Le projet de ligne à grande vitesse Paris-Orléans-Clermont-Lyon réapparaît, avec une inscription de 100 000 euros au budget de la Région pour de nouvelles études.
On se souvient que la Région Centre, comme les villes d’Orléans et de Bourges, soutenaient le tracé Ouest.
Mais ce n’est pas celui qui a été retenu, la SNCF privilégiant une liaison plus directe et donc plus rapide entre Paris et Lyon avec tracé plus à l’Est.
Du coup, la région Centre-val de Loire avait menacé de se retirer du projet.
Mais c’était sans compter sur le lobbying des partisans du tracé ouest, qui sont parvenus à relancer l’idée de nouvelles études.
Le problème, c’est que ce projet est loin de faire l’unanimité.
En effet, si les maires LR d’Orléans et de Bourges, ainsi que les parlementaires à l’époque LR de ces deux agglomérations défendaient la LGV, le député LR de Sologne, Patrice Martin-Lalande, s’y opposait.
Ainsi que Guillaume Peltier en 2016 au conseil régional, qui avait voté contre une partie de son propre groupe.
Mais vendredi il a voté contre l’amendement déposé par les écologistes qui refusait cette nouvelle étude !
Michel Chassier, au nom du groupe Front national, s’est étonné de se revirement, et quelque peu ironisé sur cette ligne TGV qui relierait Orléans à Bourges… sans passer par la Sologne et les terrains de chasse de certains figures du CAC 40 !
Piqué au vif, Guillaume Peltier a répondu qu’on pouvait changer, et que 2016, c’était « avant ». Avant quoi ?
Réponse de Michel Chassier : « alors vous aussi vous êtes en marche ! »
Au final, le groupe FN a voté le voeu des écologistes, conformément à ses positions depuis le départ sur ce projet, dont la probabilité s’amenuise encore avec les récentes déclarations de M. Macron au sujet des finances publiques.
Conseil régional : le TGV à Orléans et à Bourges, mais sans passer par la Sologne !
Trains intercités : quelle facture pour la Région ?
Intercités : quelle sera la charge pour la Région ? Le Président n’a pas daigné en informer les élus.
La SNCF veut se débarrasser de la plupart des liaisons « Intercités », les fameux « trains d’équilibre du territoire (TET), qui lui coûtent trop cher : 400 millions de déficit d’exploitation annuel, que l’Etat refuse de compenser.
De même que les routes nationales ont pour la plupart été départementalisées, les lignes TET vont donc progressivement être transférées aux Régions.
La question avait évoquée lors de la session de décembre du Conseil régional, en marge du débat sur le transfert des transports routiers de voyageurs, et Michel Chassier avait alors posé des questions, la plupart demeurées sans réponse.
Mais aucun rapport n’était soumis au vote, et les négociations en cours avec la SNCF n’ont pas davantage fait l’objet de débat dans la commission ad hoc.
L’affaire est pourtant d’importance dès lors que les trois lignes reprises par la Région Centre-Val de Loire représentent un déficit d’exploitation annuel de 49 millions d’euros !
Il sera pris en charge au départ par la SNCF, mais de manière dégressive, alors que le déficit risuqe au contraire d’augmenter.
Le Président Bonneau a donc signé dès le 19 décembre avec la SNCF, sans en informer les élus, ce qui est un comble pour ardent défenseur de la démocratie participative. A moins que cet ersatz de démocratie, que nous sommes les seuls à dénoncer dans l’assemblée régionale, consiste à remplacer les élus qui posent trop de questions par des citoyens plus ou moins tirés au sort et beaucoup plus dociles car ils n’ont pas la possibilité d’accéder aux dossiers !
Et demain le Premier ministre Bernard Cazeneuve vient signer le protocole d’accord à Orléans, alors que la commission permanente se réunit le lendemain, sans toutefois être saisie du dossier !
C’est la troisième fois depuis le début du mandat que François Bonneau se comporte de cette manière : c’était déjà le cas pour la Contrat de Plan Etat-Région, signé avec Maneul Valls avant d’être voté, comme pour le plan des « 500 000 formations », signé avec Myriam El Khomri dans les mêmes conditions, avant que le volet régional ne soit adopté par l’assemblée régionale.
Curieuse méthode de gouvernance pour un président qui se veut consensuel.
Le groupe Front National a publié un communiqué pour dénoncer cette méthode, et alerter nos concitoyens sur les risques à venir : Communiqué FNCVDL 2017.01.16 – Convention RCVL-SNCF TET
(voir la Nouvelle République du 18/01/2017).
2ème échangeur de Blois : qui paiera ?
Le Président d’Agglopolys Christophe Degruelle (PS) et le président du Conseil départemental Maurice Leroy (UDI) viennent de co-signer un courrier adressé à Ségolène Royal, ministre en sursis pour demander à Cofiroute une étude sur une 2ème sortie d’autoroute à Blois.
Pourquoi l’Agglo rejoint-elle l’idée, agitée par Nicolas Perruchot durant la campagne des élections départementales, alors que de son côté le maire de Blois était plutôt réservé ? Pourquoi la CCI, jusqu’ici plutôt favorable ne semble plus suivre le projet ? Cela mérite quelques explications.
D’abord sur l’intérêt de l’opération.
L’échangeur de Blois-La Chaussée enregistre un trafic moyen de 11 000 véhicules/jour, à comparer aux 45 000 véhicules/jour de l’axe nord-sud (D952 A), très en-deçà des flux de circulations enregistrés à Orléans, qui compte 3 sorties pour une population dans l’aire urbaine (au sens INSEE) de 425 000 habitants contre 125 000 pour Blois.
Les bouchons observés quotidiennement depuis le sud du pont sur la Loire jusqu’à Fossé ne sont dûs qu’en partie à la sortie d’autoroute. C’e sont plutôt les flux nord-sud qui bloquent la sortie d’autoroute.
Une deuxième sortie mais où ?
Le problème de la deuxième sortie, c’est qu’on ne voit pas très bien où elle pourrait déboucher. La solution proposée serait de la raccorder à la route de Saint Sulpice. On ne voit pas bien l’intérêt pour les poids-lourds, puisque les zones d’activités sont à l’opposé et qu’il n’est pas possible de rejoindre la Loire (D952) sans revenir sur le quartier gare.
Autre question : qui va payer ?
Si jamais Cofiroute accepte de créer un nouvel échangeur, les collectivités seront appelés à le financer majoritairement.
L’Agglo ? Pas avant 2020, et au détriment du reversement aux communes membres.
La Ville de Blois ? Les marges sont encore plus limitées.
Le département ? Au prix d’une nouvelle hausse de la taxe foncière ?
On comprend aussi le désengagement de la CCI par ses propres contraintes financières.
Au passage, il est amusant de voir Maurice Leroy défendre ce projet alors qu’il s’est rallié à François Fillon, qui promet de supprimer les départements et de tailler dans les dépenses publiques !
Le Front National a toujours privilégié une autre solution qui consisterait à raccorder la sortie existante à la rocade nord en longeant l’autoroute au nord de la polyclinique. Il resterait ensuite à réaménager le rond-point de la route de Vendôme pour faciliter la sortie vers Vendôme et le centre commercial.
Si une deuxième sortie devait être envisagée, il faudrait plutôt raisonner à l’échelle de l’agglo et du département, peut-être à hauteur d’Herbault où le raccordement serait assez facile, ce qui permettrait de redynamiser les communes situées au nord-ouest de la Forêt de Blois.
Quand on prétend défendre les intérêts de l’Agglo et du Département, il faut raisonner un peu plus large !
Azalys : pannes à répétition pour les bus de l’Agglo.
3 pannes en 5 jours : manque de moyens pour la maintenance ou vétusté du matériel ?
Depuis quelques temps les usagers des transports urbains de l’Agglo se plaignent de retards fréquents.
Bien sûr il peut y avoir des impondérables liés à le circulation, à des manifestations sur la voie publique, aux travaux, mais ce qui interroge c’est le nombre de retards ou d’annulation causés par des pannes : au moins 5 entre le 8 et 26 septembre.
On peut se demander si l’exploitant a fait les investissements nécessaires sur les dernières années.
Malgré la hausse du versement transport payé par les entreprises, l’équilibre du budget reste précaire.
C’est une des conséquences de l’élargissement de l’Agglo à des zones éloignées qu’il faut désormais desservir.
Mais les usagers voudraient bien pouvoir compter sur un service régulier.
Le radar de La Chaussée Saint Victor à l’effigie de François Hollande !
Il y a quelques jours le presse locale nous apprenait que le radar de la Chaussée Saint Victor fonctionnait dorénavant à double sens.
Il semble que ce ne soit pas du goût de tous les automobilistes, quelque peu excédés par la multiplication des ces appareils dont l’efficacité en matière de sécurité routière reste à démontrer.
En l’occurrence, le radar de La Chaussée Saint Victor a été repeint non sans humour à l’effigie de François Hollande en clown triste.
Avec de surcroît une belle décoration Bleu-Blanc-Rouge, ces automobilistes mécontents sont sans doute aussi des patriotes !
Blois : tolérance zéro pour les délinquants ? Non, pour le stationnement !
Prévention et fermeté : la « une » de Blois Mag en… décembre 2010.
Suite à la montée de l’insécurité en centre-ville et aux plaintes des commerçants, on pouvait s’attendre à ce que la mairie réagisse et décrète enfin la tolérance zéro pour les délinquants.
Nous avons failli y croire ce matin en lisant la Nouvelle République, avec un gros titre proclament « tolérance zéro »… mais pour le stationnement !
Ce n’est peut-être pas la réponse que les Blésois attendaient, surtout au moment où les travaux en Centre-ville compliquent en l’accès.
Certes il faut des règles, en particulier pour certains stationnements gênants, mais nous osons espérer qu’il ne s’agit pas de « rabattre » les automobilistes vers les parkings gérés par Stationéo, donc par la Ville.
Et pendant ce temps-là, Marc Gricourt et Christophe Degruelle déplorent la concurrence que ferait peser sur le Centre-ville le projet d’extension d’Auchan à Vineuil.
Comprenne qui pourra.
Mise à jour le 09 juin à 22 h 00 : quelques heures après la mise en ligne de cet article, la Nouvelle République vient de publier ce soir sur Internet (à 19 h 33) un article relatant une présence policière renforcée en centre ville autour de la Place Louis XII et de la Place Vaslin, indiquant qu’une opération de contrôle a débuté ce jeudi vers 18 h.
Aucun lien sans doute avec notre article, mais certainement une réponse à la pétition des commerçants. Dès ce matin on nous avait signalé des contrôles opérés sur sur marginaux place Vaslin par une patrouille…
Paris-Blois : le trafic ferroviaire encore perturbé.
C’est un passager qui nous prévient par SMS à 17 h 40 : « Cela fait plus d’une heure au moins qu’il n’y a plus de circulation entre Blois et Orléans. Problèmes de signalisation sûrement dus aux travaux. On n’a pas d’informations de la part de la SNCF. On ne sait pas comment on va rejoindre Blois. »
Pendant ce temps sur Infoligne la SNCF annonce des retards de 5 à 20 minutes !
La situation sur la ligne Blois-Paris ne s’arrange pas, et les projets de la SNCF ne sont pas rassurants, il faut craindre une diminution de l’offre Intercités, ce qui obligerait la Région à financer davantage de liaisons TER.
Les élus FN ont régulièrement demandé à la Région Centre-Val de Loire de défendre davantage les usagers. Le 18 mars lors de la commission permanente, nous avons été les seuls à ne pas approuver le dernier avenant à la convention TER pour toutes ces raisons.
Liaisons SNCF Blois-Paris : les élus FN de Loir et Cher réagissent.
Remplacer les Intercités par des TER aux frais de la Région : une stratégie de la SNCF ?
Tout au long de la précédente mandature, les élus du Front National ont demandé à la Région et à la SNCF d’améliorer le service, en particulier sur la ligne Tours-Blois-Les Aubrais Orléans-Paris. Les voyageurs ont pu constater en effet la diminution des trains directs Blois-Paris, les suppressions de trains entre Blois et Tours (est-ce lié seulement à la période de travaux ?) des suppressions d’arrêts sans parler des retards fréquents.
Nous y avons consacré de nombreux articles sur notre blog.
Nous espérons que le nouveau vice-président chargé des transports saura être plus exigent avec la SNCF et RFF.
En lire plus …
La SNCF sur la mauvaise voie. Erreur d’aiguillage ?
Alors que les retards sur les horaires des trains se multiplient. Alors que les pannes deviennent monnaie courante, la Fondation SNCF se lance dans des opérations qui ne sont pas de son ressort et qui exigent des dépenses non prioritaires.
Elle se propose de lutter contre l’illetrisme en ouvrant un appel à projets sur le numérique.(la Nouvelle République 15/10/2015).
Outre que le mot « illetrisme » mériterait d’être défini avec exactitude, combien de fois faudra-t-il rappeler que s’il y a « illetrisme » c’est parce que l’Education nationale ne fait pas son travail en enseignant à lire et à écrire avec une méthode globale catastrophique et que 20% des enfants arrivent en 6ème sans savoir lire correctement ?
Faut-il rappeler que cet illetrisme est dû en grande partie à une immigration massive de populations qui, arrivant sur notre sol sans maîtriser notre langue, développe un communautarisme qui donne la priorité à sa langue d’origine, enseignée parfois dans nos écoles ?
Faut-il aussi rappeler aux fanatiques du numérique qu’avant de se lancer dans cette spécialité il convient d’abord de maîtriser la langue française ?
Nous attendons de la SNCF que les trains partent et arrivent à l’heure. Que les billets gratuits soient, éventuellement, attribués aux Français défavorisés plutôt qu’aux clandestins, comme nous venons de l’apprendre. La lutte contre l’illetrisme, ce n’est pas sa mission !
Billets de train gratuits pour les clandestins : Marine Le Pen interpelle Guillaume Pépy.
Scandaleux ! L’information avait filtré sur Internet et les réseaux sociaux : une note interne de la SNCF indiquait clairement que les « migrants » – traduire immigrés clandestins ayant forcé les frontière de l’Europe – peuvent se voir délivrer des titres de transport gratuits !
A l’heure où les Régions sont sollicitées toujours davantage pour financer la SNCF, comme nous le voyons en Région Centre, cette information a de quoi révolter les usagers.
Marine Le Pen vient interpeller le président de la SNCF, Guillaume Pépy :
« Une note de service interne de la SNCF a été diffusée sur la Toile ces derniers jours. Cette note appelle sous certaines conditions les responsables des gares à émettre des billets de train « à zéro euro » pour des groupes de clandestins qui se trouveraient dans leurs gares.
En lire plus …
La désespérance sociale doit conduire à un vote de sursaut national !
Le 5 Octobre, deux dirigeants d’Air-France, dont le DRH, ont été agressés par des salariés « remontés » par l’annonce de la suppression de 2 900 emplois dès 2016. Je ne cautionne pas la violence. Les personnes qui ont commis ça (d’ailleurs, ce ne sont pas des pilotes d’Air-France) dénaturent l’action syndicale si ce sont des syndicalistes. En même temps, ces mêmes dirigeants sont sourds et aveugles face aux pleurs et à la détresse d’une salariée d’Air-France. Mais François Hollande et Manuel Valls s’indignent et annoncent que les coupables de telles violences seront sévèrement punis.
Dans un même temps, en Loir-et-Cher quand une multinationale (voir la Nouvelle République du 18-09-2015), Procter & Gamble va licencier 420 salariés, peu de personnes osent s’indigner ! Le Président de la République, François Hollande préfère visiter le zoo de Beauval en évitant ainsi la colère des salariés qui se battent pour la sauvegarde de leur emploi. Pourtant la lutte contre le chômage est (était ?) l’une de ses priorités…
Enfin, quand 80% des conducteurs de bus de Blois exercent leur droit de grève le 5 Octobre pour la défense du service public auprès des usagers, pour leurs conditions de travail et pour la modernisation et l’adaptabilité des transports, là encore Agglopolys ne répond pas aux attentes des salariés et de leurs syndicats, et Christophe Degruelle le président d’Agglopolys s’est montré particulièrement méprisant envers les conducteurs, selon nos sources.
SNCF : retards, grèves, pannes.
Emmanuel Macron ne l’avait même pas imaginé. Les voyageurs qui se trouvaient dans le train Tours-Vierzon mardi soir ont fini leur trajet en taxi. Leur TER est en effet tombé en panne en gare de Villefranche sur Cher, peu avant minuit selon la Nouvelle République. A vérifier, car le dernier TER passe à Villefranche à 22 h 03. Les passagers étaient donc dans le train depuis 20 h 45 !
Autre conséquence, les barrières du passage à niveau sur la D922 sont restées abaissées, bloquant la circulation, plus forte que d’habitude car un tronçon de l’A85 était fermé pour la nuit en raison de travaux.
Le lendemain, mercredi 7 octobre, les passagers partis de Blois pour Paris à 12h13 sont arrivés avec 30 minutes de retard. Le soir, ceux qui voulaient partir de Paris vers Blois à 17h38 sont eux aussi arrivés avec 30 minutes de retard.
Certes, il y a des travaux sur la voie entre Blois et Orléans, mais n’est-il pas possible dans ce cas d’informer les voyageurs, et d’afficher des horaires fiables ?
Jeudi 8 octobre, la grève limite à trois le nombre de trains allant de Blois à Paris pour la journée. Combien auront-ils de retard ?
Ces retards et incidents à répétition n’incitent guère les voyageurs à prendre le train, ce qui expliuqe le développement de blablacar et autres alternatives.
Quant de surcroît la SNCF va lancer en janvier prochain son offre de car low-cost en particulier sur Orléans-Tours, on peut craindre de nouvelles réductions d’horaires… à moins que le contribuable ne soit à nouveau sollicité via la Région.
La campagne électorale des régionales permettra de mettre ce sujet sur la table.
Les bus à Blois : Et si on défendait la proximité avec un Service Public de qualité ?
Ainsi donc, plus de 80% des agents d’Azalys ont fait grève ce Lundi avec une possible reconduction de leur mouvement demain (voir Nouvelle République du 5 Octobre). Les conducteurs de bus réclament de meilleures conditions de travail, des bus modernes et adaptés pour assurer un service de qualité que les habitants de Blois sont en droit d’attendre.
Au delà des revendications légitimes des conducteurs de bus avec leurs syndicats face à Agglopolys, force est de constater que l’Agglo, dans sa volonté d’expansion tous azimuts, ne répond pas aux besoins des habitants. En effet, à force de créer des structures administratives loin des réalités locales, les communautés d’agglomération, comme Agglopolys ne peuvent plus mettre les moyens matériels et humains pour assurer un Service Public de qualité. Ainsi les service de proximité, comme aussi les transports urbains sont progressivement absorbés et déconsidérés au profit de choix politiques discutables.
La grève des bus : preuve de l’incompétence de l’Agglo
Le matraquage ministériel et préfectoral qui consiste à imposer les regroupements de communes et d’intercommunalités continue. Sans trop de protestations de la part des maires ou des élus, il faut bien le reconnaître, car contester le calendrier n’est pas une contestation de fond mais de pure forme. Un peu comme si l’anesthésie précédant l’abattoir inhibait toute réaction publique. Alors qu’en privé la parole est libre et contestataire. La loi pourtant est brutale comme un couperet : le préfet doit faire approuver les schémas de regroupement avant le 30 mars 2016 pour l’arrêter avant le 31 décembre 2016.
Accidents et bouchons en série à Blois : les faits sont têtus.
Extrait de la cartographie » Trafic Routier en région Centre 2012 « .
Addendum : La Nouvelle République, qui ne relate pas les faits du jeudi 1/10 de cet article, mentionne, ce vendredi 2/10 vers 15h, qu’un accident serait survenu entre un poids-lourd et un véhicule faisant deux blessés légers, Boulevard des Cités Unies, soit pratiquement au même lieu que la veille occasionnant les mêmes bouchons et difficultés de circulation.
Depuis le retour des vacances d’été, beaucoup d’automobilistes constatent, que la qualité de circulation à Blois s’est sévèrement dégradée, en particulier aux heures de points entre 8h et 9h et le soir de 17h à 19h.
Ce jeudi encore, vers 18h, c’est en raison d’un accrochage qu’une voiture s’est mise en travers de la 2×2 voies (D174) qui contourne la ville, dans le sens Blois/Vineuil juste après la voie d’insertion de la rive nord de la Loire, déjà encombrée suite aux travaux d’aménagement du centre-ville.
Le temps que quelques policiers se rendent sur place, il n’a pas fallu 5 minutes pour que la circulation se complique : jusqu’au rond point de « Cap Ciné », celui du « Bowling World » et depuis la Chaussée-Saint-Victor comme à l’accoutumée… atteignant le rond point de l’autoroute A10 en prenant au piège de nombreux automobilistes bloqués dans les ronds points engorgés et dans l’impossibilité de contourner les difficultés.
La circulation rue Roger Dion, avenue de Châteaudun et au départ de la D200 à Blois Nord s’en retrouvent fortement perturbées avec un risque d’accrochages accru.
Mises en avant
Mathilde Paris invitée de la rédaction sur TVTours
Mathilde PARIS, tête de liste « Un autre avenir pour Blois » était jeudi soir l’invitée de la rédaction de @TVTOURS. Revoir la vidéo....
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