Un gendarme de 32 ans s’est tué samedi en milieu de journée avec son arme de service dans son bureau de la communauté de brigades de Selles-sur-Cher (compagnie de Romorantin).
Communiqué de l’Essor : « Nous apprenons avec une immense tristesse le décès du Gendarme Romain Rio. Il avait 32 ans.
D’abord réserviste opérationnel en Bretagne, il est admis à suivre la formation à l’école des sous-officiers de gendarmerie de Châteaumin pour enfin rejoindre la compagnie de Romorantin dans le Loir-et-Cher (41) où il est affecté à la COB de Selles sur Cher. Nous adressons à sa famille, ses proches et ses camarades nos sincères condoléances et les assurons de notre soutien.«
Le RN41 s’associe à ces condoléances.
Sans connaître les raisons de cet acte tragique, nous savons que les forces de l’ordre sont sous tension depuis bien longtemps en France. On leur demande beaucoup alors qu’ils manquent parfois cruellement de moyens et que les heures supplémentaires impayées s’accumulent.
Dans la crise de Gilets jaunes qui dure maintien depuis bientôt 5 mois, le gouvernement a choisi une stratégie favorisant les débordements et automatiquement le riposte des Forces de l’ordre, désignée à la vindicte de l’opinion.
Dans un article publié en octobre dernier, selon les informations de l’Essor « 29 gendarmes ont mis fin à leurs jours depuis le début de l’année. Un chiffre “inquiétant” selon le directeur général de la Gendarmerie le général d’armée Richard Lizurey. Ce chiffre – pour dix mois et demi – dépasse en effet celui des cinq dernières années : 23 en 2013, 22 en 2014, 25 en 2015, 25 en 2016, 17 en 2017. »
Le Rassemblement national a toujours soutenu la Gendarmerie et l’ensemble des forces de l’ordre. Les seuls à critiquer, les seuls responsables sont Macron et Castaner, c’est eux qui devront rendre des comptes.
Suicide d’un gendarme en Loir et Cher.
Les costumes de Jack Lang : plus fort que Fillon !
On se souvient de l’affaire des 13 000 € de costumes offerts à François Fillon, venue s’ajouter au « Pénélope Gate » et qui avait plombé un peu plus sa campagne présidentielle.
C’est au tour de Jack Lang d’être rattrapé par un scandale similaire, pour la bagatelle de 195 600 € de costumes reçus en cadeau de la maison Smalto.
Le même Jack Lang déjà englué dans un procès avec le traiteur Noura pour 41 000 euros de repas impayés.
Cela commence à faire beaucoup, mais nous ne sommes guère surpris.
A Blois des rumeurs avaient couru sur des comportements similaires, mais aucun restaurateur n’avait porté plainte.
Nous ne sommes pas davantage surpris que Jack Lang apprécie le « style » de Macron et soutienne sa politique.
Entre habitués des « petits cadeaux », cela se comprend.
Jacqueline Gourault veut plus d’impôt, le gouvernement embarrassé.
Alors que la crise des Gilets jaunes n’en finit pas, faute de recevoir une véritable réponse, Jacqueline Gourault vient de faire un de ces « couacs » dont les ministres sont coutumiers.
Elle n’a rien trouvé de mieux que de proposer une généralisation de l’impôt sur le revenu, qui n’est payé aujourd’hui que par 43% des Français. En ajoutant si besoin une tranche supplémentaire pour faire passer la mesure.
Faut-il rappeler à Mme Gourault que tous les Français paient déjà la CSG, qu’ils soient salariés et retraités et même une partie des chômeurs ?
Il s’agit bien d’un impôt direct, qui ressemble fort à une « flat tax » par ailleurs si décriée. Et l’augmentation du taux de la CSG pour les retraités, combiné à la hausse des carburants, a été l’un des déclencheurs de la crise actuelle.
Aussitôt Edouard Philippe a démenti, mais en réalité on voit bien que le gouvernement ne sait pas comment faire pour financer les quelques concessions accordées et compenser la suppression de la taxe d’habitation.
Sans doute n’y aura-t-il pas d’annonce avant les élections européennes, mais il semble probable que la hausse de la taxe carbone, différée au 1er janvier, revienne en force.
Attention à ce ce que le catastrophisme climatique revienne en force dans les médias, quitte à utiliser lycéens et collégiens, que le pouvoir aimerait transformer de nouveaux « gardes rouges » de la « révolution verte ».
Nous sommes prêts à en prendre la pari.
Européennes 2019 : la campagne est lancée en Loir et Cher.
La campagne en Loir et Cher : c’est parti !
Les premières affiches pour les européennes ont été livrées en loir et Cher.
C’est parti pour une nouvelle campagne d’affichage. Il est important de mobiliser nos électeurs, car tout est fait en ce moment pour que la campagne des européennes soit masquée par le « grand débat ».
Certains médias feignent de croire que la campagne n’a pas encore débuté, alors que Marine le Pen, Jordan Bardella et plusiuers des principaux colistiers tiennent des réunions toutes les semaine depuis le 19 janvier, après avoir lancé la campagne à Paris le 13 janvier.
Mais Macron fait tout qu’il n’y ait pas de véritable débat, car il mesure l’hostilité des Français au fonctionnement actuel de l’Union européenne, alors qu’il a pour projet de transférer encore davantage de notre souveraineté.
Il a donc choisi délibérément de détourner l’attention et de jouer sur les peurs.
On voit bien aussi le jeu de l’UE confrontée au Brexit : tout est fait pour pénaliser le Royaume-Uni, jusqu’à tenter d’imposer un nouveau référendum.
Et pendant le même temps, l’UE multiplie les accords commerciaux avec les USA, le Canada, Singapour. Et on nous ferait croire qu’il serait impossible de commercer avec le Royaume Uni ?
En France nous avons droit tous les jours à des messages alarmistes sur les supposées conséquences du Brexit : pas moins de 3 articles en une semaine dans la Nouvelle République.
C’est pourquoi il est important de faire campagne sur le terrain, dans les médias, sur les réseaux sociaux, afin que nos compatriotes soient informés.
Le 26 mai prochain, la seule réponse aux funestes projets de Macron, c’est que les Français se rendent massivement aux urnes et votent pour la liste du Rassemblement national.
A vous tous de relayer le message !
Grand débat : questions interdites
Les réunions du « Grand débat » se suivent et se ressemblent.
Les participants peuvent donner leur avis sur les questions qui leur sont présentées, mais certains sujets sont interdits.
Malgré tout à Vendôme il a été question du problème des gens du voyage, de l’immigration ou en encore des travailleurs détachés.
Ce que déplore la Nouvelle République dont on peut se demander à quel titre elle se permet de juger la pertinence des questions posées.
Cela conforme qu’il ne faut pas entendre grand chose de ces réunions dont le but est aussi de masquer la campagne des européennes.
Quelques exceptions toutefois comme à Beaucaire où le maire RN, Julien Sanchez invite les Beaucairois à venir débattre en toute liberté ce lundi 18 février.
Le député « En Marche » de la circonscription a décliné l’invitation.
Pas très courageux…
Le RN41 vous informe sur Internet.
Plus que jamais les grands médias sont étroitement liés au pouvoir. De rachats en fusions ils sont aujourd’hui dans les mains de puissants groupes d’affaires (Bolloré, Bouygues, Dassault, Lagardère, LVMH, groupe SFR etc…) associés aux banques qui, en même temps qu’elle refusent de prêter à certains partis politiques, refinancent régulièrement des journaux structurellement déficitaire en dépit des subventions de l’Etat.
Et on ne faut pas imaginer un instant que ce financement relève de la philanthropie, le but avoué est bien de contrôler des relais d’opinion.
Tout cela ne relève pas du complotisme, ces informations sont facilement accessibles.
C’est pourquoi Internet offre encore un espace de liberté indispensable, tant que la censure ne parvient pas à l’étouffer, comme on le voit dans certains pays totalitaires, mais la France est en train de suivre une pente dangereuse avec des lois de plus en restrictives qui entendent contrôler les « fake-news », en réalité donner aux médias du système le contrôle de la « vérité » officielle.
Face à cette menace, la meilleure façon de réagir est de relayer au maximum les informations et les opinions que nous diffusons sur Internet à travers les sites, blogs, réseaux sociaux de nos structures, de nos cadres et de nos élus.
Et à ceux qui parlent de « fake news », nous pouvons répondre qu’en bientôt 10 ans d’existence notre blog à publié 6257 articles, sans jamais être pris en défaut, excepté 4 erreurs factuelles rapidement corrigées, ce qui donne un taux brut de fiabilité de 99,936%. Peu de médias pourraient en dire autant.
Cela nous permet de réagir rapidement et de faire connaître rapidement des faits occultés.
Par exemple notre article du 14 février sur Jacqueline Gourault a été lu plusieurs centaines de fois sur le blog, plus de 2350 fois sur Facebook, relayé sur Twitter. Au total des milliers de personnes ont pu connaître notre réaction, la partager et réagir à leur tour.
Et nous avons eu jusqu’à 69 visiteurs simultanés dans la journée.
Mais ce n’est pas encore suffisant.
A l’approche des élections européennes du 26 mai prochain, M. Macron sait bien que son projet européiste ne rencontre pas l’adhésion des Français. C’est pourquoi sa campagne va reposer sur la peur, le mensonge, la désinformation permanente avec la complicité des médias.
Nous devons être en mesure de riposter instantanément.
Vous êtes déjà nombreux à nous suivre, mais nous vous demandons de partager davantage encore nos publications.
Les liens avec les sites et les pages Facebook du Rassemblement national se strouvent sur la colonne de droite de la page d’accueil.
Nous vous incitons aussi à vous rendre régulièrement sur le site du groupe RN Centre-Val de Loire afin de suivre l’activité de vos élus.
Merci également de nous communiquer des informations locales et si possible des photos.
Et merci encore pour votre fidélité.
Interdiction administrative de manifester : les 3 députés de Loir et Cher votent pour !
Les véritables casseurs sont connus, mais impunis, ils sont trop utiles au pouvoir en place. La loi ne changera rien pour eux.
Les 3 députés de Loir et Cher, Stéphane Baudu (MoDem), Guillaume Peltier (LR) et Pascal Brindeau (UDI) ont voté la loi dite « anti-casseur », qui permet entre autres aux préfets d’interdire de manifester des personnes « suspectées de menacer l’ordre public ». (voir le détail des votes sur le site de l’Assemblée nationale).
Le Conseil de l’ordre du barreau de Paris a réagi dans un communiqué, en rappelant « que la loi pénale visant à réprimer et empêcher les actes violents durant les manifestations existe et paraît suffisante« .
Le Conseil « regrette qu’à l’occasion de violences commises lors du mouvements des « Gilets Jaunes » le gouvernement veuille porter atteinte de manière générale à la liberté fondamentale de manifester et de se rassembler en donnant pouvoir à ses représentants, les préfets, de prononcer des interdictions préventives individuelles. Il constate que la notion de « personnes suspectées de constituer une menace pour l’ordre public », permet l’arbitraire en écartant le magistrat judiciaire, garant des libertés individuelles, seul en mesure d’apprécier les critères dits « objectifs » tels que la commission d’actes violents. »
En lire plus …
Le grand faux débat arrive en Loir et Cher : tout est bien verrouillé.
La véritable consultation du peuple français se fera le 26 mai prochain. Le grand débat national n’est qu’un enfumage.
La 1ère réunion publique du « grand débat » en Loir et Cher s’est tenue samedi à Saint Claude de Diray avec environ 80 participants (*) selon la Nouvelle République, dont le député MoDem Stéphane Baudu, au premier rang, Gilles Clément, président de la communauté de communes du Grand Chambord, Laurent Allanic, maire de et quelques élus.
Comme partout au niveau national, un débat très encadré, avec les questions prévues d’avance sur les 4 thèmes proposés et à chaque fois un exposé des constats et les diagnostics de la situation à partir de la fiche préparée… par le gouvernement et fournie dans le kit de préparation de la réunion.
La « charte du grand débat« , à laquelle doivent s’engager les organisateurs, précise également qu’on ne doit diffuser « aucune information volontairement erronée, tronquée ou hors sujet. » Autrement les constats et diagnostics établis par le gouvernement ne peuvent pas être remis en cause.
Malgré tout quelques sujets qui ne sont pas évoqués dans le questionnaire ont été soulevés, comme les avantages dont bénéficient certains élus.
Au sujet de la transition écologique, un participant fait remarquer : « moi, je n’ai pas l’argent pour acheter une voiture électrique, je roulerai au diesel jusqu’à la fin. «
Sur la question de la démocratie, Stéphane Baudu se dit favorable à « introduire une dose de proportionnelle à l’Assemblée ».
Comme si la démocratie se dosait ! Si l’on veut réconcilier les Français avec la démocratie représentative, il faut d’abord qu’ils soient représentés équitablement, c’est à dire à la proportionnelle intégrale. Mais cette solution n’est pas retenue par le gouvernement, elle n’est donc pas proposée dans le débat.
Les 4 « fiches de propositions » rédigées à la fin de réunion sont logiquement d’un conformisme affligeant. Sur la fiche « transition écologique », on peut lire : « faire payer les pollueurs« , « éviter les gaspillages« , « aller vers une économie plus humaine« , « taxer les robots« .
Pas de quoi inquiéter Macron ni son gouvernement, qui pourront au final tirer les conclusions qu’ils veulent et qui sont déjà prêtes.
Pas de quoi non plus inciter nos concitoyens à participer à ce genre de réunion qui ne débouche sur rien.
Nous l’avons dit depuis le début : le « grand débat national » est une grande mascarade.
(*) mais sur le compte-rendu on voit que le chiffre original a été raturé, et lors des conclusions il n’y a avait que 45 personnes. Un peu plus de 3% des électeurs de Saint Claude du Diray, qui avaient été plus de 85% à s’exprimer au 2ème tour de la présidentielle.
Il est important de rappeler ces chiffres pour relativiser la portée de cet exercice de démocratie encadrée.
Grand Paris : soupçons de fraude sur les marchés.
Le Parquet national financier a ouvert une enquête préliminaire sur les marchés du Grand Paris express pour soupçons de favoritisme. Cette décision intervient près d’un an après les avertissements de la Cour des comptes sur des dérives de coûts et des « procédures de passation de marchés inégalement respectées« . (source Batiactu 24/01/2019)
La Cour des comptes avait dressé en décembre 2017 un rapport critique faisant état de la dérive budgétaire du Grand Paris express, avec des « coûts prévisionnels » qui « n’ont cessé de dériver« , passant de 20 à 38 milliards d’euros, et « d’une rigueur insuffisante dans la gestion des marchés« , de la part de la Société du Grand Paris.
Sur les 770 marchés notifiés du 1er janvier 2010 au 31 décembre 2016, la juridiction de la rue Cambon s’était focalisée sur 65 dossiers qui « témoignent en général d’une rigueur dans le respect des procédures de passation« . Elle note cependant certains marchés pour lesquels « les procédures et les grands principes de mise en concurrence n’avaient pas été respectés » entre offre qui aurait dû être « rejetée pour irrecevabilité » et modification des modalités de calcul des offres financières impactant « l’ordre de sélection des candidats » (*).
Elle alertait également sur 164 marchés conclus « sans publicité ni mise en concurrence » ou encore le rôle simplement « consultatif » de la commission d’examen des offres (CEO) qui ne permet « pas de disposer d’une assurance externe suffisante sur la régularité et les conditions d’attribution des marchés, l’équilibre concurrentiel et la préservation des intérêts économiques de la SGP« .
Des accusations assez lourdes, qui portent sur une période ou Maurice Leroy a été en charge du Grand Paris. Même s’il n’est pas impliqué directement dans ces procédures de marchés, il était censé exercer un contrôle, voire le pilotage du projet.
On ne peut pas dire qu’il a été très efficace dans l’exercice de sa mission.
Quand on sait qu’il va s’occuper désormais du « Grand Moscou », un projet au budget 10 fois plus important, il y a de quoi être dubitatif…
(*) une observation similaire avait été faite par la Chambre Régionale des Comptes du Centre (Avis n° 96-03355 du 16 juillet 1996) au sujet du marché de l’usine d’incinération de Valéco : « La chambre constate en outre que « le Comité du syndicat ne s’est pas prononcé sur la nature et les conditions financières de l’intervention des services techniques de la Ville de BLOIS ». Intervention dont le seul but était de modifier le classement des offres reçues, au profit de la Lyonnaise. Les dispositions en matière d’entretien et de réparation portent « atteinte au principe d’égalité d’accès des concurrents à la gestion déléguée décidée par le syndicat »,
Traité d’Aix la Chapelle : qui sont les menteurs ?
M&M’s (Macron et Merkel) accueillis sous les huées à Aix la Chapelle. Deux dirigeants rejetés par leurs peuples.
Depuis quelques jours le pouvoir s’affole et multiplie les attaques, relayées par des médias complaisants, pour dénoncer les opposants au traité d’Aix la Chapelle, qualifiés de menteurs.
Pourquoi un tel acharnement ? La réponse se trouve dans le texte, et ceux qui essaient de le défendre ne font que s’enfoncer à chaque fois un peu plus.
Prenons quelques points :
La création d’une Assemblée parlementaire franco-allemande. Composée de 50 députés français et 50 députés allemands, cette assemblée commune sera notamment chargé de contrôler la mise en œuvre du Traité. Autrement dit de contrôler l’Assemblée nationale, censée être souveraine.
Le Traité fixe des objectifs communs en matière de défense et de sécurité, de développement durable, d’apprentissage des langues et de culture. Mais comment peut-il y avoir défense commune sans politique étrangère commune ? Il y a bien en projet un abandon de souveraineté. Pour le reste il s’agit de forcer à une convergence dans différents domaines où chaque nation doit demeurer libre de ses choix.
Le siège de la France au Conseil de sécurité de l’ONU. Le traité précise de nouvelles formes de coopération au niveau du Conseil de sécurité. Ainsi, l’article 5 explique que les deux pays « établiront des échanges au sein de leurs représentations permanentes auprès des Nations unies à New York, en particulier entre leurs équipes du Conseil de sécurité« . L’article 8 ajoute que les Etats voisins « s’engagent à poursuivre leurs efforts pour mener à terme des négociations intergouvernementales concernant la réforme du Conseil de sécurité des Nations unies« , et que « l’admission de la République fédérale d’Allemagne en tant que membre permanent du Conseil de sécurité des Nations unies est une priorité de la diplomatie franco-allemande« .
Mais en réalité il est clair qu’il n’y aura de siège permanent supplémentaire au Conseil de sécurité, c’est bien pourquoi l’Allemagne, par la voix de son vice-chancelier Olaf Scholz, a exprimé son souhait de voir le siège permanent de la France se transformer en siège européen.
La coopération transfrontalière avec la mise en œuvre « d’innovations juridiques spécifiques » vise à « éliminer les obstacles dans les territoires frontaliers et à faciliter la vie quotidienne de leurs habitants« . En réalité, appliquer des dérogations permettant d’appliquer dans le droit du travail la règle du moins-disant, c’est à dire la loi allemande, et laisser transiter librement les « migrants ».
Simple question : les frontaliers qui travaillent en Belgique, au Luxembourg ou en Suisse rencontrent-ils des difficultés particulières ? Evidemment non.
Tout cela se trouve dans le traité et peut être facilement vérifié.
Des voix s’élèvent déjà pour une saisine du Conseil constitutionnel, demandée par Marine Le Pen.
Encore faudrait-il qu’il y ait suffisamment de parlementaires pour l’exiger. Nous verrons la position des LR, pour l’instant plutôt discrets sur le sujet.
En attendant il est important de réinformer nos concitoyens face au matraquage des médias.
Mise à jour du 23/01 : l’ancien député européen Patrick Louis (MPF) confirme :
«Et ce qui est très grave pour moi, c’est l’orientation pour la diplomatie française, puisque si je prends l’article 8 paragraphe 2 du traité, il dit, je cite: « L’admission de la République fédérale d’Allemagne en tant que membre permanent du Conseil de sécurité des Nations unies est une priorité pour la diplomatie franco-allemande« . C’est-à-dire que le traité a pour but d’inviter l’Allemagne à siéger au Conseil de sécurité de l’Onu, ce qui est un vrai suicide pour la France, parce que vous savez qu’au Conseil de sécurité de l’Onu il y a cinq pays, les États-Unis, la Russie, la Chine, la France et le Royaume-Uni, donc il y a deux pays européens, ainsi, vouloir à tout prix qu’il y ait un troisième pays l’Allemagne, alors que l’Inde, le Brésil, l’Afrique ne sont pas présentés, c’est dire qu’il faut que la France abandonne son siège au profit non pas de l’Allemagne mais de l’Union européenne», explique Patrick Louis.
Conseil national : unité et confiance autour de Marine Le Pen.
Le Conseil national élargi de notre mouvement (photo ci-contre) s’est réuni ce dimanche 13 janvier. Il rassemble les membres du Conseil national, les Délégués départementaux, les parlementaires et les conseillers régionaux.
Au total plus de 300 personnes présentes.
Bien entendu, il s’agit d’une réunion de travail qui se tient à huis clos, mais sans rentrer dans le contenu, qu’il s’agisse des analyses politiques ou des aspects techniques de la campagne qui ont été évoqués, disons juste un mot sur l’ambiance.
De nombreuses points ont été abordés, et les questions de l’assistance n’ont pas manqué.
Mais alors que les médias cherchent toujours un cadre – anonyme ! – pour critiquer telle ou telle décision, nos deux élus présents (Michel Chassier et Mathilde Paris) ont pu au contraire constater la cohésion du mouvement, la confiance exprimée envers notre présidente Marine Le Pen, qui a eu droit à la fin du Conseil à une véritable standing-ovation.
Enfin le choix de confier la tête de liste à Jordan Bardella a été très largement approuvé.
C’est donc un mouvement parfaitement uni derrière Marine qui, après un an et demi de travail acharné, de réflexion,de remise en cause depuis la dernière séquence électorale, est désormais en ordre de marche.
Les Français nous attendent. #OnArrive !
Européennes 2019 : rendre le pouvoir au peuple !
Alors que le pouvoir s’enlise dans la crise, le Rassemblement national tenait aujourd’hui sa convention de lancement pour les européennes du 26 mai 2019.
En effet, ce sera pour les Français – à moins d’une dissolution d’ici là – la première occasion de s’exprimer deux ans après l’élection de Macron, au moment où dans toute l’Europe les peuples se réveillent pour secouer le joug de cette Union européenne qui est tout sauf démocratique.
Ce scrutin européen sera donc plus important que jamais à plus d’un titre.
D’abord c’est la première fois que la majorité qui dirige l’UE, sur la base d’un accord entre socialistes et libéraux, peut être remise en cause et que nous représenterons avec nos alliés une force politique suffisamment puissante pour faire aboutir une réforme des institutions européenne, mettant fin à la toute-puissance de la Commission pour transformer l’UE en Alliance des Nations, respectant la souveraineté et la liberté de chacun des Etats membres.
Ensuite, ce sera l’occasion d’achever le processus de la recomposition politique française, avec l’éclatement des LR après celui du PS.
Le ralliement de personnalités comme Thierry Mariani et Jean-Paul Garraud, alors que Juppé rejoint Macron, ne fera qu’accélérer le chute de Wauquiez, ce qui annonce un large rassemblement de ceux qui défendent l’Etat-Nation face aux mondialistes qui ne sont en réalité que le relais des groupes trans-nationaux et du système financier qui les soutient, au détriment des peuples.
Enfin c’est une des réponses à la crise des « Gilets jaunes ». Beaucoup l’ont déjà compris : les revendications qui s’expriment spontanément sur les ronds-points, dans les manifestations ou sur les réseaux sociaux correspondent très largement aux propositions que nous défendons depuis des années. C’est pourquoi Marine progresse dans l’opinion et dans les intentions de vote.
C’est donc une campagne importante qui débute aujourd’hui, au cours de laquelle nous devons mettre toute nos forces dans la bataille.
Les premières affiches arrivent cette semaine. La campagne commence dans les médias et sur le Net.
Marine Le Pen tiendra 25 meetings à travers toutes le France, dont un en Région Centre-Val de Loire.
Toutes les précisions ont été apportées lors du Conseil national de ce matin, auquel participait Michel Chassier en tant que Délégué Départemental et Mathilde Paris comme membre du Bureau national.
Concluant comme Jordan Bardelle, notre tête de liste : « Le soir du dimanche 26 mai, je veux que Castaner ait les larmes aux yeux en voyant les résultats arriver, que Griveaux cherche ses mots sur les plateaux, que Macron, Juncker et Merkel comprennent que c’est fini et que les peuples sont de retour !«
2018 dans le rétroviseur (1/3)
Cette année sans élection a néanmoins été très riche en événements au niveau départemental comme au niveau national : tournée des ambassadeurs, galette des Rois, Congrès, Fête de Jeanne d’Arc à Blois, fête champêtre en juin, Centenaire de la Victoire en novembre etc… Une année mise à profit pour préparer les échéances à venir, mais aussi une année militante avec présence sur les marchés, tractages, boîtages, affichage, présence dans les actions des Gilets jaunes etc… Enfin nos élus ont été également actifs dans les assemblées et sur le terrain.
Nous vous proposons une petite rétrospective de la vie de notre Fédération.
14 Janvier 2018 : galette des Rois avec Julien Sanchez, Maire de Beaucaire, Président du groupe FN en Occitanie et porte parole de notre Présidente.
Déjeuner à Onzain avec les membres du bureau départemental, conférence de presse avant la traditionnelle galette des Rois avec plus d’une centaine d’adhérents. L’occasion de revenir sur la séquence électorale de 2017 et, déjà, de se projeter dans l’avenir, en prédisant que Macron ne pourrait pas tromper tout le monde tout le temps, l’imposture ne peut durer qu’un temps. Retrouvez l’article complet sur notre blog.
27 janvier 2018 : tournée des ambassadeurs de Marine Le Pen : Aurélien Legrand, Conseiller régional d’Île-de-France, Vice-Président du groupe FN Ile de France, Secrétaire Départemental du FN Paris était à Blois le 27 janvier pour rencontrer et entendre les adhérents du FN41 avant le Congrès de Lille.
Au cours de 3 heures d’échanges de nombreuses questions ont été abordées, tant sur l’organisation que sur le programme et la stratégie, sans oublier le changement de nom. Relire l’article complet.
Militantisme. Le 25 février les militants se sont rendus comme sur les marchés Louis XII, République et dans les rues piétonnes du centre-ville aux côtés du Secrétaire départemental, Michel Chassier. En complément l’équipe a également « papillonné » tous les parkings bord de Loire, Place Saint Louis, Place de la République, rues du centre-ville.
Autour de la place Louis XII dans un quartier qui avait voté à 83,90 % pour Macron, les « macronistes » ne se sont guère manifestés. Beaucoup, honteux et confus comme le corbeau de la fable, regrettent peut-être déjà.
Bon accueil des personnes âgées sans doute un effet de l’augmentation de la CSG et de la baisse des retraites. Relire l’article complet.
Mars 2018 : XVIème Congrès. Nos adversaires relayés par des médias complaisants décrivaient un Front National déboussolé, isolé, plus que jamais éloigné du pouvoir. Bref ils annonçaient – une fois de plus – la mort du Front National, et beaucoup comme Wauquiez en rêvaient afin de récupérer ses électeurs.
Ces deux jours de Congrès ont démontré le contraire : un mouvement uni derrière sa présidente, plus que jamais déterminée à rendre le Front National plus performant dans le but d’accéder aux affaires afin de redresser la France, nous pourrions écrire de la sauver, tant il est évident que le projet mondialiste vise à la destruction des nations.
A noter le nombre de participants du Loir et Cher : 17 adhérents présents malgré l’éloignement, un record.
Relire l’article complet.
Suite de la rétrospective ces prochains jours.
Réunion du bureau départemental du RN41.
Le bureau départemental du Rassemblement national de Loir et Cher s’est réuni pour la 1ère fois cette année le lundi 7 janvier.
Après un hommage à Solange Baubeau qui nous a quitté, Michel Chassier, Délégué départemental a fait le compte-rendu de la réunion des DD à Nanterre le 15 décembre dernier : fonctionnement et organisation des fédérations, relations avec le siège, nouveaux outils de gestion décentralisés, préparation des échéances électorales.
Ensuite un premier point a été fait sur la préparation des municipales, une première demande d’investiture de tête de liste va être envoyée avant le 15 janvier, date de la 1ère Commission Nationale d’Investiture.
Une réunion va être organisée à Blois le 26 janvier pour mettre en place une équipe, réfléchir sur les thématiques locales, lancer les premières actions.
Puis Mathilde Paris a fait un compte-rendu du Bureau national qui se tenait le jour même, avec le communiqué officiel de Marine Le Pen demandant la dissolution de l’ Assemblée Nationale, et la désignation de Jordan Bardella comme tête de liste pour les élections européennes.
Le lancement de la campagne a lieu ce dimanche 13 janvier à Paris au Palais de la Mutualité, un co-voiturage est organisé. 24 meetings régionaux doivent suivre, dont un en Région Centre-Val de Loire.
Au niveau départemental la traditionnelle galette des Rois au ra lieu le dimanche 3 février à Blois, avec Sébastien Chenu.
Au cours des différents échanges il a été question également des adhésions, des actions locales, notamment du mouvement des gilets jaunes auquel plusieurs de nos adhérents participent depuis le départ en respectant les consignes nationales : pas de violence, pas d’affichage politique.
La réunion s’est terminée autour du verre de l’amitié.
Maurice Leroy : bons baisers de Russie.
(image d’archives)
Après la soupe aux choux le bortsch ?
Capable de passer du parti communiste au RPR en 1995, avant de se faire élire dans une petite bourgade de Loir et Cher puis de rallier l’UDF en 2003 pour bénéficier du soutien de Jacqueline Gourault en vue de se faire élire député de la 3ème circonscription en 1997, de soutenir François Bayrou en 2007 au 1er tour, avant de rallier Nicolas Sarközy au 2ème tour et de rejoindre le Nouveau Centre, puis l’UDI en 2012, il soutient Nicolas Sarközy pour le premier tour de la primaire présidentielle des Républicains de 2017 et François Fillon pour le second tour, candidat qu’il soutient, sans conviction au 1er tour avant de rallier Macron au 2ème tour…
Vous arrivez encore à suivre ?
Certains n’ont parfois qualifié de girouette, mais une chose est sûre, il sait parfaitement où il va, guidé par la boussole de son intérêt. En ce sens, on peut dire qu’il a bien réussi sa carrière.
Le dernier rebondissement (avant le prochain ?) est sa démission de l’Assemblée nationale et son départ vers Moscou.
Avec à la clé une belle manoeuvre politicienne pour éviter une partielle. Du grand art !
« Je vais m’occuper de l’organisation du forum urbain de Moscou et des grands projets internationaux de MIP« , précise Maurice Leroy, qui sera payé 10 000 euros par mois et bénéficiera d’un logement de fonction tout en restant provisoirement vice-président de son département, en charge du… tourisme.
« On n’emporte pas la Patrie à la semelle de ses souliers » selon le mot de Danton que ses amis pressaient de fuir.
Apparemment cela ne gêne pas l’ex-député de quitter une France en pleine crise, situation dont il est conscient puisqu’il se dit « inquiet pour la France ». Mais il en est responsable, puisqu’il a participé à plusieurs gouvernements et qu’il a toujours soutenu les politiques qui nous ont conduit dans cette impasse, et qu’il a appelé à voter Macron.
Chacun jugera, et l’avenir nous réserve sans doute quelques surprises.
Mais ses choix personnels n’autorisent pas Maurice Leroy à dire n’importe quoi.
A l’occasion d’une cérémonie d’au-revoir à Vendôme (la Nouvelle République du 5/01/2018), l’ex-député s’est en effet permis de donner des leçons et des recommandations aux électeurs français !
Ainsi au sujet des européennes, il déclare que « sans l’Europe il n’y aurait plus de paysannerie en France« , expliquant que c’est la PAC (Politique Agricole Commune) qui a sauvé notre agriculture. Enorme mensonge sans cesse répété, car en réalité ce n’est pas l’Union européenne qui finance la PAC, mais c’est bien notre argent. Chaque année, il faut le redire, la France verse toujours davantage au budget commun, pour recevoir en retour des subventions soumises au bon vouloir de Bruxelles, et qui vont en diminuant.
Au final la France perd entre 8 et 9 milliards d’euros chaque année.
Il appelle aussi à voter aux européennes, « même blanc« pour éviter que « les partis d’extrême droite » n’arrivent en tête. Mais de quoi veut-il parler ? Encore une fois, il utilise ce terme pour déconsidérer des adversaires politiques qui ont à ses yeux le tort d’écouter le peuple, de le comprendre et de le représenter sans le trahir.
Comme quoi derrière le bon Docteur Jekyll Momo se cache le haineux Mister Hyde Leroy.
Nous verrons d’ici les européennes s’il envoie ses « bons baisers de Russie ».
Démission de Maurice Leroy ou comment éviter une partielle.
La nouvelle courait depuis plusieurs jours : Maurice Leroy, député de la 3ème circonscription de Loir et Cher, troisième vice-président de l’Assemblée nationale, préparait sa démission, pour des raisons qui restent encore floues, mais qui tiennent à des raisons personnelles.
Problème : comment éviter une élection législative partielle, obligatoire dans un tel cas de figure ? (article L.O. 178 du Code électoral)
Et nul ne pouvait prévoir l’issue d’un scrutin dans le contexte actuel.
D’où le stratagème imaginé par l’intéressé.
Dans un premier temps, Philippe Sartori lui cède sa place de vice-président chargé du tourisme au conseil départemental.
Cette fonction dans l’exécutif le met en situation de cumul de mandat et l’oblige à démissionner de l’Assemblée nationale (articles L.O. 137, L.O. 137-1, L.O. 141 du Code électoral).
Dans un second temps, Maurice Leroy cèdera sa place à Philippe Sartori, avant de partir selon nos informations pour Moscou et le tour est joué !
Pascal Brindeau se retrouvera donc député et deviendra simple conseiller municipal de Vendôme puisqu’il devra céder son fauteuil de maire et la présidence de l’intercommunalité des Territoires vendômois.
La première partie du scénario est donc confirmée cet après-midi sur le site de la Nouvelle République.
Nous verrons si la suite se déroule comme prévu… à moins qu’il n’y ait un recours considérant qu’il s’agit d’une manoeuvre pour contourner la loi ?
Européennes 2019 : le Rassemblement national en 1ère position, Macron s’affole !
Nous avions ressenti la dynamique depuis la rentrée.
Déjà un sondage nous avait donné au coude à coude avec la liste Macron, désormais nous la distançons : 21 % contre 19.
Et ce n’est pas fini. En 2014, les sondages avaient sous-estimé notre score, tout laisse à penser que ce sera encore le cas.
Plusieurs raisons à cela :
– comme nous ne cessons de le répéter, les faits nous donnent raison jour après jour,
– partout en Europe nos alliés progressent, certains participent déjà à des coalitions au pouvoir,
– Macron tombe chaque jour plus bas, et semble incapable de relever, les Français ont compris – un peu tard – à quel point il les méprise et à quel point il est incapable de gouverner.
– Les Républicains, en partie compromis avec Macron qu’ils ont fait élire, profondément divisés sur l’Europe, se retrouvent à 13%, quand à l’opposant en carton-pâte Mélenchon, il s’effondre littéralement à 11% d’intentions de vote.
Ce résultat est aussi le fruit d’un travail acharné mené depuis la présidentielle à tous les niveaux de notre mouvement, même si les médias refusent de le voir, de l’action permanente de nos militants au sein de nos fédérations, du travail de nos élus.
Il n’y a pas de semaine sans réunion ou sans action militante dans toute la Région, au grand dam de ceux qui annonçaient notre mort prochaine et qui s’en réjouissaient.
Ce retour en force est encore plus marqué chez les jeunes (18-24 ans), où un autre sondage IFOP nous place largement en tête avec 28% des intentions de vote (+ 13%).
Devant cette perspective d’une claque aux européennes, Macron perd son sang froid et tente de jouer sur les peurs en essayant de nous ramener un siècle en arrière, il se comporte dès maintenant comme un chef de parti, à l’opposé du rôle d’un président sous la Vème République.
Ce faisant, il va transformer les européennes de 2019 en référendum anti-Macron, et les Français vont bien comprendre que le vote anti-Macron le plus efficace, c’est la liste d’union qui va se constituer autour du Rassemblement national.
L’heure est donc au rassemblement pour remporter cette grande victoire dans une élection qui peut faire basculer l’Europe, mettre un terme à la dictature de la Commission et rendre au peuples leur liberté de décider ce qui est bons pour eux dans une Europe des nations libres et souveraines.
Il est temps que tous les patriotes, tous les amoureux de la France nous rejoignent ou s’associent au combat que nous menons inlassablement, avec détermination, souvent dans l’adversité mais toujours avec confiance pour notre pays et pour nos enfants.
C’est maintenant qu’il faut choisir la France dans laquelle ils vivront demain.
Saisonniers de l’agriculture : peut-on faire confiance aux pompiers-pyromanes ?
Les représentants départementaux de la FDSEA et des Jeunes Agriculteurs ont rencontré les parlementaires de Loir et Cher pour défendre les exonérations de charge pour le travail saisonnier (la Nouvelle République du 2/10/2018).
En effet, le projet de loi de finances (budget de l’Etat) pour 2019 prévoit la suppression de cette disposition, destinée à compenser partiellement le coût de main-d’œuvre « beaucoup plus élevé que celui de nos concurrents européens ».
Mais le problème c’est que tous ces parlementaires ont fait voter Macron en 2017.
Une fois encore, ils ne peuvent que déplorer les conséquences de leur choix.
Nous ne manquerons pas d’observer leur vote lors de l’examen de la loi de finances.
Combien oserons voter contre, combien vont prudemment s’abstenir… à moins qu’une envie pressante ne les oblige à quitter l’hémicycle au moment du scrutin… On a déjà vu ça !
Mais pendant ce temps, l’article le rappelle, le gouvernement trouve des solutions pour donner du travail aux « réfugiés ».
On voit bien quelles sont les priorités…
Encore une fois, la meilleure façon de sanctionner Macron et son gouvernement, c’est de placer la liste soutenue par Marine Le Pen et le Rassemblement national en tête aux européennes de 2019 !
Accueil des clandestins en Loir et Cher : le silence des autorités.
Suite aux échos qui nous sont parvenus (d’une source interne à la Préfecture) au sujet de l’arrivée récente de 200 « migrants » supplémentaires en Loir et Cher, nous avions invité Nicolas Perruchot à communiquer les chiffres par un courrier daté du 10 septembre.
Depuis, aucune nouvelle.
Mais les informations en provenance de tous les départements de France nous confirme qu’il s’agit d’un phénomène de grande ampleur.
L’afflux des faux réfugiés, s’il s’est considérablement réduit en Italie grâce à Mattéo Salvini (ce qui au passage, les humanistes patentés oublient de le dire, à fait diminué d’autant le nombre de morts en Méditerranée) il s’est accéléré depuis l’Espagne.
Et pour vider les campements trop visibles dans les grandes villes, le gouvernement n’a rien trouvé de mieux que de les disperser dans les campagnes et les petites villes.
En Loir et Cher, c’est Blois, Romorantin, Vendôme, Salbris, Mer et parfois des communes voisines.
Et les 370 places en centre d’accueil (CADA) ne suffisent pas, il a fallu réquisitionner des hôtels, des logements, sans parler d’hébergement temporaire à l’AFPA.
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Fréjus : Marine Le Pen plus offensive que jamais devant une foule enthousiaste.
Nous vous l’avions annoncé : les faits nous donnent raison encore plus vite que nous le pensions.
Macron aura déçu, y compris ses propres partisans, aussi rapidement qu’il les avaient séduits, avec l’aide des médias, dans une opération qui révèle la plus grande imposture de la Vème République.
Partout en Europe les peuples se réveillent face à une submersion migratoire dont la brusque accélération aura provoqué sans doute le sursaut que nous attendions depuis si longtemps, nous qui avions été les premiers à donner l’alerte.
La vague est si forte que les attaques médiatiques, financières, judiciaires que nous subissons sans discontinuer n’ont pas réussi à nous étouffer.
Oui notre situation financière est toujours difficile en raison du hold-up décidé au mépris du droit par des juges partisans, c’est pourquoi nous renouvelons notre appel aux dons.
Mais comme le rappelait Marine Le Pen ce week-end devant les cadres et les élus du mouvement, « nous savons être pauvres », et nous saurons nous battre, avec nos modestes moyens, que compense heureusement le dévouement de nos militants.
Les derniers sondages ne peuvent que rassurer ceux qui avaient pu douter, et le succès de cette rentrée politique à Fréjus le confirme : le Rassemblement national est désormais dans une dynamique qui devrait le conduire à se retrouver la 1ère force politique en France après les européennes.
Retrouvez l’intégralité du discours de Fréjus en vidéo :
Nous reviendrons prochainement sur les points essentiels de ce discours.
Rassemblement national : le retour au 1er plan.
Les attaques médiatiques, financières, judiciaires que nous subissons sans discontinuer ont échoué.
Le dernier sondage pour les européennes donnent notre mouvement en 2ème position, à 1/2 point de la liste LREM, qui rassemble en réalité le MoDem, la majeure partie de l’UDI et une part non négligeable des LR.
Il y a donc de fortes chances pour le RN soit à nouveau largement en tête le 26 mai prochain.
C’est le moment de nous rejoindre, nous avons besoin plus que jamais de votre soutien !
Adhérez en ligne dès maintenant.
Jacqueline Gourault : les heures supplémentaires des policiers et des gendarmes ne seront pas payées !
Depuis plusieurs annés, policiers et gendarmes sont mis à très rude épreuve pour contrer la menace islamo-terroriste.
François Hollande avait même parlé de guerre.
Mais l’intendance ne suit pas : l’Etat leur doit des millions d’heures supplémentaires à ce stade ni payées ni récupérées.
Les membres des forces de l’ordre seront-ils indemnisés un jour ?
Non, a répondu en substance ce mardi matin Jacqueline Gourault, la ministre auprès du ministre de l’Intérieur.
La réponse est claire, elle indique bien le mépris affiché par le pouvoir à l’égard des forces de l’ordre, taillables et corvéables à merci, et bien souvent empêchées de se défendre.
L’info, parue le 3 juillet dans France-soir, n’a pas fait grand bruit dans les médias, a tel point qu’elle nous avait échappée. Merci à Olivier Besnard, notre élu de Mer, de l’avoir signalé.
Un tel degré de cynisme est proprement scandaleux.
Il faut espérer que les intéressés réagissent, encore faudrait-il que leurs syndicats les défendent.
En attendant, à vous de faire tourner en boucle cette information.
Européennes : comment tout peut basculer.
Matteo Salvini en Italie, Marine Le Pen en France : ils défendent leur peuple et leur pays.
Il y a un an beaucoup de nos amis étaient sous le coup de la déception, après avoir tant espéré.
Sans doute n’avaient-ils pas mesuré la capacité de nos adversaires, prêts à tout pour défendre le système et leurs prébendes, avec la complicité des grands médias entièrement sous contrôle.
Certains ont pu douter, se décourager, renoncer, voir critiquer. Y compris des adhérents, qui se disaient « à quoi bon ? » et tout en restant fidèles à leurs idées ne voyaient pas la nécessité de renouveler leur adhésion.
Marine Le Pen et les dirigeants du Front National ont bien compris la nécessité de lancer aussitôt un travail de réflexion sur l’organisation du mouvement et la stratégie.
Ce fut un travail considérable, auquel tous les adhérents ont été associés : réunions, questionnaire, votes à l’Assemblée générale ordinaire puis extraordinaire.
Aujourd’hui le Rassemblement national est en ordre de marche, en dépit de la nouvelle attaque dont il a été victime cet été pour tenter de l’asphyxier financièrement.
Et surtout les Français sont revenus de l’illusion Macron, tombé plus bas que Hollande dans les sondages.
En même temps les faits nous donnent raison, partout en Europe, sur des questions que nous avons été pendant longtemps les seuls à oser aborder, ce qui nous donnent aux yeux de nos compatriotes une légitimité incontestable.
Partout les tenants de l’euro-fédéralisme redoutent un ras de marée du vote qualifié de « populiste » alors qu’il est simplement populaire !
C’est ce qui explique les tergiversations de Macron au sujet du prélèvement de l’impôt à la source, car en vérité il craint l’impact électoral de cette mesure.
En Italie Mattéo Salvini est l’objet d’une véritable ferveur populaire, comme le montre cette vidéo, et son mouvement, qui avait fait un peu plus de 17% aux législatives de mars 2018, est déjà crédité de 32%.
La même évolution est en train de se produire en France, où le Rassemblement national pourrait passer de 20% à 30% des intentions de vote dans les prochains mois.
L’enjeu c’est de vraiment changer de majorité au Parlement européen afin de remettre à plat tout le fonctionnement de l’UE.
Cette fois c’est possible, même s’il faut s’attendre à tout de la part de nos adversaires, qui vont tenter une fois de plus de jouer sur la peur, quitte à provoquer ou encourager des violences pour nous accuser.
Dans ce contexte nous invitons tous nos amis qui ont pu douter un instant à reprendre le combat.
Rejoignez-nous, adhérez, militez, soutenez financièrement notre mouvement selon vos moyens.
Vous pouvez adhérer directement en ligne sur le site du Rassemblement national et contacter notre fédération.
Notre permanence est ouverte le vendredi de 9 heures à 20 heures. Nous vous y attendons.
Rentrée politique en Loir et Cher : les faits nous donnent raison.
Une rentrée politique qui donne raison au Rassemblement National.
Invités à parler de la rentrée politique an Loir et Cher, les représentants des principales formation politiques ont tous évité les sujets locaux pour évoquer quelques thèmes nationaux (la Nouvelle République du 4/09/2018).
Marc Fesneau (MoDem) propose de « réfléchir aux services publics« . Il serait temps ! Le problème c’est qu’il soutient Macron que ses commanditaires ont placé à l’Elysée pour les réduire encore davantage, comme Bruxelles l’exige.
La référente « en Marche » parle de « détermination« . Pour continuer à déconstruire la France ? C’est en même temps de l’aveuglement et de l’acharnement.
Maurice Leroy, ancien ministre de la Ville et chargé un temps du « Grand Paris » se propose « défendre la ruralité« , ce que n’ont jamais fait les gouvernements qu’il a soutenus. S’agirait-il plutôt d’une tentative pour enrayer le vote Rassemblement national dans sa circonscription. Mais les électeurs ne sont pas dupes et même s’ils aiment bien « Momo », pas sûr qu’ils le suivent aux européeennes.
Guillaume Peltier veut « défendre le pouvoir d’achat« , mais ses amis politiques n’ont pas été plus efficaces dans ce domaine.
Restent la représentante de le France soumise qui parle de sécurité sociale et Charles Fournier, Vert de plus en plus solitaire qui veut « agir localement pour le climat« . Avec des panneaux solaires chinois et des éoliennes allemandes, dont faute d’un rendement suffisant ne fonctionnent que grâce aux subventions financées par le consommateur sur sa facture d’électricité.
Le représentant du PS moribond, Frédéric Orain critique le projet de réforme constitutionnelle.
Il n’a pas tort, mais comme tous ceux que nous venons de citer, ils ont fait élire Macron.
Le délégué départemental du Rassemblement national, Michel Chassier est quant à lui relégué en bas de page (et ses déclarations comme celles de Frédéric Orain ne sont relayées sur le site internet du journal).
Mise à jour : le nécessaire a été fait en début d’après-midi, l’ensemble de l’article est en ligne.
Répondant à la question posée au niveau local, il évoque les prochaines municipales qui sont déjà dans toutes les têtes, bien que personne ne les évoque, préférant les manigances discrètes entre représentants locaux de l’ancien monde.
L’élu RN rappelle la nécessité de constituer des listes d’union. Sera-t-il entendu ? L’avenir le dira, mais en cas de refus les unset les autres ne pourront ensuite venir se plaindre.
En attendant, les européennes seront une bonne occasion pour les électeurs de dire ce qu’ils pensent.
Sur le marché de Montrichard : la fin de l’illusion Macron.
En mai 2017, conditionnés par une campagne médiatique sans précédent, les Français n’ont pas osé le vrai changement.
Car ce qui leur était présenté comme un renouvellement de la politique balayant les vieux partis n’était qu’une manoeuvre, préparée de longue date, au moins après les régionales de 2015, pour contenir le mécontentement et détourner les électeurs de la seule alternative crédible : Marine Le Pen.
Aujourd’hui le masque est tombé et les Français découvrent jour après jour le vrai visage de ce petit personnage arrogant, méprisant, menteur mais au final impuissant qui se prend pour un président de la République.
Sur les marchés, comme ce matin à Montrichard, les langues se délient et l’on peut surprendre des conversations édifiantes qui en disent long sur le rejet grandissant que suscite l’imposteur.
Après la déception ressentie en 2017 par nos électeurs, l’espoir renaît, probablement bien au-delà.
Partout en Europe les faits nous donnent raison et les solutions que nous proposons depuis longtemps commencent à être appliquées, avec succès par plusieurs pays.
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Mathilde PARIS, tête de liste « Un autre avenir pour Blois » était jeudi soir l’invitée de la rédaction de @TVTOURS. Revoir la vidéo....
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