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Blois : encore deux voitures brûlées.

Dumont D urvillePhoto d’illustration : incendie de voiture rue Dumont d’Urville il y a un an…
Les feux de voitures continuent en ce début d’année 2018 en Loir et Cher.

Plusieurs incendies « suspects » ont été signalés dans le département, mais dans le doute nous n’en faisons pas état au titre des incendies volontaires. 
Par contre il n’y a aucun doute pour les deux dernières voitures brûlées à Blois : une dont l’épave a été retrouvée dimanche matin en forêt de Blois, allée de Bury. On apprend (la Nouvelle République du 8/01) qu’elle avait été volée précédemment.
Le second incendie s’est produit dans la nuit de samedi à dimanche rue Dumont d’Urville, secteur « chaud » s’il en est pour les feux de voitures, en marge d’une des plaques tournantes du trafic de stupéfiants sur l’Agglomération.

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Blois : une voiture incendiée la nuit dernière rue Jean de la Bruyère.

Rue Jean de la Bruyère voiture brûléeCe n’est pas un « fake » n’en déplaise au petit Macron.
Un voiture a été incendiée la nuit dernière à la Quinière, rue jean de la Bruyère.
Ce n’est pas la première fois que le quartier est touché, malheureusement 2018 ressemble à 2017…
La photo nous a été transmise par un témoin de la scène.
Merci pour cette contribution, nous invitons tous nos amis à nous faire des infos fiables sur leur quartier et à envoyer des photos.

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Délit de fuite aggravé : un « jeune » anonyme en prison.

TribunalPourquoi certains condamnés restent-ils anonymes ?
Pas de changement en 2018 pour le chronique judiciaire. Nous sommes toujours bien dans « l’ancien monde ».

La Nouvelle République rend compte ce matin du procès d’un « bon samaritain » devant le tribunal correctionnel de Blois. 
Ce « jeune homme, âgé de 25 ans » s’était proposé pour aider deux jeunes femmes à garer leur voiture place de la République.
Manque de chance l’individu, qui n’était manifestement pas inconnu de la Police, est repéré par une patrouille.
Il faut dire qu’il a déjà été condamné deux fois pour conduite sans permis et une fois pour refus d’obtempérer. Un « bon client » en quelque sorte.
Le « jeune homme », avec les deux passagères à son bord, prend alors la fuite dans les rues de Blois, sans prendre garde aux piétons ni aux autres usagers.
Finalement arrêté il tentera de nier l’évidence…
Le tribunal le condamne à 7 mois de prison ferme et, miracle, on lui trouve une place à la maison d’arrêt de Blois !
Pour la petite histoire, le « jeune » en question déclare suivre une formation d’éducateur. Nous serions curieux de savoir pour quel organisme.
Mais une fois de plus nous ne saurons pas le nom de cet individu, qui peut-être défraiera à nouveau le chronique judiciaire dans quelques mois.
Et pendant ce temps on se demande comment faire baisser le nombre de victimes sur les routes…

Au moins 1031 voitures brûlées pour la Saint Sylvestre.

CollombfouLes explications de Gérard Collomb n’ont pas convaincu les policiers.
C’est le bilan officiel communiqué par le ministère de l’Intérieur, sans doute en deçà de la réalité.

En effet depuis plusieurs années les autorités ne comptent plus les véhicules détruits « par contagion ». Autrement si le feu a été mis à une voiture mais en a brûlé deux autres, le ministère de l’Intérieur n’en comptabilise qu’une.
Ce bilan encore provisoire est en nette augmentation par rapport à l’an dernier, ce qui démontre bien que rien n’a changé en dehors du style et de la communication.
En Loir et Cher deux feux de voitures sont signalés à Blois, avenue de l’Europe et rue Michel Détroyat, ainsi que des feux de conteneurs avenue du Maréchal Leclerc.
Plus grave, la soirée du 31 décembre a été marquée par plusieurs agressions de policiers à Champigny sur Marne, à Aulnay sous Bois, à Stains… Mais pour Gérard Collomb les choses se sont plutôt bien passées : « dans l’ensemble, les gens ont pu jouir de la nuit de la Saint-Sylvestre de manière pacifiée. »
On attend toujours que le ministre ou le gouverneur Macron se rende au chevet de la policière lynchée à Champigny.
Marine Le Pen a réagi dès hier, non seulement pour condamner cette énième agression de policiers, mais aussi pour demander des mesures, que les députés FN ont déjà proposé en vain à l’Assemblée nationale : les députés-godillots « en Marche » s’y étaient opposés.

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Un jeune blessé par balle à la ZUP de Blois : la presse confirme.

revolverRevolverNous avions publié l’information dès dimanche, la Nouvelle République confirme aujourd’hui, en expliquant que « l’information n’a été connue que ce jeudi.« 
Un jeune homme de 21 ans a été blessé par balles dans la nuit du samedi 2 au dimanche 3 décembre, à la ZUP de Blois.
Selon la NR, la victime a été touchée à un genou et à une jambe par des individus armés qui l’ont d’abord frappée avant de tirer.
L’agression, sans doute un réglement de compte,  s’est déroulée vers 0h30 rue Dumont-d’Urville.
La même nuit vers 4 heures du matin des coups de feu ont également été tirés contre la porte d’un appartement rue Roland-Garros, sans faire de blessé.
L’enquête est en cours pour retrouver les différents protagonistes.
Une fois encore, notre blog a été le premier média à publier l’info.

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Règlement de compte à la ZUP de Blois, un blessé.

zup1Image d’archive. La ZUP de Blois est toujours sous tension.
Nous l’apprenons d’une source sûre, un règlement par arme à feu a fait un blessé hier soir à la ZUP de Blois dans un halle d’immeuble.

Ce serait l’auteur des premiers coups de feu qui aurait été atteint. La situation demeure tendue dans le quartier.
Aucune information n’a filtré pour le moment dans la presse. Les derniers faits similaires remontent au 2 novembre, il semble que les protagonistes n’aient pas été identifiés.
Est-ce que nous en saurons plus cette fois ci ? Rien n’est moins sûr.

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ZUP de Blois : après les policiers et les pompiers les racailles s’en prennent au personnel d’une crèche.

Crèche Marie CurieAprès les policiers et les pompiers, c’est le tour du personnel des crèches d’être la cible des racailles (la Nouvelle République du 25/11/2017).
Cela s’est passé le lundi 20 novembre, mais il a fallu attendre quelques jours avant que la presse en parle.
Ce soir-là, 3 employées, des agents municipaux, ont été violemment prises à partie par une quinzaine d’individus en sortant des locaux de la crèche Marie Curie, place du Docteur Roux, au coeur d’un quartier entièrement rénové dans le cadre du PRU.
Les trois personnes déclarent avoir été menacées verbalement et physiquement, elles ont été contraintes de se réfugier dans l’école pour appeler les forces de l’ordre.
Conscient du fait que les sujet est « extrêmement sensible« , la maire a  fermement condamné « des actes intolérables » avant de convoquer une conférence de presse sur les lieux mêmes de l’agression le 24 novembre, pour annoncer entre autres l’installation d’une nouvelle caméra de vidéosurveillance.
Mais en attendant, les agresseurs n’ont toujours pas été identifiés, et si des suspects étaient interpellés, qui peut imaginer que les victimes les reconnaissent formellement, alors qu’elles craignent des représailles ?
Par solidarité, tour le personnel de la crèche a décidé d’exercer son droit de retrait le vendredi 14 et le lundi 27 novembre, entraînant une fermeture de la crèche.
Déjà le centre d’examens de santé de CPAM et une antenne de la CARSAT situés à proximité avaient fermés leurs portes pendant deux jours à mi-novembre après une multiplication de dégradations et d’agressions verbales.
Une fois de plus nous sommes obligés de faire le constat d’échec de la politique de la ville, après les 243 millions d’euros engloutis dans le Plan de Rénovation Urbaine et les millions d’euros déversés depuis des années par la Ville, le Département, la Région, l’Etat, la CAF pour tenter, en vain, d’acheter la paix sociale.
Pendant ce temps, une partie de ces jeunes issus de l’immigration extra-européenne n’ont fait que se radicaliser et rejeter toute idée d’intégration, dans le silence complice des autorités et des médias.
Et ce n’est pas une caméra supplémentaire qui changera grand chose, tant que l’on aura pas mis un terme à cette politique d’immigration massive dont nous payons aujourd’hui les conséquences.
Pour cela, il ne fait pas compter sur les politiciens en place, gauche et droite confondues, y compris les macronistes, le seul recours demeure le Front National.
C’est bien pourquoi il est attaqué de toutes parts.
Mais devant une telle situation, ce n’est pas le moment de douter ou de regretter le résultat de la présidentielle, il faut serrer les rangs et rejoindre le seul mouvement capable de défendre la France et les Français autour de Marine Le Pen.

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Fatwa bancaire contre la FN : la riposte.

Image de prévisualisation YouTube

Face à cette attaque d’une nouveau genre, chacun doit réagir, diffuser un maximum l’information et pour les personnes clientes de la Société Générale agir selon leur conscience.
Marine le Pen a déposé plainte pour discrimination contre la « banque de la honte ».

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Société Générale : la fermeture des comptes du FN est bien une décision politique.

Hashtag SGLe hashtag #JeQuitteLaSG fait le buzz sur Twitter.
La Société Générale  a beau démentir, sa décision non motivée de fermer les comptes du Front National est bel et bien politique.

En effet, les comptes du FN sont, comme ceux de tous les partis, étroitement surveillés par la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques, qui publie son rapport tous les ans.
Comme le rappelait ce matin Marine le Pen, le FN dispose de ressources stables, les résultats aux dernières élections législatives lui garantissant un financement dont le montant est connu pour les 5 prochaines années, il dispose également des adhésions et du reversement des élus.
Après les élections de 2017, où il a fallu pré-financer les campagnes, le FN est dans l’attente des remboursements par l’Etat, prévus début 2018, mais c’est la même chose pour tous les candidats et toutes les formations politiques qui ont dû leur consentir des prêts ou des avances.
Le motif est donc bien ailleurs. Sinon comment expliquer que les banques n’aient pas clôturé les comptes de l’ex UMP, dont Les Républicains ont hérité de la dette abyssale et qui a vu ses ressources divisées par 3, et que dire du PS, quasiment en faillite ?
Non, il est évident que la décision est politique.
Encore une fois, ceux qui espéraient la mort du FN ont raté leur coup. Les observateurs de bonne foi sont bien obligés de reconnaître que la dynamique autour de Marine Le Pen est repartie, en dépit des tous les efforts des médias du système.
Il fallait donc passer à l’étape suivante, tenter l’asphyxie financière.
Ce genre de décision ne doit rien au hasard, ni à la situation financières du FN, qui a été bien pire en 2007.
Mais il faut savoir pour cela qui est le Directeur général de la Société Générale, Frédéric Oudéa.
Cet inspecteur des Finances a travaillé comme conseiller au ministère du Budget d’un certain Nicolas Sarközy de 1993 à 1995, Il est également proche de François Pérol, alors Secrétaire général adjoint de la présidence, et de Stéphane Richard, directeur de cabinet de Christine Lagarde.
Des liens par conséquents très étroits avec le monde politique.
La défaite de Balladur, soutenu par Sarkozy à la présidentielle de 1995 bloque alors sa carrière politique. A-t-il été au courant des soupçons de financements occultes de la campagne ?
En 2003 il est nommé directeur financier de la générale, où il va « découvrir » l’affaire Kerviel, avant de succéder à Daniel Bouton comme PDG suite au scandale.
En 2016, la Société générale est la principale banque française concernée par le scandale des Panama Papers. Un parlementaire demande alors la démission de Frédéric Oudéa, soupçonné d’avoir livré un faux témoignage au Sénat au sujet de sociétés offshore créées par la banque, et demande des suites judiciaires. Curieusement le bureau du Sénat renonce à le poursuivre en justice pour faux témoignage au sujet de ces déclarations faites sous serment lors d’une audition au Sénat.
Les relations politiques sont parfois bien utiles, surtout si l’on détient quelques secrets.
Cela n’empêche pas son épouse, Amélie Castéra, d’être pressentie par M. Macron comme ministre des Sports en mai 2017.
Nouvelle démonstration des liens étroits entre le mouvement « En marche » et les milieux financiers.
Toujours est-il que M. Oudéa peut difficilement prétendre que la décision de la banque qu’il préside n’est pas de caractère politique.
Le scandale ne fait que commencer.

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Blois, Mer, Vineuil : un important trafic de drogue démantelé.

drogueBien qu’ils n’aient pas toujours les moyens de mener leurs missions, policiers et gendarmes font régulièrement la preuve de leur efficacité.
C’est le cas en Loir et Cher où les policiers de Blois ont mis fin à important trafic de drogue, saisi 4 kg de « marchandise », plus de 6000 € en espèces et procédé à 23 interpellations (la Nouvelle République du 11/11/2017).
Le réseau opérait entre Blois, Vineuil et Mer et livrait plusieurs centaines de clients, dont 250 ont pu être identifiés.
Une opération très bien menée par conséquent et dont on ne peut que féliciter tous ceux qui l’ont préparée et conduite.
La drogue est devenue malheureusement un fléau endémique, elle nourrit une économie parallèle sur laquelle certains politiques préfèrent fermer les yeux afin d’éviter ce qu’ils redoutent le plus : un embrasement des « quartiers ».
Un certain candidat à la présidentielle, soutenu par le maire de Blois, proposait tout simplement de légaliser l’usage du cannabis.
On peut même dire qu’il existe une sorte de « deal » dans certaines villes, où ce sont les trafiquants qui font en quelque sorte la police dans leur quartier en encadrant – à leur profit – les petits délinquants, afin qu’ils ne créent pas de troubles, ce qui serait préjudiciable à leur juteux commerce.
Mais si la Police s’intéresse d’un peu trop prêt à ces réseaux et procède à des interpellations, on assiste comme par hasard à une explosion de ces « violences urbaines » dont politiques et sociologies cherchent les causes, voire la justification du côté d’un sentiment de rejet.
Espérons que ce ne sera pas le cas à Blois, que nous en saurons plus sur l’identité des trafiquants et que la Justice fera son travail, sans quoi les Policiers auront encore l’impression de s’être donné beaucoup de mal pour un résultat décevant.

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Coups de feu à la ZUP de Blois.

Gendarmerie ZUP 11-03Photo d’illustration : malgré les opérations menées périodiquement par les forces de l’ordre, la drogue et les armes sont toujours là.
Dans la nuit de jeudi à vendredi vers 23 heures plusieurs coups de feu ont retenti à la ZUP de Blois.

La Nouvelle République dans son édition du 4/11 parle de 3 coups de feu, selon un témoin, après une altercation.
Les protagonistes n’ont pas été identifiés et l’arme n’a pas été retrouvée.
A vrai dire ce nouvel épisode de violence ne nous surprend pas, des riverains nous avaient déjà signalé des individus armés, y compris en plein jour du côté de la place Lorjou et de la rue de Tourville.

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Véhicules incendiés à Pruniers et à Gy en Sologne.

Voiture incendiée Chemin de la Tanière. Blois

(image d’illustration)
Dans la même nuit de mercredi à jeudi, deux véhicules ont été incendiés à Pruniers en Sologne et Gy en Sologne à quelques kilomètres de distance.
D’abord une voiture vers 22 h 30 à Gy, puis un utilitaire vers 2 heures du matin à Pruniers, près du pont de l’A85.
Une forme de délinquance devenue quotidienne mais que pour autant nous ne pouvons pas accepter de banaliser.
Il est difficile d’obtenir les chiffres annuels, d’autant plus que les véhicules brûlés « par contagion » ne sont pas comptabilisés, mais en se basant sur nos observations et le statistiques nationales, on peut arriver à une estimation de 200 véhicules pas an en Loir et Cher.
Compte-tenu de l’âge moyen du parc des véhicules en circulation, sur la base de 5000 euros par sinistre, cela représente un préjudice annuel d’au moins 1 million d’euros pour notre seul département, somme dont les assurances répercutent la charge sur chacun d’entre nous.
Sans compter le coût que représente la mobilisation des services de secours.
Il serait temps que des peines plus sévères soient prononcées pour ce type de délit.

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ZUP de Blois : nouvelle nuit d’émeutes

moto-_2Image d’archives : place Lorjou en 2014. Rien n’a changé.
Nous relations hier le climat de tension dans la quartier de la Croix-Chevalier après la mort d’une jeune à moto vendredi après-midi.

la Nouvelle République confirme les premiers résultats de l’enquête : il apparaît nettement sur les images de vidéosurveillance que le jeune circulait sans casque et n’a pas respecté la priorité.
D’autre part, comme le pensaient les policiers, la moto incendiée près des lieux du drame était bien celle impliquée dans cet accident mortel.
Après les incidents de dimanche après-midi, où plusieurs dizaines de « jeunes » avaient commencé à lynché l’auteur d’une vidéo publiée par un témoin sur les réseaux sociaux, le face à face avec les forces de l’ordre s’est poursuivi jusque dans la nuit.
Selon la Nouvelle République du 17/10, une cinquantaine d’individus s’en sont pris au mobilier urbain, ont monté une barricade au milieu de la rue de Tourville, incendié des poubelles et lancé des projectiles sur les forces de l’ordre et brisé la vitre d’un véhicule de Police.
Il a fallu mobiliser tous les renforts pour rétablir un semblant d’ordre, cet à dire laisser les casseurs se disperser sans procéder à la moindre interpellation qui, on se doute, aurait pu dégénérer.
Le souvenir des émeutes de 2014 est encore présent dans tous les esprits et les Policiers sont obligés de « marcher sur des oeufs ».
On voit bien que rien n’a changé et que les violences peuvent recommencer au moindre prétexte.

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Vive tension à la ZUP de Blois suite au décès d’un jeune à moto.

Médiatheque Maurice GenevoixVendredi après-midi un jeune circulant à moto rue de Tourville à la ZUP de Blois est entré en collision avec une voiture à hauteur de la médiathèque Maurice Genevoix.
Le motard, qui ne portait pas de casque, est décédé quelques heures plus tard.
Une enquête est en cours afin de préciser les circonstances de la collision, et nous apprenons par ailleurs qu’une moto a été incendiée peu après l’accident, il pourrait s’agir de celle que pilotait la victime, mais qui n’était peut-être pas le propriétaire (la Nouvelle République du 14/10). Etait-elle « empruntée » ?
Mais quelqu’un avait filmé la scène sur son portable et mis les images en ligne sur les réseaux sociaux.
Il a été reconnu et « violemment pris à partie par plusieurs dizaines d’individus » dimanche après-midi près du collège Bégon.
Il a fallu faire intervenir des renforts de Police pour extraire l’homme de la mêlée et calmer la situation (la Nouvelle République du 16/10).
Bien qu’il s’agisse d’une agression en bande organisée, pour ne pas dire une tentative de lynchage, le procureur fait précise par la presse « qu’aucune interpellation n’a été effectuée au cours de ces incidents.« 
Les consignes sont toujours les mêmes : calmer le jeu.
Le plus terrible c’est que ces méthodes finissent par donner un sentiment d’impunité qui encourage certains à braver toujours la loi… jusqu’à un accident mortel, qui n’est pas le premier dans le quartier.
L’identité de la victime n’est pas connue. Sauf sans doute des Policiers, qui ne peuvent rien dire. 

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Blois : une voiture incendiée en Vienne

Vienne AAJBOn nous signale une épave de voiture brûlée en Vienne, près du parking de l’AAJB.
Probablement l’incendie remonte à la nuit dernière, et il ne semble pas « accidentel ».
Les riverains ont certainement une petite idée, ce n’est pas la première fois hélas dans ce quartier.

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Poursuivie pour vol, elle se présente voilée au tribunal.

stand marché EuropePhoto d’illustration : marché place Lorjou à Blois.
Au tribunal correctionnel de Blois, une femme et son ex (?) conjoint comparaissaient pour des vols commis à Auchan, « pour nourrir ses enfants » dit l’accusée.

Sauf que le premier vol, à l’instigation de son compagnon concernait deux téléphones portables.
L’individu en question n’est d’ailleurs pas un inconnu de la justice, puisque son casier comporte déjà 9 mentions !
On peut s’interroger également sur la situation de cette femme, qui en serait réduite à voler « pour nourrir ses enfants » alors que, officiellement séparée elle est en situation de parent isolé avec 5 enfants, il suffit de consulter les barèmes de la CAF pour constater qu’elle n’est pas sans ressources.
Bien sûr, l’identité des deux prévenus n’est pas… dévoilée, mais on relève précisément dans le compte-rendu d’audience que la femme comparaissait voilée. Sans revenir sur l’imbroglio juridique de cette loi sur le port du voile, qui interdit la burqa et le niqab, mais reste très floue sur le hijab et le tchador, et dont le Front National avait à juste titre dénoncé l’inefficacité, il est quand même précisé dans le code de procédure pénale que l’on doit se présenter devant la tribunal « debout et la tête nue« .
Mais une fois encore, de petits arrangements en accommodements, c’est le prosélytisme islamique qui gagne du terrain.

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Un extrémiste blésois condamné avec sursis pour dégradations, mais protégé par l’anonymat.

PN Pneux crevés chantierL’affaire évoquée ce jour par la Nouvelle République (04/10/2017) est particulièrement intéressante.
Un « Blésois d’une quarantaine d’année » était jugé pour une série de dégradations commises sur des engins de chantier entre février et novembre 2015 : il crevait les pneus à l’aide d’une chignole, le préjudice est estimé à 130 000 euros.
Seulement voilà, notre homme, dont le nom n’est pas révélé dans cet article se justifie en précisant être « communiste et écologiste » et agir contre le projet d’aéroport de Notre Dame des Landes.
Le psychologue désigné comme expert évoque « une altération du discernement provoquée par les convictions extrêmes du militant. »
Il est néanmoins condamné à 12 mois de prison avec sursis, l’article n’évoque même pas d’amende.
Une peine donc modérée puisque cette infraction qui relève du pénal peut être punie de deux ans d’emprisonnement et 30 000 euros d’amende. Et dans dans le cas il n’y a pas eu qu’une dégradation, mais une série qui a duré 9 mois.
Ce qui frappe dans ce compte-rendu, c’est à quel point le fait d’être d’extrême-gauche est invoqué comme une excuse absolutoire, alors que si l’auteur de faits similaires se revendiquait d’extrême-droite, ce serait une circonstance aggravante, aux yeux de la justice comme de la presse.
La remarque du psychologie mérite aussi d’être relevée, lorsqu’il parle d’une « altération du discernement« .
Ce point de vue a été rejeté par le tribunal, qui parle au contraire d’actes délibérés, réfléchis, calculés.
Mais il n’en reste pas moins que nous avons affaire à un individu pour qui la cause qu’il défend justifie les moyens employés, même s’il regrette aujourd’hui… après avoir été pris !
Cela s’explique facilement par la bienveillance dont bénéficient les idées révolutionnaires dans les médias mais aussi pour une large part à l’école.
Les héros auxquels se réfère l’homme à la chignole sont les seules idoles que l’on propose aux jeunes dans les livres, les films, les chansons et jusque dans les salles de classe.
Ce sont sont en quelques sorte les saints de cette nouvelle religion qu’on cherche à nous imposer afin de détourner la jeunesse, de l’encourager à une forme de contestation des institutions et des valeurs de notre société – voire à ce sujet le procès de l’affaire dite « du quai de Valmy » – qui, loin de menacer le système en place, contribue à le renforcer en s’attaquant aux véritables défenses immunitaires de notre peuple que sont la connaissance de notre histoire et de nos origines, la défense de nos valeurs.
Oui, ce genre de comportement est encouragé pour toutes ces raisons, et cela explique l’indulgence du commentaire de la NR, qui de surcroît ne révèle pas le nom de l’auteur des faits.
Ces pseudos révolutionnaires, meilleurs alliés du système, vont donc pouvoir continuer à prospérer, à attaquer les policiers ou les réunions du Front National sans craindre des jugements trop sévères.

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Blois : encore une voiture incendiée rue Lenôtre.

Rue Lenôtre 08-2017Rue Lenôtre – photo d’archives 08/2017)
Alors que la Police est parvenue à identifier et à interpeller l’auteur de plusieurs feux de voitures dans la quartier voisin des Allées, c’est à nouveau rue Lenôtre qu’une voiture a brûlé dans la nuit de samedi à dimanche, vers 2 h 30 du matin (la Nouvelle République du 01/10/2017).
Il faut espérer que le ou les auteurs de ces incendies à répétition qui touchent régulièrement le quartier soient à leur tout appréhendés.
Les élus Front National, tout en demandant davantage de moyens pour la Police, avaient aussi évoqué le renforcement du dispositif « Voisins vigilants » pour informer plus rapidement les forces de l’ordre quand il se passe quelque chose.
Mais cela ne semble pas actuellement du goût de la Mairie.

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Une camionnette incendiée à Mur de Sologne.

minibus incendié Mer

(Image d’illustration)
Les incendies de voiture quasi quotidiens en Loir et Cher comme ailleurs ont des causes différentes selon les circonstance.
Dernier cas signalé hier en début de matinée près de Mur de Sologne, où un utilitaire finissait de brûler (la Nouvelle République du 22/09/2017).
Il y a la délinquance « urbaine » qui elle-même se subdivise en règlements de comptes et en actions de représailles suite à certaines interpellations, ou qui peut être tout simplement une manifestation de la « haine » revendiquée contre les autorités, contre l’Etat, contre la France.
Pour les véhicules brûlés en zone rurale, il s’agit plutôt de détruire les preuves après une utilisation pour quelque méfait, ou bien un désossage partiel.
Il y a bien sûr aussi quelques escroqueries à l’assurance, mais cela paraît peu probable quand il s’agit de véhicules d’une faible valeur vénale, pas toujours assurés pour ce risque.
Toujours est-il que ces incendies constituent un véritable fléau qui inquiète à juste titre les habitants de certains quartiers, craignant d’être un jour victime.
C’est pourquoi nous ne minimisons pas ces faits de délinquance « ordinaire ».

Encore deux voitures brûlées à Blois.

rue des PeupliersImage d’illustration : la rue des Peupliers.
Deux voitures ont été incendiées dans la nuit de mardi à mercredi rue des Peupliers à Blois (source la Nouvelle République du 21/09).
Déjà trois voitures avaient été incendiées dans la même rue en juillet dernier.
Aujourd’hui ce quartier de pavillons et de petits immeubles ne connaît plus la tranquillité.
Il faut dire qu’il est situé entre la ZUP et la Quinière et que depuis des années les abords du lac de la Pinçonnière et du Parc de l’Arrou sont aussi des lieux où les dealers exercent leu commerce. Ce qui ne va toujours sans quelques frictions et règlements de compte.
Ce nouvel incendie a-t-il un rapport ? L’enquête le dira peut-être, si les auteurs sont identifiés.

Voiture incendiée à Vineuil

Voiture incendiée Chemin de la Tanière. Blois

Image d’illustration : voiture incendiée au sud du pont Mitterrand à Blois en janvier dernier.
Une voiture a été incendiée à Vineuil dans la nuit de jeudi à vendredi rue du Bas Foux à Vineuil, vers 3 h 45 (source la Nouvelle République).

La Police a procédé aux constations, mais le véhicule a été complètement détruit.

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Délinquance : jusqu’où cela va-t-il continuer ?

Rue Notre DameRomorantin : rue Notre Dame.
Les « faits divers » occupent deux pleines pages dans la Nouvelle République du 7 septembre.

Mais le rôle de la presse est de les rapporter, le nôtre est de les analyser et de les commenter.
Nous ne pouvons bien sûr pas le faire tous les jours, mais il faut bien constater que la délinquance « ordinaire », parfois simplement requalifiée en « incivilités » touche quotidiennement nos concitoyens et constitue un sujet de préoccupation majeur.
A Blois, c’est le principal du collège Rabelais qui a été la cible de tirs au pistolet à billes alors qu’il surveillait la sortie des élèves.
Les deux « jeunes », 20 ans et « déjà connu des services de police » pour l’un, tout juste 18 ans pour l’autre ont agi le visage masqué, mais ils ont été facilement localisés et interpellés grâce aux caméras de vidéosurveillance… dont la gauche ne voulait pas il y a quelques années, et que nos élus ont demandé avec insistance.
Mais ils ont pu être pris parce que des moyens de Police se trouvaient dans le quartier au même moment.
En lire plus …

Blois Vienne : après les incendies, les menaces de mort.

PapillonsConteneurs incendiés – image d’archives.
Les policiers de la BAC (Brigade Anti-Criminalité) sont parvenus à prendre l’incendiaire qui sévissait en Vienne en flagrant délit, alors qu’il venait de mettre le feu à un conteneur (la Nouvelle République du 25/08/2017).

Les habitants du quartier vont être rassurés.
Quant à l’incendiaire, âgé de 16 ans, on ne connaît bien sûr pas son identité, la loi ne le permet pas, ni ses motivations.
Il a été laissé en liberté en attendant un jugement dont la date n’est pas commue à ce jour.
Malgré son âge, la gravité des ses actes et leur caractère répété devrait lui valoir une condamnation ferme, sans bénéficier de l’excuse de minorité.
Mais cela c’est une autre histoire, et les policiers qui ont procédé à cette interpellation doivent également se poser des questions en voyant l’individu aussitôt relâché.
Pour autant les Viennois n’en ont pas fini avec la délinquance, puisqu’une femme demeurant près du lycée horticole a été insultée et menacée de mort par des jeunes circulant à scooter, auxquels le mari avec eu l’audace de prodiguer des conseils de prudence au vu de leur comportement dangereux, pour eux-mêmes et pour autrui (la Nouvelle République du 26/08/2017).
Mais les policiers ont pu simplement enregistré une main courante car, pour constituer une infraction, le code pénal prévoit que les menaces de mort doivent être réitérées !
En attendant les jeunes racailles doivent bien rigoler.
Scènes ordinaires de la vie d’une ville de province sans histoire. 

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Blois : incendies en séries en Vienne.

PapillonsImage d’archives : conteneurs incendiés rue des Papillons.
Une voiture a été incendiée dans la nuit de lundi à mardi à Blois, rue des Petites Métairies.

La nuit suivante, ce sont des conteneurs qui ont brûlé une nouvelle fois rue des Papillons.
Fin juillet, des poubelles avaient déjà été incendiées rue Georges Litalien dans le même secteur.
Cela commence à faire beaucoup.
Mais à part cela, l’été se passe bien Blois.

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Nouvel incendie de voiture à la ZUP de Blois.

15623voituresincendieeswide.jpg

(Image d’illustration.)
Une brève laconique sur le site Internet de la Nouvelle République relate l’incendie d’une voiture dans la nuit du lundi 14 au mardi 15 août, vers 1 h 30, rue Pierre-et-Marie-Curie, à Blois.
Une de plus qui vient s’ajouter à la liste déjà longue des incendies de cet été. 

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