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Blois : un conseiller municipal communiste accusé de viols.

MeeTooL’information est parue le 24 février dans l’Obs : le mouvement des jeunes communistes est rattrapé par la vague #Me Too.
Bien sûr à ce stade, si des plaintes ont été déposées, la présomption d’innocence prévaut, c’est pourquoi l’Obs a changé le prénom.
Mais sur les réseaux sociaux les jeunes communistes se déchaînent, accusant la direction d’avoir étouffé ces affaires.
L’affaire a éclaté le 27 janvier, au siège du Parti communiste,  alors que quelques 300 délégués du Mouvement jeunes communistes de France (MJCF) se sont réunis pour voter de nouveaux statuts, et élire leur conseil national et leur direction.
« Soudain une jeune femme monte à la tribune et saisit le micro :  »L’immense majorité du mouvement se prononce radicalement contre les violences sexistes et sexuelles. Il est plus que temps de le mettre en pratique, et c’est pourquoi, aujourd’hui, nous refusons de nous taire », lance la jeune femme. Elle accuse ensuite nommément deux coordinateurs nationaux de « protéger des agresseurs depuis plusieurs années en mettant systématiquement le blâme sur les victimes pour qu’elles quittent l’orga [l'organisation, NDLR]« . Au moment où elle lâche son nom, l’un des deux mis en cause décrète l’évacuation de la salle. Des insultes fusent. Des camarades se bousculent. Un délégué hurle : « La diffamation, c’est puni par la loi. » D’autres se mettent à chanter pour couvrir sa voix :  »On a purgé des camarades pour moins que ça, tu devrais fermer ta gueule. »
« Tout le monde criait, c’était hyper-violent », décrit une militante montée à la tribune. »
Depuis sur les réseaux sociaux les langues se délient, et nous apprenons que l’un des agresseurs, accusé de viol par deux jeunes femmes est un conseiller municipal de Blois.
Alerté, le maire de Blois a publié une réaction sur Twitter : « Bonjour, nous découvrons cette affaire par ces tweets. Soucieux du respect de la présomption d’innocence mais aussi devant la gravité des faits évoqués, le maire va rapidement rencontrer M. Bouchou pour l’entendre. Il exprime son soutien aux victimes présumées. »
Nous verrons si l’affaire sera évoquée au conseil municipal lundi prochain.
Ce qui est ennuyeux pour Marc Gricourt c’est qu’en cas de démission de l’intéressé, le suivant de liste appelé à siéger est un certain Sidi Boussetta qui a lui aussi défrayé la chronique locale pour d’autres affaires.
Voilà qui va compliquer une fin de mandat déjà marquée par le départ de Louis Buteau.

Mise à jour du 6/03/2019 : Alexis Bouchou fait savoir par son avocate qu’il conteste la version de la plaignante (la Nouvelle République du 6/03/2019). Nous ne ferons bien sûr aucun commentaire sur cette affaire, c’est désormais à la justice de faire son travail. 

 

 

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Nouveaux tags « antisémites » à Blois : la piste de l’extrême-gauche ?

Blois Manif GazaManifestation pro-palestinienne à Blois (image d’archive). Le mouvement a-t-il dérivé vers l’antisémitisme sous l’influence des islamistes ? 
La Nouvelle République annonçait dans son édition du 21 février que « des tags à l’encontre du président de la République et des inscriptions à caractère antisémite » avaient été découvert la veille sur un abribus près du Lycée Camille Claudel.

France 3 Centre Val de Loire nous en apprend un peu plus.
A côté des inscriptions  « Adolf Macron » et « Emmanuel Hitler », plusieurs croix gammées ont été taguées.
Le Préfet de Loir et Cher s’en indigne : « il est complètement intolérable de faire de telles assimilations et de se revendiquer d’une idéologie qui a tué six millions de juifs. On est à l’opposé de nos valeurs« 
Si nous partageons cette condamnation, d’autant plus que nous avons trop souvent été victimes de tels agissements, sans que cela choque la classe politique ni les autorités, l’interprétation du Préfet a tout de même de quoi surprendre.
En effet, les auteurs de ces inscriptions ne se revendiquent pas de l’idéologie nazie, au contraire ils comparent M. Macron au dictateur nazi, sans doute en raison de son comportement autoritaire et méprisant.
Il est bien évident que cette comparaison est déplacée et injurieuse, mais c’est bien parce que de telles assimilations ont été trop longtemps tolérées lorsque nous étions victimes qu’elles ont été banalisées.
Et qu’on le veuille ou non, elles sont le fait de l’extrême-gauche, relayée aujourd’hui par les islamistes.
Michel Chassier, délégué départemental du Rassemblement national, a écrit au Préfet pour lui demander que l’enquête en cours soit élargie aux actes similaires qui ont visé plusieurs fois notre permanence à Blois.

Dans un cas comme dans l’autre, ces agissements portent en effet la même marque.
Ce qui n’empêche pas aujourd’hui encore Magcentre de pointer du doigt le mouvement des « Gilets jaunes ».
Rappelons qu’aucun des actes antisémites récents : cimetières profanés, boîtes à lettres taguées de croix gammées recouvrant le visage de Simone Veil, inscription « Juden » sur un commerce, agression d’Alain Finkelkraut, n’a le moindre rapport avec le mouvement.
Ce qu’ont bien compris Finkelkraut lui-même, qui le dit haut et fort, mais aussi des personnes comme Pierre Weil, qui dénonce la manifestation de mardi comme une « mascarade », ou encore Gilles-William Goldnadel.
La gauche qui est à l’origine de ces manifestations et les partis politiques qui se sont associés refusent de voir l’origine de ce nouvel antisémitisme, pire, ils feignent d’y voir une résurgence des années 30, tout en essayant d’y associer le mouvement des Gilets jaunes pour le salir.
De tels amalgames sont scandaleux et nous espérons au moins que localement les coupables seront retrouvés. Et nous verrons si leur identité sera dévoilée ainsi que leurs motivations.

Incendies volontaires à Blois : nous avions raison d’alerter.

50881540_2621661361207613_6112952430419247104_nVoitures brûlées en Vienne fin janvier 2019.
On nous reprochait de trop parler de la délinquance à Blois et en partie des incendies volontaires qui se répètent trop souvent dans certains quartiers.

Reproche qui nous a été fait y compris au conseil municipal.
Nous avions pourtant raison de nous inquiéter.
Après une recrudescence d’incendies (conteneurs, voitures, poubelles) ces derniers jours, la Police renforce son dispositif de surveillance et la Nouvelle République y consacre aujourd’hui (22/02/2019) un long article.
Alors que les feux de voitures y sont ordinairement en quelques lignes, où l’on apprend simplement que le feu a été éteint avec « une lance à débit variable » (!) sans autre précision sur les causes possibles de l’incendie.
Aujourd’hui encore, la NR rend compte en 6 petites lignes de l’incendie de deux voitures à Montoire dans la nuit de mercredi à jeudi, mais rien n’indique s’il s’agit où non d’incendies volontaires.
Nous avons déjà consacré quatre article à ce sujet depuis le début de l’année, en insistant sur les risques et sur les conséquences pour les victimes.
Lundi soir dans la rue du Pré-Rocheron en Vienne, deux voitures ont été incendiées à l’intérieur du garage d’un petit immeuble d’habitation, ce qui aurait pu se finir par un drame.
Nous appelons par conséquent tous nos concitoyens à la vigilance.
En cas de comportement suspect, ils peuvent rapidement contacter la Police ou la Gendarmerie.
Rappelons que dans tous les cas d’urgence, appelez immédiatement par téléphone le 17 ou le 112.
Et ensuite appelez le Rassemblement national au 02 54 42 12 17 !

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Blois Vienne : 3 voitures incendiées cette nuit.

50881540_2621661361207613_6112952430419247104_nC’est un riverain écoeuré qui nous transmet l’information et nous envoie cette photo.
Hier soir vers 23 h 00 sur un petit parking de la rue des Métairies à Blois Vienne 3 voitures ont été incendiées.
Le lieu est bien connu des  » initiés  » et des riverains pour son trafic de drogue…
Sans doute le prix à payer pour la « paix sociale » dans certains quartiers.
Mais en Vienne comme ailleurs les habitants sont excédés par cette délinquance et tout ce qu’elle entraîne.
Encore une fois nous espérons que les auteurs de ces incendies criminels seront identifiés, interpellés et condamnés comme il se doit.
C’est malheureusement assez rare, et quoi qu’il en soit, on sait que les victimes seront très mal indemnisées.
Il est vrai que M. Castaner a d’autres priorités.

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La série continue : encore une voiture incendiée à la ZUP de Blois

Voiture-brulée-émeute(image d’illustration).
Dans la nuit de samedi à dimanche, une voiture a été incendiée rue Jean-Baptiste Charcot à la ZUP de Blois, vers 1 h 30 du matin (la Nouvelle République).

C’est un secteur régulièrement par ce genre d’incendie criminel.
Déjà dans la nuit de mercredi à jeudi 4 véhicules avaient été touchés rue Apell.
Jusqu’à quand les Blésois vont-ils subir cette délinquance ?

Nouveaux incendies de voitures à Blois et à Theillay.

voituresbrules3.jpg(image d’illustration)
Il est toujours difficile de connaître les chiffres exacts des incendies de voitures à Blois comme ailleurs.

Tout juste sait-on officieusement que plus de 1000 voitures ont brûlé dans la nuit de la Saint Sylvestre. Mais les médias préfèrent passer en boucle les voitures brûlées à la fin des manifestations de gilets jaunes à Paris, en oubliant de dire que ce sont des casseurs d’extrême gauche qui viennent profiter de l’occasion. Pour le plus grand bénéfice du gouvernement.
A Blois c’est la même chose : les chiffres de 2018 n’ont toujours pas été publiés.
Pourtant la presse locale se fait régulièrement l’écho de ces incendies de voitures.
Dernière épisode en date mercredi soir, avec 3 véhicules incendiés vers 21 h 30 rue Appell, tout près de la ZUP de Blois (2 voitures un fourgon incendiés, une autre voiture partiellement touchée), puis vers 0 h 40 rue Bertheau en Vienne (la Nouvelle République du 25/01/2019).
4 véhicules brûlés dans la même nuit, cela commence à faire beaucoup. La Police a ouvert une enquête.
Durant la même nuit une voiture, dont les plaques d’immatriculation avait été préalablement retirées, a été incendiée à Theillay.
Mais à part ça, madame la Marquise… tout va très bien, tout va très bien !

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Joué-les-Tours : encore 5 véhicules brûlés, la guérilla urbaine continue.

DvW9fZ4XcAEW0piVoitures incendiées à la Rabière (image d’archives).
La série continue à Joué les Tours. Après les incendies de voitures de début novembre ou ceux de la nuit de Noël, cinq véhicules ont brûlé ce samedi soir.

Sans couverture médiatique. On préfère montrer les véhicules enflammés par des casseurs en marge des manifestations des gilets jaunes pour les discréditer, mais silence radio au contraire sur les 1030 véhicules incendiés la nuit de la Saint Sylvestre.
Le haineux Castaner est aussi un incapable, il n’a même pas le courage de dénoncer cette violence quotidienne qui touche en France des centaines de quartiers pourtant dits « prioritaires » et arrosés de subventions.
A Blois aussi des véhicules brûlent régulièrement sans que cela provoque la moindre réaction.
La maire de Joué les Tours avait institué un couvre-feu pour les mineurs de moins de 17 ans jusqu’au 24 janvier, leur interdisant toute sortie seuls de 22h à 6h.
Mais les renforts de CRS déployés après les incidents du 25 décembre ont quitté la Rabière depuis la nuit du 2 au 3 janvier. Seule la police patrouille donc dans le quartier ces derniers jours pour en assurer la sécurité. Et le couvre-feu n’empêche pas les voitures de brûler.
« Pour une raison non déterminée » ajoute Info-Tours. Tout le monde aura compris.

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Un clandestin multirécidiviste à nouveau condamné à Blois. Mais que faut-il encore en France ?

expulsion délinquants étangersUn ancien combattant rappelle à Macron sa promesse non tenue.
Une fois encore la chronique judiciaire nous apprend qu’un homme de 40 ans, « originaire de la Côte d’Ivoire et en situation irrégulière » était jugé en appel à Orléans (la Nouvelle République du 24/11/2018).

L’individu, une certain Lenace, avait été condamné pour outrages et menaces à l’encontre d’un surveillant de prison à Blois, pour des insultes au personnel des urgences de l’hôpital de Vendôme, ainsi que pour une tentative de fuite lors d’un contrôle alors qu’il conduisait sans permis.
On apprend au passage que le sieur Lenace collectionne déjà 23 mentions à son casier judiciaire !
Cela pose bien sûr plusieurs questions.
D’abord comment se fait-il qu’un étranger en situation irrégulière soit toujours en France après une telle série de condamnations ?
Depuis combien de temps est-il sur notre sol en situation irrégulière ? De quoi vit-il ? Qui a payé les frais d’un appel, alors que de nombreux justiciables français renoncent  parfois à se défendre car ils n’en ont pas les moyens ?
Qui va payer les frais de procédure s’il n’est pas solvable ?
Enfin, suite à cette enième condamnation, va-t-il enfin faire l’objet d’une expulsion du territoire français ?
Macron avait promis il y a un an que tous les « étrangers en situation irrégulière » qui commettent un délit « quel qu’il soit seront expulsés » de France, promettant d’être « intraitable sur ce sujet« .
Encore une promesse non tenue…

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Blois : violente bagarre devant le collège des Provinces.

Collège provinces BloisLa nouvelle n’avait pas filtré jusqu’ici, c’est la Nouvelle République qui publie l’information ce matin (20/11/2018).
Les faits remontent à jeudi dernier. Un groupe de 5 à 7 « jeunes » issus d’un autre établissement est venu attaquer des élèves à la sortie du collège des Provinces.
Trois élèves ont été blessés dont un sérieusement.
L’origine de cette rixe serait à rechercher sur les réseaux sociaux.
La Police enquête pour identifier les agresseurs, mais en attendant ce type de bagarre montre que Blois est à son tour gagné par ce phénomène de règlements de comptes violents à proximité des établissements scolaires.
Mais l’équipe municipale actuelle semble ne pas bien mesurer à quel point la situation est en train de se dégrader.

Mise à jour : un correspondant nous parle d’une vingtaine de personnes avec des couteaux, battes etc… et d’une deuxième bagarre. Mais devant le silence des médias, difficile d’avoir confirmation pour le moment.

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Blois : voiture brûlée allée des Platanes.

rue des PeupliersUn quartier calme en apparence (ici rue des Peupliers) mais victime de la délinquance.
Une voiture a été incendiée dans la nuit de samedi à dimanche allée des Platanes à Blois, dans le quartier des Allées.

C’est un secteur où les habitants sont régulièrement victimes de ces actes de délinquance.
On ne dira jamais assez le préjudice que représente ces incendies de voitures pour des propriétaires souvent modestes qui en ont besoin pour leurs déplacements quotidiens, et qui souvent n’ont pas les moyens d’en acheter une autre immédiatement.

Brahim Mokaddem condamné à 15 ans de prison pour une tentative de meurtre sur un gendarme.

Voiture gendarmerie(image d’illustration)
« Condamné pour tentative de meurtre sur un gendarme » titre la Nouvelle République du 8/11, « Un Orléanais condamné à quinze ans de réclusion pour une tentative de meurtre sur un gendarme » titre la République du Centre le même jour.

Cet Orlénais s’appelle Brahim Mokaddem, un homme de 32 ans qui, le 1er juillet 2015, avait foncé sur des gendarmes en intervention sur l’autoroute A 10, à la hauteur de Mer (Loir-et-Cher).
Ce soir-là, vers 20 heures, les militaires sécurisaient le trafic des véhicules, alors que des pompiers étaient occupés à éteindre un feu de broussailles en bordure de l’autoroute. Leur véhicule était stationné sur la bande d’arrêt d’urgence, gyrophare allumé, en plus des véhicules d’intervention de l’autoroute qui signalaient l’incident en amont. Les gendarmes faisaient signe aux automobilistes de se déporter sur la voie de gauche, lorsqu’une Twingo a foncé sur eux.
Deux gendarmes ont eu le temps de s’écarter à temps pour éviter d’être heurtés, l’un sautant dans le fossé, avant que la voiture folle ne vienne s’encastrer dans le véhicule où se trouvait une femme gendarme, qui a été touchée aux cervicales.
Le conducteur prétexte un malaise, mais les témoignages des militaires le contredisent.
A l’audience le prévenu n’hésite pas à interrompre les dépositions des gendarmes, à tel point que la présidente doit le faire évacuer temporairement.
Pour le procureur, il n’y a pas de doutes, « ils n’ont pas été visés en tant que personnes, mais parce qu’ils sont militaires de la gendarmerie. » Il réclame 20 ans de détention.
On pourrait ajouter que ce type de comportement n’est pas anodin en 2015, même si l’accusé se garde bien de revendiquer son acte.
Au final, il est condamné à 15 ans de réclusion criminelle.

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Mer et la petite Beauce : une insécurité au quotidien.

Gendarmerie MerL’insécurité, le saccage des équipements publics, les dégradations sur les propriétés et les biens privés, les vols, les incivilités ne sont pas l’apanage des grandes villes.
Nouvel exemple à Mer ou 14 véhicules ont été l’objet de vols à la roulotte et dégradés (la Nouvelle République du 7/11/2018).
Mardi la Gendarmerie a fait distribuer un appel à témoin dans les boîtes aux lettres.
Espérons que les coupables soient et identifiés et les victimes indemnisées.
Le phénomène touche aussi les communes de la petite Beauce.
A tel point que Maves, 660 habitants, va bientôt installer 9 caméras pour améliorer la sécurité des personnes et notamment des biens municipaux qui sont régulièrement vandalisés et font l’objet de dégradations et vols…
Les élus Mérois du Rassemblement national expriment leur soutien aux victimes et demandent au Préfet de Loir de Loir et Cher que les forces de l’ordre disposent des moyens nécessaires pour mener leur mission de protection des populations.
Cela nous semble plus urgent pour nos compatriotes que l’accueil des migrants.  

Insécurité à l’hôpital de Blois : l’omerta ?

CHB sécuritéTout va bien à l’hôpital de Blois, soyez rassurés braves gens, dormez bien !
Comme dans les collèges et les lycées, la consigne #PasDeVague semble aussi être appliquée dans les hôpitaux.
Mais il est toujours difficile de cacher la vérité, elle finit un jour ou l’autre par ressortir.
En l’occurrence ce sont les personnels de sécurité de l’hôpital de Blois qui expriment leur colère… sous la bannière de la CGT !
« Sécurité en sous-effectif = hôpital en insécurité » peut-on lire sur une des banderoles.
La situation est-elle donc si grave ? Pourtant elle est soigneusement cachée par les responsables de l’établissement, dont le maire de Blois, Marc Gricourt préside du conseil de surveillance.
Reste que la CGT n’en dit pas assez sur l’insécurité qui touche les personnels soignants. De quel type d’agressions s’agit-il ? Qui sont les auteurs ?
Là, c’est au tour de la CGT de pratiquer l’omerta.
Aux agents victimes de cette situation d’en tirer les conséquences : seul le Rassemblement national peut vraiment les défendre.

 

Blois : agressions au quotidien.

TotemCe sont des agressions dont la presse ne parle pas, car elles font l’objet d’un simple enregistrement au commissariat de Police, qui ne communique pas.
Mais nous citerons deux faits récents.
La première agression se situe dans un quartier du haut de la ville, près de la Cathédrale.
Une femme seule se gare devant chez elle, lorsqu’une voiture se range en double file, occupée par deux individus que la censure ne nous permet pas de décrire.
Ils intiment à la femme l’ordre de descendre. Celle-ci refuse mais se trouve de fait coincée dans son véhicule.
Par chance, une autre voiture arrive dans le rue, obligeant les deux petites frappes à circuler.
La semaine dernière cela se passe en plein centre-ville, devant le Totem, place de la Résistance.
Comme souvent, une voiture occupée par des « jeunes » est arrêtée sur le rue devant le débit de tabac, bloquant la circulation.
La plupart du temps, les Blésois « de souche » préfèrent patienter, connaissant la susceptibilité des ces « chances pour la France ».
Mais le femme ainsi bloquée par ces gens irrespectueux a eu le malheur de klaxonner !
Aussitôt elle est prise à partie par les petits voyous, qui prétendent que leur voiture a été accrochée et demandent à la personne de descendre pour faire un constat.
Elle leur propose plutôt d’appeler la Police et saisit son téléphone, ce qui a pour effet de faire fuir les voyous. Bon réflexe.
Mais ces deux exemples sont révélateurs d’un climat qui hélas n’est pas nouveau, et qui fait que Blésois et touristes ont tendance à déserter le centre-ville une fois la nuit tombée.
A quand une véritable réaction ?

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Mustapha, 37 ans, 32 condamnations : « je vais faire pire qu’au Bataclan ! »

Balance-justiceChaque jour la chronique judiciaire nous renseigne sur l’état de la société, l’ensauvagement des délinquants qui se transforment parfois en criminels faute d’une réponse judiciaire assez rapide et assez ferme pour les faire réfléchir.
C’est ainsi qu’un certain Mustapha, 37 ans, actuellement mis en examen pour viol, outrage à agents et usage illicite de stupéfiants, a vu rejeter, sans surprise, une demande de mise en liberté.
Il faut dire que l’individu collectionne déjà 32 mentions à son casier judiciaire qui, ont le sait, n’enregistre pas les petits délits et contraventions… (la Nouvelle République du 2/10/2018).
Et il récidive à l’audience en menaçant magistrats et avocats de la partie civile : « Je n’ai rien à perdre, vous allez voir, je vais faire pire qu’au Bataclan ! »
Heureusement que la Justice a refusé cette mise en liberté, cela paraît tout de même plus sage.
Mais combien d’individus dans le même genre sont aujourd’hui dans la nature ?
Voilà une question que nous ne pourrons plus poser à Gérard Collomb, qui vient de faire à son touret à sa manière un doigt d’honneur à Macron !

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Blois : voiture incendiée au lac de la Piçonnière.

Voiture Lac Pinconniere

Image d’archives : voiture brûlée dans le lac de la Pinçonnière en 2017.

Un de nos correspondants nous informe que jeudi vers 21h30, les pompiers sont intervenus sur un véhicule Ford Fuego en feu sur le parking nord ( bâtiments communaux ) du lac de la Pinçonnière à Blois. 
La carcasse était toujours en place le lendemain matin avec une plaque d’immatriculation identifiable.
La nuit précédente, ce sont à nouveau des poubelles qui ont été incendiées en Vienne, rue Georges Litalien, dans un quartier lui aussi régulièrement touché par ce genre d’exactions.
Dormez bien braves gens !

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Le conducteur responsable de la mort du jeune cycliste écroué.

Prison-bloisPrison de Blois (image d’illustration).
Le conducteur qui avait percuté le jeune Takhir le 10 septembre à la ZUP de Blois avait pris la fuite. L’enfant n’avait pas survécu à ses blessures.
Dès le 13/09, nous étions informés du profil du conducteur, déjà bien connu de la Police et de la Justice puisqu’il était sorti de prison depuis peu. Sans doute la vidéosurveillance aura permis de l’identifier. On savait aussi qu’il conduisait sans permis et sans assurance.

Nous n’avions pas divulgué ces informations afin de ne pas gêner le travail des enquêteurs devant conduire à le retrouver.
L’individu s’est finalement présenté au commissariat lundi dernier, une semaine après le drame, accompagné de son avocat (la Nouvelle République du 20/09/2018).
Il a été mis en examen pour homicide involontaire aggravé et aussitôt écroué.
Le procureur confirme que l’individu avait déjà été condamné plusieurs fois entre 2012 et 2017 pour des délits routiers (déjà !) et des affaires de stupéfiants.
Son nom n’est toujours pas divulgué, mais d’après nos sources il s’agit vous l’avez compris d’une « chance pour la France », selon l’expression reprise de Jacques Attali à Madame Parisot en passant par Emmanuel Macron, pour qui l’immigration est toujours «une chance pour la France».

 

Encore des feux de voitures à Blois.

Voiture-brulée-émeute(image d’illustration).
Deux voitures ont été incendiées à Blois dans la nuit de samedi à dimanche (la Nouvelle République du 10/09/2018).

La première rue Sainte Anne en Vienne vers 4 h 30, la seconde sur le mail Pierre Sudreau vers 5 heures.
Il se pourrait que les auteurs soient les mêmes si l’on considère la distance qui sépare les deux endroits et le laps de temps entre les deux incendies.
On peut s’interroger par contre sur la motivation de ces actes criminels.
Encore deux victimes qui auront bien du mal à se faire indemniser de leur préjudice.

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Tribunal de police de Blois : les propos étonnants du procureur.

chemnitz-manif-anti-migrantsChemnitz : des manifestants brandissent les portraits des victimes. Intolérable pour le procureur Frédéric Chevallier.
Le tribunal de police de Blois jugeait hier une querelle voisinage dans le Vendômois, les faits remontent au 2/11/2017 (la Nouvelle République du 8/09/2018).

Comme souvent dans ce type de situation, la situation dégénère, les esprits s’échauffent, on en arrive aux insultes, parfois aux coups.
Dans le cas présent ce sont des insultes qui ont été échangées, mais comme l’un des protagonistes est d’origine malgache, il a porté plainte pour « injures à caractère raciste« . Un véritable sésame.
L’accusée nie les propos qu’on lui prête, indiquant au passage que son accusateur lui aurait dit que sa place était au cimetière ! Mais un voisin confirme, sans qu’on connaisse bien ses rapports avec l’accusée.
Dans une telle situation, il nous semble qu’un simple rappel à la loi aurait permis de calmer le jeu.
Mais l’accusation de racisme fait perdre aux magistrats et aux commentateurs la prudence qui devrait s’imposer.
Nous ne connaissons pas suffisamment le dossier pour émettre un avis, mais les propos du procureur sont pour le moins surprenants.
« L’actualité est déjà suffisamment inquiétante avec les faits qui viennent de se produire à Chemnitz en Allemagne. » Ces considérations politiques n’ont pas leur place dans une audience. Ils contreviennent gravement au devoir de discrétion et de réserve de l’institution judiciaire. Leur auteur mériteraient pour le moins un rappel à l’ordre par sa hiérarchie.
Rappelons que les manifestations de Chemnitz sont partie de l’assassinat au couteau d’un citoyen allemand par deux « migrants ».
Le procureur Frédéric Chevallier manifeste ainsi sa méconnaissance du dossier, prouvant qu’il est influencé par les médias sans faire preuve de discernement.
Espérons pour le bien de la justice qu’il se ressaisisse car en l’état il est permis de douter de son impartialité.

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15 juillet à Blois : quand la fête dégénère.

Mondial 2018-2Militaires et policiers sifflés par une foule hostile. Où est le sentiment de fierté nationale ?
A Blois comme partout la célébration de la victoire de l’équipe de France a été émaillée d’incidents.

Et il a fallu quelques jours pour que l’info ressorte sur les réseaux sociaux, la presse locale comme nationale a étouffé ces débordements ou bien les minimise.
Des vidéos montrent une voiture, peinte en bleu-blanc-rouge, retournée par la foule place de la Résistance. Curieuse manière de célébrer la victoire. Et quand les policiers arrivent sur place, ils sont pris à partie ainsi que les militaires chargés de sécuriser les place. On voit les forces de l’ordre obligées de reculer devant une foule hostile. Pour quelle raison ?
Dans le contexte de menace islamo-terroriste que nous connaissons, tous ceux qui célébrait cette victoire auraient dû au contraire applaudir nos soldats.
Tout comme Olivier Giroud qui considère que nos militaires qui risquent leur vie méritent davantage la légion d’honneur que des footballeurs ou des artistes.
Les réactions sont nombreuses sur les réseaux sociaux pour condamner ces exactions.
Mais Ozgur Eski minimise, tout comme le directeur de cabinet de Marc Gricourt qui compare à 1998.
Avec une différence notable pour ceux qui ont un peu de mémoire : il y avait beaucoup plus de monde dans les rues de Blois en 1998, ce qui prouve que beaucoup de Blésois ont renoncé à venir en famille par crainte d’incidents dans un climat de sécurité dégradé.
En 1998 on n’avait pas retourné une voiture place de la Résistance, mais la statue qui se trouvait au milieu du rond-point avait disparu, ce dont à vrai dire peu de Blésois s’étaient plaints.
Autre temps, autre moeurs.

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Blois : 3 algériens immigrés clandestins interpellés.

CollombContrôle aux frontières : des ratés inquiétants.
Pourquoi se gêner ?

Trois individus se sont introduits dans un appartement rue du Sermon à Blois après avoir brisé une vitre (la Nouvelle République du 21/06/2018).
Procédé habituel pour des squatteurs qui, une fois installé dans les lieux, deviennent rapidement impossible à déloger, si ce n’est au tyerme d’une longue procédure.
C’est ainsi dans notre pays, les squatteurs ont davantage de droits que les propriétaires, qui parfois ne peuvent récupérer leur bien qu’au bout de deux ou trois ans, et complètement détérioré. Et bien sûr les coupables sont insolvables.
Heureusement dans ce cas précis, un voisin a pu alerter la Police qui est intervenue rapidement.
Et il s’avère que les trois individus, dont une mineur, sont des algériens en situation irrégulière, autrement des clandestins.
D’où cette question : ou bien ils avaient déjà été repérés sur le territoire mais laissés libres de circuler à leur guise, ou bien ils étaient passés entre les mailles du filet.
Plutôt inquiétant quand on connaît la présence en Algérie de groupe islamistes radicaux pourchassés par le pouvoir mais toujours actifs dans la clandestinité.
Cela en dit long sur le contrôle aux frontières de l’Union européenne et le fameux dispositif Frontex censé nous protéger.
Les deux adultes ont été transféré vers un centre de rétention administrative en vue de leur expulsion du territoire français… si un pays accepte de les accueillir et a condition que les associations pro-immigration financées avec nos impôts ne déposent pas un recours, ce qui est quasi-automatique.
Quand au « jeune mineur », il ne pourra pas être expulsé, il a fait l’objet d’une rappel à loi et sera pris en charge par les services sociaux du Département.

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Pompiers agressés à Vendôme.

CSP VendômeNous ne sommes pas dans le « 9-3″ ou même à la ZUP de Blois où les pompiers ont été agressés à plusieurs reprises, mais à Vendôme, ville réputée paisible de 17 000 habitants.
Pourtant ce dimanche en pleine journée, alors qu’ils intervenaient dans un appartement de l’allée Louis Jouvet, tout près de leur caserne, 3 sapeurs-pompiers ont été agressés par individu dont on ignore l’identité comme les motivations (la Nouvelle République du 19/06/2018).
Agression délibérée, piège tendu aux pompiers ou réaction d’un individu déséquilibré ?
Quoi qu’il en soit l’un des soldats du feu est en arrêt de travail pour huit jours.
Les élus locaux et les cadres du Rassemblement national ne peuvent que condamner cette nouvelle agression et exprimer leur solidarité à ceux qui parfois risquent leur propre vie pour en sauver d’autres.

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Incendie de voitures 3 mois de prison pour l’auteur, 20 € d’indemnité pour la victime.

Pvoiturebrule3.jpgrocès tout à fait symbolique au tribunal correctionnel de Blois : on y jugeait un « jeune » de 30 ans, anonyme, et qui a déjà passé plus de 4 années en prison pour, dit-il « des bêtises » (la Nouvelle République du 18/06/2018).
A noter que l’individu avait été surpris par la police en flagrant délit le… 12 mars 2013. Il y a plus de 5 ans !
Il est condamné à 3 mois de prison ferme.
Mais ce qu’il faut retenir, c’est que la victime n’avait reçu de son assurance qu’une indemnité de… 20 € !
C’est bien ce que nous répétons : les victimes de ces incendies sont le plus souvent des gens modestes, et les assurances remboursent très peu, à condition q’elles remboursent selon le contrat souscrit et les exclusions éventuelles.
C’est pourquoi ce fléau doit cesser, sans oublier les proportions que peut prendre un incendie, comme le rappelait la vice-procureure.
Hélas la série continue, nous apprenons le même jour qu’un voiture a été incendiée à Blois rue Jean de la Fontaine, dans le quartier de la Quinière vers 4 heures du matin ce dimanche…

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Blois : l’insécurité au centre-ville, un problème récurrent.

z7891-bis-anonymeMarginaux place Valin à Blois (photo d’archives)
La saison touristique a largement démarré, les soirées sont longues, Blésois et visiteurs sont nombreux aux terrasses dans le centre-ville de Blois.

Malheureusement depuis des années quelques marginaux, pour la plupart bien connus, importunent régulièrement les clients et les passants, quand ils ne se bagarrent pas entre eux sous l’effet de l’alcool.
Certains sont accompagnés de chiens parfois dangereux, au prétexte de se protéger, mais il peuvent aussi s’en servir pour attaquer, y compris contre des policiers en novembre dernier rue du commerce (la Nouvelle République du 12/06/2018).
Les policiers ont du intervenir une nouvelle fois vendredi dernier pour maîtriser un marginal particulièrement violent.
Ce n’est pas hélas la première fois, une série d’incidents et d’agressions en 2016 avait conduit commerçants et riverains et lancer une pétition pour demander au maire de Blois de réagir.
En lire plus …

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Le maire en patrouille de nuit avec la police municipale… pas à Blois, mais à Beaucaire.

Julien Sanchez BeaucaireMaire, officier de police judiciaire, j’étais à nouveau cette nuit en patrouille avec la police municipale.
Ce n’est pas la maire de Blois qui publie cette information sur Twitter, mais le maire Beaucaire, Julien Sanchez.
Un moyen de rappeler l’importance qu’il accorde à la sécurité des ces concitoyens, et de soutenir la police dans l’exercice de ses missions au moment où certains la dénigrent.
Un exemple à suivre pourquoi pas à Blois.
Et si le maire ne veut pas le faire, les élus du Rassemblement national peuvent recevoir une délégation pour le faire à sa place, il y sont tout à fait disposés.

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