Deux grands sujets lors de la dernière session du Conseil Régional Centre-Val de Loire : la mobilité et la transition énergétique.
Sur le premier dossier, le projet d’une baisse du tarif des abonnements TER a été approuvé à l’unanimité, les élus RN qui sont intervenus ont insisté sur les retards trop fréquents, sur la sécurité dans les transports en commun, sur la fraude, sur les transports scolaires en proposant des améliorations, sur l’offre de transport à destination des touristes etc…
Sue la transition énergétique, le RN a été le seul a émettre des critiques et à porter un regard plus général. Le groupe UDC s’est engouffré dans le discours conventionnel sur un sujet que beaucoup d’élus ne semblent pas vraiment maîtriser.
Devant les nombreuses insuffisances dans l’analyse et en désaccord avec plusieurs des orientations choisies par la Région, le groupe RN a été le seul à ne pas votre le rapport.
Vous pouvez retrouver le texte et les vidéos de toutes nos interventions sur le site du groupe Rassemblement national CVL.
En fin de session, Michel Chassier a défendu un voeu demandant au gouvernement l’abandon définitif des hausses de la taxe carbone prévues entre 2019 et 2022. La gauche a voté contre, le groupe de Guillaume Peltier s’est abstenu…
Conseil régional : le Rassemblement national vous défend.
Retour aux 90 km/h en Loir et Cher : le grand flou.
Toutes les personnes sensées conviennent que la limitation à 80 km/h est inutile, inefficace et pénalisante.
Y compris M. Macron qui aurait dit que c’était « une connerie ».
De fait elle est assez peu respectée, et paradoxalement nous avons vu la mortalité routière diminuer en fin d’année alors que deux tiers des radars étaient hors service !
Du coup, pour calmer un peu la colère des « Gilets jaunes », le gouvernement ouvrirait la porte à une « expérimentation », qui serait laissée à l’initiative des départements.
En Loir et Cher Nicolas Perruchot s’en est saisi, faisant ainsi son « buzz » dans les médias, mais de quoi s’agit-il ?
Si le gouvernement l’autorise, 500 km de départementales sur un peu plus de 3400 repasserait à 90 km/h.
Nous craignons que ce genre de décision ne fasse qu’ajouter à la confusion, obligeant les conducteurs à surveiller à chaque instant s’ils sont toujours sur une route limitée à 90 km/h ou bien à 80.
La logique voudrait que les 90 km/h redeviennent la règle, la limitation à 80 l’exception, à l’intiative selon les routes du Département ou des communes.
Rappelons que la maîtrise de la vitesse, qui fait partie de la maîtrise du véhicule, doit être appréciée à tout moment par le conducteur.
C’est l’article R 413-17 du code de la route, qui identifie quelques situations dans lesquelles un défaut de maîtrise de la vitesse peut faire l’objet d’une contravention : le comportement du conducteur ne correspond pas aux conditions de circulation (obstacles prévisibles, état de la chaussée, difficulté du trafic…) ; la vitesse du véhicule est inadaptée – trop lente ou trop rapide – alors que les conditions optimales de circulation sont réunies (trafic fluide, bonnes conditions atmosphériques, véhicule en état de marche…), la vitesse de la voiture n’est pas réduite lors du dépassement d’un piéton, lorsque les conditions de visibilités sont insuffisantes ou dans les virages…
Rien ne sert par conséquent de multiplier les panneaux et de compliquer les limitations. D’ailleurs sur une grande partie du réseau de routes secondaires limitées à 80 km/h la chaussée n’est pas assez large pour que deux véhicules se croisent à cette vitesse. Les conducteurs sont donc amenés à ralentir, ce qu’ils font naturellement.
Par contre, pourquoi ne pas utiliser davantage les panneaux indicateurs affichant une vitesse conseillée ? Cette information serait sans doute plus utile dans certaines cas.
Gilets jaunes : péage gratuit à Blois.
Nouvelle action des gilets jaunes ce matin à Blois : opération péage gratuit à la sortie de l’A10.
D’autres actions sont prévues un peu partout en Loir et Cher, relayées sur les réseaux sociaux.
Il était difficile pour beaucoup de se déplacer à Paris en raison du coût que cela représente, sans compter que certains redoutent des provocations et des violences de la part les milices d’extrême-gauche protégées par le pouvoir, et qui font régulièrement dégénérer les manifestations syndicales afin de « faire de l’image » et de déconsidérer le mouvement. Et curieusement les auteurs de ces violences sont rarement interpellés et condamnés.
La faiblesse du mouvement des Gilets jaunes c’est peut-être le manque de coordination et l’absence d’une revendication claire, mais sa force réside dans la multiplication d’initiatives que le gouvernement ne parvient pas à contrôler.
Ainsi, malgré l’interdiction injustifiée de Castaner, les Gilets jaunes ont commencé à rassembler sur les Champs Elysées.
Si le mouvement dure, il faudra bien que Macron lâche du lest, autrement que par les promesses de quelques primes. Il faut simplement renoncer à la taxe carbone, à minima annuler la hausse prévue au 1er janvier.
Une autre mesure de bon sens, présentée à l’Assemblée nationale par Marine Le Pen et les députés du Rassemblement national, consisterait à ne pas appliquer la TVA sur les le montant de la TICPE. Il faut savoir en effet que l’on applique une taxe sur au autre taxe.
Cela permettrait de gagner quelques centimes par litre (13 à 14 centimes sur un litre d’essence).
Nous vous tiendrons informés au cours de la journée des opérations en Loir et Cher.
Blois : la voie rapide à nouveau bloquée, les routiers s’y mettent.
Ce matin en direct de la RD 956.
Le mépris affiché hier soir par Edouard II (*) n’aura fait que monter d’un cran la colère des Français.
De nouveaux blocages sont signalés un peu partout ce matin, autoroutes, centre commerciaux, dépôts de carburants.
A Blois, la voie rapide (RD 956) est bloquée ce matin, au niveau de la patte d’Oie par des gilets jaunes, mais aussi désormais par des routiers.
Là encore, en dehors des syndicats de salariés et de transporteurs, un routier avait lancé un appel sur Facebook, vue plus de 2 millions de fois.
Et les appels se relaient sur les réseaux sociaux pour monter à Paris le 24 octobre, place de la Concorde.
Pendant ce temps Macron était en Allemagne, pour encenser la politique de Merkel et dénigrer la France et les Français. Oubiant que les Allemands eux-même ont sévèrement sanctionné leur chancelière.
S’il admire tant l’Allemagne, pourquoi ne va-t-il pas s’y présenter pour succéder à son amie Angela ? Après tout Cohn-Bendit, qui l’admire, s’était bien présenté en France. Et les Français seraient je pense heureux de faire don à nos voisins du petit Emmanuel avec Brigitte ne prime.
Plus sérieusement, le gouvernement n’aura pas le choix. Dans un premier temps, il faut qu’il renonce à la taxation carbone pour faire redescendre le niveau des carburants.
La transition écologique n’est qu’un prétexte, et celle qu’on nous propose est à la fois coûteuse, inefficace et irréaliste. Il serait temps d’écouter sur le sujet l’avis des gens sérieux, nous y reviendrons.
Journée du 17 novembre : le pouvoir s’énerve, c’est bon signe !
Notre Présidente Marine Le Pen, a réaffirmé ce matin sur France Inter la position de notre mouvement concernant les manifestations du 17 novembre 2018 : « Je respecte le caractère apolitique des manifestations du 17 novembre, qui visent à réunir TOUS les Français opposés à cette politique, quel que soit leur bord. Nos militants, cadres et élus y participeront, mais nous ne tracterons pas ce jour. »
Ce communiqué est un démenti formel aux accusations de récupération ou de manipulation lancées par le gouvernement afin de diviser le mouvement. Les Français ne seront pas dupes.
Il s’agit d’un mouvement citoyen que le Rassemblement National soutient et auquel nos élus, cadres, adhérents et sympathisants doivent s’associer en tant que citoyens, sans signe distinctif, à l’exception des élus qui souhaitent participer aux rassemblements avec leur écharpe.
Afin de ne pas entretenir de confusion, aucune action militante (tractage, banderole etc) ne doit être organisée ce samedi 17 novembre.
De même, les représentants du RN ne s’associeront à aucun blocage ou aucune action sortant du cadre légal ou pouvant attenter à la sécurité des personnes.
Pour toutes les personnes intéressées, il convient de retrouver les consignes des organisateurs sur les réseaux sociaux (Blocage national 41 Blois sur Facebook) ou dans la presse.
En attendant, le pouvoir s’énerve et menace. Pas sûr que ce soit a bonne réaction.
80 km/h : ça ne passe toujours pas.
Quand les citoyens ne sont plus écoutés… ils se révoltent. Qui sème le vent récolte la tempête.
La décision totalement injustifiée de limiter la vitesse à 80 km/h ne passe toujours pas.
La preuve en est fournie par l’ampleur des dégradations dont sont la cible radars et panneaux de limitation de vitesse, en Loir et Cher comme ailleurs (la Nouvelle République du 4 septembre).
Un tiers des radars du département auraient déjà été victimes de ce mécontentement qui ne faiblit pas.
Certains sont seulement recouverts de peinture, d’autres carrément détruits comme celui de la levée de Chailles qui a été incendié, celui d’Averdon qui a été découpé et emporté. Le radar mobile de la RD952 entre Blois et Onzain avait été également retourné.
Face à cette vague de protestation sans précédent, la préfecture brandit la menace, tout en essayant vainement de justifier la mesure, mais il y a longtemps que ce discours ne passe plus.
Selon la directrice de Cabinet, « il y a d’autres moyens d’exprimer son opposition. » Ah oui, lesquels ?
Les manifestations, les tracts, les pétitions, les protestations des élus ruraux et de nombreux professionnels de la route ont été traités par le mépris.
Alors certains en arrivent à cette solution radicale, tout comme les Bretons qui avaient détruits plusieurs portiques installés afin de percevoir l’écotaxe.
Et le pouvoir avait dû reculer.
Peut-être en sera-t-il de même si les attaques contre les radars se multiplient à la rentrée.
Bien sûr nous n’incitons personne à le faire, mais ne ne pouvons pas non plus condamner ces réactions spontanées qui expriment une révolte contre le mépris de ceux qui nous gouvernent.
Et s’il faut trouver un autre moyen d’expression comme le conseille la directrice du Cabinet, rendez-vous aux européennes pour botter les fesses de ce pouvoir arrogant en votant pour la liste du Rassemblement national.
Routes : communiqué de presse du Front National
Lors de la session plénière du 16 mai le groupe Front National a déposé un vœu pour demander que la Région prenne en compte le réseau routier d’intérêt régional dans le cadre de la loi NOTRe.
Ce vœu fait écho à la demande des 6 présidents des départements de la région Centre-Val de Loire, mais le groupe FN avait déjà formulé cette demande à plusieurs occasions, considérant qu’il s’agit d’un enjeu incontournable qui doit être intégré dans les différents schémas d’aménagement de la Région.
Suite sur le site du groupe FN Centre-Val de Loire.
Michel Chassier, président du groupe FN CVL a écrit au 6 présidents des départements pour les informés de la position du FN sur cette question qui intéresse les habitants de la Région au plus haut point.
Région : Michel Chassier intervient sur le ferroviaire.
Michel Chassier, Président du groupe FN Centre-Val de Loire est intervenu au sujet de la révision contractuelle de la convention TER en rappelant notre opposition à la réforme de la SNCF dictée par Bruxelles et qui remet en cause le principe de l’égal accès aux services publics pour tous les citoyens. Les conditions de transfert de la gestion des lignes TET, négociées région par région, participent également de cette mise à mal du principe de péréquation tarifaire. Les présidents de régions, aveuglés par l’illusion de pouvoir décider de leur politique de transport ferroviaire, ne voient pas qu’en réalité l’Etat leur transfère une charge qu’il n’est plus capable d’assumer.
Voir l’ensemble des interventions sur le site du groupe FN Centre-Val de Loire.
SNCF : les mélenchonistes font de la récupération, mais ils sont en retard d’un train !
Ce jeudi 14 avril 2018, la France Insoumise a distribué à la sortie de gare de Blois-Chambord un tract pour dénoncer la réforme de la SNCF. Malheureusement, pour eux, à la lecture de ce tract nous pouvons que constater que la France Insoumise n’a pas actualisé ses fiches liées à la dernière réforme ferroviaire de 2015. Il dénonce que la SNCF va mal car celle-ci est scindée en deux entreprises : RFF d’un côté et de l’autre la SNCF. Mais depuis, le 1er juillet 2015, RFF a été réintégré dans le giron de la SNCF. La dernière réforme a consisté à la création de trois EPIC (Etablissement public à caractère industriel et commercial) de la façon suivante :
- SNCF, EPIC de tête
- SNCF mobilité s’occupant de la gestion du trafic et de l’infrastructure des gares et atelier de maintenance
- SNCF Réseaux (dont RFF) s’occupant de l’entretien du réseau
Cette erreur sur le tract de la France insoumise permet de faire tomber les masques. Ils ne viennent pas soutenir la cause de cette belle entreprise française la SNCF mais essaent de faire de la récupération politique. En tout cas, les cheminots qui ont pris le tract ont du se demander comment un parti politique se disant proche des syndicats puisse être aussi déconnecté de cette réforme.
Nous reviendrons plus longuement sur la réforme de la SNCF dans de prochains articles afin d’expliquer les inquiétudes des cheminots.
Au passage, le nombre de trains circulant en gare de Blois est bien en deçà des chiffres avancés par les médias : tous trains confondus (TER, Intercités), sur 24 trains entre Tours et Orléans, seulement 3 circulent le vendredi 13, soit 1 train sur 8.
80 km/h : nouvelles manifestations samedi.
Edouard Philippe est sourd.
Il répète que rien ne le fera changer d’avis sur la limitation de vitesse à 80 Km/h le 1er juillet prochain.
Sauf que l’échéance se rapprochant la contestation va monter en puissance.
Nous nous sommes déjà exprimés à plusieurs reprises sur cette mesure inefficace et pénalisante, surtout dans nos départements ruraux, pour les particuliers comme pour les professionnels, et rejetée par 75% des Français.
Depuis janvier les militants du FN41 ont déjà distribué plus de 8000 tracts (à télécharger : tract_80 Km/h) condamnant cette décision prise, là encore, sans concertation.
Le groupe FN Centre-Val de Loire a déposé un voeu à la session du 22 février 2018 pour s’opposer à cette mesure. Le groupe Union de la Droite et du Centre a voté pour.
Mais les groupes Socialistes-Radicaux-Démocrates et « Ecologie » ont voté contre, entraînant son rejet.
Aujourd’hui les initiatives citoyennes se multiplient.
Une nouvelle manifestation est organisée samedi 14 avril au départ de Blois par la FFMC, mais les automobilistes sont invités à s’y joindre, pour se rendre à Orléans où se tiendra un rassemblement régional.
Nous encourageons tous nos amis, motards ou non, à s’y joindre.
Quoi que dise Edouard Philippe, cette mesure ne passera pas !
Vous pouvez également signez notre pétition en ligne.
Billets SNCF gratuits : la paille et la poutre.
Interrogé sur une station de radio, le député de Loir et Cher Guillaume Peltier (LR) déclare fièrement : « il faut supprimer les billets de train gratuits des cheminots !«
Ce à quoi un auditeur lui répond du tac au tac « en tant que député, vous avez aussi des billets gratuits.«
A court d’arguments, le dépité lui répond « ne cédons pas à la démagogie« .
Ben voyons !
Du coup, faut-il comprendre que Guillaume Peltier soutient la réforme de la SNCF ? Alors qu’il prétend co-gérer la Région Centre-Val de Loire de Loire avec François Bonneau (PS), il ne reste plus qu’à rejoindre le gouvernement. Ce ne serait qu’un revirement de plus.
Subventions, santé, ferroviaire : vos élus FN vous défendent au Conseil régional.
Les élus FN préparent la Commission permanente.
La Commission permanente a vu passer ce matin des dossiers habituels. Seuls les élus du Front National ont voté contre subvention à association dépendant de l’éducation nationale et qui contrairement à ses statuts et à la circulaire ministérielle avait pris position publiquement lors de l’élection présidentielle de 2017. Vous devinez dans quel sens.
Il ont dénoncé aussi un montage qui revient à ce que la Région finance une association à hauteur de 100%.
Ils ont voté comme toujours contre les actions de coopération internationale, le groupe UDC, qui un temps s’abstenait sur ces dossiers, les vote maintenant sans discussion.
Véronique Péan est intervenue au sujet d’une aide au logement d’étudiants étrangers, pour s’inquiéter de l’hébergement des étudiants français. La région parle de réciprocité, mais beaucoup de ces étudiants viennent de pays où les jeunes français ne vont pas étudier…
Suite de l’article sur le site du groupe FN-centre-Val de Loire.
Zones défavorisées, rapport Spinetta : ils maudissent les effets dont ils chérissent les causes !
Les élus régionaux ont été unanimes pour voter deux voeux à l’adresse du gouvernement.
L’un portait sur le maintien des zones défavorisées simples, qui conditionnent le versement des indemnités compensatoires de handicap naturel et donc la survie de nombreux exploitants, en particulier des éleveurs.
Le second visait à défendre les lignes ferroviaires « du quotidien », autrement dit les petites lignes jugées non rentables et condamnées au nom de l’ouverture à la concurrence.
Les élus du groupe FN avait assuré le Président de Région de leur soutien à ces voeux. Le groupe UDC avait été de jouer « perso » en déposant deux voeux sur les mêmes sujets. Ils ont finalement préféré les retirer.
Cela dit, nous ne sommes pas dupes. Comme nous l’avons déjà dit la question des zones défavorisées résulte d’une décision de Bruxelles, et la carte définitive ne sera connue, en principe le 1er mars, qu’après validation par la Commission européenne. Or le Président souhaitait, dans un rapport présenté au cours de la même session, donner encore plus de pouvoirs à l’Union européenne. D’où l’observation de Charles de Gevigney : « ils maudissent les effets dont ils chérissent les causes« .
Nous aurions pu faire la même réflexion sur le ferroviaire, puisque la fermeture annoncées des lignes secondaires résulte de la mise en concurrence imposée par Bruxelles.
C’est Michel Chassier qui est intervenu sur le sujet, en expliquant comment la mise en concurrence s’opposait au principe même du service public, qui repose sur la notion de péréquation : les lignes rentables financent celles qui ne le sont pas.
Si l’on appliquait les conclusions du rapport Spinetta à tous les transports en commun, même le métro parisien ne roulerait plus !
Sans parler de la Poste, qui devrait abandonner la distribution du courrier en zone rurale.
On voit bien à quel point Macron est soucieux de suivre la feuille de route qui lui a été assignée par ses commanditaires. A vrai dire il n’a guère le choix, car les mêmes qui l’ont fait élire grâce aux médias qu’ils contrôlent peuvent demain le faire tomber s’il ne respectait pas ses engagements.
Lire la réponse de Michel Chassier sur le site du Groupe FN-CVL.
Région Centre-val de Loire : une session bousculée par une actualité… qui donne raison au FN !
Michel Chassier, président du groupe FN en Région centre-Val de Loire.
Nous l’avions annoncé aux médias régionaux dès lundi : cette courte session risquait fort de ressembler à une prolongation des voeux (voir aussi la Nouvelle République du 22/02)
En effet, sur les trois rapports abordés, on peut se poser la question des réels pouvoirs de la Région.
Sur l’emploi, premier sujet traité ce matin, la Région est en train de perdre face au gouvernement sur l’apprentissage, elle a surtout en charge la formation professionnelle, mais le plan dit des « 1 million de formation » a largement dérivé sur des formations non qualifiantes pour faire du chiffre. Au final l’impact de la politique régionale sur le chômage est vraiment difficile à évaluer, mais il n’est certainement pas déterminant. Jeanne Beaulier, Ludovic Marchetti et Phililippe sont intervenus tour à tour (voir le site du groupe FN-CVL).
Ensuite le Schéma Régional de l’Enseignement Supérieur de la Recherche et de l’Innovation fait partie des ces schémas obligatoires que la Région doit voter… mais qui n’a qu’une valeur indicative. Qu’on le veuille ou non, la Région ne peut pas décider l’ouverture ou de la fermeture d’une filière universitaire, d’une école d’ingénieur, de la création d’une communauté universitaire, encore moins de la question de la 1ère année de médecine à Orléans ! Tout au plus peut-elle être appelée à financer des bâtiments, des équipements, quelques bourses doctorales ou encore ce qui relève de la vie étudiante (santé, logement, social). Véronique Péan, Stanislas de la Ruffie et Matthieu Colombier sont intervenus sur le sujet (voir le site FN-CVL).
Mais le rapport le plus « chaud » était abordé l’après-midi, il était question des Fonds européens structurels d’investissement post-2020. En fait la région devait se positionner entre les 5 scénarii du livre blanc sur l’avenir de la politique de cohésion présenté il y a un an par M. Juncker.
Et d’emblée le président Bonneau et sa majorité défendent l’idée du toujours plus d’Europe, en augmentant la contribution des Etats et en créant si besoin un impôt européen.
Michel Chassier, Jean-René Coueille, Charles de Gegigney et Stanislas de la Ruffie sont intervenus pour exprimer la position du Front National, seul à voter contre ce rapport, mais le groupe UDC de Guillaume Peltier a été obligé de s’abstenir (voir le site FN-CVL).
La séance s’est poursuivie ensuite par une série de voeux. Nous y reviendrons.
Encore une fois ce qui pensaient que le FN n’avait plus rien à dire en ont été pour leurs frais.
Non seulement nos élus sont présents sur tous les sujets, mais en plus ils sont les seuls à être parfaitement cohérents.
Au contraire de ceux qui pleurent sur la carte des zones défavorisées ou sur le ferroviaire, sans reconnaître que cette situation qu’ils dénoncent n’est que la conséquence de leurs choix.
80 km/h : ils continuent à vous mentir !
Dès le 10 janvier nous avions réagi sur le blog du FN41 à l’annonce de la limitation à 80 km/h sur les routes.
En invitant les défenseurs de la mesure à présenter leurs arguments, que nous aurions volontiers publié pour ouvrir le débat.
Bien que notre site reçoive plus d’un millier de visiteurs chaque jour, nous n’avons eu aucune réponse.
C’est bien la preuve que les partisans de cette mesure craignaient de voir leurs arguments réfutés.
Nous avions également déploré une mesure prise sans concertation et sans même que les résultats de l’expérimentation, menée sur 13 km sur la RN 57 entre Vesoul et Rioz, 55 km sur la RN 151 entre Auxerre et La Charité-sur-Loire, 18 km sur la RN 7 entre Crozes et Hermitage-Valence entre juillet 2015 et juillet 2017 ne soit rendue publique.
On comprend maintenant pourquoi.
Grâce à l’association « 40 millions d’automobilistes » les conclusions de cette expérimentation ont fuité.
Et ils démentent catégoriquement le discours officiel. Les pro-limitation se défendent en disant que « les tronçons étaient beaucoup trop petits et la durée trop faible pour tirer des conclusions concernant l’accidentalité. » Une expérience sur 2 ans cela paraît tout de même significatif. Quand à la longueur des tronçons, elle a été choisie au départ par ceux-là même qui étaient certains de démontrer l’efficacité de cette mesure.
Enfin l’exemple du Danemark que nous rappelions dans un article précédent est quant à lui tout à fait probant, puisqu’il concerne tout le pays.
Il ne reste désormais pas d’autre issue au gouvernement que de revoir sa copie et de renoncer à cette mesure imbécile, dont même macron ne voulait pas durant sa campagne. Mais il n’est pas à un reniement près…
N’hésitez pas à signer la pétition en ligne du Front National.
Contre le 80 km/h : le FN soutient les manifestants.
Le combat contre la limitation à 80 km/h continue et s’amplifie.
A l’occasion d’une nouvelle journée de manifestations ce samedi, près de 2 000 motards se sont rassemblés devant la Préfecture de Châteauroux, venant des 6 départements de la Région.
De nombreux sympathisants du FN se trouvaient parmi eux et plusieurs de nos responsables sont venus se joindre à eux, au départ de la manifestation dans le Cher, et à l’arrivée à Châteauroux avec Mylène Wünsch, Secrétaire départementale de l’Indre.
D’autres actions sont prévues afin d’obtenir l’abandon du projet.
Sécurité routière : sans permis au volant, mort au tournant ?
La Nouvelle République relate les péripéties d’un homme de 24 ans, convoqué au Tribunal de Blois pour plusieurs infractions au code de la sécurité routière : conduite sans permis, sans assurance ni carte grise et délit de fuite une première fois, puis deux ans plus tard – à nouveau pour une conduite sans permis.
L’accusé avoue d’ailleurs de manière assez spontanée conduire régulièrement depuis ses 13 ans sans le titre officiel, la voiture qu’un « grand de la ZUP » lui prête. Pour sa défense, Me Denys Robiliard, évoque des problèmes de famille ainsi qu’une peine de prison en cours sans que l’on sache pour quels faits (l’accusé a déjà été inculpé pour d’autres faits antérieurs à ceux présentés).
Si parfois, faire preuve d’indulgence peut porter ses fruits, nous avons affaire ici à un multirécidiviste notoire qui par son comportement a mis potentiellement en danger les autres usagers de la route, y compris les piétons.
A l’heure où le gouvernement d’Emmanuel Macron et d’Edouard Philippe imposera injustement une limite de vitesse à 80 km/heure pour sanctionner encore davantage les automobilistes sous prétexte fallacieux que cette mesure épargnera 400 vies par an (quand bien même les résultats d’une étude n’ont jamais été dévoilés) que propose-t-il au législateur face à ce genre de dérives judiciaires ?
Qu’elle est la responsabilité morale d’un avocat (et ancien député) envers le Tribunal pour déclarer en séance à propos de l’accusé « il sait conduire, il n’a jamais eu d’accident… il n’est pas dangereux ? ». Rappelons en guise de « plaidoirie électorale » que cet avocat déclarait à l’occasion des législatives de juin 2012 (pour lesquelles il était candidat et élu jusqu’en 2017) - dans les colonnes de la NR: « Je connais trop, par profession, les drames que constituent les accidents graves de la circulation, pour ne pas me préoccuper de la sécurité des déplacements »
Qu’elle est la responsabilité juridique d’un tribunal laxiste si l’accusé, condamné à seulement 6 mois de sursis et une amende ridicule – récidive à nouveau et commet cette fois-ci l’irréparable ? Sans que l’on sache si le prévenu à obligation de présenter des garanties quant à la passation et l’obtention du fameux sésame.
Mais le gouvernement préfère limiter la vitesse sur route plutôt que de s’attaquer au problème des conducteurs sans permis qui seraient plus de 600 000 en France et ont causé 241 décès sur la route l’année dernière (source Francetvinfo).
Les citoyens français sont en droit de se poser des questions.
Notre Dame des Landes : nouveau reniement de Macron en forme de capitulation.
« Macron fait ce qu’il avait dit » : c’est ce que nous répètent en boucle les médias du système, qui ne sont pas avares de « fake news ».
Pourtant Macron s’était déjà renié en adoptant la limitation de vitesse à 80 km/h, après avoir dit pendant la campagne qu’il y était opposé.
De la même façon, il avait expliqué qu’il ferait l’aéroport de Notre de Dame des Landes.
Il vient encore de se renier en abandonnant le projet, il faut bien dire par lâcheté.
Certes le Front National n’était pas favorable à ce nouvel aéroport, mais le référendum consultatif avait tranché en faveur de sa construction et tous les recours en justice avaient échoué.
Mais face à une minorité d’extrémistes occupant les lieux, le gouvernement a capitulé piteusement, au mépris des citoyens et des élus locaux.
Cela démontre la véritable nature de M. Macron qui ne fait pas ce qu’il a dit, mais ce que lui dictent les puissants, les lobbies, et qui cède à la menace.
Il va maintenant se heurter aux riverains de l’aéroport existant, qui refusent son extension.
Au déni de démocratie et au reniement s’ajoute un gâchis financier qui n’est pas encore chiffré.
L’ancien monde est toujours bien là !
Hausse des prix à la pompe : il ne fallait pas voter Macron !
Les Loir-et-Chériens s’insurgent contre la hausse des prix à la pompe au 1er janvier.
La Nouvelle République fait part de leurs réactions dans son édition du 9 janvier.
Les automobilistes ne sont pas dupes : ils ont bien compris que cette hausse (7,6 centimes d’euros en moyenne pour le gazole) n’est pas due au cours du baril de brut, mais à une nouvelle augmentation des taxes, qui représente déjà 70% du prix que vous payez à la pompe.
Comme le fait remarquer une des personnes interrogées, le carburant est aujourd’hui au même pris qu’en 2008, alors que le baril s’échangeait à 150 $, alors qu’il est retombé aujourd’hui entre 35 et 40 $ [NDLR : c'était les cours il y a un an, il est aujourd'hui un peu au-dessus des 60 $, mais toujours très loin des cours de 2008].
C’est la même chose d’ailleurs pour les tarifs du gaz, qui augmentent de 7% au 1er janvier essentiellement à cause des taxes.
Et comme le fait remarquer la NR, cette hausse du prix des carburants est particulièrement pénalisante dans un département rural où l’on a guère d’autre choix que d’utiliser la voiture pour se rendre au travail, pour aller faire ses courses, pour aller chez le médecin ou tout simplement pour rendre visite à sa famille.
Les élus du Front National avaient déjà fait remarquer que les usagers de la route étaient ponctionnés à hauteur de 321 millions d’euros par la Région, et à plusieurs reprises il se sont opposés à la hausse du tarif des cartes grises ou à la modulation régionale de la TICPE.
Mais nous disons clairement à certains qui viennent aujourd’hui pleurer : il ne fallait pas voter Macron !
Marine Le Pen avait pourtant averti les Français de ce qui les attendaient, y compris au cours du fameux débat, mais elle n’a pas été entendue.
Dès ce débit d’année les nouvelles taxes Macron vont ponctionner 4,5 milliards d’euros supplémentaires, alors qu’il prétend diminuer les impôts et redonner du pouvoir d’achat.
Il serait temps que les Français se réveillent !
Un deuxième échangeur : à Blois ou à Herbault ?
Entrée de l’A10 au péage de Blois-la Chaussée : désormais la file de gauche est dédiée au télépéage.
La question d’un deuxième échangeur sur l’A10 à hauteur de Blois revient régulièrement au gré des campagnes électorales.
Il est vrai que la circulation en sortie de l’autoroute et dans tout le secteur pose un vrai problème.
Mais où se trouve la bonne solution ?
Christophe Degruelle, président d’Agglopolys, posait à nouveau la question lors d’une visite d’entreprise (la Nouvelle République du 8/11/2017).
Mais pour les responsables économiques, le problème majeur demeure la traversée de la Loire.
Ce n’est pas forcément évident, car le bouchon qui se forme tous les matins bien au sud du pont Charles De Gaulle trouve son origine plus au nord, au niveau du rond-point de Cap Ciné, en cours de réaménagement.
Est-ce que cela suffira ? Nous le verrons d’ici quelques mois.
On peut remarquer toutefois que l’accès à l’autoroute ne comporte actuellement que deux voies, dont une réservée exclusivement au télépéage, ce qui paraît parfois insuffisant.
Une autre question se pose pour un deuxième échangeur.
A hauteur de la route de Vendôme ? Ce serait bien près de l’échangeur actuel, et pas évident à intégrer avec l’arrivée de la rocade Nord.
Au niveau de la route de Saint Lubin ? C’est un axe secondaire qui débouche très vite au sud sur la ZUP de Blois et on ne peut pas envisager un trafic poids-lourd vers le sud qui traverserait une zone urbaine dense et ne pourrait pas aboutir vers la Loire.
A plusieurs reprises les élus du Front National avaient évoqué une autre possibilité : une sortie à Herbault, qui permettrait de désenclaver tout le territoire situé à l’ouest de la Forêt de Blois.
Un tel échangeur serait en outre équidistant entre Autrèche et la Chaussée Saint Victor, respectant l’intervalle moyen sur l’A10 entre le péage de Monnaie et Orléans : environ 15 km.
Certainement une idée à creuser.
Travailleurs détachés : routiers sacrifiés, mais pas que…
M. Macron se vante d’un bon accord sur les travailleurs détachés. Mais il ne parle pas de « victoire de la France », mais de « victoire pour l’Europe ».
Sur le fond, cet accord ne change rien.
- Le principe du paiement des charges au tarif des pays d’origine demeure, ce qui maintient une concurrence déloyale totale
– La réduction du délai de 24 à 12 mois -et en réalité à 18 mois- des missions continuera d’être contournée par la rotation de travailleurs
- Les pratiques indignes au regard du droit du travail comme le non-respect des temps de travail, les conditions d’hébergement précaire ainsi que les fraudes de toute nature n’ont pas été évoquées, ce qui veut dire que tout continuera comme avant.
En même temps, comme les médias le reconnaissent, les routiers français sont sacrifiés.
Bruno Robert ancien chef d’une entreprise de transports et Loir et Cher et ancien dirigeant d’associations professionnelles réagit aujourd’hui dans la Nouvelle République pour dénoncer cette distorsion flagrante de concurrence.
Dans le même temps la contribution de la France au budget européen va augmenter, passant de 18,7 à 20,2 milliards d’euros, alors que l’on demande aux Français de se serrer la ceinture et que l’on réduit les dotations aux collectivités.
L’amendement présenté par le Front National a bien entendu été repoussé et cette hausse a été votée par les députés LREM-LR-PS-MoDEm.
Il faut faire savoir que nos députés se battent jour après jour, à Bruxelles comme à Paris, contre ces décisions de l’Union européenne qui pénalisent notre pays.
Pendant que certains qui ont quitté le navire se contentent de sauter sur leurs chaises comme des cabris en criant « Frexit, Frexit ! » Tout en se prétendant gaullistes…
Contrat de Plan : l’état ne tient pas ses engagements.
L’affaire de la ligne Orléans-Châteauneuf, inscrite dans le Contrat de Plan Etat Région 2015-2020 pose à nouveau le problème du respect des engagements de l’Etat.
En effet, le projet pourrait être remis en cause en raison de la politique d’austérité que le gouvernement impose… d’abord aux Régions.
Communiqué du Groupe FN Centre-Val de Loire :
« En dépit de l’ouverture d’une enquête d’utilité publique, François Bonneau est inquiet pour la ligne SNCF Orléans-Châteauneuf : « si l’Etat ne tient pas sa parole sur les grands projets la région ne pourra pas se substituer.
Or, dans le cadre de la rigueur budgétaire imposée par l’Union européenne, les assises de la mobilité ont évoqué la remise à plat de tous les grands projets liés aux infrastructures de déplacement, et cela concernerait Orléans-Châteauneuf.
Le groupe Front National avait déjà souligné lors de la signature du contrat de plan Etat-Région sa nature asymétrique, puisque personne ne peut contraindre l’Etat à tenir ses engagements, par nature modifiables au gré des changements de gouvernements.
Par ailleurs les élus FN s’étaient interrogés sur la pertinence du choix d’une ligne TER classique – on y avait envisagé des rames Regio2N capables de rouler à 200 km/h ! – au détriment d’une solution tram/train, comme cela s’est fait au nord de Rennes sur une distance équivalente.
Peut-être désormais faudrait-il reposer la question.«
Le 28 septembre le 1er ministre LR et M. Macron prononcera le discours d’ouverture du Congrès des Régions de France.
Les élus présents auront-ils le courage de lui réserver l’accueil qu’il mérite ?
Pas sûr, puisque pour la plupart ils ont fait voter pour celui dont ils déplorent aujourd’hui les décisions… qu’il avait pourtant clairement annoncées.
Nos élus régionaux seront sur place, nous vous tiendrons informés.
Macron met les Régions au régime « Grec ».
Le Front national, seule opposition cohérente à la politique Juncker-Macron.
On connaissait le fameux régime crétois ou diète méditerranéenne, recommandé pour perdre ses kilos superflus.
Mais l’Union européenne a inventé le régime Grec, sensé réduire la dette au prix d’une réduction drastique de la dépense publique, des salaires, des retraites en même temps qu’une augmentation de la pression fiscale.
Le problème c’est qu’au bout de trois ans, la dette grecque qui représentait 159% du PIB atteint désormais presque 180%.
La purge imposée par la troïka (Commission européenne, BCE, FMI) et appliquée par le Mélenchon Grec, Alexis Tzypras, bien que les Grecs ait rejeté ce plan par référendum à 61,3% en 2015.
Obéissant à la même oligarchie, Macron applique à son tour le « régime Grec » à la France, n’hésitant à tailler des les budgets de la défense, de la Police, de la Santé, du logement, tout en puisant dans la poche des collectivités locales.
Le plan annoncé par le 1er ministre LR de 57 millions d’euros d’investissements n’est bien sûr qu’un rideau de fumée, pour l’essentiel un jeu d’écritures comptables qui ne changera rien sur le fond, sauf à modifier la répartition de programme déjà inscrits dans le plan Hollande ou les contrats de plan Etat-Régions. Autrement dit déshabiller Pierre pour habiller Paul.
On le voit avec l’annonce brutale, à la veille du Congrès des Régions de France, d’une diminution de 450 millions d’euros de la part de TVA qui sera attribuée aux Régions dans le cadre de leur nouvelle compétence économique (la Nouvelle République du 26/09/2017).
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Taxes sur les carburants : Macron va frapper fort.
Avant même l’examen de la loi de finances pour 2018, le porte-parole du gouvernement annonce la couleur : dès le 1er janvier 2018 les taxes sur le gazole devraient augmenter de 10 % (7,6 centimes par litre), celle sur l’essence de 3,9 centimes.
Il faut rappeler que les taxes représentent déjà 70% du prix des carburants.
Cette hausse va toucher en particulier les budgets modestes, notamment en milieu rural ou péri-urbain où la voiture reste indispensable pour les déplacements quotidiens.
Cette taxe va également pénaliser les professionnels du transport, mais aussi les artisans et les petites entreprises. Au final, c’est le consommateur qui devra payer la note.
Alors que le gouvernement annonce une baisse de la fiscalité sur le quinquennat, il augmente les taxes sur les carburants, le tabac, il augmente la CSG, la taxe carbone etc…
Nous n’en sommes donc que le début, il est prévu d’ici 2022 une hausse de 31 centimes par litre sur gazole et de 15 centimes sur l’essence.
Et comme d’habitude l’écologie n’est qu’un prétexte : il s’agit d’abord de renflouer le budget de l’Etat.
Une partie de ces taxes est reversées aux Régions pour atténuer la baisse des dotations : pour la Région Centre-Val de Loire, cela représente près de 300 millions d’euros en 2016, alors que la Région refuse d’investir dans le réseau routier…
Seuls les élus du Front National ont dénoncé ce véritable détournement de fonds.
Gare de Blois : le stationnement en question.
La passerelle a été évoquée lors du dernier conseil, mais l’aménagement côté ouest n’est toujours pas traité.
Nous avons, après le conseil municipal de Blois, le témoignage d’un usagers quotidien de la SNCF.
« J’ai, ce matin encore, manqué mon train habituel, bien que je sois arrivé 20 minutes avant l’heure du train… Toutes les rues proches de l’accès passerelle au nord sont saturées : rue Alfred Halou, parking Nord de la Gare, avenue Médicis, rue du Pressoir Blanc, « Rond-Point » du cimetière, rue Frédéric Chopin !
Pas ou très peu de stationnement Rue Pierre de Ronsard, idem avenue Gambetta.
Je me suis garé sur l’unique place que j’ai trouvé à savoir rue Etienne Baudet, qui est plus une place de stationnement dédiée aux riverains qu’aux usagers de la gare.
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Mises en avant
Mathilde Paris invitée de la rédaction sur TVTours
Mathilde PARIS, tête de liste « Un autre avenir pour Blois » était jeudi soir l’invitée de la rédaction de @TVTOURS. Revoir la vidéo....
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