Les élus du Rassemblement national ont brièvement quitté la cérémonie pendant la « chanson de Craonne ».
A l’occasion du Centenaire, les cérémonies du 11 novembre à Blois ont pris une ampleur particulière, mais il faut le dire avec quelques couacs. Tout d’abord l’idée de scinder la cérémonie en deux parties, la 1ère à 9 heures devant le monument aux Morts, mais sans l’Armée, la seconde à 11 heures 20 dans les jardins de l’Evêché pour la prise d’armes traditionnelle où cette fois, à côté du détachement du DA 273, il y avait l’équipage du sous-marin nucléaire lanceur d’engins le Terrible ainsi qu’un important détachement de la Gendarmerie nationale. L’ampleur du dispositif ne pouvait pas prendre place entre la Préfecture et le monument aux Morts, puisque comme chaque année à cette époque la place de la République est occupée par les barnums de BD Boum. L’inconvénient c’est que la cérémonie était coupée en deux. De plus entre les deux parties venaient s’intercaler, au même moment une cérémonie ‘interconfessionnelle » à la Cathédrale et une cérémonie civile à la mairie, obligeant le cortège à se scinder en deux place Saint Louis, ce qui n’est pas une symbolique très heureuse.
Sur le fond nous avons eu droit au discours de M. Macron, lu par le Préfet de Loir et Cher. Un discours qui glisse de l’hommage à un plaidoyer pour l’Europe et pour la paix, sans tirer le leçon de l’après-guerre, sans oublier quelques attaques contre les défenseurs de la Nation. Comme un parfum de pré-campagne des européennes. Ensuite, les élèves d’une classe de 3ème du Collège Bégon ont interprété la « chanson de Craonne ». Cette chanson politiquement engagée (à l’extrême-gauche) fustige « Les gros », « ceux qu’ont le pognon » et « les biens de ces messieurs là », et incite à la mutinerie (« c’est fini, nous, les troufions, on va se mettre en grève »).
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11 novembre à Blois : un hommage et quelques couacs.
Blois : le Rassemblement national fête le centenaire de la victoire.
Samedi 10 novembre à Blois le Rassemblement national célébrait le centenaire de la victoire.
Autour des élus régionaux Michel Chassier et Mathilde Paris, de Jean Yves Narquin maire de Villedieu le Château, une quarantaine d’adhérents et sympathisants avaient répondu présent pour partager un repas convivial dans une ambiance rappelant le souvenir des « poilus » : vidéos, chansons, exposition de photos envoyées par nos amis.
A 15 heures, le discours de marine Le Pen était retransmis depuis Verdun, vous pourrez le retrouver sur les réseaux sociaux.
Un moment de cohésion, de communion dans l’amour de la patrie et l’hommage à nos anciens qui ont combattu pour notre liberté.
Dans son intervention avant le discours de Marine, Michel Chassier a rappelé que nous leur devons de poursuivre le combat pour que la France pour laquelle ils se sont sacrifiés ne soit pas demain asservie à nouveau par un ennemi insidieux qui bénéficie hélas de la complicité de nos gouvernants.
Demain 114 novembre nous serons présents dans toutes les cérémonies du département.
Centenaire de la victoire de 1918 : rendez-vous à Blois le 10 novembre.
« Cent ans après la victoire de la France et de ses alliés, mettant un terme à la Grande Guerre en 1918, notre famille politique a à cœur d’honorer la mémoire du soldat français qui se sacrifia pour défendre notre drapeau et l’intégrité de notre territoire, et la mémoire du peuple français tout entier uni dans les pires circonstances. » Marine Le Pen
Alors que Macron refuse de fêter dignement la victoire de 1918, le Rassemblement national appelle tous les Français a participer nombreux aux commémorations du 11 novembre.
Nos élus seront présents dans leur communes respectives, soyez nombreux à leurs côtés, avec vos enfants car il est important de leur faire partager ce moment historique.
Le 10 novembre Marine Le Pen sera a Verdun pour un grand banquet patriotique afin de rendre hommage à tous les combattants, ceux qui sont tombés et aussi tous eux qui ont été marqués à vie par cette épreuve
La Fédération de Loir et Cher organise également une journée d’hommage à Blois, avec un repas et la retransmission vidéo sur grand écran de la cérémonie de Verdun et du discours de Marine.
Venez nombreux, en famille, avec vos amis pour cet après-midi d’hommage à nos poilus. Attention : nombre de places limité, inscription obligatoire. Vous pouvez demander l’invitation à contact@rassemblement-national41.fr
La Nouvelle République veut encore politiser la fête de Jeanne d’Arc.
Non le FN ne privatise pas Jeanne d’Arc, il organise l’hommage officiel abandonné par les autorités. C’est la NR qui politise l’événement.
La Nouvelle République rend compte aujourd’hui de l’hommage à Jeanne d’Arc hier à Blois.
Mais la teneur des propos de Michel Chassier lors son allocution, pas plus que les réponses apportées au journalistes ne sont pris en compte.
L’article n’est en réalité qu’un prétexte pour ressortir contre le Front National l’éternelle accusation d’avoir « récupéré » Jeanne d’Arc.
Au prix de quelques accommodements avec la réalité.
D’abord sur la date de la Fête de Jeanne d’Arc. Il faut savoir, et cela a été rappelé hier, qu’il s’agit d’une cérémonie patriotique officielle de la République française, instituée le 24 juin 1920 par un vote unanime de l’Assemblée nationale, et qu’elle se tient depuis lors partout en France le 2ème dimanche de mai.
A l’exception de la Ville d’Orléans, qui fête sa libération par Jeanne le 8 mai.
Quant à la récupération, nous avons toujours dit que nous étions prêts à laisser aux autorités locales le soin d’organiser la cérémonie.
Or une fois de plus ni le Maire, ni le Préfet, ni le Conseil départemental, ni le Conseil régional, ni les parlementaires, ni les autorités militaires et ecclésiastiques n’étaient présentes ou représentées.
Par conséquent nous n’avons aucunement « récupéré » et encore moins « privatisé » cette fête, comme le dit la NR, ce sont les autorités de la République qui l’ont sciemment abandonnée.
L’article revient aussi sur l’historique des célébrations organisées par le FN.
En 1988, entre les deux tours de la présidentielle, il avait été décidé de regrouper la Fête de Jeanne d’Arc avec la Fête de travail à l’occasion d’un défilé à Paris.
Aujourd’hui les choses ont évolué en raison des difficultés de l’organisation d’une telle manifestations à Paris.
Cela étant, la Fédération de Loir et Cher a toujours maintenu une célébration à Blois à la date inscrite dans le calendrier officiel.
Et contrairement à ce qui est écrit dans l’article de la NR, nous n’avons pas « changé de ton ».
Régulièrement nous avons invité le maire de Blois à organiser ou au moins à participer à cette cérémonie.
Y compris lorsque le maire de Blois était Jack Lang, qui a toujours décliné l’invitation.
Nicolas Perruchot avait toutefois fait déposer une gerbe une fois au cours de son mandat.
Marc Gricourt n’a jamais donné suite.
Et si Marine Le Pen avait critiqué Nicolas Sarközy en 2012, c’est qu’elle considérait à juste titre ce dernier illégitime pour fêter cette héroïne, alors qu’il avait abdiqué la souveraineté de la France au mépris du choix des Français lors du référendum de 2005.
Enfin, pour en finir avec la récupération, que dire de M. Macron, qui a récupéré à son profit et pour sa propre promotion le Fête de Jeanne d’Arc à Orléans le 8 mai 2016, préparant déjà sa campagne présidentielle.
Pour notre part aucune ambiguïté, nous célébrerons Jeanne à nouveau à Blois en 2019, ce sera le dimanche 12 mai.
En espérant que les autorités se réveillent et prennent l’initiative d’organiser cette célébration, en présence des corps constitués et avec la participation des troupes et de l’harmonie municipale.
Blois : hommage à Jeanne d’Arc.
Cela fait plus de 20 ans que nous célébrons à Blois la fête de Jeanne d’Arc, instituée en 1920 par un vote solennel de l’Assemblée nationale.
Curieusement tous ceux qui parlent de « mémoire » semblent l’avoir oublié.
Certains parlent de récupération, mais nous sommes prêts à leur laisser le soin d’organiser la cérémonie.
Or une fois de plus ni le Maire, ni le Préfet, ni le Conseil départemental, ni le Conseil régional n’étaient représentés.
Seuls les élus du Front National ont répondu présent : Michel Chassier président du groupe FN Centre-Val de Loire, conseiller municipal et communautaire de Blois, Jean-Louis Berger conseiller municipal et communautaire de Blois, Renaud Grazioli conseiller municipal de Vendôme, Olivier Besnard conseiller municipal et communautaire de Mer et Gilles Godefroy, conseiller régional d’Indre et Loire, conseiller municipal de Tours.
Dans son discours d’hommage à Jeanne d’Arc, Michel Chassier a rappelé le sens de cette cérémonie et déploré que l’histoire de France soit à ce point malmenée dans les programmes ( Discours Jeanne d’Arc 2018).
Une minute de silence a été observée en mémoire à tous ceux qui morts pour la France, avec une pensée particulière cette année pour Pierre de Saint Céran qui avait longtemps organisé cette cérémonie blésoise.
Les participants se sont ensuite retrouvés pour un verre de l’amitié à notre permanence salle du Bourg Saint Jean et par un repas convivial.
Châteauvieux : le Préfet rend hommage aux résistants du temps présent.
Pierre de Saint Céran lors d’un hommage à Jeanne d’Arc avec le Front National à Blois. Une vie de résistance au service de la France.
A l’occasion de la commémoration annuelle de l’arrestation de six résistants de la commune, dont cinq sont décédés dans les camps et le dernier deux mois après son retour, le Préfet de Loir et Cher a rendu hommage à « ces hommes qui on fait le sacrifice de leur vie pour la patrie » (la Nouvelle République du 5 mai 2018).
Comme leurs aînés de 1914-18, ces résistants de la dernière guerre mondiale sont morts pour la France et reposent au carré militaire du cimetière de Châteauvieux.
Il est bon que le souvenir de leur héroïsme soit transmis aux jeunes générations à qui l’on enseigne le mépris de la Nation, au profit d’une illusoire citoyenneté européenne voire mondiale, assortis d’une repentance prélude à la soumission.
Aujourd’hui ceux qui résistent, ceux qui défendent leur pays menacé par la submersion migratoire, qui se battent pour conserver son indépendance et sa souveraineté sont au contraire montrés du doigt, dénigrés par les médias, qualifiés de dangereux nationalistes.
Ils sont parfois menacés physiquement, certains risquent leur emploi, leurs réunions et leurs locaux sont régulièrement attaqués par des milices d’extrême-gauche qui ne sont jamais inquiétées.
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Bourges : des islamistes refusent de serrer la main de la Préfète lors de l’hommage au Colonel Beltrame.
Hommage au Colonel Beltrame à Bourges le 28 mars à la caserne de Gendarmerie.
Communiqué de Julie APRICENA, Secrétaire Départementale FNJ du CHER, membre du Bureau National du Front National de la Jeunesse.
« Mercredi 28 mars 2018, alors que sur l’ensemble du territoire les Français étaient rassemblés afin d’honorer le héros qu’est le Colonel Arnaud BELTRAME, un incident loin d’être anodin s’est produit à Bourges.
En effet, alors que les autorités du département du Cher rendaient les hommages au sein de la caserne du Groupement de Gendarmerie, deux représentants d’une association communautariste musulmane conviés à l’événement ont refusé de serrer la main de la Préfète sous prétexte qu’elle est une femme.
Le Front National de la Jeunesse condamne ces pratiques rétrogrades et contraires aux valeurs de la France, qui plus est dans un instant d’union nationale en la mémoire du héros Arnaud Beltrame.
La femme française est l’égale de l’homme et ne subira jamais les lois d’un quelconque rigorisme religieux. »
Nous regrettons également que presque partout en France il n’y ait eu que des cérémonies privées dans les Préfectures et les Gendameries. Aujourd’hui à Carcassonne une marche blanche en hommage à toutes les victimes de Trèves a été interdite par la Préfecture de l’Aude pour des raisons de sécurité.
M. Macron serait-il terrorisé à ce point ?
5 décembre : honneur aux combattants, non à la repentance.
La cérémonie de commémoration pour la journée nationale d’hommage aux morts pour la France pendant la guerre d’Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie a été institue en 2002, pour répondre à la demande de nombreuses associations qui refusaient de commémorer la fin de la guerre d’Algérie le 19 mars, date anniversaire des accords d’Evian, qui ne signifiait pas la fin des hostilités, puisque les massacres les plus abominables ont été commis par le FLN et ses alliés après le 5 juillet 1962, alors que les troupes françaises avaient reçu l’ordre de rester l’arme au pied.
A Blois, la municipalité de gauche est tenue d’organiser cette cérémonie, même si ce n’est pas de gaieté de coeur, et le Maire y était présent.
Toutefois il a laissé à son 10ème adjoint, Pierre Boisseau, le soin de prononcer le discours à la mairie.
On a pu remarquer toutefois que Marc Gricourt était présent à ses côtés, semblant le surveiller d’un oeil un peu inquiet de crainte d’un « dérapage » ou d’une parole malheureuse.
On peut regretter que le Conseil régional n’ait pas été représenté officiellement, puisque Marc Gricourt était là en tant que maire de Blois et portait l’écharpe correspondant à sa fonction. D’autant plus que Michel Chassier, conseiller régional de Loir et Cher était bien présent. Par respect du protocole il aurait dû être associé aux personnalités en tant que représentant du Conseil régional.
Pas l’ombre d’un parlementaire non plus à cette cérémonie.
Sur le plan pratique, la présence de la structure mobile au milieu de la place de la République à cette époque de l’année ne permet pas un dépôt de gerbe sur le monument érigé à la mémoire des combattants d’AFN, situé de l’autre côté du square. Dommage.
A notre la présence en nombre des combattants de l’Union Nationale des Parachutistes, qui ont défilé jusqu’à la mairie en chantant le fameux « Debout les paras« .
Par ailleurs on peut regretter que M. Macron ait choisi cette date pour une visite « amicale » en Algérie, où il a confirmé ses propos scandaleux du mois de février dernier, accusant alors la France, et donc son armée, de « crimes contre l’humanité ». Tout en disant qu’il n’était pas dans une attitude de repentance.
Anciens combattants : les insultes de Macron ne passent pas.
Lors de l’assemblée générale de la Fédération nationale des combattants volontaires ce week-end à Saint Gervais, les anciens combattants ont rappelé leur ferme condamnation des propos d’Emmanuel Macron qui avait osé qualifier, devant de hauts dirigeants algériens, la colonisation de « crime contre l’humanité » (la Nouvelle République du 13/03/2017).
Une énormité qui démontre pour le moins l’ignorance crasse de ce petit personnage, ainsi que sa disposition à s’abaisser devant un gouvernement ouvertement hostile (*), dans l’espoir de s’attirer les suffrages de la communauté franco-algérienne.
Après de telles déclarations, il est évident qu’Emmanuel Macron devrait être définitivement disqualifié.
En attendant il vaudrait mieux qu’il évite, ainsi que ses représentants, d’assister aux cérémonies patriotiques.
Il faut espérer dans le cas contraire qu’il se trouverait des anciens combattants assez courageux pour l’éconduire et lui demander des excuses publiques.
(*) les militaires du FLN au pouvoir depuis 1962 ont confisqué la rente pétrolière et abandonné la population algérienne, contrainte de ce fait à s’expatrier en nombre. Mais pour justifier son échec, le gouvernement algérien rend la France « colonialiste » responsable de la situation, alors qu’aucun pays du continent africain ne bénéficiait en 1962 d’autant d’infrastructures modernes dans tous les domaines. Tous les jeunes algériens nés après l’indépendance sont éduqués dans cette haine de la France entretenue par les médias et dans les écoles. Et dire qu’Emmanuel Macron propose de créer une chaîne de télévision franco-algérienne. Contrôlée par le FLN ?
Blois : Saint Nicolas en danger ?
La Nouvelle République publie aujourd’hui un article alarmant sur l’état général de l’église Saint Nicolas à Blois. On pourra se référer au site Patrimoine et histoire pour en savoir plus et admirer les détails de l’édifice.
Malheureusement, plusieurs types de désordres ont été détectés au cours de ces dernières années par les services de la Ville, dont certains de nature à mettre le monument en péril.
Comment en est-on arrivé là ?
Une étude aurait été lancée sous le mandat de Jack Lang pour réaliser un diagnostic avant travaux.
Mais depuis les municipalités successives ont reporté les interventions nécessaires.
Ce sont en fait les services de la DRAC qui ont alerté, il y a deux ans déjà, sur la dégradation rapide de certains éléments, allant jusqu’à évoquer un risque potentiel d’effondrement du clocher Nord.
Il est question aujourd’hui d’une somme de 1 million d’euros, répartis sur plusieurs années, sans être certain que cela soit suffisant.
Encore une fois, trop de retard a été pris, ce qui risque au final de coûter beaucoup plus cher au contribuable blésois.
Mais sans doute le maire de Blois avait d’autres priorités.
17 octobre : halte au révisionnisme et à la repentance.
Massacre d’enfants à Philippeville en 1955 : la marque du FLN.
Marc Gricourt, maire de Blois et premier vice-président de la Région appelle dans un communiqué publié par la Nouvelle République, à se souvenir « des victimes de la répression sanglante orchestrée par la police française, le 17 octobre 1961 ».
Autrement dit il adopte la position révisionniste des amis du FLN en accusant une fois de plus la police d’avoir organisé un massacre.
D’abord un petit rappel historique s’impose. La manifestation du 17 octobre 1961 était organisée par le FLN, branche la plus extrêmiste des nationalistes algériens, auteur de centaines de milliers d’assassinats de civils, hommes, femmes et enfants. Massacres qui se sont amplifiés après le 19 mars 1962, avec le meurtre de masse, planifié et exécuté de sang froid, de dizaines de milliers de harkis.
Il est pour le moins surprenant que Marc Gricourt soit sur cette ligne, lui qui condamne le nationalisme et l’extrêmisme à longueur de discours.
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Dimanche en Politique aux Rendez-vous de l’Histoire.
La prochaine édition du magazine « Dimanche en politique » de France 3 Centre-Val de Loire aura lieu à l’occasion des Rendez-vous de l’Histoire de Blois, dimanche 9 octobre à 11h00.
Sur le thème « Partir », l’émission accueille 4 invités : Denys Robiliard, député PS du Loir-et-Cher (1ère circonscription), Michel Chassier, président de groupe FN au Conseil Régional Centre-Val de Loire, Charles Fournier, vice –président du Conseil Régional Centre-Val de Loire (EELV), et Guillaume Peltier, président de Groupe Union de la Droite et du Centre au Conseil Régional Centre-Val de Loire (LR).
Vous pouvez poser vos questions sur le site de l’émission : « Dimanche en Politique« .
L’histoire revisitée par le maire de Blois.
A gauche Marcel Déat, issu de la SFIO, collaborateur, à droite Jean-Valette d’Osia, proche de l’Action Française, résistant. Face aux mensonges de Marc Gricourt, nous avons reçu une nouvelle réaction.
C’est un réflexe de Pavlov, il ne peut pas s’en empêcher. Chaque fois que le maire de Blois parle de la résistance ou de la libération de Blois, il fait un parallèle avec le temps présent et compare les nazis aux « partis d’extrême droite actuels qui cherchent à opposer » (la Nouvelle République du 5/9/2016)
Quels sont ces partis d’extrême droite ? Il ne peut penser au Front National puisqu’il ne le cite pas nommément et que ce mouvement patriotique cherche à unir tous les Français pour les prochaines élections présidentielles? A qui pense-t-il alors?
Il y a quelque chose de suspect à se référer sans cesse à ce qui s’est passé en France il y a 66 ans. Comme si la situation n’avait pas changé et que le PS travaillait avec le même logiciel stalinien qui oublie le pacte germano-soviétique. Une déformation de la pensée due sans doute à la prochaine déroute électorale de son parti.
Quant à savoir si la résistance à l’occupant allemand a été du seul ressort de la gauche, c’est archi-faux, tous les historiens sérieux vous le diront. Ce serait même le contraire.
Les fervents de la collaboration, les Déat et Doriot venaient respectivement du parti socialiste et du parti communiste, le secrétaire de la CGT avait rejoint Vichy. Le journal « l’Humanité » avait reparu en juin 1940 grâce à l’appui des services de la censure allemande du lieutenant Weber, en raison du pacte germano soviétique.
Des hommes issus de la droite nationale, d’Estienne d’Orves, Jean-Baptiste Biaggi, le colonel Rémy, Guillain de Bénouville ou Michel de Camaret (député du FN) étaient compagnons de la Libération ou sont morts au combat. Sans oublier le général Valette d’Osia, qui fut membre du comité de soutien à Jean-Marie le Pen. Un de nos adhérents de Blois, Pierre de Saint Céran, commandeur de la Légion d’honneur, était résistant à en Loir et Cher à 17 ans.
Le monde politique de 1940 n’était pas en noir et blanc ni aussi tranché que le dit le maire de Blois. Il y manque de la nuance et de la vérité historique. « Peut mieux faire ! » dirait son professeur d’histoire.
Libération de Blois : le discours politicien de Marc Gricourt.
Pierre de Saint Céran lors d’un hommage à Jeanne d’Arc au côté des élus FN à Blois.
A l’occasion des cérémonies du 72ème anniversaire de la libération de Blois, Marc Gricourt n’a pas pu éviter de politiser son discours, osant quelques comparaisons à la fois anachroniques et absurdes.
Un dérapage inacceptable qui ne restera pas sans réponse.
Tout d’abord le maire de Blois aurait évoqué, selon la Nouvelle République, « d’autres bruits de bottes hélas bien d’actualité« .
Nous aurions aimé en savoir davantage. S’agit-il d’une allusion au menaces islamistes suites aux terribles attentats qui ont frappé la France depuis 2 ans ?
Rien ne permet de le penser, bien au contraire ce qui inquiète notre édile ce ne sont pas ces menaces bien réelles, mais le recul de l’Europe suite au Brexit ! Il est tout de même curieux de voir un défenseur de la démocratie regretter que l’on donne la parole au peuple, et que de surcroît on la respecte contrairement à ce qui s’est passé en France avec le référendum de 2005, piétiné par Nicolas Sarközy.
Notre maire s’inquiète aussi du fait que « les partis d’extrême-droite recrutent« . Là encore sans autre précision. Mais nous connaissons par coeur la rhétorique de nos adversaires du LRPS qui ne cessent contre l’évidence de nous coller cette étiquette.
Il s’agit donc bien d’un discours politicien qui n’a pas sa place dans une telle cérémonie, mais ce n’est pas une nouveauté.
Et puisque Marc Gricourt évoque Valin de la Vaissière, rappellons qu’un de ses adjoints, le capitaine Pierre Rousselot de Saint Céran a été plusieurs fois candidat sur les listes du Front National à Blois et que, hasard de l’histoire, c’est à un sergent du C.V.V.L., le Blésois Raymond Casas, que Jean-Marie Le Pen s’était adressé en novembre 1944 pour rejoindre les rangs de la Résistance. Mais il n’avait pas accepté car il n’avait alors que 16 ans !
Autrement dit, les propos du maire de Blois sont totalement déplacés et ne correspondent pas à la réalité.
Au fait, contre quelle menace les militaires de la Force Sentinelle protégeaient-ils la cérémonie ? Qui pourrait croire une seul instant que les autorités redoutaient une attaque des partisans du Brexit ou d’une mythique « extrême-droite » ?
Les Français savent bien où se situe la vraie menace, et ceux qui cherchent à la nier ou à la minimiser pourraient bien un jour se le voir reprocher.
Profanation de l’église de Nouan-le-Fuzelier, encore le silence dans la presse.
Jeudi 12 mai dernier, deux jours avant la fête de la Pentecôte, l’église Saint Martin de Nouan-le-Fuzelier, commune Solognote, a été gravement profanée (photo Google Maps). Le tabernacle a été fracturé et le ciboire et les hosties consacrées qu’il contenait volées. Pour les catholiques, cela représente un acte extrêmement grave puisque les hosties consacrées sont la présence réelle de Christ. L’Evêque de Blois, Monseigneur Batut, a immédiatement réagi en publiant un décret interdisant tout acte liturgique et ordonnant la fermeture de l’église jusqu’au 21 mai, date à laquelle une messe de réparation y sera célébrée par l’Evêque à 18h et à laquelle les fidèles sont invités à se joindre.
Blois : hommage à Jeanne d’Arc.
Cela fait plus de 20 ans que nous célébrons à Blois la fête de Jeanne d’Arc, instituée en 1920 par un vote solennel de l’Assemblée nationale.
Curieusement tous ceux qui parlent de « mémoire » semblent l’avoir oublié.
Certains parlent de récupération, mais nous sommes prêts à leur laisser le soin d’organiser la cérémonie.
Or une fois de plus ni le Maire, ni le Préfet, ni le Conseil départemental, ni le Conseil régional n’étaient représentés.
Seuls les élus du Front National ont répondu présent : nos 4 élus Blésois, Michel Chassier et Mathilde Paris (également conseillers régionaux), Jean-Louis Berger et Miguel de Peyrecave, mais aussi Olivier Besnard conseiller municipal de Mer.
En raison des cérémonies du 8 mai, d’autres élus FN et certains porte-drapeaux étaient retenus dans leur commune, ce qui explique que nous étions moins nombreux qu’en 2015.
La cérémonie a été troublée un instant par la présence de 5 représentants de « Nuit debout », qui s’en sont pris à notre porte-drapeau, Robert Limelette, mais les choses sont rapidement rentrées dans l’ordre.
Dans son discours d’hommage à Jeanne d’Arc, Michel Chassier a rappelé le sens de cette cérémonie et déploré que l’histoire de France soit à ce point malmenée dans les programmes.
Après le dépôt de la gerbe et une minute de silence, toute l’assistance a repris la Marseillaise pour clôturer la cérémonie, y compris des jeunes de « Nuit debout », avec qui certains ont pu dialoguer dans un climat apaisé.
A l’issue de la cérémonie, un vin d’honneur a rassemblé les participants salle du bourg Saint Jean, suivi d’un repas convivial pour lequel nous avons été rejoints par nos élus et responsables de la vallée du Cher.
Loir et Cher : nos élus et responsables présents aux cérémonies du 11 novembre.
Comme d’habitude les élus du Front national ainsi que les cadres et les militants sont présents partout dans le département aux cérémonies du 11 novembre.
Nous publions les premières photos de Blois, où nos 4 élus étaient présents, les autres seront ajoutées ultérieurement.
Merci également à notre ami Emile Berlu, toujours fidèle à son poste de porte-drapeau.
Suite des photos : Renaud Grazioli à Vendôme, Virginie Dupuy à Chatillon sur Cher, Olivier Besnard et Sophie Boulaigre à Mer.
Voir l’album photo complet sur notre FaceBook
11 novembre : respect et admiration pour les Poilus de 1915.
«La guerre n’est pour l’historien qu’un synchronisme de dates et de mouvements. Pour les chefs, elle représente un formidable labeur et pour le profane, un intéressant spectacle. Mais pour le soldat qui combat dans les rangs, la guerre n’est qu’un long tête à tête avec la mort.» Pierre Chaine (Mémoires d’un Rat)
Pour nous, aujourd’hui, 1915 c’est le souvenir ému et reconnaissant dû aux centaines de milliers de Français qui ont souffert ou donné leur vie pour la défense de la Patrie. Sans distinction de classes sociales, de race ou de religion.
Dans un recueillement intérieur, lisons à haute voix et comptons un à un les noms de ceux qui figurent sur le monument aux morts de notre Commune. Nous serons sidérés par le nombre, par la répétition des mêmes patronymes.
Si les Français tiennent autant à la commémoration de cette commémoration de la guerre de 14/18 et des combats menés par nos Anciens il y a 100 ans, c’est parce que la Grande Guerre représente le sacrifice suprême et non un jeu virtuel. Ils savent que la paix dont nous bénéficions aujourd’hui est en grande partie le fruit de ces souffrances dans les tranchées, de ces merveilleux actes de bravoure ou de dévouement.
Que cette journée du 11 novembre 2015 ne soit pas un simple jour férié passif et festif mais un moment de respect et d’admiration en direction de nos Anciens qui ont souffert pour que nous vivions libres et dans l’honneur.
Les élus du Front National seront tous présents dans leur commune pour participer à ces cérémonies patriotiques qui fédèrent notre pays au-delà des clivages politiques.
L’histoire officielle et les rebelles dissidents.
D’où vient l’intérêt particulier de l’histoire chez les Français ? Pourquoi les différents ministres de l’Education tentent-ils de diminuer l’importance de l’enseignement de l’histoire alors qu’ils se pavanent chaque année aux RDV de l’Histoire ? A quoi sert l’histoire si ce n’est à éviter de reproduire les erreurs du passé ? Existe-t-il un lien entre la politique et l’enseignement de l’histoire ?
Autant de questions que les participants aux différentes conférences ou tables rondes ont posées en leur for intérieur et pour lesquelles nous avons quelques idées. Mais que les orateurs ont rarement posées pour la raison essentielle qu’il existe en France une histoire officielle avec son clergé, son décalogue, ses obligations, ses interdits et ses rites. Une histoire que les RDV de l’histoire promeuvent et sanctifient.
Une manipulation de l’histoire ordinaire.
Un exemple entre mille. La chute de l’Empire romain a traditionnellement été présentée comme étant provoquée par la perte des valeurs de la République et par les invasions barbares venues de l’est. Aujourd’hui les grands prêtres de l’Histoire nous disent qu’il ne faut pas parler de « fin, de cassure ou de fracture » mais de « transition » souple et détendue de l’Empire romain. Les « invasions » ne sont plus hostiles mais pacifiques.
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Négationnisme : nier l’histoire de France, c’est nier l’existence de la France.
Catherine Ségurane : une simple lavandière de Nice qui n’a pas hésité à monter aux remparts en 1506 pour frapper les assaillants à coups de battoir, alors que déjà les élites trahissaient. Comme quoi le peuple voit souvent plus clair que ses dirigeants.
Les Rendez-vous de l’Histoire ont toujours eu une forte connotation idéologique, voire politique.
On le voit encore cette année avec la venue du gourou Jacques Attali, qui interviendra sur le thème « peut-on prévoir l’avenir ? » Plutôt amusant pour quelqu’un qui s’est toujours trompé, mais qui a néanmoins conseillé Mitterrand comme Sarközy.
En tout cas il semble avoir du mal à prévoir son emploi du temps, car sa conférence prévue le samedi est reportée au dimanche…
Mais les organisateurs ne peuvent rien refuser à Sa majesté…
Avec Dominique Borne, professeur d’histoire à Henri IV, nous sommes dans un autre registre. Pour lui, l’Histoire de France n’existe pas. Pour arriver à cette conclusion provocatrice, qu’il exprime d’ailleurs depuis plusieurs années, il oppose différentes visions de l’Histoire de France telle qu’elle a été enseignée au fil du temps (la Nouvelle République du 9/10/2015).
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Les Rendez-vous de l’Histoire : la gratuité coûte cher.
Personne ne peut contester l’intérêt des rendez-vous de l’Histoire à 2 conditions. La première est qu’ils favorisent la liberté de recherche historique et la pluralité des expressions. La deuxième est qu’ils ne coûtent rien au contribuable blésois… ou régional.
Pour la première, il y a encore des efforts à faire car, comme par hasard, on retrouve toujours les mêmes intervenants du style d’Attali et son photocopieur ou de Jeanneney, le fils de son père. Sans compter que la liberté en matière historique est surveillée, et cette manifestation blésoise n’échappe pas à la règle : il faut rester « historiquement correcte ». Nous ne sommes pas les seuls à la dire, le revue Enquète & Débat posait la même question il y a un an.
Nous avions pu l’observer également en 2013 lors d’un « débat » sur le Front National animé par Caroline Fourest.
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In memoriam René-Luce Coupin
René-Luce Coupin lors de la fête champêtre du FN41 en juillet 2011.
René-Luce Coupin nous a quitté le 27 mars, dans sa 102ème année.
Le doyen de nos adhérents a participé régulièrement à nos réunions et à nos cérémonies.
Ses amis légionnaires lui rendaient hommage hier à l’occasion de la célébration de Camerone.
Il a fait partie des Français qui se sont battus courageusement en 1940, alors que certains dirigeants pris de panique étaient déjà en fuite, et que les communistes étaient alignés sur l’URSS, alliée de l’Allemagne nazie.
Pendant ce temps, au milieu de la débâcle, René-Luce Coupin se trouve incorporé dans un régiment qui se bat jusqu’au bout : le 11ème Régiment Etranger d’Infanterie. Ce n’est que le 23 juin, 6 jours après l’armistice que ces combattants invaincus déposèrent les armes. Sur 3107 hommes qui composaient le régiment, il n’y avait que 578 survivants. Les Allemands leur rendirent les honneurs militaires. René-Luce Coupin, le doyen de nos adhérents de Loir et Cher, a écrit un livre pour immortaliser cette épopée dont il fut un des héros « Vainqueurs quand même« .
Le bureau départemental du Front National tient à lui rendre hommage, et adresse à sa famille toutes ses condoléances. RIP.
Souviens-toi, camarade ! Il y a 40 ans, le Cambodge !
Les professionnels du travail de mémoire sont parfois amnésiques. Nous, n’oublions pas et c’est ce qui nous permet de comprendre le présent tout en regardant l’avenir.
Il y a 40 ans, le 16 avril 1975, les khmers rouges finissaient de s’emparer de Phnom Penh. C’était le début d’une déportation massive des populations des villes vers les campagnes pour « régénérer » le peuple et faire enfin un « homme nouveau » révolutionnaire. Des millions de morts au terme desquels le qualificatif de « génocide » n’a pas été retenu par les tribunaux internationaux.
Nous n’oublions pas que les « journaux de référence » comme Le Monde ou Libération ont salué cet évènement comme une très bonne nouvelle, prometteuse d’un avenir radieux pour le Cambodge. Sans procéder à la moindre repentance.
19 mars 1962 : début du grand massacre en Algérie.
1962 : les Harkis désarmés… avant d’être abandonnés aux mains de leurs bourreaux.
Comme français ou élu de mon pays, j’ai toujours participé aux manifestations patriotiques du 11 novembre ou du 8 mai qui commémorent le sacrifice de nos pères pour la défense de la Patrie. Mais je n’assisterai pas à celle du 19 mars qui ne commémore pas la fin des hostilités de la guerre d’Algérie.
Cette date marque pour le pouvoir socialiste la fin des hostilités alors qu’il n’en est rien, car les tueries, enlèvements, assassinats et massacres ont continué encore plus virulents pendant les mois et les années qui ont suivi. Cette date est un mensonge révisionniste qui veut cacher une réalité historique, ce que nous ne pouvons accepter.
Par ces accords, le gouvernement français gaulliste a décrété un « cessez-le-feu » unilatéral et a donné permission à nos ennemis d’assassiner des militaires et des civils français en toute impunité.
Dès le 19 mars et les jours suivants, 18 jeunes soldats français ont été assassinés par le FLN et 39 ont été blessés qui, pour la plupart, décèderont dans les jours qui suivent.
90 autres soldats ont disparu et les 239 qui étaient retenus prisonniers par le FLN ne nous ont jamais été rendus. Nous sommes toujours, 53 ans plus tard, sans aucune nouvelle de ces jeunes militaires français.
Une action humanitaire 40 ans après le génocide cambodgien
Huit lycéens du lycée professionnel Denis-Papin se sont envolés pour le Cambodge lundi pour une période de 3 semaines. Ils ont pour mission d’installer des panneaux photovoltaïques sur le toit d’une école maternelle et primaire, mais aussi sur un foyer et un centre de formation, voisins de quelques kilomètres.
Ils seront encadrés par 2 professeurs et un technicien de l’association Energy-Assistance, la branche humanitaire de GDF-Suez. Ils travailleront en partenariat avec l’association Monireth, qui œuvre à favoriser l’aide à l’éducation et à la scolarisation des enfants du Banteay Meanchay. Une action généreuse que nous saluons mais qui n’exclut pas quelques réflexions.(la Nouvelle République 31/1/15)
L’horreur du génocide cambodgien
Ce déplacement humanitaire loin de la Sologne pacifique nous ramène 40 ans en arrière lorsque, sous les applaudissements de la gauche française, deux millions de Cambodgiens étaient assassinés par le régime communiste de Pol Pot. Avec comme mode de gouvernement la destruction des repères, la segmentation de la population, la désorganisation des campagnes, l’animalisation, la famine et la torture. Les camps de concentration des Khmers rouges, aussi avilissants et destructeurs que ceux de Buchenwald, ont amené la terreur dans un pays où le bonheur se vivait chaque matin. Faut-il rappeler que cette révolution génocidaire était inspirée par les Jean Jacques Rousseau et Robespierre, encouragée par les Jack Lang ou Jacques Vergès ? En lire plus …
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