Déjà une mauvaise note pour l’élève Macron.
La programmation prévue dans la Loi de Finances 2018 et jusqu’en 2022 avait fait réagir les élus FN dans les assemblées.
A l’occasion des orientations budgétaires Michel Chassier avait souligné à Blois comme à Orléans au Conseil régional, que la trajecroire de réduction des déficits publics était moins que certaine, de surcroît le gouvernement faisait porter le plus gros de l’effort sur les collectivités (communes, régions, départements) et les organismes de sécurité sociale, promettant pour sa part une amélioration… à la fin de la mandature !
Il faut le souligner à nouveau : le passage sous la barre des 3% de déficit public en 2017 est obtenu grâce à l’effort des collectivités locales et de la sécurité sociale, on sait dans quelles conditions, alors que l’Etat voit son déficit passer de 3,3 à 3,2%, donc en dehors des critères de Maastricht.
Et le solde de l’Etat ne va pas s’améliorer en 2018, puisqu’il est toujours affiché à 3,2%, avant de se dégrader à nouveau en 2019 avec une prévision de 4% (source : Assemblée nationale).
Qui plus est la Commission estime pour sa part que le déficit structurel va progresser de 0,4 point l’année prochaine.
En raison notamment d’un commerce extérieur plombé par l’euro et dont le déficit augmente.
Sans parler du montant de la dette, près de 100% du PIB et donc très loin des 60% exigés par l’UE, et qui va continuer à progresser.
Cette affaire tombe mal pour Paris qui demeure encore avec l’Espagne sous le coup d’une « procédure de déficit excessif ». Une situation qui, en théorie, peut aboutir à des sanctions et des amendes.
C’est la première que M. Macron se fait taper sur les doigts. Un façon de lui rappeler à qui il doit son élection et d’exiger qu’il suive la feuille de route qui lui est dictée par l’UE, le FMI, la BCE… et par nos créanciers !
Les Français n’ont pas eu le courage de faire le bon choix en mai dernier. Maintenant ils vont payer.
Budget 2018 : le mauvais élève Macron se fait taper sur les doigts.
Fatwa bancaire contre la FN : la riposte.
Face à cette attaque d’une nouveau genre, chacun doit réagir, diffuser un maximum l’information et pour les personnes clientes de la Société Générale agir selon leur conscience.
Marine le Pen a déposé plainte pour discrimination contre la « banque de la honte ».
Société Générale : la fermeture des comptes du FN est bien une décision politique.
Le hashtag #JeQuitteLaSG fait le buzz sur Twitter.
La Société Générale a beau démentir, sa décision non motivée de fermer les comptes du Front National est bel et bien politique.
En effet, les comptes du FN sont, comme ceux de tous les partis, étroitement surveillés par la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques, qui publie son rapport tous les ans.
Comme le rappelait ce matin Marine le Pen, le FN dispose de ressources stables, les résultats aux dernières élections législatives lui garantissant un financement dont le montant est connu pour les 5 prochaines années, il dispose également des adhésions et du reversement des élus.
Après les élections de 2017, où il a fallu pré-financer les campagnes, le FN est dans l’attente des remboursements par l’Etat, prévus début 2018, mais c’est la même chose pour tous les candidats et toutes les formations politiques qui ont dû leur consentir des prêts ou des avances.
Le motif est donc bien ailleurs. Sinon comment expliquer que les banques n’aient pas clôturé les comptes de l’ex UMP, dont Les Républicains ont hérité de la dette abyssale et qui a vu ses ressources divisées par 3, et que dire du PS, quasiment en faillite ?
Non, il est évident que la décision est politique.
Encore une fois, ceux qui espéraient la mort du FN ont raté leur coup. Les observateurs de bonne foi sont bien obligés de reconnaître que la dynamique autour de Marine Le Pen est repartie, en dépit des tous les efforts des médias du système.
Il fallait donc passer à l’étape suivante, tenter l’asphyxie financière.
Ce genre de décision ne doit rien au hasard, ni à la situation financières du FN, qui a été bien pire en 2007.
Mais il faut savoir pour cela qui est le Directeur général de la Société Générale, Frédéric Oudéa.
Cet inspecteur des Finances a travaillé comme conseiller au ministère du Budget d’un certain Nicolas Sarközy de 1993 à 1995, Il est également proche de François Pérol, alors Secrétaire général adjoint de la présidence, et de Stéphane Richard, directeur de cabinet de Christine Lagarde.
Des liens par conséquents très étroits avec le monde politique.
La défaite de Balladur, soutenu par Sarkozy à la présidentielle de 1995 bloque alors sa carrière politique. A-t-il été au courant des soupçons de financements occultes de la campagne ?
En 2003 il est nommé directeur financier de la générale, où il va « découvrir » l’affaire Kerviel, avant de succéder à Daniel Bouton comme PDG suite au scandale.
En 2016, la Société générale est la principale banque française concernée par le scandale des Panama Papers. Un parlementaire demande alors la démission de Frédéric Oudéa, soupçonné d’avoir livré un faux témoignage au Sénat au sujet de sociétés offshore créées par la banque, et demande des suites judiciaires. Curieusement le bureau du Sénat renonce à le poursuivre en justice pour faux témoignage au sujet de ces déclarations faites sous serment lors d’une audition au Sénat.
Les relations politiques sont parfois bien utiles, surtout si l’on détient quelques secrets.
Cela n’empêche pas son épouse, Amélie Castéra, d’être pressentie par M. Macron comme ministre des Sports en mai 2017.
Nouvelle démonstration des liens étroits entre le mouvement « En marche » et les milieux financiers.
Toujours est-il que M. Oudéa peut difficilement prétendre que la décision de la banque qu’il préside n’est pas de caractère politique.
Le scandale ne fait que commencer.
Communes : des « efforts volontaires » imposés sous la menace !
Jacqueline Gourault avait donné le ton avant le 58ème congrès des maires de Loir et Cher : pour expliquer les réformes aux maires, il fallait davantage de « pédagogie ».
Ce n’est pas nouveau, c’est toujours ce qui disent les gouvernements quand une réforme passe mal : c’est qu’elle aurait été mal expliquée. Ou bien que les intéressés ne sont pas assez intelligents pour comprendre, pour rester poli.
Et pour prêcher la bonne parole aux élus locaux on a fait appel à Patrice Raymond, Maître de conférences en droit public, consultant et formateur au centre national de la fonction publique territoriale (CNFPT).
Cet universitaire n’hésite pas à proclamer, non sans grandiloquence que « nous sommes à l’an I d’une nouvelle ère » ! (la Nouvelle République du 11/11/2017)
C’est exactement la rhétorique de M. Macron, sauf qu’il n’était que le dernier recours d’un système à bout de souffle, le représentant des milieux d’affaires dont il est tenu de respecter strictement la feuille de route, sans quoi ses sponsors n’hésiteront à balancer tous ses conflits d’intérêts au Canard enchaîné.
La réalité est plus prosaïque : il s’agit de se conformer aux exigences en terme de déficit public contenues dans le traité de Maastricht… approuvé par la France, y compris par certains qui en dénoncent aujourd’hui les conséquences.
Le problème c’est que l’état ne parviendra a endiguer son propre déficit.
Dans les prévisions de la Loi de Finances 2018, on constate que le solde du budget de l’Etat restera déficitaire en 2018 (3,2%) c’est à dire au même niveau qu’en 2017, pour augmenter encore en 2019 (4%), avec le promesse d’une diminution… en 2022 à 1,8% !
Sarközy avait fait le même genre de promesse, promettant l’équilibre en fin de mandat, mais il a eu l’excuse de la crise, Hollande avait renouvelé la promesse sans l’atteindre et là il n’y avait même plus d’excuse.
Peut-on croire sincèrement à la promesse de Macron ? Il est permis d’en douter.
En guise de « nouvelle ère » nous retrouvons le même discours et les mêmes méthodes.
Mais si l’Etat ne parvient pas à atteindre ses propres objectifs, il exige des collectivités, et des administrations de la sécurité sociale qu’elles y parviennent, et même au-delà !
En résumé, puisqu’en 2022 le budget de l’Etat sera toujours déficitaire, on demande aux communes et à la sécurité sociale, non pas d’être à l’équilibre, mais d’être excédentaires !
Il faut le savoir à nos concitoyens, car tout cela sera lourd de conséquences.
Quant au « volontarisme » prêché par Mme Gourault, signalons simplement que la Loi de Finances prévoit un durcissement des régles en matière d’endettement des communes, qui les placeraient de facto sous tutelle du Préfet si elles ne respectaient pas les nouveaux ratios d’endettement. Curieuse conception du volontarisme !
Mais qu’on se rassure, Mme Macron touchera bien ses 440 000 de frais annuels (*). De quoi acheter quelques robes ? Vous n’y pensez pas, elles lui son prêtées !
(*) sans compter les frais annexes et de représentation… Deux collaborateurs sans compter le personnel du secrétariat…
Immunité parlementaire : Macron vise son opposante n°1.
Ce sont des méthodes qu’on pensait réservées aux régimes autoritaires que la France dénonce, sauf bien sûr s’il s’agit de partenaires commerciaux.
Mais cela se passe pourtant bien dans la patrie qui se proclame celle des Droits de l’Homme.
A la demande du ministre de la Justice, au mépris de la séparation des pouvoirs, un parlement servile a voté la levée de l’immunité parlementaire de Marine Le Pen, coupable d’avoir dénoncé l’extrême violence de l’Etat Islamiste (ou Daech selon l’acronyme arabe).
C’est le monde à l’envers ! Au moment même où la France trouve des arrangements pour permettre à ses ressortissants partis combattre en Syrie et en Irak d’être rapatriés, ceux qui sont en pointe dans le combat contre cette organisation terroriste qualifiée d’ennemie, et que nos armées combattent sur le terrain, se voient menacés de poursuite judiciaire.
Le scandale est énorme et commence déjà à embarrasser le gouvernement, qui craint un effet boomerang.
Nous vous invitons à prendre connaissance du communiqué de Marine Le Pen, et à vous rendre sur les réseaux sociaux pour lui exprimer votre soutien et relayer l’information.
« Suite à la demande formulée par Madame Nicole Belloubet, ministre de la Justice, Garde des Sceaux, le bureau de l’Assemblée nationale a décidé ce jour la levée de mon immunité parlementaire.
Le gouvernement actuel s’inscrit ainsi une nouvelle fois dans la continuité du précédent, car c’est Bernard Cazeneuve, alors ministre socialiste de l’Intérieur, qui avait saisi la justice dans cette affaire de liberté d’expression politique. [...]«
Lire la suite du communiqué sur le site du Front National.
Les contradictions de Guillaume Peltier.
La contribution nette de la France au budget de l’UE : 9,2 millions d’euros en 2018. A part le FN, qui le dénonce ?
A l’assemblée nationale comme à la Région Guillaume Peltier aime faire parler de lui.
Mardi dernier il est intervenu au sujet du CETA (traité de libre-échange avec le Canada) et des travailleurs détachés.
La problème c’est que les députés de son propre parti au Parlement européen font partie d’un groupe qui s’est prononcé en faveur du CETA.
Et quand Louis Aliot (FN) a défendu un amendement budgétaire pour refuser la hausse de la contribution française à l’Union européenne, les députés LREM, LR, MoDem, PS ne l’ont pas voté.
Aujourd’hui M. Macron fait semblant de hausser le ton et promet une « surveillance » du traité. On ne voit pas bien comment dans la mesure ou, comme ses prédécesseurs, il réclame toujours plus de pouvoirs pour l’Union européenne, toujours moins pour la France.
Il s’agit donc bel et bien d’un enfumage, la seule solution consiste a demander à l’Assemblée de refuser la ratification de ce traité : voir le communiqué du Front National.
De la même façon Guillaume Peltier parle de rétablir « la puissance et la grandeur de notre Europe » et non pas de la France.
Même ambiguïté au Conseil régional, ou il tient un discours parfois proche du Front National, mais pour voter au final avec la majorité.
Lors du récent débat sur la SRADDET (schéma régional d’aménagement, de développement durable et d’égalité des territoires) il prétend défendre la ruralité… tout en soutenant la métropolisation.
Ce double langage est bien la preuve que les idées défendues par le Front National font leur chemin, au point d’être reprises par une bonne partie de nos adversaires, comme Laurent Wauquiez… qui dans le même temps refuse tout alliance, toute discussion, tout contact avec le Front National.
Chacun aura compris qu’il s’agit d’une nouvelle tentative pour tromper nos électeurs, comme Nicolas Sarközy était parvenu à le faire en son temps, mais cela n’a pas duré.
Comme le disait Abraham Lincoln, « on peut tromper une partie du peuple tout le temps et tout le peuple une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps.«
Après la CSG, les APL, le forfait hospitalier.
Durant la campagne présidentielle, Marine avait prévenu… et présenté d’autres solutions.
Exécutant fidèlement les ordres de ceux qui l’ont placé à l’Elysée, après avoir augmenté la CSG et diminué les APL, M. Macron va augmenter le forfait hospitalier de deux euros par jour.
De petite mesure en petite mesure, c’est bien le pouvoir d’achat des plus modestes qui va en souffrir.
Et pendant de ce temps-là l’Aide Médicale d’Etat accordée à des étrangers y compris clandestins qui n’ont jamais cotisé coûter désormais plus d’un milliard d’euros par an. Mais ce sont les Français qui vont se serrer la ceinture.
Lire le communiqué du Front National :
« La ministre de la Santé Agnès Buzyn a annoncé dimanche les mesures qu’elle entendait mettre en place pour réduire de 30% les dépenses de la sécurité sociale qu’elle juge « non pertinentes ». Comme toujours, ce sont les patients qui auront à souffrir des coupes claires et de l’austérité de la politique économique du gouvernement.
Lire la suite sur le site du Front National.
Front National : quelle crise ?
Marine Le Pen à Poitiers : la Nouvelle République tente de faire diversion.
La Nouvelle République rend compte aujourd’hui (03/10/2017) de la journée des élus à Poitiers, dont nous avons présenté hier un compte-rendu succinct.
Cet article mérite quelques mises au point.
D’abord sur le titre, qui évoque un Front National « en pleine crise ».
Ce n’est pas du tout ce qui a pu ressortir des échanges et des travaux de cette journée, où bien au contraire, tout en analysant les raisons de notre échec – relatif – aux présidentielles et aux législatives, les élus et les cadres du mouvement sont d’ores et déjà projeté vers l’avenir, au sein d’un mouvement uni derrière sa présidente.
Echec tout relatif en effet, puisque Marine s’est qualifiée pour le 2ème tour où elle obtenu presque 11 millions de voix.
La Nouvelle République parle de « diversion ». On ne comprend pas bien pourquoi. Comme nous le rappelions hier, Marine le Pen a voulu, par son discours sur ce thème central, se placer face à M. Macron comme la seule alternative puisque sur ses positions européennes les Républicains sont d’accord, tout comme le PS, l’UDI et le MoDem. Quant aux pseudos « Insoumis », il suffit de rappeler que Tzypras, le Mélenchon grec, est un chaud partisan du projet Juncker-Macron.
Oser affirmer que Marine ne veut plus sortir de l’Europe ni de l’euro ne correspond pas à la réalité, il suffit de réécouter attentivement le discours de notre présidente pour constater qu’à aucun moment il n’en a été question.
En lire plus …
Nos élus réunis à Poitiers.
Les élus du Front national (parlementaires, élus régionaux et départementaux) étaient réunis près de Poitiers pour une journée de travail.
Un site doublement symbolique entre la mémoire de Charles Martel et le Futuroscope, marquant la volonté de Marine Le Pen et du Front National de se préoccuper d’abord de l’avenir de la France.
Nos dos euro-députés, Bernard Monot et Philippe Loiseau, étaient présents, ainsi que 12 de nos conseillers régionaux, dont Michel Chassier et Mathilde Paris pour le Loir et Cher (*)
Plusieurs tables rondes ont permis d’aborder la gestion des villes FN, la reconquète des grandes villes et des banlieues, la préparation des futures échéances, l’action de nos euro-députés, l’action de nos élus régionaux et départementaux dans la perspective de gagner des régions en 2021 – Mathilde Paris est intervenue sur le sujet -, de nos députés à l’assemblée nationale, les enjeux de la refondation.
Marine Le Pen a consacré l’essentiel de son intervention à la question de l’Union européenne, en réponse au discours de la Sorbonne d’Emmanuel Macron.
Elle a réaffirmé clairement notre refus de l’Union européenne, du fédéralisme et des traités qui privent la France de sa souveraineté. Elle a plaidé à nouveau pour une Europe des nations, qui n’a rien d’utopique puisque cela correspond à un mouvement en faveur d’un retour aux identités nationales face au mondialisme, mouvement qui dépasse largement l’Europe.
Ce discours a permis de bien clarifier les enjeux, et démontre que le Front National est bien la seule alternative crédible à Macron, homme de paille des oligarchies qui l’ont mais en place pour exécuter leurs desseins et tenter d’en finir avec la France en tant qu’Etat-Nation.
On voit bien que sur cette question essentielle, ni les Républicains ni les pseudos Insoumis ne s’opposent.
Quant à ceux qui accusaient Marine d’avoir changé de position au sujet de la souveraineté, leurs oreilles ont du siffler…
A la fin de son discours notre Présidente à dédié la Marseillaise, reprise par toute l’assistance, aux deux victimes de l’attentat islamiste de Marseille.
(*) pour des raisons financières, les élus municipaux n’ont pas pu être conviés, il aurait fallu une organisation beaucoup plus lourde et forcément plus coûteuse.
Taxes sur les carburants : Macron va frapper fort.
Avant même l’examen de la loi de finances pour 2018, le porte-parole du gouvernement annonce la couleur : dès le 1er janvier 2018 les taxes sur le gazole devraient augmenter de 10 % (7,6 centimes par litre), celle sur l’essence de 3,9 centimes.
Il faut rappeler que les taxes représentent déjà 70% du prix des carburants.
Cette hausse va toucher en particulier les budgets modestes, notamment en milieu rural ou péri-urbain où la voiture reste indispensable pour les déplacements quotidiens.
Cette taxe va également pénaliser les professionnels du transport, mais aussi les artisans et les petites entreprises. Au final, c’est le consommateur qui devra payer la note.
Alors que le gouvernement annonce une baisse de la fiscalité sur le quinquennat, il augmente les taxes sur les carburants, le tabac, il augmente la CSG, la taxe carbone etc…
Nous n’en sommes donc que le début, il est prévu d’ici 2022 une hausse de 31 centimes par litre sur gazole et de 15 centimes sur l’essence.
Et comme d’habitude l’écologie n’est qu’un prétexte : il s’agit d’abord de renflouer le budget de l’Etat.
Une partie de ces taxes est reversées aux Régions pour atténuer la baisse des dotations : pour la Région Centre-Val de Loire, cela représente près de 300 millions d’euros en 2016, alors que la Région refuse d’investir dans le réseau routier…
Seuls les élus du Front National ont dénoncé ce véritable détournement de fonds.
Loi Travail XXL – Le 12 Septembre : première étape. Le 21 : on amplifie, dans l’unité la plus large
Le 12 Septembre, un peu partout en France, les salariés, et avec eux les Français, étaient fortement mobilisés contre la Loi Travail XXL et ses ordonnances. Loi, pudiquement appelée « Renforcement du dialogue social », un comble pour un ensemble de textes qui remet en cause plusieurs décennies de conquêtes sociales et qui rappelons-le n’est qu’une directive de plus imposée par l’Union Européenne pour déréglementer le droit social, vider le Code du Travail de son caractère protecteur pour les salariés, et qui n’apportera rien en matière d’emploi.Le cercle Front syndical était tout naturellement présent dans ces actions, puisque ses militants étaient présents dans les cortèges et manifestations, au milieu de leurs syndicats respectifs : son Secrétaire Général, Laurent Bras était présent dans le cortège de Blois. Et le vice-président du Front National, Florian Philippot était présent dans la manifestation parisienne, au côté des forains.
Notons que outre la CGT, SUD et la FSU qui ont appelé aux rassemblements, la majorité des Unions Départementales ainsi que de nombreuses fédérations professionnelles de FO ont clairement appelé à participer aux manifestions et étaient présentes. De même, certaines fédérations de la CFDT ont participé à l’action contre la Loi Travail XXL le 12 Septembre, et des éléments de la CFE-CGC étaient présents dans les cortèges.
L’unité syndicale existe donc bien à la base : c’est la volonté des salariés et des syndicalistes de terrain ! C’est le moyen le plus efficace de faire reculer le gouvernement Macron et d’empêcher la France de sombrer dans un recul social sans précédent !
C’est pourquoi le cercle Front syndical appelle les salariés de France, et tous les syndicalistes qui ont à cœur de défendre les intérêts des salariés avant tout, à amplifier l’action et à se mobiliser à nouveau le 21 Septembre.
Cette mobilisation doit se faire de façon la plus unitaire, rassembleuse, ouverte et sans arrière pensée partisane. Ainsi, le cercle Front syndical, parce que constitué de syndicalistes responsables appelle les directions confédérales de FO, de la CFDT, de la CFTC et de l’UNSA à réellement prendre en compte l’intérêt des salariés et à mettre toutes leurs forces au côté de la CGT, de SUD et de la FSU dans un appel clair à l’action pour le 21 Septembre.
Dominique Bourse-Provence, Président du cercle Front syndical, Conseiller régional Île-de-France
Laurent Bras, Secrétaire général du cercle Front syndical, Secrétaire départemental adjoint FN41
Opération Mélenchon, ou comment le Sytème choisit ses opposants.
Deux imposteurs, un même objectif.
La promotion médiatique de Jean-Luc Mélenchon remonte à 2007. Rappelez-vous qu’alors, 48 heures avant le scrutin, Le Parisien le donnait à égalité avec Marine Le Pen, 14 % chacun.
Or, Marine fera 18%, Mélenchon 11%, soit un écrta de 7 points !
A ce stade on ne pas considérer qu’il s’agisse d’une erreur, mais bien d’une ultime tentative de détourner une partie de l’électorat vers l’opposant choisi par le système.
L’opération a repris avec davantage d’ampleur pour les présidentielles de 2017.
C’est que cette fois, la victoire de Marine devenait une hypothèse qu’on ne pouvait plus écarter.
D’où cette double manoeuvre consistant à présenter Emmanuel Macron comme un candidat « hors système », et à lancer Jean-Luc Mélenchon dans le but de rallier un électorat populaire déçu par la gauche et attiré par Marine Le Pen.
Les médias ont donc relayé abondamment, et complaisamment, les meetings et autres déclarations de l’ancien ministre de Lionel Jospin.
Ce qui lui a permis de mordre, les analyses le prouvent, sur l’électorat potentiel de Marine Le Pen.
Le but étant, on l’a compris, de tout faire pour que Marine n’arrive pas en tête au 1er tour.
Et une fois l’élection passée, l’opération continue : il faut faire en sorte que Mélenchon apparaisse comme « le premier opposant« , en fait l’opposition officielle de Sa Majesté, omniprésente dans les grands médias, qui ne cessent parallèlement où d’ignorer ou de critiquer Marine.
On peut d’ailleurs constater que la promotion d’une alternative de gauche radicale et immigrationniste s’inscrit dans la stratégie européenne de la superclasse mondiale, de telle sorte de qu’aucune véritable opposition au système ne puisse s’imposer.
Mais c’est sans compter que rapidement les faits vont nous donner raison, et que les Français qui refusent la soumission et l’effacement de notre nation nous rejoindrons encore plus nombreux, pour peu que soyons présents partout sur le terrain.
Vous trouverez ci-après le lien avec un article de Michel Geoffroy, animateur du site Polemia : Opération Mélenchon.
En Marche, en panne comme Macron.
Sans surprise les statuts du parti présidentiel, « La République en marche », ont été adoptés selon une procédure contestée en interne.
La « référente » du mouvement en Loir et Cher, Christine Jagueneau, a co-signé une tribune parue dans le quotidien L’Opinion avec 3 autres délégués départementaux, critiquant sévèrement les statuts du nouveau parti politique, ainsi que le mode de fonctionnement interne entre les territoires et les instances nationales. Absence de démocratie, opacité, « e-entreprise déshumanisée où une équipe envoie des mails colorés agrémentés de punchlines aux quatre coins du territoire » (La Nouvelle République du 18/08/2017).
La désillusion semble à la hauteur de l’illusion que nous avions régulièrement dénoncée, en espérant que la bulle allait éclater avant l’élection.
Malheureusement elle éclate trop tard.
Et tous ceux qui ont cru, sincèrement et parfois un peu naïvement, à un renouveau de la politique ne semble pas encore avoir tout compris.
Ainsi les signataires de la tribune dans l’Opinion déclarent-ils « Notre promesse avec En Marche, c’est un « parti du XXIe siècle », diffèrent des autres, calqué sur un modèle entrepreneurial. »
Les médias ont complaisamment relayé le message d’une nouvelle donne balayant les « anciens partis ».
Or le parti de Macron n’est en réalité que la conclusion logique de la convergence entre la droite et la gauche de gouvernement depuis plus de 30 ans, ce que le FN désignait avec raison sous le sigle « UMPS ».
On le voit bien dans la composition de l’équipe gouvernementale : seconds ou troisièmes couteaux des Républicains et du MoDem, le seul leader politique national ayant rejoint Macron, François Bayrou étant contraint à démissionner.
Pour le reste, la fameuse « société civile » est représentée par quelques cadres sup venus des grandes entreprises, à l’image de la ministre du travail, déjà rattrapée par les révélations sur un possible délit d’initié.
L’erreur fondamentale de Macron, toujours partagée semble-t-il par les contestataires, c’est que la France pourrait être gérée comme une entreprise, de même que leur propre parti.
Ce n’est pas non plus une idée nouvelle, Giscard d’Estaing avait déjà dit la même chose, mais un chef d’Etat n’est pas un manager. Gouverner c’est autre chose.
Il est d’ailleurs paradoxal de voir ceux qui critiquent la manque de démocratie au sein de « la République en marche » souhaiter voir le parti fonctionner sur le modèle entrepreneurial, qui n’a rien à voir avec la démocratie !
Attendons la suite, mais il est certain que la désillusion ne fait que commencer. (*)
Les Français se rendront compte alors que le seul parti politique réellement nouveau, à l’écoute du peuple, et n’ayant d’autre but que défendre les intérêts de la France, c’est bel et bien le Front National.
La rénovation entreprise d’ici le prochain Congrès ayant pour objectif de rendre notre mouvement encore plus efficace.
Nous vous invitons à participer a ces travaux.
(*) nous apprenons aujourd’hui la démission de Marlène Martin de son pste de première adjointe de Villiers. Elle était la candidate « En Marche » pour la 3ème circonscription en juin dernier. (la Nouvelle République du 19/09/2017)
Barcelone : communiqué de Marine Le Pen.
Après l’attentat de Barcelone, une fois de plus, le monde civilisé s’indigne contre une telle barbarie.
Mais nos gouvernants refusent de prendre les mesures qui s’imposent.
Pire, ils ont encouragé en Syrie les mouvements extrémistes, voire financé en sous-main l’aventure de Daech pour ajouter au chaos.
Nous en payons le prix aujourd’hui sur notre sol.
Il est temps de mettre un terme à cette politique incohérente et de combattre toutes les composantes du terrorisme islamiste.
Communiqué de Marine Le Pen, Présidente du Front National
Les mots viennent à manquer tellement les attaques terroristes sont désormais fréquentes et monstrueuses. Aujourd’hui la si joyeuse ville de Barcelone a été frappée par l’horreur, très certainement islamiste selon des premiers éléments diffusés. Nous avons une pensée très forte pour les victimes, parmi lesquelles des enfants, et témoignons au peuple espagnol notre entière solidarité.
L’horreur islamiste est plus présente que jamais, mais il est hors de question de s’y habituer. Au contraire chaque attentat, chaque vie volée ou brisée doit renforcer notre détermination à éradiquer sans tarder cette barbarie.
Chaque fois nous sommes contraints de refaire le même constat car pas grand chose n’avance : il est urgent de redonner à nos pays des frontières nationales, urgent de pourchasser les djihadistes partout où ils se trouvent, urgent de renvoyer chez eux les fichés S étrangers, urgent de mettre un terme au flot insensé de migrants qui facilite l’entrée de terroristes dans nos pays.
Il ne nous faut que du courage, de la volonté, de l’énergie.
Macron va-t-il trouver du pétrole ?
L’arrivée du très médiatique Nicolas Hulot au gouvernement se voulait un symbole fort de la transition énergétique.
N’a-t-il pas annoncé la fin de la commercialisation des voitures diesel et essence d’ici 2040 ?
C’est dommage puisqu’il se pourrait bien que M. Macron finisse par trouver du pétrole, pour reprendre l’expression d’André Santini commentant la chute dans les sondages d’une certaine Edith Cresson.
En effet le factotum de l’UE enregistre une nouvelle baisse de popularité de 7 points, après celle de 10 points le mois précédent.
Selon la dernière enquête d’opinion commanditée par le Huffington Post et CNews, il ne reste plus que 36% de Français à juger positivement l’action de M. Macron. Sans doute obtiendrait-il un meilleur résultat chez les « migrants ».
A ce rythme il risque de battre le record de ses prédécesseurs.
Nous avions déjà expliqué les raisons de cette chute, qui risque de s’accélérer au fur et à mesure que les Français vont comprendre l’imposture dont ils ont été les victimes consentantes, et le véritable projet qui anime M. Macron.
Sans parler de l’amateurisme d’un grand nombre de ses députés, de ses ministres souvent loin d’être à la hauteur.
Enfin à le rentrée, le gouvernement va devoir aborder les sujets qui fâchent, comme la loi travail, loi Macron II qu’ils veulent faire passer en force, alors que la loi Macron I (dite loi El Khomri ou El Macron) est à peine appliquée et n’a fait l’objet d’aucune évaluation.
Il ne suffira plus alors de montrer les jambes de Brigitte Macron en couverture de Paris Match pour maintenir la popularité du couple élyséen.
Jupiteux va bientôt se retrouver face à la réalité, et les Français découvrir que le roi est nu.
Le Front National sera au rendez-vous pour rassembler tous ceux qui refusent cette politique désastreuse.
Tout l’été, tenez-vous informés de l’actualité locale sur notre site et sur les réseaux sociaux (Facebook, Twitter)
Zéro migrant dans la rue… et combien dans nos départements ?
Le salon Murat à l’Elysée : on s’y préoccupe du sort des « migrants ».
« Zéro migrant dans la rue » d’ici le fin de l’année. C’est la dernière promesse faite par M. Macron lors de son discours d’Orléans le 27 juillet.
Quelques jours auparavant ils répondaient aux salariés de GM & S qu’il n’était pas le père Noël. Mais il prêt désormais à jouer le père Noël pour les « migrants » !
Ce n’est pas sans rappeler l’objectif « zéro SDF » lancé successivement par Chirac, par Jospin puis par Sarközy avec le résultat que l’on sait.
D’ailleurs à l’époque, Libération avait parlé de « démagogie ».
Mais quand il s’agit de M. Macron, pas question de démagogie. Il est vrai que Libération est détenu à 50% par Patrick Drahi ami très proche de M. Macron qui lui a donné plus qu’un coup de pouce quand il était ministre des Finances. D’où le soutien inconditionnel des médias de l’empire Drahi à la campagne présidentielle du candidat qui marchait pour le système.
La Nouvelle République nous conte aujourd’hui la soirée mondaine des époux Rouillac à l’Elysée, où il a été question… des migrants ?
Certains seront-ils logés à l’Elysée, ou bien au château d’Artigny où le commissaire-priseur Philippe Rouillac organise ses ventes ?
Vous n’y pensez pas. Mais l’Etat vient de réquisitionner un hôtel au Subdray près de Bourges et le président (LR) du département d’Indre et Loire demande que le centre de Pontourny soit reconverti pour l’accueil des migrants mineurs.
Il y a fort à parier que le Loir et Cher sera également touché et que nous devrons augmenter la capacité des centres d’accueil, et peut-être réquisitionner des hôtels et des logements.
M. Macron tente ainsi de répondre aux exigences de l’Europe et de Mme Merkel, à l’heure où la fracture sociale n’a jamais été aussi criante en France.
Il est évident que ce n’est pas en créant de nouvelle place d’hébergement que l’on va régler le problème.
Tant que nous irons chercher les migrants devant les côtes libyennes pour les amener en Europe, au lieu de les débarquer sur la c^te dont ils sont partis, la situation ne fera que s’aggraver.
Au contraire il faudrait que la France donne le signal de la fermeté en renvoyant chez eux tous les faux réfugiés, qui représentent plus de 80% des « migrants ».
C’est à cette condition que le gouvernement pourrait enfin se préoccuper du sort des Français les plus défavorisés, dont beaucoup sont aussi à la rue. Mais de cela il n’a pas été question sous les ors du salon Murat à l’Elysée.
Loir et Cher : le parti de Macron rattrapé par les pratiques des « vieux partis ».
Le crime était presque parfait.
Des citoyens sincères, dégoûtés par le spectacle d’une classe politique jugée incapable de proposer des solutions crédibles, critiquée pour ses pratiques parfois douteuses, ont cru que le mouvement créé par M. Macron avec le soutien des banquiers, des affairistes, des médias, de l’Union européenne et l’appui discret de François Hollande allait provoquer un renouveau des moeurs politiques dans notre pays.
Nous avons eu beau dénoncer cette imposture, nous n’avons pas été entendus, le tintamarre médiatique était trop fort autour du candidat chargé de sauver le système.
Mais les faits sont têtus et progressivement les « marcheurs » ouvrent les yeux.
Déjà l’arrogance, l’insolence de M. Macron commence à sérieusement indisposer les Français. Sa mise en scène lors de rencontres internationales ne pourront tromper bien longtemps, d’autant plus qu’elles ne se traduisent pas par le moindre résultat.
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Visite ministérielle à Blois : après le parlement-croupion, les ministres postiches ?
Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la Santé, est venue faire une visite-éclair à Blois à l’occasion de l’Assemblée générale de Union nationale des associations familiales qui se tenait dans notre ville (la Nouvelle République du 25/06/2017).
Interrogée sur le »pacte quinquennal en faveur des familles » qui avait été soumis par l’UNAF aux candidats à la présidentielle, la ministre s’est bien gardée de répondre, déclarant qu’elle n’avait « aucune annonce concrète à faire« .
Encore faudrait-il qu’elle se saisisse du dossier, car il n’y plus de ministre de la famille dans le gouvernement Macron.
Les demandes formulées par l’UNAF étaient pourtant bien modérées, évitant d’aborder les sujets « sensibles » comme la PMA généralisée et la GPA.
Au final, Agnès Buzyn sera restée 1 heure et 15 minutes à Blois pour ne rien dire.
Certains parlent de communication gouvernementale « maîtrisée », d’autres n’hésitent pas à dire qu’elle est verrouillée.
Le nouveau gouvernement Macron est bien à son image, composé de personnalités issues des cabinets ministériels et divers organismes publics, avec parfois un « pantouflage » dans les grandes entreprises le plus souvent publiques, sans oublier les lobbyistes et autres affairistes qualifiés dans le discours officiel de représentants de la « société civile ».
Agnès Buzyn n’échappe pas à la règle : mariée en premières noces à Pierre-François Veil, l’un des fils de Simone Veil, elle se remarie ensuite avec Yves Lévy, directeur général de l’INSERM.
Tout en exerçant de nombreuses fonctions au sein d’organismes publics, elle est à la même époque consultante, certains diraient « lobbyiste » auprès de plusieurs laboratoires. Ce que Le Canard enchaîné qualifie alors de « léger » conflit d’intérêt. On admirera la prudence du palmipède.
Mais cet épisode blésois est là pour démontrer qu’en plus d’un parlement croupion, dont la majorité absolue est détenue par un parti qui a obtenu 14% des suffrages au 1er tour par rapport aux inscrits, les ministres verront leur rôle confondus avec celui des hauts fonctionnaires, priés quant à eux de soumettre à la vision éclairée du locataire de l’Elysée, très éloignée de l’intérêt de la France puisqu’il est au service de ceux qui l’ont fait roitelet.
Islamo-terrorisme : nouvel attentat à Londres.
Un nouvel attentat vient de frapper Londres cette nuit. Deux semaines après Manchester, cet acte barbare porte à nouveau la marque du terrorisme islamiste.
Mais comme à chaque fois, il ne faut surtout pas dénoncer les auteurs et leur motivation profonde : la haine des infidèles, exacerbée par plus de 25 ans de conflits au Moyen-Orient.
Le mot d’ordre ne change pas, c’est le fameux « pas d’amalgame ! »
Après l’attentat de Charlie Hebdo c’est la liberté de la presse qui était visée (*) curieusement l’attentat contre l’Hyper Casher n’a pas pas suscité davantage d’indignation. Et la France était appelée à manifester derrière le slogan « je suis Charlie« .
En novembre 2015 après le Bataclan et les terrasses, c’était « la jeunesse » qui était visée, ainsi que notre mode de vie, ce qui n’est pas faux. Mais nous n’avons entendu aucune condamnation sérieuse de l’idéologie qui entraîne des individus à commettre de tels meurtres de masse, aucune analyse sérieuse sur les causes de la radicalisation de personnes dont la plupart sont nées sur notre sol.
Même chose après Nice, où l’on a tenté de nous faire croire à la dérive solitaire d’un individu soudainement radicalisé.
Depuis les leçons n’ont toujours pas été tirées, nous avons eu droit aux mêmes discours après Manchester, ce sera la même chose dans les prochains jours.
Nous verrons des gens pleurer, allumer des bougie, déposer des fleurs, la Tour Eiffel aux couleurs de Londres etc… Juste hommage aux victimes certes, mais jusqu’à quand allons nous nous contenter de pleurer ?
Allons nous continuer à répéter « vous n’aurez pas ma haine« , comme tous les bien-pensants nous incitent à le faire ?
D’ailleurs ce n’est pas de haine qu’il s’agit, mais d’une juste colère et surtout de la lucidité, du courage et de la détermination.
Bien sûr dans un premier temps nos pensées vont aux victimes et à leurs proches.
Il faudra un jour une véritable riposte et pour cela il faut d’abord désigner l’ennemi et cesser le double jeu en Syrie et en Irak.
Depuis l’Elysée M. Macron « adresse au peuple britannique la solidarité de la France, qui continuera de toutes ses forces à lutter contre le terrorisme aux côtés du Royaume-Uni et de tous les pays concernés »
Mais pour combattre efficacement le terrorisme, il faudrait faire savoir qui finance Daech, qui lui fournit des armes, qui achète son pétrole etc…
Il faudrait vraiment combattre sur le terrain tous les groupes terroristes, et cela suppose une concertation avec le gouvernement Syrien.
Au lieu de cela, le petit gouverneur de la France se permet, devant Vladimir Poutine, de proférer des menaces de représailles contre le régime syrien en cas d’utilisation d’armes chimiques. Mais qui les a utilisées jusqu’ici ? Ces menaces sont d’autant déplacées que notre porte-avions est en cale sèche pour 18 mois. Et de toutes façons, le Français ne bombardent que les objectifs désignés par les américains, avec des bombes guidées majoritairement américaines comme la GBU12. Autant dire qu’il s’agit de simples rodomontades prouvant à quel point M. Macron est un piètre diplomate et n’a pas la carrure d’un chef d’Etat.
Enfin il faudra aussi, et nous sommes les seuls à le demander, que la France retrouve la maîtrise des frontières et des flux migratoires, ce qui ne veut pas seulement dire un contrôle à nos frontières, mais un maillage du territoire en particulier avec la Gendarmerie dans nos départements ruraux.
Il faudra aussi lutter énergiquement contre la propagande et prosélytisme islamiste en surveillant les mosquées contrôlées par des mouvements étrangers ou se réclamant d’organisations extrémistes rattachées aux frères musulmans ou aux mouvement politico-islamistes comme Mili Görus, qui gère des mosquées à Blois, Romorantin et Salbris.
Pour cela il faut voter les 11 et 18 juin pour élire des députés déterminés à défendre la France !
Attention fake news : Najat Vallaud-Belkacem a menti !
Najat Vallaud-Belkacem : menteuse, arrogante et menaçante. Osera-t-elle nous répondre ?
Mise à jour du 22/05 à 19 h 30 : voilà plus de 24 heures que nous avons mis Mme Vallaud-Belkacem au défi de nous répondre. Silence radio. Et aujourd’hui c’est Laurent Ruquier, loin d’être de nos amis, qui défend à son tour la journaliste de France 2, expliquant que « la seule fake news, c’est de dire que Vanessa Burggraf a fait des fake news« .
Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’Education sous François Hollande, s’en est prise violemment à Vanessa Burggraf dans l’émission « On est pas couché » samedi 20 mai.
Mise en difficulté devant le bilan catastrophique de l’apprentissage du Français à l’école et au collège, elle a qualifié la réforme de l’orthographe de « fake news ».
C’est la dernière mode pour disqualifier un adversaire, on qualifie de « fake » toute information qui n’est pas validée par les médias du système.
Au passage, Mme Vallaud-Belkacem aurait pu se donner la peine traduire cette expression en français…
Mais revenons au fond de l’histoire : l’information est-elle vérifiée ou non ?
La réponse est oui.
Mme Vallaud-Belkacem a été Ministre de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche du 26 août 2014 au 10 mai 2017. Le décret portant sur la réforme de l’orthographe a été publié par le Bulletin officiel de l’Education nationale du 26 novembre 2015, Le décret se basait sur des recommandations du conseil supérieur de la langue française datant de 1990, mais qu’aucun ministre n’avait osé mettre en pratique. C’est bien elle qui a franchi le pas.
Cela concerne plus de 2 000 mots, qui posséderont désormais deux orthographes, ne faisant qu’ajouter à la confusion. De nombreux articles ont été consacrés à cette réforme, traduite concrètement dans de nombreux manuels scolaires à la rentrée 2016, et très largement critiquée par les enseignants.
On essaie de nous faire croire que cela relèverait d’une simple » décision des éditeurs ». Il faut arrêter de prendre les Français pour des imbéciles.
Conclusion : c’est bien Mme Vallaud-Belkacem qui a menti et propagé un « fake ».
Nous ne manquerons du publier ici-même sa réponse et les commentaires des internautes. Une telle arrogance devient véritablement insupportable. Et nous ne sommes pas, nous ne serons jamais couchés !
Ce n’est pas sans rappeler l’attitude de M. Macron durant le débat avec Marine Le Pen, où il a multiplié les mensonges avec une telle assurance que les téléspectateurs n’y ont vu que du feu.
Gouvernement provisoire : les vieilles recettes de la cuisine électorale.
1er gouvernement Macron : pas beaucoup de femmes au 1er plan !
Les Français ont eu peur du changement, il se sont contentés de voir un nouveau visage, et ils ont espéré un renouveau de la vie politique française.
Jour après jour, ils découvrent qu’ils ont été trompés.
Les piliers du nouveau gouvernement formé depuis hier sont pour la plupart de vieux routiers de la politique, mûs par l’ambition personnelle et soucieux avant tout de leur carrière.
Ainsi Bruno Lemaire, ministre pour la 4ème fois, heureux de retrouver un maroquin après son humiliante défaite aux primaires de la droite et du centre avec un score de 2,4% ! Pour l’anecdote, il disait il y a quelque temps « Macron c’est l’homme sans projet, car c’est l’homme sans conviction. » Leur voilà au moins un point commun !
François Bayrou, qu’on ne présente plus, est pour sa part dans la vie politique depuis 1986, date de son 1er mandat de député. Plus de 30 ans de carrière, il était déjà ministre en 1993.
Gérard Collomb, élu député en 1981, enchaîne les mandats depuis 1981, cela fait 36 ans ! Quelle renouveau ! Spécialiste du cumul des mandats (sénateur, maire de Lyon, Président de Lyon Métropole) il a vu son indemnité de sénateur réduite à 4000 euros par mois en 2016 pour « absentéisme ». Une caricature de ces politiciens que les Français rejettent.
Quant à Marielle de Sarnez, qui « que » 66 ans, elle est en politique depuis 1974, date de son engagement auprès de Valéry Giscard d’Estaing.
Enfin le Premier ministre, l’énarque Edouard Philippe dont nous parlions hier, se caractérise à la fois pas son peu d’activité à l’Assemblée nationale et son caractère autoritaire à la mairie du Havre selon ses opposants, qui le qualifient volontiers d’anguille en raison de ses nombreux changements d’orientation, avec comme seule boussole l’ambition personnelle. Voilà qui ressemble à Macron.
Par contre, faire cohabiter l’ancien lobbyiste de chez AREVA avec Nicolas Hulot risque de poser quelques problèmes. On le voit déjà avec la méthode « hollandaise » choisie pour Notre-Dame des Landes : le gouvernement va nommer un médiateur. Avant de créer un comité Théodule ? Il faut surtout gagner du temps avant les élections législatives…
Il semblerait d’ailleurs que les Français n’aient pas tellement confiance, comme en témoignent les premières enquêtes d’opinion.
Cela risque bien de ne pas favoriser les candidats « En Marche » sur terrain, dont certains risquent fort de « ramer ».
En Loir et Cher Marc Fesneau qui se présente en dehors de sa circonscription pour ne pas affronter Maurice Leroy, UDI Macron-compatible, était encore à la recherche d’un suppléant. Mais la présence de Rama Yade sera un handicap, car elle risque de capter le même électorat, elle aurait d’ailleurs demandé l’investiture d’En Marche.
Dans la 2ème circonscription Jean-Luc Brault semble lancer une campagne… de conseiller départemental, en expliquant ce qu’il fera dans le département s’il est élu ! Et il annonce déjà que s’il arrive 3ème il se désistera pour faire battre Mathilde Paris, candidate du Front National. Pas très mobilisateur.
Face à tous les candidats du système, aux représentants des partis de gouvernement divisés et hésitants, nous appelons les électeurs du Loir et Cher à un véritable sursaut.
Il est indispensable que le Front National représente à l’Assemblée nationale une véritable opposition, le noyau dur autour duquel doit se constituer le bloc des patriotes, pour défendre la France et les Français.
Après les mensonges, la tricherie ?
Après les mensonges de M. Macron lors du débat face à Marine Le Pen, la fraude électorale ?
Nous avons alertés par de nombreux électeurs ayant reçu des enveloppes dans lesquelles le bulletin de Marine le Pen était déchiré. Cela touche plusieurs départements dans des proportions qui dépassent l’explication d’un simple incident technique.
Communiqué de presse de David Rachline, Directeur de campagne de Marine Le Pen :
Des centaines de relais départementaux, des milliers de signalements par départements nous remontent de toute la France pour nous alerter sur une situation très préoccupante quant à des violations graves du droit électoral en vigueur.
Ainsi de nombreux administrés ont réceptionné chez eux, au titre de la propagande électorale les deux bulletins de vote des deux candidats à l’élection présidentielle, le bulletin de notre candidate étant systématiquement déchiré et celui de notre opposant, M. Macron intact.
La multiplication de ces actes profondément anti-démocratiques constitue une grave atteinte au fonctionnement de notre République.
Ces graves irrégularités et infractions au code électoral en vigueur ont été constatées dans les départements suivants : Ardèche (07), Alliers (03), Savoie (73), Loire (42), Yvelines (78), Eure-et-Loir (28), Hérault (34).
Il est également constaté que certains maires envoient à leurs administrés des courriers portant des consignes de vote, plus ou moins directes, sur papier à en-tête de la commune, et probablement avec les moyens de celle-ci.
De même, en ce qui concerne la banderole que le maire de Montpellier s’est cru autorisé à déployer sur un bâtiment public.
De telles pratiques constituent une infraction claire de l’article L 116 du code électoral, qui sanctionne toute manœuvre ayant pour but d’altérer la sincérité du scrutin :
“Ceux qui, par des manœuvres frauduleuses quelconques, accomplies même en dehors des locaux ou commissions visés à l’article L. 113, auront porté atteinte ou tenté de porter atteinte à la sincérité d’un scrutin, violé ou tenté de violer le secret du vote, empêché ou tenté d’empêcher les opérations du scrutin, ou qui, par les mêmes manœuvres, en auront changé ou tenté de changer les résultats, seront punis des peines portées audit article.”
Nous vous informons que je viens, au titre de directeur de Campagne de Marine Le Pen de saisir la Commission de contrôle électoral sur la base des faits évoqués plus haut.
Nous invitons tous les électeurs à la vigilance et leur rappelons qu’ils sont en droit d’exiger le jour du scrutin l’inscription sur les deux exemplaires du procès-verbal détenu par chaque bureau de vote de toutes observations, protestations ou irrégularités.
Personne ne peut voler l’intégrité du scrutin aux Français, seul le peuple est souverain de cette élection majeure pour notre pays.
Nous n’avions eu qu’un signalement au 1er tour en Loir et Cher, merci de nous communiquer toute anomalie.
Si jamais vous vous receviez un bulletin endommagé, il ne faut surtout pas l’utiliser, mais prendre celui que vous trouverez dans votre bureau de vote.
Le 7 mai 2017, Marine contre le parti unique.
Malmené par Marine Le Pen durant la première semaine de campagne du 2ème tour, M. Macron bénéficie désormais du soutien de la totalité des médias et de l’ensemble des partis de la gauche de la droite et du centre.
Cette campagne qui se termine commence à prendre des airs du 2ème tour de 2002.
Certes l’insipide candidat du système ne parvient pas à mobiliser les foules, personne ne descend dans la rue, mais ses partisans tentent de perturber la campagne, utilisant les méthodes habituelles de l’extrême-gauche : la violence et l’intimidation.
Ces comportements démontrent bien de quel côté se situent l’intolérance et la haine.
En Loir et Cher nous avons bien l’intention de continuer la campagne jusqu’au bout, nous sommes d’ailleurs pratiquement les seuls sur le terrain, nos adversaires se limitant à dégrader par endroits l’affichage officiel, réaction parfaitement dérisoire qui ne fera qu’indigner les électeurs.
Le choix du 7 mai se fera donc bien entre le candidat du système, M. Macron, qui veut poursuivre et aggraver les politiques qui ont pourtant échoué depuis 20 ans de son propre aveu, sauf qu’il fait partie de ceux qui les ont menées.
Voter Macron, c’est reprendre 5 ans de Hollande en plus, et en pire.
Espérons que les Français ouvrent les yeux et votent le plus nombreux possible pour Marine Le Pen, pour que la France retrouve la liberté, la prospérité, la justice et la sécurité, pour que l’on redonne enfin la parole au peuple !
Le policier assassiné par le djihadiste Karim Cheurfi était originaire de Romorantin.
La Nouvelle République nous apprend que Xavier Jugelé le policier assassiné hier soir sur les Champs Elysées par le djihadiste Karim Cheurfi était originaire de Romorantin.
Toutes nos pensées vont à sa famille, à ses proches et à ses collègues.
Il est mort en service, fidèle à la devise de la Police nationale, « Pro patria vigilant » : « Ils veillent pour la Patrie ».
Mort sous les balles d’un tueur qui n’aurait jamais du être en liberté.
Condamné à 15 ans de prison en 2005 pour tentative d’assassinat sur 3 policiers, il est placé en semi-liberté dès 2012 et obtient sa libération conditionnelle en 2013.
En 2014, il est à nouveau condamné à 4 ans de prison pour des faits commis l’année précédente: vols avec effraction, refus d’obtempérer, recel de vol, et usurpation de plaque d’immatriculation, le tout en récidive. Le 14 octobre 2015, il sort finalement de prison et est suivi par un juge d’application des peines du tribunal de grande instance de Meaux.
On comprend par conséquent la colère des policiers, dont plusieurs syndicats appellent à manifester le 26 avril au Trocadéro.
Mises en avant
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Mathilde PARIS, tête de liste « Un autre avenir pour Blois » était jeudi soir l’invitée de la rédaction de @TVTOURS. Revoir la vidéo....
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