Ambiance à la fois studieuse, détendue et dynamique pour la réunion mensuelle du bureau départemental.
A l’ordre du jour : la préparation de la venue de Marine Le Pen en Loir et Cher au mois de novembre. Nous vous donnerons bientôt toutes les précisions.
Le Secrétaire départemental, Michel Chassier a fait également un compte-rendu de la journée des élus à Poitiers et des grands chantiers qui nous attendent : implantation, préparation des élections et particulièrement des municipales de 2020, préparation du Congrès, adhésions.
L’heure est désormais à la mobilisation, les faits nous donnent chaque jour raison, les Français trompés par Macron au cours de la campagne des présidentielles, avec il faut le dire la complicité des médias, sont en train de se réveiller et ils nous attendent.
Nous ne devons pas les décevoir.
La réunion s’est terminée comme toujours par le verre de l’amitié.
Loir et Cher : le bureau départemental tourné vers l’avenir.
Démission d’un responsable local : communiqué du FN41.
L’heure n’est ni au renoncement, ni à la démission. Les Français nous attendent.
Communiqué de presse :
« Michel Chassier, Président du groupe Front National à la Région et Secrétaire départemental du FN41, enregistre la démission de Laurent Bras mais réfute totalement son analyse.
Le Front National reste plus que jamais attaché à la défense de notre souveraineté et n’a pas l’intention de limiter son discours aux thèmes « classiques » immigration, identité, sécurité.
C’est précisément l’enjeu de la préparation du prochain Congrès, qui permettra à tous les adhérents de s’exprimer sur l’ensemble des sujets, qu’il s’agisse du programme, de la communication ou du fonctionnement.
L’objectif étant de moderniser notre mouvement afin de rassembler encore davantage.
Il est regrettable que Florian Phillipot ait refusé de se présenter devant ce Congrès pour défendre ses différences si elles existent, préférant créer un nouveau micro-parti sans le moindre avenir.
Au niveau de la Région Centre-Val de Loire tous les élus, tous les secrétaires départementaux et la quasi-totalité des cadres demeurent fidèles à Marine Le Pen, nous n’avons enregistré que 2 démissions sur toute la Région. »
La prochaine venue de Marine le Pen en Loir Cher va encore donner un coup d’accélérateur à notre Fédération.
Pour participer au prochain du Congrès du Front National, adhérez !
« La conjonction de crises sans précédent, qui menacent d’autant plus notre pays qu’elles se nourrissent les unes des autres, inquiète nos concitoyens. Crise migratoire, sociale, économique, politique, morale, toutes aggravées par l’inaction de gouvernants qui ont abandonné leur pouvoir et notre souveraineté. Face à cette situation, il est urgent de recouvrer la maîtrise de nos frontières, de protéger notre économie et nos emplois, de retrouver notre souveraineté et nos libertés fondamentales, d’en finir avec le mondialisme ultra-libéral imposé par l’Union européenne, de rétablir partout l’ordre républicain.
Pour relever ce défi, la France a besoin d’un Front National performant, structuré, implanté, ambitieux, crédible. »
Rejoignez-nous !
Vous pourrez ainsi participer et faire entendre votre voix lors du prochain Congrès, en mars 2018 (*).
Si vous faites la démarche en ligne dès aujourd’hui, vos recevrez également une photo de Marine signée.
Et nous aurons le plaisir de vous accueillir au sein de notre Fédération, où vous pourrez rejoindre les vrais patriotes qui partagent vos idées.
(*) les adhésions se font de date à date : si vous adhérez au 26 septembre 2017, votre adhésion sera renouvelable à partir du 26 septembre 2018.
Contrairement à « En marche », nos adhésions sont réelles, elles ne se résument pas à un clic de souris. Nous demandons à chacun une participation selon ses moyens, car nous en avons besoin. Cette adhésion donne droit à un coupon fiscal qui vous permet une déduction à hauteur de 66% de son montant de votre impôt sur le revenu. Ainsi, une adhésion à 50 € vous reviendra à 17 €.
Loir et Cher : Jeanny Lorgeoux paie son ralliement à Macron.
Premier échec pour Macron, Jeanny Lorgeoux en fait les frais.
Alors que Jacqueline Gourault (MoDem) a été réélue de justesse au 1er tour avec 50,58 % des voix, l’équation s’annonçait compliquée pour Jeanny Lorgeoux, sénateur sortant PS qui avait cette fois reçu l’investiture LREM, provoquant la colère de ses anciens amis.
C’est bien Marc Gricourt qui a mené la danse du scalp, en soutenant Marylène de Rul, qui s’est maintenue au 2ème tour pour faire chuter le maire de Romorantin.
Au final il manque 30 voix à Jeanny Lorgeoux pour être réélu, alors que la candidate PS et le dissident LREM Gildas Vieira en totalisent 109 !
Un beau cadeau à Jean-Marie Janssens.
Mais au-delà de ces « petits meurtres entre amis », c’est aussi la grogne des maires contre le gouvernement Macron qui s’est manifestée.
Premier avertissement sérieux pour l’imposteur qui est parvenu à tromper les Français en mai dernier, et qui du coup ne disposera pas de la majorité des 3/5 au Congrès qui lui aurait permis d’avancer encore plus rapidement dan son dessein de déconstruire la France.
Un premier répit, mais il ne faudra pas s’arrêter là. le combat ne fait que commencer.
Pendant ce temps au niveau national le FN gagne 60% par rapport à 2011 (+ 158% en Loir et Cher).
Sénatoriales : 2ème tour incertain, nouvelle progression du FN.
En Loir et Cher, Jacqueline Gourault a été réélue avec 479 voix sur 946 votants au 1er tour. Malgré une légère perte par rapport à 2011, la sénatrice sortante bénéficie d’une implantation locale de longue date et beaucoup d’élus locaux sont donc passés outre son ralliement à M. Macron, l’Attila des collectivités locales.
De son côté Jeanny Lorgeoux a été sanctionné par le PS, qui lui fait payer cher son investiture LREM. Il arrive toutefois en 2ème position avec 359 voix (400 en 2011), devançant de peu Jean-Marie Janssens qui en recueille 338.
Tout va donc se jouer sur les reports au second tour.
On se souvient qu’en 2011, Maurice Leroy était vainqueur sur le papier, en additions ses propres voix (398) et celles obtenues par Guy Vasseur (238).
Les grands électeurs en avaient décidé autrement au second tour.
De son côté Michel Chassier (FN) passe de 12 à 31 voix, alors que les grands électeurs FN sont passés de 3 à 10.
Pour ne pas donner nos voix à ceux qui ont fait élire Macron, Michel Chassier maintient sa candidature au 2ème tour.
Sénatoriales : la profession de foi de nos candidats.
(cliquez sur l’image pour l’agrandir)
La profession de foi de nos candidats aux sénatoriales sera envoyée prochainement aux Grands électeurs maires, délégués des conseils municipaux, conseillers départementaux et régionaux, parlementaires.
Nous estimons que tous les citoyens doivent également en avoir connaissance, car les Grands électeurs qui voteront le 24 septembre sont leurs représentants.
Nous voyons aujourd’hui beaucoup d’élus et de candidats regretter les coupes budgétaires de Macron qui pénalisent leur commune.
Mais ce sont souvent les mêmes qui ont appelé à voter pour lui en mai dernier en connaissance de cause.
Les électeurs doivent leur faire savoir, et les inviter à voter pour les seuls candidats qui ont toujours défendu les communes, les candidats de liste Bleu marine.
Téléchargez le document au format pdf : Profession de foi sénatoriales 41
Posez vos questions aux candidats : fn41@frontnational.com
Conférence de presse pour la rentrée du FN41
Suite à notre point-presse, la Nouvelle République publie aujourd’hui un compte-rendu développant les différents sujets abordés : nos actions locales contre la loi travail, l’organisation de la Fédération et la formation des cadres, la préparation du Congrès, les sénatoriales.
Une information que nous n’avions pas encore lors de notre point presse : la venue de Marine Le Pen en Loir et Cher au mois de novembre est confirmée.
Nous vous communiquerons rapidement la date et le lieu.
Une adhésion en ligne, 1 photo signée offerte.
A l’occasion de la rentrée, jusqu’au 25 septembre, pour une adhésion en ligne vous recevrez une photo signée de Marine.
Vous avez combien les adhésions comptent pour notre mouvement qui n’est pas financé par de richissimes donateurs représentant les intérêts des banques et du monde des affaires.
Adhérer c’est aussi participer à la vie du Front National à travers ses instances locales et départementales, et participer à la préparation du prochain Congrès où tous les adhérents à jour de cotisation seront appeler à voter.
N’attendez pas, répondez dès aujourd’hui à l’appel de Marine Le Pen en prenant votre adhésion en ligne.
Réunion de rentrée du FN41.
Réunion de rentrée hier soir pour le bureau départemental du FN41. Le Secrétaire départemental, Michel Chassier, est revenu sur la séquence électorale du printemps dernier, en présentant une analyse chiffrée des résultats en Loir et Cher et en région Centre Val de Loire.
Retour sur les présidentielles et les législatives.
Malgré une déception compréhensible pour tous ceux qui espéraient la victoire de Marine Le Pen, force est de constater que notre candidate a rassemblé sur son nom le score le plus haut jamais atteint en terme de voix et de pourcentage. Ainsi en Loir et Cher, Marine Le Pen a recueilli 48 662 suffrages au 1er tour, 65 896 au 2ème tour. Rappelons que notre score historiquement le plus élevé au 2ème tour des régionales de 2015 était de 45 842 voix. Il ne faut donc en aucun cas céder au découragement, ni se laisser troubler par les commentaires des médias, prompts à relayer les « petites phrases » des uns et des autres.
Au contraire, nous devons nous remettre au travail dès maintenant, car il est certain que les faits nous donnerons raison très rapidement.
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Sénatoriales : au moins 4 candidats macronistes en Loir et Cher.
La liste définitive des candidats aux sénatoriales est désormais connue (la Nouvelle République du 12/09/2017).
On y retrouve sans surprise les deux sortants : Jacqueline Gourault (MoDem) et Jeanny Lorgeoux (démissionnaire du PS) Tous deux sont officiellement investis par « En marche », le prétendu mouvement d’un renouveau politique. Cherchez l’erreur !
Un autre candidat aspirait à l’investiture du mouvement, dont il a été l’un des animateurs en Loir et Cher, Gildas Vieira. Il fait désormais l’objet d’une procédure d’exclusion. Comme dans les « vieux » partis.
Un 4ème candidat, Jean-Marie Janssens se présente sous couleur de l’UDI, mais annonce d’ores et déjà qu’il adopterait une démarche « constructive », tout comme son mentor Maurice Leroy.
Ce dernier avait feint une grosse colère au soir du 2ème tour des législative en répondant en duplex à Michel Chassier qui l’avait qualifié sur le plateau de « macron-compatible ».
Quelques jours plus tard il rejoignait le groupe des « constructifs », regroupant des députés LR, UDI et centristes divers, et qui prônent « une attitude constructive vis-à-vis des réformes dont le pays a besoin qui seront proposées par le gouvernement ». En espérant un jour y entrer.
Cela fait déjà 4 candidats macronistes.
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Opération Mélenchon, ou comment le Sytème choisit ses opposants.
Deux imposteurs, un même objectif.
La promotion médiatique de Jean-Luc Mélenchon remonte à 2007. Rappelez-vous qu’alors, 48 heures avant le scrutin, Le Parisien le donnait à égalité avec Marine Le Pen, 14 % chacun.
Or, Marine fera 18%, Mélenchon 11%, soit un écrta de 7 points !
A ce stade on ne pas considérer qu’il s’agisse d’une erreur, mais bien d’une ultime tentative de détourner une partie de l’électorat vers l’opposant choisi par le système.
L’opération a repris avec davantage d’ampleur pour les présidentielles de 2017.
C’est que cette fois, la victoire de Marine devenait une hypothèse qu’on ne pouvait plus écarter.
D’où cette double manoeuvre consistant à présenter Emmanuel Macron comme un candidat « hors système », et à lancer Jean-Luc Mélenchon dans le but de rallier un électorat populaire déçu par la gauche et attiré par Marine Le Pen.
Les médias ont donc relayé abondamment, et complaisamment, les meetings et autres déclarations de l’ancien ministre de Lionel Jospin.
Ce qui lui a permis de mordre, les analyses le prouvent, sur l’électorat potentiel de Marine Le Pen.
Le but étant, on l’a compris, de tout faire pour que Marine n’arrive pas en tête au 1er tour.
Et une fois l’élection passée, l’opération continue : il faut faire en sorte que Mélenchon apparaisse comme « le premier opposant« , en fait l’opposition officielle de Sa Majesté, omniprésente dans les grands médias, qui ne cessent parallèlement où d’ignorer ou de critiquer Marine.
On peut d’ailleurs constater que la promotion d’une alternative de gauche radicale et immigrationniste s’inscrit dans la stratégie européenne de la superclasse mondiale, de telle sorte de qu’aucune véritable opposition au système ne puisse s’imposer.
Mais c’est sans compter que rapidement les faits vont nous donner raison, et que les Français qui refusent la soumission et l’effacement de notre nation nous rejoindrons encore plus nombreux, pour peu que soyons présents partout sur le terrain.
Vous trouverez ci-après le lien avec un article de Michel Geoffroy, animateur du site Polemia : Opération Mélenchon.
FN41 : c’est la rentrée !
Image d’archives : bureau départemental en septembre 2016 avec Jean-Lin Lacapelle.
Notre blog a été peu actif cet été, avec seulement 25 articles en juillet et 17 en août.
Après une séquence électorale intense qui a mobilisé notre équipe pendant plusieurs mois, chacun a pris le temps de souffler un peu.
Nous avons tout de même suivi l’actualité locale, marquée par une banalisation de la délinquance « ordinaire », la préparation des élections sénatoriales en Loir et Cher et les décisions d’un gouvernement qui ne font que confirmer notre analyse. D’ailleurs, les Français se rendent déjà compte qu’une fois de plus ils ont été trompés.
Désormais l’heure de la rentrée a sonné ! Notre Fédération est d’ores et déjà mobilisée pour la diffusion d’un premier tract dénonçant la loi El Macron.
Nous tenons ce soir même une conférence de presse à Blois sur ce sujet et sur les autres points d’actualité.
Dans la foulée Michel Chassier se rendra, en tant que candidat aux sénatoriales, à une rencontre avec des élus organisée l’Association des Maires Ruraux de Loir et Cher.
Tous nos élus reprennent également le cours de leurs réunions.
Le bureau département se réunira lundi soir.
Enfin, tous les adhérents recevront courant septembre un questionnaire dans le cadre de la préparation du Congrès.
Et notre blog va reprendre son rythme de croisière.
Sénatoriales : combien de divisions pour les candidats du système ?
Mécontent de l’investiture accordée à Jeanny Lorgeoux par « En marche », le PS s’apprête à désigner un candidat pour les sénatoriales (la Nouvelle République du 24/08/2017).
Non pas que le PS durement touché par l’échec des présidentielles et le double siphonnage de son électorat par Macron et Mélenchon espère obtenir un siège. Il s’agit seulement d’exister et si possible de faire tomber le sénateur PS sortant.
Qui en profiterait ? Difficile de le savoir, mais le candidat des Républicains se tient en embuscade et peut compter sur le soutien d’un certain nombre d’élus locaux.
En même temps, en ne désignant qu’un candidat, on sent bien que le PS ménage Jacqueline Gourault, pourtant investie également par »En marche ».
Mais au fond, qu’est-ce que cela changerait ?
Les uns et les autres : PS, LR, MoDem, En marche, UDI etc… ont toujours soutenu à l’Assemblée ou au sein des différents gouvernements les réformes successives, de Raffarin à Valls, visant à terme à la disparation des communes dont ils se prétendent les défenseurs le temps d’une élection.
Les grands électeurs doivent le savoir, et tous les électeurs peuvent leur faire savoir, seul le Front National défend de façon constante et cohérente le principe constitutionnel de la la libre administration des collectivités.
Et même quand le candidat LR, proche de Guillaume Peltier, fait part de son « ras-le -bol » dans la Nouvelle République, en se plaignant que « l’État retire toute autonomie financière aux collectivités avec la baisse des dotations », il oublie que cette baisse des dotations a été initiée par Sarközy avant d’être poursuivie par Hollande et parachevée par Macron et son premier ministre… LR !
Les grands électeurs ne doivent donc pas se tromper.
En Marche, en panne comme Macron.
Sans surprise les statuts du parti présidentiel, « La République en marche », ont été adoptés selon une procédure contestée en interne.
La « référente » du mouvement en Loir et Cher, Christine Jagueneau, a co-signé une tribune parue dans le quotidien L’Opinion avec 3 autres délégués départementaux, critiquant sévèrement les statuts du nouveau parti politique, ainsi que le mode de fonctionnement interne entre les territoires et les instances nationales. Absence de démocratie, opacité, « e-entreprise déshumanisée où une équipe envoie des mails colorés agrémentés de punchlines aux quatre coins du territoire » (La Nouvelle République du 18/08/2017).
La désillusion semble à la hauteur de l’illusion que nous avions régulièrement dénoncée, en espérant que la bulle allait éclater avant l’élection.
Malheureusement elle éclate trop tard.
Et tous ceux qui ont cru, sincèrement et parfois un peu naïvement, à un renouveau de la politique ne semble pas encore avoir tout compris.
Ainsi les signataires de la tribune dans l’Opinion déclarent-ils « Notre promesse avec En Marche, c’est un « parti du XXIe siècle », diffèrent des autres, calqué sur un modèle entrepreneurial. »
Les médias ont complaisamment relayé le message d’une nouvelle donne balayant les « anciens partis ».
Or le parti de Macron n’est en réalité que la conclusion logique de la convergence entre la droite et la gauche de gouvernement depuis plus de 30 ans, ce que le FN désignait avec raison sous le sigle « UMPS ».
On le voit bien dans la composition de l’équipe gouvernementale : seconds ou troisièmes couteaux des Républicains et du MoDem, le seul leader politique national ayant rejoint Macron, François Bayrou étant contraint à démissionner.
Pour le reste, la fameuse « société civile » est représentée par quelques cadres sup venus des grandes entreprises, à l’image de la ministre du travail, déjà rattrapée par les révélations sur un possible délit d’initié.
L’erreur fondamentale de Macron, toujours partagée semble-t-il par les contestataires, c’est que la France pourrait être gérée comme une entreprise, de même que leur propre parti.
Ce n’est pas non plus une idée nouvelle, Giscard d’Estaing avait déjà dit la même chose, mais un chef d’Etat n’est pas un manager. Gouverner c’est autre chose.
Il est d’ailleurs paradoxal de voir ceux qui critiquent la manque de démocratie au sein de « la République en marche » souhaiter voir le parti fonctionner sur le modèle entrepreneurial, qui n’a rien à voir avec la démocratie !
Attendons la suite, mais il est certain que la désillusion ne fait que commencer. (*)
Les Français se rendront compte alors que le seul parti politique réellement nouveau, à l’écoute du peuple, et n’ayant d’autre but que défendre les intérêts de la France, c’est bel et bien le Front National.
La rénovation entreprise d’ici le prochain Congrès ayant pour objectif de rendre notre mouvement encore plus efficace.
Nous vous invitons à participer a ces travaux.
(*) nous apprenons aujourd’hui la démission de Marlène Martin de son pste de première adjointe de Villiers. Elle était la candidate « En Marche » pour la 3ème circonscription en juin dernier. (la Nouvelle République du 19/09/2017)
Réserve parlementaire : une réforme inachevée.
Assemblée nationale : un début de mandature qui n’a pas convaincu les Français, ni ramené la confiance dans la vie politique.
Les députés Front National se sont finalement abstenus sur la loi pour « le rétablissement de la confiance dans la vie politique ».
Il faut dire que cette loi, dite au départ « de moralisation » avant de changer d’intitulé, comporte certaines mesures que le FN avait préconisé mais d’autres discutables et surtout elle ne va pas jusqu’au bout.
Par exemple le remboursement des frais sur justificatifs, comme c’est le cas aujourd’hui pour les collectivités locales, nous paraît une bonne chose.
Sur les emplois familiaux cela semble moins évident : ce qui a été reproché à François Fillon dans le « Pénélopegate » ce n’est pas le fait d’avoir employé sa femme, c’est le fait qu’elle n’aurait pas fourni de travail réel.
L’interdiction pure et simple ne règle pas le problème, il sera toujours possible à un député de faire embaucher un membre de sa famille comme assistant parlementaire par un collègue.
Ces questions nous semblent relever davantage du règlement intérieur de l’Assemblée nationale, la vérification des frais engagés et du travail réel des collaborateurs peuvent être traités par la questure.
Par ailleurs l’exigence du casier judiciaire vierge pour être député a été abandonnée. Pourquoi ?
Rappelons que la Commission d’Investiture du Front National demande depuis longtemps à tous les candidats à la candidature, quelle que soit l’élection, de fournir un extrait n°3 du casier judiciaire.
Sur les conflits d’intérêts la loi n’est pas non plus suffisamment claire, un parlementaire s’estimant en situation de conflit d’intérêts sur le vote d’un texte « pourra se mettre en retrait et s’enregistrer publiquement comme tel ». Il faudra attendre les décrets d’application pour savoir quelles seraient les conséquences de l’omission d’une telle déclaration.
Il y a enfin une disposition qui fait débat, c’est la suppression de la réserve parlementaire.
Rappelons que la Front National était partisan de cette suppression.
Aujourd’hui nos députés du Loir et Cher semblent le regretter.
Mais alors pourquoi Maurice Leroy et Guillaume Peltier ont-ils voté cette loi ? Marc Fesneau pour sa part ne figure pas sur le tableau des votes. Peut-être Jacqueline Gourault lui a-telle conseillé de ne pas participer au vote, selon une technique parlementaire éprouvée ? Elle même au sénat n’a pas participé au scrutin, alors que Jeanny Lorgeoux a voté pour.
Maurice Leroy se plaint comme beaucoup des conséquences de cette suppression pour certaines associations, il cite par exemple les écoles de musique de sa circonscription.
Cette remarque peut être entendue, mais cette réserve n’est pourtant pas l’argent des députés eux-mêmes, mais bien de l’argent public qu’ils dispersent selon leur convenance personnelle.
Cela peut être fait à bon escient, mais il y a parfois des dérives, c’est ainsi qu’on a vu les élus PS financer des associations politisées anti-FN avec l’argent du contribuable.
S’agissant des aides au tissu associatif local, ou aux communes qu’il s’agisse de patrimoine ou de tel ou projet cela pourrait relever d’un dispositif géré par le conseil départemental, qui récupérerai le montant de la réserve parlementaire des 5 parlementaires du département pour financer typiquement ce genre d’actions, mais sous contrôle des élus.
Au lieu de cela, M. Macron en profite pour faire une économie budgétaire au détriment le plus souvent des petites communes.
C’est une idée dont il serait intéressant de débattre lors des sénatoriales.
Loir et Cher : le Front National prépare la rentrée.
Le FN41 prépare la rentrée.
Après plusieurs mois de campagnes électorales, les militants du FN41 ont un peu soufflé pendant l’été.
Mais la Fédération prépare déjà la rentrée.
Un premier tract sur la loi Macron II (loi travail) doit être livré dès cette semaine.
Le Secrétaire départemental adjoint, Laurent Bras, a entamé une série d’entretiens avec les responsables de cantons afin de travailler davantage sur l’implantation et l’action locale.
Une conférence de presse le 31 juillet a permis de présenter nos candidats aux sénatoriales. Même si cette élection n’intéresse pas beaucoup le grand public, nous devons faire en sorte que chacun en comprenne l’enjeu.
Les adhérents seront prochainement consultés via in questionnaire sur les propositions avant le Congrès de mars 2018.
Nous lançons d’ailleurs dans ce cadre un sondage au sujet du changement de nom, ouvert à tous, adhérents ou non.
Le bureau départemental se réunira le 11 septembre.
Retour sur le résultat des présidentielles.
Il n’est pas inutile à ce propos d’apporter quelques éléments de réflexion car hélas beaucoup de nos amis ont tendance à se laisser influencer par le discours dominant, répété chaque jour par les médias.
Il est vrai que nos électeurs ont ressenti un vraie déception quand ils ont vu que Marine n’avait pas remporté la présidentielle.
Déception à la hauteur de l’espoir immense que sa candidature avait porté depuis des mois.
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Dotations aux communes : Macron ne respecte pas ses engagements.
La marionnette Macron : un serial-menteur.
On ne peut pas dire que les élus locaux aient été pris par surprise : lors de la campagne, Macron avait annoncé 13 milliards d’économies sur le dos des collectivités locales, autrement dit une nouvelle baisse des dotations.
Si l’on ajoute la suppression de la taxe d’habitation pour 80% des contribuables, qui rendra les collectivités encore plus dépendante du bon vouloir de Bercy, les maires ont vraiment de quoi s’inquiéter.
Pourquoi dans ce cas avoir appelé à voter Macron comme Marc Gricourt (PS) à Blois ou Guillaume Peltier (LR) à Neung sur Beuvron.
Les uns et les autres viennent aujourd’hui pleurer sur le lait renversé. Trop tard.
Face au mécontentement des maires, le locataire de l’Elysée leur avait pourtant promis le 17 juillet lors de la conférence nationale des territoires, qu’il ne baisserait pas « brutalement » leurs dotations, et pas en 2017.
Promesse aussi oubliée, puisqu’un décret (2017-1182), publié discrètement 3 jours plus tard, annonce une baisse des dotations de 300 millions d’euros… dès cette année.
Le président de l’Association des petites villes de France (APVF), Olivier Dussopt, cette décision marque une « trahison » d’Emmanuel Macron.
En tout cas un mensonge de plus pour celui qui s’est fait élire sur le mensonge.
Mais si les élus locaux sont mécontents, ils pourront le faire savoir le 24 septembre prochain, en votant contre les candidats soutenus par LREM, le PS, LR ou le MoDem, en faisant le choix des seuls véritables défenseurs de la libre administration des communes : les « candidats bleu marine pour la défense de nos communes et de nos départements« .
En Loir et Cher Michel Chassier (candidat) et Mathilde Paris (suppléante).
Sénatoriales : le Front National présente ses candidats.
Ce matin Michel Chassier et Mathilde Paris tenaient une conférence de presse à Blois pour annoncer leur candidature aux élections sénatoriales du 24 septembre en Loir et Cher.
L’occasion de faire également le point après la séquence présidentielles-législatives.
1) La situation politique générale et la place du Front National après le cycle électoral du printemps 2017.
Lors des élections présidentielles les Français ont préféré la continuité au changement, la protection illusoire d’une Europe ouverte à tous vents plutôt que la restauration de notre souveraineté.
Ils ont été largement trompés par les partis responsables de 30 ans d’échecs mais qui soutenaient tous le candidat du système, porté la totalité des médias.
Une situation que l’on observe dans aucun des grands pays démocratiques.
Les élections législatives n’ont fait que confirmer ce choix, dont le niveau historique de l’abstention a largement démontré qu’il s’agissait d’un choix par défaut.
Plus de la moitié des électeurs qui s’étaient portés sur Marine Le Pen au premier tour de la présidentielle ne se sont pas déplacés.
Un système électoral injuste a fait le reste, donnant la majorité absolue à un parti qui a recueilli moins de 14% des suffrages exprimés, tandis que les communistes et la France insoumise qui totalisent 1 100 000 voix obtiennent ensemble 27 sièges alors que le Front National avec 1 600 000 voix n’a que 8 députés. Il faut à peine 22 000 voix pour élire un député communiste, presque 200 000 pour élire un député FN.
Certains ont cru aussitôt pouvoir annoncer la mort du Front National, comme l’avait fait en son temps Nicolas Sarkozy. Rappelons qu’en 2007, après son élection, nous n’avions obtenu que 4,29% des suffrages aux législatives.
Nous pensons au contraire que les faits vont rapidement nous donner raison et que l’illusion Macron ne pourra durer très longtemps.
Il ne faut pas oublier non plus que Marine Le Pen a réalisé un score jamais atteint, progressant encore en nombre de voix par rapport aux régionales de 2015.
Les Français reviendront naturellement vers nous, dès lors que nous serons en mesure de présenter une alternative qui puisse les convaincre.
C’est le travail que nous entrepris sans attendre au lendemain de ces élections, il se concrétisera lors du prochain Congrès en mars 2018.
2) L’enjeu des élections sénatoriales et les axes de campagne du FN-RBM
Le Front National sera bien entendu présent dans tous les départements concernés le 24 septembre prochain.
Il est important à cette occasion de faire connaître aux Grands électeurs, qui sont des élus locaux, les positions du Front National sur les principaux sujets qui les touchent, qu’il s’agisse de la réforme territoriale qui va se poursuivre, de leur autonomie fiscale et financière, du phénomène de métropolisation et de toutes les questions qui touchent nos départements et nos communes.
Nos candidatures seront partout intitulées « Listes bleu marine pour la défense de nos communes et de nos départements » pour les scrutins de liste ou « Candidats bleu marine pour la défense de nos communes et de nos départements » pour les candidatures individuelles comme en Loir et Cher.
C’est bien insister sur le fait que nous les seuls à défendre de manière constante et cohérente l’indépendance des communes, mise à mal par les regroupements parfois forcés et la baisse des dotations.
Nous le voyons bien avec la taxe d’habitation, dont le remplacement par une dotation dont le financement n’est pas arrêté va à l’encontre du principe d’autonomie fiscale, composante essentielle du principe constitutionnel de libre administration des communes.
Par conséquent, nous aurions du mal à comprendre comment des élus locaux pourraient faire confiance à des candidats qui ont toujours approuvé les différentes réformes de l’organisation du territoire, dont la loi NOTRe, et qui sont investis par les partis qui se proposent de continuer dans le même sens.
Nous aurons certainement la possibilité de faire élire quelques sénateurs dans les grands départements grâce à la proportionnelle, mais en Loir et Cher, nous comptons bien pouvoir peser sur le scrutin.
Afin de ne pas disperser les voix, nous ne présentons qu’un candidat, Michel Chassier, Président du Groupe FN au Conseil régional, conseiller municipal et communautaire de Blois. Mathilde Paris, conseillère régionale de Loir et Cher, également conseillère municipale et communautaire de Blois sera sa suppléante.
Nous adresserons prochainement une lettre à tous les grands électeurs, mais nous essaierons également de communiquer vers l’ensemble de nos concitoyens, qui se sentent peu concernés par cette élection, alors qu’ils en subiront bientôt les conséquences.
Mise à jour du 01/08 : voici le lien avec l’article de la Nouvelle République.
Sénatoriales en Loir et Cher : on prend les même et on recommence.
Jeanny Lorgeoux et Jacqueline Gourault : où est le renouveau en Loir et Cher ?
Jour après jour, les Français découvrent à quel point Macron a pu leur mentir en se présentant comme le candidat qui allait renouveler les moeurs politiques.
On l’a vu en Loir et Cher avec les législatives, où Marc Fesneau (MoDem) a été investi par LREM et « délocalisé » de sa circonscription afin de ménager Maurice Leroy, qui reste macron-compatible malgré ses dénégations.
On le constate à nouveau avec les sénatoriales où les deux sorrtants, Jacqueline Gourault (MoDem) et Jeanny Lorgeoux (PS) ont reçu l’investiture LREM, au grand dam de certains qui avait cru, un peu naïvement, aux discours de M. Macron.
C’est le cas à Blois de Gildas Vieira, qui a décidé de se présenter sans l’accord du mouvement, ce qui lui vaut une demande d’exclusion.
Nous avions pourtant prévenu : l’opération montée autour de M. Macron ne visait qu’à sauver le système.
Elle a réussi dans un premier temps, mais l’illusion est en train de se dissiper.
Le Front National présentera ses candidats aux sénatoriales pour le Loir et Cher lundi prochain.
Loir et Cher : le parti de Macron rattrapé par les pratiques des « vieux partis ».
Le crime était presque parfait.
Des citoyens sincères, dégoûtés par le spectacle d’une classe politique jugée incapable de proposer des solutions crédibles, critiquée pour ses pratiques parfois douteuses, ont cru que le mouvement créé par M. Macron avec le soutien des banquiers, des affairistes, des médias, de l’Union européenne et l’appui discret de François Hollande allait provoquer un renouveau des moeurs politiques dans notre pays.
Nous avons eu beau dénoncer cette imposture, nous n’avons pas été entendus, le tintamarre médiatique était trop fort autour du candidat chargé de sauver le système.
Mais les faits sont têtus et progressivement les « marcheurs » ouvrent les yeux.
Déjà l’arrogance, l’insolence de M. Macron commence à sérieusement indisposer les Français. Sa mise en scène lors de rencontres internationales ne pourront tromper bien longtemps, d’autant plus qu’elles ne se traduisent pas par le moindre résultat.
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Sénatoriales : petites manoeuvres à Romorantin.
Louis de Redon a feint vendredi soir une grosse colère vis à vis de ses anciens « amis » et colistiers des Républicains, qui ont refusé de faire, comme lui, liste commune avec Jeanny Lorgeoux (la Nouvelle République du 01/07/2017).
En effet Isabelle Hermsdoff, par ailleurs élue au conseil départemental avec Louis de Redon a fait liste à part, consommant un divorce annoncé depuis les législative, mais ce qui scandalise l’élu MoDem, c’est que la liste de son ex « amie » ait recueilli une fois du Front National !
Un geste purement symbolique qui ne change rien au résultat. Il s’agissait en fait de désigner 9 suppléants pour l’élection du 24 septembre, en cas d’absence d’un conseiller municipal.
A la proportionnelle, une liste LR-MoDem en aurait obtenu 2 et la majorité socialiste 7, le FN aucun.
Jeanny Lorgeoux avait donc offert 2 strapontins de suppléants aix amis de Louis de Redon, la majorité en conservant 7 comme prévu. La liste présentée par Isabelle Hermsdorff a donc finalement privé Jeanny Lorgeoux d’un suppléant, ce qui ne changera rien au scrutin, car il lui reste 4 suppléants de gauche et on imagine 4 conseillers municipaux absents le 24 septembre !
Mais ce gêne sans doute le plus Louis de Redon, qui n’avait pas obtenu l’investiture « En marche » aux législatives, c’est qu’il lui sera difficile de faire une liste commune « de la droite et du centre » en 2020 à Romorantin.
Ce dépit ne devrait pas toutefois l’autoriser à parler des élus « républicains », en excluant les élus du Front National.
Il va encore couler de l’eau d’ici là sous les ponts de la Sauldre, une fois passées les sénatoriales, sur lesquelles nous reviendrons prochainement.
Pas de changement en Loir et Cher, mais le FN est toujours là.
Pas de renouveau en Loir et Cher à l’occasion des législatives, même si des têtes changent.
Dans le nord du département Maurice Leroy est logiquement réélu du fait de son implantation locale mais aussi parce « En marche » n’avait pas mis en face de lui un candidat de poids. Marc Fesneau, maire de Marchenoir, a été investi dans la 1ère circonscription, ce qui a obligé Jean-Luc Brault, maire de Contres, à se présenter dans la 2ème où il a perdu contre Guillaume Peltier alors qu’il aurait pu être élu dans la 1ère.
Pour une fois Jacqueline Gourault et Maurice Leroy sont tombés d’accord pour verrouiller le système.
Pas de changement non plus dans la 2ème circonscription où Guillaume Peltier succède à Patrice Martin-Lalande, beaucoup d’électeurs du FN semble avoir voté pour lui au 2ème tour dans un réflexe d’opposition à Emmanuel Macron.
Le paradoxe c’est qu’il avait appelé à voter Macron au 2ème de la présidentielle, tout comme Maurice Leroy. ce dernier laissait entendre hier soir sur Plus FM qu’il ne serait pas un opposant systématique, mais cela on l’avait déjà compris. D’ailleurs l’UDI défend une ligne politique très proche de Macron, dont Maurice Leroy aurait fort bien pu être ministre.
Le Loir et Cher sera donc représenté par 3 députés du système, en réalité d’accord sur plus de 80% du programme d’En marche.
Trois députés qui sont tous des professionnels de la politique, uniquement intéressés par leur propre carrière.
Le Front National reste donc la 1ère force d’opposition, et le score réalisé au 2ème tour par Michel Chassier, avec près de 31%, est un gage pour l’avenir.
Les meilleurs résultats s’observent à nouveau en zone rurale, avec 7 communes au-dessus de 40% et même 50% à Sambin. Nous retrouvons à Blois un score proche de celui de Marine Le Pen au 2è tour, mais avec beaucoup d’abstention, et près de 41% à l’école Molière dans le quartier de la Quinière.
Enfin les résultats au niveau national, avec 8 députés FN redonnent également espoir à nos électeurs, même si c’est bien loin de représenter le poids de notre mouvement du fait d’un mode de scrutin injuste.
Le bureau départemental du FN41 se réunit se soir pour analyser tous les résultats et préparer la suite : renforcement de notre implantation locale, organisation, formation, et bien sûr le prochain Congrès qui se tiendra fin 2017.
#Législatives2017 : Michel Chassier double son score dans la 1ère circonscription.
Michel Chassier commentait les résultats sur France 3 Centre Orléans.
L’écart était trop important à l’issue du 1er tour pour être remonté, d’autant plus qu’aucune autre formation politique n’appelait à voter pour le FN, contrairement au candidat du MoDem soutenu par En Marche, qui bénéficiait de l’appui des partis du système,du député sortant PS à l’UDI locale, sans oublier Maurice Leroy qui se présentait contre une candidate « En marche » mais appelait pour le candidat macroniste blésois.
Cela n’a pas empêché Michel Chassier de recueillir 4 100 voix supplémentaires, le faisant passer de 15,04 à 30,85% des suffrages exprimés.
Cette progression est d’autant plus remarquable qu’il y a eu davantage d’abstention.
Une partie de notre électorat s’est sans doute mobilisée, mais il y a eu également des reports de voix, les électeurs ne suivant pas forcément les consignes qui leur sont données par les uns et les autres.
Nous reviendrons plus en détail sur les résultats en Loir et Cher lundi dans la journée.
Soirée électorale du 2ème tour
(image d’archives)
Tous les militants et sympathisants sont invités à une soirée électorale à partir de 19 h 30 à la permanence de Blois, 31 rue du Puits Châtel, pour suivre les résultats de Loir et Cher et au niveau national sur grand écran.
Nos amis seront accueillis autour d’un buffet.
Michel Chassier sera l’invité de Plus FM dès 20 heures pour commenter les résultats et à 22 h 15 sur France 3 Centre Orléans.
Mises en avant

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Mathilde PARIS, tête de liste « Un autre avenir pour Blois » était jeudi soir l’invitée de la rédaction de @TVTOURS. Revoir la vidéo....

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