Nouvelle action des gilets jaunes ce matin à Blois : opération péage gratuit à la sortie de l’A10.
D’autres actions sont prévues un peu partout en Loir et Cher, relayées sur les réseaux sociaux.
Il était difficile pour beaucoup de se déplacer à Paris en raison du coût que cela représente, sans compter que certains redoutent des provocations et des violences de la part les milices d’extrême-gauche protégées par le pouvoir, et qui font régulièrement dégénérer les manifestations syndicales afin de « faire de l’image » et de déconsidérer le mouvement. Et curieusement les auteurs de ces violences sont rarement interpellés et condamnés.
La faiblesse du mouvement des Gilets jaunes c’est peut-être le manque de coordination et l’absence d’une revendication claire, mais sa force réside dans la multiplication d’initiatives que le gouvernement ne parvient pas à contrôler.
Ainsi, malgré l’interdiction injustifiée de Castaner, les Gilets jaunes ont commencé à rassembler sur les Champs Elysées.
Si le mouvement dure, il faudra bien que Macron lâche du lest, autrement que par les promesses de quelques primes. Il faut simplement renoncer à la taxe carbone, à minima annuler la hausse prévue au 1er janvier.
Une autre mesure de bon sens, présentée à l’Assemblée nationale par Marine Le Pen et les députés du Rassemblement national, consisterait à ne pas appliquer la TVA sur les le montant de la TICPE. Il faut savoir en effet que l’on applique une taxe sur au autre taxe.
Cela permettrait de gagner quelques centimes par litre (13 à 14 centimes sur un litre d’essence).
Nous vous tiendrons informés au cours de la journée des opérations en Loir et Cher.
Gilets jaunes : péage gratuit à Blois.
Onze voitures brûlées à Saint Sulpice de Pommeray.
Image d’illustration.
C’est par quelques lignes que la Nouvelle République (22/11/2018) relate l’incendie de 11 véhicules sur le parking d’un garage à Saint Sulpice de Pommeray, tout près de Blois.
Les sapeurs pompiers sont intervenus dans la nuit de mardi à mercredi vers 23 h 30 pour circonscrire le sinistre.
La gendarmerie enquête, mais à priori l’incendie semble suspect.
Blois : violente bagarre devant le collège des Provinces.
La nouvelle n’avait pas filtré jusqu’ici, c’est la Nouvelle République qui publie l’information ce matin (20/11/2018).
Les faits remontent à jeudi dernier. Un groupe de 5 à 7 « jeunes » issus d’un autre établissement est venu attaquer des élèves à la sortie du collège des Provinces.
Trois élèves ont été blessés dont un sérieusement.
L’origine de cette rixe serait à rechercher sur les réseaux sociaux.
La Police enquête pour identifier les agresseurs, mais en attendant ce type de bagarre montre que Blois est à son tour gagné par ce phénomène de règlements de comptes violents à proximité des établissements scolaires.
Mais l’équipe municipale actuelle semble ne pas bien mesurer à quel point la situation est en train de se dégrader.
Mise à jour : un correspondant nous parle d’une vingtaine de personnes avec des couteaux, battes etc… et d’une deuxième bagarre. Mais devant le silence des médias, difficile d’avoir confirmation pour le moment.
Blois : la voie rapide à nouveau bloquée, les routiers s’y mettent.
Ce matin en direct de la RD 956.
Le mépris affiché hier soir par Edouard II (*) n’aura fait que monter d’un cran la colère des Français.
De nouveaux blocages sont signalés un peu partout ce matin, autoroutes, centre commerciaux, dépôts de carburants.
A Blois, la voie rapide (RD 956) est bloquée ce matin, au niveau de la patte d’Oie par des gilets jaunes, mais aussi désormais par des routiers.
Là encore, en dehors des syndicats de salariés et de transporteurs, un routier avait lancé un appel sur Facebook, vue plus de 2 millions de fois.
Et les appels se relaient sur les réseaux sociaux pour monter à Paris le 24 octobre, place de la Concorde.
Pendant ce temps Macron était en Allemagne, pour encenser la politique de Merkel et dénigrer la France et les Français. Oubiant que les Allemands eux-même ont sévèrement sanctionné leur chancelière.
S’il admire tant l’Allemagne, pourquoi ne va-t-il pas s’y présenter pour succéder à son amie Angela ? Après tout Cohn-Bendit, qui l’admire, s’était bien présenté en France. Et les Français seraient je pense heureux de faire don à nos voisins du petit Emmanuel avec Brigitte ne prime.
Plus sérieusement, le gouvernement n’aura pas le choix. Dans un premier temps, il faut qu’il renonce à la taxation carbone pour faire redescendre le niveau des carburants.
La transition écologique n’est qu’un prétexte, et celle qu’on nous propose est à la fois coûteuse, inefficace et irréaliste. Il serait temps d’écouter sur le sujet l’avis des gens sérieux, nous y reviendrons.
Attaques contre le diesel : emplois menacés.
Le président (PS) de la Région Centre-Val de Loire, François Bonneau, s’insurge contre la fermeture annoncée de l’entreprise Ibiden qui fabrique des filtres à particules pour le diesel à Courtenay dans le Loiret.
C’est pourtant bien le même président Bonneau, dont la majorité est l’otage des écologistes, qui relaie toutes les attaques contre le diesel.
Certes la fermeture annoncée du site de Courtenay est liée au choix de la direction japonaise de réaliser la fabrication des nouveaux filtres à haute porosité à son site hongrois, mais c’est aussi la conséquence de la volonté gouvernementale de combattre le diesel, réputé plus polluant que l’essence, ce qui reste à démontrer, sans parler de l’électrique dont le bilan écologique se révèle désastreux. Le site blésois de Delphi, spécialisé dans l’injection diesel, pourrait bien être menacé dans un proche avenir.
Confronté aux conséquences de ses propres choix idéologiques, François Bonneau s’affole. Il demande qu’Ibiden rembourse la subvention de 68 000 euros qui lui avait été accordée en 2014 en échange d’un maintien des emplois sur 5 ans. Ce ne serait que justice, mais hélas, cela ne ramènera pas les emplois. Une raison supplémentaire pour manifester ce samedi avec les gilets jaunes !
Journée du 17 novembre : le pouvoir s’énerve, c’est bon signe !
Notre Présidente Marine Le Pen, a réaffirmé ce matin sur France Inter la position de notre mouvement concernant les manifestations du 17 novembre 2018 : « Je respecte le caractère apolitique des manifestations du 17 novembre, qui visent à réunir TOUS les Français opposés à cette politique, quel que soit leur bord. Nos militants, cadres et élus y participeront, mais nous ne tracterons pas ce jour. »
Ce communiqué est un démenti formel aux accusations de récupération ou de manipulation lancées par le gouvernement afin de diviser le mouvement. Les Français ne seront pas dupes.
Il s’agit d’un mouvement citoyen que le Rassemblement National soutient et auquel nos élus, cadres, adhérents et sympathisants doivent s’associer en tant que citoyens, sans signe distinctif, à l’exception des élus qui souhaitent participer aux rassemblements avec leur écharpe.
Afin de ne pas entretenir de confusion, aucune action militante (tractage, banderole etc) ne doit être organisée ce samedi 17 novembre.
De même, les représentants du RN ne s’associeront à aucun blocage ou aucune action sortant du cadre légal ou pouvant attenter à la sécurité des personnes.
Pour toutes les personnes intéressées, il convient de retrouver les consignes des organisateurs sur les réseaux sociaux (Blocage national 41 Blois sur Facebook) ou dans la presse.
En attendant, le pouvoir s’énerve et menace. Pas sûr que ce soit a bonne réaction.
L’UE voudrait interdire la bouillie bordelaise !
La fameuse « bouillie bordelaise », à base de cuivre et de chaux, est utilisée depuis la fin du XIXème siècle, d’abord en viticulture, mais aussi pour le maraîchage et l’arboriculture.
Pour les viticulteurs labellisés « bio », c’est le seul produit phytosanitaire autorisé pour lutter contre le mildiou.
Or la Commission européenne – qui faut-il le rappeler n’est élue par personne – voudrait l’interdire.
Et l’autorisation actuelle prend fin en janvier 2019. Ensuite, il n’y a toujours pas de réponse définitive : l’autorisation pourrait être prolongée en diminuant les doses à l’hectare, ou bien abrogée purement et simplement.
Pour les vignerons bio mais pas seulement, ce serait une catastrophe.
Le Président de la commission bio des vignerons indépendants, Michel Gendrier, s’en inquiète dans la Nouvelle République du 12/11/2018.
Philippe Loiseau avait posé une question écrite en juin dernier (2018 06 QE PL Cuivre). La réponse apportée par la Commission n’est en rien rassurante, et laisse les intéressés dans l’incertitude à deux mois de l’échéance.
Nos élus font tout pour défendre la viticulture française, déjà menacée par des réglementations qui favorisent nos concurrents.
Une fois encore, il faudra que nous soyons en mesure de peser davantage sur les décisions, et surtout de remettre en cause le fonctionnement et les pouvoirs exorbitants de la Commission… d’où l’importance des européennes de mai 2019.
Blois : voiture brûlée allée des Platanes.
Un quartier calme en apparence (ici rue des Peupliers) mais victime de la délinquance.
Une voiture a été incendiée dans la nuit de samedi à dimanche allée des Platanes à Blois, dans le quartier des Allées.
C’est un secteur où les habitants sont régulièrement victimes de ces actes de délinquance.
On ne dira jamais assez le préjudice que représente ces incendies de voitures pour des propriétaires souvent modestes qui en ont besoin pour leurs déplacements quotidiens, et qui souvent n’ont pas les moyens d’en acheter une autre immédiatement.
11 novembre à Blois : un hommage et quelques couacs.
Les élus du Rassemblement national ont brièvement quitté la cérémonie pendant la « chanson de Craonne ».
A l’occasion du Centenaire, les cérémonies du 11 novembre à Blois ont pris une ampleur particulière, mais il faut le dire avec quelques couacs. Tout d’abord l’idée de scinder la cérémonie en deux parties, la 1ère à 9 heures devant le monument aux Morts, mais sans l’Armée, la seconde à 11 heures 20 dans les jardins de l’Evêché pour la prise d’armes traditionnelle où cette fois, à côté du détachement du DA 273, il y avait l’équipage du sous-marin nucléaire lanceur d’engins le Terrible ainsi qu’un important détachement de la Gendarmerie nationale. L’ampleur du dispositif ne pouvait pas prendre place entre la Préfecture et le monument aux Morts, puisque comme chaque année à cette époque la place de la République est occupée par les barnums de BD Boum. L’inconvénient c’est que la cérémonie était coupée en deux. De plus entre les deux parties venaient s’intercaler, au même moment une cérémonie ‘interconfessionnelle » à la Cathédrale et une cérémonie civile à la mairie, obligeant le cortège à se scinder en deux place Saint Louis, ce qui n’est pas une symbolique très heureuse.
Sur le fond nous avons eu droit au discours de M. Macron, lu par le Préfet de Loir et Cher. Un discours qui glisse de l’hommage à un plaidoyer pour l’Europe et pour la paix, sans tirer le leçon de l’après-guerre, sans oublier quelques attaques contre les défenseurs de la Nation. Comme un parfum de pré-campagne des européennes. Ensuite, les élèves d’une classe de 3ème du Collège Bégon ont interprété la « chanson de Craonne ». Cette chanson politiquement engagée (à l’extrême-gauche) fustige « Les gros », « ceux qu’ont le pognon » et « les biens de ces messieurs là », et incite à la mutinerie (« c’est fini, nous, les troufions, on va se mettre en grève »).
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Blois : le Rassemblement national fête le centenaire de la victoire.
Samedi 10 novembre à Blois le Rassemblement national célébrait le centenaire de la victoire.
Autour des élus régionaux Michel Chassier et Mathilde Paris, de Jean Yves Narquin maire de Villedieu le Château, une quarantaine d’adhérents et sympathisants avaient répondu présent pour partager un repas convivial dans une ambiance rappelant le souvenir des « poilus » : vidéos, chansons, exposition de photos envoyées par nos amis.
A 15 heures, le discours de marine Le Pen était retransmis depuis Verdun, vous pourrez le retrouver sur les réseaux sociaux.
Un moment de cohésion, de communion dans l’amour de la patrie et l’hommage à nos anciens qui ont combattu pour notre liberté.
Dans son intervention avant le discours de Marine, Michel Chassier a rappelé que nous leur devons de poursuivre le combat pour que la France pour laquelle ils se sont sacrifiés ne soit pas demain asservie à nouveau par un ennemi insidieux qui bénéficie hélas de la complicité de nos gouvernants.
Demain 114 novembre nous serons présents dans toutes les cérémonies du département.
Brahim Mokaddem condamné à 15 ans de prison pour une tentative de meurtre sur un gendarme.
(image d’illustration)
« Condamné pour tentative de meurtre sur un gendarme » titre la Nouvelle République du 8/11, « Un Orléanais condamné à quinze ans de réclusion pour une tentative de meurtre sur un gendarme » titre la République du Centre le même jour.
Cet Orlénais s’appelle Brahim Mokaddem, un homme de 32 ans qui, le 1er juillet 2015, avait foncé sur des gendarmes en intervention sur l’autoroute A 10, à la hauteur de Mer (Loir-et-Cher).
Ce soir-là, vers 20 heures, les militaires sécurisaient le trafic des véhicules, alors que des pompiers étaient occupés à éteindre un feu de broussailles en bordure de l’autoroute. Leur véhicule était stationné sur la bande d’arrêt d’urgence, gyrophare allumé, en plus des véhicules d’intervention de l’autoroute qui signalaient l’incident en amont. Les gendarmes faisaient signe aux automobilistes de se déporter sur la voie de gauche, lorsqu’une Twingo a foncé sur eux.
Deux gendarmes ont eu le temps de s’écarter à temps pour éviter d’être heurtés, l’un sautant dans le fossé, avant que la voiture folle ne vienne s’encastrer dans le véhicule où se trouvait une femme gendarme, qui a été touchée aux cervicales.
Le conducteur prétexte un malaise, mais les témoignages des militaires le contredisent.
A l’audience le prévenu n’hésite pas à interrompre les dépositions des gendarmes, à tel point que la présidente doit le faire évacuer temporairement.
Pour le procureur, il n’y a pas de doutes, « ils n’ont pas été visés en tant que personnes, mais parce qu’ils sont militaires de la gendarmerie. » Il réclame 20 ans de détention.
On pourrait ajouter que ce type de comportement n’est pas anodin en 2015, même si l’accusé se garde bien de revendiquer son acte.
Au final, il est condamné à 15 ans de réclusion criminelle.
Mer et la petite Beauce : une insécurité au quotidien.
L’insécurité, le saccage des équipements publics, les dégradations sur les propriétés et les biens privés, les vols, les incivilités ne sont pas l’apanage des grandes villes.
Nouvel exemple à Mer ou 14 véhicules ont été l’objet de vols à la roulotte et dégradés (la Nouvelle République du 7/11/2018).
Mardi la Gendarmerie a fait distribuer un appel à témoin dans les boîtes aux lettres.
Espérons que les coupables soient et identifiés et les victimes indemnisées.
Le phénomène touche aussi les communes de la petite Beauce.
A tel point que Maves, 660 habitants, va bientôt installer 9 caméras pour améliorer la sécurité des personnes et notamment des biens municipaux qui sont régulièrement vandalisés et font l’objet de dégradations et vols…
Les élus Mérois du Rassemblement national expriment leur soutien aux victimes et demandent au Préfet de Loir de Loir et Cher que les forces de l’ordre disposent des moyens nécessaires pour mener leur mission de protection des populations.
Cela nous semble plus urgent pour nos compatriotes que l’accueil des migrants.
Centenaire de la victoire de 1918 : rendez-vous à Blois le 10 novembre.
« Cent ans après la victoire de la France et de ses alliés, mettant un terme à la Grande Guerre en 1918, notre famille politique a à cœur d’honorer la mémoire du soldat français qui se sacrifia pour défendre notre drapeau et l’intégrité de notre territoire, et la mémoire du peuple français tout entier uni dans les pires circonstances. » Marine Le Pen
Alors que Macron refuse de fêter dignement la victoire de 1918, le Rassemblement national appelle tous les Français a participer nombreux aux commémorations du 11 novembre.
Nos élus seront présents dans leur communes respectives, soyez nombreux à leurs côtés, avec vos enfants car il est important de leur faire partager ce moment historique.
Le 10 novembre Marine Le Pen sera a Verdun pour un grand banquet patriotique afin de rendre hommage à tous les combattants, ceux qui sont tombés et aussi tous eux qui ont été marqués à vie par cette épreuve
La Fédération de Loir et Cher organise également une journée d’hommage à Blois, avec un repas et la retransmission vidéo sur grand écran de la cérémonie de Verdun et du discours de Marine.
Venez nombreux, en famille, avec vos amis pour cet après-midi d’hommage à nos poilus. Attention : nombre de places limité, inscription obligatoire. Vous pouvez demander l’invitation à contact@rassemblement-national41.fr
Insécurité à l’hôpital de Blois : l’omerta ?
Tout va bien à l’hôpital de Blois, soyez rassurés braves gens, dormez bien !
Comme dans les collèges et les lycées, la consigne #PasDeVague semble aussi être appliquée dans les hôpitaux.
Mais il est toujours difficile de cacher la vérité, elle finit un jour ou l’autre par ressortir.
En l’occurrence ce sont les personnels de sécurité de l’hôpital de Blois qui expriment leur colère… sous la bannière de la CGT !
« Sécurité en sous-effectif = hôpital en insécurité » peut-on lire sur une des banderoles.
La situation est-elle donc si grave ? Pourtant elle est soigneusement cachée par les responsables de l’établissement, dont le maire de Blois, Marc Gricourt préside du conseil de surveillance.
Reste que la CGT n’en dit pas assez sur l’insécurité qui touche les personnels soignants. De quel type d’agressions s’agit-il ? Qui sont les auteurs ?
Là, c’est au tour de la CGT de pratiquer l’omerta.
Aux agents victimes de cette situation d’en tirer les conséquences : seul le Rassemblement national peut vraiment les défendre.
Fermeture de l’AFPA : où vont aller les « migrants » ?
Le sort des clandestins avant l’avenir des formations ?
Alors que 5 centres AFPA sont menacés de fermeture en Région Centre-Val de Loire, dont celui de Blois, certains s’inquiètent non pas de l’avenir de la formation, mais du du sort des « migrants » hébergés sur le site de Blois (nous n’avons pas d’information pour les autres sites).
On se souvient que des clandestins qui campaient à Calais dans l’espoir de passer en Angleterre avaient été dispersés dans toute le France par Hollande en octobre 2015, mais depuis cela ne cesse pas.
C’est ainsi que le centre AFPA de Blois en avait reçu une quarantaine, à l’époque le Front National avait été seul à protester.
Selon Mag’centre, ils seraient aujourd’hui encore 48, mais bien sûr ce ne sont plus les mêmes, il y a régulièrement de nouvelles arrivées, tandis que les autres sont régularisés ou bien disparaissent dans la nature.
Le coût de l’opération est toujours soigneusement caché… tout ce que l’on sait, c’est que c’est nous qui payons.
Mais ce qui préoccupe les élus du Rassemblement national, c’est le devenir de ces centres, qui recevaient plus de 2000 stagiaires par an pour des formations qualifiantes.
Au conseil régional ils ont co-signé avec tous les groupes un appel au gouvernement pour reconsidérer cette décision.
A Blois, un communiqué a été adressé à la presse locale :
« L’annonce brutale et sans concertation du projet de fermeture de 5 centres AFPA dans notre région, dont celui de Blois, illustre bien le mépris de ce gouvernement pour les territoires et leurs représentants.
Rappelons qu’il s’agit du premier opérateur régional de formation, et l’un des seuls qui propose une offre d’hébergement pour les stagiaires.
Les élus qui ont appris cette nouvelle jeudi matin au cours de la session du conseil régional à Orléans demandent un moratoire immédiat sur la fermeture de ces centres, soutenue par l’ensemble des groupes.
Le Rassemblement national soutien cette démarche et demande également à nous deux ministres loir-et-chériens de prendre position sur ce dossier. »
Aucun écho à ce jour.
Aux yeux de certains, l’avenir des clandestins est sans doute plus important.
Blois : agressions au quotidien.
Ce sont des agressions dont la presse ne parle pas, car elles font l’objet d’un simple enregistrement au commissariat de Police, qui ne communique pas.
Mais nous citerons deux faits récents.
La première agression se situe dans un quartier du haut de la ville, près de la Cathédrale.
Une femme seule se gare devant chez elle, lorsqu’une voiture se range en double file, occupée par deux individus que la censure ne nous permet pas de décrire.
Ils intiment à la femme l’ordre de descendre. Celle-ci refuse mais se trouve de fait coincée dans son véhicule.
Par chance, une autre voiture arrive dans le rue, obligeant les deux petites frappes à circuler.
La semaine dernière cela se passe en plein centre-ville, devant le Totem, place de la Résistance.
Comme souvent, une voiture occupée par des « jeunes » est arrêtée sur le rue devant le débit de tabac, bloquant la circulation.
La plupart du temps, les Blésois « de souche » préfèrent patienter, connaissant la susceptibilité des ces « chances pour la France ».
Mais le femme ainsi bloquée par ces gens irrespectueux a eu le malheur de klaxonner !
Aussitôt elle est prise à partie par les petits voyous, qui prétendent que leur voiture a été accrochée et demandent à la personne de descendre pour faire un constat.
Elle leur propose plutôt d’appeler la Police et saisit son téléphone, ce qui a pour effet de faire fuir les voyous. Bon réflexe.
Mais ces deux exemples sont révélateurs d’un climat qui hélas n’est pas nouveau, et qui fait que Blésois et touristes ont tendance à déserter le centre-ville une fois la nuit tombée.
A quand une véritable réaction ?
Mustapha, 37 ans, 32 condamnations : « je vais faire pire qu’au Bataclan ! »
Chaque jour la chronique judiciaire nous renseigne sur l’état de la société, l’ensauvagement des délinquants qui se transforment parfois en criminels faute d’une réponse judiciaire assez rapide et assez ferme pour les faire réfléchir.
C’est ainsi qu’un certain Mustapha, 37 ans, actuellement mis en examen pour viol, outrage à agents et usage illicite de stupéfiants, a vu rejeter, sans surprise, une demande de mise en liberté.
Il faut dire que l’individu collectionne déjà 32 mentions à son casier judiciaire qui, ont le sait, n’enregistre pas les petits délits et contraventions… (la Nouvelle République du 2/10/2018).
Et il récidive à l’audience en menaçant magistrats et avocats de la partie civile : « Je n’ai rien à perdre, vous allez voir, je vais faire pire qu’au Bataclan ! »
Heureusement que la Justice a refusé cette mise en liberté, cela paraît tout de même plus sage.
Mais combien d’individus dans le même genre sont aujourd’hui dans la nature ?
Voilà une question que nous ne pourrons plus poser à Gérard Collomb, qui vient de faire à son touret à sa manière un doigt d’honneur à Macron !
Saisonniers de l’agriculture : peut-on faire confiance aux pompiers-pyromanes ?
Les représentants départementaux de la FDSEA et des Jeunes Agriculteurs ont rencontré les parlementaires de Loir et Cher pour défendre les exonérations de charge pour le travail saisonnier (la Nouvelle République du 2/10/2018).
En effet, le projet de loi de finances (budget de l’Etat) pour 2019 prévoit la suppression de cette disposition, destinée à compenser partiellement le coût de main-d’œuvre « beaucoup plus élevé que celui de nos concurrents européens ».
Mais le problème c’est que tous ces parlementaires ont fait voter Macron en 2017.
Une fois encore, ils ne peuvent que déplorer les conséquences de leur choix.
Nous ne manquerons pas d’observer leur vote lors de l’examen de la loi de finances.
Combien oserons voter contre, combien vont prudemment s’abstenir… à moins qu’une envie pressante ne les oblige à quitter l’hémicycle au moment du scrutin… On a déjà vu ça !
Mais pendant ce temps, l’article le rappelle, le gouvernement trouve des solutions pour donner du travail aux « réfugiés ».
On voit bien quelles sont les priorités…
Encore une fois, la meilleure façon de sanctionner Macron et son gouvernement, c’est de placer la liste soutenue par Marine Le Pen et le Rassemblement national en tête aux européennes de 2019 !
Accueil des clandestins en Loir et Cher : le silence des autorités.
Suite aux échos qui nous sont parvenus (d’une source interne à la Préfecture) au sujet de l’arrivée récente de 200 « migrants » supplémentaires en Loir et Cher, nous avions invité Nicolas Perruchot à communiquer les chiffres par un courrier daté du 10 septembre.
Depuis, aucune nouvelle.
Mais les informations en provenance de tous les départements de France nous confirme qu’il s’agit d’un phénomène de grande ampleur.
L’afflux des faux réfugiés, s’il s’est considérablement réduit en Italie grâce à Mattéo Salvini (ce qui au passage, les humanistes patentés oublient de le dire, à fait diminué d’autant le nombre de morts en Méditerranée) il s’est accéléré depuis l’Espagne.
Et pour vider les campements trop visibles dans les grandes villes, le gouvernement n’a rien trouvé de mieux que de les disperser dans les campagnes et les petites villes.
En Loir et Cher, c’est Blois, Romorantin, Vendôme, Salbris, Mer et parfois des communes voisines.
Et les 370 places en centre d’accueil (CADA) ne suffisent pas, il a fallu réquisitionner des hôtels, des logements, sans parler d’hébergement temporaire à l’AFPA.
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Le sport victime des économies budgétaires.
JO 2024 : avec quels moyens les sportifs français pourront-ils se préparer ? A moins de pénaliser davantage le sport pour tous ?
Si les Blésois peuvent se réjouir du fait que la nouvelle ministre des sports, Roxana Maracinea, ait débuté sa carrière de nageuse dans un club de notre ville, les sportifs de Loiret Cher vont cependant subir les coupes budgétaires comme les autres.
En effet, le budget du ministère va être amputé de 30 millions d’euros en 2019, et 1600 postes de conseillers techniques sportifs sont remis en cause.
La ministre s’est voulue rassurante en précisant que les conseillers techniques sportifs (CTS) ne perdront pas leur emploi, mais cela signifierait, comme pour les emplois aidés un transfert des charges vers fédérations, elles-mêmes financées en partie par les collectivités territoriales.
Cela vient s’ajouter à un véritable détournement des fonds du Centre National pour le Développement du Sport (CNDS), qui se voit imposer ses orientations par le Ministère au mépris de la gestion paritaire prévue par ses statuts. Alors même, faut-il le rappeler, que ces fonds ne proviennent pas du budget de l’Etat.
Mais depuis longtemps, en regroupant le sport et « cohésion sociale », une partie des sommes qui devraient revenir aux fédérations est utilisée pour des actions qui relèvent de la fameuse « politique de la Ville ».
Et pendant ce temps la Région Centre Val de Loire réduit également son budget pour le sport.
Le groupe Rassemblement national CVL a publié un communiqué pour dénoncer cette situation et soutenir le mouvement sportif.
Communiqué du Groupe Rassemblement National au conseil régional Centre-Val de Loire.
« Nous avons été alertés par le Conseil Régional Olympique Sportif Français (CROS) dénonçant la prochaine baisse du budget des Sports de 30M€ en 2019, entraînant la suppression de 1600 postes de fonctionnaires au sein du Ministère des Sports. »
Lire la suite sur le site du groupe RN-CVL
Nous vous invitons également à signer la pétition du CNOS.
200 « migrants » supplémentaires en Loir er Cher ?
La dispersion des migrants dans nos villes et nos villages se poursuit, le plus souvent sans que nos concitoyens en soient informés.
Si en Indre et Loire le Conseil départemental a lancé une alerte en raison du coût exponentiel de la prise en charge des « mineurs non accompagnés », en Loir et Cher c’est l’omerta.
Ni la Préfecture ni le Conseil départemental ne souhaitent communiquer, malgré le courrier adressé le 10 septembre a son Président Nicolas Perruchot, demeuré jusqu’ici sans réponse ( Courrier NP MNA ).
Mais loin de faire taire l’inquiétude légitime des Loir-et-Chériens, ce silence entretien toutes les rumeurs.
Ainsi, selon un témoin digne de foi citant une employée de la Préfecture, 200 nouveaux « migrants », terme désignant en fait des immigrés clandestins, seraient arrivés en Loir et Cher et le Préfet aurait déclaré que leur accueil était « une priorité. »
Reste à savoir sur quelle période porte ce chiffre s’il est confirmé.
Nul de doute que la Préfecture apportera les précisions nécessaires pour mettre un terme à ces « rumeurs » qui, vu ce qui se passe dans les départements voisins, nous semblent tout de même fondées.
Blois : voiture incendiée au lac de la Piçonnière.
Image d’archives : voiture brûlée dans le lac de la Pinçonnière en 2017.
Un de nos correspondants nous informe que jeudi vers 21h30, les pompiers sont intervenus sur un véhicule Ford Fuego en feu sur le parking nord ( bâtiments communaux ) du lac de la Pinçonnière à Blois.
La carcasse était toujours en place le lendemain matin avec une plaque d’immatriculation identifiable.
La nuit précédente, ce sont à nouveau des poubelles qui ont été incendiées en Vienne, rue Georges Litalien, dans un quartier lui aussi régulièrement touché par ce genre d’exactions.
Dormez bien braves gens !
Le conducteur responsable de la mort du jeune cycliste écroué.
Prison de Blois (image d’illustration).
Le conducteur qui avait percuté le jeune Takhir le 10 septembre à la ZUP de Blois avait pris la fuite. L’enfant n’avait pas survécu à ses blessures.
Dès le 13/09, nous étions informés du profil du conducteur, déjà bien connu de la Police et de la Justice puisqu’il était sorti de prison depuis peu. Sans doute la vidéosurveillance aura permis de l’identifier. On savait aussi qu’il conduisait sans permis et sans assurance.
Nous n’avions pas divulgué ces informations afin de ne pas gêner le travail des enquêteurs devant conduire à le retrouver.
L’individu s’est finalement présenté au commissariat lundi dernier, une semaine après le drame, accompagné de son avocat (la Nouvelle République du 20/09/2018).
Il a été mis en examen pour homicide involontaire aggravé et aussitôt écroué.
Le procureur confirme que l’individu avait déjà été condamné plusieurs fois entre 2012 et 2017 pour des délits routiers (déjà !) et des affaires de stupéfiants.
Son nom n’est toujours pas divulgué, mais d’après nos sources il s’agit vous l’avez compris d’une « chance pour la France », selon l’expression reprise de Jacques Attali à Madame Parisot en passant par Emmanuel Macron, pour qui l’immigration est toujours «une chance pour la France».
Blois : le voile islamique s’impose à l’antenne de droit.
Avec 200 étudiants inscrits et une légère progression en 1ère année, le directeur de l’antenne universitaire de droit s’estime plutôt satisfait, au moment où d’autres enseignements sur le site de Blois sont remis en cause par l’Université de Tours, ex-François Rabelais.
Mais ce qui frappe sur photo de la Nouvelle République illustrant l’article, c’est la présence de deux étudiantes portant le hijab, c’est à dire le voile islamique.
Mais si la loi de 2004 avait interdit le port du voile dans l’enseignement secondaire (primaire, collège, lycée) pour les élèves comme pour les personnels, y compris les accompagnants des sorties scolaires, ce n’est pas le cas dans l’enseignement supérieur, où les présidents d’université sont priés de se « débrouiller », et comme ils ne veulent surtout pas d’histoire, on connaît le résultat.
En tout cela ne semble pas déranger le président, Pierre Boisseau, par ailleurs dixième adjoint en charge de la démocratie locale, de l’intégration républicaine, de la laïcité, de l’histoire et de la mémoire et des égalité des droits, et défenseur intransigeant de la laïcité… quand il s’agit de l’Eglise catholique…
Pour notre part nous considérons que le port ostensible, pour ne pas dire provocateur, du voile islamique dans cette enceinte manifeste une revendication communautaire et l’affirmation de la supériorité du droit coranique par rapport au droit français.
Inquiétant pour des étudiantes en droit qui peuvent demain se retrouver magistrats, et peut-être présider une audience en portant le voile, sans parler des orientations que pourraient prendre leurs jugements.
Un jeune cycliste tué par une voiture à la ZUP de Blois, le conducteur en fuite.
Le lieu du drame : la priorité à droite est censée réduire la vitesse… à condition de la respecter.
Lundi soir le jeune Takhir, âgé de 12 ans, a été violemment renversé par une voiture rue de Tourville à la ZUP de Blois, entre la Place Lorjou et la médiathèque. Transporté à l’hôpital Clocheville à Tours, il n’a pas survécu à ses blessures (la Nouvelle République du 12/09/2018).
Le conducteur de la voiture a pris la fuite.
Même si toutes les circonstances de l’accident ne sont pas connues, l’émotion est grande dans le quartier, et nombreux sont ceux qui dénoncent la vitesse excessive de certains conducteurs et le non respect des règles.
Certains soulignent aussi le manque d’aménagements de sécurité.
On peut d’ailleurs s’étonner que dans ces quartiers rénovés récemment et à grands frais il n’y ait pas davantage de pistes cyclables.
Le maire de Blois qui s’est rendu sur les lieux s’interroge sur « l’apprentissage des règles de sécurité routière et le respect collectif du code de la route« .
Mais comment certains individus qui ne respectent pas loi pourraient-ils respecter le code de la route ?
En souhaitant que le conducteur soit identifié rapidement, toutes nos pensées vont aux parents de la jeune victime.
Mises en avant
Mathilde Paris invitée de la rédaction sur TVTours
Mathilde PARIS, tête de liste « Un autre avenir pour Blois » était jeudi soir l’invitée de la rédaction de @TVTOURS. Revoir la vidéo....
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