Le dernier sondage IFOP, réalisé avant la journée du 17 novembre, confirme la progression du Rassemblement national dans les intentions de vote pour les européennes de mai 2019.
Avec 22% (+ 2 points), notre liste arrive nettement en tête, devant le conglomérat LREM-MoDem à 19% (-1), LR à 13% (-1), LFI à 10% (-1).
Trois autres listes pourraient avoir des sièges : EELV à 7%, le PS à 6%, sans changement, DLF également à 6% (-0,5).
Nul doute que la dynamique est en notre faveur, elle pourrait même se renforcer tant les faits nous donnent raison.
Nous le constatons sur le terrain, en particulier hier avec la manifestation des gilets jaunes, mais aussi avec une nette reprise des adhésions depuis quelques semaines, également sur internet où notre site a reçu environ 1400 visites le 17 novembre, tandis que nous sommes toujours aussi actifs sur les réseaux sociaux.
Le système est parvenu à se défendre en mai et juin 2017, mais cette fois-ci, dans une élection à la proportionnelle et sur un seul tour les Français vont pouvoir se faire entendre, n’oubliez pas que chaque voix comptera.
Et nous ne serons pas seuls : en Europe les peuples se réveillent, nos alliés sont déjà aux affaires dans plusieurs pays, où leur cote de popularité ne fait que grandir, car ils tiennent leurs promesse. Promesses faites au peuple bien entendu, et pas aux banques et aux affairistes comme un certain Macron, tenu par ceux qui l’ont fait élire en trompant une fois de plus les Français.
Mais c’était peut-être la fois de trop…
Européennes 2019 : le Rassemblement national creuse l’écart.
17 novembre… et après ?
La colère enfle dans tout le pays.
Le mouvement du 17 novembre contre la hausse du prix des carburants n’est peut-être que le début d’une vague de protestations que redoute le gouvernement.
La Nouvelle République se fait aujourd’hui l’écho de la mobilisation en Loir et Cher et publie la réaction des principaux partis politiques.
Le Rassemblement national est cité, exprimant son soutien à cette journée de manifestations (*). Au passage Michel Chassier, président du groupe RN Centre-Val de Loire dénonce au passage la « bombe à retardement » que constitue la voiture électrique d’un point de vue écologique. Et donc l’ineptie de ces taxes censées financer la « transition énergétique, ce qui en plus est faux, puisque les taxes servent surtout à réduire le déficit du budget de l’Etat.
Les Républicains, à l’origine de la taxation « Grenelle » avec Nicolas Sarközy et Nicolas Hulot, comme le rappelait Gilles Godefroy au Conseil régional, proposent par la voie de Guillaume Peltier un « chèque carburant » de 100 €, sans expliquer comment il serait financé ! Réponse : par les entreprises et sans doute par les Régions, autrement dit une nouvelle taxe qui viendrait s’ajouter au taxes sur les carburants.
La France dite « insoumise » est incapable de se positionner, et craint de s’associer à un mouvement typiquement « populiste ».
La représentante locale des macronistes prouve encore à quel point son mentor est totalement ignorant des réalités, en proposant de « remettre en question notre utilisation des véhicules, de penser la mobilité autrement. Dans la vie de tous les jours, on peut adopter d’autres comportements, avec le covoiturage, la prime à la conversion, envisager le télétravail quand c’est possible… »
Propos complètement déconnectés de la réalité.
Tout comme ceux de Charles Fournier pour les écologistes : « Comme écolo je ne partage mais pas du tout le fond si celui-ci, c’est le refus d’augmentation du prix du carburant au nom du fameux pouvoir d’achat (comme s’il rendait heureux… le pouvoir de vivre décemment oui et oui, le pouvoir d’achat bof)« .
Tant mieux pour lui s’il n’a pas de problème de pouvoir d’achat, mais ce n’est pas le cas de beaucoup de nos concitoyens.
Vous avez bien compris que seul le Rassemblement national est cohérent dans ses prises de positions, c’est pourquoi, sans afficher de slogans ou de banderoles pour respecter le désir des organisateurs, nos élus, nos adhérents, nos sympathisants et nos électeurs seront présents en nombre pour cette première journée de mobilisation.
En souhaitant qu’elle ne demeure pas sans suite.
Dès le 19 novembre, un appel a été lancé par des routiers pour un blocage total du réseau routier. Une vidéo sur Facebook dépasse déjà les 1 600 000 vues !
Mais surtout il faut traduire ce mouvement de colère par une solution politique, et donc se mobiliser dès maintenant pour les élections européennes de mai 2019 en soutenant la liste d’union autour du Rassemblement national.
(*) nous relaierons prochainement sur notre site les points de rassemblement prévus en Loir et Cher.
Européennes 2019 : le Rassemblement national en 1ère position, Macron s’affole !
Nous avions ressenti la dynamique depuis la rentrée.
Déjà un sondage nous avait donné au coude à coude avec la liste Macron, désormais nous la distançons : 21 % contre 19.
Et ce n’est pas fini. En 2014, les sondages avaient sous-estimé notre score, tout laisse à penser que ce sera encore le cas.
Plusieurs raisons à cela :
– comme nous ne cessons de le répéter, les faits nous donnent raison jour après jour,
– partout en Europe nos alliés progressent, certains participent déjà à des coalitions au pouvoir,
– Macron tombe chaque jour plus bas, et semble incapable de relever, les Français ont compris – un peu tard – à quel point il les méprise et à quel point il est incapable de gouverner.
– Les Républicains, en partie compromis avec Macron qu’ils ont fait élire, profondément divisés sur l’Europe, se retrouvent à 13%, quand à l’opposant en carton-pâte Mélenchon, il s’effondre littéralement à 11% d’intentions de vote.
Ce résultat est aussi le fruit d’un travail acharné mené depuis la présidentielle à tous les niveaux de notre mouvement, même si les médias refusent de le voir, de l’action permanente de nos militants au sein de nos fédérations, du travail de nos élus.
Il n’y a pas de semaine sans réunion ou sans action militante dans toute la Région, au grand dam de ceux qui annonçaient notre mort prochaine et qui s’en réjouissaient.
Ce retour en force est encore plus marqué chez les jeunes (18-24 ans), où un autre sondage IFOP nous place largement en tête avec 28% des intentions de vote (+ 13%).
Devant cette perspective d’une claque aux européennes, Macron perd son sang froid et tente de jouer sur les peurs en essayant de nous ramener un siècle en arrière, il se comporte dès maintenant comme un chef de parti, à l’opposé du rôle d’un président sous la Vème République.
Ce faisant, il va transformer les européennes de 2019 en référendum anti-Macron, et les Français vont bien comprendre que le vote anti-Macron le plus efficace, c’est la liste d’union qui va se constituer autour du Rassemblement national.
L’heure est donc au rassemblement pour remporter cette grande victoire dans une élection qui peut faire basculer l’Europe, mettre un terme à la dictature de la Commission et rendre au peuples leur liberté de décider ce qui est bons pour eux dans une Europe des nations libres et souveraines.
Il est temps que tous les patriotes, tous les amoureux de la France nous rejoignent ou s’associent au combat que nous menons inlassablement, avec détermination, souvent dans l’adversité mais toujours avec confiance pour notre pays et pour nos enfants.
C’est maintenant qu’il faut choisir la France dans laquelle ils vivront demain.
Les militants toujours sur la brèche !
Non seulement le Rassemblement national est le seul mouvement qui organise régulièrement des réunions partout en France hors période électorale (*) mais nos militants ne relâchent pas leurs efforts.
Plusieurs tracts sont en cours de diffusion (automobilistes, retraités, immigration) tandis que nos équipes ont commencé à coller la toute nouvelle affiche Marine-Salvini.
A l’approche des élections européennes, les actions et les réunions vont se multiplier.
Encore bravo aux militants !
(*) Edwige Diaz était à Orléans le 12 octobre, Philippe Vardon sera dans l’Indre le 27/10, Sébastien Chenu dans le Cher le 28/10.
Rassemblement national : les responsables départementaux de la région réunis à Blois.
Les cadres départementaux du Rassemblement national de la Région Centre-Val de Loire (Délégués départementaux, Délégués départementaux adjoints, Référents départementaux Génération Nation) se sont retrouvés le samedi 20 octobre à Blois pour une journée de travail animée par Michel Chassier, président du groupe RN au conseil régional Centre-Val de Loire.
Au programme le point sur les différentes fédérations, la coordination des actions au niveau régional, la préparation des élections européennes et des municipales.
Une journée d’échanges très riche et très intéressante, au cours de laquelle il a été décidé de mettre en place de nouveaux outils pour la communication interne, afin de faciliter les actions communes ou concertées.
L’occasion aussi d’un point presse pour faire le point sur le Rassemblement national.
Après la déception ressentie par les électeurs comme par les adhérents après les présidentielles, en dépit d’un score historique, chacun ressent dans son département que la dynamique est repartie, et l’année 2019 va voir le grand retour de Marine Le Pen et de notre mouvement au 1er plan, plus que jamais au service de la France et des Français !
Saisonniers de l’agriculture : peut-on faire confiance aux pompiers-pyromanes ?
Les représentants départementaux de la FDSEA et des Jeunes Agriculteurs ont rencontré les parlementaires de Loir et Cher pour défendre les exonérations de charge pour le travail saisonnier (la Nouvelle République du 2/10/2018).
En effet, le projet de loi de finances (budget de l’Etat) pour 2019 prévoit la suppression de cette disposition, destinée à compenser partiellement le coût de main-d’œuvre « beaucoup plus élevé que celui de nos concurrents européens ».
Mais le problème c’est que tous ces parlementaires ont fait voter Macron en 2017.
Une fois encore, ils ne peuvent que déplorer les conséquences de leur choix.
Nous ne manquerons pas d’observer leur vote lors de l’examen de la loi de finances.
Combien oserons voter contre, combien vont prudemment s’abstenir… à moins qu’une envie pressante ne les oblige à quitter l’hémicycle au moment du scrutin… On a déjà vu ça !
Mais pendant ce temps, l’article le rappelle, le gouvernement trouve des solutions pour donner du travail aux « réfugiés ».
On voit bien quelles sont les priorités…
Encore une fois, la meilleure façon de sanctionner Macron et son gouvernement, c’est de placer la liste soutenue par Marine Le Pen et le Rassemblement national en tête aux européennes de 2019 !
Rassemblement national : le retour au 1er plan.
Les attaques médiatiques, financières, judiciaires que nous subissons sans discontinuer ont échoué.
Le dernier sondage pour les européennes donnent notre mouvement en 2ème position, à 1/2 point de la liste LREM, qui rassemble en réalité le MoDem, la majeure partie de l’UDI et une part non négligeable des LR.
Il y a donc de fortes chances pour le RN soit à nouveau largement en tête le 26 mai prochain.
C’est le moment de nous rejoindre, nous avons besoin plus que jamais de votre soutien !
Adhérez en ligne dès maintenant.
Européennes : comment tout peut basculer.
Matteo Salvini en Italie, Marine Le Pen en France : ils défendent leur peuple et leur pays.
Il y a un an beaucoup de nos amis étaient sous le coup de la déception, après avoir tant espéré.
Sans doute n’avaient-ils pas mesuré la capacité de nos adversaires, prêts à tout pour défendre le système et leurs prébendes, avec la complicité des grands médias entièrement sous contrôle.
Certains ont pu douter, se décourager, renoncer, voir critiquer. Y compris des adhérents, qui se disaient « à quoi bon ? » et tout en restant fidèles à leurs idées ne voyaient pas la nécessité de renouveler leur adhésion.
Marine Le Pen et les dirigeants du Front National ont bien compris la nécessité de lancer aussitôt un travail de réflexion sur l’organisation du mouvement et la stratégie.
Ce fut un travail considérable, auquel tous les adhérents ont été associés : réunions, questionnaire, votes à l’Assemblée générale ordinaire puis extraordinaire.
Aujourd’hui le Rassemblement national est en ordre de marche, en dépit de la nouvelle attaque dont il a été victime cet été pour tenter de l’asphyxier financièrement.
Et surtout les Français sont revenus de l’illusion Macron, tombé plus bas que Hollande dans les sondages.
En même temps les faits nous donnent raison, partout en Europe, sur des questions que nous avons été pendant longtemps les seuls à oser aborder, ce qui nous donnent aux yeux de nos compatriotes une légitimité incontestable.
Partout les tenants de l’euro-fédéralisme redoutent un ras de marée du vote qualifié de « populiste » alors qu’il est simplement populaire !
C’est ce qui explique les tergiversations de Macron au sujet du prélèvement de l’impôt à la source, car en vérité il craint l’impact électoral de cette mesure.
En Italie Mattéo Salvini est l’objet d’une véritable ferveur populaire, comme le montre cette vidéo, et son mouvement, qui avait fait un peu plus de 17% aux législatives de mars 2018, est déjà crédité de 32%.
La même évolution est en train de se produire en France, où le Rassemblement national pourrait passer de 20% à 30% des intentions de vote dans les prochains mois.
L’enjeu c’est de vraiment changer de majorité au Parlement européen afin de remettre à plat tout le fonctionnement de l’UE.
Cette fois c’est possible, même s’il faut s’attendre à tout de la part de nos adversaires, qui vont tenter une fois de plus de jouer sur la peur, quitte à provoquer ou encourager des violences pour nous accuser.
Dans ce contexte nous invitons tous nos amis qui ont pu douter un instant à reprendre le combat.
Rejoignez-nous, adhérez, militez, soutenez financièrement notre mouvement selon vos moyens.
Vous pouvez adhérer directement en ligne sur le site du Rassemblement national et contacter notre fédération.
Notre permanence est ouverte le vendredi de 9 heures à 20 heures. Nous vous y attendons.
Sur le marché de Montrichard : la fin de l’illusion Macron.
En mai 2017, conditionnés par une campagne médiatique sans précédent, les Français n’ont pas osé le vrai changement.
Car ce qui leur était présenté comme un renouvellement de la politique balayant les vieux partis n’était qu’une manoeuvre, préparée de longue date, au moins après les régionales de 2015, pour contenir le mécontentement et détourner les électeurs de la seule alternative crédible : Marine Le Pen.
Aujourd’hui le masque est tombé et les Français découvrent jour après jour le vrai visage de ce petit personnage arrogant, méprisant, menteur mais au final impuissant qui se prend pour un président de la République.
Sur les marchés, comme ce matin à Montrichard, les langues se délient et l’on peut surprendre des conversations édifiantes qui en disent long sur le rejet grandissant que suscite l’imposteur.
Après la déception ressentie en 2017 par nos électeurs, l’espoir renaît, probablement bien au-delà.
Partout en Europe les faits nous donnent raison et les solutions que nous proposons depuis longtemps commencent à être appliquées, avec succès par plusieurs pays.
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Européennes 2019 : le Front National en tête des sondages chez les jeunes.
Selon de dernier sondage Elabe (mai 2018), le Front National arrive largement en tête des intentions de vote pour les élections européennes avec 27%, devant LREM (21%), LR (19%) et la France Insoumise (8%).
On comprend mieux l’empressement des partisans d’une Europe fédérale à renforcer leurs tentatives pour endoctriner la jeunesse… aux frais du contribuable, comme nous le voyons régulièrement à la Région Centre-Val de Loire, où seuls les élus FN dénoncent le financement de cette propagande.
L’exemple de l’Italie, où l’Union européenne et tour le système bancaire refusent de reconnaître le choix des électeurs et tentent d’imposer un premier ministre venant du FMI va probablement amplifier cette tendance.
On remarque au passage que Mélenchon continue à s’enfoncer. Dans la crise italienne, il se range du côté de ceux qui refusent le choix des électeurs. Ce qui démontre qu’il ferait comme son ami Tzipras en Grèce, qui applique fidèlement la feuille de route de Bruxelles.
Mais on peur espérer en 2019 un réveil des peuples européens à l’occasion de ce scrutin, qui risque bien de bousculer l’eurocrature !
Le compte à rebours a commencé.
Loir et Cher : le marais de la gauche rend service à Macron.
Ils avaient espéré une marée, c’est plutôt le marais, pour ne pas dire le marigot de la gauche et de l’extrême gauche qui a démontré ses limites.
C’est fini : Mélenchon a perdu son pari, il ne sera jamais le 1er opposant à Macron, comme les tenants du système en place tentaient de le faire croire depuis des mois.
A Blois, la « marée populaire » soutenue au niveau national par plus de 60 mouvements politiques de la gaiche à l’extrême-gauche, plusieurs syndicats et de nombreuses associations (dont combien subventionnées ?) n’a rassemblé, selon le décompte de la Nouvelle République, que 300 manifestants place de la Résistance.
Même constat au niveau national, où tous les observateurs concluent qu’avec de tels opposants, Macron peut dormir tranquille.
Il est désormais certain que la 1ère opposante à Macron est bien Marine Le Pen, la seule à présenter une alternative sérieuse et cohérente.
La gauche et l’extrême-gauche ainsi que la majorité des syndicats se sont fourvoyés et sont incapables de présenter un projet commun.
La grève à la SNCF est incomprise par les Français, car le syndicats donnent l’impression de défendre uniquement le statut des cheminots, alors que le vrai sujet est le projet de casser la SNCF pour la privatiser à terme, selon le modèle de France Télécom.
Pendant ce temps le Front National a mené depuis un an un travail de refondation, de réflexion sur la stratégie, de réorganisation, qui va lui permettre, après la dernière étape du changement de nom, de lancer dès la rentrée la campagne des européennes.
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LR + EM = LREM. Wauquiez se rapproche de « En marche » pour les municipales.
« Je suis oiseau, voyez mes ailes, je suis souris, vivent les rats » (Jean de la Fontaine, la souris et les deux belettes) Caricature de Daumier. Tradiction moderne : « Je parle comme Marine, je vote comme Macron » (Laurent Wauquiez).
C’est Laurent Wauquiez qui le dévoile dans le Journal du Dimanche.
Pour les municipales, il ne veut pas d’accord avec le FN, mais il est prêt à ouvrir ses listes aux candidats « En marche ».
Cette révélation, qui pour nous n’en est pas une, confirme une fois de plus le double langage des « Républicains », qui tentent de séduire l’électorat du FN, tout en votant à Paris et à Bruxelles à l’opposé des positions qu’ils prétendent défendre, les exemples sont innombrables.
Nous le constatons également au conseil régional avec Guillaume Peltier, dont la proximité avec le Président Bonneau lui a valu d’être appelé par la presse « le 14ème vice-président ».
Les mauvais sondages, l’approche des européennes, devraient entraîner rapidement une clarification de la situation et l’éclatement définitif de LR entre ceux qui veulent suivre Macron et les défenseurs de la nation et se tourneront vers le Rassemblement national.
Les petites manoeuvres commencent aussi en Loir et Cher, où l’élue blésoise Véronique Reineau, co-listière de Jacques Chauvin, a déjà rejoint En marche… de même que l’ancien adjoint au commerce, le PS Louis Buteau, démis de ses fonctions par Marc Gricourt.
A Vineuil, c’est Patricia Fhima qui prépare déjà 2020 en organisant la « manifestation annuelle » de son association « Vivons ensemble Vineuil et son canton » sur le thème de la réforme constitutionnelle préparée par Macron… au restaurant du golf du château de Cheverny. Tout un symbole !
Le FN réunira quant à lui ses adhérents de Loir et Cher le 16 juin autour d’un barbecue ! (toutes les précisions prochainement).
Rassembler pour gagner : les adhérents peuvent voter.
Les adhérents (à jour de cotisation au 2 mai) ont commencé à recevoir le matériel de vote pour le changement de nom proposé par Marine le Pen lors du XVIème Congrès en mars dernier.
Il est accompagné d’un magazine expliquant les enjeux, le travail déjà accompli et les axes stratégiques de notre mouvement.
Le bulletin doit être glissé dans l’enveloppe-réponse pré-affranchie et envoyé avant le 30 mai (date limite de réception le 31 mai 2018).
Les adhérents qui n’auraient pas encore reçu le matériel de vote peuvent nous le signaler afin que nous fassions le nécessaire.
L’Europe prête 20 milliards d’euros à la Turquie : seul le FN dit non !
La Banque Européenne d’Investissement a pour but principal de financer des projets au sein de l’Union européenne. Elle finance également des projets en dehors de l’Union européenne notamment dans les pays partenaires méditerranéens.
C’est ainsi que la BEI va prêter 20 milliards d’euros à la Turquie d’Erdogan, au moment même où la Commission menace de priver de subventions les pays qui refusent de se voir imposer des quotas de migrants comme la Pologne, la Hongrie, la Tchéquie ou la Slovaquie.
Il faut dire que la Turquie pratique quant à elle le chantage aux migrants et bénéficie de 5 milliards d’euros de subventions de l’UE pour garder son territoire les vrais et faux réfugiés syriens.
Le FN et le groupe ENL (Europe des Nations et des Libertés) a voté contre cet accord de prêt, les « Républicains » ont voté pour avec les centristes pro-Macron et les socialistes.
Les mêmes d’ailleurs avaient voté en faveur de sanctions contre la Pologne.
Toujours le double-langage.
A l’approche des élections européennes, il faut le faire savoir.
Débat de l’entre-deux tours : Marine avait dit la vérité au Français, Macron a menti.
Aujourd’hui 64 % des Français estiment que la politique de Macron est mauvaise ou n’a rien changé.
Ce n’est pas une surprise, car il a été mis en place comme ultime recours pour sauver un système dont une large majorité de nos concitoyens ne voulaient plus.
Malheureusement ils sont été trompés, avec la complicité des grands médias qu’ils soient publics ou possédés par quelques oligarques.
Beaucoup en effet ont cru à la fable d’un candidat « hors système« , « ni droite ni gauche« , représentant d’un « nouveau monde« .
Illusion fatale, que Marine Le Pen a pourtant essayé de combattre au cours de ce débat dont on ne cesse dire qu’il a été « raté » par notre candidate.
Pourtant jour après jour il se confirme que c’est bien Marine qui avait raison sur le fond, pratiquement sur tous les sujets débattus.
Nous le disions déjà dès le 4 mai sur ce blog, mais comment nos arguments pouvaient-ils être entendus dans le tintamarre médiatique ?
Et d’autres dossiers ressortent comme la vente-démantèlement d’Alstom, la vente de STX, le financement de la campagne de Macron, les conflits d’intérêts.
C’est même un magazine comme l’Express, peu suspect de sympathie à notre égard qui titre « Marine Le Pen « n’a pas à rougir » de son débat contre Macron », reprenant une déclaration faite ce jeudi par la présidente du Front national affirmant ne pas avoir « à rougir du fond ».
Des extraits repassent désormais sur les réseaux sociaux montrant, point par point, à quel point Macron a menti.
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Marine Le Pen 1ère opposante à Macron.
Nouveau démenti pour tous ceux qui avaient espérer la mort politique de Marine Le Pen, au point d’y consacrer une émission dimanche dernier.
Une sondage IFOP nous apprend tout au contraire que si l’élection présidentielle avait lieu aujourd’hui, Marine Le Pen ferait 23 % au 1er tour, en hausse de près de 2 points, tandis que Mélenchon perdrait 3 points, Fillon en perdrait 8 et dans l’hypothèse Wauquiez il ferait 12 points de moins que Fillon en 2017.
Le report d’une partie des électeurs LR se fait sur Macron, ce qui est logique puisqu’il incarne le camp des partisans d’une Europe fédérale qui aurait encore plus de pouvoirs au détriment des nations.
Malgré l’acharnement des médias du système, en dépit de la trahison et de la lâcheté de quelques uns, Marine Le Pen conserve la confiance des électeurs de notre camp, et gagne même quelques points par rapport au 1er tour de 2017.
Les faits vont nous donner raison plus rapidement qu’on l’imagine.
L’échéance des européennes de 2019 sera déterminante, chacun devra alors choisir son camp.
Les « marcheurs » en panne regardent passer le train de l’histoire.
Il y a un an Marine avait raison. Les électeurs trompés par Macron commencent à le comprendre.
La parti macroniste « En marche », simple courroie de transmission de l’Elysée (*), a tenté de mobiliser ses sympathisants samedi pour le lancement d’une « marche pour l’Europe ».
Il s’agit selon l’expression des organisateurs de faire un « travail pédagogique » auprès des citoyens. Traduction : ces élus considèrent que les électeurs ne sont pas assez intelligents pour comprendre, il faut leur expliquer les bienfaits de l’Union européenne dont ils sont de moins en moins convaincus.
Ce n’est pourtant pas faute de propagande, relayée tous les jours par les médias, portée par les institutions, subventionnée entre autres par le Conseil régional à travers de nombreuses actions en direction de la jeunesse et destinées à l’endoctriner, actions que seul les élus du groupe FN dénoncent régulièrement.
Mais les derniers scrutins, en Italie et en Hongrie, ont été une nouvelle claque pour tenants de la dissolution des Etats dans une Europe supranationale, dont les peuples ne veulent pas.
Du coup les « marcheurs » ont du mal à mobiliser, puisqu’ils n’étaient que 25, dont beaucoup d’élus pour lancer leur action (la Nouvelle République du 10/04/2018).
Le 1er mai à Nice Marine Le Pen participera au grand rassemblement en faveur d’une Europe des nations souveraines. Les élections européennes de juin 2019 peuvent faire basculer la majorité à Bruxelles et imposer enfin une refondation de l’Union conforme aux intérêts des nations qui la composent et aux souhaits des peuples.
Un an après l’élection de M. Macron, qui a été une énorme tromperie, Marine Le Pen apparaît clairement comme la seule opposante crédible portant un véritable projet alternatif.
(*) la NR note d’ailleurs avec une point d’ironie que la référente départementale Christine Jagueneau n’est toujours pas remplacée : « et c’est à Paris que ça se décide. »
Congrès de la FNSEA à Tours : l’agriculture va de Travert.
Le moins qu’on puisse dire c’est que le ministre n’a pas convaincu les agriculteurs réunis à Tours pour le Congrès de la FNSEA (la Nouvelle République du 30/03/2018).
Les sujets qui fâchent ne manquent pas, comme les zones défavorisées, les traités de libre-échange ou les cotisations sociales.
La présidente Christiane Lambert était « visiblement contrariée » par ce discours de clôture, mais comment pourrait-il en être autrement ?
Sur la redéfinition des zones défavorisées comme sur les traités (CETA, TAFTA, accords avec le Mercosur) le ministre est tout aussi impuissant que le locataire de l’Elysée, réduit au rôle de gouverneur de la France, puisque c’est Bruxelles qui tranche.
Et cela, la FNSEA le savait déjà en 2017, ce qui ne l’a pas empêché d’appeler à voter en faveur de Macron et de se réjouir de son élection.
En cela les dirigeants du principal syndicat agricole se comportent comme tous ces élus qui se plaignent aujourd’hui de mesures qui étaient annoncées et qui sont en grande partie la conséquence de leurs propres choix : « ils se plaignent des effets dont ils chérissent les causes« .
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Plus de 10 000 travailleurs détachés en Loir et Cher en 2017.
Premier échec pour Bruxelles le 21 mars : rejet du projet E-Card qui aggravait la directive Bolkenstein, grâce à un amendement porté par le FN.
Nous connaissions les chiffres au niveau national, la Nouvelle République publie en date du 22 mars les données pour le Loir et Cher.
C’est très exactement 10 324 travailleurs étrangers « détachés » qui ont été déclarés en 2017, soit une hausse de 78% en un an !
En tenant compte de la durée des missions, c’est l’équivalent de 1000 emplois à temps plein pour le Loir et Cher, qui comptait au 31 décembre 14 500 demandeurs d’emploi de catégorie A (- 270 en un an) et 26 710 en catégories A, B et C (+ 460 en un an).
On nous explique souvent que les entreprises peinent à recruter des employés français dans les secteurs les plus touchés, mais depuis le temps on devrait se demander pourquoi et trouver des solutions.
En réalité c’est d’abord le dumping social qui entraîne cette hausse permanente du recours aux travailleurs détachés, qui reviennent moins cher que les Français.
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Législative partielle du Loiret : Michel Chassier soutient Ludovic Marchetti.
Sébastien Chenu devait venir hier soir à Montargis pour soutenir notre candidat dans la 4ème circonscription du Loiret, Ludovic Marchetti, dans le cadre d’une élection législative partielle.
Malheureusement le député du Nord a été victime le matin même d’une agression à Valenciennes de la part de militants de la CGT, entraînant deux jours d’ITT, il n’a donc pas pu faire le déplacement.
On attend encore la réaction des médias suite à cette agression physique sur un élu de la République, alors qu’ils avaient relayé une sombre histoire de bagarre devant une boîte de nuit impliquant un membre du FNJ, en donnant des faits une version unilatérale.
C’est donc Michel Chassier, Président du groupe FN-Centre-Val de Loire, qui est venu soutenir Ludovic Marchetti et son suppléant Valentin Manent.
Une réunion très intéressante, avec un public attentif et vraiment remonté contre M. Macron et ses méthodes de gouvernement.
Le risque dans cette élection, c’est bien sûr l’abstention, nous remercions tous nos amis du Loiret à relayer notre appel à voter Ludovic Marchetti dimanche prochain.
Le clip de la présidence de Marine le Pen 2011-2017
Pour ceux qui n’étaient pas au Congrès de Lille, nous mettons en ligne ce clip qui retrace les deux premiers mandats de Marine le Pen en tant que présidente du Front National depuis le Congrès de Tours en 2011.
Législatives partielle du Loiret : réunion publique à Montargis avec Sébastien Chenu.
Dans le cadre de la législative partielle de la 4ème circonscription du Loiret, notre député Sébastien Chenu viendra soutenir le candidat du Front National Ludovic Marchetti et son suppléant Valentin Manent à l’occasion d’une réunion publique jeudi 15 mars à 18 heures, salle de la Sirène à Montargis.
Les électeurs sont appelés aux urnes les 18 et 25 mars suite à l’invalidation de Jean Pierre Door (LR), élu en juin dernier avec seulement 8 vois d’avance sur la candidate LREM, ce qui avait entraîné un recours de cette dernière.
Il est important que nos électeurs se mobilisent pour cette élection, car on sait que les partielles connaissent un taux d’abstention calamiteux.
Il est certain que la candidate macroniste de service sera cette fois nettement battue, raison de plus pour ne pas hésiter à votre pour notre candidat Ludovic Marchetti qui représente la véritable opposition à Macron.
Mathilde Paris au Bureau national.
Mathilde Paris à Lille parmi les membres du Conseil national.
Le Bureau National est le « gouvernement » du FN, il se réunit tous les quinze jours autour de sa présidente pour prendre les décisions importantes dans la vie du mouvement.
Il est composé de 40 membres, choisis au sein du Conseil national élu par tous les adhérents (100 membres) et complété par des personnes désignées par la Présidente (20 membres).
Mathilde Paris, conseillère régionale de Loir et Cher, conseillère municipale et communautaire de Blois, a été choisie par Marine Le Pen pour faire partie du Bureau national.
Elle y représentera entre autres la Région Centre-Val de Loire, succédant à Philippe Loiseau, aujourd’hui député au Parlement européen.
Cette nomination correspond à la volonté de renouvellement des cadres du mouvement voulue par Marine afin de préparer l’avenir, elle honore notre Fédération.
Le Front rassemble les Français.
On sent depuis samedi, peut-être encore plus depuis hier, le dépit des médias.
Ils ne savent plus comment réagir face au succès du Congrès de la refondation, la ligne éditoriale se cherche, les éléments de langage ne parviennent pas à s’imposer.
Ils prétendaient que Marine peinait à se relancer après ce qu’ils appellent l’échec de la présidentielle, qu’elle doutait, que les cadres et les militants n’y croyaient plus, que les Français se détournaient de Front National, séduits par les promesses de M. Macron, qui leur aurait redonné l’espoir.
Ils décrivaient un Front National déboussolé, isolé, plus que jamais éloigné du pouvoir.
Bref ils annonçaient – une fois de plus – la mort du Front National, beaucoup comme Wauquiez en rêvaient afin de récupérer ses électeurs.
Ces deux jours de Congrès ont démontré le contraire : un mouvement uni derrière sa présidente, plus que jamais déterminée à rendre le Front National plus performant dans le but d’accéder aux affaires afin de redresser la France, nous pourrions écrire de la sauver, tant il est évident que le projet mondialiste vise à la destruction des nations.
Le changement de nom proposé par Marine Le Pen fait partie de cette stratégie.
Il n’était pas évident car nombre de nos adhérents y sont attachés, ce qui est logique. C’est un nom dont nous n’avons pas à rougir, il a porté depuis 1972 l’espérance de Français, de plus en plus nombreux.
Mais le passage du « Front » au « Rassemblement » est un signal envoyé à tous nos compatriotes, un signe d’ouverture, un appel à nous rejoindre pour la défense de notre nation, et pas seulement pour « faire front » contre le système.
C’est bien le signe de la transformation d’un parti d’opposition à un parti de gouvernement.
Mais bien sûr tous les adhérents seront consultés dans les prochaines semaines pour se prononcer sur ce changement et nous ouvrirons le débat sur notre blog.
Ce XVIème Congrès a démontré aussi que FN n’est pas seul, qu’il a de nombreux alliés en Europe et au-delà, dont certains participent à des coalitions gouvernementales, et que beaucoup considère Marine Le Pen comme un exemple et un modèle.
Certes, nous n’avons pas obtenus les mêmes succès électoraux que certains de nos alliés européens, mais c’est surtout en raison d’un mode de scrutin inique. Par exemple la Lega en Italie avec 18,5% des suffrages exprimés, obtient 127 députés et 56 sénateurs. Le FN n’a pu faire élire que 8 députés après avoir fait 34,5% à la présidentielle, tout est là.
D’où la nécessité de nouer des alliances, et cela sera possible dès 2019 pour les élections européennes, où les positions vont se clarifier, en particulier chez les « Républicains », obligés de choisir entre eurofédéralistes et partisan d’une Europe des Nations.
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