Cet acte odieux a suscité une vive émotion à Romorantin d’où était originaire le capitaine Xavier Jugelé, lâchement exécuté par un terroriste islamiste à Paris, sur les Champs-Elysées en avril 2017.
Cette même avenue qui a été envahie ce samedi par quelques 1 500 activistes de l’ultra-gauche, profitant de la manifestation des Gilets jaunes.
Dans les colonnes de la Nouvelle République ce matin (18/03) la famille du militaire exprime sa douleur, avec beaucoup de retenue, et des élus de Romorantin font part de leur condamnation.
Mais curieusement sans désigner les coupables.
Or, l’acte est signé. Mais la NR a choisi de montrer la plaque intacte, (NDLR : on trouve une autre photo sur le site en ligne de la NR) avant qu’elle ne soit souillée par le symbole des anarchistes, associé à un autocollant « action antifasciste » représentant un drapeau noir et un drapeau rouge.
Un type d’autocollant que nous avons plusieurs fois retrouvé sur notre permanence à Blois, collé par des individus habitant le quartier et connus de la Police. Mais le Procureur de la République n’a jamais donné suite à nos plaintes.
Cette simple observation permet de mieux expliquer ces violences à répétition et la relative impunité de leurs auteurs, là aussi souvent identifiés.
C’est que ces « black blocs » et autres « anfifa » jouent un rôle utile pour le pouvoir, quel qu’il soit.
En faisant dégénérer des manifestations pacifiques en émeutes urbaines avec incendies spectaculaires, pillages et saccages, cela contribue à retourner l’opinion publique favorable aux revendications des manifestants, mais scandalisée par de telles scènes.
Ces divers groupuscules d’extrême-gauche ultra-violents servent aussi le pouvoir en place en attaquant le Rassemblement national.
Lorsqu’ils créent des désordres en marge d’une manifestation, d’un meeting ou d’un congrès de notre mouvement, cela permet aux médias de nous associer dans l’esprit des gens aux violences commises… par nos adversaires.
Violences, il faut toujours le rappeler, encouragées par Jean-Christophe Cambadélis qui les qualifiait de « harcélement démocratique ».
Dans le cas présent de la crise des « Gilets jaunes », le pouvoir a joué le pourrissement et cherché une fois encore à exploiter les scènes de violences pour déconsidérer le mouvement.
Il faudra tout de même nous expliquer un jour comment on peut arrêter préventivement des centaines de manifestants, parfois pour la simple détention d’une masque respiratoire, sans parvenir à filtrer des centaines de « black blocs » casqués, transportant des projectiles et des produits incendiaires.
Il serait temps de mettre fin à ces méthodes barbouzardes et de mettre hors d’état de nuire ces milices de guerre civile, avant qu’il ne se produise des actes encore plus graves.
Enfin il est certain, mais c’est autre débat, que Macron n’a pas su apprécier la situation, préférant tranquillement aller se « ressourcer » au ski en posant avec Madame pour Gala, Paris Match et autres revues « people ».
Sans oublier toutefois de mobiliser une bonne partie des forces de l’ordre de l’ordre afin de protéger les « lieux de pouvoir », au détriment des autres unités, ce qui a rendu plus difficile le contrôle de la manifestation.
La plaque commémorative à la mémoire de Xavier Jugelé dégradée… par qui ?
Après les chemises noires et les gardes rouges, voici les chemises vertes.
Pour les lycéens et les collégiens, Hulot va-t-il remplacer Mao ?
La « grève pour le climat » sera-t-elle suivie dans les lycées de Loir et Cher ?
Difficile à prévoir. Jusqu’ici, malgré un déluge de propagande relayée par des médias complaisants, et quasi unanimes à s’émerveiller devant la conscience et la « maturité » des jeunes, censés bousculer les adultes, le mouvement reste bien timide en France.
Mais aujourd’hui encore, toute la journée, les médias ont relancé les appels pour redonner souffle à cette contestation soigneusement orchestrée.
En effet, il semble que les jeunes ne soient pas très nombreux à se laisser manipuler, car c’est bien de cela qu’il s’agit.
Les phrases, les slogans qui sortent de la bouche de ces adolescents ne sont en réalité que ceux qui leur ont été rabâchés depuis des années par les adultes, des «punchlines» d’importation, banals copiés-collés d’éléments de langages élaborés bien loin des manifestants par les officines et les lobbies qui jouent sur les peurs pour faire accepter aux peuples, surtout occidentaux, les restrictions et les contraintes.
Cette utilisation de la jeunesse n’est pas sans rappeler l’époque des « chemises noires », ou celle des « gardes rouges » en Chine. Souvenons nous qu’à l’époque les enfants étaient invités à dénoncer leur parents si ces derniers manquaient de zèle révolutionnaire, quitte à les faire condamner à la déportation quand ce n’était pas la peine de de mort.
C’est dans cet esprit qu’il faut comprendre cette manipulation à laquelle nous assistons, qui consiste à faire dénoncer par des adolescents mal informés les comportements des adultes.
Nous appelons les jeunes à ne pas se laisser faire, même si c’est parfois difficile, face à la pression totalitaire de l’idéologie dominante, relayée par les médias et par un grand nombre d’enseignants.
Mise à jour du 15/03 à 13 heures : la Nouvelle République consacre à nouveau un article ce matin pour soutenir le mouvement. Pas vraiment un succès : une seule manifestante ce matin devant la Préfecture de Blois ! Mais toujours une couverture médiatique.
Suicide d’un gendarme en Loir et Cher.
Un gendarme de 32 ans s’est tué samedi en milieu de journée avec son arme de service dans son bureau de la communauté de brigades de Selles-sur-Cher (compagnie de Romorantin).
Communiqué de l’Essor : « Nous apprenons avec une immense tristesse le décès du Gendarme Romain Rio. Il avait 32 ans.
D’abord réserviste opérationnel en Bretagne, il est admis à suivre la formation à l’école des sous-officiers de gendarmerie de Châteaumin pour enfin rejoindre la compagnie de Romorantin dans le Loir-et-Cher (41) où il est affecté à la COB de Selles sur Cher. Nous adressons à sa famille, ses proches et ses camarades nos sincères condoléances et les assurons de notre soutien.«
Le RN41 s’associe à ces condoléances.
Sans connaître les raisons de cet acte tragique, nous savons que les forces de l’ordre sont sous tension depuis bien longtemps en France. On leur demande beaucoup alors qu’ils manquent parfois cruellement de moyens et que les heures supplémentaires impayées s’accumulent.
Dans la crise de Gilets jaunes qui dure maintien depuis bientôt 5 mois, le gouvernement a choisi une stratégie favorisant les débordements et automatiquement le riposte des Forces de l’ordre, désignée à la vindicte de l’opinion.
Dans un article publié en octobre dernier, selon les informations de l’Essor « 29 gendarmes ont mis fin à leurs jours depuis le début de l’année. Un chiffre “inquiétant” selon le directeur général de la Gendarmerie le général d’armée Richard Lizurey. Ce chiffre – pour dix mois et demi – dépasse en effet celui des cinq dernières années : 23 en 2013, 22 en 2014, 25 en 2015, 25 en 2016, 17 en 2017. »
Le Rassemblement national a toujours soutenu la Gendarmerie et l’ensemble des forces de l’ordre. Les seuls à critiquer, les seuls responsables sont Macron et Castaner, c’est eux qui devront rendre des comptes.
Les costumes de Jack Lang : plus fort que Fillon !
On se souvient de l’affaire des 13 000 € de costumes offerts à François Fillon, venue s’ajouter au « Pénélope Gate » et qui avait plombé un peu plus sa campagne présidentielle.
C’est au tour de Jack Lang d’être rattrapé par un scandale similaire, pour la bagatelle de 195 600 € de costumes reçus en cadeau de la maison Smalto.
Le même Jack Lang déjà englué dans un procès avec le traiteur Noura pour 41 000 euros de repas impayés.
Cela commence à faire beaucoup, mais nous ne sommes guère surpris.
A Blois des rumeurs avaient couru sur des comportements similaires, mais aucun restaurateur n’avait porté plainte.
Nous ne sommes pas davantage surpris que Jack Lang apprécie le « style » de Macron et soutienne sa politique.
Entre habitués des « petits cadeaux », cela se comprend.
Le Rassemblement national défend le droit des femmes à Blois et à la Région.
Partout en France le Rassemblement national avait organisé des actions le 8 mars, pour la Journée Internationale des Femmes (officialisée en 1977 par l’ONU).
Mathilde Paris, conseillère régionale de Loir et Cher, conseillère municipale et communautaire de Blois et membre du Bureau national, avait transmis un communiqué à la presse locale… qui n’ a pas été publié, la Nouvelle République préférant relayer les positions de la CGT et des détenus (masculins) de la maison d’arrêt.
Vous en retrouver l’intégralité en téléchargeant le document pdf : Communiqué Journée des Femmes Mathilde Paris.
L’élue RN y insiste sur le recul du droit des femmes, très net dans certains quartiers, et Blois n’échappe pas à la règle : on se souvient de l’épisode de cette jeune serveuse interpellée par deux hommes square Augustin Thierry, qui lui reprochaient d’être en jupe, un « manque de respect » selon eux. Et cela se passait en centre-ville, intutile que dans d’autres quartiers la pression est encore plus forte.
Le même jour en Commission permanente au Conseil régional, Michel Chassier a d’abord demandé que symboliquement la séance soit présidée par une femme. Marc Gricourt n’a pas pu accéder à cette demande, car il avait lui-même reçu délégation du Président de Région, délégation qu’il ne pouvait pas transmettre.
Ensuite à l’occasion d’une subvention au collectif In Situ, Mathilde Paris est intervenue pour rappeler à nouveau les menaces sur le droit des femmes du fait de l’islamisation, un phénomène que les différents partenaires -subventionnés – de la Journée des Droits de la Femme refusent de souligner, bien-pensance oblige.
Une intervention courageuse, calme et argumenté, qui a laissé sans voix les élus des différents bords.
Y compris Guillaume Peltier, qui n’a pas prononcé un mot tout au long de cette commission.
Qui ne dit mot consent, dit l’adage populaire.
Non au retour des djihadistes !
La campagne contre le retour des djihadistes « français » est lancée en Loir et Cher, plusieurs milliers de tracts sont en cours de diffusion depuis ce week-end.
Certains sont assez naïfs pour croire que M. Macron a renoncé à les rapatrier. 13 d’entre eux ont été livrés à la justice irakienne.
Mais ce recul sous la pression de l’opinion publique, mobilisée par le RN, n’est en réalité que temporaire : Macron ne veut pas de vagues avant les élections européennes.
En réalité, un plan de retour a bien été étudié en liaison avec les américains. Il concerne au moins 150 combattants islamistes et leur famille, au bas mot plus de 500 personnes.
Pire encore, en plus des djihadistes qui avaient un passeport français, il n’est pas impossible que la France récupère des djihadistes d’autres pays européens qui refuseraient de les rapatrier.
La position du RN est claire sur cette question : des gens qui ont combattu la France, organisé et appelé à commettre des attentats sur notre territoire, brûlé leur passeport français, doivent être déchus de leur nationalité et remis aux autorités irakiennes ou syriennes, là où ils ont commis leurs exactions.
Le paradoxe, c’est de voir Marine Le Pen poursuivie pour avoir dénoncé ces crimes odieux.
Voilà pourquoi il faut faire campagne massivement contre le retour programmé des djihadistes en France
N’hésitez pas à nous contacter pour diffuser ce document.
Merci de relayez également notre pétition en ligne.
Blois : un conseiller municipal communiste accusé de viols.
L’information est parue le 24 février dans l’Obs : le mouvement des jeunes communistes est rattrapé par la vague #Me Too.
Bien sûr à ce stade, si des plaintes ont été déposées, la présomption d’innocence prévaut, c’est pourquoi l’Obs a changé le prénom.
Mais sur les réseaux sociaux les jeunes communistes se déchaînent, accusant la direction d’avoir étouffé ces affaires.
L’affaire a éclaté le 27 janvier, au siège du Parti communiste, alors que quelques 300 délégués du Mouvement jeunes communistes de France (MJCF) se sont réunis pour voter de nouveaux statuts, et élire leur conseil national et leur direction.
« Soudain une jeune femme monte à la tribune et saisit le micro : »L’immense majorité du mouvement se prononce radicalement contre les violences sexistes et sexuelles. Il est plus que temps de le mettre en pratique, et c’est pourquoi, aujourd’hui, nous refusons de nous taire », lance la jeune femme. Elle accuse ensuite nommément deux coordinateurs nationaux de « protéger des agresseurs depuis plusieurs années en mettant systématiquement le blâme sur les victimes pour qu’elles quittent l’orga [l'organisation, NDLR]« . Au moment où elle lâche son nom, l’un des deux mis en cause décrète l’évacuation de la salle. Des insultes fusent. Des camarades se bousculent. Un délégué hurle : « La diffamation, c’est puni par la loi. » D’autres se mettent à chanter pour couvrir sa voix : »On a purgé des camarades pour moins que ça, tu devrais fermer ta gueule. »
« Tout le monde criait, c’était hyper-violent », décrit une militante montée à la tribune. »
Depuis sur les réseaux sociaux les langues se délient, et nous apprenons que l’un des agresseurs, accusé de viol par deux jeunes femmes est un conseiller municipal de Blois.
Alerté, le maire de Blois a publié une réaction sur Twitter : « Bonjour, nous découvrons cette affaire par ces tweets. Soucieux du respect de la présomption d’innocence mais aussi devant la gravité des faits évoqués, le maire va rapidement rencontrer M. Bouchou pour l’entendre. Il exprime son soutien aux victimes présumées. »
Nous verrons si l’affaire sera évoquée au conseil municipal lundi prochain.
Ce qui est ennuyeux pour Marc Gricourt c’est qu’en cas de démission de l’intéressé, le suivant de liste appelé à siéger est un certain Sidi Boussetta qui a lui aussi défrayé la chronique locale pour d’autres affaires.
Voilà qui va compliquer une fin de mandat déjà marquée par le départ de Louis Buteau.
Mise à jour du 6/03/2019 : Alexis Bouchou fait savoir par son avocate qu’il conteste la version de la plaignante (la Nouvelle République du 6/03/2019). Nous ne ferons bien sûr aucun commentaire sur cette affaire, c’est désormais à la justice de faire son travail.
Conseil régional : le Rassemblement national vous défend.
Deux grands sujets lors de la dernière session du Conseil Régional Centre-Val de Loire : la mobilité et la transition énergétique.
Sur le premier dossier, le projet d’une baisse du tarif des abonnements TER a été approuvé à l’unanimité, les élus RN qui sont intervenus ont insisté sur les retards trop fréquents, sur la sécurité dans les transports en commun, sur la fraude, sur les transports scolaires en proposant des améliorations, sur l’offre de transport à destination des touristes etc…
Sue la transition énergétique, le RN a été le seul a émettre des critiques et à porter un regard plus général. Le groupe UDC s’est engouffré dans le discours conventionnel sur un sujet que beaucoup d’élus ne semblent pas vraiment maîtriser.
Devant les nombreuses insuffisances dans l’analyse et en désaccord avec plusieurs des orientations choisies par la Région, le groupe RN a été le seul à ne pas votre le rapport.
Vous pouvez retrouver le texte et les vidéos de toutes nos interventions sur le site du groupe Rassemblement national CVL.
En fin de session, Michel Chassier a défendu un voeu demandant au gouvernement l’abandon définitif des hausses de la taxe carbone prévues entre 2019 et 2022. La gauche a voté contre, le groupe de Guillaume Peltier s’est abstenu…
Nouveaux tags « antisémites » à Blois : la piste de l’extrême-gauche ?
Manifestation pro-palestinienne à Blois (image d’archive). Le mouvement a-t-il dérivé vers l’antisémitisme sous l’influence des islamistes ?
La Nouvelle République annonçait dans son édition du 21 février que « des tags à l’encontre du président de la République et des inscriptions à caractère antisémite » avaient été découvert la veille sur un abribus près du Lycée Camille Claudel.
France 3 Centre Val de Loire nous en apprend un peu plus.
A côté des inscriptions « Adolf Macron » et « Emmanuel Hitler », plusieurs croix gammées ont été taguées.
Le Préfet de Loir et Cher s’en indigne : « il est complètement intolérable de faire de telles assimilations et de se revendiquer d’une idéologie qui a tué six millions de juifs. On est à l’opposé de nos valeurs«
Si nous partageons cette condamnation, d’autant plus que nous avons trop souvent été victimes de tels agissements, sans que cela choque la classe politique ni les autorités, l’interprétation du Préfet a tout de même de quoi surprendre.
En effet, les auteurs de ces inscriptions ne se revendiquent pas de l’idéologie nazie, au contraire ils comparent M. Macron au dictateur nazi, sans doute en raison de son comportement autoritaire et méprisant.
Il est bien évident que cette comparaison est déplacée et injurieuse, mais c’est bien parce que de telles assimilations ont été trop longtemps tolérées lorsque nous étions victimes qu’elles ont été banalisées.
Et qu’on le veuille ou non, elles sont le fait de l’extrême-gauche, relayée aujourd’hui par les islamistes.
Michel Chassier, délégué départemental du Rassemblement national, a écrit au Préfet pour lui demander que l’enquête en cours soit élargie aux actes similaires qui ont visé plusieurs fois notre permanence à Blois.
Dans un cas comme dans l’autre, ces agissements portent en effet la même marque.
Ce qui n’empêche pas aujourd’hui encore Magcentre de pointer du doigt le mouvement des « Gilets jaunes ».
Rappelons qu’aucun des actes antisémites récents : cimetières profanés, boîtes à lettres taguées de croix gammées recouvrant le visage de Simone Veil, inscription « Juden » sur un commerce, agression d’Alain Finkelkraut, n’a le moindre rapport avec le mouvement.
Ce qu’ont bien compris Finkelkraut lui-même, qui le dit haut et fort, mais aussi des personnes comme Pierre Weil, qui dénonce la manifestation de mardi comme une « mascarade », ou encore Gilles-William Goldnadel.
La gauche qui est à l’origine de ces manifestations et les partis politiques qui se sont associés refusent de voir l’origine de ce nouvel antisémitisme, pire, ils feignent d’y voir une résurgence des années 30, tout en essayant d’y associer le mouvement des Gilets jaunes pour le salir.
De tels amalgames sont scandaleux et nous espérons au moins que localement les coupables seront retrouvés. Et nous verrons si leur identité sera dévoilée ainsi que leurs motivations.
Incendies volontaires à Blois : nous avions raison d’alerter.
Voitures brûlées en Vienne fin janvier 2019.
On nous reprochait de trop parler de la délinquance à Blois et en partie des incendies volontaires qui se répètent trop souvent dans certains quartiers.
Reproche qui nous a été fait y compris au conseil municipal.
Nous avions pourtant raison de nous inquiéter.
Après une recrudescence d’incendies (conteneurs, voitures, poubelles) ces derniers jours, la Police renforce son dispositif de surveillance et la Nouvelle République y consacre aujourd’hui (22/02/2019) un long article.
Alors que les feux de voitures y sont ordinairement en quelques lignes, où l’on apprend simplement que le feu a été éteint avec « une lance à débit variable » (!) sans autre précision sur les causes possibles de l’incendie.
Aujourd’hui encore, la NR rend compte en 6 petites lignes de l’incendie de deux voitures à Montoire dans la nuit de mercredi à jeudi, mais rien n’indique s’il s’agit où non d’incendies volontaires.
Nous avons déjà consacré quatre article à ce sujet depuis le début de l’année, en insistant sur les risques et sur les conséquences pour les victimes.
Lundi soir dans la rue du Pré-Rocheron en Vienne, deux voitures ont été incendiées à l’intérieur du garage d’un petit immeuble d’habitation, ce qui aurait pu se finir par un drame.
Nous appelons par conséquent tous nos concitoyens à la vigilance.
En cas de comportement suspect, ils peuvent rapidement contacter la Police ou la Gendarmerie.
Rappelons que dans tous les cas d’urgence, appelez immédiatement par téléphone le 17 ou le 112.
Et ensuite appelez le Rassemblement national au 02 54 42 12 17 !
Retour aux 90 km/h en Loir et Cher : le grand flou.
Toutes les personnes sensées conviennent que la limitation à 80 km/h est inutile, inefficace et pénalisante.
Y compris M. Macron qui aurait dit que c’était « une connerie ».
De fait elle est assez peu respectée, et paradoxalement nous avons vu la mortalité routière diminuer en fin d’année alors que deux tiers des radars étaient hors service !
Du coup, pour calmer un peu la colère des « Gilets jaunes », le gouvernement ouvrirait la porte à une « expérimentation », qui serait laissée à l’initiative des départements.
En Loir et Cher Nicolas Perruchot s’en est saisi, faisant ainsi son « buzz » dans les médias, mais de quoi s’agit-il ?
Si le gouvernement l’autorise, 500 km de départementales sur un peu plus de 3400 repasserait à 90 km/h.
Nous craignons que ce genre de décision ne fasse qu’ajouter à la confusion, obligeant les conducteurs à surveiller à chaque instant s’ils sont toujours sur une route limitée à 90 km/h ou bien à 80.
La logique voudrait que les 90 km/h redeviennent la règle, la limitation à 80 l’exception, à l’intiative selon les routes du Département ou des communes.
Rappelons que la maîtrise de la vitesse, qui fait partie de la maîtrise du véhicule, doit être appréciée à tout moment par le conducteur.
C’est l’article R 413-17 du code de la route, qui identifie quelques situations dans lesquelles un défaut de maîtrise de la vitesse peut faire l’objet d’une contravention : le comportement du conducteur ne correspond pas aux conditions de circulation (obstacles prévisibles, état de la chaussée, difficulté du trafic…) ; la vitesse du véhicule est inadaptée – trop lente ou trop rapide – alors que les conditions optimales de circulation sont réunies (trafic fluide, bonnes conditions atmosphériques, véhicule en état de marche…), la vitesse de la voiture n’est pas réduite lors du dépassement d’un piéton, lorsque les conditions de visibilités sont insuffisantes ou dans les virages…
Rien ne sert par conséquent de multiplier les panneaux et de compliquer les limitations. D’ailleurs sur une grande partie du réseau de routes secondaires limitées à 80 km/h la chaussée n’est pas assez large pour que deux véhicules se croisent à cette vitesse. Les conducteurs sont donc amenés à ralentir, ce qu’ils font naturellement.
Par contre, pourquoi ne pas utiliser davantage les panneaux indicateurs affichant une vitesse conseillée ? Cette information serait sans doute plus utile dans certaines cas.
Blois : contre l’antisémitisme les partis politiques ne mobilisent pas.
Marc Gricourt et Pierre Boisseau à Blois aux côté des représentants de « Milli Görüs » en décembre 2015. Une confédération islamiste radicale d’où est issu l’agresseur d’Alain Finkelkraut.
A la suite de plusieurs actes commis en marge de manifestations des « Gilets jaunes » à Paris, un certains nombre de partis politiques ont pris l’initiative d’organiser des manifestations contre l’antisémitisme un peu partout en France le 19 février.
L’agression contre la philosophe Alain Finkelkraut samedi dernier a renforcé encore l’indignation des Français contre ces comportements, qui auraient dû entraîner une réaction populaire de grande ampleur.
Malheureusement le sens donné à cet appel n’a pas favorisé la mobilisation espérée.
Comme le souligne Alain Finkelkraut lui-même, les partis politiques signataires de cet appel ce trompent de cible. Chacun pour des raisons diverses préférant évoqué « le bon vieil antisémitisme » c’est à dire venant d’un extrême-droite fantasmée, alors que selon le philosophe, la menace vient du « puissant courant antisémite issu du salafisme et de son terreau, les banlieues. »
Une réalité que les partis signataires refusent de voir, car elle va à l’encontre de leur analyse politique et surtout les renvoie à leurs propres responsabilités.
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Jacqueline Gourault insulte les Gilets jaunes.
Interrogée dans la Nouvelle République avant la visite de M. Macron dans l’Indre dans le cadre du grand faux débat, Mme Gourault se livre à un amalgame particulièrement scandaleux en accusant les « Gilets jaunes » d’être responsables des « dernières dégradations à Paris comme dans plusieurs villes de province le démontrent : églises profanées, tags antisémites, parlementaires menacés, incendie du domicile de Richard Ferrand en Bretagne…«
La Ministre prétend que le mouvement a été « pris en main en partie par les extrêmes » (*).
Tout cela demande une petite mise au point.
Les observateurs objectifs en conviennent, les violences sont à 90% l’oeuvre des « blacks blocs » et autres Antifa, rompus à ce genre d’exercice. Ces groupes clairement identifiés par la Police depuis des années bénéficient d’une étrange impunité, il est vrai que leurs exactions sont bien utiles au pouvoir en place afin de stigmatiser les manifestants et de retourner l’opinion publique.
On pourrait y ajouter les scènes de pillages dans les grandes villes, où l’on retrouve plutôt la racaille des « quartiers » qui profitent du désordre pour venir « faire leur courses ».
Dans un cas comme dans l’autre, rien à voir avec les « Gilets jaunes ».
D’ailleurs aucune violence ou exaction n’a eu lieu lors des manifestations en Loir et Cher.
Deuxième accusation, encore plus grave : les églises profanées et les tags antisémites.
Quel rapport avec le mouvement des Gilets jaunes ?
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La Région Centre-Val de Loire au secours des « migrants » : seul le Rassemblement national ose dire non !
Les élus du Rassemblement national préparent la Commission permanente.
Seulement 48 rapports ce matin à la commission permanente du conseil régional Centre-Val de Loire, bouclée en un peu plus d’une heure.
Les élus du groupe Rassemblement national sont intervenus sur plusieurs dossiers : développement économique, lycées, aménagement du territoire, enseignement supérieur, coopération décentralisée, formation professionnelle.
Mais il y avait un dossier sensible et hautement symbolique : l’adhésion de la Région à une association de soutien aux « migrants », ANVITA, présidée par le maire (EELV) de Grande-Synthe.
Michel Chassier a dénoncé une démarche politique puisque l’association a pour but de » soutenir, accompagner, impulser, organiser des actions de soutien aux migrants avec les acteurs dans leur grande diversité « .
L’élu RN souligne également que l’emploi du terme de « migrants », volontairement flou, vise à nous faire accepter l’immigration clandestine, puisque le terme de « migrant » peut désigner en Europe toute personne qui a franchi nos frontières, et souvent même plusieurs frontières, légalement ou non, et qui prétend y résider.
Il dénonce « la nébuleuse de structures qui permet de relayer l’action politique de partis, souvent en manque d’électeurs, qui trouvent ainsi le moyen de faire vivre un certain nombre de permanents politiques, financés par l’argent public. »
Et bien évidemment le groupe RN a voté résolument contre cette adhésion.
Lire le communiqué sur le site du groupe RN Centre Val de Loire.
Nous attendions une réaction de Guillaume Peltier, chantre de la « droite forte », sur ce sujet. Mais ce fut le silence radio, d’ailleurs le président du groupe UDC (Union de la Droite et du Centre) n’est pas intervenu une seule fois durant cette commission permanente.
Tout juste s’est-il abstenu à titre personnel sur ce dossier sensible, son groupe ayant une fois plus voté tous les rapports avec la majorité.
Arjowiggins : le président Bonneau soutient les salariés… mais achète du papier au Portugal !
Située dans la Sarthe mais à la limite du Loir et Cher, cette entreprise emploie de nombreux salariés venus du Vendômois et du Perche, notamment dans les anciens cantons de Savigny et de Montoire.
La fermeture annoncée du site de Bessé-sur-Braye illustre une fois plus la prise de contrôle de la finance sur l’économie réelle et l’absence d’une stratégie industrielle au service de l’intérêt national, contrairement à ce que font nos principaux concurrents.
Outre 560 salariés, de nombreux sous-traitants locaux vont être touchés en cas de fermeture définitive.
Le président de Région, François Bonneau, a fait part de son soutien aux salariés et il espère un projet de reprise.
Mais on peut regretter dans ce contexte que la Région commande du papier hier en Allemagne, aujourd’hui au Portugal pour ses propres besoins. Ce que nous imposent malheureusement le code des marchés publics et la réglementation européenne au nom de la libre concurrence, qui s’avère souvent déloyale.
Lire le communiqué du groupe Rassemblement National Centre-Val de Loire
Blois Vienne : 3 voitures incendiées cette nuit.
C’est un riverain écoeuré qui nous transmet l’information et nous envoie cette photo.
Hier soir vers 23 h 00 sur un petit parking de la rue des Métairies à Blois Vienne 3 voitures ont été incendiées.
Le lieu est bien connu des » initiés » et des riverains pour son trafic de drogue…
Sans doute le prix à payer pour la « paix sociale » dans certains quartiers.
Mais en Vienne comme ailleurs les habitants sont excédés par cette délinquance et tout ce qu’elle entraîne.
Encore une fois nous espérons que les auteurs de ces incendies criminels seront identifiés, interpellés et condamnés comme il se doit.
C’est malheureusement assez rare, et quoi qu’il en soit, on sait que les victimes seront très mal indemnisées.
Il est vrai que M. Castaner a d’autres priorités.
Blois : procession contre la fin du monde.
C’est en train de devenir un rituel de la nouvelle religion mondiale. Dimanche avait lieu une « marche pour le climat », avec tout ce que l’on peut compter de collectifs, d’associations, sans parler des partis politiques et des élus se proclamant écologistes, jusqu’au maire de Blois, Marc Gricourt, qui s’est joint un moment au cortège.
La Nouvelle République annonce 250 participants (la Nouvelle République du 28/01/2019). Mais à regarder de près et sous tous les angles les photos publiées sur les réseaux sociaux, il est difficile de compter plus d’une centaine de personnes.
Sur le fond les slogans et les propos tenus par les manifestants ne changent guère : urgence climatique, lutte contre la « surconsommation », hostilité au nucléaire etc…
Une personne interrogée par la NR déclare carrément « si on continue comme ça, ce sera la fin du monde !«
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La série continue : encore une voiture incendiée à la ZUP de Blois
(image d’illustration).
Dans la nuit de samedi à dimanche, une voiture a été incendiée rue Jean-Baptiste Charcot à la ZUP de Blois, vers 1 h 30 du matin (la Nouvelle République).
C’est un secteur régulièrement par ce genre d’incendie criminel.
Déjà dans la nuit de mercredi à jeudi 4 véhicules avaient été touchés rue Apell.
Jusqu’à quand les Blésois vont-ils subir cette délinquance ?
Grand Paris : soupçons de fraude sur les marchés.
Le Parquet national financier a ouvert une enquête préliminaire sur les marchés du Grand Paris express pour soupçons de favoritisme. Cette décision intervient près d’un an après les avertissements de la Cour des comptes sur des dérives de coûts et des « procédures de passation de marchés inégalement respectées« . (source Batiactu 24/01/2019)
La Cour des comptes avait dressé en décembre 2017 un rapport critique faisant état de la dérive budgétaire du Grand Paris express, avec des « coûts prévisionnels » qui « n’ont cessé de dériver« , passant de 20 à 38 milliards d’euros, et « d’une rigueur insuffisante dans la gestion des marchés« , de la part de la Société du Grand Paris.
Sur les 770 marchés notifiés du 1er janvier 2010 au 31 décembre 2016, la juridiction de la rue Cambon s’était focalisée sur 65 dossiers qui « témoignent en général d’une rigueur dans le respect des procédures de passation« . Elle note cependant certains marchés pour lesquels « les procédures et les grands principes de mise en concurrence n’avaient pas été respectés » entre offre qui aurait dû être « rejetée pour irrecevabilité » et modification des modalités de calcul des offres financières impactant « l’ordre de sélection des candidats » (*).
Elle alertait également sur 164 marchés conclus « sans publicité ni mise en concurrence » ou encore le rôle simplement « consultatif » de la commission d’examen des offres (CEO) qui ne permet « pas de disposer d’une assurance externe suffisante sur la régularité et les conditions d’attribution des marchés, l’équilibre concurrentiel et la préservation des intérêts économiques de la SGP« .
Des accusations assez lourdes, qui portent sur une période ou Maurice Leroy a été en charge du Grand Paris. Même s’il n’est pas impliqué directement dans ces procédures de marchés, il était censé exercer un contrôle, voire le pilotage du projet.
On ne peut pas dire qu’il a été très efficace dans l’exercice de sa mission.
Quand on sait qu’il va s’occuper désormais du « Grand Moscou », un projet au budget 10 fois plus important, il y a de quoi être dubitatif…
(*) une observation similaire avait été faite par la Chambre Régionale des Comptes du Centre (Avis n° 96-03355 du 16 juillet 1996) au sujet du marché de l’usine d’incinération de Valéco : « La chambre constate en outre que « le Comité du syndicat ne s’est pas prononcé sur la nature et les conditions financières de l’intervention des services techniques de la Ville de BLOIS ». Intervention dont le seul but était de modifier le classement des offres reçues, au profit de la Lyonnaise. Les dispositions en matière d’entretien et de réparation portent « atteinte au principe d’égalité d’accès des concurrents à la gestion déléguée décidée par le syndicat »,
Nouveaux incendies de voitures à Blois et à Theillay.
(image d’illustration)
Il est toujours difficile de connaître les chiffres exacts des incendies de voitures à Blois comme ailleurs.
Tout juste sait-on officieusement que plus de 1000 voitures ont brûlé dans la nuit de la Saint Sylvestre. Mais les médias préfèrent passer en boucle les voitures brûlées à la fin des manifestations de gilets jaunes à Paris, en oubliant de dire que ce sont des casseurs d’extrême gauche qui viennent profiter de l’occasion. Pour le plus grand bénéfice du gouvernement.
A Blois c’est la même chose : les chiffres de 2018 n’ont toujours pas été publiés.
Pourtant la presse locale se fait régulièrement l’écho de ces incendies de voitures.
Dernière épisode en date mercredi soir, avec 3 véhicules incendiés vers 21 h 30 rue Appell, tout près de la ZUP de Blois (2 voitures un fourgon incendiés, une autre voiture partiellement touchée), puis vers 0 h 40 rue Bertheau en Vienne (la Nouvelle République du 25/01/2019).
4 véhicules brûlés dans la même nuit, cela commence à faire beaucoup. La Police a ouvert une enquête.
Durant la même nuit une voiture, dont les plaques d’immatriculation avait été préalablement retirées, a été incendiée à Theillay.
Mais à part ça, madame la Marquise… tout va très bien, tout va très bien !
Eoliennes : les protestations se multiplient, le gouvernement les ignore.
La face cachée des éoliennes : 300 à 400 m3 de béton et 30 à 45 tonnes de ferraillage pour un une éolienne de 2 MW.
Un nouveau projet de parc éolien suscite la colère des habitants de Saint Anne, près de Vendôme, qui en subiront les nuisances tandis que la commune voisine de Villerable bénéficiera des avantages financiers.
Les opposants ont manifesté vendredi dernier lors des voeux du maire de Villerable (la Nouvelle République du 24/01/2019).
Le débat n’est pas nouveau et plusieurs projets font débat en Loir et Cher, qu’il s’agisse de la Beauce ou de la vallée du Cher.
Comme un peu partout en France, les défenseurs des paysages et de l’environnement protestent contre des implantations ou bien trop proches des habitations, ou bien qui portent atteinte à des sites remarquables comme face au massif du Canigou dans les Pyrénées ou près de l’île de Noirmoutier.
Derrière ce forcing, la volonté du gouvernement de multiplier par 2,5 les capacités de production d’électricité des éoliennes, les faisant passer de 6 à 15% de l’électricité produite dans le mix énergétique français d’ici 2028.
Un choix contestable, qui ne ferait qu’augmenter le prix de l’électricité payée par les Français, tout en nécessitant la construction de centrale thermiques d’appoint pour parer aux aléas de production.
Mais devant le « vent de fronde » soulevé par ces projets, le gouvernement a l’intention de passer en force.
En effet, pendant qu’il encourage le grand faux débat national, il a décidé de supprimer dans certaines régions, une autre forme de consultation : les enquêtes publiques (France Info 23/01/2019).
Ce sera cas pour la Bretagne et les Hauts de France, avant de généraliser la mesure.
Pourtant le gouvernement avait interrogé les citoyens sur internet. Résultat : 3 avis en faveur de la suppression de l’enquête publique, 2768 contre. Cette procédure consultative n’a pas empêché le décret d’être promulgué.
C’est comme le grand faux débat : « cause toujours, je décide ».
N’en déplaise à Charles Fournier, vice-président de la Région Centre-Val de Loire, la démocratie dite « participative » est un leurre.
Joué-les-Tours : encore 5 véhicules brûlés, la guérilla urbaine continue.
Voitures incendiées à la Rabière (image d’archives).
La série continue à Joué les Tours. Après les incendies de voitures de début novembre ou ceux de la nuit de Noël, cinq véhicules ont brûlé ce samedi soir.
Sans couverture médiatique. On préfère montrer les véhicules enflammés par des casseurs en marge des manifestations des gilets jaunes pour les discréditer, mais silence radio au contraire sur les 1030 véhicules incendiés la nuit de la Saint Sylvestre.
Le haineux Castaner est aussi un incapable, il n’a même pas le courage de dénoncer cette violence quotidienne qui touche en France des centaines de quartiers pourtant dits « prioritaires » et arrosés de subventions.
A Blois aussi des véhicules brûlent régulièrement sans que cela provoque la moindre réaction.
La maire de Joué les Tours avait institué un couvre-feu pour les mineurs de moins de 17 ans jusqu’au 24 janvier, leur interdisant toute sortie seuls de 22h à 6h.
Mais les renforts de CRS déployés après les incidents du 25 décembre ont quitté la Rabière depuis la nuit du 2 au 3 janvier. Seule la police patrouille donc dans le quartier ces derniers jours pour en assurer la sécurité. Et le couvre-feu n’empêche pas les voitures de brûler.
« Pour une raison non déterminée » ajoute Info-Tours. Tout le monde aura compris.
Loir et Cher : la guerre contre les radars automatiques continue.
(image d’archives)
La décision gouvernementale de limiter le vitesse à 80 km/h sur les routes ne passe toujours pas.
Cette mesure qui ne repose sur aucune base sérieuse et qui n’apporte rien à la sécurité routière a sans doute été la mesure de trop contre les automobilistes.
Nous l’avons souvent répété, la sécurité routière est d’abord une affaire de comportement. On le voit bien avec les exemples allemand (100 km/h sur route) et anglais (96 km/h) : ces deux pays comptent moins de victimes de la route qu’en France, avec 39 décès par million d’habitants et par en an en Allemagne, 28 décès au Royaume Uni, contre 54 en France (chiffres de 2016).
Du coup les automobilistes ont l’impression de se faire rançonner, et les mouvements de mauvaise humeur se sont multipliés depuis le début de l’année. En septembre dernier, avant le début du mouvement des « gilets jaunes », les dégradations de radars se multipliaient déjà.
La Nouvelle République revient aujourd’hui sur le sujet, sans faire un bilan complet, car la Préfecture ne veut pas communiquer les chiffres, mais le phénomène a pris de l’ampleur, comme partout en France.
Le gouvernement va-t-il comprendre enfin la leçon et revenir sur une mesure que même Macron considère comme une « connerie » ?
Pour le moment il n’en est pas question. Chacun campe sur ses positions. Jusqu’à quand ?
Blois : une conductrice de bus voilée.
(image d’archives)
C’est un usager du réseau urbain Azalys qui nous interpelle : « est-ce légal qu’une conductrice de bus d’Azalys porte le voile pendant son service et passe des appels téléphoniques avec une oreillette ?« .
Les faits ont été observés ce mercredi 26 décembre dans un bus de l’Agglo.
Nous poseront la question à son Président, Christophe Degruelle ainsi qu’au directeur de l’entreprise Kéolis qui gère le réseau.
Mise à jour le 12 janvier : la personne qui signe ses commentaires « Fréd O. » et se présente comme proche de « Christophe » (Degruelle) n’est pas Frédéric Orain, le Premier Secrétaire du PS en Loir et Cher qui nous le confirme (voir fil des commentaires).
Il s’agit donc de quelqu’un qui sous couvert d’anonymat a cherché à semer le doute.
Un clandestin multirécidiviste à nouveau condamné à Blois. Mais que faut-il encore en France ?
Un ancien combattant rappelle à Macron sa promesse non tenue.
Une fois encore la chronique judiciaire nous apprend qu’un homme de 40 ans, « originaire de la Côte d’Ivoire et en situation irrégulière » était jugé en appel à Orléans (la Nouvelle République du 24/11/2018).
L’individu, une certain Lenace, avait été condamné pour outrages et menaces à l’encontre d’un surveillant de prison à Blois, pour des insultes au personnel des urgences de l’hôpital de Vendôme, ainsi que pour une tentative de fuite lors d’un contrôle alors qu’il conduisait sans permis.
On apprend au passage que le sieur Lenace collectionne déjà 23 mentions à son casier judiciaire !
Cela pose bien sûr plusieurs questions.
D’abord comment se fait-il qu’un étranger en situation irrégulière soit toujours en France après une telle série de condamnations ?
Depuis combien de temps est-il sur notre sol en situation irrégulière ? De quoi vit-il ? Qui a payé les frais d’un appel, alors que de nombreux justiciables français renoncent parfois à se défendre car ils n’en ont pas les moyens ?
Qui va payer les frais de procédure s’il n’est pas solvable ?
Enfin, suite à cette enième condamnation, va-t-il enfin faire l’objet d’une expulsion du territoire français ?
Macron avait promis il y a un an que tous les « étrangers en situation irrégulière » qui commettent un délit « quel qu’il soit seront expulsés » de France, promettant d’être « intraitable sur ce sujet« .
Encore une promesse non tenue…
Mises en avant
Mathilde Paris invitée de la rédaction sur TVTours
Mathilde PARIS, tête de liste « Un autre avenir pour Blois » était jeudi soir l’invitée de la rédaction de @TVTOURS. Revoir la vidéo....
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