Dans le cadre de la législative partielle de la 4ème circonscription du Loiret, notre député Sébastien Chenu viendra soutenir le candidat du Front National Ludovic Marchetti et son suppléant Valentin Manent à l’occasion d’une réunion publique jeudi 15 mars à 18 heures, salle de la Sirène à Montargis.
Les électeurs sont appelés aux urnes les 18 et 25 mars suite à l’invalidation de Jean Pierre Door (LR), élu en juin dernier avec seulement 8 vois d’avance sur la candidate LREM, ce qui avait entraîné un recours de cette dernière.
Il est important que nos électeurs se mobilisent pour cette élection, car on sait que les partielles connaissent un taux d’abstention calamiteux.
Il est certain que la candidate macroniste de service sera cette fois nettement battue, raison de plus pour ne pas hésiter à votre pour notre candidat Ludovic Marchetti qui représente la véritable opposition à Macron.
Législatives partielle du Loiret : réunion publique à Montargis avec Sébastien Chenu.
11èmes assisses internationales du journalisme à Tours : la chasse aux dissidents ?
La Nouvelle République annonce aujourd’hui (12/03/2018) un retour de confiance des Français pour les journalistes.
Quand on connaît les commanditaires du sondage et la manière de poser les questions, il est permis de douter du résultat.
D’autant que le sujet central de cette article est la fameuse chasse aux « fake news », c’est à dire littéralement aux « fausses informations ».
Bien sûr les fausses nouvelles, les rumeurs, la désinformation ont toujours existé.
Mais le développement d’Internet et des réseaux sociaux a eu pour effet d’amplifier et d’accélérer leur diffusion.
Toutefois, les moyens existent déjà pour combattre ces fausses nouvelles dès lors qu’elles portent un préjudice à des personnes ou à des institutions.
Il existe en effet la loi du 29 juillet 1881 relative à la liberté de la presse, qui s’est d’ailleurs durcie au fil du temps.
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Plan Régional de Santé : les élus régionaux seront-ils consultés ?
Les militants du FN41 devant l’hôpital de Blois le 25 mars 2017 pour faire connaître les engagements de Marine le Pen dans le domaine de la santé ( Joëlle Mélin).
Le 29 mars la Conférence régionale de la santé et de l’autonomie (CRSA) doit se prononcer sur le 2ème Plan régional de santé.
Les grandes lignes sont déjà connues, avec toujours davantage de mesures d’économies, suppressions de lits, fermetures des services ou des hôpitaux de proximité.
A Blois des médecins se sont regroupés dans un collectif pour proposer d’autres solutions (la Nouvelle République du 1er mars 2018)..
Les élus locaux, les syndicats et certains partis de gauche protestent et annoncent des manifestations.
Le Conseil régional n’a toujours pas été appelé à se prononcer, ce sera peut-être pour la session du mois d’avril, mais alors le PRS sera déjà voté, et les trois représentants de la Région auront voté le 29 mars sans avoir reçu mandat de l’assemblée.
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Bientôt le premier sourire du printemps ?
Dernière réunion du bureau politique avant le Congrès ce matin à Nanterre.
Tandis qu’à leurs oeuvres perverses
Les hommes courent haletants,
Mars qui rit, malgré les averses,
Prépare en secret le printemps.
(Théophile Gautier)
Tandis que nos adversaires se déchaînent, que les attaques les plus perverses se multiplient sous toutes les formes, judiciaires, fiscales, bancaires, relayées par les médias du système, Marine Le Pen et le Front National préparent le printemps.
Seule nuance par rapport au poème, cela ne se fait pas en secret, mais dans toute une série d’échanges avec les adhérents, de réunions publiques auxquelles la presse assiste tout en faisant semblant de ne rien voir, de ne rien comprendre.
Mais le travail est bien réel, la refondation n’est pas un vain mot, le Front National a montré au cours des deux premiers mois de l’année une activité, une vitalité, qui le place très loin devant tous nos adversaires.
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Hôpital public menacé : il ne fallait pas voter Macron !
Le 29 mars la Conférence régionale de la santé et de l’autonomie (CRSA) doit se prononcer sur le 2ème Plan régional de santé.
Les grandes lignes sont déjà connues, avec toujours davantage de mesures d’économies, suppressions de lits, fermetures des services ou des hôpitaux de proximité.
A Blois des médecins se sont regroupés dans un collectif pour proposer d’autres solutions.
Il faut dire qu’il est prévu pour l’hôpital de Blois la suppression de 11 lits en maternité dès le printemps 2018, en attendant une restructuration encore plus radicale (la Nouvelle République du 1er mars 2018)..
Les élus locaux, les syndicats et certains partis de gauche protestent et annoncent des manifestations.
Pourtant ils auraient dû s’y attendre, ces nouvelles mesures étaient annoncées il y a un an par M. Macron.
Pour défendre l’accès à la santé et l’hôpital public, ils avaient le choix de voter pour Marine Le Pen.
C’est bien ce qui explique l’échec des mouvements de protestation depuis la rentrée dernière : comment ceux-là même qui ont appelé à voter Macron peuvent-ils mobiliser pour combattre des réformes qui étaient annoncées ?
Nous serions intéressés par contre de connaître la position des élus locaux membres du CRSA qui auront à se prononcer le 29 mars sur la Plan régional de santé.
Vous pouvez consulter la liste des membres du CRSA et poser la question directement à vos élus en leur écrivant à : ARS Centre-Val de Loire – Cité Coligny – 131 rue du faubourg Bannier – BP 74409 – 45044 ORLEANS CEDEX 1.
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Tupperware licencie, mais la Région annonce « une très bonne nouvelle » ?
C’est sur le site de la Région Centre-Val de Loire. Alors que la fermeture de l’usine Tupperware de Joué les Tours est confirmée et que 235 derniers salariés vont être licenciés, la Région leur annonce « une très bonne nouvelle » : ils vont pouvoir bénéficier des « Visas libres savoirs ».
Destinés en priorité aux demandeurs d’emploi et aux salariés précaires, les Visas libres savoirs sont des formations aux savoirs de base. Il en existe 5 différents : Trois en un (français, mathématiques et logique), Pro numérique, Anglais Professionnel ou Langues Professionnelles, Eco-citoyen (environnement, hygiène et sécurité) et Compétences Professionnelles.
Pas certain que des salariés dont certains avaient parfois 30 ans d’ancienneté puissent se reconvertir et trouver un emploi avec un tel dispositif.
Au moins durant la durée du stage (et même un peu au-delà…) ils n’apparaîtront pas dans les statistiques de la DIRECCTE en catégories A,B,C.
Pour mémoire le site de Tours ferme en raison d’une délocalisation de la production dans d’autres pays de l’Union européenne.
Véronique Péan, élue régionale d’Indre et Loire et conseillère municipale de Joué les Tours, était intervenue lors des orientations budgétaires en novembre dernier pour dénoncer cette décision, en rappelant le précédent de Michelin : « à Joué, nous attendons toujours les emplois recréés prévus dans la convention de revitalisation.«
Les socialistes s’étaient indignés, mais l’élu socialiste au Conseil régional et ancien député Jean-Patrick Gille doit bien reconnaître aujourd’hui que la décision de fermeture de l’usine est «un choix stratégique opportuniste (de la direction de Tupperware) à partir des ordonnances Macron» (le Figaro-AFP le 28/02/2018).
«Tupperware a quatre usines en Europe: Portugal, Grèce, Belgique et France. On ne ferme que la française… On nous dit qu’on coûte trop cher !», avait dénoncé Antonio Constantino (CGT).
Encore une fois les uns et les autres sont bien forcé de donner raison au Front National et à Marine Le Pen : c’est bien elle qui a dit la vérité aux Français lors du fameux débat !
Salon de l’Agriculture : pourquoi Marine est-elle si bien accueillie ?
Au grand dam de tous ceux qui l’avaient déjà enterrée, Marine le Pen a reçu, et de loin, le meilleur accueil au Salon de l’Agriculture comparé à tous ses concurrents.
Macron a été copieusement sifflé, malgré un déploiement de moyens exceptionnel : selon le Figaro son escorte ne comportait pas moins de 1000 personnes, dont 300 policiers en tenue, autant en civil, et une « claque » destinée à l’accueillir dans chaque hall pour faire illusion.
Wauquiez a tenté de séduire les professionnels, mais l’accueil du public était plutôt indifférent.
C’est tout autre chose avec Marine Le Pen, attirant toujours une foule nombreuse, multipliant les « selfies », répondant aux dizaines de journalistes qui l’ont suivi, à l’aise sur tous les sujets et avec tous les publics.
Elle a aussi rencontré les représentants des différentes filières, montrant une parfaite connaissance de la question agricole, à la différence d’un Macron qui s’est contenté de phrases creuses toujours aussi déconnectées de la réalité.
Il faut dire que le Front National a pour lui le mérite de la cohérence : il a toujours dénoncé les méfaits de la politique agricole de l’UE, la concurrence déloyale intra-européenne et l’ouverture au libre-échange avec le TAFTA, le CETA et le Mercosur.
Contrairement au parti de M. Wauquiez, auquel Marine Le Pen n’a pas manqué de rappeler ses positions à Bruxelles : « Concernant le vote du CETA au Parlement européen, il y a un an, douze eurodéputés LR ont voté pour, 5 se sont abstenus, 2 avaient piscine : voilà la défense de l’agriculture française selon LR« .
On observe la même chose à la Région.
Certes le groupe de Guillaume Peltier a voté un voeu demandant le maintien du classement en Zone défavorisée des communes de la Région Centre-Val de Loire qui en étaient exclues, mais au sujet des Fonds « européens » post-2020, il n’a pas eu le courage de s’opposer au Président Bonneau qui demande aux Etats de donner davantage d’argent à l’Europe et recommande un impôt européen. Il a préféré s’abstenir, de peur sans doute de voir son groupe se diviser sur la question.
Vous pouvez retrouver les interventions de nos élus sur le site du groupe FN Centre-Val de Loire.
Formation des secrétaires aux adhésions en Région Centre-Val de Loire.
Le Front National poursuit son travail d’organisation, d’implantation et de formation afin d’améliorer le fonctionnement des services et donc son efficacité politique.
C’est dans cet esprit que le Service National des Adhésions a été récemment réorganisé pour être encore plus performant et plus réactif.
Un logiciel national de saisie et de gestion des adhésions, accessible aux fédérations, sera prochainement mis en service.
Les secrétaires aux adhésions sont réunis à Blois cet après-midi pour une formation sur les nouvelles procédures et une présentation du logiciel.
La prochaine formation sera destinée aux responsables à la communication.
Zones défavorisées, rapport Spinetta : ils maudissent les effets dont ils chérissent les causes !
Les élus régionaux ont été unanimes pour voter deux voeux à l’adresse du gouvernement.
L’un portait sur le maintien des zones défavorisées simples, qui conditionnent le versement des indemnités compensatoires de handicap naturel et donc la survie de nombreux exploitants, en particulier des éleveurs.
Le second visait à défendre les lignes ferroviaires « du quotidien », autrement dit les petites lignes jugées non rentables et condamnées au nom de l’ouverture à la concurrence.
Les élus du groupe FN avait assuré le Président de Région de leur soutien à ces voeux. Le groupe UDC avait été de jouer « perso » en déposant deux voeux sur les mêmes sujets. Ils ont finalement préféré les retirer.
Cela dit, nous ne sommes pas dupes. Comme nous l’avons déjà dit la question des zones défavorisées résulte d’une décision de Bruxelles, et la carte définitive ne sera connue, en principe le 1er mars, qu’après validation par la Commission européenne. Or le Président souhaitait, dans un rapport présenté au cours de la même session, donner encore plus de pouvoirs à l’Union européenne. D’où l’observation de Charles de Gevigney : « ils maudissent les effets dont ils chérissent les causes« .
Nous aurions pu faire la même réflexion sur le ferroviaire, puisque la fermeture annoncées des lignes secondaires résulte de la mise en concurrence imposée par Bruxelles.
C’est Michel Chassier qui est intervenu sur le sujet, en expliquant comment la mise en concurrence s’opposait au principe même du service public, qui repose sur la notion de péréquation : les lignes rentables financent celles qui ne le sont pas.
Si l’on appliquait les conclusions du rapport Spinetta à tous les transports en commun, même le métro parisien ne roulerait plus !
Sans parler de la Poste, qui devrait abandonner la distribution du courrier en zone rurale.
On voit bien à quel point Macron est soucieux de suivre la feuille de route qui lui a été assignée par ses commanditaires. A vrai dire il n’a guère le choix, car les mêmes qui l’ont fait élire grâce aux médias qu’ils contrôlent peuvent demain le faire tomber s’il ne respectait pas ses engagements.
Lire la réponse de Michel Chassier sur le site du Groupe FN-CVL.
80 km/h : les élus régionaux du FN déposent un voeu.
Daniel Fraczak (conseiller régional FN d’Indre et Loire) a défendu le voeu contre la limitation à 80 km/h.
Lors de la session du 22 février, le groupe FN-CVL a présenté un vœu pour demander au Premier Ministre l’abandon de l’abaissement indifférencié de la vitesse à 80km/h sur le réseau secondaire et qu’à défaut, le territoire régional puisse exercer son droit à l’expérimentation d’une vitesse maximale autorisée dérogatoire à 90km/h sur les tronçons préalablement définis par les départements. Ce voeu était motivé par les résultats d’une étude qui montre que cette réduction expérimentale aurait contribué à l’augmentation du nombre d’accidents sur les tronçons concernés.
Les habitants de la Région Centre seraient particulièrement pénalisés par cette mesure d’autant plus incompréhensible que les maires et les préfets ont déjà un pouvoir de réglementation leur permettant par arrêté de moduler la vitesse limite en fonction des particularités locales dans les zones de danger. Une réduction générale uniforme n’a aucune justification.
Lire la suite sur le site du Groupe FN-Centre Val de Loire.
Région Centre-val de Loire : une session bousculée par une actualité… qui donne raison au FN !
Michel Chassier, président du groupe FN en Région centre-Val de Loire.
Nous l’avions annoncé aux médias régionaux dès lundi : cette courte session risquait fort de ressembler à une prolongation des voeux (voir aussi la Nouvelle République du 22/02)
En effet, sur les trois rapports abordés, on peut se poser la question des réels pouvoirs de la Région.
Sur l’emploi, premier sujet traité ce matin, la Région est en train de perdre face au gouvernement sur l’apprentissage, elle a surtout en charge la formation professionnelle, mais le plan dit des « 1 million de formation » a largement dérivé sur des formations non qualifiantes pour faire du chiffre. Au final l’impact de la politique régionale sur le chômage est vraiment difficile à évaluer, mais il n’est certainement pas déterminant. Jeanne Beaulier, Ludovic Marchetti et Phililippe sont intervenus tour à tour (voir le site du groupe FN-CVL).
Ensuite le Schéma Régional de l’Enseignement Supérieur de la Recherche et de l’Innovation fait partie des ces schémas obligatoires que la Région doit voter… mais qui n’a qu’une valeur indicative. Qu’on le veuille ou non, la Région ne peut pas décider l’ouverture ou de la fermeture d’une filière universitaire, d’une école d’ingénieur, de la création d’une communauté universitaire, encore moins de la question de la 1ère année de médecine à Orléans ! Tout au plus peut-elle être appelée à financer des bâtiments, des équipements, quelques bourses doctorales ou encore ce qui relève de la vie étudiante (santé, logement, social). Véronique Péan, Stanislas de la Ruffie et Matthieu Colombier sont intervenus sur le sujet (voir le site FN-CVL).
Mais le rapport le plus « chaud » était abordé l’après-midi, il était question des Fonds européens structurels d’investissement post-2020. En fait la région devait se positionner entre les 5 scénarii du livre blanc sur l’avenir de la politique de cohésion présenté il y a un an par M. Juncker.
Et d’emblée le président Bonneau et sa majorité défendent l’idée du toujours plus d’Europe, en augmentant la contribution des Etats et en créant si besoin un impôt européen.
Michel Chassier, Jean-René Coueille, Charles de Gegigney et Stanislas de la Ruffie sont intervenus pour exprimer la position du Front National, seul à voter contre ce rapport, mais le groupe UDC de Guillaume Peltier a été obligé de s’abstenir (voir le site FN-CVL).
La séance s’est poursuivie ensuite par une série de voeux. Nous y reviendrons.
Encore une fois ce qui pensaient que le FN n’avait plus rien à dire en ont été pour leurs frais.
Non seulement nos élus sont présents sur tous les sujets, mais en plus ils sont les seuls à être parfaitement cohérents.
Au contraire de ceux qui pleurent sur la carte des zones défavorisées ou sur le ferroviaire, sans reconnaître que cette situation qu’ils dénoncent n’est que la conséquence de leurs choix.
22 février : vos élus en session à Orléans.
Jeudi 22 février vos élus siègeront à Orléans pour examiner les rapports de la session plénière : mobilisation pour l’emploi, enseignement supérieur et recherche, avenir les politiques de cohésion européennes après 2020.
Vos élus interviendront sur tous les dossiers, vous pourrez retrouver la synthèse de leurs interventions sur le site du groupe FN-CVL en cours de journée, et suivre les débats en direct sur le site de la Région jeudi 22/02 à partir de 9 heures.
Mise à jour du 22/01 : en raison d’opérations de maintenance chez notre hébergeur, le site du Groupe FN-CVL n’est pas accessible.
Mise à jour à 16 h 00 : le site du Groupe FN-CVL est rétabli.
Région Centre-Val de Loire : des voeux en février.
La session plénière du 22 février risque fort de ressembler à une prolongation de la période des vœux.
Alors qu’il sera question dans le rapport sur la PAC post-2020, sur laquelle la Région ne peut d’ailleurs qu’émettre des souhaits, l’exécutif est obligé de répondre dans l’urgence aux questions d’actualité, sous forme de vœux que le Président propose de partager avec les groupes d’opposition.
Le groupe UDC, sans doute embarrassé par le rapport sur la PAC qui risque de faire éclater les contradictions entre les fédéralistes et les wauqiéristes, nouveaux convertis de l’euro-scepticisme, a choisi de faire diversion en parlant de sujets qui ne sont pas à l’ordre du jour comme la fermeture des classes en milieu rural ou la désertification médicale.
Autrement dit la discussion sur les vœux pourrait durer plus longtemps que l’examen des rapports à l’ordre du jour, ce qui est quelque part un aveu d’impuissance de la Région, car chacun sait que ces vœux relèvent de la communication et demeurent purement symboliques. Le gouvernement va bien entendu s’asseoir dessus, sans parler de Bruxelles.
Au contraire le groupe Front National a bien l’intention de recadrer les débats en mettant les uns et les autres devant leurs responsabilités.
Elus en formation, réunion à Montargis : le FN est toujours aussi actif en région Centre.
Ce week-end Aurélien Legrand poursuivait sa tournée des fédérations de la Région centre Val de Loire avec le Loiret.
En raison de la législative partielle qui se déroulera fin mars, la réunion avait lieu à Montargis en présence Ludovic Marchetti, Secrétaire départemental, conseiller régional du Loiret et conseiller municipal d’Amilly, qui sera le candidat de Marine Le Pen dans la circonscription.
Il était la semaine précédente en Indre et Loire, tandis que plusieurs élus régionaux de la Région étaient en formation à Sèvres sur l’aménagement du territoire, le développement économique, les lycées et l’enseignement supérieur.
La semaine qui débute va être marquée par plusieurs réunions : conseil municipal de Blois, session plénière à Orléans, où vos élus FN seront bien là pour vous représenter.
Censure sur internet : vos élus FN montent au créneau.
L’offensive contre la liberté d’Internet se poursuit tous les jours.
La dernière élection présidentielle a bien montré à quel point les grands médias ont joué un rôle déterminant.
Mais face à cette forme de monopole, Internet permet aux citoyens d’accéder directement et souvent plus rapidement à l’investissement.
Ce qui permet parfois de contrer l’omerta médiatique sur les sujets qui fâchent.
Dernier exemple en date « l’affaire Théo » : les images de la vidéo surveillance prouvant que le fameux Théo n’avait pas été « violé » comme il le prétend, ont commencer à circuler sur le Net et à se répandre comme une trainée de poudre.
Il aura fallu une bonne semaine avant que les médias officiels reprennent l’information qu’il ne pouvaient plus étouffer.
Et ce n’est pas le seul exemple.
Cela explique la multiplication des attaques contre la liberté d’expression sur Internet.
En Région Centre les 11èmes assises internationales du journalisme, qui se tiennent à Tours du 14 au 17 mars vont aborder le sujet.
Mais pas du tout pour dénoncer cette nouvelle forme de censure, au contraire, puisque parmi les « nominés » pour le grand prix du journalisme 2018 on trouve notamment l’organisation Cross Check, chargée avec le soutien de Google de lutter contre les « Fake news » grâce à une plateforme de délation en ligne qui permet de « signaler » un contenu qui déplait. La vérification étant faite par les journalistes de Libération, Rue 89, le Monde, La Voix du Nord etc… détenteurs de la vérité officielle.
Autre nominé le site Infomigrants, destiné à lutter contre « la désinformation sur les migrants ». Là encore il s’agit d’imposer une vision politiquement correcte des phénomènes migratoires.
La Région prévoit d’accorder une subvention de 50 000 euros à cette manifestation, sur un budget total de 293 000, financé à 100% par diverses autres subventions des collectivités.
En commission permanente le 16 février, Michel Chassier est intervenu pour dénoncer cette dérive, et le groupe FN a été le seul, une fois encore, à s’opposer.
Zones défavorisées : les promesses seront-elles tenues ?
Suite à leur action déterminée, les agriculteurs de la Sologne loir-et-chérienne ont obtenu la promesse du maintien de toutes les communes classées jusqu’ici en zone défavorisée, condition sine qua non pour bénéficier d’aides indispensables à la survie des exploitations, particulièrement dans l’élevage.
Mais en contrepartie d’autres communes de la Région Centre-Val, de Loire en sont exclues.
Dans un projet de voeu à l’occasion de la prochaine session le président Bonneau déplore « le fait que les critères du Ministère de l’Agriculture amenèrent à des résultats radicalement différents au fil des semaines. »
Il semble que la carte évolue aussi au gré des protestations.
Lors de la dernière commission permanente vendredi dernier, Harold Huwart, 5e vice-Président délégué développement Économique, à l’économie sociale et solidaire et à l’agriculture, a déclaré que la carte allait être rendue publique.
Il ignorait sans doute que deux jours plus tôt le ministre avait dit le contraire, préférant attendre la validation de Bruxelles le 1er mars. Michel Chassier lui a d’ailleurs répondu : « la France propose, Bruxelles dispose. »
Mais le plus étonnant dans ce contexte, c’est de voir tous ces élus PS, Verts, LR, UDI, soutenir les agriculteurs alors qu’ils ont depuis des années, tour à tour aux affaires, soutenu les politiques qui ont conduit notre agriculture dans cette situation.
Pire, ils n’entendent pas en changer, puisqu’ils ont tous soutenu Macron il y a un an. Charles de Gevigney leur a fait remarquer à son tour : « vous en êtes réduits à quémander auprès de l’Europe « .
La question va revenir jeudi prochain en session plénière.
Ferroviaire, zones défavorisées : l’Etat ne tient pas ses promesses, car c’est l’Europe qui décide.
Avec la politique de Bruxelles relayée par Macron, il n’y aura bientôt plus de vaches dans nos campagnes. Elles ne pourront pas non plus regarder passer les trains qui disparaissent…
En marge de la Commission permanente régionale qui se tenait ce matin à Orléans, le président Bonneau a évoqué deux dossiers d’actualité : les zones agricoles défavorisées et le ferroviaire avec le rapport Spinetta.
Au sujet des ZDS la Région demande le maintien des zones existantes, tout en retenant les nouvelles, et déplore les revirements permanents du gouvernement, qui modifie la carte jour après jour au gré des protestations.
Dans le débat qui a suivi Michel Chassier a souligné que la carte définitive, qui devrait être arrêtée cette semaine, ne sera pas publiée avant le 1er mars, car elle demeure soumise à l’approbation de Bruxelles.
Enfonçant le clou, Charles de Gevigney s’étonne de voir tous ces élus PS, LR, centristes ou écologistes, quémander sans cesse auprès de Bruxelles. C’est le fruit amer des politiques qu’ils ont tous soutenues depuis des années.
Même chose sur le ferroviaire, où la Région se vantait d’être parvenue à un accord favorable avec l’Etat pour le transfert des lignes TET. Le rapports Spinetta vient tout remettre en cause… alors que les premières rames sont déjà commandées !
Mais là aussi, le couperet de la concurrence imposée par Bruxelles met la France et la SNCF au pied du mur.
Les élus FN sont également intervenues sur plusieurs rapports, refusant notamment des subventions pour des actions qui n’ont pas abouti, ou encore pour des projets qui ne relève pas de l’intérêt général, comme la coopération internationale ou encore les Assises du journalisme de Tours qui soutiennent le renforcement de la censure sur Internet.
Les élus du groupe UDC de Guillaume Peltier ne sont intervenus sur aucun des rapports, ils se sont contentés d’une seule abstention sur un dossier.
Au fils des réunions, on constate que le Front national est bel et bien la seule opposition crédible.
Vos élus régionaux au travail.
Les élus du groupe FN Centre-Val de Loire était réunis hier à Orléans pour préparer la prochaine session plénière du 22 février et la commission permanente du 16.
En préambule Michel Chassier a fait le compte-rendu de la réunion des présidents de groupes FN qui s’était tenue la veille à Nanterre avec Marine Le Pen.
Trois rapports seulement sont à l’ordre du jour le la plénière dans un contexte particulier par rapport à l’actualité.
Le premier porte sur schéma régional de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation. Il pose à nouveau le problème de la répartition des compétences, des décisions et des financements.
Le second s’intéresse à « l’avenir des fonds européens structurels » après 2020, en liaison avec le « livre blanc » publié par la Commission européenne (Réflexions et scénarios pour l’UE-27 à l’horizon 2025).
Enfin le dernier rapports porte sur la mobilisation de la Région pour l’emploi. Sujet sur lequel il y aura également beaucoup à dire, au moment où se profile une réforme de l’apprentissage qui ne fait pas l’unanimité.
Pour la commission permanente c’est une soixantaine de rapports qui ont été passés en revue par les élus et les assistants du groupe.
Nous reviendrons prochainement sur les points les plus intéressants.
Zone agricoles défavorisées : les agriculteurs solognots gagnent une manche.
Philippe Loiseau, député français au Parlement européen, membre de la commission Agriculture et développement rural.
Les agriculteurs solognots, après avoir passé 3 nuits à bivouaquer devant la sous-préfecture de Romorantin, ont levé le camp hier suite à la promesse qu’ils ont reçue du ministère d’un rétablissement des communes exclues dans le périmètre des zones agricoles défavorisées simples (la Nouvelle République du 10/02/2018).
On ne peut que s’en féliciter, à condition que tout cela soit confirmé dans la carte officielle qui ne sera publiée que la semaine prochaine, alors qu’il faut s’attendre à de nouveaux arbitrages (*).
Car dans le même temps, 200 communes de la Région centre Val de Loire demeurent exclues, et les agriculteurs d’Indre et Loire bloquaient hier encore le péage de l’A10 à Monnaie. Sans parler des blocages dans la région de Toulouse ou de Montauban, passés pratiquement sous silence par les médias macronistes.
Comme nous l’expliquions il y a trois jours, cette réforme imposée par Bruxelles doit être « budgétairement soutenable, dans un contexte contraint ». Par conséquent à budget égal avec une Europe élargie à 28, dont des pays aux revenus moins élevés qu’en France, nous serons forcément perdants.
Et si les agriculteurs solognots semblent avoir gagné cela veut dire, dans une enveloppe qui ne changera pas au niveau national, que d’autres départements perdront.
En fonction de la contestation ici où là il y aura sans doute encore des ajustements.
La méthode gouvernementale n’a pas changé : donner d’une main pour reprendre de l’autre, déshabiller Pierre pour habiller Paul, lâcher un peu de lest lorsque la contestation est trop forte… Toutes les combines de cet ancien monde politique qui n’a pas changé, incarné aujourd’hui par Macron que les Français ont élu il faut dire par couardise.
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Leur Europe ne fait pas recette.
« En raison d’un nombre d’inscriptions insuffisant à ce jour, nous sommes au regret de vous annoncer le report de cette manifestation. »
Contrairement à ce que prétend la propagande officielle, complaisamment relayée par les médias « mainstream », l’Europe ne fait toujours pas recette.
C’est bien pourquoi tous les défenseurs du fédéralisme européen et du mondialisme multiplient les actions, avec l’argent public, pour tenter de convaincre les récalcitrants des bienfaits de l’Union européenne.
Régulièrement les élus FN critiquent les subventions à des organismes ou à des événements dont le seul but est de promouvoir leur vision de l’Europe et la « citoyenneté européenne », qui bien sûr n’existe pas. Ils sont les seuls à voter contre ces subventions, alors que la majorité comme les élus de l’UDC (union de la Droite et Centre), le groupe de Guillaume Peltier approuvent systématiquement.
Le 14 février la Région Centre-Val de Loire avait prévu d’organiser à Tours une rencontre sur le thème « Et si on parlait d’Europe ? »
Nous avons appris jeudi le report, sine die, de cette manifestation « en raison d’un nombre d’inscriptions insuffisant. »
Pourtant quelques élus FN s’y étaient inscrits…
Cela démontre bien que ces palabres et leur conception de l’Europe ne passionnent guère les citoyens et les élus.
L’élection de M. Macron, fondée sur l’imposture et le mensonge, n’y a rien changé.
Nous aurons l’occasion d’en reparler lors de la prochaine session du Conseil régional le 22 février.
Zones défavorisées : les agriculteurs solognots ne lâcheront pas.
Après la manifestation du 23 janvier, les agriculteurs solognots attendaient une réponse. Ils avaient été reçus il y quinze jours par un conseiller du Premier ministre, mais depuis plus rien.
C’est pourquoi ils ont décidé de s’installer devant la sous-préfecture de Romorantin, malgré le froid et la neige, pour y camper jusqu’à obtenir satisfaction (la Nouvelle République du 7/02/2018).
Il faut dire que pour certains éleveurs la fin des aides signifierait l’arrêt de l’activité, faute de prix rémunérateurs qui leur permettraient de vivre.
Et ce n’est pas le CETA ou les accords avec le MERCOSUR qui vont améliorer la situation. Là aussi Macron, reniant ses promesses, demande que les négociations soient accélérées.
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Région Centre-Val de Loire : le FN dénonce la mascarade de la « démocratie participative ».
Capture d’écran au 31/01/2018 : sur une population de 2,56 millions d’habitants, 6 participants (*) sur le forum « la Région à 360°« .
Après le scandale de la consultation lancée à Paris par Anne Hidalgo (224 580 € pour une consultation « citoyenne » sur la propreté), les élus FN Centre Val de Loire renouvellent leurs critiques à l’égard de la « démocratie participative » mise en place par le Président Bonneau.
Dans un communiqué ils font le constat, chiffres à l’appui, de ce simulacre de démocratie, encadrée par l’Exécutif du Conseil régional.
A l’heure où nous écrivons les médias régionaux n’ont pas encore relayé ce communiqué, pas plus que le précédent au sujet du FRAC.
Ce qui leur permettra de dire d’ici quelque temps « on n’entend plus le FN« .
Le texte intégral du communiqué se trouve sur le site internet du groupe FN-CVL, à vous de le diffuser massivement.
(*) sur 1 827 599 électeurs inscrits, cela représente un taux de participation de 0,0003%.
Travailleurs détachés : Marine avait raison !
Jour après jour les Français peuvent le constater : les faits nous donnent raison.
Dernière mauvaise nouvelle : en 2017 le nombre de travailleurs détachés a très fortement augmenté.
La France en 2017 a comptabilisé officiellement 516 000 salariés détachés, un chiffre en augmentation de +46% par rapport à 2016, hors transport routier où la réglementation est encore plus laxiste (voir sur le sujet le communiqué de Dominique Martin).
Encore ce chiffre est-il nettement sous estimé, car il faut tenir compte des travailleurs non déclarés. D’ailleurs, curieusement, le nombre de contrôles menés par l’inspection du travail a diminué. En effet, en 2017, elle est intervenue 965 fois en moyenne dans le cadre de la lutte contre le travail détaché, contre 1 330 en 2016, soit une baisse de 27%. « Ce qui laisserait entendre que ce combat n’est plus forcément une priorité pour le Gouvernement. » selon la CAPEB (Confédération de l’Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment). Mais ce qui compte semble-il pour M. Macron, c’est de satisfaire ses amis des grands groupes du BTP qui lui ont permis d’accéder au pouvoir en bétonnant… la presse et les médias.
Encore une fois c’est Marine qui avait raison face à Macron, contrairement à ce qu’on vous répète régulièrement.
Et les élus du Front National sont les seuls à combattre ce système mis en place par l’Union européenne pour favoriser le dumping social.
En Région Centre le groupe FN a déjà déposé plusieurs amendements ainsi qu’un voeu pour limiter le recours au travailleurs détachés. Certains élus LR tiennent parfois des propos similaires, mais ils défendent l’Union européenne… et ils ont appelé à voter Macron !
Contre le 80 km/h : le FN soutient les manifestants.
Le combat contre la limitation à 80 km/h continue et s’amplifie.
A l’occasion d’une nouvelle journée de manifestations ce samedi, près de 2 000 motards se sont rassemblés devant la Préfecture de Châteauroux, venant des 6 départements de la Région.
De nombreux sympathisants du FN se trouvaient parmi eux et plusieurs de nos responsables sont venus se joindre à eux, au départ de la manifestation dans le Cher, et à l’arrivée à Châteauroux avec Mylène Wünsch, Secrétaire départementale de l’Indre.
D’autres actions sont prévues afin d’obtenir l’abandon du projet.
Apprentissage : une remarque raciste de la FSU.
Dans un communiqué publié hier par la Nouvelle République (01/02/2018), le syndicat d’enseignants FSU s’en prend à nouveau à l’apprentissage, qu’il juge « ségrégatif, inégalitaire et inefficace ».
Sur ce dernier point la FSU n’apporte pas le moindre élément de preuve et pour cause puisque tous les chiffres démontrent au contraire que l’apprentissage est la meilleure façon d’accéder à l’emploi.
La FSU défend en réalité un intérêt purement corporatiste, craignant que le succès des formations en alternance ne détourne les jeunes de certains enseignements professionnels dispensés dans les lycées.
Le Front National a toujours défendu l’apprentissage qui, faut-il rappeler, propose aujourd’hui des formations à tous les niveaux, du CAP au diplôme d’ingénieur.
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