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La plaque commémorative à la mémoire de Xavier Jugelé dégradée… par qui ?

D13CdesXQAAX6xACet acte odieux a suscité une vive émotion à Romorantin d’où était originaire le capitaine Xavier Jugelé, lâchement exécuté par un terroriste islamiste à Paris, sur les Champs-Elysées en avril 2017.
Cette même avenue qui a été envahie ce samedi par quelques 1 500 activistes de l’ultra-gauche, profitant de la manifestation des Gilets jaunes.
Dans les colonnes de la Nouvelle République ce matin (18/03) la famille du militaire exprime sa douleur, avec beaucoup de retenue, et des élus de Romorantin font part de leur condamnation.
Mais curieusement sans désigner les coupables.
Or, l’acte est signé. Mais la NR a choisi de montrer la plaque intacte, (NDLR : on trouve une autre photo sur le site en ligne de la NR) avant qu’elle ne soit souillée par le symbole des anarchistes, associé à un autocollant « action antifasciste » représentant un drapeau noir et un drapeau rouge.
Un type d’autocollant que nous avons plusieurs fois retrouvé sur notre permanence à Blois, collé par des individus habitant le quartier et connus de la Police. Mais le Procureur de la République n’a jamais donné suite à nos plaintes.
Cette simple observation permet de mieux expliquer ces violences à répétition et la relative impunité de leurs auteurs, là aussi souvent identifiés.
C’est que ces « black blocs » et autres « anfifa » jouent un rôle utile pour le pouvoir, quel qu’il soit.
En faisant dégénérer des manifestations pacifiques en émeutes urbaines avec incendies spectaculaires, pillages et saccages, cela contribue à retourner l’opinion publique favorable aux revendications des manifestants, mais scandalisée par de telles scènes.
Ces divers groupuscules d’extrême-gauche ultra-violents servent aussi le pouvoir en place en attaquant le Rassemblement national.
Lorsqu’ils créent des désordres en marge d’une manifestation, d’un meeting ou d’un congrès de notre mouvement, cela permet aux médias de nous associer dans l’esprit des gens aux violences commises… par nos adversaires.
Violences, il faut toujours le rappeler, encouragées par Jean-Christophe Cambadélis qui les qualifiait de « harcélement démocratique ».
Dans le cas présent de la crise des « Gilets jaunes », le pouvoir a joué le pourrissement et cherché une fois encore à exploiter les scènes de violences pour déconsidérer le mouvement.
Il faudra tout de même nous expliquer un jour comment on peut arrêter préventivement des centaines de manifestants, parfois pour la simple détention d’une masque respiratoire, sans parvenir à filtrer des centaines de « black blocs » casqués, transportant des projectiles et des produits incendiaires.
Il serait temps de mettre fin à ces méthodes barbouzardes et de mettre hors d’état de nuire ces milices de guerre civile, avant qu’il ne se produise des actes encore plus graves.
Enfin il est certain, mais c’est autre débat, que Macron n’a pas su apprécier la situation, préférant tranquillement aller se « ressourcer » au ski en posant avec Madame pour Gala, Paris Match et autres revues « people ».
Sans oublier toutefois de mobiliser une bonne partie des forces de l’ordre de l’ordre afin de protéger les « lieux de pouvoir », au détriment des autres unités, ce qui a rendu plus difficile le contrôle de la manifestation.  

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Suicide d’un gendarme en Loir et Cher.

Voiture gendarmerieUn gendarme de 32 ans s’est tué samedi en milieu de journée avec son arme de service dans son bureau de la communauté de brigades de Selles-sur-Cher (compagnie de Romorantin).
Communiqué de l’Essor : « Nous apprenons avec une immense tristesse le décès du Gendarme Romain Rio. Il avait 32 ans.
D’abord réserviste opérationnel en Bretagne, il est admis à suivre la formation à l’école des sous-officiers de gendarmerie de Châteaumin pour enfin rejoindre la compagnie de Romorantin dans le Loir-et-Cher (41) où il est affecté à la COB de Selles sur Cher. Nous adressons à sa famille, ses proches et ses camarades nos sincères condoléances et les assurons de notre soutien.« 
Le RN41 s’associe à ces condoléances.
Sans connaître les raisons de cet acte tragique, nous savons que les forces de l’ordre sont sous tension depuis bien longtemps en France. On leur demande beaucoup alors qu’ils manquent parfois cruellement de moyens et que les heures supplémentaires impayées s’accumulent.
Dans la crise de Gilets jaunes qui dure maintien depuis bientôt 5 mois, le gouvernement  a choisi une stratégie favorisant les débordements et automatiquement le riposte des Forces de l’ordre, désignée à la vindicte de l’opinion.
Dans un article publié en octobre dernier, selon les informations de l’Essor « 29 gendarmes ont mis fin à leurs jours depuis le début de l’année. Un chiffre “inquiétant” selon le directeur général de la Gendarmerie le général d’armée Richard Lizurey. Ce chiffre – pour dix mois et demi – dépasse en effet celui des cinq dernières années : 23 en 2013, 22 en 2014, 25 en 2015, 25 en 2016, 17 en 2017. »
Le Rassemblement national a toujours soutenu la Gendarmerie et l’ensemble des forces de l’ordre. Les seuls à critiquer, les seuls responsables sont Macron et Castaner, c’est eux qui devront rendre des comptes.

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Les costumes de Jack Lang : plus fort que Fillon !

Jack Lang-1On se souvient de l’affaire des 13 000 € de costumes offerts à François Fillon, venue s’ajouter au « Pénélope Gate » et qui avait plombé un peu plus sa campagne présidentielle.
C’est au tour de Jack Lang d’être rattrapé par un scandale similaire, pour la bagatelle de 195 600 € de costumes reçus en cadeau de la maison Smalto.
Le même Jack Lang déjà englué dans un procès avec le traiteur Noura pour 41 000 euros de repas impayés.
Cela commence à faire beaucoup, mais nous ne sommes guère surpris.
A Blois des rumeurs avaient couru sur des comportements similaires, mais aucun restaurateur n’avait porté plainte.
Nous ne sommes pas davantage surpris que Jack Lang apprécie le « style » de Macron et soutienne sa politique.
Entre habitués des « petits cadeaux », cela se comprend.

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Le Rassemblement national défend le droit des femmes à Blois et à la Région.

mathilde-paris-18-12-2015Partout en France le Rassemblement national avait organisé des actions le 8 mars, pour la Journée Internationale des Femmes (officialisée en 1977 par l’ONU).
Mathilde Paris, conseillère régionale de Loir et Cher, conseillère municipale et communautaire de Blois et membre du Bureau national, avait transmis un communiqué à la presse locale… qui n’ a pas été publié, la Nouvelle République préférant relayer les positions de la CGT et des détenus (masculins) de la maison d’arrêt.
Vous en retrouver l’intégralité en téléchargeant le document pdf :  Communiqué Journée des Femmes Mathilde Paris.
L’élue RN y insiste sur le recul du droit des femmes, très net dans certains quartiers, et Blois n’échappe pas à la règle : on se souvient de l’épisode de cette jeune serveuse interpellée par deux hommes square Augustin Thierry, qui lui reprochaient d’être en jupe, un « manque de respect » selon eux. Et cela se passait en centre-ville, intutile que dans d’autres quartiers la pression est encore plus forte.
Le même jour en Commission permanente au Conseil régional, Michel Chassier a d’abord demandé que symboliquement la séance soit présidée par une femme. Marc Gricourt n’a pas pu accéder à cette demande, car il avait lui-même reçu délégation du Président de Région, délégation qu’il ne pouvait pas transmettre.
Ensuite à l’occasion d’une subvention au collectif In Situ, Mathilde Paris est intervenue pour rappeler à nouveau les menaces sur le droit des femmes du fait de l’islamisation, un phénomène que les différents partenaires -subventionnés – de la Journée des Droits de la Femme refusent de souligner, bien-pensance oblige.
Une intervention courageuse, calme et argumenté, qui a laissé sans voix les élus des différents bords.
Y compris Guillaume Peltier, qui n’a pas prononcé un mot tout au long de cette commission.
Qui ne dit mot consent, dit l’adage populaire.

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Non au retour des djihadistes !

D0pnaKhXcAEelWILa campagne contre le retour des djihadistes « français » est lancée en Loir et Cher, plusieurs milliers de tracts sont en cours de diffusion depuis ce week-end.
Certains sont assez naïfs pour croire que M. Macron a renoncé à les rapatrier. 13 d’entre eux ont été livrés à la justice irakienne.
Mais ce recul sous la pression de l’opinion publique, mobilisée par le RN, n’est en réalité que temporaire : Macron ne veut pas de vagues avant les élections européennes.
En réalité, un plan de retour a bien été étudié en liaison avec les américains. Il concerne au moins 150 combattants islamistes et leur famille, au bas mot plus de 500 personnes.
Pire encore, en plus des djihadistes qui avaient un passeport français, il n’est pas impossible que la France récupère des djihadistes d’autres pays européens qui refuseraient de les rapatrier.
La position du RN est claire sur cette question : des gens qui ont combattu la France, organisé et appelé à commettre des attentats sur notre territoire, brûlé leur passeport français, doivent être déchus de leur nationalité et remis aux autorités irakiennes ou syriennes, là où ils ont commis leurs exactions.
Le paradoxe, c’est de voir Marine Le Pen poursuivie pour avoir dénoncé ces crimes odieux.
Voilà pourquoi il faut faire campagne massivement contre le retour programmé des djihadistes en France
N’hésitez pas à nous contacter pour diffuser ce document.
Merci de relayez également notre pétition  en ligne.

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Blois : un conseiller municipal communiste accusé de viols.

MeeTooL’information est parue le 24 février dans l’Obs : le mouvement des jeunes communistes est rattrapé par la vague #Me Too.
Bien sûr à ce stade, si des plaintes ont été déposées, la présomption d’innocence prévaut, c’est pourquoi l’Obs a changé le prénom.
Mais sur les réseaux sociaux les jeunes communistes se déchaînent, accusant la direction d’avoir étouffé ces affaires.
L’affaire a éclaté le 27 janvier, au siège du Parti communiste,  alors que quelques 300 délégués du Mouvement jeunes communistes de France (MJCF) se sont réunis pour voter de nouveaux statuts, et élire leur conseil national et leur direction.
« Soudain une jeune femme monte à la tribune et saisit le micro :  »L’immense majorité du mouvement se prononce radicalement contre les violences sexistes et sexuelles. Il est plus que temps de le mettre en pratique, et c’est pourquoi, aujourd’hui, nous refusons de nous taire », lance la jeune femme. Elle accuse ensuite nommément deux coordinateurs nationaux de « protéger des agresseurs depuis plusieurs années en mettant systématiquement le blâme sur les victimes pour qu’elles quittent l’orga [l'organisation, NDLR]« . Au moment où elle lâche son nom, l’un des deux mis en cause décrète l’évacuation de la salle. Des insultes fusent. Des camarades se bousculent. Un délégué hurle : « La diffamation, c’est puni par la loi. » D’autres se mettent à chanter pour couvrir sa voix :  »On a purgé des camarades pour moins que ça, tu devrais fermer ta gueule. »
« Tout le monde criait, c’était hyper-violent », décrit une militante montée à la tribune. »
Depuis sur les réseaux sociaux les langues se délient, et nous apprenons que l’un des agresseurs, accusé de viol par deux jeunes femmes est un conseiller municipal de Blois.
Alerté, le maire de Blois a publié une réaction sur Twitter : « Bonjour, nous découvrons cette affaire par ces tweets. Soucieux du respect de la présomption d’innocence mais aussi devant la gravité des faits évoqués, le maire va rapidement rencontrer M. Bouchou pour l’entendre. Il exprime son soutien aux victimes présumées. »
Nous verrons si l’affaire sera évoquée au conseil municipal lundi prochain.
Ce qui est ennuyeux pour Marc Gricourt c’est qu’en cas de démission de l’intéressé, le suivant de liste appelé à siéger est un certain Sidi Boussetta qui a lui aussi défrayé la chronique locale pour d’autres affaires.
Voilà qui va compliquer une fin de mandat déjà marquée par le départ de Louis Buteau.

Mise à jour du 6/03/2019 : Alexis Bouchou fait savoir par son avocate qu’il conteste la version de la plaignante (la Nouvelle République du 6/03/2019). Nous ne ferons bien sûr aucun commentaire sur cette affaire, c’est désormais à la justice de faire son travail. 

 

 

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Nouveaux tags « antisémites » à Blois : la piste de l’extrême-gauche ?

Blois Manif GazaManifestation pro-palestinienne à Blois (image d’archive). Le mouvement a-t-il dérivé vers l’antisémitisme sous l’influence des islamistes ? 
La Nouvelle République annonçait dans son édition du 21 février que « des tags à l’encontre du président de la République et des inscriptions à caractère antisémite » avaient été découvert la veille sur un abribus près du Lycée Camille Claudel.

France 3 Centre Val de Loire nous en apprend un peu plus.
A côté des inscriptions  « Adolf Macron » et « Emmanuel Hitler », plusieurs croix gammées ont été taguées.
Le Préfet de Loir et Cher s’en indigne : « il est complètement intolérable de faire de telles assimilations et de se revendiquer d’une idéologie qui a tué six millions de juifs. On est à l’opposé de nos valeurs« 
Si nous partageons cette condamnation, d’autant plus que nous avons trop souvent été victimes de tels agissements, sans que cela choque la classe politique ni les autorités, l’interprétation du Préfet a tout de même de quoi surprendre.
En effet, les auteurs de ces inscriptions ne se revendiquent pas de l’idéologie nazie, au contraire ils comparent M. Macron au dictateur nazi, sans doute en raison de son comportement autoritaire et méprisant.
Il est bien évident que cette comparaison est déplacée et injurieuse, mais c’est bien parce que de telles assimilations ont été trop longtemps tolérées lorsque nous étions victimes qu’elles ont été banalisées.
Et qu’on le veuille ou non, elles sont le fait de l’extrême-gauche, relayée aujourd’hui par les islamistes.
Michel Chassier, délégué départemental du Rassemblement national, a écrit au Préfet pour lui demander que l’enquête en cours soit élargie aux actes similaires qui ont visé plusieurs fois notre permanence à Blois.

Dans un cas comme dans l’autre, ces agissements portent en effet la même marque.
Ce qui n’empêche pas aujourd’hui encore Magcentre de pointer du doigt le mouvement des « Gilets jaunes ».
Rappelons qu’aucun des actes antisémites récents : cimetières profanés, boîtes à lettres taguées de croix gammées recouvrant le visage de Simone Veil, inscription « Juden » sur un commerce, agression d’Alain Finkelkraut, n’a le moindre rapport avec le mouvement.
Ce qu’ont bien compris Finkelkraut lui-même, qui le dit haut et fort, mais aussi des personnes comme Pierre Weil, qui dénonce la manifestation de mardi comme une « mascarade », ou encore Gilles-William Goldnadel.
La gauche qui est à l’origine de ces manifestations et les partis politiques qui se sont associés refusent de voir l’origine de ce nouvel antisémitisme, pire, ils feignent d’y voir une résurgence des années 30, tout en essayant d’y associer le mouvement des Gilets jaunes pour le salir.
De tels amalgames sont scandaleux et nous espérons au moins que localement les coupables seront retrouvés. Et nous verrons si leur identité sera dévoilée ainsi que leurs motivations.

Incendies volontaires à Blois : nous avions raison d’alerter.

50881540_2621661361207613_6112952430419247104_nVoitures brûlées en Vienne fin janvier 2019.
On nous reprochait de trop parler de la délinquance à Blois et en partie des incendies volontaires qui se répètent trop souvent dans certains quartiers.

Reproche qui nous a été fait y compris au conseil municipal.
Nous avions pourtant raison de nous inquiéter.
Après une recrudescence d’incendies (conteneurs, voitures, poubelles) ces derniers jours, la Police renforce son dispositif de surveillance et la Nouvelle République y consacre aujourd’hui (22/02/2019) un long article.
Alors que les feux de voitures y sont ordinairement en quelques lignes, où l’on apprend simplement que le feu a été éteint avec « une lance à débit variable » (!) sans autre précision sur les causes possibles de l’incendie.
Aujourd’hui encore, la NR rend compte en 6 petites lignes de l’incendie de deux voitures à Montoire dans la nuit de mercredi à jeudi, mais rien n’indique s’il s’agit où non d’incendies volontaires.
Nous avons déjà consacré quatre article à ce sujet depuis le début de l’année, en insistant sur les risques et sur les conséquences pour les victimes.
Lundi soir dans la rue du Pré-Rocheron en Vienne, deux voitures ont été incendiées à l’intérieur du garage d’un petit immeuble d’habitation, ce qui aurait pu se finir par un drame.
Nous appelons par conséquent tous nos concitoyens à la vigilance.
En cas de comportement suspect, ils peuvent rapidement contacter la Police ou la Gendarmerie.
Rappelons que dans tous les cas d’urgence, appelez immédiatement par téléphone le 17 ou le 112.
Et ensuite appelez le Rassemblement national au 02 54 42 12 17 !

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Blois : contre l’antisémitisme les partis politiques ne mobilisent pas.

CIMG Blois avec GricourtMarc Gricourt et Pierre Boisseau à Blois aux côté des représentants de « Milli Görüs » en décembre 2015. Une confédération islamiste radicale d’où est issu l’agresseur d’Alain Finkelkraut.
A la suite de plusieurs actes commis en marge de manifestations des « Gilets jaunes » à Paris, un certains nombre de partis politiques ont pris l’initiative d’organiser des manifestations contre l’antisémitisme un peu partout en France le 19 février.

L’agression contre la philosophe Alain Finkelkraut samedi dernier a renforcé encore l’indignation des Français contre ces comportements, qui auraient dû entraîner une réaction populaire de grande ampleur.
Malheureusement le sens donné à cet appel n’a pas favorisé la mobilisation espérée.
Comme le souligne Alain Finkelkraut lui-même, les partis politiques signataires de cet appel ce trompent de cible. Chacun pour des raisons diverses préférant évoqué « le bon vieil antisémitisme » c’est à dire venant d’un extrême-droite fantasmée, alors que selon le philosophe, la menace vient du « puissant courant antisémite issu du salafisme et de son terreau, les banlieues. »
Une réalité que les partis signataires refusent de voir, car elle va à l’encontre de leur analyse politique et surtout les renvoie à leurs propres responsabilités.
En lire plus …

La Région Centre-Val de Loire au secours des « migrants » : seul le Rassemblement national ose dire non !

CPR 2019-02-08Les élus du Rassemblement national préparent la Commission permanente.
Seulement 48 rapports ce matin à la commission permanente du conseil régional Centre-Val de Loire, bouclée en un peu plus d’une heure.

Les élus du groupe Rassemblement national sont intervenus sur plusieurs dossiers : développement économique, lycées, aménagement du territoire, enseignement supérieur, coopération décentralisée, formation professionnelle.
Mais il y avait un dossier sensible et hautement symbolique : l’adhésion de la Région à une association de soutien aux « migrants », ANVITA, présidée par le maire (EELV) de Grande-Synthe.
Michel Chassier a dénoncé une démarche politique puisque l’association a pour but de  » soutenir, accompagner, impulser, organiser des actions de soutien aux migrants avec les acteurs dans leur grande diversité « .
L’élu RN souligne également que l’emploi du terme de « migrants », volontairement flou,  vise à nous faire accepter l’immigration clandestine, puisque le terme de « migrant » peut désigner en Europe toute personne qui a franchi nos frontières, et souvent même plusieurs frontières, légalement ou non, et qui prétend y résider.
Il dénonce « la nébuleuse de structures qui permet de relayer l’action politique de partis, souvent en manque d’électeurs, qui trouvent ainsi le moyen de faire vivre un certain nombre de permanents politiques, financés par l’argent public. »
Et bien évidemment le groupe RN a voté résolument contre cette adhésion.
Lire le communiqué sur le site du groupe RN Centre Val de Loire.
Nous attendions une réaction de Guillaume Peltier, chantre de la « droite forte », sur ce sujet. Mais ce fut le silence radio, d’ailleurs le président du groupe UDC (Union de la Droite et du Centre) n’est pas intervenu une seule fois durant cette commission permanente.
Tout juste s’est-il abstenu à titre personnel sur ce dossier sensible, son groupe ayant une fois plus voté tous les rapports avec la majorité.

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Blois Vienne : 3 voitures incendiées cette nuit.

50881540_2621661361207613_6112952430419247104_nC’est un riverain écoeuré qui nous transmet l’information et nous envoie cette photo.
Hier soir vers 23 h 00 sur un petit parking de la rue des Métairies à Blois Vienne 3 voitures ont été incendiées.
Le lieu est bien connu des  » initiés  » et des riverains pour son trafic de drogue…
Sans doute le prix à payer pour la « paix sociale » dans certains quartiers.
Mais en Vienne comme ailleurs les habitants sont excédés par cette délinquance et tout ce qu’elle entraîne.
Encore une fois nous espérons que les auteurs de ces incendies criminels seront identifiés, interpellés et condamnés comme il se doit.
C’est malheureusement assez rare, et quoi qu’il en soit, on sait que les victimes seront très mal indemnisées.
Il est vrai que M. Castaner a d’autres priorités.

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La série continue : encore une voiture incendiée à la ZUP de Blois

Voiture-brulée-émeute(image d’illustration).
Dans la nuit de samedi à dimanche, une voiture a été incendiée rue Jean-Baptiste Charcot à la ZUP de Blois, vers 1 h 30 du matin (la Nouvelle République).

C’est un secteur régulièrement par ce genre d’incendie criminel.
Déjà dans la nuit de mercredi à jeudi 4 véhicules avaient été touchés rue Apell.
Jusqu’à quand les Blésois vont-ils subir cette délinquance ?

Grand Paris : soupçons de fraude sur les marchés.

GPE illustrationLe Parquet national financier a ouvert une enquête préliminaire sur les marchés du Grand Paris express pour soupçons de favoritisme. Cette décision intervient près d’un an après les avertissements de la Cour des comptes sur des dérives de coûts et des « procédures de passation de marchés inégalement respectées« . (source Batiactu 24/01/2019)
La Cour des comptes avait dressé en décembre 2017 un rapport critique faisant état de la dérive budgétaire du Grand Paris express, avec des « coûts prévisionnels » qui « n’ont cessé de dériver« , passant de 20 à 38 milliards d’euros,  et « d’une rigueur insuffisante dans la gestion des marchés« , de la part de la Société du Grand Paris.
Sur les 770 marchés notifiés du 1er janvier 2010 au 31 décembre 2016, la juridiction de la rue Cambon s’était focalisée sur 65 dossiers qui « témoignent en général d’une rigueur dans le respect des procédures de passation« . Elle note cependant certains marchés pour lesquels « les procédures et les grands principes de mise en concurrence n’avaient pas été respectés » entre offre qui aurait dû être « rejetée pour irrecevabilité » et modification des modalités de calcul des offres financières impactant « l’ordre de sélection des candidats » (*).
Elle alertait également sur 164 marchés conclus « sans publicité ni mise en concurrence » ou encore le rôle simplement « consultatif » de la commission d’examen des offres (CEO) qui ne permet « pas de disposer d’une assurance externe suffisante sur la régularité et les conditions d’attribution des marchés, l’équilibre concurrentiel et la préservation des intérêts économiques de la SGP« .
Des accusations assez lourdes, qui portent sur une période ou Maurice Leroy a été en charge du Grand Paris. Même s’il n’est pas impliqué directement dans ces procédures de marchés, il était censé exercer un contrôle, voire le pilotage du projet.
On ne peut pas dire qu’il a été très efficace dans l’exercice de sa mission.
Quand on sait qu’il va s’occuper désormais du « Grand Moscou », un projet au budget 10 fois plus important, il y a de quoi être dubitatif…

(*) une observation similaire avait été faite par la Chambre Régionale des Comptes du Centre (Avis n° 96-03355 du 16 juillet 1996) au sujet du marché de l’usine d’incinération de Valéco : « La chambre constate en outre que « le Comité du syndicat ne s’est pas prononcé sur la nature et les conditions financières de l’intervention des services techniques de la Ville de BLOIS ». Intervention dont le seul but était de modifier le classement des offres reçues, au profit de la Lyonnaise. Les dispositions en matière d’entretien et de réparation portent « atteinte au principe d’égalité d’accès des concurrents à la gestion déléguée décidée par le syndicat »,

Nouveaux incendies de voitures à Blois et à Theillay.

voituresbrules3.jpg(image d’illustration)
Il est toujours difficile de connaître les chiffres exacts des incendies de voitures à Blois comme ailleurs.

Tout juste sait-on officieusement que plus de 1000 voitures ont brûlé dans la nuit de la Saint Sylvestre. Mais les médias préfèrent passer en boucle les voitures brûlées à la fin des manifestations de gilets jaunes à Paris, en oubliant de dire que ce sont des casseurs d’extrême gauche qui viennent profiter de l’occasion. Pour le plus grand bénéfice du gouvernement.
A Blois c’est la même chose : les chiffres de 2018 n’ont toujours pas été publiés.
Pourtant la presse locale se fait régulièrement l’écho de ces incendies de voitures.
Dernière épisode en date mercredi soir, avec 3 véhicules incendiés vers 21 h 30 rue Appell, tout près de la ZUP de Blois (2 voitures un fourgon incendiés, une autre voiture partiellement touchée), puis vers 0 h 40 rue Bertheau en Vienne (la Nouvelle République du 25/01/2019).
4 véhicules brûlés dans la même nuit, cela commence à faire beaucoup. La Police a ouvert une enquête.
Durant la même nuit une voiture, dont les plaques d’immatriculation avait été préalablement retirées, a été incendiée à Theillay.
Mais à part ça, madame la Marquise… tout va très bien, tout va très bien !

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Joué-les-Tours : encore 5 véhicules brûlés, la guérilla urbaine continue.

DvW9fZ4XcAEW0piVoitures incendiées à la Rabière (image d’archives).
La série continue à Joué les Tours. Après les incendies de voitures de début novembre ou ceux de la nuit de Noël, cinq véhicules ont brûlé ce samedi soir.

Sans couverture médiatique. On préfère montrer les véhicules enflammés par des casseurs en marge des manifestations des gilets jaunes pour les discréditer, mais silence radio au contraire sur les 1030 véhicules incendiés la nuit de la Saint Sylvestre.
Le haineux Castaner est aussi un incapable, il n’a même pas le courage de dénoncer cette violence quotidienne qui touche en France des centaines de quartiers pourtant dits « prioritaires » et arrosés de subventions.
A Blois aussi des véhicules brûlent régulièrement sans que cela provoque la moindre réaction.
La maire de Joué les Tours avait institué un couvre-feu pour les mineurs de moins de 17 ans jusqu’au 24 janvier, leur interdisant toute sortie seuls de 22h à 6h.
Mais les renforts de CRS déployés après les incidents du 25 décembre ont quitté la Rabière depuis la nuit du 2 au 3 janvier. Seule la police patrouille donc dans le quartier ces derniers jours pour en assurer la sécurité. Et le couvre-feu n’empêche pas les voitures de brûler.
« Pour une raison non déterminée » ajoute Info-Tours. Tout le monde aura compris.

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Loir et Cher : la guerre contre les radars automatiques continue.

radar peint en rose(image d’archives)
La décision gouvernementale de limiter le vitesse à 80 km/h sur les routes ne passe toujours pas.
Cette mesure qui ne repose sur aucune base sérieuse et qui n’apporte rien à la sécurité routière a sans doute été la mesure de trop contre les automobilistes.
Nous l’avons souvent répété, la sécurité routière est d’abord une affaire de comportement. On le voit bien avec les exemples allemand (100 km/h sur route) et anglais (96 km/h) : ces deux pays comptent moins de victimes de la route qu’en France, avec 39 décès par million d’habitants et par en an en Allemagne, 28 décès au Royaume Uni, contre 54 en France (chiffres de 2016).
Du coup les automobilistes ont l’impression de se faire rançonner, et les mouvements de mauvaise humeur se sont multipliés depuis le début de l’année. En septembre dernier, avant le début du mouvement des « gilets jaunes », les dégradations de radars  se multipliaient déjà.
La Nouvelle République revient aujourd’hui sur le sujet, sans faire un bilan complet, car la Préfecture ne veut pas communiquer les chiffres, mais le phénomène a pris de l’ampleur, comme partout en France.
Le gouvernement va-t-il comprendre enfin la leçon et revenir sur une mesure que même Macron considère comme une « connerie » ?
Pour le moment il n’en est pas question. Chacun campe sur ses positions. Jusqu’à quand ?

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Blois : une conductrice de bus voilée.

bus(image d’archives)
C’est un usager du réseau urbain Azalys qui nous interpelle : « est-ce légal qu’une conductrice de bus d’Azalys porte le voile pendant son service et passe des appels téléphoniques avec une oreillette ?« .

Les faits ont été observés ce mercredi 26 décembre dans un bus de l’Agglo.
Nous poseront la question à son Président, Christophe Degruelle ainsi qu’au directeur de l’entreprise Kéolis qui gère le réseau.

Mise à jour le 12 janvier : la personne qui signe ses commentaires  « Fréd O. »  et se présente comme proche de « Christophe » (Degruelle) n’est pas Frédéric Orain, le Premier Secrétaire du PS en Loir et Cher qui nous le confirme (voir fil des commentaires).
Il s’agit donc de quelqu’un qui sous couvert d’anonymat a cherché à semer le doute.

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Un clandestin multirécidiviste à nouveau condamné à Blois. Mais que faut-il encore en France ?

expulsion délinquants étangersUn ancien combattant rappelle à Macron sa promesse non tenue.
Une fois encore la chronique judiciaire nous apprend qu’un homme de 40 ans, « originaire de la Côte d’Ivoire et en situation irrégulière » était jugé en appel à Orléans (la Nouvelle République du 24/11/2018).

L’individu, une certain Lenace, avait été condamné pour outrages et menaces à l’encontre d’un surveillant de prison à Blois, pour des insultes au personnel des urgences de l’hôpital de Vendôme, ainsi que pour une tentative de fuite lors d’un contrôle alors qu’il conduisait sans permis.
On apprend au passage que le sieur Lenace collectionne déjà 23 mentions à son casier judiciaire !
Cela pose bien sûr plusieurs questions.
D’abord comment se fait-il qu’un étranger en situation irrégulière soit toujours en France après une telle série de condamnations ?
Depuis combien de temps est-il sur notre sol en situation irrégulière ? De quoi vit-il ? Qui a payé les frais d’un appel, alors que de nombreux justiciables français renoncent  parfois à se défendre car ils n’en ont pas les moyens ?
Qui va payer les frais de procédure s’il n’est pas solvable ?
Enfin, suite à cette enième condamnation, va-t-il enfin faire l’objet d’une expulsion du territoire français ?
Macron avait promis il y a un an que tous les « étrangers en situation irrégulière » qui commettent un délit « quel qu’il soit seront expulsés » de France, promettant d’être « intraitable sur ce sujet« .
Encore une promesse non tenue…

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Onze voitures brûlées à Saint Sulpice de Pommeray.

Voiture bruléeImage d’illustration.
C’est par quelques lignes que la Nouvelle République (22/11/2018) relate l’incendie de 11 véhicules sur le parking d’un garage à Saint Sulpice de Pommeray, tout près de Blois.
Les sapeurs pompiers sont intervenus dans la nuit de mardi à mercredi vers 23 h 30 pour circonscrire le sinistre.
La gendarmerie enquête, mais  à priori l’incendie semble suspect.

 

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Blois : violente bagarre devant le collège des Provinces.

Collège provinces BloisLa nouvelle n’avait pas filtré jusqu’ici, c’est la Nouvelle République qui publie l’information ce matin (20/11/2018).
Les faits remontent à jeudi dernier. Un groupe de 5 à 7 « jeunes » issus d’un autre établissement est venu attaquer des élèves à la sortie du collège des Provinces.
Trois élèves ont été blessés dont un sérieusement.
L’origine de cette rixe serait à rechercher sur les réseaux sociaux.
La Police enquête pour identifier les agresseurs, mais en attendant ce type de bagarre montre que Blois est à son tour gagné par ce phénomène de règlements de comptes violents à proximité des établissements scolaires.
Mais l’équipe municipale actuelle semble ne pas bien mesurer à quel point la situation est en train de se dégrader.

Mise à jour : un correspondant nous parle d’une vingtaine de personnes avec des couteaux, battes etc… et d’une deuxième bagarre. Mais devant le silence des médias, difficile d’avoir confirmation pour le moment.

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Blois : voiture brûlée allée des Platanes.

rue des PeupliersUn quartier calme en apparence (ici rue des Peupliers) mais victime de la délinquance.
Une voiture a été incendiée dans la nuit de samedi à dimanche allée des Platanes à Blois, dans le quartier des Allées.

C’est un secteur où les habitants sont régulièrement victimes de ces actes de délinquance.
On ne dira jamais assez le préjudice que représente ces incendies de voitures pour des propriétaires souvent modestes qui en ont besoin pour leurs déplacements quotidiens, et qui souvent n’ont pas les moyens d’en acheter une autre immédiatement.

11 novembre à Blois : un hommage et quelques couacs.

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Les élus du Rassemblement national ont brièvement quitté la cérémonie pendant la « chanson de Craonne ».
A l’occasion du Centenaire, les cérémonies du 11 novembre à Blois ont pris une ampleur particulière, mais il faut le dire avec quelques couacs.
Tout d’abord l’idée de scinder la cérémonie en deux parties, la 1ère à 9 heures devant le monument aux Morts, mais sans l’Armée, la seconde à 11 heures 20 dans les jardins de l’Evêché pour la prise d’armes traditionnelle où cette fois, à côté du détachement du DA 273, il y avait l’équipage du sous-marin nucléaire lanceur d’engins le Terrible ainsi qu’un important détachement de la Gendarmerie nationale. L’ampleur du dispositif ne pouvait pas prendre place entre la Préfecture et le monument aux Morts, puisque comme chaque année à cette époque la place de la République est occupée par les barnums de BD Boum. L’inconvénient c’est que la cérémonie était coupée en deux. De plus entre les deux parties venaient s’intercaler, au même moment une cérémonie ‘interconfessionnelle » à la Cathédrale et une cérémonie civile à la mairie, obligeant le cortège à se scinder en deux place Saint Louis, ce qui n’est pas une symbolique très heureuse.
Sur le fond nous avons eu droit au discours de M. Macron, lu par le Préfet de Loir et Cher. Un discours qui glisse de l’hommage à un  plaidoyer pour l’Europe et pour la paix, sans tirer le leçon de l’après-guerre, sans oublier quelques attaques contre les défenseurs de la Nation. Comme un parfum de pré-campagne des européennes. Ensuite, les élèves d’une classe de 3ème du Collège Bégon ont interprété la « chanson de Craonne ». Cette chanson politiquement engagée (à l’extrême-gauche) fustige « Les gros », « ceux qu’ont le pognon » et « les biens de ces messieurs là », et incite  à la mutinerie (« c’est fini, nous, les troufions, on va se mettre en grève »).
En lire plus …

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Blois : le Rassemblement national fête le centenaire de la victoire.

10-11-2018 Blois_1Samedi 10 novembre à Blois le Rassemblement national célébrait le centenaire de la victoire.
Autour des élus régionaux Michel Chassier et Mathilde Paris, de Jean Yves Narquin maire de Villedieu le Château, une quarantaine d’adhérents et sympathisants avaient répondu présent pour partager un repas convivial dans une ambiance rappelant le souvenir des « poilus » : vidéos, chansons, exposition de photos envoyées par nos amis.
A 15 heures, le discours de marine Le Pen était retransmis depuis Verdun, vous pourrez le retrouver sur les réseaux sociaux.
Un moment de cohésion, de communion dans l’amour de la patrie et l’hommage à nos anciens qui ont combattu pour notre liberté.
Dans son intervention avant le discours de Marine, Michel Chassier a rappelé que nous leur devons de poursuivre le combat pour que la France pour laquelle ils se sont sacrifiés ne soit pas demain asservie à nouveau par un ennemi insidieux qui bénéficie hélas de la complicité de nos gouvernants.
Demain 114 novembre nous serons présents dans toutes les cérémonies du département.

Brahim Mokaddem condamné à 15 ans de prison pour une tentative de meurtre sur un gendarme.

Voiture gendarmerie(image d’illustration)
« Condamné pour tentative de meurtre sur un gendarme » titre la Nouvelle République du 8/11, « Un Orléanais condamné à quinze ans de réclusion pour une tentative de meurtre sur un gendarme » titre la République du Centre le même jour.

Cet Orlénais s’appelle Brahim Mokaddem, un homme de 32 ans qui, le 1er juillet 2015, avait foncé sur des gendarmes en intervention sur l’autoroute A 10, à la hauteur de Mer (Loir-et-Cher).
Ce soir-là, vers 20 heures, les militaires sécurisaient le trafic des véhicules, alors que des pompiers étaient occupés à éteindre un feu de broussailles en bordure de l’autoroute. Leur véhicule était stationné sur la bande d’arrêt d’urgence, gyrophare allumé, en plus des véhicules d’intervention de l’autoroute qui signalaient l’incident en amont. Les gendarmes faisaient signe aux automobilistes de se déporter sur la voie de gauche, lorsqu’une Twingo a foncé sur eux.
Deux gendarmes ont eu le temps de s’écarter à temps pour éviter d’être heurtés, l’un sautant dans le fossé, avant que la voiture folle ne vienne s’encastrer dans le véhicule où se trouvait une femme gendarme, qui a été touchée aux cervicales.
Le conducteur prétexte un malaise, mais les témoignages des militaires le contredisent.
A l’audience le prévenu n’hésite pas à interrompre les dépositions des gendarmes, à tel point que la présidente doit le faire évacuer temporairement.
Pour le procureur, il n’y a pas de doutes, « ils n’ont pas été visés en tant que personnes, mais parce qu’ils sont militaires de la gendarmerie. » Il réclame 20 ans de détention.
On pourrait ajouter que ce type de comportement n’est pas anodin en 2015, même si l’accusé se garde bien de revendiquer son acte.
Au final, il est condamné à 15 ans de réclusion criminelle.

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Mer et la petite Beauce : une insécurité au quotidien.

Gendarmerie MerL’insécurité, le saccage des équipements publics, les dégradations sur les propriétés et les biens privés, les vols, les incivilités ne sont pas l’apanage des grandes villes.
Nouvel exemple à Mer ou 14 véhicules ont été l’objet de vols à la roulotte et dégradés (la Nouvelle République du 7/11/2018).
Mardi la Gendarmerie a fait distribuer un appel à témoin dans les boîtes aux lettres.
Espérons que les coupables soient et identifiés et les victimes indemnisées.
Le phénomène touche aussi les communes de la petite Beauce.
A tel point que Maves, 660 habitants, va bientôt installer 9 caméras pour améliorer la sécurité des personnes et notamment des biens municipaux qui sont régulièrement vandalisés et font l’objet de dégradations et vols…
Les élus Mérois du Rassemblement national expriment leur soutien aux victimes et demandent au Préfet de Loir de Loir et Cher que les forces de l’ordre disposent des moyens nécessaires pour mener leur mission de protection des populations.
Cela nous semble plus urgent pour nos compatriotes que l’accueil des migrants.  

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