Blois : la fin du vélodrome ?

Image d’archives : le vélodrome de Blois. Le « keirin » a été volé l’hiver dernier…
A l’occasion du conseil municipal de mardi dernier, nous évoquions la situation de la ZAD de la Bouillie.
Aujourd’hui la Nouvelle République revient sur le sujet à propos du prix de la Ville de Blois, épreuve sur piste qui se dispute au vélodrome de l’AAJB, situé levée des Pingres dans la secteur de la Bouillie, tout près de la Boire.
« Il se pourrait bien que ce soit le dernier » déclare le président de la section cyclisme, Jacky Jollin , tant les organisateurs bénévoles sont écoeurés par la multiplication des dégradations, des pillages et des incendies.
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Saint Martin Le Beau : qui sont les incendiaires ?

Angélique Delahaye, maire UMP de Saint Martin Le Beau et Député au Parlement européen, n’en démord pas : l’incendie criminel de l’Eglise du village serait un fait divers, un acte de délinquance commis par « des jeunes ». C’est du moins ce qui aurait été dit aux habitants de la commune.
Plus d’une semaine après les faits, l’enquête n’a pas encore abouti, mais la fait que plusieurs foyers ont été allumés contre le bâtiment semble indiquer une volonté délibérée de s’en prendre à l’Eglise.
Dans le semaine, une équipe de FN 37 est venue sur place rencontrer les habitants du village sinistré, et distribuer un document pour dénoncer cet acte criminel. Cette démarche tout à fait naturelle dans une commune qui a placé le FN en tête lors des départementales le 22 mars dernier, n’a pas plu à madame le Maire, qui organisait ce matin un rassemblement afin d’informer la population.
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Flagrant délit : le dealer convoqué dans… 7 mois !

La drogue détruit les jeunes… et entretien l’économie des cités. Une politique assumée par l’UMPS ?
Une fois de plus, les policiers ont fait leur travail en interpellant un conducteur mardi après-midi avenue de Vendôme à Blois.
L’un des occupants de la voiture détenait 72 g de cannabis dont 14 conditionnés en sachet, une balance électronique et 180 euros en espèces (la Nouvelle République du 25 avril).
Le parfait arsenal du petit dealer.
Mais sur instruction du parquet, les policiers ont dû remettre le jeune homme en liberté, en attendant une convocation à l’audience correctionnelle du 25 novembre prochain !
Le manque de moyens de la Justice n’explique pas tout. Les policiers sont nombreux à déplorer ce mode de fonctionnement, qui nuit gravement à l’efficacité de leur action.
Depuis toujours le Front National demande davantage de sévérité pour lutter contre ce fléau qui touche une part grandissante de notre jeunesse.
Il faut dire que Bernard Kouchner, ancien ministre de Mitterrand… et de Sarközy, vient de réitérer sa proposition de légaliser le cannabis.

Blois : les représentants de la Ville à nouveau interpellés sur l’insécurité à la Quinière.

Laura Naegelen et Michel Chassier au marché Quinière lors de la campagne des départementales. 
A l’occasion de l’Assemblée générale de l’Alep (Association de loisirs et d’éducation populaire), l’animateur du Club photo a profité de la présence d’élus de la Ville de Blois pour évoquer   »les dégradations qui sévissent à l’Espace Quinière depuis deux ans (détériorations, incivilités…) ». Des agissements qui reflètent la situation générale du quartier.
Les responsables de la ville ont été obligés de reconnaître les faits,et s’engagent à une « concertation ». Il faudra nous expliquer ce que signifie une « concertation » avec des petits délinquants. Mme Taubira a peut-être la réponse…
La Nouvelle République qui relate cet échange semble s’étonner : « l’homme plutôt calme s’est lâché » en fin de réunion peut-on lire dans cet article.
Comme si le fait d’alerter les élus ou le simple fait de rompre le silence, étaient déplacés. Oui, ce sont des gens calmes, des gens paisibles, qui s’inquiètent. Et l’insécurité n’est pas un fantasme agité par le Front National, comme le prétendent nos adversaires, mais bel et bien une réalité subie au quotidien.
Les élus blésois du FN restent à l’écoute des habitants de la Quinière pour relayer leur message.

Saint Martin Le Beau : le FN 37 réagit.

http://www.dailymotion.com/video/x2nbf0u

Suite aux scènes de guerre civile qui ont touché la petite commune de Saint Martin Le Beau (37), les élus et les militants du FN 37 se sont rendus sur place pour rencontrer les habitants, rompant l’omerta médiatique sur ces événements gravissimes, mais déjà oubliés et relegués à la rubrique des faits divers.
Si les habitants leur ont réservé un bon accueil, ce n’est pas la cas d’Angélique Delahaye, maire UMP de Saint Martin, qui parle de « récupération politique » !  Non Mme Delahaye, votre parti est vraiment mal placé pour nous reprocher de réagir. Ce qu’il faudrait dénoncer, c’est au contraire l’absence de réaction des politiques, comme si ce drame les gênait.
Bravo aux militants du FN 37 !

Eglise incendiée à Saint Martin le Beau. Circulez, il n’y a rien à voir !

Voir le diaporama – Nouvelle république 37 -

Une église classée incendiée, du matériel urbain détruit, 25 véhicules vandalisés à Saint Martin le Beau, en Indre et Loire, tout près de chez nous. La trentaine de pompiers venus d’Amboise, Montlouis, Nord-agglo, Tours-Centre et Azay-sur-Cher n’ont pu maîtriser totalement l’incendie : 400 m2 sur 600 de toiture ont été détruits. L’incendie est d’origine criminelle puisque la Gendarmerie dénombrait 6 départs d’incendie.
Hormis la destruction de cette église, le plus choquant dans cette affaire ce sont les déclarations du Procureur de la république qui a réfuté les termes de « violences urbaines » employés par les élus au motif « qu’il n’y a pas eu d’attaques sur les personnes, et que cela ne s’est pas passé dans une zone urbaine.»(la Nouvelle République du 18/4/15)
Par ailleurs, prétendre que l’église n’était pas visée dès lors que les départs de feu se trouvaient à l’extérieur est un déni de réalité. Les malfaiteurs savaient que les voitures incendiées au pied de l’église étaient la « mèche » qui mettrait le feu à l’église.
Mais de qui se moque-t-il? Que veut-il nous cacher ? Comme si ces incendies n’étaient pas les prémices des « violences urbaines», un terme qui permet de ne pas parler « d’émeutes ».

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Les peurs des infirmières

Le laxisme judiciaire continue, à Blois comme ailleurs, alors que se multiplient, à Paris, les votes de lois supprimant nos libertés.
Un exemple. En juin 2014, un certain Saïd (complaisamment qualifié de « jeune trentenaire ») est conduit aux urgences. Mécontent de la lenteur d’une infirmière, il la traite de « grosse vache et de bonne à rien ». Dans la foulée, se croyant en boîte de nuit, il commence à en « draguer » une autre. Au moment de placer les points de suture, il se met en colère et menace l’infirmière de la frapper si elle continue de le maintenir et de l’attendre à la sortie à la fin de son service.
Bien sûr, Saïd a un casier judiciaire lourd. Bien sûr, il ne se souvient de rien. Bien sûr, l’avocat y voit « la marque indélébile de l’école de la rue et l’absence d’emploi stable ». Comme si tous ceux qui sont au chômage versaient dans la délinquance !

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Beauce : toujours la déliquance.

Une pompe d’irrigation peut valoir plusieurs milliers d’euros. Et l’assurance ne couvre pas le vol.
La présence de nos élus dans les assemblées permet d’avoir accès à des informations qui ne sont pas toujours communiquées au grand public.
Ainsi, à l’occasion d’une réunion du syndicat Val d’eau un de nos élus mérois a pu noter que cette semaine un compteur d’eau avait été volé. Après les vols de cuivre, les ferrailleurs se recyclent ? (*)
Les agriculteurs constatent quand à eux une recrudescence de vol de pompes d’irrigation dans leurs champs. Pompes qui peuvent coûter près de 8 000 euros et que les assurances ne garantissent pas dès lors qu’elles sont en plein champ !
Autres information glanées, cette fois auprès des victimes ou de voisins : 2000 litres de fioul « siphonnés » dans une cuve à Avaray la semaine dernière, le fourgon d’une entreprise qui s’est « envolé » aux portes de Mer…
Bref, la délinquance « ordinaire » qui progresse en Beauce comme ailleurs.

(*) Un article de juillet 2014 nous apprend que les compteurs peuvent être revendus au pris du laiton, soit environ 1 euro le kilo…

Une action criminelle contre l’une de nos candidates ?

Sur la fin de la campagne, le 23 mars, la candidate Front National du canton de Vendôme, Sylvie Barbeau, colistière de Renaud Grazioli, a été victime d’un sabotage de son véhicule.
Un dévissage sans doute d’origine criminelle ou pour le moins délictuelle mais qui n’est en rien accidentel puisque le véhicule avait été vérifié par un garagiste quelques semaines auparavant. Il s’agit bien d’une manœuvre visant un de nos candidats.
Une plainte a été déposée et nous ne doutons pas que l’enquête sera menée avec le sérieux lié à cette affaire que nous considérons comme gravissime.
Nous faisons part à notre amie de notre solidarité même si nous savons que cette agression ne diminuera pas sa volonté de continuer à défendre ses idées démocratiquement.

 

Romorantin : le feu de voiture a failli mal tourner.

« Un quartier bien tranquille d’habitude ».
Chaude alerte dans la nuit de vendredi à samedi à Romorantin. Vers 2 h 30 du matin, les sapeurs-pompiers sont appelés pour un incendie au 1 ruelle des Crottays, en plein centre-ville de Romorantin. C’est un feu de voiture qui s’est propagé à l’immeuble voisin. Il a fallu procéder à l’évacuation de tous les habitants de l’immeuble.
La Nouvelle République qui relate les faits sur son site Internet signale que les vitres de deux autres voitures stationnées à proximité de l’immeuble ont été retrouvées brisées.
Même si « la compagnie de gendarmerie de Romorantin ne privilégie pour l’heure aucune hypothèse » on se doute bien qu’il s’agit d’un incendie criminel, qui aurait pu avoir de graves conséquences.
C’est bien pourquoi la loi se montre sévère à l’égard des incendiaires. Encore faudrait-il l’appliquer et cesser de trouver des circonstances atténuantes aux auteurs de ces feux de voitures à répétition.

Blois : les locaux de l’AAJB à nouveau cambriolés levée des Pingres

Image d’archives FN41 : les locaux de l’AAJB incendiés il y a un an.
Portes fracturées matériel informatique et sportif a disparu : ce mardi matin les responsables de l’AAJB n’ont pu encore une fois que constater les dégâts (source : la Nouvelle République).
On se souvient qu’il y a un an les locaux avaient été incendiés, et on ne compte plus les vols et les dégradations sur ce site proche de la Boire.
Par ailleurs, les Pompiers sont intervenus 3 fois en une semaine dans le secteur pour éteindre des feux de végétation. les riverains sont inquiets.
Contrairement à ce que répète le Maire de Blois, la délinquance ne baisse pas, bien au contraire. Un policier municipal nous le confirmait ces jours-ci, en nous affirmant que les chiffres étaient manipulés pour être rendus présentables.
Mais cela, les Blésois s’en rendent compte par eux-mêmes !

Le Loir et Cher est aussi touché par le grand banditisme.

(image d’illustration)
Les gendarmes d’Herbault ont découvert deux cadavres dans un camion conduit par une personne qui aurait reconnu sa responsabilité dans le double meurtre. Les victimes, Hicham et Smaïn originaires d’Orléans, auraient été frappées, ligotées et assassinées de plusieurs balles dans la nuque. Un règlement de comptes courant dans les milieux de la pègre d’autant que les 2 victimes étaient connues des services de Police et que l’un d’eux avait un casier judiciaire chargé.(la Nouvelle République du 15/3/2015)
Que retenir de cet évènement ?
Le professionnalisme de la Gendarmerie.
C’est par une ronde à 22h15 près de Saint Lubin que les gendarmes ont fait cette découverte. Bravo pour ce travail de terrain ! Avec le redécoupage des cantons nous serons particulièrement attentifs au maintien des brigades dans les ex-chef lieux de cantons.
La délinquance criminelle augmente.
Ce double crime montre que notre région, particulièrement le Loir et Cher, est gravement contaminée par les milieux du crime, souvent lié au trafic de drogue. Le jeune homme qui a été arrêté par les gendarmes n’a sans doute pas agi seul. En effet, il présente un handicap physique qui fait qu’il semble peu crédible qu’il soit venu à bout des deux victimes dont l’une était une force de la nature. En voulant endosser toute la responsabilité du crime, le suspect cherche peut-être à se protéger avec sa famille d’éventuelles représailles. Le Parquet reste discret et silencieux car l’enquête, qui devrait révéler un maillage plus important qu’il n’y parait, est loin d’être terminée.

ZUP de Blois : encore une voiture brûlée rue Vasco de Gama.

(images d’archives – novembre 2014)
Jeudi soir vers 20 h 30  une voiture a été incendiée rue Vasco de Gama à la ZUP de Blois. Selon la Nouvelle République, il s’agirait d’une voiture volée qui a été incendié volontairement, sans doute pour effacer les traces.

ZUP de Blois : insécurité, délinquance et discrimination positive.

Le préfet s’est rendu au centre social Mirabeau pour parler avec une vingtaine de femmes de la ZUP. On note au passage que le préfet se déplace à la Zup et l’on se demande s’il va faire la même démarche dans les autres quartiers de Blois. Possible, mais s’il ne le fait pas, certains penseront à juste titre que le préfet, donc l’Etat, a ses préférés et que la discrimination positive est en action dès le petit déjeuner.
L’article qui évoque cette rencontre commence par un titre accrocheur mais dont, bizarrement, on ne retrouve pas l’essentiel dans le fil du discours: « Inégalités, peurs, discriminations… Une vingtaine de femmes des quartiers nord ont raconté leur quotidien au préfet ! » Telle est la première phrase de ce compte rendu.(la Nouvelle République 12/3/2015)
Et pourtant, ce qui ressort de l’article ce ne sont pas les inégalités ni les discriminations mais les peurs. Peur de sortir le soir à la maison de Bégon, peur des regroupements de « jeunes qui se battent en bas de l’immeuble ». Une réalité que le préfet va sans doute prendre en compte en augmentant les moyens de Police sur le secteur.
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Saint Georges sur Cher : l’auto école cambriolée et saccagée.

Dans la nuit de vendredi à samedi, des malfaiteurs se sont introduits dans les locaux de l’auto-école de Saint Georges sur Cher en forçant un porte pourtant sécurisée à l’arrière du bâtiment. Tout le matériel a été volé : ordinateur, écran, télécommandes, et le local a été entièrement saccagé. Selon un procédé désormais classique, les malfaiteurs ont brouillé les traces de leur passage en vidant le contenu d’un extincteur à poudre.
L’épicerie du centre commercial de Saint Georges sur Cher avait été victime d’un cambriolage, là encore les malfrats avaient fracturé la porte arrière.

La Boire continue de flamber !

Un an déjà que la campagne des municipales a remis en selle Marc Gricourt à  la mairie de Blois. Pourtant, la délinquance ordinaire continue, rien n’a changé en Blois Vienne ni aux Cornillettes. Les incendies de voitures sans doute volées continuent de se multiplier.
La photo ci-contre a été prise hier vendredi vers 17 h 30. Cette fumée noire qui s’élève dans le ciel bleu ce n’est pas la première et l’on se demande pourquoi les pompiers ne sont pas alertés pour éteindre l’incendie. Est-ce parce que cela leur est interdit par leur hiérarchie ou parce qu’ils ne veulent pas se faire agresser ?
En pleine  campagne électorale, à la différence des autres candidats,  le FN parlera de la délinquance et de l’insécurité dont souffrent nos compatriotes. Le conseil départemental a son mot à dire dans la prévention !

La délinquance commence tôt si on laisse faire !

Arrêtons de minimiser les faits quand ils sont graves. Lorsque l’on qualifie de « gamins sans histoires, bien insérés » des cambrioleurs récidivistes, on minimise les faits et on favorise la récidive. (la Nouvelle République du 5/03/2015)
Les faits.
Cinq cambrioleurs de 15 à 18 ans ont été arrêtés par la Police de Blois à La Chaussée Saint Victor alors qu’ils voulaient dévaliser une maison à 1h du matin. L’alarme qui s’est déclenchée a déjoué leur plan et interrompu leur manège grâce à l’arrivée rapide de la Police qui les a arrêtés. Bravo la Police !
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Billy : 2 entreprises ravagées par un incendie criminel.

Dans la nuit de samedi à dimanche, un incendie particulièrement violent a ravagé 2 entreprises mitoyennes situées sur la route de Blois (D956).
L’alerte a été donnée vers 23 heures par des automobilistes, nombreux à emprunter cette route passagère.
Selon la Nouvelle République, la piste de l’incendie d’origine criminelle est privilégiée par les enquêteurs, car une porte a bien été fracturée à l’arrière du bâtiment.
L’enquête devra le confirmé. Mais en attendant, les deux entreprises sont à l’arrêt, 20 employés en chômage technique, et les deux chefs d’entreprise partagés entre l’abattement devant l’étendue des dégâts et la colère face à un acte criminel.
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Loir et Cher : seulement 1 condamné sur 10 va en prison

La prison de Blois pendant les émeutes de 2013 : 1 million d’euros de dégâts.
Si nous avions avancé ce chiffre, nos détracteurs habituels se seraient exclamés : « le Front National exagère, c’est complètement faux ! »
C’est pourtant bien la réalité, que révèle un article de la Nouvelle République du 23 février.
Sur 1000 condamnés à une peine de prison actuellement en Loir et Cher, 102 sont incarcérés. Faites le calcul.
L’article révèle, ou plutôt confirme ce que nous avions déjà, via le témoignage des surveillants, au sujet de l’omniprésence de la drogue à l’intérieur des établissements, mais le bâtonnier Damien Vinet explique que « pendant que les détenus fument leurs joints, ils sont peinards. Le système carcéral ferme les yeux sur la drogue. C’est une manière d’avoir la paix« .
Le directeur de la prison le reconnaît : «  si, demain, on enlève tout, cela devient ingérable« .
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Encore une agression de personnes âgées !

Un couple de personnes âgées a été agressé à son domicile par des cambrioleurs, jeudi en fin d’après-midi. Les 4 agresseurs ont fait irruption dans la maison des victimes située à l’écart de La Ferté Saint Cyr, en lisière des bois. Les malfaiteurs ont brutalisé (la Nouvelle République dit « secoué »!) puis ligoté les deux octogénaires. On ne sait pas encore ce qu’ils ont volé. Les 2 victimes qui ont pu alerter les secours après le départ des malfaiteurs ont été conduites au centre hospitalier de Blois. Les recherches ont été engagées sans aboutir pour l’instant.
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Récupération, amalgame ou provocation ?

Tous les tags ne font pas l’objet du même traitement par les médias. Seul le Front National les condamne dans tous les cas.
La Nouvelle République croyait peut-être publier un « scoop » hier sur son site Internet avec un titre accrocheur : « des tags antisémites en centre-ville de Blois« . Avec une photo à l’appui montrant une croix gammée tracée sur un mur de la rue des Juifs. L’information est reprise dans l’édition du 18 février, avec un bémol toutefois, indiquant que ces inscriptions auraient été tracées il y a plus d’un mois, après les attentats islamistes de Paris.
Selon d’autres témoignages, ces graffiti remonteraient au mois de décembre.
Alors pourquoi en reparler précisément le 17 février ? Peut-être dans l’intention de faire croire à une montée de l’antisémitisme partout en France, suite à la profanation d’un cimetière juif dans le Bas-Rhin.
En tout cas le mouvement des jeunes communistes n’a pas tardé à récupérer l’info pour publier un communiqué rappelant que « la lutte contre le fascisme doit être une lutte quotidienne et sans merci car il gangrène tous les jours un peu plus notre société« .
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Blois : la Police montre son efficacité, la Justice ne suit pas

Véhicule de l’Association des Paralysés de France brûlé lors des émeutes de novembre.
La Police fait son travail quand on lui donne les moyens de le faire. A Blois comme ailleurs. Deux voleurs de 15 et 16 ans ont été interpellés, vendredi, par les policiers après un cambriolage au cours duquel, le 23 janvier, dans les locaux de l’association des paralysés de France rue Arago, ils avaient volé 2 voitures, 9 ordinateurs portables et 2 téléphones (la Nouvelle République du 11/02/2015).
Les empreintes trouvées dans un véhicule volé correspondent à celles d’un jeune homme de 16 ans, « déjà connu de la Police pour des vols et conduite sans permis ». Le comble est qu’en juin dernier, il avait déjà été entendu pour un cambriolage commis dans les locaux de cette même association. C’est bien la preuve que la justice de Christiane Taubira n’impressionne pas les délinquants. Avec elle, la récidive est au coin de la rue. Il a, bien sûr, nié les faits malgré les empreintes trouvées et le fait qu’un témoin l’ait formellement reconnu. Toutefois, après une 2° convocation au commissariat il a fini par reconnaître sa participation.
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Le fait divers de « l’avenue de France » passé sous silence par la presse.

Photo de novembre 2014 : archives FN41. 

D’après deux sources sûres qui étaient présentes au moment des faits, dimanche 1er Février dernier, s’est produit un fait pour moitié relaté par la Nouvelle République, qui explique qu’à la suite d’un accident, aussi banal soit-il la police ait dispersé un attroupement. En réalité un véhicule de marque Audi et une autre de marque BMW qui faisaient une course de rue dans le quartier ont provoqué un accident avec une Ford Focus. La BMW aurait fini sur le toit et serait hors d’usage suite au choc. C’est à la suite de l’arrivée des secours que l’attroupement d’une trentaine de jeunes est survenu, menaçants envers les pompiers et les forces de l’ordre, venues pour assurer la sécurité des lieux.
Cela montre encore une impuissance des forces de l’ordre face à ceux qui veulent faire de nos quartiers des zones de non droit où tout est permis et où la sécurité des habitants ne peut plus être assurée : il ne faudrait pas « faire de vagues ». Heureusement, aucun blessé grave n’est à déplorer. 

Mer : un minibus incendié.

C’est tout ce qui reste d’un minibus retrouvé incendié à Mer. Il aurait été signalé la veille circulant tous feux éteints dans les environs.
La veille les pompiers de Mer et les plongeurs de Blois sont intervenus dans l’ancienne drague, à Suèvres, pour sortir de l’eau un véhicule utilitaire immergé (source : la Nouvelle République).
Un de nos amis mérois, Robert Krysik a été cambriolé, la moto de son fils a été volée… et heureusement retrouvée le lendemain abandonnée le long de la route de Muides avant le pont.
Voilà les dernières illustrations du climat d’insécurité autour de Mer. 

Insécurité permanente mais Police efficace

La police a été rapide. Moins de trois heures après deux vols à l’arraché survenus mardi en fin de matinée à Blois, les policiers du commissariat ont arrêté l’agresseur, une Marocaine, de 28 ans. Placée en garde à vue, elle a reconnu les faits en expliquant qu’elle était sans domicile fixe depuis un mois et avait besoin d’argent pour acheter de la drogue. Elle sera déférée le 13 mai devant le tribunal de grande instance de Blois. Un délai plus rapide que les 6 mois habituels. On ne peut que s’en réjouir même si la comparution immédiate aurait plus de sens et d’efficacité.
Les victimes, deux Blésoises de 51 et 75 ans ont récupéré les sacs à main dans lesquels il manquait de l’argent et la puce d’un téléphone portable. Ce qui montre bien que le vol était programmé, préparé par quelqu’un d’habitué à voler.
Une question, dans cette affaire, qui sera stigmatisée, l’agresseur ou les victimes dont une souffre d’un handicap ? Pas certain du tout que ce soit l’agresseur.

Mathilde Paris invitée de la rédaction sur TVTours

Mathilde PARIS, tête de liste « Un autre avenir pour Blois » était jeudi soir l’invitée de la rédaction de @TVTOURS. Revoir la vidéo....

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