La Nouvelle République consacre aujourd’hui une double-page à un sujet qui préoccupe à juste titre les habitants de nos départements : la désertification médicale.
Au passage une large place est accordée au candidat Denys Robiliard pour faire un constat dont tous les éléments sont sur la place publique, l’Agence Régionale de Santé aurait pu fournir les mêmes chiffres.
En ce qui concerne les solutions, chacun reconnaît que le sujet est complexe, mais on peut observer que les médecins ne font après tout que suivre une tendance générale qui pousse tous les jeunes diplômés à se concentrer dans les agglomération importantes ou les métropoles.
Au-delà des opportunités professionnelles ils y trouvent davantage de services, des établissements scolaires pour leurs enfants, une offre commerciale plus importante, mais aussi une offre culturelle et une vie associative et sportive etc…
L’évolution du mode de vie doit aussi être prise en compte, plus de 50% des étudiants en médecine sont aujourd’hui des femmes et les nouveaux médecins acceptent de moins en moins les journées à rallonge qui étaient le lot de leurs aînés généralistes, à la ville comme à la campagne.
Plusieurs réponses ont été proposées, mais qui ne parviennent pas suffisamment à enrayer le phénomène.
Les maisons médicales présentent bien sûr un intérêt, à condition que le projet soit bien étudié et porté par des professionnels de santé. Il ne suffit de bâtir un centre pour attirer des médecins, certaines communes en ont fait l’expérience malheureuse, il y en aura certainement d’autres.
Au passage Denys Robiliard done raison au Front national en avouant que le zone franche urbaine à Blois à provoqué « un effet d’aubaine manifeste« . Nous le disons depuis le départ, alors que les élus LRPS ont toujours soutenu ce projet !
Des mesures sont prises également au niveau départemental et régional. Notre élue d’Indre et loire, Véronique Péan était intervenue pour modifier le périmètre et les critères des aides à l’installation en zone rurale.
Mais il y a aussi un problème de fond qui n’est jamais abordé, c’est le devenir de la médecine libérale, dont l’exercice devient de plus en plus difficile.
Les médecins deviennent progressivement des auxiliaires de Sécurité Sociale, qui leur a transféré une grande partie des tâches administratives et leur impose en outre une véritable mission de contrôle avec objectifs financiers à la clé.
Résultat, 70% des jeunes médecins choisissent d’être salariés.
Dans ce débat la gauche a toujours vu d’un mauvais oeil la médecine libérale, et tout fait par la fonctionnariser, tout en maintenant un numérus clausus qui ne permet pas à terme le renouvellement des médecins qui partiront en retraite.
Sous la pression Marisol Touraine vient d’ouvrir 478 places supplémentaires, réparties sur 22 facultés de médecine, ce qui signifie au mieux 478 médecins supplémentaires dans 10 ans.
Autre conséquence un quart environ des nouveaux médecins ont obtenu leur diplôme hors de France, sans toujours posséder le même niveau de formation que leurs homologues Français.
Dans cette profession aussi, nous assistons à une forme de dumping social, en particulier pour les médecins en milieu hospitalier, où nous voyons des praticiens venus de l’étranger accepter des conditions de salaires inférieures.
Pour en revenir à la désertification médicale, la gauche en arrive à envisager des mesures coercitives, comme l’avoue Denys Robiliard.
Les élus Front National s’y sont toujours opposés au Conseil régional. De telles mesures risqueraient au contraire de détourner davantage les jeunes du choix de la médecine générale.
Marine Le Pen fera très prochainement connaître ses intentions dans ce domaine sensible.
Désertification médicale : quelles solutions ?
Agglopolys : une réponse tardive et incomplète.
La réponse de Christophe Degruelle se veut cinglante. Elle est seulement méprisante. Comme d’habitude.
On se souvient que le président de Blois-Foot 41, François Jacob, s’était plaint d’un manque d’équité et de transparence dans l’attribution des subventions et du statut « privilégié » de l’ADA Blois basket (voir les articles précédents sur notre blog).
C’était le 26 décembre dernier.
Il aura fallu presque un mois au président de l’Agglo, Christophe Degruelle, pour apporter publiquement une réponse qui se résume plutôt à une série de démentis, comme s’il devait se justifier. (la Nouvelle République du 25/01/2017)
On peut se demander pourquoi un tel délai de réflexion ?
On se doute que ces éléments de réponses n’ont pas satisfait le président de Blois-Foot 41, qui réitère sa demande de transparence et d’équité, avec des critères clairement établis. Il dénonce le « fait du prince » et les « petits arrangements netre amis » (la Nouvelle République du 25/01/2017).
Au passage, il épingle le fonctionnement du conseil et du bureau communautaire, au sein duquel les maires sont « tous alignés derrière le général ».
Un mode de fonctionnement que les élus FN dénoncent régulièrement.
Il est vrai que Christophe Degruelle, qui vient du Cabinet de Jack Lang, n’a jamais vraiment été un élu de terrain, il suffit de voir à quel point il semble s’ennuyer au conseil municipal de Blois (notre photo).
Trains intercités : quelle facture pour la Région ?
Intercités : quelle sera la charge pour la Région ? Le Président n’a pas daigné en informer les élus.
La SNCF veut se débarrasser de la plupart des liaisons « Intercités », les fameux « trains d’équilibre du territoire (TET), qui lui coûtent trop cher : 400 millions de déficit d’exploitation annuel, que l’Etat refuse de compenser.
De même que les routes nationales ont pour la plupart été départementalisées, les lignes TET vont donc progressivement être transférées aux Régions.
La question avait évoquée lors de la session de décembre du Conseil régional, en marge du débat sur le transfert des transports routiers de voyageurs, et Michel Chassier avait alors posé des questions, la plupart demeurées sans réponse.
Mais aucun rapport n’était soumis au vote, et les négociations en cours avec la SNCF n’ont pas davantage fait l’objet de débat dans la commission ad hoc.
L’affaire est pourtant d’importance dès lors que les trois lignes reprises par la Région Centre-Val de Loire représentent un déficit d’exploitation annuel de 49 millions d’euros !
Il sera pris en charge au départ par la SNCF, mais de manière dégressive, alors que le déficit risuqe au contraire d’augmenter.
Le Président Bonneau a donc signé dès le 19 décembre avec la SNCF, sans en informer les élus, ce qui est un comble pour ardent défenseur de la démocratie participative. A moins que cet ersatz de démocratie, que nous sommes les seuls à dénoncer dans l’assemblée régionale, consiste à remplacer les élus qui posent trop de questions par des citoyens plus ou moins tirés au sort et beaucoup plus dociles car ils n’ont pas la possibilité d’accéder aux dossiers !
Et demain le Premier ministre Bernard Cazeneuve vient signer le protocole d’accord à Orléans, alors que la commission permanente se réunit le lendemain, sans toutefois être saisie du dossier !
C’est la troisième fois depuis le début du mandat que François Bonneau se comporte de cette manière : c’était déjà le cas pour la Contrat de Plan Etat-Région, signé avec Maneul Valls avant d’être voté, comme pour le plan des « 500 000 formations », signé avec Myriam El Khomri dans les mêmes conditions, avant que le volet régional ne soit adopté par l’assemblée régionale.
Curieuse méthode de gouvernance pour un président qui se veut consensuel.
Le groupe Front National a publié un communiqué pour dénoncer cette méthode, et alerter nos concitoyens sur les risques à venir : Communiqué FNCVDL 2017.01.16 – Convention RCVL-SNCF TET
(voir la Nouvelle République du 18/01/2017).
Après sa visite à Saint Laurent des Eaux, Marine Le Pen affirme sa position sur le nucléaire.
Suite à sa visite du Centre de Production Nucléaire de Saint Laurent des Eaux, Marine Le Pen vient de réaffirmer sa position sur le nucléaire.
Une source d’énergie qu’elle estime indispensable, pour de nombreuses années encore, afin de garantir l’indépendance de notre pays et la fourniture d’électricité aux ménages comme aux entreprises à un prix largement inférieur à la moyenne européenne.
Et pour préserver notre indépendance énergétique, il faut qu’EDF redeviennent une entreprise publique à 100% nationale. Cela est d’autant plus vrai que seule une entreprise publique, qui ne rentre pas dans des logiques de rentabilité à cour terme, peut garantir la sécurité des installations nucléaires.
Michel Chassier s’était étonné, au nom du groupe Front National, de voir le nucléaire quasiment oublié dans nouveau Schéma de Développement Economique de la Région Centre-Val de Loire, alors que nous nous situons au 2ème rang des régions françaises pour la production électro-nucléaire.
On comprend d’autant plus mal la réaction tout à fait déplacée de certains syndicats comme la CFDT ou la CGT, qui préfèrent soutenir les différentes composantes de la gauche hostile au nucléaire. Une attitude que les salariés ne partagent évidemment pas.
Fumées sur la Boire.
Une nouvelle fois cet après-midi, un épais panache de fumée noire s’élevait au-dessus de la Boire.
La Police est-elle intervenue ? Il faut pour cela, l’autorisation du Préfet, dans le cadre de la consigne « pas de deuxième Saint Aignan.«
Même chose pour les sapeurs-pompiers.
S’agissait-il de l’incendie d’une carcasse de voiture, de câbles électriques, de pneus ?
Toujours est-il qu’il y a peu de chances pour que ces pollueurs soient punis.
Encore une fois, existerait-il des zones de non-droit ?
Les voeux du directeur de BD Boum : « Faire reculer l’obscurantisme et le populisme. » Par la censure ?
Dans ses voeux très politiques le directeur de BD Boum, Bruno Genini déclare qu’il faut agir pour « faire reculer l’obscurantisme et le populisme » ! (la Nouvelle République du 4 janvier 2017).
Déclaration pour le moins étonnante de la part d’un homme à qui on pourrait fort bien retourner la définition de l’obscurantisme : « une attitude d’opposition à la diffusion du savoir.«
C’est exactement ce qu’il fait lorsqu’il écarte l’éditeur et historien Reynald Seycher de la manifestation qu’il organise essentiellement, rappelons-le, avec l’argent public.
Quant au mépris affiché pour ce qu’il nomme le « populisme », cela traduit bien ce mépris du peuple affiché par cette intelligentsia auto-proclamée qui considère la culture comme sa chose et refuse de partager des postes attribués entre amis par cooptation.
Il est certain que cela ne va durer éternellement.
Cinéscénie à Chambord : un projet qui ne tient pas compte des réalités locales.
Un communiqué de Mathilde Paris, conseillère régionale de Loir et Cher.
Dans la continuité de notre dernier communiqué, il nous semble nécessaire de développer les raisons de notre opposition au projet de Guillaume Peltier d’une Cinéscénie à Chambord.
En effet, si nous reconnaissons le succès du Puy du Fou créé par Philippe de Villiers et développé avec brio par son jeune frère Emmanuel de Villiers de 1990 à 2002, il est important de rappeler que ce projet est né sur un site en ruine au cœur d’un territoire peu touristique. Initialement un spectacle, dont il faut rappeler que les acteurs sont bénévoles, la Cinéscénie a ensuite été prolongée par le développement progressif d’un parc d’attraction à caractère historique. Le succès du Puy du Fou tient aujourd’hui à la combinaison originale d’un parc d’attraction historique et d’un grand spectacle avec une offre d’hébergement et de restauration sur place.
Le projet d’une Cinéscénie à Chambord soulève plusieurs problèmes, qui révèlent un manque de connaissance des réalités locales par Guillaume Peltier et une manière de procéder des plus cavalières.
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Agglopolys : le fait du Prince ?
On se souvient lors d’un récent conseil d’Agglopolys que le Président Christophe Degruelle avait répondu à Michel Chassier, élu communautaire blésois, au sujet d’une subvention au Défi Inter-entreprise : « il n’y a pas de vote de subvention car l’organisation du Défi interentreprises est une décision du président. Tant que je serai président cette manifestation aura lieu.«
Le président de Blois-Football 41 s’est vu opposer le même type de réponse à une demande de subvention ou de partenariat, au prétexte que « le sport n’est pas une compétence d’Agglopolys« .
Sauf que l’Agglo gère les équipements sportifs « dépassant par leur taille ou leur fréquentation le cadre communal« , c’est le cas des piscines, mais elle soutient également l’ADA Blois Basket et la réalisation de la salle du Jeu de Paume, investissement majeur de la mandature, est justifiée en partie par la montée de l’ADA en pro B.
Etant donné le rayonnement et les résultats de Blois-Football 41, la question mérite donc d’être posée et devrait faire au minimum l’objet d’un examen collectif des élus au sein du bureau communautaire.
En attendant le président de Blois-Football 41 vient d’adresser un courrier à tous les maires de l’Agglo, dans lequel il pose aussi une question plus grave : y aurait-il des pressions exercées sur les entreprises dans le cadre des marchés de l’Agglo ?
2ème échangeur de Blois : qui paiera ?
Le Président d’Agglopolys Christophe Degruelle (PS) et le président du Conseil départemental Maurice Leroy (UDI) viennent de co-signer un courrier adressé à Ségolène Royal, ministre en sursis pour demander à Cofiroute une étude sur une 2ème sortie d’autoroute à Blois.
Pourquoi l’Agglo rejoint-elle l’idée, agitée par Nicolas Perruchot durant la campagne des élections départementales, alors que de son côté le maire de Blois était plutôt réservé ? Pourquoi la CCI, jusqu’ici plutôt favorable ne semble plus suivre le projet ? Cela mérite quelques explications.
D’abord sur l’intérêt de l’opération.
L’échangeur de Blois-La Chaussée enregistre un trafic moyen de 11 000 véhicules/jour, à comparer aux 45 000 véhicules/jour de l’axe nord-sud (D952 A), très en-deçà des flux de circulations enregistrés à Orléans, qui compte 3 sorties pour une population dans l’aire urbaine (au sens INSEE) de 425 000 habitants contre 125 000 pour Blois.
Les bouchons observés quotidiennement depuis le sud du pont sur la Loire jusqu’à Fossé ne sont dûs qu’en partie à la sortie d’autoroute. C’e sont plutôt les flux nord-sud qui bloquent la sortie d’autoroute.
Une deuxième sortie mais où ?
Le problème de la deuxième sortie, c’est qu’on ne voit pas très bien où elle pourrait déboucher. La solution proposée serait de la raccorder à la route de Saint Sulpice. On ne voit pas bien l’intérêt pour les poids-lourds, puisque les zones d’activités sont à l’opposé et qu’il n’est pas possible de rejoindre la Loire (D952) sans revenir sur le quartier gare.
Autre question : qui va payer ?
Si jamais Cofiroute accepte de créer un nouvel échangeur, les collectivités seront appelés à le financer majoritairement.
L’Agglo ? Pas avant 2020, et au détriment du reversement aux communes membres.
La Ville de Blois ? Les marges sont encore plus limitées.
Le département ? Au prix d’une nouvelle hausse de la taxe foncière ?
On comprend aussi le désengagement de la CCI par ses propres contraintes financières.
Au passage, il est amusant de voir Maurice Leroy défendre ce projet alors qu’il s’est rallié à François Fillon, qui promet de supprimer les départements et de tailler dans les dépenses publiques !
Le Front National a toujours privilégié une autre solution qui consisterait à raccorder la sortie existante à la rocade nord en longeant l’autoroute au nord de la polyclinique. Il resterait ensuite à réaménager le rond-point de la route de Vendôme pour faciliter la sortie vers Vendôme et le centre commercial.
Si une deuxième sortie devait être envisagée, il faudrait plutôt raisonner à l’échelle de l’agglo et du département, peut-être à hauteur d’Herbault où le raccordement serait assez facile, ce qui permettrait de redynamiser les communes situées au nord-ouest de la Forêt de Blois.
Quand on prétend défendre les intérêts de l’Agglo et du Département, il faut raisonner un peu plus large !
Chambord : nouveau revers pour Guillaume Peltier.
« Chambord, comme Versailles, appartient à la Nation et ne peut faire l’objet d’aucune récupération politique, d’aucune sorte. » C’est par un communiqué cinglant que la direction du Domaine de Chambord répond à l’élu parisien de Neung sur Beuvron (Mag’Centre du 21/12/2016).
Lors de la dernière session du Conseil régional, celui qui est aussi président du groupe UDC (Union de la Droite et du Centre : LR – UDI – MoDem) avait relancé le projet d’un grand spectacle populaire à Chambord, inspiré par le Puy du Fou.
Au passage il est permis de noter que cette idée différe singulièrement de son programme de campagne qui prévoyait des manifestations temporaires sur plusieurs sites de la Région pour ne pas privilégier un département en particulier.
En bon communiquant, Guillaume Peltier annonçait que son projet était déjà validé. Assurément du grand spectacle… d’illusion !
Mais voilà, Guillaume Peltier est maintenant candidat aux législatives dans la 2ème circonscription de Loir et Cher, là où se situe… le Domaine de Chambord ! D’où le changement de pied dans un but évident de communication électorale.
L’illusion n’aura duré que quelques jours.
Le groupe Front National, qui avait présenté lui aussi des projets pour une tourisme valorisant le patrimoine historique, culturel et naturel de la région, a refusé de suivre cet amendement, et s’en explique dans un communiqué envoyé hier aux médias : Communiqué Chambord.
Une fois encore le Front National a vu juste, mais il est vrai que la position de notre groupe est basée à la fois sur l’intérêt général, le connaissance des dossiers et du territoire.
En réalité le projet défendu par l’UDC n’a rien de nouveau, c’est un véritable serpent mer, évoqué dès 2004 et qualifié alors de « Chamborland ». Il avait déjà connu le même sort.
Encore faut-il pour cela être un véritable élu local…
Liberté d’expression : le Planning familial 41 approuve la censure.
Dans un communiqué publié ce matin par la Nouvelle République le Planning familial 41 approuve loi adoptée le 1er décembre par les députés, qui prévoit de condamner lourdement un délit de « fausses informations » sur Internet au sujet de l’IVG.
Qu’on ne s’y trompe pas, il s’agit bel et bien d’une nouvelle tentative de museler la liberté d’expression sur Internet, domaine de liberté qui échappait encore largement à la censure.
Nous évoquions cette menace, bien réelle, dans notre article fêtant les 2 millions de visites sur notre blog.
Dans le cas de cette loi proposée à l’initiative du gouvernement, il s’agit de s’en prendre à certains sites internet qui « donnent de fausses informations sur l’IVG » et cherchent « à induire intentionnellement en erreur, dans un but dissuasif », les femmes qui consultent ces sites.
D’emblée la question se pose de savoir ce que l’on considère comme une « fausse information ». Qui pourra en juger ? A contrario, cette loi ne vise pas les sites qui donnent des informations inexactes ou partielles et qu’on pourrait considérer comme agissant « dans un but incitatif » à l’IVG, ce qui prouve bien un manque d’équilibre et une démarche idéologique conduite dans l’urgence avant débâcle de 2017.
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Jean-Yves Narquin sur TV Libertés
Jean-Yves Narquin, ancien attaché parlementaire, spécialistes des médias, maire de Villedieu le Château et membre de CAP économique dans l’équipe de campagne de Marine Le Pen était l’invité de TV Libertés.
BD Boum et pensée unique.
Depuis 1984 le festival BD Boum se tient à Blois au mois de novembre, avec l’arrivée du Touraine primeur.
On y trouve une grande variété d’exposants, auteurs et éditeurs venus proposer leur production.
Il y a malheureusement deux dérives que les élus blésois du Front National ont pointé depuis la départ.
Une dérive financière, avec le choix de la gratuité qui fait supporter la majeure partie du coût par le contribuable. Sans compter que deux permanents sont « mis à disposition » par l’Education nationale et par conséquent continuent à être rémunérés par leur ministère.
Nous avons toujours plaidé pour l’instauration d’une billetterie, ce qui n’empêcherait d’accorder des gratuités, pour les scolaires par exemple. Pour les autres publics, un pass au prix d’une place de cinéma, mettons 8 euros, permettrait une recette substantielle.On parle de 20 à 30 000 visiteurs. Admettons 20 000 visiteurs payants, cela ferait une recette de 160 000 euros, ce qui soulagerait d’autant le budget de la Ville.
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Il faut sauver notre système de santé sacrifié par l’ultra-libéralisme de l’Union Européenne
Les infirmiers et aides-soignants sont en grève aujourd’hui pour exprimer leur malaise (voir Nouvelle République du 8-11-2016). Comme hier les policiers qui manifestaient leur ras-le-bol d’être déconsidéré par les gouvernements successifs, c’est maintenant au tour des travailleurs de la santé de descendre dans la rue.
Comme le dit le Collectif des Usagers de la Santé (collectif national RBM), « Notre système de santé est au bord de l’implosion et les personnels soignants sont en première ligne, exposés quotidiennement aux insultes, aux violences, à la vétusté et l’obsolescence de leurs outils de travail, sans la reconnaissance qui leur est due pour leur dévotion au service de tous ».
La santé ne doit pas être sacrifiée sur l’autel de la rentabilité financière absolue si chère à l’Union Européenne qui sacrifie petit à petit tous nos services publics, comme celui de la santé.
C’est pourquoi le cercle Front syndical soutient les justes revendications des infirmiers et aides-soignants dans leur mobilisation ce 8 Novembre.
Infirmiers, aides-soignants, médecins, administratifs, patients, même combat ! Soutenons les soignants !
Il faut redonner moyens et considérations au système de santé français et à ses personnels en tournant le dos à la logique ultra-libérale portée par la Gauche et la Droite depuis plus de 30 ans dans notre pays.
Laurent Bras, responsable départemental du cercle Front syndical 41
Azalys : pannes à répétition pour les bus de l’Agglo.
3 pannes en 5 jours : manque de moyens pour la maintenance ou vétusté du matériel ?
Depuis quelques temps les usagers des transports urbains de l’Agglo se plaignent de retards fréquents.
Bien sûr il peut y avoir des impondérables liés à le circulation, à des manifestations sur la voie publique, aux travaux, mais ce qui interroge c’est le nombre de retards ou d’annulation causés par des pannes : au moins 5 entre le 8 et 26 septembre.
On peut se demander si l’exploitant a fait les investissements nécessaires sur les dernières années.
Malgré la hausse du versement transport payé par les entreprises, l’équilibre du budget reste précaire.
C’est une des conséquences de l’élargissement de l’Agglo à des zones éloignées qu’il faut désormais desservir.
Mais les usagers voudraient bien pouvoir compter sur un service régulier.
Avec l’Union Européenne, c’est la fin des Services publics de proximité comme La Poste
Sur son blog du 21 Septembre, Marie-Christine Arnautu, Députée Front National au Parlement Européen, fait une analyse très brillante d’une réforme adoptée en catimini la semaine dernière au Parlement Européen. Cette réforme, qui concerne les envois de colis, sonne le glas des Service public de proximité comme La Poste.
En effet, dans une hypocrisie dont seule l’Union Européenne a le secret, Marie-Christine Arnautu, dénonce cette réforme qui vise à :
- « développer le commerce entre les États de l’Union européenne, quand les européistes qui affichent sans cesse comme priorité la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre prônent ici le développement des échanges de colis sur des distances bien plus grandes ;
- faire en sorte que les prix des envois internationaux diminuent, en faisant mine de ne pas savoir que cela augmentera le prix des envois nationaux pour compenser la baisse des prix internationaux ;
- maintenir un niveau minimal de service universel (c’est le nom du service public au rabais, version européenne) alors que les subventions publiques seront systématiquement scrutées pour vérifier si elles ne nuisent pas à la sacro-sainte concurrence libre et non faussée et que le service universel lui-même est présenté comme susceptible de fausser cette concurrence ;
- lutter contre les exploitations salariales, alors que c’est justement cette concurrence libre et la fin des monopoles publics qui permettent, qui facilitent et même incitent à recourir au dumping social, aux travailleurs détachés, au travail dissimulé, aux faux travailleurs indépendants, et ce, pour rester compétitif sur les prix en allégeant la charge salariale. »
Le canton de Blois III mobilisé et prêt pour 2017
L’année 2016 étant une année sans élections, nous devons travailler au renforcement et à l’implantation du Front National dans le canton de Blois III. Notre canton qui, rappelons-le s’étends d’une partie de Blois-Sud jusqu’a Sambin, et de Rilly-sur-Loir à Seur, en fait ainsi un canton rural mais avec des problématiques de villes périurbaines (certaines communes faisant partie d’Agglopolys) et urbaines avec la partie Sud de Blois.
Le Front National est en progression électorale constante sur le canton. Ainsi, aux dernières élections départementales en Mars 2015, au deuxième tour, nous étions en tête sur 3 communes (le binôme de candidats du FN totalisant 41,65% dans un duel face à la Gauche). Tandis qu’aux élections régionales fin 2015, au deuxième tour, la liste du FN conduite par Philippe Loiseau arrivait en tête sur 6 communes du canton (30,73% au deuxième tour dans une triangulaire).
Samedi 24 Septembre s’est donc tenue notre réunion des adhérents de Blois III, au cœur du canton, aux Montils. Autour de Michel Chassier, Secrétaire Départemental et Conseiller Régional et Conseiller Municipal et Communautaire de la ville de Blois, des candidats du FN aux dernières élections départementales, Laurent Bras, Secrétaire Départemental Adjoint et responsable du canton pour le Front National et Mathilde Paris, Conseillère Régionale et Conseillère municipale et communautaire de la ville de Blois ainsi que des cadres départementaux, les adhérents ont pu échanger sur la situation politique nationale et locale.
Mais surtout nous avons évoqué le nécessaire travail d’implantation locale, comment enraciner durablement le Front National dans le paysage politique du canton de Blois III. Pour ce faire, nous devons être le relais indispensable des Français habitants le canton, parce que comme eux nous vivons les mêmes préoccupations.
Blois : les conseillers FN posent les vraies questions.
Pas moins de 66 rapports étaient à l’ordre du jour d’un conseil municipal qui a duré plus de 4 heures hier soir à Blois. Les élus Front National – Une autre voie pour Blois sont intervenus a de nombreuses reprises, pour poser les questions que souvent personne n’ose aborder, mais aussi pour faire des propositions.
Nous y reviendrons dans une série d’articles, car plusieurs sujets importants méritent d’être portés à la connaissance des Blésois.
Voici la 1ère partie de nos interventions.
Bulletin municipal : à quand la proportionnelle intégrale ?
Le Front National a protesté une nouvelle contre la faible importance de l’espace attribué à l’opposition sur la revue Blois Mag. Ainsi le FN dispose de 14 lignes (420 caractères, espaces compris !) alors que l’extrême gauche (Verts et PC) dispose de 42 lignes. Miguel de Peyrecave a réitéré notre proposition d’attribuer à chaque groupe un espace proportionnel aux résultats du 2ème tour des élections municipales. A noter que Marc Gricourt n’a pas exclu de changer de méthode et de se rallier à cette suggestion. petite remarque au passage : à Romorantin, tous les groupes disposent du même espace !
Nomade ou sédentaire ? Une question lourde de sens.
A l’occasion des Rendez-vous de l’histoire, une exposition présentera des photographies sur le thème du « devenir nomade de l’homme des 20ème et 21ème siècles » et de « l’habitat léger de loisirs » : cabanons, caravanes etc… Une exposition bizarre parrainée par le FRAC dont nous les dépenses sont moins légères que l’habitat qu’il préconise.
Les élus FN ont rappelé que cette idée de « l’avenir nomade de l’homme » chère à Jacques Attali est une thèse que nous ne partageons pas. Il est vrai que cette idée de « nomadisation », opposée à la sédentarisation et à l’enracinement des populations permet d’exposer plus facilement l’individu, dégagé de ses liens, aux appétits des marchands et banquiers qui rêvent de supprimer les solidarités naturelles comme la famille et la patrie pour s’attaquer à l’individu seul et sans protection.
En revanche, le FN a suggéré d’offrir une exposition photographique présentant les berlines et caravanes des gens du voyage qui envahissent chaque année les terrains de foot de Blois ou les propriétés privées, partout en France pendant l’été. Sans que les forces de l’ordre ou le préfet fassent appliquer la loi sur la propriété privée. Les Blésois verraient ainsi la réalité de ce qu’ils subissent !
BD Boum. La gratuité a un coût pour le contribuable.
A l’occasion d’une délibération sur la Maison de la BD, le FN a regretté que celle-ci ne cherche pas à disposer à disposer de ressources propres, comme cela se fait ailleurs, à Bruxelles au Musée Hergé (entrée de 5 à 9 euros) ou au Musée belge de la bande dessinée (entrée de 4 à 10 euros). De l’autre côté de la rue, le musée des Jacobins dont l’entrée est payante dispose de ressources propres qui, si elles sont minimes donnent de la valeur à la visite.
On nous dit que c’est un centre international de la BD reconnu par les dessinateurs et les éditeurs. En somme, nous leur faisons gratuitement de la publicité et nous comprenons leur satisfaction.
La gratuité totale est un mauvais choix tant financier que culturel. A Angoulême les organisateurs de la cité internationale de la BD et de l’image l’ont bien compris, les entrées sont de 3 à 7 euros. Ils ont compris qu’au bout du compte, il y a toujours quelqu’un qui paie. Soit le spectateur soit le contribuable. A Blois, la Gauche a choisi le contribuable mais pour la 1ère Christophe Degruelle a reconnu que la question méritait d’être posée et n’a pas exclu de changer de politique. Nous en reparlerons chaque fois que le dossier sera présenté.
Au passage, nous pouvons regretter le choix de cet emplacement, puisque le départ du restaurant universitaire aurait de rendre à cet espace sa vocation initiale : un marché couvert qui, à l’instar des Halles de Tours, aurait pu redynamiser le Centre-Ville.
Prochaine article : cantines scolaires. Des menus sans porc ?
Les collectifs thématiques bien présents le 10 Septembre
Ainsi notre fête de rentrée politique de la Fédération FN41 a été un vrai succès. Elle a réunie autour du Secrétaire Général du Front National Nicolas Bay, et de notre Secrétaire Départemental, Michel Chassier, l’ensemble de nos élus municipaux et régionaux, les cadres départementaux, les militants et les adhérents ainsi que bon nombres de sympathisants. Certains élus des départements voisins ou région voisines ont même fait le déplacement.
Cela témoigne donc de la vivacité, du dynamisme et de la véritable implantation locale du Front National en Loir-et-Cher, montrant ainsi que nous sommes bien la première formation politique du département, non seulement en voix mais aussi en force militante.
Mais ce qui est particulièrement remarquable, c’est la tenue de stand sur les collectifs thématiques (collectifs nationaux RBM): Collectif des Salariés de France, qui succède au cercle Front syndical (les salariés et syndicalistes patriotes), Collectif Audace (les jeunes actifs patriotes), Collectif CLIC (Culture, Libertés et Création), Collectif Nouvelle Ecologie (pour une écologie patriote) et enfin le Collectif Belaud Argos (protection animale).
Ainsi le Front National entend bien rassembler tous les Français, en investissant tous les thèmes de la vie politique française et ses sujets de société. C’est bien là le rôle des Collectifs Nationaux: agir comme l’expression de la réalité du terrain pour être force de proposition pour le programme de Marine Le Pen en 2017.
Les stands des différents Collectifs présents lors de la fête de la Fédération le 10 Septembre à Saint Georges-sur-Cher:
Laurent Bras, Secrétaire Départemental Adjoint du FN41
Le radar de La Chaussée Saint Victor à l’effigie de François Hollande !
Il y a quelques jours le presse locale nous apprenait que le radar de la Chaussée Saint Victor fonctionnait dorénavant à double sens.
Il semble que ce ne soit pas du goût de tous les automobilistes, quelque peu excédés par la multiplication des ces appareils dont l’efficacité en matière de sécurité routière reste à démontrer.
En l’occurrence, le radar de La Chaussée Saint Victor a été repeint non sans humour à l’effigie de François Hollande en clown triste.
Avec de surcroît une belle décoration Bleu-Blanc-Rouge, ces automobilistes mécontents sont sans doute aussi des patriotes !
On construit illégalement à Blois dans le quartier de Bas-rivière
Mois d’Août, c’est les vacances, mais pas pour tout le monde ! Sur Blois, dans le quartier de Bas rivière, les gens du voyage travaillent d’arrache-pied à construire des locaux, à poser des fosses septiques sur des terrains agricoles en zone inondables et cela sans autorisation, sans permis de construire.
Les faits ont déjà été signalé aux service municipaux par des habitants mais sans résultats, peut être que la Mairie n’ayant pas anticipé le déménagement de la Boire ne veut pas intervenir ?
En tout cas, ceux qui font ce type travaux illégalement savent bien qu’il y a moins de monde dans les services municipaux pendant les vacances. Résultat: tout sera terminé au moins de Septembre et aucune démolition ne sera prononcé (au mieux ils paieront une amende minime et le tour sera joué).
Tentez de construire, ne serait-ce qu’un simple abris de jardin sans autorisation … pas sur que cela se passe sans problème !
Pourtant la loi est la même pour tout le monde … ou devrait l’être!
La maltraitance des commerçants de marché !
Une commerçante de Villefranche-sur-Cher exclue du marché de Châteauroux … ( voir Nouvelle République du 08-08-2016 )
Ici , on exclu une commerçante pour cause de lenteur… la « remballe » est toujours fastidieuse après une matinée de commerce, commencée par le déballage et surtout la conscience d’un travail bien fait, de satisfaire les clients jusqu’au bout et servir les retardataires.
Là, c’est carrément le marché que l’on déplace pour satisfaire l’égo d’un riverain nouvellement Chartrais. Hé oui ! Oh ! il n’est pas parti très loin le marché de Châtres Sur Cher, dans le Monestois, il est simplement relégué derrière l’église, déjà que devant (depuis des décennies) le marché n’était pas très en vue, là, la mairie a placé les commerçants à l’abri des regards et surtout à l’abri de l’argent… et les clients devront quelque peu modifier leurs habitudes.
Les commerçants ambulants longtemps au cœur de la vie économique et sociale se sentent aujourd’hui marginalisés. Pourtant les maires de ces petites communes, là où les commerces se font des plus rares, devraient porter plus d’attention à leur marché qui participe entre autre à l’animation du village. Avoir un marché, c’est un service ( pas une servitude ) à la population, à la recherche dans la convivialité, de produits de qualité dont elle a besoin.
Un espace de rencontres et de rapports humains , pour preuve lorsque les élus veulent rencontrer leurs administrés , ils vont où ?? sur les marchés ….!
Josette Mazoyer, secrétaire de la 2ème circonscription, responsable du canton de Selles-sur-Cher
Quand la loi n’est pas appliquée, les honnêtes gens se sentent abandonnés.
(Image d’illustration)
Quelles sont les raisons de l’acharnement contre ce jeune maraîcher bio de Mont-Près-Chambord ?
Peut-être le saura-t-il un jour si les auteurs des faits sont identifiés, ce que l’on ose espérer.
Mais dans l’immédiat il est obligé de jeter l’éponge : depuis 8 mois son exploitation, qu’il venait de débuter, était la cible de vols et de dégradations, jusqu’à l’incendie de son tracteur hier matin (la Nouvelle République du 20/07/2016).
C’est une décision grave et qui doit nous interroger.
Car nous sommes bien obligés de constater que les forces de l’ordre n’ont plus aujourd’hui les moyens de faire respecter la loi. Il ne s’agit pas bien sût d’accuser la Gendarmerie, dont chacun reconnaît l’efficacité mais peuvent-ils encore aujourd’hui mener l’action de proximité qui était la leur avant la mutualisation des brigades ?
N’oublions la responsabilité dans cette situation d’un certain Nicolas Sarközy qui avait diminué les effectifs durant son mandat, poussant au regroupement voire à la fermeture de certaines brigades rurales.
Sans parler du contexte de l’Etat d’urgence qui entraîne un surcroît d’activités tel que Bernard Cazeneuve veut renforcer, bien tardivement, la réserve opérationnelle. Dont, soit dit en passant, les objectifs en terme de recrutement n’ont pas été atteints faute de financement.
En même temps il y a longtemps que les victimes ont renoncé à se défendre, puisque lorsqu’elles le font, elles se retrouvent systématiquement accusées et souvent condamnées.
Nous espérons tout de même que les syndicats agricoles ainsi que les associations de producteurs bio vont réagir et peut-être vous apporter un soutien qui permettrait à ce jeune maraîcher de poursuivre son activité.
Après les zones de non-droit dans certains quartiers en ville, il ne doit pas non plus y avoir de zone de non-droit dans la ruralité.
Bis repetita placent : encore une fois les gens du voyage squattent à Candé-sur-Beuvron
Comme l’année dernière, et comme l’année d’avant, la communauté des gens du voyage s’est installée à Candé-sur-Beuvron entre le petit centre commercial et les lotissements environnants. Ceci bien sûr en toute illégalité, puisque le Maire avait fait creuser des tranchées le long de du terrain vague pour empêcher le passage des voitures et des caravanes.
Mais cela n’a pas suffit, puisque Dimanche soir profitant que tout le monde regardait la finale de l’Euro 2016, les gens du voyage on remblayé les fossés et ont ainsi pu passer. Résultat: environ quarante caravanes ont envahis le terrain et un chapiteau a même été monté au milieu du campement. Tout ce petit monde s’est branché sur une bouche d’incendie à côté de la boulangerie. Certains s’y lavent même … tout habillé! A noter que quelque caravanes sont aussi venue s’installer à côté du Centre de Distribution de La Poste.
Conseil régional : des élus FN critiques et constructifs.
Vos élus régionaux en Commission permanente. De gauche à droite : Jeanne Beaulier, Mathilde Paris, Michel Chassier, Charles de Gevigney)
Ce matin 77 rapports étaient présentés en Commission permanente au Conseil régional.
Les élus du groupe FN sont intervenus sur plusieurs dossiers et proposé trois amendements.
Le groupe Front National a évoqué la question des transferts de compétences au 1er janvier 2017, dont le financement n’est pas assuré, ce qui conduit à une nouvelle taxe qui touchera les ménages et les entreprises. A moins de 6 mois de l’échéance, le Président BONNEAU avoue n’avoir aucune visibilité sur les conséquences financières de la loi NOTRe.
Michel CHASSIER, le Président du groupe FN a proposé que les aides aux emplois associatifs (Cap’ Asso) soient limitées à un renouvellement unique pour inciter les associations à recourir à d’autres sources de financement, afin que le dispositif ne se transforme pas en financement d’emplois aidés permanents. La gauche a été forcée de reconnaître la dérive du dispositif et propose de réunir un groupe de travail à la rentrée.
Dans le cadre de la construction d’une centrale photovoltaïque, Charles de GEVIGNEY a déposé un amendement visant à améliorer la performance environnementale des investissements de la Région, avec pour objectif de favoriser les entreprises françaises dont l’impact carbone est plus faible que celui des produits chinois. Notre amendement a été soutenu par l’Union de la Droite et du Centre mais rejeté par une gauche régionale (PS et « Ecologistes ») visiblement embarrassée.
Le dernier amendement du groupe FN avait pour objet d’ajouter l’apprentissage aux axes prioritaires définis dans les conventions signées entre la Région et l’ONISEP Centre, au même titre que l’enseignement supérieur ou les formations sanitaires et sociales. Il a été soutenu par l’UDC mais rejeté par la gauche, alors que l’apprentissage avait été mis en avant par la Région lors de la précédente session.
Nos adversaires ont dû reconnaître que notre groupe a été, une fois encore, critique et constructif !
A noter que le groupe d’Union de la Droite et du Centre présidé par Guillaume PELTIER, qui cette fois n’avait pas apporté de propositions, a été amené à soutenir deux de nos amendements.
Mises en avant
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Mathilde PARIS, tête de liste « Un autre avenir pour Blois » était jeudi soir l’invitée de la rédaction de @TVTOURS. Revoir la vidéo....
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