra faire campagne dans une telle perspective, en répétant encore comme hier soir que son équipe a un projet pour la ville. ( Télécharger l’intervention de Michel Chassier : CM 26-11-2018 – ROB 2019.)
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Gilets jaunes : nouvelles manifestations en Loir et Cher.
Rassemblement aujourd’hui à Romorantin.
De nombreuses actions ont eu lieu tout au long de la journée en Loir et Cher, la Nouvelle République reconnaît une « forte mobilisation ».
Péage gratuit à Blois, barrages filtrants, action près des centre commerciaux, les initiatives n’ont pas manqué et encore une fois le mouvement fait preuve de sa force et de sa détermination.
Nos amis étaient à nouveau présents sur plusieurs sites, comme simples citoyens selon la consigne, ils peuvent témoigner de la bonne ambiance au sein des manifestations, de l’accueil très largement favorable qu’ils reçoivent, et du calme des manifestants, loin de la caricature de certains médias proches du pouvoir..
Les petites provocations de Castaner n’y feront rien, il faut que Macron et son gouvernement entendent et changent de cap, car le cap est mauvais.
Il faut surtout arrêter de prendre les gens pour des imbéciles, et de dire qu’il faut leur expliquer davantage la transition écologique pour la faire accepter.
Tout le monde a bien compris que ce n’est qu’un prétexte pour nous taxer et restreindre nos libertés.
Mais cette fois-ci ça ne passe plus !
Aujourd’hui, Macron était enfermé dans son bunker de l’Elysée, encerclé de toutes parts. L’image est terrible d’un président arrogant, méprisant, incapable, qui ne sait plus comment faire.
Un clandestin multirécidiviste à nouveau condamné à Blois. Mais que faut-il encore en France ?
Un ancien combattant rappelle à Macron sa promesse non tenue.
Une fois encore la chronique judiciaire nous apprend qu’un homme de 40 ans, « originaire de la Côte d’Ivoire et en situation irrégulière » était jugé en appel à Orléans (la Nouvelle République du 24/11/2018).
L’individu, une certain Lenace, avait été condamné pour outrages et menaces à l’encontre d’un surveillant de prison à Blois, pour des insultes au personnel des urgences de l’hôpital de Vendôme, ainsi que pour une tentative de fuite lors d’un contrôle alors qu’il conduisait sans permis.
On apprend au passage que le sieur Lenace collectionne déjà 23 mentions à son casier judiciaire !
Cela pose bien sûr plusieurs questions.
D’abord comment se fait-il qu’un étranger en situation irrégulière soit toujours en France après une telle série de condamnations ?
Depuis combien de temps est-il sur notre sol en situation irrégulière ? De quoi vit-il ? Qui a payé les frais d’un appel, alors que de nombreux justiciables français renoncent parfois à se défendre car ils n’en ont pas les moyens ?
Qui va payer les frais de procédure s’il n’est pas solvable ?
Enfin, suite à cette enième condamnation, va-t-il enfin faire l’objet d’une expulsion du territoire français ?
Macron avait promis il y a un an que tous les « étrangers en situation irrégulière » qui commettent un délit « quel qu’il soit seront expulsés » de France, promettant d’être « intraitable sur ce sujet« .
Encore une promesse non tenue…
Gilets jaunes : péage gratuit à Blois.
Nouvelle action des gilets jaunes ce matin à Blois : opération péage gratuit à la sortie de l’A10.
D’autres actions sont prévues un peu partout en Loir et Cher, relayées sur les réseaux sociaux.
Il était difficile pour beaucoup de se déplacer à Paris en raison du coût que cela représente, sans compter que certains redoutent des provocations et des violences de la part les milices d’extrême-gauche protégées par le pouvoir, et qui font régulièrement dégénérer les manifestations syndicales afin de « faire de l’image » et de déconsidérer le mouvement. Et curieusement les auteurs de ces violences sont rarement interpellés et condamnés.
La faiblesse du mouvement des Gilets jaunes c’est peut-être le manque de coordination et l’absence d’une revendication claire, mais sa force réside dans la multiplication d’initiatives que le gouvernement ne parvient pas à contrôler.
Ainsi, malgré l’interdiction injustifiée de Castaner, les Gilets jaunes ont commencé à rassembler sur les Champs Elysées.
Si le mouvement dure, il faudra bien que Macron lâche du lest, autrement que par les promesses de quelques primes. Il faut simplement renoncer à la taxe carbone, à minima annuler la hausse prévue au 1er janvier.
Une autre mesure de bon sens, présentée à l’Assemblée nationale par Marine Le Pen et les députés du Rassemblement national, consisterait à ne pas appliquer la TVA sur les le montant de la TICPE. Il faut savoir en effet que l’on applique une taxe sur au autre taxe.
Cela permettrait de gagner quelques centimes par litre (13 à 14 centimes sur un litre d’essence).
Nous vous tiendrons informés au cours de la journée des opérations en Loir et Cher.
Blois : les « Gilets jaunes » devant la Mairie.
Les Gilets multiplient et diversifient leurs actions.
Dans le Loir et Cher, tout se déroule dans le calme, à tel point que la directrice de cabinet du Préfet, Marie-Frédérique Whitley salue « le civisme des manifestants » (la Nouvelle République du 22 novembre).
Voilà qui contredit le message de Macron et Castaner au sujet d’une prétendue « radicalisation ».
Cela ne va peut-être pas favoriser la promotion de cette fonctionnaire trop sincère dans ses propos.
Ce matin alors que plusieurs barrages filtrants sont toujours en place, pour bien faire savoir que le mouvement continuera tant qu’il n’y aura pas une réponse satisfaisante, à minima sur la taxation des carburants, des « Gilets jaunes » s’étaient donné rendez-vous dans la cour de la Mairie (*), pour chanter « la Marseillaise ».
Le maire de Blois n’est sans doute pas responsable de la hausse des prix du carburant, mais il est tout de même vice-président de la Région Centre-Val de Loire qui applique le taux maximum sur la part régionale de la TICPE, ce que nos élus ont longtemps été seuls à critiquer.
Cette petite piqûre de rappel n’est donc pas inutile avant le vote du budget de la Région le 20 décembre à Orléans.
Revoir la dernière intervention de Gilles Godefroy le 18/10/2018 a Orléans :
(*) Mise à jour à 12 h 00 : ce matin des gilets jaunes se sont réuni devant la préfecture, ensuite une petite marche en direction du centre des impôts, mais ils avaient fermé. Donc une petite pause en chanson devant le centre des impôts. Puis direction la mairie, de nouveau Marseillaise, aucun responsable de la municipalité n’est venu à notre rencontre.
Ensuite redirection la préfecture, mais cette fois-ci le préfet souhaite s’entretenir avec 3 gilets jaunes.
Et cet après-midi un rendez-vous est fixé à 14 heures vers le centre Leclerc.
A signaler le calme des manifestants ainsi que la présence plutôt sereine des forces de l’ordre.
Blois : violente bagarre devant le collège des Provinces.
La nouvelle n’avait pas filtré jusqu’ici, c’est la Nouvelle République qui publie l’information ce matin (20/11/2018).
Les faits remontent à jeudi dernier. Un groupe de 5 à 7 « jeunes » issus d’un autre établissement est venu attaquer des élèves à la sortie du collège des Provinces.
Trois élèves ont été blessés dont un sérieusement.
L’origine de cette rixe serait à rechercher sur les réseaux sociaux.
La Police enquête pour identifier les agresseurs, mais en attendant ce type de bagarre montre que Blois est à son tour gagné par ce phénomène de règlements de comptes violents à proximité des établissements scolaires.
Mais l’équipe municipale actuelle semble ne pas bien mesurer à quel point la situation est en train de se dégrader.
Mise à jour : un correspondant nous parle d’une vingtaine de personnes avec des couteaux, battes etc… et d’une deuxième bagarre. Mais devant le silence des médias, difficile d’avoir confirmation pour le moment.
Gilets jaunes : grosse mobilisation en Loir et Cher.
Difficile de savoir à cette heure encore combien il y a eu de manifestants en Loir et Cher, certains parlent de 2500 (*).
Les actions allaient du blocage à certains moments de la journée sur l’axe nord-sud de Blois aux barrages filtrants ou au simples manifestations statiques comme au rond-point de Chouzy sur Cisse.
A Romorantin il y avait même des tracteurs venus se joindre aux manifestants.
Nos amis étaient présents à Blois, Mer, Noyers-Saint-Aignan, Onzain, Chouzy, Romorantin, Vendôme…
Partout un très bon accueil, y compris pour nos élus présents, qui sont reconnus comme les seuls ayant un discours cohérent sur la taxation des carburants, contrairement à Mélenchon qui, lors de la présidentielle, se voulait champion de l’écologie, ou encore les Républicains, à l’origine de la taxe « Grenelle » sous Sarközy…
Mise à jour du 19/11 : le chiffre communiqué par la Préfecture est de 3 600 participants.
Gilets jaunes : c’est parti en Loir et Cher !
Ce matin au rond point de la patte d’Oie : pas de slogans partisans ni de drapeaux rouges, un seul drapeau bleu-blanc-rouge !
Malgré les menaces de Macron et Castaner, le mouvement a démarré très fort partout en France ce matin.
Les forces de l’ordre ont essayé en vain d’empêcher le blocage du périphérique parisien, mais elles ont vite été débordées : on ne peut rien contre une marée populaire.
A Blois dès le petit jour l’action était lancée, après un rassemblement sur le parking du Leclerc, les barrages filtrants étaient mis en place au rond point de Cap’ciné et à la patte d’Oie de Saint Gervais.
Nos amis étaient déjà présents, ils le seront tout au long de la journée à Blois, Mer, Noyers-Saint-Aignan, Onzain, Chouzy, Romorantin, Vendôme…
Nous vous tiendrons informés tout au long de la journée.
Attaques contre le diesel : emplois menacés.
Le président (PS) de la Région Centre-Val de Loire, François Bonneau, s’insurge contre la fermeture annoncée de l’entreprise Ibiden qui fabrique des filtres à particules pour le diesel à Courtenay dans le Loiret.
C’est pourtant bien le même président Bonneau, dont la majorité est l’otage des écologistes, qui relaie toutes les attaques contre le diesel.
Certes la fermeture annoncée du site de Courtenay est liée au choix de la direction japonaise de réaliser la fabrication des nouveaux filtres à haute porosité à son site hongrois, mais c’est aussi la conséquence de la volonté gouvernementale de combattre le diesel, réputé plus polluant que l’essence, ce qui reste à démontrer, sans parler de l’électrique dont le bilan écologique se révèle désastreux. Le site blésois de Delphi, spécialisé dans l’injection diesel, pourrait bien être menacé dans un proche avenir.
Confronté aux conséquences de ses propres choix idéologiques, François Bonneau s’affole. Il demande qu’Ibiden rembourse la subvention de 68 000 euros qui lui avait été accordée en 2014 en échange d’un maintien des emplois sur 5 ans. Ce ne serait que justice, mais hélas, cela ne ramènera pas les emplois. Une raison supplémentaire pour manifester ce samedi avec les gilets jaunes !
Blois : voiture brûlée allée des Platanes.
Un quartier calme en apparence (ici rue des Peupliers) mais victime de la délinquance.
Une voiture a été incendiée dans la nuit de samedi à dimanche allée des Platanes à Blois, dans le quartier des Allées.
C’est un secteur où les habitants sont régulièrement victimes de ces actes de délinquance.
On ne dira jamais assez le préjudice que représente ces incendies de voitures pour des propriétaires souvent modestes qui en ont besoin pour leurs déplacements quotidiens, et qui souvent n’ont pas les moyens d’en acheter une autre immédiatement.
11 novembre à Blois : un hommage et quelques couacs.
Les élus du Rassemblement national ont brièvement quitté la cérémonie pendant la « chanson de Craonne ».
A l’occasion du Centenaire, les cérémonies du 11 novembre à Blois ont pris une ampleur particulière, mais il faut le dire avec quelques couacs. Tout d’abord l’idée de scinder la cérémonie en deux parties, la 1ère à 9 heures devant le monument aux Morts, mais sans l’Armée, la seconde à 11 heures 20 dans les jardins de l’Evêché pour la prise d’armes traditionnelle où cette fois, à côté du détachement du DA 273, il y avait l’équipage du sous-marin nucléaire lanceur d’engins le Terrible ainsi qu’un important détachement de la Gendarmerie nationale. L’ampleur du dispositif ne pouvait pas prendre place entre la Préfecture et le monument aux Morts, puisque comme chaque année à cette époque la place de la République est occupée par les barnums de BD Boum. L’inconvénient c’est que la cérémonie était coupée en deux. De plus entre les deux parties venaient s’intercaler, au même moment une cérémonie ‘interconfessionnelle » à la Cathédrale et une cérémonie civile à la mairie, obligeant le cortège à se scinder en deux place Saint Louis, ce qui n’est pas une symbolique très heureuse.
Sur le fond nous avons eu droit au discours de M. Macron, lu par le Préfet de Loir et Cher. Un discours qui glisse de l’hommage à un plaidoyer pour l’Europe et pour la paix, sans tirer le leçon de l’après-guerre, sans oublier quelques attaques contre les défenseurs de la Nation. Comme un parfum de pré-campagne des européennes. Ensuite, les élèves d’une classe de 3ème du Collège Bégon ont interprété la « chanson de Craonne ». Cette chanson politiquement engagée (à l’extrême-gauche) fustige « Les gros », « ceux qu’ont le pognon » et « les biens de ces messieurs là », et incite à la mutinerie (« c’est fini, nous, les troufions, on va se mettre en grève »).
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Blois : le Rassemblement national fête le centenaire de la victoire.
Samedi 10 novembre à Blois le Rassemblement national célébrait le centenaire de la victoire.
Autour des élus régionaux Michel Chassier et Mathilde Paris, de Jean Yves Narquin maire de Villedieu le Château, une quarantaine d’adhérents et sympathisants avaient répondu présent pour partager un repas convivial dans une ambiance rappelant le souvenir des « poilus » : vidéos, chansons, exposition de photos envoyées par nos amis.
A 15 heures, le discours de marine Le Pen était retransmis depuis Verdun, vous pourrez le retrouver sur les réseaux sociaux.
Un moment de cohésion, de communion dans l’amour de la patrie et l’hommage à nos anciens qui ont combattu pour notre liberté.
Dans son intervention avant le discours de Marine, Michel Chassier a rappelé que nous leur devons de poursuivre le combat pour que la France pour laquelle ils se sont sacrifiés ne soit pas demain asservie à nouveau par un ennemi insidieux qui bénéficie hélas de la complicité de nos gouvernants.
Demain 114 novembre nous serons présents dans toutes les cérémonies du département.
Centenaire de la victoire de 1918 : rendez-vous à Blois le 10 novembre.
« Cent ans après la victoire de la France et de ses alliés, mettant un terme à la Grande Guerre en 1918, notre famille politique a à cœur d’honorer la mémoire du soldat français qui se sacrifia pour défendre notre drapeau et l’intégrité de notre territoire, et la mémoire du peuple français tout entier uni dans les pires circonstances. » Marine Le Pen
Alors que Macron refuse de fêter dignement la victoire de 1918, le Rassemblement national appelle tous les Français a participer nombreux aux commémorations du 11 novembre.
Nos élus seront présents dans leur communes respectives, soyez nombreux à leurs côtés, avec vos enfants car il est important de leur faire partager ce moment historique.
Le 10 novembre Marine Le Pen sera a Verdun pour un grand banquet patriotique afin de rendre hommage à tous les combattants, ceux qui sont tombés et aussi tous eux qui ont été marqués à vie par cette épreuve
La Fédération de Loir et Cher organise également une journée d’hommage à Blois, avec un repas et la retransmission vidéo sur grand écran de la cérémonie de Verdun et du discours de Marine.
Venez nombreux, en famille, avec vos amis pour cet après-midi d’hommage à nos poilus. Attention : nombre de places limité, inscription obligatoire. Vous pouvez demander l’invitation à contact@rassemblement-national41.fr
Insécurité à l’hôpital de Blois : l’omerta ?
Tout va bien à l’hôpital de Blois, soyez rassurés braves gens, dormez bien !
Comme dans les collèges et les lycées, la consigne #PasDeVague semble aussi être appliquée dans les hôpitaux.
Mais il est toujours difficile de cacher la vérité, elle finit un jour ou l’autre par ressortir.
En l’occurrence ce sont les personnels de sécurité de l’hôpital de Blois qui expriment leur colère… sous la bannière de la CGT !
« Sécurité en sous-effectif = hôpital en insécurité » peut-on lire sur une des banderoles.
La situation est-elle donc si grave ? Pourtant elle est soigneusement cachée par les responsables de l’établissement, dont le maire de Blois, Marc Gricourt préside du conseil de surveillance.
Reste que la CGT n’en dit pas assez sur l’insécurité qui touche les personnels soignants. De quel type d’agressions s’agit-il ? Qui sont les auteurs ?
Là, c’est au tour de la CGT de pratiquer l’omerta.
Aux agents victimes de cette situation d’en tirer les conséquences : seul le Rassemblement national peut vraiment les défendre.
Fermeture de l’AFPA : où vont aller les « migrants » ?
Le sort des clandestins avant l’avenir des formations ?
Alors que 5 centres AFPA sont menacés de fermeture en Région Centre-Val de Loire, dont celui de Blois, certains s’inquiètent non pas de l’avenir de la formation, mais du du sort des « migrants » hébergés sur le site de Blois (nous n’avons pas d’information pour les autres sites).
On se souvient que des clandestins qui campaient à Calais dans l’espoir de passer en Angleterre avaient été dispersés dans toute le France par Hollande en octobre 2015, mais depuis cela ne cesse pas.
C’est ainsi que le centre AFPA de Blois en avait reçu une quarantaine, à l’époque le Front National avait été seul à protester.
Selon Mag’centre, ils seraient aujourd’hui encore 48, mais bien sûr ce ne sont plus les mêmes, il y a régulièrement de nouvelles arrivées, tandis que les autres sont régularisés ou bien disparaissent dans la nature.
Le coût de l’opération est toujours soigneusement caché… tout ce que l’on sait, c’est que c’est nous qui payons.
Mais ce qui préoccupe les élus du Rassemblement national, c’est le devenir de ces centres, qui recevaient plus de 2000 stagiaires par an pour des formations qualifiantes.
Au conseil régional ils ont co-signé avec tous les groupes un appel au gouvernement pour reconsidérer cette décision.
A Blois, un communiqué a été adressé à la presse locale :
« L’annonce brutale et sans concertation du projet de fermeture de 5 centres AFPA dans notre région, dont celui de Blois, illustre bien le mépris de ce gouvernement pour les territoires et leurs représentants.
Rappelons qu’il s’agit du premier opérateur régional de formation, et l’un des seuls qui propose une offre d’hébergement pour les stagiaires.
Les élus qui ont appris cette nouvelle jeudi matin au cours de la session du conseil régional à Orléans demandent un moratoire immédiat sur la fermeture de ces centres, soutenue par l’ensemble des groupes.
Le Rassemblement national soutien cette démarche et demande également à nous deux ministres loir-et-chériens de prendre position sur ce dossier. »
Aucun écho à ce jour.
Aux yeux de certains, l’avenir des clandestins est sans doute plus important.
Blois : le rendez-vous des politiques.
François Hollande, qui nous coûte déjà une fortune, vient vendre son livre à Blois dans un festival payé par le contribuable !
Après Jacques Attali, les ministres ou anciens ministres Jack Lang, Jean-Michel Blanquer, Christiane Taubira, Frédérique Vidal, des proches du PS comme l’économiste Pierre Rosanvallon etc… c’est aujourd’hui François Hollande qui vient profiter des Rendez-vous de l’Histoire pour vendre et dédicacer son livre « les leçons du pouvoir » (la Nouvelle République du 14/10/2018).
Tout cela avec près d’un million d’euros de subventions publiques pour financer ce festival, n’y aurait-il pas comme une forme de détournement de fonds publics ?
Une chance, étant donné le thème retenu cette année, « la puissance des images », nous avons heureusement échappé à la venue du couple people Brigitte et Manu, élu comme le dit si bien Emmanuel Todd en raison d’une « hallucination collective« . Le fameuse puissance des images, quand elles sont relayées par des médias tenus par ceux-là même qui avaient de Macron leur champion.
Attali : vrai gourou, faux prophète.
Guerre franco-allemande : Jacques Attali a presque 1 siècle et demi de retard !
La conférence inaugurale des rendez-vous de l’Histoire dans la salle du jeu de Paume est loin d’avoir fait le plein.
La Nouvelle République annonce « près de 700″ personnes dans une salle de… 2525 places !
On est loin de l’image d’une salle bondée et refusant du monde comme c’était le cas à la Halle aux Grains (610 places).
Un constat qui permet de douter du décompte des participants annoncé par les RVH : 45000 cette année !
Mag Centre parle d’un public « qu’on aurait imaginé plus nombreux (et plus jeune ?)« .
Le magazine indique également que la visite du sieur Attali n’était certainement pas désintéressée : « en tournée de promo de son dernier livre, il était normal qu’il s’arrête à Blois. »
Ce n’est plus tout à fait l’altruisme dont il se revendique. Nous serions curieux aussi de savoir si sa prestation était rémunérée, et à quelle hauteur.
Et tout cela pour tenir propos d’une rare banalité, du style « il y a des choses qui vont « mieux », et d’autres « moins bien ». Il faut bien être énarque et polytechnicien pour dire cela.
Il prétend avoir des solutions pour nous protéger des prochaines crises, alors qu’il n’avait pas prévu la dernière, celle de l’automne 2008, qu’il situe d’ailleurs en 2007 !
Souvenons-nous qu’à l’époque, seul Jean-Marie Le Pen l’avait annoncé de façon très précise, en expliquant ses causes, son mécanisme et ses conséquences, lors d’une conférence de presse en juin 2008.
Jacques Attali rappelle toutefois une évidence : « il faut penser en permanence à l’impact sur 20 à 30 ans. C’est ce qui distingue un politicien d’un homme d’Etat« .
A l’évidence, de Mitterrand à Macron en passant par Hollande et Sarközy, il n’aura servi que des politiciens préoccupés par leur réélection, et qui ont vendu la France en viager.
Ou bien ses conseils n’ont pas été entendus, ou bien ce n’était que de la poudre de perlimpinpin.
Le meilleur moment de cette conférence reste certainement cet avertissement aux jeunes « qui pourraient connaître une guerre« , c’est la version NR, qui n’ose pas reprendre sa prédiction délirante citée par Mag Centre « Les plus jeunes qui sont dans cette salle peuvent connaître une guerre franco-allemande »
On pourrait presque en rire ! Il faudrait d’ailleurs pour cela que les Allemands nous vendent les fusils que nous ne produisons plus, que la Américains acceptent de nous fournir en bombes guidées, etc…
De tels propos devraient d’considérer à jamais ce gourou prétentieux adulé par les médias.
Sans oublier que la guerre, nos jeunes la connaissent déjà, avec un ennemi qui frappe déjà sur notre sol, mais que M. Attali refuse voir.
Bien entendu, nous sommes disposés à ouvrir le débat avec l’intéressé, si jamais il est capable de justifier ses propos.
La puissance des images aux Rendez-vous de l’Histoire.
La puissance des images ? Une belle illustration avec Attali !
Les Rendez-vous de l’Histoire (du 10 au 14 octobre à Blois) attirent toujours un public nombreux, quoique difficile à chiffrer en l’absence billetterie.
Ce que déplorent depuis longtemps les élis du Rassemblement national, qui estiment que le public pourrait payer une entrée, avec le maintien la gratuité pour les scolaires et des tarifs pour les étudiants par exemple.
Au lieu de cela on fait venir gratuitement tous les professeurs d’histoire-géographie de la Région, et tant pis pour leurs élèves privés de cours ce jour-là !
Mais tout cela coûte 375 000 € de subvention principale pour 2018, sans compter les rallonges pour diverses manifestations annexes ainsi que la à disposition de personnels, de locaux, de matériel et la fourniture de diverses prestations dont des repas.
Si l’on ajoute les subventions des autres collectivités et de la DRAC, Le coût réel pour le contribuable atteint 979 000 euros pour un budget e 1 381 000 euros, soit un financement public à hauteur de 71%.
En 2014, lors d’un débat sur TV Tours avec Michel Chassier, Marc Gricourt avait reconnu qu’il faudrait y réfléchir.
Mais son adjoint à la Culture et Président d’Agglopolys Christophe Degruelle, dépositaire de l’héritage de Jack Lang, ne semble pas l’entendre de cette oreille.
Nous aurons l’occasion de revenir aussi sur le fond, car cette manifestation nous a souvent habitué au sectarisme et au parti-pris idéologique.
Chaque année on voit ainsi défiler à nos frais de nombreux responsables politiques bien en cour.
Pour cette édition nous n’échapperons pas à la conférence inaugurale du gourou de Mitterrand, Sarközy et Macron, l’ultra-mondialiste Jacques Attali, sur le thème « comment nous protéger des prochaines crises » !
Quel cynisme quand sait que ce sont des hommes comme lui qui en sont les principaux responsables, et qu’il n’avait pas vu venir la crise 2008 !
Enfin pour revenir au thème de cette édition, « la puissance des images« , comment ne pas oublier que tous ces bien-pensants sont ceux-là mêmes qui ont exploité honteusement l’image d’un enfant syrien noyé sur plage de Grèce et soigneusement mis en scène pour émouvoir l’opinion publique européenne… mais qui condamnent Marine Le Pen pour avoir voulu montrer sur un tweet le vrai visage de Daesch !
Blois : agressions au quotidien.
Ce sont des agressions dont la presse ne parle pas, car elles font l’objet d’un simple enregistrement au commissariat de Police, qui ne communique pas.
Mais nous citerons deux faits récents.
La première agression se situe dans un quartier du haut de la ville, près de la Cathédrale.
Une femme seule se gare devant chez elle, lorsqu’une voiture se range en double file, occupée par deux individus que la censure ne nous permet pas de décrire.
Ils intiment à la femme l’ordre de descendre. Celle-ci refuse mais se trouve de fait coincée dans son véhicule.
Par chance, une autre voiture arrive dans le rue, obligeant les deux petites frappes à circuler.
La semaine dernière cela se passe en plein centre-ville, devant le Totem, place de la Résistance.
Comme souvent, une voiture occupée par des « jeunes » est arrêtée sur le rue devant le débit de tabac, bloquant la circulation.
La plupart du temps, les Blésois « de souche » préfèrent patienter, connaissant la susceptibilité des ces « chances pour la France ».
Mais le femme ainsi bloquée par ces gens irrespectueux a eu le malheur de klaxonner !
Aussitôt elle est prise à partie par les petits voyous, qui prétendent que leur voiture a été accrochée et demandent à la personne de descendre pour faire un constat.
Elle leur propose plutôt d’appeler la Police et saisit son téléphone, ce qui a pour effet de faire fuir les voyous. Bon réflexe.
Mais ces deux exemples sont révélateurs d’un climat qui hélas n’est pas nouveau, et qui fait que Blésois et touristes ont tendance à déserter le centre-ville une fois la nuit tombée.
A quand une véritable réaction ?
Conseil municipal de Blois : budget supplémentaire… en attendant 2020.
(images d’archives)
Dans les différents échanges au conseil municipal de rentrée à Blois on sent arriver l’échéance de 2020.
Budget supplémentaire : l’emprunt en ligne de mire.
Dès l’examen du budget supplémentaire Marc Gricourt a tenu à démentir les propos de Michel Chassier et Mathilde Paris dans la Nouvelle République du 15/09 décrivant une majorité « à bout de souffle » (la Nouvelle République du 25/09/2018).
Et il s’appuie pour cela sur la bonne maîtrise de budget qui permet à la Ville de réaliser en 2018 davantage d’investissements qu’en 2017.
Ce à quoi Michel Chassier peut répondre : « certes, mais ces investissements nouveaux sont financés uniquement par l’emprunt« . L’élu RN met également l’accent sur les dépenses de fonctionnement, qui augmentent de 1,14% selon les prévisions budgétaires, soit plus que les 1,05% autorisés par l’Etat. Augmentation qui résulte de hausses subies : carburant, énergie etc… dans un contexte de reprise de l’inflation ( CM 24-09-2018 – BS2018 ).
Auparavant Michel Chassier était déjà intervenu pour faire part des risques encourus sur les taux variables alors que la BCE doit réformer l’Euribor en 2020 : « Tous les acteurs financiers conviennent que le taux actuel de l’Euribor est déconnecté de la réalité,[...] La BCE préconise une réforme des taux de référence qui devrait prendre effet en 2020 et conduire à un niveau plus élevé. D’un point de vue contractuel, est-ce qu’il faudra considérer qu’il s’agit toujours du même indice ? Car dans ce cas le taux pourrait augmenter vraisemblablement dans une fourchette de 1 à 2%. »
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Blois : voiture incendiée au lac de la Piçonnière.
Image d’archives : voiture brûlée dans le lac de la Pinçonnière en 2017.
Un de nos correspondants nous informe que jeudi vers 21h30, les pompiers sont intervenus sur un véhicule Ford Fuego en feu sur le parking nord ( bâtiments communaux ) du lac de la Pinçonnière à Blois.
La carcasse était toujours en place le lendemain matin avec une plaque d’immatriculation identifiable.
La nuit précédente, ce sont à nouveau des poubelles qui ont été incendiées en Vienne, rue Georges Litalien, dans un quartier lui aussi régulièrement touché par ce genre d’exactions.
Dormez bien braves gens !
Loir et Cher : le Rassemblement national déjà offensif.
Dans un entretien récent sur France 2 pour ses 50 ans d’émissions politiques à la télévision, on a demandé à Alain Duhamel quelle avait été sa principale erreur de jugement. Réponse de l’intéressé : c’est en 1984, quand j’avais pensé que le Front national n’était qu’un « feu de paille ».
Beaucoup d’autres observateurs, de journalistes, sans parler de nos adversaires, ont régulièrement annoncé notre mort depuis lors : après la scission en 1998, après l’élection se Sarközy – qui s’était vanté d’avoir tué le FN – en 2007, et à nouveau après la présidentielle de 2017, oubliant les 11 millions d’électeurs de Marine Le Pen.
Mais après un an de travail acharné et en dépit des attaques de nos adversaires, la refondation porte ses fruits, les faits nous donnent raison, la bulle macronnienne implose, et de nouveau nous avons rendez-vous avec l’histoire.
Les sondages nous placent pratiquement à égalité avec le conglomérat LREM-MoDem-UDI, et ce n’est qu’un début.
Au niveau local également, la dynamique est bien là.
La Nouvelle République titrait ce samedi son article consacré à la rentrée politique blésoise : « le Rassemblement national déjà offensif« . Et de fait sur la Ville de Blois nous sommes les seuls désormais à incarner l’alternance attendue par les Blésois après deux mandats de Marc Gricourt. L’autre groupe d’opposition (?) a complètement éclaté, la majorité commence à se fissurer.
C’est le même constat à la Région, où la majorité de François Bonneau est fragilisée par la dissidence des élus passés à LREM sur fond de municipales 2020.
Sans doute pourra-t-il compter sur le soutien de Guillaume Peltier, qui continue à jouer le grand écart entre un discours de « droite forte » visant à séduire notre électorat, tandis que a presse le qualifie ironiquement de « 14ème vice-président ». On se demande d’ailleurs comment son groupe, souvent divisé lors des votes, peut encore tenir. Attendons les élections européennes…
Plus que jamais nous devons être présents auprès de nos compatriotes, plus que jamais nous avons besoin de votre soutien dans cs moments décisifs.
Blois : le voile islamique s’impose à l’antenne de droit.
Avec 200 étudiants inscrits et une légère progression en 1ère année, le directeur de l’antenne universitaire de droit s’estime plutôt satisfait, au moment où d’autres enseignements sur le site de Blois sont remis en cause par l’Université de Tours, ex-François Rabelais.
Mais ce qui frappe sur photo de la Nouvelle République illustrant l’article, c’est la présence de deux étudiantes portant le hijab, c’est à dire le voile islamique.
Mais si la loi de 2004 avait interdit le port du voile dans l’enseignement secondaire (primaire, collège, lycée) pour les élèves comme pour les personnels, y compris les accompagnants des sorties scolaires, ce n’est pas le cas dans l’enseignement supérieur, où les présidents d’université sont priés de se « débrouiller », et comme ils ne veulent surtout pas d’histoire, on connaît le résultat.
En tout cela ne semble pas déranger le président, Pierre Boisseau, par ailleurs dixième adjoint en charge de la démocratie locale, de l’intégration républicaine, de la laïcité, de l’histoire et de la mémoire et des égalité des droits, et défenseur intransigeant de la laïcité… quand il s’agit de l’Eglise catholique…
Pour notre part nous considérons que le port ostensible, pour ne pas dire provocateur, du voile islamique dans cette enceinte manifeste une revendication communautaire et l’affirmation de la supériorité du droit coranique par rapport au droit français.
Inquiétant pour des étudiantes en droit qui peuvent demain se retrouver magistrats, et peut-être présider une audience en portant le voile, sans parler des orientations que pourraient prendre leurs jugements.
Blois : quand un adjoint porte plainte contre un ex-adjoint en Marche…
Adjoint et ex-adjoints ont bien du temps à perdre sur Facebook. Comme dit l’un des intervenants dans des échanges « quand-est-ce qu’on sort du caniveau ? »
Il va y avoir de l’ambiance au conseil municipal du 24 septembre à Blois.
Ozgur Eski, onzième adjoint en charge de la politique « de la ville », du suivi du PRU, de le Gestion urbaine de proximité et de l’économie sociale et solidaire veut poursuivre Louis Buteau, ex adjoint en charge du commerce démis de ses fonctions lors du conseil municipal du 23 avril après avoir publiquement critiqué les actions de la Ville qu’il était pourtant chargé de suivre depuis 4 ans !
Et pour cela Qzgur Eski fait appel à la protection fonctionnelle des élus pour que la Ville couvre ses frais de justice.
Ce sera l’objet de la délibération n°206.
En fait l’intéressé vise des propos publiés sur la page Facebook publique de Louis Buteau par Malika Ghedjati, elle-même adjointe au commerce lors de la précédente mandature et également « remerciée » par Marc Gricourt.
Nous ne reproduirons ses propos qui, à l’heure où nous écrivons, n’ont pas été retirés de le page Facebook en question.
Ils font référence à une rixe dans la quartier de Quinière en juillet 2014 où semble-t-il Ozgur Eski aurait tenté de s’interposer, ce qui lui valu en réprésailles l’incendie de sa voiture et de celle de son épouse.
Nous avions à l’époque rendu compte des faits, ce qui nous avait valu également une plainte assortie là encore d’une demande de protection fonctionnelle, votée par la majorité, dont Louis Buteau. Hodie mihi, cras tibi !
Cette plainte ridicule n’a d’ailleurs jamais abouti, mais nous aimerions savoir si la Ville avait engagé des frais dans cette affaire.
Une fois encore tout cela semble disproportionné, il aurait certes été préférable que Louis Buteau modère de lui-même les commentaires sur sa page, mais il aurait été facile à la personne visée de lui demander tout simplement de faire retirer ces propos lourds de sous-entendus.
Mais il préfère sans doute un procès… surtout si les frais sont payés par la Ville, donc par les Blésois.
Cela ne va pas améliorer l’image des politiques…
Mises en avant
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Mathilde PARIS, tête de liste « Un autre avenir pour Blois » était jeudi soir l’invitée de la rédaction de @TVTOURS. Revoir la vidéo....
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