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Après les chemises noires et les gardes rouges, voici les chemises vertes.

gardes rougesPour les lycéens et les collégiens, Hulot va-t-il remplacer Mao ?
La « grève pour le climat » sera-t-elle suivie dans les lycées de Loir et Cher ?

Difficile à prévoir. Jusqu’ici, malgré un déluge de propagande relayée par des médias complaisants, et quasi unanimes à s’émerveiller devant la conscience et la « maturité » des jeunes, censés bousculer les adultes, le mouvement reste bien timide en France.
Mais aujourd’hui encore, toute la journée, les médias ont relancé les appels pour redonner souffle à cette contestation soigneusement orchestrée.
En effet, il semble que les jeunes ne soient pas très nombreux à se laisser manipuler, car c’est bien de cela qu’il s’agit.
Les phrases, les slogans qui sortent de la bouche de ces adolescents ne sont en réalité que ceux qui leur ont été rabâchés depuis des années par les adultes, des «punchlines» d’importation, banals copiés-collés d’éléments de langages élaborés bien loin des manifestants par les officines et les lobbies qui jouent sur les peurs pour faire accepter aux peuples, surtout occidentaux, les restrictions et les contraintes.
Cette utilisation de la jeunesse n’est pas sans rappeler l’époque des « chemises noires », ou celle des « gardes rouges » en Chine. Souvenons nous qu’à l’époque les enfants étaient invités à dénoncer leur parents si ces derniers manquaient de zèle révolutionnaire, quitte à les faire condamner à la déportation quand ce n’était pas la peine de de mort.
C’est dans cet esprit qu’il faut comprendre cette manipulation à laquelle nous assistons, qui consiste à faire dénoncer par des adolescents mal informés les comportements des adultes.
Nous appelons les jeunes à ne pas se laisser faire, même si c’est parfois difficile, face à la pression totalitaire de l’idéologie dominante, relayée par les médias et par un grand nombre d’enseignants.

Mise à jour du 15/03 à 13 heures : la Nouvelle République consacre à nouveau un article ce matin pour soutenir le mouvement. Pas vraiment un succès : une seule manifestante ce matin devant la Préfecture de Blois ! Mais toujours une couverture médiatique.

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Conseil régional : le Rassemblement national vous défend.

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Deux grands sujets lors de la dernière session du Conseil Régional Centre-Val de Loire : la mobilité et la transition énergétique.
Sur le premier dossier, le projet d’une baisse du tarif des abonnements TER a été approuvé à l’unanimité, les élus RN qui sont intervenus ont insisté sur les retards trop fréquents, sur la sécurité dans les transports en commun, sur la fraude, sur les transports scolaires en proposant des améliorations, sur l’offre de transport à destination des touristes etc…
Sue la transition énergétique, le RN a été le seul a émettre des critiques et à porter un regard plus général. Le groupe UDC s’est engouffré dans le discours conventionnel sur un sujet que beaucoup d’élus ne semblent pas vraiment maîtriser.
Devant les nombreuses insuffisances dans l’analyse et en désaccord avec plusieurs des orientations choisies par la Région, le groupe RN a été le seul à ne pas votre le rapport.
Vous pouvez retrouver le texte et les vidéos de toutes nos interventions sur le site du groupe Rassemblement national CVL.
En fin de session, Michel Chassier a défendu un voeu demandant au gouvernement l’abandon définitif des hausses de la taxe carbone prévues entre 2019 et 2022. La gauche a voté contre, le groupe de Guillaume Peltier s’est abstenu…

Retour aux 90 km/h en Loir et Cher : le grand flou.

80 kmhToutes les personnes sensées conviennent que la limitation à 80 km/h est inutile, inefficace et pénalisante.
Y compris M. Macron qui aurait dit que c’était « une connerie ».
De fait elle est assez peu respectée, et paradoxalement nous avons vu la mortalité routière diminuer en fin d’année alors que deux tiers des radars étaient hors service !
Du coup, pour calmer un peu la colère des « Gilets jaunes », le gouvernement ouvrirait la porte à une « expérimentation », qui serait laissée à l’initiative des départements.
En Loir et Cher Nicolas Perruchot s’en est saisi, faisant ainsi son « buzz » dans les médias, mais de quoi s’agit-il ?
Si le gouvernement l’autorise, 500 km de départementales sur un peu plus de 3400 repasserait à 90 km/h.
Nous craignons que ce genre de décision ne fasse qu’ajouter à la confusion, obligeant les conducteurs à surveiller à chaque instant s’ils sont toujours sur une route limitée à 90 km/h ou bien à 80.
La logique voudrait que les 90 km/h redeviennent la règle, la limitation à 80 l’exception, à l’intiative selon les routes du Département ou des communes.
Rappelons que la maîtrise de la vitesse, qui fait partie de la maîtrise du véhicule, doit être appréciée à tout moment par le conducteur.
C’est l’article R 413-17 du code de la route, qui identifie quelques situations dans lesquelles un défaut de maîtrise de la vitesse peut faire l’objet d’une contravention : le comportement du conducteur ne correspond pas aux conditions de circulation (obstacles prévisibles, état de la chaussée, difficulté du trafic…) ; la vitesse du véhicule est inadaptée – trop lente ou trop rapide – alors que les conditions optimales de circulation sont réunies (trafic fluide, bonnes conditions atmosphériques, véhicule en état de marche…), la vitesse de la voiture n’est pas réduite lors du dépassement d’un piéton, lorsque les conditions de visibilités sont insuffisantes ou dans les virages…
Rien ne sert par conséquent de multiplier les panneaux et de compliquer les limitations. D’ailleurs sur une grande partie du réseau de routes secondaires limitées à 80 km/h la chaussée n’est pas assez large pour que deux véhicules se croisent à cette vitesse. Les conducteurs sont donc amenés à ralentir, ce qu’ils font naturellement.
Par contre, pourquoi ne pas utiliser davantage les panneaux indicateurs affichant une vitesse conseillée ? Cette information serait sans doute plus utile dans certaines cas.

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Blois : procession contre la fin du monde.

téléchargementC’est en train de devenir un rituel de la nouvelle religion mondiale. Dimanche avait lieu une « marche pour le climat », avec tout ce que l’on peut compter de collectifs, d’associations, sans parler des partis politiques et des élus se proclamant écologistes, jusqu’au maire de Blois, Marc Gricourt, qui s’est joint un moment au cortège.
La Nouvelle République annonce 250 participants (la Nouvelle République du 28/01/2019). Mais à regarder de près et sous tous les angles les photos publiées sur les réseaux sociaux, il est difficile de compter plus d’une centaine de personnes.
Sur le fond les slogans et les propos tenus par les manifestants ne changent guère : urgence climatique, lutte contre la « surconsommation », hostilité au nucléaire etc…
Une personne interrogée par la NR déclare carrément « si on continue comme ça, ce sera la fin du monde !« 
En lire plus …

Eoliennes : les protestations se multiplient, le gouvernement les ignore.

fondation éolienneLa face cachée des éoliennes : 300 à 400 m3 de béton et 30 à 45 tonnes de ferraillage pour un une éolienne de 2 MW.
Un nouveau projet de parc éolien suscite la colère des habitants de Saint Anne, près de Vendôme, qui en subiront les nuisances tandis que la commune voisine de Villerable bénéficiera des avantages financiers.

Les opposants ont manifesté vendredi dernier lors des voeux du maire de Villerable (la Nouvelle République du 24/01/2019).
Le débat n’est pas nouveau et plusieurs projets font débat en Loir et Cher, qu’il s’agisse de la Beauce ou de la vallée du Cher.
Comme un peu partout en France, les défenseurs des paysages et de l’environnement protestent contre des implantations ou bien trop proches des habitations, ou bien qui portent atteinte à des sites remarquables comme face au massif du Canigou dans les Pyrénées ou près de l’île de Noirmoutier.
Derrière ce forcing, la volonté du gouvernement de multiplier par 2,5 les capacités de production d’électricité des éoliennes, les faisant passer de 6 à 15% de l’électricité produite dans le mix énergétique français d’ici 2028.
Un choix contestable, qui ne ferait qu’augmenter le prix de l’électricité payée par les Français, tout en nécessitant la construction de centrale thermiques d’appoint pour parer aux aléas de production.
Mais devant le « vent de fronde » soulevé par ces projets, le gouvernement a l’intention de passer en force.
En effet, pendant qu’il encourage le grand faux débat national, il a décidé de supprimer dans certaines régions, une autre forme de consultation : les enquêtes publiques (France Info 23/01/2019).
Ce sera cas pour la Bretagne et les Hauts de France, avant de généraliser la mesure.
Pourtant le gouvernement avait interrogé les citoyens sur internet. Résultat : 3 avis en faveur de la suppression de l’enquête publique, 2768 contre. Cette procédure consultative n’a pas empêché le décret d’être promulgué.
C’est comme le grand faux débat : « cause toujours, je décide ».
N’en déplaise à Charles Fournier, vice-président de la Région Centre-Val de Loire, la démocratie dite « participative » est un leurre.

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Gilets jaunes : péage gratuit à Blois.

46831118_1931592923810759_7817725542630686720_nNouvelle action des gilets jaunes ce matin à Blois : opération péage gratuit à la sortie de l’A10.
D’autres actions sont prévues un peu partout en Loir et Cher, relayées sur les réseaux sociaux.
Il était difficile pour beaucoup de se déplacer à Paris en raison du coût que cela représente, sans compter que certains redoutent des provocations et des violences de la part les milices d’extrême-gauche protégées par le pouvoir, et qui font régulièrement dégénérer les manifestations syndicales afin de « faire de l’image » et de déconsidérer le mouvement. Et curieusement les auteurs de ces violences sont rarement interpellés et condamnés.
La faiblesse du mouvement des Gilets jaunes c’est peut-être le manque de coordination et l’absence d’une revendication claire, mais sa force réside dans la multiplication d’initiatives que le gouvernement ne parvient pas à contrôler.
Ainsi, malgré l’interdiction injustifiée de Castaner, les Gilets jaunes ont commencé à rassembler sur les Champs Elysées.
Si le mouvement dure, il faudra bien que Macron lâche du lest, autrement que par les promesses de quelques primes. Il faut simplement renoncer à la taxe carbone, à minima annuler la hausse prévue au 1er janvier.
Une autre mesure de bon sens, présentée à l’Assemblée nationale par Marine Le Pen et les députés du Rassemblement national, consisterait à ne pas appliquer la TVA sur les le montant de la TICPE. Il faut savoir en effet que l’on applique une taxe sur au autre taxe.
Cela permettrait de gagner quelques centimes par litre (13 à 14 centimes sur un litre d’essence).
Nous vous tiendrons informés au cours de la journée des opérations en Loir et Cher.

Blois : la voie rapide à nouveau bloquée, les routiers s’y mettent.

46485314_1929160030720715_3865234527882313728_nCe matin en direct de la RD 956.
Le mépris affiché hier soir par Edouard II (*) n’aura fait que monter d’un cran la colère des Français.

De nouveaux blocages sont signalés un peu partout ce matin, autoroutes, centre commerciaux, dépôts de carburants.
A Blois, la voie rapide (RD 956) est bloquée ce matin, au niveau de la patte d’Oie par des gilets jaunes, mais aussi désormais par des routiers.
Là encore, en dehors des syndicats de salariés et de transporteurs, un routier avait lancé un appel sur Facebook, vue plus de 2 millions de fois.
Et les appels se relaient sur les réseaux sociaux pour monter à Paris le 24 octobre, place de la Concorde.
Pendant ce temps Macron était en Allemagne, pour encenser la politique de Merkel et dénigrer la France et les Français. Oubiant que les Allemands eux-même ont sévèrement sanctionné leur chancelière.
S’il admire tant l’Allemagne, pourquoi ne va-t-il pas s’y présenter pour succéder à son amie Angela ? Après tout Cohn-Bendit, qui l’admire, s’était bien présenté en France. Et les Français seraient je pense heureux de faire don à nos voisins du petit Emmanuel avec Brigitte ne prime.
Plus sérieusement, le gouvernement n’aura pas le choix. Dans un premier temps, il faut qu’il renonce à la taxation carbone pour faire redescendre le niveau des carburants.
La transition écologique n’est qu’un prétexte, et celle qu’on nous propose est à la fois coûteuse, inefficace et irréaliste. Il serait temps d’écouter sur le sujet l’avis des gens sérieux, nous y reviendrons.

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Journée du 17 novembre : le pouvoir s’énerve, c’est bon signe !

carte 17-11Notre Présidente Marine Le Pen, a réaffirmé ce matin sur France Inter la position de notre mouvement concernant les manifestations du 17 novembre 2018 : « Je respecte le caractère apolitique des manifestations du 17 novembre, qui visent à réunir TOUS les Français opposés à cette politique, quel que soit leur bord. Nos militants, cadres et élus y participeront, mais nous ne tracterons pas ce jour. »
Ce communiqué est un démenti formel aux accusations de récupération ou de manipulation lancées par le gouvernement afin de diviser le mouvement. Les Français ne seront pas dupes.
Il s’agit d’un mouvement citoyen que le Rassemblement National soutient et auquel nos élus, cadres, adhérents et sympathisants doivent s’associer en tant que citoyens, sans signe distinctif,  à l’exception des élus qui souhaitent participer aux rassemblements avec leur écharpe.
Afin de ne pas entretenir de confusion, aucune action militante (tractage, banderole etc) ne doit être organisée ce samedi 17 novembre.
De même, les représentants du RN ne s’associeront à aucun blocage ou aucune action sortant du cadre légal ou pouvant attenter à la sécurité des personnes.
Pour toutes les personnes intéressées, il convient de retrouver les consignes des organisateurs sur les réseaux sociaux (Blocage national 41 Blois sur Facebook) ou dans la presse.
En attendant, le pouvoir s’énerve et menace. Pas sûr que ce soit a bonne réaction.

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L’UE voudrait interdire la bouillie bordelaise !

Bouillie_bordelaise-1903La fameuse « bouillie bordelaise », à base de cuivre et de chaux, est utilisée depuis la fin du XIXème siècle, d’abord en viticulture, mais aussi pour le maraîchage et l’arboriculture.
Pour les viticulteurs labellisés « bio », c’est le seul produit phytosanitaire autorisé pour lutter contre le mildiou.
Or la Commission européenne – qui faut-il le rappeler n’est élue par personne – voudrait l’interdire.
Et l’autorisation actuelle prend fin en janvier 2019. Ensuite, il n’y a toujours pas de réponse définitive : l’autorisation pourrait être prolongée en diminuant les doses à l’hectare, ou bien abrogée purement et simplement.
Pour les vignerons bio mais pas seulement, ce serait une catastrophe.
Le Président de la commission bio des vignerons indépendants, Michel Gendrier, s’en inquiète dans la Nouvelle République du 12/11/2018.
Philippe Loiseau avait posé une question écrite en juin dernier (2018 06 QE PL Cuivre). La réponse apportée par la Commission n’est en rien rassurante, et laisse les intéressés dans l’incertitude à deux mois de l’échéance.
Nos élus font tout pour défendre la viticulture française, déjà menacée par des réglementations qui favorisent nos concurrents.
Une fois encore, il faudra que nous soyons en mesure de peser davantage sur les décisions, et surtout de remettre en cause le fonctionnement et les pouvoirs exorbitants de la Commission… d’où l’importance des européennes de mai 2019.

Saisonniers de l’agriculture : peut-on faire confiance aux pompiers-pyromanes ?

manif agriculteurs Blois_1Les représentants départementaux de la FDSEA et des Jeunes Agriculteurs ont rencontré les parlementaires de Loir et Cher pour défendre les exonérations de charge pour le travail saisonnier (la Nouvelle République du 2/10/2018).
En effet, le projet de loi de finances (budget de l’Etat) pour 2019 prévoit la suppression de cette disposition, destinée à compenser partiellement  le coût de main-d’œuvre « beaucoup plus élevé que celui de nos concurrents européens ».
Mais le problème c’est que tous ces parlementaires ont fait voter Macron en 2017.
Une fois encore, ils ne peuvent que déplorer les conséquences de leur choix.
Nous ne manquerons pas d’observer leur vote lors de l’examen de la loi de finances.
Combien oserons voter contre, combien vont prudemment s’abstenir… à moins qu’une envie pressante ne les oblige à quitter l’hémicycle au moment du scrutin… On a déjà vu ça !
Mais pendant ce temps, l’article le rappelle, le gouvernement trouve des solutions pour donner du travail aux « réfugiés ».
On voit bien quelles sont les priorités…
Encore une fois, la meilleure façon de sanctionner Macron et son gouvernement, c’est de placer la liste soutenue par Marine Le Pen et le Rassemblement national en tête aux européennes de 2019 !

Le sport victime des économies budgétaires.

JO 2024JO 2024 : avec quels moyens les sportifs français pourront-ils se préparer ? A moins de pénaliser davantage le sport pour tous ?

Si les Blésois peuvent se réjouir du fait que la nouvelle ministre des sports, Roxana Maracinea, ait débuté sa carrière de nageuse dans un club de notre ville, les sportifs de Loiret Cher vont cependant subir les coupes budgétaires comme les autres.
En effet, le budget du ministère va être amputé de 30 millions d’euros en 2019, et 1600 postes de conseillers techniques sportifs sont remis en cause.
La ministre s’est voulue rassurante en précisant que les conseillers techniques sportifs (CTS) ne perdront pas leur emploi, mais cela signifierait, comme pour les emplois aidés un transfert des charges vers fédérations, elles-mêmes financées en partie par les collectivités territoriales.
Cela vient s’ajouter à un véritable détournement des fonds du Centre National pour le Développement du Sport (CNDS), qui se voit imposer ses orientations par le Ministère au mépris de la gestion paritaire prévue par ses statuts. Alors même, faut-il le rappeler, que ces fonds ne proviennent pas du budget de l’Etat.
Mais depuis longtemps, en regroupant le sport et « cohésion sociale », une partie des sommes qui devraient revenir aux fédérations est utilisée pour des actions qui relèvent de la fameuse « politique de la Ville ».
Et pendant ce temps la Région Centre Val de Loire réduit également son budget pour le sport.
Le groupe Rassemblement national CVL a publié un communiqué pour dénoncer cette situation et soutenir le mouvement sportif.

Communiqué du Groupe Rassemblement National au conseil régional Centre-Val de Loire.
« Nous avons été alertés par le Conseil Régional Olympique Sportif Français (CROS) dénonçant la prochaine baisse du budget des Sports de 30M€ en 2019, entraînant la suppression de 1600 postes de fonctionnaires au sein du Ministère des Sports. »
Lire la suite sur le site du groupe RN-CVL

Nous vous invitons également à signer la pétition du CNOS.

 

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80 km/h : ça ne passe toujours pas.

A5_TRACT_80KM_H_HD_STC_Page_1Quand les citoyens ne sont plus écoutés… ils se révoltent. Qui sème le vent récolte la tempête.
La décision totalement injustifiée de limiter la vitesse à 80 km/h ne passe toujours pas.

La preuve en est fournie par l’ampleur des dégradations dont sont la cible radars et panneaux de limitation de vitesse, en Loir et Cher comme ailleurs (la Nouvelle République du 4 septembre).
Un tiers des radars du département auraient déjà été victimes de ce mécontentement qui ne faiblit pas.
Certains sont seulement recouverts de peinture, d’autres carrément détruits comme celui de la levée de Chailles qui a été incendié, celui d’Averdon qui a été découpé et emporté. Le radar mobile de la RD952 entre Blois et Onzain avait été également retourné.
Face à cette vague de protestation sans précédent, la préfecture brandit la menace, tout en essayant vainement de justifier la mesure, mais il y a longtemps que ce discours ne passe plus.
Selon la directrice de Cabinet, « il y a d’autres moyens d’exprimer son opposition. » Ah oui, lesquels ?
Les manifestations, les tracts, les pétitions, les protestations des élus ruraux et de nombreux professionnels de la route ont été traités par le mépris.
Alors certains en arrivent à cette solution radicale, tout comme les Bretons qui avaient détruits plusieurs portiques installés afin de percevoir l’écotaxe.
Et le pouvoir avait dû reculer.
Peut-être en sera-t-il de même si les attaques contre les radars se multiplient à la rentrée.
Bien sûr nous n’incitons personne à le faire, mais ne ne pouvons pas non plus condamner ces réactions spontanées qui expriment une révolte contre le mépris de ceux qui nous gouvernent.
Et s’il faut trouver un autre moyen d’expression comme le conseille la directrice du Cabinet, rendez-vous aux européennes pour botter les fesses de ce pouvoir arrogant en votant pour la liste du Rassemblement national.

Nos emplois partent en Chine, les Chinois achètent nos terres.

Philippe Loiseau PEPhilippe Loiseau à Bruxelles : un défenseur acharné de l’agriculture française.
Cette semaine une manifestation surprise de la Confédération paysanne à rappelé au grand public, souvent peu informé, mais aussi aux élus, le danger que représente la financiarisation du foncier agricole.

En l’occurrence l’achat de 1700 hectares de terres céréalières dans l’Indre par le groupe Hyongang en 2016, auxquels il faut ajouter 900 hectares achetés cette année dans l’Allier.
Une menace évidente pour les agriculteurs français qui ne peuvent pas lutter contre de tels groupes financiers, qui dans l’exemple du Berry racheté ces terres trois fois au prix du cours normal, ce qui crée une concurrence déloyale vis-à-vis des jeunes agriculteurs qui cherchent à s’installer .
Le problème c’est que depuis la loi d’avenir de 2014 pour l’agriculture, l’alimentation et la forêt, seules les cessions de 100% de parts sociales d’une société agricole doivent être notifiées aux Safer qui peuvent alors exercer leur droit de préemption. Il suffit donc aux investisseurs de se contenter dans un premier temps de 98% ou 99% pour que l’opération se fasse.
Depuis les groupes financiers, en particulier chinois, se sont engouffrés dans la brèche ouverte à dessein pour les favoriser.
En lire plus …

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Travailleurs détachés : triste record pour le Loir et Cher.

ChomageAvec 6 237 travailleurs détachés en plein mois de juillet, le Loir et Cher se classe au premier rang des départements français (la Nouvelle République du 30/07/2018).
Toujours aussi difficile à comprendre quand on sait que le département comptait fin juin 14 450 chômeurs de catégorie A et 26 870 en additionnant les catégories A, B et C.
La question de l’attractivité des métiers manuels reste donc bien posée.
On peut également faire remarquer que beaucoup de ces emplois sont saisonniers dans le secteur agricole, là encore on peur s’étonner qu’il n’y ait pas davantage d’étudiants intéressés.
Les élus du Rassemblement national sont intervenus régulièrement sur ce sujet en Région Centre-Val de Loire, mais c’est au niveau de l’Etat qu’il faudrait agir… à condition de savoir dire non à Bruxelles !

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Romorantin, cimetière d’Autolib.

AutolibLa presse locale ne pouvait pas ignorer cette information, même si la presse nationale reste fort discrète.
Depuis la fin d’Autolib à Paris, des centaines de voitures électriques sont stockées, en attendant des jours meilleurs (?) sur un ancien site Matra à Romorantin (la Nouvelle République du 27/07/2018).
Un échec cuisant pour Vincent Bolloré, dont les liens étroit avec le monde politique a toujours favorisé les affaires.
On se souvient encore de l’épisode du yacht mis à disposition de Nicolas Sarközy après son élection en 2007, ce qui ne l’a pas empêché de soutenir le candidat Macron en 2017.
Pour revenir à Autolib, le concept de voitures électriques partagées s’est avéré un fiasco, et fausse bonne solution sur le plan écologique.
En effet, le bilan écologique de la voiture électrique est loin d’être aussi favorable qu’on essaie de nous le faire croire.
Même si elle n’émet rien au niveau local, sa production se révèle nettement plus énergivore, et donc émettrice de gaz à effet de serre, que celle d’une voiture thermique. En cause : la batterie, qui compte pour moitié dans les besoins énergétiques liés à la fabrication d’une voiture électrique.
Plusieurs reportages ont fini par briser l’omerta, et révélé les dégâts causés par l’extraction des minéraux nécessaires à leur fabrication, en Chine comme en Afrique.
Sans oublier qu’il faut produire de l’énergie électrique pour recharger les batterie.
Aux Etats-Unis, après un engouement auprès des classes aisées sensibilisées aux questions écologiques, sans pour autant maîtriser le sujet, le phénomène Tesla connaît aujourd’hui une net coup de frein, et l’entreprise perd de l’argent tous les jours et les rumeurs d’une prochaine faillite reviennent régulièrement dans les médias et sur les réseaux sociaux.
Plus près de chez nous à Orléans, la Métropole envisage de passer 30% des bus à l’électrique sur le réseau urbain.
Le gestionnaire actuel assure que ce ne serait pas gérable, après avoir fait l’expérience sur quelques bus, et menace de se désengager.
Et le millier d’Autolib stockées à Romorantin pourraient bien finir à la casse.
Il serait intéressant de connaître le bilan écologique de cette expérience…
An moment où la principale entreprise française spécialisée dans les hydroliennes arrête ses investissements un mois et demi après avoir inauguré sa première usine, il serait temps de s’intéresser aux différents projets, comme les éoliennes en mer, dont le coût exorbitant est payé par tous les Français sur leur facture d’électricité, pour finir tôt ou tard dans le cimetière des illusions perdues.
Mais à quel prix ?
Dans ce domaine comme dans d’autres Macron perpétue les pratiques de l’ancien monde, y compris la confusion des intérêts, le tout appuyé par la communication de Nicolas Hulot, dont la compétence en la matière est proche de zéro.

Plan régional de santé : l’intervention de Michel Chassier

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Les vidéos des interventions de vos élus lors des sessions plénières d’avril et de mai sont en ligne sur le site du groupe FN Centre-Val de Loire et sur notre chaîne Youtube.
Nous vous invitons à vous y rendre pour les réécouter. Vous pourrez constater par vous-même le travail de nos élus.
Nous mettrons en ligne sur notre blog les interventions des élus de Loir et Cher.

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Sans l’Europe on lutterait plus efficacement contre la grenouille-taureau.

grenouilleLa grenouille-europe veut avaler les nations. Elle risque de finir comme la grenouille de la fable !
Nouvel exemple de propagande pour l’Union européenne dans la Nouvelle République  du 24 mai 2018.

Le but avoué de la manoeuvre, initiée par Marc Gricourt et Charles Fournier, Vice-présidents de la Région Centre-Val de Loire est explicite : parler de l’Europe « aux Loir-et-Chériens, leur montrer ce qu’elle leur apporte au quotidien. »
L’exemple choisi est cette fois la grenouille-taureau, espèce invasive qui fait l’objet d’un plan de lutte contre sa prolifération.
Lutte qui va coûter 3 430 000 € entre 2016 et 2022, soit près d’un demi-million d’euros par an pour notre région.
Et nos deux compères soulignent que l’Europe apporte 2 millions d’euros de subvention pour ce plan.
D’où le titre de l’article : « sans l’Europe, la grenouille taureau envahirait la Sologne ».
Encore une fois, il faut dénoncer ce mensonge. L’Europe, en réalité l’Union européenne, ne nous donne rien, elle nous restitue seulement une partie de notre argent.
Rapporté à cette opération, il faut expliquer à nos concitoyens que la France a versé 3 230 000 € au budget de l’UE pour recevoir en  retour ces 2 000 000 €.
Cela veut dire que sans le prélèvement européen, l’Etat aurait pu financer à hauteur de 3 230 000 e ce plan de lutte contre la grenouille-taureau, ne laissant à la région et au Département que 200 000 € à charge, au lieu de 1 430 000 €.
A l’approche des européennes de 2019, ce type de mensonge va se multiplier, nous ne cesserons de la dénoncer.
Déjà le 18 mai dernier en commission permanente Michel Chassier est intervenu, une nouvelle fois, pour refuser le financement d’un déplacement du même Charles Fournier à Strasbourg dans le cadre des rencontres EYE (European Youth Event), dont le but avoué dans le programme officiel est d’endoctriner les jeunes en faveur en faveur du fédéralisme européen, au détriment des nations et des identités.
Inutiles de dire que tous les autres groupes de LR au PS, ont voté pour.
Nous saurons le rappeler le moment venu.

Routes : communiqué de presse du Front National

DdZ6bzbW0AAvtpbLors de la session plénière du 16 mai le groupe Front National a déposé un vœu pour demander que la Région prenne en compte le réseau routier d’intérêt régional dans le cadre de la loi NOTRe.
Ce vœu fait écho à la demande des 6 présidents des départements de la région Centre-Val de Loire, mais le groupe FN avait déjà formulé cette demande à plusieurs occasions, considérant qu’il s’agit d’un enjeu incontournable qui doit être intégré dans les différents schémas d’aménagement de la Région.

Suite sur le site du groupe FN Centre-Val de Loire.

Michel Chassier, président du groupe FN CVL a écrit au 6 présidents des départements pour les informés de la position du FN sur cette question qui intéresse les habitants de la Région au plus haut point.

Région : Michel Chassier intervient sur le ferroviaire.

HdjYga8YMichel Chassier, Président du groupe FN Centre-Val de Loire est intervenu au sujet de la révision contractuelle de la convention TER en rappelant notre opposition à la réforme de la SNCF dictée par Bruxelles et qui remet en cause le principe de l’égal accès aux services publics pour tous les citoyens. Les conditions de transfert de la gestion des lignes TET, négociées région par région, participent également de cette mise à mal du principe de péréquation tarifaire. Les présidents de régions, aveuglés par l’illusion de pouvoir décider de leur politique de transport ferroviaire, ne voient pas qu’en réalité l’Etat leur transfère une charge qu’il n’est plus capable d’assumer.
Voir l’ensemble des interventions sur le site du groupe FN Centre-Val de Loire.

Plan régional de santé : les élus FN dénoncent une mascarade.

Groupe FN RCVLUn an après l’élection de Macron, ses méthodes suscitent un rejet grandissant de part des élus locaux en charge des collectivités.
Méconnaissance des territoires, mépris pour les élus, engagements bafoués, décisions imposées, mise sous tutelle budgétaire, la coupe est pleine et l’on grandir une véritable fronde qui dépasse tous les clivages politiques.
Nous évoquions il y a quelques jours la colère de Marc Gricourt, maire de Blois, hier c’est au Conseil régional que les élus, toutes tendances confondues, ont dénoncé cette ignorance des territoires qui va toucher une fois encore la ruralité et les villes moyennes.
Lors de la conférence des présidents avant l’ouverture de la séance François Bonneau, président de Région, Jean-Patrick Gilles (groupe SRD), Guillaume Peltier (groupe UDC), Michel Chassier (groupe FN) et Patrick Fournier (groupe Ecologiste) ont tous fait le même constat.
Au cours débat Guillaume Peltier a parlé de « mépris pour nos territoires« , François Bonneau a souligné les insuffisances du PRS au regard de la situation de la Région, classée dernière pour le nombre de médecins par habitants et demandé des aménagements.
Mais à quoi bon ? Puisque le Plan régional de Santé a déjà été adopté le 29 mars, et que le Conseil régional était appelé simplement à donner un avis consultatif… alors que la décision est déjà prise !
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Région Centre-Val de Loire : quand un socialiste ne croit plus à l’égalité des territoires !

SRADDETLundi 16 avril le CESER (Conseil Economique Social et Environnemental Régional) donnait son avis sur le SRADDET (Schéma Régional d’Aménagement et de Développement Durable et d’Egalité du Territoire).
Prenant la parole au nom du Président de Région, Dominique Roullet, Vice-Président délégué à l’Aménagement du Territoire et au Numérique, déclarait : « je ne crois pas à l’égalité des territoires, mais à leur complémentarité. »
Les socialistes avouent qu’ils ne croient plus à l’égalité des territoires !
Il est étonnant qu’un tel dérapage n’ait pas eu davantage d’écho.
Le groupe Front National Centre-Val de Loire, dont le Président Michel Chassier assistait aux débats, a aussitôt envoyé un communiqué de presse aux médias régionaux.
Nul doute que ces propos auront un écho à l’occasion des débats de la prochaine session.

Communiqué de presse du Groupe FN Centre-Val de Loire :

Ces dernières années, un changement de dénomination s’est produit : la politique d’aménagement du territoire est devenue politique d’égalité des territoires. Changement sémantique pour beaucoup, mais pas seulement. Comme l’expliquait en 2015 le ministère de l’Égalité des territoires et du Logement, « cette notion est à mettre en regard des inégalités constatées, de plus en plus importantes. L’égalité est inséparable de la question territoriale ».   Suite sur le site du Groupe FN-CVL.

Le département informatique menacé à Blois.

Dpt informatique BloisNous l’avions évoqué à l’occasion du dernier conseil communautaire d’Agglopolys : le département informatique de Blois est menacé.
Le président de l’Université de Tours, Philippe Vendrix, ne cache pas son désir de rapatrier le plus vite possible le département informatique de Blois dans des locaux tourangeaux.
La Nouvelle République a interrogé le responsable du département informatique, Thomas Devogele. Il a pris connaissance de ce projet il y a quelques semaines. « Il n’y a pas eu la moindre consultation », déclare-t-il à la NR.
Et il craint que le projet passe en force.
Ce regroupement sur Tours n’est pas un phénomène isolé, c’est toute la question des antennes universitaires qui est remise en cause.
De la même façon, l’Université d’Orléans a dans le collimateur les antennes de Bourges, Chartres et Châteauroux-Issoudun jugées trop coûteuses.
Mais cette approche va en réalité dans le sens de la métropolisation. Dans le cas de la Région Centre-Val de Loire c’est une nouvelle illustration de la rivalité entre les deux métropoles de Tours et d’Orléans, et le futur SRADDET aura bien du mal à imposer une conception plus équilibrée du développement des territoires.
On l’observe également quand Orléans demande l’ouverture d’une 1ère année de médecine. Pour commencer.
Les élus du Front National avaient souligné cette évolution dès 2011, lors des débats du SRADDT.
Yann Bourseguin ne voit dans la métropolisation qu’un « phénomène de mode ».
C’est au contraire une tendance lourde, qui peut s’observer au nouveau mondial.
Bien sûr les élus locaux sont mobilisés, Christophe Degruelle rappelle qu’Agglopolys verse chaque année 30 000 € au département informatique de Blois. Mais cela ne semble pas de nature à contrarier la volonté de Tours Métropole, qui dispose de moyens autrement plus importants.
Les élus du Front National défendront à Blois comme à la Région le maintien du département informatique à Blois.

SNCF : les mélenchonistes font de la récupération, mais ils sont en retard d’un train !

TER CVLCe jeudi 14 avril 2018, la France Insoumise a distribué à la sortie de gare de Blois-Chambord un tract pour dénoncer la réforme de la SNCF. Malheureusement, pour eux, à la lecture de ce tract nous pouvons que constater que la France Insoumise n’a pas actualisé ses fiches liées à la dernière réforme ferroviaire de 2015. Il dénonce que la SNCF va mal car celle-ci est scindée en deux entreprises : RFF d’un côté et de l’autre la SNCF. Mais depuis, le 1er juillet 2015, RFF a été réintégré dans le giron de la SNCF. La dernière réforme a consisté à la création de trois EPIC (Etablissement public à caractère industriel et commercial) de la façon suivante :
-          SNCF, EPIC de tête
-          SNCF mobilité s’occupant de la gestion du trafic et de l’infrastructure des gares et atelier de maintenance
-          SNCF Réseaux (dont RFF) s’occupant de l’entretien du réseau
Cette erreur sur le tract de la France insoumise permet de faire tomber les masques. Ils ne viennent pas soutenir la cause de cette belle entreprise française la SNCF mais essaent de faire de la récupération politique. En tout cas, les cheminots qui ont pris le tract ont du se demander comment un parti politique se disant proche des syndicats puisse être aussi déconnecté de cette réforme.
Nous reviendrons plus longuement sur la réforme de la SNCF dans de prochains articles afin d’expliquer les inquiétudes des cheminots.
Au passage, le nombre de trains circulant en gare de Blois est bien en deçà des chiffres avancés par les médias : tous trains confondus (TER, Intercités), sur 24 trains entre Tours et Orléans, seulement 3 circulent le vendredi 13, soit 1 train sur 8.

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80 km/h : nouvelles manifestations samedi.

80 kmhEdouard Philippe est sourd.
Il répète que rien ne le fera changer d’avis sur la limitation de vitesse à 80 Km/h le 1er juillet prochain.
Sauf que l’échéance se rapprochant la contestation va monter en puissance.
Nous nous sommes déjà exprimés à plusieurs reprises sur cette mesure inefficace et pénalisante, surtout dans nos départements ruraux, pour les particuliers comme pour les professionnels, et rejetée par 75% des Français.
Depuis janvier les militants du FN41 ont déjà distribué plus de 8000 tracts (à télécharger : tract_80 Km/h) condamnant cette décision prise, là encore, sans concertation.
Le groupe FN Centre-Val de Loire a déposé un voeu à la session du 22 février 2018 pour s’opposer à cette mesure. Le groupe Union de la Droite et du Centre a voté pour.
Mais les groupes Socialistes-Radicaux-Démocrates et « Ecologie » ont voté contre, entraînant son rejet.
Aujourd’hui les initiatives citoyennes se multiplient.
Une nouvelle manifestation est organisée samedi 14 avril au départ de Blois par la FFMC, mais les automobilistes sont invités à s’y joindre, pour se rendre à Orléans où se tiendra un rassemblement régional.
Nous encourageons tous nos amis, motards ou non, à s’y joindre.
Quoi que dise Edouard Philippe, cette mesure ne passera pas !
Vous pouvez également signez notre pétition en ligne.

Agglopolys : moins d’argent, moins de projets.

Péage A10Christophe Degruelle, Président d’Agglopolys, déclare à la presse que les ratios budgétaires sont « toujours aussi excellents » (la Nouvelle République du 6 avril 2018.)
Des marges budgétaires réduites, moins de projets vue.
Une vision pour le moins optimiste car, nous l’avions constaté lors du débat d’orientations au mois de février, les marges se dégradent.
La capacité de désendettement dépasse désormais 8 années, ce qui commence à être élevé.
Cette situation s’explique par le montant des emprunts nécessaires au financement de la salle du jeu de Paume, qui devrait se résorber dans le temps, mais la diminution de la capacité d’autofinancement va entraîner chaque année un recours à l’emprunt qui viendra compenser les remboursements de dette antérieure. A moins que l’Agglo réduise ses projets, ce qui serait également préoccupant pour l’avenir.
C’est pourtant bien ce qui risque de se passer.
Les élus FN ont préféré s’abstenir pour le vote du budget.
Desserte autoroutière de l’Agglomération.
Une nouvelle étude va être lancée sur « l’amélioration de la desserte routière de l’Agglomération blésoise« .
Suite au débat sur le sujet, dont la presse se fait écho depuis plusieurs mois, Michel Chassier est intervenu afin de demander des précisions : est-il question de « l’agglomération blésoise » ou du territoire d’Agglopolys ? L’hypothèse d’une sortie à Herbault, qui permettrait de désenclaver et de dynamiser l’ouest de l’Agglo, est-elle inclue dans cette étude ?
Christophe Degruelle a répondu en donnant l’assurance que 5 scénarios étaient sur la table, et dans l’hypothèse d’une seconde sortie, Herbault pouvait en faire partie.
Nous avions déjà défendu cette solution en expliquant les raisons.
Cette question a suscité plusieurs échanges et à l’issue de la réunion, plusieurs élus de la partie ouest de l’Agglo sont venus remercier l’élu FN pour son intervention.
Rénovation urbaine : des clauses d’insertion inadaptées.
Deux délibérations portant sur la « politique de la ville » faisaient état de clauses d’insertion destinées à privilégier l’embauche d’un quota d’habitants des « QPV » : quartiers politique de la ville.
Michel Chassier fait remarquer que zonage n’est plus pertinent. Aujourd’hui à Blois les populations ne difficultés ne se trouvent pas exclusivement dans les QPV (en gros la ZUP de Blois) d’autant plus que la première phase du PRU a précisément réparti les logements sociaux dans plusieurs quartiers. D’autres critères pourraient être retenus : jeunes de moins de 25 ans sans emploi, chômeurs de longue durée etc…
Personne ne répondra à cette interrogation, on sent bien que pourtant que beaucoup d’élus sont dubitatifs.
Menaces sur la filière informatique à Blois ?
A l’occasion du vote d’un dispositif d’octroi de bourses à des étudiants qui viendraient à Blois en master informatique BMDA (spécialisation dans le traitement et l’analyse de données), Yann Bourseguin fait état des menaces qui visent cette formation, que le Président de l’Université ex-François Rabelais voudrait bien rapatrier… à Tours.
Et l’élu PS blésois dénonce au passage le phénomène de métropolisation, qui va pénaliser encore davantage les villes moyens comme Blois.
Ce que nous disons depuis des années, à la Ville, à l’Agglo et à la Région.
Christophe Degruelle s’est voulu rassurant en évoquant la préparation du SRADDET avec la Région, mais nos élus sont bien placés pour savoir que ce schéma régional ne pourra pas à lui seul répondre à cette tendance lourde, déjà évoquée dans les débats régionaux en 2011.
Encore une fois, il ne fallait pas voter Macron !

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