Prison de Chateaudun : un surveillant sauvagement agressé aux cris de « Allahou akbar »

Tract diffusé par une organisation syndicale suite à l’agression d’un surveillant à Chateaudun. (cliquez sur l’image pour agrandir)
Nous avons été alertés par des surveillants de prison de Blois de l’agression de l’un de leurs collègues à Châteaudun.
Mardi 3 février vers 7 heures, un détenu armé d’une paire de ciseaux a sauvagement agressé un surveillant. Enduit d’un liquide huileux, torse nu, l’individu avait manifestement prémédité son acte. Il s’est jeté sur le surveillant venu ouvrir la porte de sa cellule. Il a tenté de le prendre en otage et lui a asséné de nombreux coups de ciseaux, sur le visage et sur le corps.
Lorsque ses collègues ont pu intervenir, l’individu proférait des « Allahou akbar » en menaçant de tuer le surveillant si les agents arrivés en renfort n’ouvraient pas toutes les portes des cellules de l’unité.
Grâce au sang-froid et au professionnalisme de l’équipe, le détenu a pu être maîtrisé et placé au Quartier disciplinaire.
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Voiture brûlée à Vineuil

(image d’archives)
La série continue. Une voiture de type Renault Clio a été volée et incendiée sur les bords de Loire, en bordure de la D 951 et à proximité des piles de l’ancien barrage (source : la Nouvelle République). L’enquête permettra peut-être d’en savoir davantage sur l’identité des coupables mais, sans vouloir « stigmatiser », il faut tout de même noter la proximité de la Boire.
Pendant ce temps, mardi, de 19h à 22h, 25 gendarmes du Loir-et-Cher ont contrôlé 165 personnes dans une opération anti-délinquance sur un secteur allant de Blois à la Vallée du Cher. Bilan : 3 alcoolémies positives à Mont-près-Chambord, Vineuil et aux Montils.
Mais les voleurs et incendiaires de la Clio des bords de Loire sont passés entre les mailles du filet.

Blois : que s’est-il passé avenue de France ?

Image d’archives FN41 : avenue de France en novembre 2014.
Lundi dans l’après-midi, la Nouvelle République publiait une brève sur Internet, dans la rubrique « dernière minute ».
Il y était question de l’intervention d’une ambulance des sapeurs pompiers avenue de France qui, pour une raison inconnue, aurait entraîné l’attroupement d’un trentaine de « jeunes » menaçants, au point que la Police a dû intervenir et utiliser des lacrymogènes.
Curieusement, il semble impossible aujourd’hui de retrouver trace de cet incident, ni dans les colonnes du journal, ni le site Internet.
Mais peut-être avons-nous mal cherché ?
Mise à jour. Merci à nos lecteurs attentifs : la brève de la Nouvelle République est toujours en ligne, il est vrais que la recherche n’était pas évidente, voici le lien : http://www.lanouvellerepublique.fr/Loir-et-Cher/Actualite/Faits-divers-justice/n/Contenus/Articles/2015/02/03/CORMENON-Six-personnes-intoxiquees-au-monoxyde-de-carbone-2208371

Blois : les joies de l’immigration choisie ou le laxisme de notre Justice.

Les audiences du tribunal sont la radiographie de notre société. Elles montrent la réalité des maladies qui la rongent. La semaine dernière comparaissaient à Blois Artur et Konsuello, une lettone et un polonais, un couple de concubins qui s’étaient battus à coups de poêle à frire et de matraque télescopique. Rien que de très banal, diraient certains.
Mais que faisait en France Artur dont le casier cumulait 10 ans de prison  ? Pourquoi n’a-t-il pas été refoulé à la frontière ?
La réponse à cette question se trouve malheureusement dans les traités européens, approuvés depuis 30 ans par l’UMPS, mais il est difficile de comprendre qu’un ressortissant européen ne soit pas contraint à exécuter sa peine dans son pays d’origine.
Cette peine de 10 ans a fait dire à l’accusé qu’en France « les policiers sont plus gentils qu’en Pologne ». Le juge a complété cette réflexion en glissant que « les magistrats aussi étaient plus gentils et qu’il comprenait que le prévenu soit mieux en France ». (la Nouvelle République du 2/2/2015).
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Loir et Cher : série d’incendies suspects.

Il n’y a pas qu’à Blois que les voitures flambent… (image d’illustration FN41)
3 incendies de véhicules sont signalés ce week-end par la Nouvelle République.
Le premier, qui touche un véhicule utilitaire samedi 31 janvier peu avant 19 heures à Saint-Firmin-des-Prés semble accidentel puisque le conducteur  était présent sur place. Les sapeurs-pompiers de Vendôme sont intervenus.
Le même soir, vers 21h, c’est au tour des pompiers de Blois d’intervenir pour un feu de voiture au lieu-dit la Bretonnière, sur la commune de Contres.
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Blois : pneus crevés en série sur le mail.

Nous avions été alerté dès jeudi par les infos tournant sur les réseaux sociaux : la page Facebook « Tu es de Blois si… » où au moins une dizaine de victimes faisaient part de leur mésaventure.
Les faits, rapportés ce matin par la Nouvelle République ce sont produits mercredi soir vers minuit, principalement sur le mail, mais aussi rue de Lattre de Tassigny et rue des Jacobins.
Un internaute s’inquiète : il pense qu’en cas de vandalisme « les assurances ne prennent pas en compte les pneus sauf si il y a des dégâts autres comme une vitre brisée ou un optique. » A vérifier selon les contrats, mais il est à craindre que de nombreuses victimes ne soient pas indemnisées.
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Les Turcs et les Kurdes se déchirent… chez nous en France !

Les audiences du Tribunal sont la photographie de notre société et de nos dérives. Il suffit d’assister à une audience du Tribunal Correctionnel de Blois pour comprendre la réalité actuelle que le Big Brother veut parfois nous cacher.
Un exemple parmi tant d’autres : Un homme de 24 ans, en mai 2014, à Mer, agresse un automobiliste qui avait risqué de le bousculer, sans toutefois le toucher. Résultat de l’agression, une fracture ouverte du nez de la victime suivi d’une hémorragie avec en prime des hématomes à l’œil (la Nouvelle République du 26/1/2015).
L’affaire serait banale si elle ne comportait un point capital. L’agresseur est un kurde et l’agressé, un turc. Autant dire que quand on connait la guerre que se livrent ces 2 nationalités en Turquie, en Syrie ou en Irak, on est consterné de voir le risque de voir ce conflit importé en France, sur notre territoire. Voilà comment un simple échange verbal entre automobilistes peut devenir un affrontement communautaire car rien ne dit que l’agresseur ne savait pas à qui il avait affaire.

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Blois : l’association des paralysés de France encore victime de la délinquance

Un véhicule de l’APF incendié lors des émeutes en novembre dernier.
Une fois de plus l’Association des paralysés de France située rue Arago à Blois, a été victime de la délinquance endémique de ce quartier pourtant récemment rénové.
La Nouvelle République parle de « vols et dégradations », il vaudrait mieux parler d’agression, de razzia, de vol avec violence.
En effet les malfaiteurs ont pénétré de force dans les locaux, en brisant la porte qu’on refusait de leur ouvrir.
La personne encore présente dans les locaux s’est fait arracher son téléphone portable pour l’empêcher d’appeler la Police.
En partant ils ont emporté des documents et volé une voiture. Ce vol est une catastrophe pour l’association des Paralysés de France puisque l’on se souvient que plusieurs véhicules avaient été incendiés ou dégradés lors des émeutes de novembre 2014.
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Quelques questions sur un viol

Il est, paraît-il, interdit de critiquer une décision de justice. Nous espérons qu’il est encore possible de poser des questions quand on voit le résultat de certaines audiences à Blois ou Orléans.
Les faits.
Le 21 novembre dernier, la cour d’assises de Loir-et-Cher condamnait quatre jeunes gens pour le viol d’une adolescente de 16 ans, le soir de la fête de la Musique à Blois, le 21 juin 2010. Déjà, une justice qui tranche 53 mois après les faits pour une affaire qui ne requiert pas de moyens extraordinaires, c’est un SCANDALE. C’est bien la preuve de l’incapacité de Christiane Taubira à faire fonctionner son Ministère.
La « condamnation ».
Erdal, Seumin et Najim, dont on ne connaîtra pas les noms pour des raisons mystérieuses du padamalgam, ont été condamnés à 5 ans et le dernier à 7 ans car c’était un récidiviste.
Après avoir passé 4 ans en liberté sous contrôle judiciaire, sans un seul jour de détention provisoire depuis leur mise en examen, ils sont incarcérés depuis le 21 novembre 2014, date du jugement, soit seulement 2 mois de prison.

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A propos du jugement des agresseurs du buraliste des Cornillettes

Une attaque gravissime
Le tribunal de Blois a condamné à 30 mois d’emprisonnement dont 12 avec sursis et mise à l’épreuve les 2 agresseurs qui avaient dévalisé le tabac-presse et agressé le buraliste des Cornillettes le 25 février dernier à Blois.
Dans ce Blog, nous n’oserons pas les qualifier sympathiquement de « braqueurs amateurs » comme si les 19 coups de ciseau portés à la tête du buraliste étaient secondaires. (la Nouvelle République 21/1/15) Nous ne dirons pas non plus que le buraliste a été simplement « molesté » par des « bras cassés ». Cette agression en effet aurait pu se terminer par la mort d’un homme qui a eu le « tort » de se défendre alors qu’il avait déjà été victime à plusieurs reprises. 
Une peine clémente après une agression sauvage
La peine à laquelle ils ont été condamnés mérite quelques questions ou réflexions motivées par le bon sens.
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Les cambriolages continuent comme avant !

Les cambriolages se suivent et se ressemblent dans le département. S’il est vrai qu’ils n’ont pas la gravité des attentats islamistes, il n’en reste pas moins qu’ils touchent dans le quotidien nos compatriotes. Voir sa maison dévastée et les portes fracturées laisse une impression d’insécurité que seuls ceux qui l’ont vécu peuvent en témoigner.
Dans la cantine scolaire de Vernou-en-Sologne de la nourriture aurait été volée, dans des habitations de Saint-Sulpice-de-Pommeray, de Saint-Lubin-en-Vergonnois et d’Herbault, des bijoux ont été dérobés. Le cinquième cambriolage s’est produit dans la nuit de lundi à mardi, à l’office de tourisme de Cheverny. La porte a été forcée et 1000 euros y ont été volés.
Rien ne vaut la vigilance des voisins qui, attentifs aux déplacements nouveaux du quartier, sont à même d’appeler le 17 comme cela a été le cas récemment. Grâce à leur appel, des voleurs ont été arrêtés en flagrant délit à Mur-de-Sologne et à Saint-Laurent-Nouan, vendredi dernier.

De Dati en Taubira : une Justice sans moyens qui se désintègre.

Alors que Christiane Taubira se vante d’avoir fait passer les lois laxistes de la « contrainte pénale » ou celle du « mariage » homosexuel, la Justice se dégrade chaque semaine. Alors que l’on voit les dysfonctionnements judiciaires qui ont facilité la préparation des attentats islamistes, la situation de la Justice, à Blois comme ailleurs, se dégrade.
Des délais de plus en plus longs.
Dominique Puechmaille, procureur de Blois et Christophe Mackowiack, président du TGI, à l’occasion de la rentrée solennelle du tribunal, ont présenté l’état des effectifs et des délais de jugement. Il faut désormais 15 mois pour, renvois compris, faire sortir un dossier au lieu de 5 à 7 mois précédemment ! Cinquante adolescents n’ont pas pu être mis en examen à la date prévue et leur prise en charge a été différée de plus de six mois. Autant dire que l’éventuelle sanction ou le suivi dont ils auraient dû être l’objet n’aura aucun effet sur les jeunes délinquants dont on a déploré les exactions en décembre.
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Blois, Romorantin, Vendôme : faut-il armer la Police municipale ?

Après l’assassinat de Clarissa Jean-Philippe, policière municipale tuée à Montrouge par Amedy Coulibaly, la question de l’armement des policiers municipaux revient sur le tapis. Faut-il oui ou non armer les policiers municipaux comme les fonctionnaires de la Police nationale ?
Il y a un an à Blois, à l’occasion des élections municipales, aucune liste ne l’avait proposé. Il est vrai que les policiers municipaux, que nous avions consulté alors, n’étaient pas unanimes sur le sujet.
Mais l’aggravation de l’insécurité sous toutes ses formes mérite que la question soit réexaminée, ne serait-ce pour que les policiers municipaux puissent se défendre en cas où leur vie peut être mise en jeu.
Nous connaissons parfaitement la répartition des missions entre Police nationale Police municipale, pour les voyous et les délinquants, sans parler des terroristes, ils ne retiennent qu’un mot : « Police » qui est inscrit sur l’uniforme.
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Voitures brûlées : ça continue.

Voiture brûlée à la ZUP de Blois (image d’archives)
Ce matin, l’épave d’une voiture entièrement calcinée était visible sur un parking en bordure de la RD114, entre Chaumont sur Loire et Pontlevoy, près de l’étang de Sudais. Sans doute a-t-elle été abandonnée et incendiée sur place.
Le 8 janvier, la Nouvelle République signalait une voiture brûlée place Lorjou. Selon un correspondant du quartier, il s’agirait de la voiture de la pharmacienne.  

Coups de feu à Blois et Vendôme.

Dans le climat de tension qui pèse sur la France depuis les attentats, deux incidents viennent de nous être rapportés.
Hier soir à Blois, un témoin nous dit avoir entendu des coups de feu derrière le lycée Camille Claudel.
Plus grave semble-t-il à Vendôme, dans le quartier des Rottes, une personne nous relate qu’elle a entendu des tirs nourris.
Alors que cette personne a voulu regarder par sa fenêtre ce qui se passait, elle en a été dissuadée par des tirs de billes plastiques dans sa direction.
La scène fait penser à un règlement de compte. La Police est venue ensuite patrouiller dans le quartier, mais les individus avaient déjà disparu.

Voiture incendiée rue Dumont d’Urville : pas d’amalgame !

C’est en 2 lignes que la Nouvelle République relate l’incident : « Les pompiers ont dû intervenir, dans la nuit de mardi à mercredi, peu avant 1 h du matin, rue Dumont-d’Urville, à Blois. Une voiture était en train de brûler« .
Nous n’en saurons pas davantage sur les causes de l’incendie. Nous ne saurons pas davantage si les pompiers ont fait appel à la protection de la Police.
Toujours est-il que malgré l’émotion et le deuil après les attentats de Paris ne semble pas toucher les délinquants qui sévissent régulièrement dans le secteur.
Mais attention : il ne faut surtout pas faire d’amalgame !

La drogue en vente libre Place Lorjou. Pas vraiment une nouvelle !

Plusieurs personnes ont été interpellées après la découverte d’un réseau de fournisseurs de drogue Place Lorjou.(la Nouvelle République du 13/1/15) Encore une fois il faut féliciter la Police pour sa compétence et son efficacité qui ont permis ce succès. Encore une fois il faut dénoncer le mauvais fonctionnement de la justice de Christine Taubira puisque ces drogueurs sont ressortis libres du commissariat avec une convocation pour… le mois de septembre, dans 6 mois.
Comment voulez-vous qu’avec ces lointaines perspectives de sanctions ces délinquants craignent et respectent notre société et nos Lois?
Il faut savoir que l’arrestation a eu lieu le 6 décembre au moment où la place Lorjou flambait sous les briquets de « jeunes en mal de repères ». Certains analystes y voyaient déjà un lien entre l’économie souterraine de la drogue, mais à ciel ouvert, et la présence de la Police dans le quartier. Un peu comme si la Police venait déranger un bon petit commerce juteux et toléré par les bons esprits de la gauche bobo.

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Attention aux provocations… et aux amalgames !

En mars dernier, un impact de balle avait été relevé dans la véranda d’un candidat FN à Mer. La Nouvelle République avait parlé de « jet de pierre », la Parquet a classé.

Vendredi matin 9 janvier, des impacts de balles ont été relevés dans deux lieux de Vendôme : sur un tabac du quartier des Rottes et un lieu de prière de la rue de Montoire. Les autorités municipales se sont aussitôt déplacées pour exprimer leur solidarité avec la communauté musulmane. Il est évident que nous condamnons ce genre de réaction anonyme et stupide que notre élu vendômois Renaud Grazioli a également dénoncé fermement. Nous attendons toutefois avec impatience la suite qui sera donnée à l’enquête de la Police. Elle peut réserver des surprises. Alors que la France est sous le coup des armes meurtrières des islamistes français depuis 15 jours, certains pourraient vouloir laisser croire que 2 impacts de balles peuvent être mis en parallèle avec les 17 morts (*) que la France vient de subir. Afin de laisser croire que la violence aveugle frappe dans les 2 sens. Nous n’avons pas la mémoire courte ; nous avons par le passé constaté que de nombreux attentats ou agressions bidons (**) avaient été organisés afin de détourner l’attention de nos compatriotes et les culpabiliser. Attendons la fin de l’enquête. De même, des « tags islamophobes » auraient été découverts rue Foulerie… tout près de notre permanence. Et si c’étaient les mêmes personnes qui avaient tagué notre façade il y a une dizaine de jours ? Et qui ont abondamment tagué le quartier, en particulier les degrés Saint Louis de « je suis Charlie » ? En lire plus …

Malgré de deuil national, pas de trève pour les délinquants.

Hier soir à Blois, ce sont 26 voitures qui ont été dégradées sur le parking de la résidence  » Brocéliande » au 15 rue du pressoir blanc : vitres brisées, pneus crevés etc.
Ce quartier tranquille a le malheur d’être situé entre la gare et la ZUP de Blois. La prochaine ouverture de la passerelle risque d’ailleurs d’augmenter la fréquentation du secteur par des individus pas forcément désirés.
Cela montre en tout cas que ces petits voyous n’ont cure du deuil national qui touche la France, et qui a rassemblé hier plusieurs centaines de Blésois dans la cour de l’hôtel de Ville.
Au contraire, ils ont peut-être profité de la mobilisation des forces de l’ordre sur d’autres priorités pour commettre leur minable forfait.

(source : un résident du quartier)

« Tout s’est bien passé, Madame la Marquise ! »

La police déplore un feu de voiture dans le quartier de la Quinière à Blois et un feu de poubelle près de l’église de la Trinité à Vendôme.
C’est mieux qu’au 31 décembre 2013, ou l’on avait signalé 4 voitures brûlées dont 3 à Blois (en fait un ami pompier nous avait indiqué un total de 7 véhicules détruits « par contagion »).
On ne peut que se féliciter de l’efficacité du dispositif mis en place par les forces de l’ordre et qui a permis de limiter les dégâts.
En revanche les cambrioleurs n’ont pas chômé, puisqu’une dizaine d’habitations de Villebarou ont été cambriolées entre 18 h et 22 h, mercredi soir. Les cambrioleurs ont probablement repéré des maisons dont les occupants étaient partis réveillonner.
Doit-on en conclure que le passage de 2014 à 2015 s’est « passé en douceur dans le département » (la Nouvelle République du 01/01/15). Avant d’en être certains, il faudrait connaître la liste exhaustive des méfaits commis cette nuit-là.

Noël en prison : pas de cadeaux pour les gardiens !

La prison de Blois lors de la mutinerie de septembre 2013.
Pour le personnel pénitentiaire, jours fériés ou pas, il faut toujours travailler dans les mêmes conditions, Noël et le Jour de l’An ne font pas exception. Par contre les détenus reçoivent des cadeaux offerts par quatre associations ! C’est le monde à l’envers, et le représentant de FO pénitentiaire ne manque pas de le rappeler : « ce qui me révolte, c’est que l’on ne pense pas au personnel. Et j’aurais aussi aimé que l’on pense aux familles détruites à cause de cette population carcérale. On leur donne tout » déclare-t-il à la Nouvelle République du 29 décembre.
Nous serions curieux de connaître dans le détail ces quatre associations, de même que le budget que cela représente, et qui finance ?
Pour en avoir une idée, il suffit de voir qu’une association de soutien aux prisonniers et à leurs familles reçoit 1500 euros de subvention de la Ville de Blois, alors qu’une association de visite aux malades en milieu hospitalier reçoit seulement 200 euros…
Nous serions curieux de savoir si toutes personnes qui vivent dans la précarité, dont beaucoup de personnes âgées et isolées, reçoivent quatre colis de Noël !

 

Voitures brûlées : un article provocateur ?

Image d’archives : voiture brûlée rue Dumont d’Urville, il y a presque un an ! (photo FN41)
Rappeler au lecteur, comme le fait la Nouvelle République du 27/12/14, qu’il est difficile de trouver une place de parking à Blois, en centre-ville, et lui déconseiller toutefois d’aller se garer rue Dumont-d’Urville parce que plusieurs véhicules y ont été incendiés la semaine dernière nous semble d’un goût douteux.
Rappeler de même que 94 véhicules ont été  incendiés cette année dans la ville, principalement dans les quartiers nord, et espérer qu’on ne franchira pas la barre des 100 avant 2015 nous semble d’un goût encore plus douteux. C’est presque une incitation à battre un record. Même ce chiffre constitue une information, cela aurait pu attendre quelques jours, à l’heure du bilan.
Nous sommes certains que si, dans ce Blog, nous avions écrit de tels propos nous aurions été montrés du doigt et désignés à la vindicte des bien pensants. Avec une plainte à la clé ?

Encore deux voitures brûlées à la ZUP de Blois

Rue Dumont d’Urville, avenue de l’Europe, Place Lorjou : un secteur « chaud » de la ZUP de Blois.
Quatre lignes sur Internet dans une brève de la Nouvelle République. Le phénomène est devenu tellement banal que les médias le traitent comme un simple fait divers.
Pourtant ces incendies volontaires ont une autre signification. Qui pourrait croire qu’il s’agit d’actes isolés commis par des jeunes désoeuvrés ?
Au contraire, nous pensons qu’il s’agit d’une stratégie de harcèlement délibérée, destinée à maintenir ces quartiers sous tension.
Les sapeurs-pompiers ont dû intervenir deux fois durant la nuit de Noël : vers minuit et demie avenue de l’Europe, et à 3 heures du matin rue Dumont d’Urville.
La Nouvelle République précise que les deux interventions se sont déroulées sans incident. On imagine que les pompiers étaient sous protection policière, comme c’est devenu la règle à la ZUP.
Tout cela fait craindre des incidents plus graves pour la fin de l’année.
Mise à jour du 26/12 : selon la Nouvelle République, au moins un autre véhicule a été incendié dans la nuit du 25 au 26 décembre à hauteur du 40 rue Dumont d’Urville. La NR revient sur l’info publiée hier, en annonçant que « plusieurs véhicules ont été incendiés dans la nuit du 24 au 25 décembre ». Combien ? Nous le saurons peut-être dans la journée.

Blois : les incendies volontaires continuent à la ZUP

Image d’archives FN41 (émeutes de la ZUP)
Un scooter a brûlé face au 26 bis, rue Lavoisier (*), vers 1 h 45, hier matin. Les pompiers de Blois sont intervenus sous protection policière, ce qui en dit long sur le climat du quartier. Mais la Nouvelle République retient que le feu a pris « pour une raison indéterminée« . Surprenant, non ?Une heure avant, c’est une Peugeot 205 qui a été incendiée rue de Villoiseau.
Nous avons tout lieu de penser qu’il s’agit d’incendies criminels. Le harcèlement d’une prétendue minorité délinquante continue en ce début de vacances scolaires !
L’information deviendrait banale si nous ne rappelions que ce matin, lundi, les propriétaires des véhicules devront passer au moins 2 heures pour effectuer les démarches auprès du Commissariat et de l’assurance. Sans compter qu’ils devront trouver un  moyen de locomotion pour rejoindre leur lieu de travail et que leur véhicule ne sera remboursé qu’à hauteur de son ancienneté. C’est-à-dire pas grand-chose. A moins qu’il ne s’agisse d’un scooter volé, un de ceux qui envahissent le vendredi soir la Place Jean Jaurès ! Affaire à suivre !

(*) ce quartier tranquille est aussi un raccourci entre le haut de la Ville et la ZUP, en particulier pour les deux-roues.

Blois : fin d’année sous tension ?

Apparues d’abord place Lorjou, ces affiches sont désormais à Auchan. Un signe avant-coureur ?
A l’approche des fêtes, le maire de Blois a préféré « délocaliser » le concert de Rap prévu à la Halle aux Grains.
Cela suffira-t-il pour éviter les débordements ?
En même temps, on voit se multiplier les affiches dénonçant les « violences policières » : depuis le week-end dernier, c’est le parking d’Auchan qui a été ciblé.
De quoi être inquiet pour la soirée du 31 décembre. Nul doute que policiers et pompiers seront en alerte maximum.

Mathilde Paris invitée de la rédaction sur TVTours

Mathilde PARIS, tête de liste « Un autre avenir pour Blois » était jeudi soir l’invitée de la rédaction de @TVTOURS. Revoir la vidéo....

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