(pneus crevés rue Bertheau)
Le bilan définitif n’est pas encore été établi car les plaintes continuent d’affluer au commissariat de Blois, mais ce sont plusieurs dizaines de pneus qui ont été crevés dans le quartier Vienne à Blois, dans la nuit de vendredi à samedi (source : la Nouvelle République).
La même chose s’était déjà produite en janvier dernier, une quarantaine de voitures avaient eu leurs pneus crevés dans le quartier du Foix.
Blois : des dizaines de pneus crevés en Vienne.
Salbris : qui incite à la haine ?
Depuis quelques jours certains multiplient les propos incendiaires et les calomnies à l’encontre du Front National.
Son tort ? Avoir posé au grand jour deux questions gênantes.
Au lieu de répondre le cas échéant par un démenti ou des précisions, le maire et le président de l’association qui gère la mosquée versent dans l’invective au risque de susciter les tensions dans la Ville.
Ce qui n’a pas manqué de se produire rapidement : ce matin M. Omar Fidan a croisé un militant du Front National sur un trottoir de Salbris, et n’a rien trouvé de mieux à faire que lui cracher au visage !
Ce qui démontre bien de quel côté se situe la haine.
La victime a déposé plainte auprès de la Gendarmerie.
Il serait temps maintenant de calmer le jeu et de répondre précisément aux questions posées.
Nous appelons également à la modération sur les commentaires.
Une voiture incendiée à Veillens.
(image d’illustration)
Dans la nuit de lundi à mardi 11 octobre une voiture a été détruite par le feu au lieu-dit Montgiron , à Veilleins.
Les pompiers de Romorantin ont été alertés vers 3 h 30 du matin (source la Nouvelle République).
Encore une fois nous constatons que le phénomène ne touche pas que les villes.
Ce type de délinquance tend malheureusement à être banalisé, et les victimes se sentent souvent bien seules.
Rassemblement de policiers pour crier leur ras-le-bol face à l’impunité des racailles
Après l’agression meurtrière contre les quatre policiers attaqués samedi dernier à Viry-Châtillon dans l’Essonne à coup de cocktail Molotov, plusieurs organisations syndicales de policiers ont organisé ce 11 Octobre des rassemblements devant les commissariats de Police partout en France. Ils entendaient montrer leur ras-le-bol d’être régulièrement pris pour cibles par des délinquants de tout genre, sans moyens et sans considération.
Ainsi à Blois, devant le Commissariat central, vers 12H30 une dizaine de policiers, à l’appel de leurs syndicats, étaient présents ainsi que des militants du Front National, dont Laurent Bras, Secrétaire Général du nouveau Collectif national des Salariés et donc syndicaliste aussi.
Le Front National réaffirme son total soutien aux forces de sécurité comme la Police, qui partout sur le territoire au sacrifice de leur vie, tentent de reconquérir toutes les parcelles de notre territoire abandonné lâchement aux mafias et aux bandes des cités par le laxisme idéologique de la Gauche et de la Droite.
Quand le Premier Ministre, Manuel Valls, aveuglé par l’idéologie de la bien-pensance ne voit pas les zones entières de non-droit perdues par la République au profit des bandes de racailles, quand Bernard Cazeneuve, Ministre de l’Intérieur parle de « Sauvageons » pour des actes qui relèvent de la pire criminalité, il est temps de dire à ces responsables politiques hors-sol que demain avec Marine Le Pen à la Présidence de la République l’autorité de l’Etat et de la République sur chaque mètre carré du territoire sera rétabli.
Ainsi le Front National propose d’aggraver les peines s’agissant des crimes et délits contre les représentants de l’autorité de l’Etat, et d’instaurer la présomption de légitime défense pour les forces de l’ordre agissant dans l’exercice de leurs fonctions en étendant à la Police les dispositions déjà existantes pour la Gendarmerie.
Laurent Bras, Secrétaire Départemental Adjoint du FN41 et Secrétaire Général du Collectif des Salariés
Blois : voitures brûlées rue Dumont d’Urville.
Image d’illustration : voiture brûlée rue Dumont d’Urville en 2013.
Par une brève dans la presse locale nous apprenons que deux véhicules ont brûlé vendredi soir à Blois rue Dumont d’Urville, à proximité de la Place Lorjou dans la ZUP de Blois.
Ce n’est malheureusement pas la première fois dans ce secteur, pourtant emblématique de la rénovation urbaine censée résoudre tous les maux.
Délinquance ordinaire, règlement de compte sur fond de trafic de divers ou djihad urbain ?
Onzain, Pontlevoy : Recrudescence de véhicules dégradés.
Les nuits se rallongent et sont propices au retour des vols. Et ce week-end (vendredi soir et samedi soir) à été le théâtre de plusieurs dégradations qui nous ont été signalées à Onzain et à Pontlevoy.
Le mode opératoire (les custodes ainsi qu’un pare-brise ont été cassés pour s’introduire dans l’habitacle des véhicules et y voler leur contenu) est le même à chaque fois (Voir photo ci-contre).
Selon les victimes qui ont déposé plainte, des empreintes et un ADN auraient même été retrouvés, signe de l’amateurisme des malfrats.
Ce type de dégradations sévit régulièrement en ruralité, en particulier en Vallée de la Loire et continuera tant que la justice ne se montera pas davantage dissuasive.
Le bâtiment de l’ASC des Portugais de Blois détruit par un incendie.
Le Club house après l’incendie.
Les habitants ne Vienne ne seront pas surpris. Après le Club house de l’AAJB levée des Pingres, les abris de jardin, c’est le Club house de l’Association sportive et culturelle des Portugais de Blois qui a été détruit par un incendie dans la nuit de lundi à mardi (site internet de la Nouvelle République).
Selon la formule consacrée, »une enquête est en cours pour déterminer l’origine du sinistre. » Mais dans un bâtiment inoccupé à 1 h 50 du matin, tout le monde se pose les mêmes questions.
L’Association avait dû quitter les locaux depuis les inondations de juin dernier.
Nous ne manquerons pas de vous tenir informés.
Blois : encore une voiture incendiée à la Quinière.
Agressions, voitures brûlées, dégradations : la Quinière est en train de connaître les mêmes problèmes que la ZUP de Blois dans les années Lang.
Ce n’est pas la première fois en effet que des voitures sont incendiées dans le secteur de la rue Lenôtre, près des allées François 1er. Quatre voitures avaient été détruites par le feu en mars 2014 sur le parking derrière l’école Molière, une autre au bout de la rue en face du Carrefour Market au mois de septembre dernier.
Au mois de mai 2016, plusieurs conteneurs de tri avaient été incendiés dans cette même rue.
La semaine dernière, deux lycéens avaient été agressés en plein jour près d’un arrêt de bus.
C’est pourquoi ce simple fait divers, traité en 5 lignes par la Nouvelle République tellement c’est devenu banal, mérite qu’on s’y arrête.
Les Blésois voudraient bien qu’enfin on s’occupe vraiment de leur sécurité et que les petites racailles soient mises hors d’état de nuire.
Blois : nouvelle agression et délinquance tous azimuts.
Après la Quinière la semaine dernière, une nouvelle agression nous est signalée en Vienne : une bande de trois jeunes (16/20 ans selon les témoins) a agressé des ados entre le parc des expositions et le collège Blois-Vienne. Ils auraient utilsé un Taser afin de leur voler leurs téléphones portables.
Dans le même quartier, rue des ponts Chartrains, on nous signale une trafic de drogue en plein jour.
Sur l’ancien site Emmaüs, une rumeur persistante indique qu’une partie des futurs logement pourraient servir à accueillir des migrants… A vérifier ?
A part cela rue Alexandre Parodi des bennes pour le recyclages ont été incendiées.
Place René Coty une nouvelle voiture vandalisée ( photo pris juste après l’enlèvement de la voiture par un riverain).
Mais rassurez-vous : nous aurons bientôt droit à de nouvelles statistiques pour nous expliquer que tout va bien !
Mer : coups de feu près du parc des Revaux.
Un habitant de Mer, riverain du parc des Revaux, a remarqué que deux coups de feu ont été tirés contre la façade de sa maison (deux impacts de balles, vraisemblablement de calibre 22 LR sont visibles sur une gouttière en zinc traversée de part en part, et un « ricoché » sur un volet). La gendarmerie a constaté les faits et rédigé une fiche d’intervention. Il y a donc des gens armés qui se baladent dans la commune de Mer et, qui plus est, ne tirent pas des balles à blanc…
Vos élus Mer Bleu Marine Robert Krysick et Olivier Besnard se sont rendus sur place afin de rencontrer les habitants concernés, constater les faits et réaliser des photos…
Cela n’est pas sans rappeler une autre affaire, ou entre les deux tours des élections municipales méroises, l’un de nos candidats avait reçu dans sa véranda une balle de calibre 22 LR à hauteur d’homme… ( les 2 faits se sont déroulé à moins de 200 mètres l’un de l’autre).
Vos élus Mer Bleu Marine demandent que la lumière soit faite sur ces deux affaires .
Impact de 22LR dans la véranda d’un colistier Mer Bleu Marine (mars 2014).
Blois : 2 voitures brûlées rue de la Fouleraie.
De nombreux spectateurs du podium Vibration, dimanche soir, ont du se garer dans les rues adjacentes. Mauvais choix pour plusieurs d’entre eux qui avaient choisi la rue de la Fouleraie : 2 voitures ont été incendiées, une autre dégradée et pillée.
Il faut dire que cette portion de rue situé derrière les jardins familiaux est un peu une zone de non-droit, où s’accumulent les immondices et parfois les carcasses de voitures désossées.
Mais le phénomène touche plus largement le quartier, c’est ce qui explique que l’idée d’une navette de bus entre le Parc des expositions et le centre-ville n’a jamais pris : personne n’a envie de laisser sa voiture stationnée bien longtemps à cet endroit.
Photo prise le 20 septembre rue de la Fouleraie : les dépôts sauvages y sont quasi-permanents.
Mais il ne faut pas « stigmatiser » leurs auteurs…
Un été tranquille à Blois ?
La sécurité : un sujet qui revient souvent dans Blois Mag. Et pour cause. Marc Gricourt et son adjoint en charge de la sécurité Yann Bourseguin, affichent leur satisfaction après « un été paisible dans le coeur de ville » (la Nouvelle République du 13/09/2016). Nul doute que le renforcement du dispositif et des moyens après la grosse colère des commerçants et des riverains ait porté ses fruits. Le Maire de Blois souligne également l’efficacité de la vidéo-surveillance, longtemps décriée par la gauche. Quant à Yann Bourseguin, il se fait le chantre de la répression en déclarant : « grâce à la confiscation d’une quinzaine de véhicules, les rodéos ont quasiment disparu. » Autrement dit le Maire de Blois et son adjoint donne raison aux élus du Front National, qui lui demandaient d’agir plus fermement en matière de sécurité. Encore faudra-t’il que cette amélioration se confirme et soit constatée sur toute la ville, ce qui n’est pas vérifié. Autre bémol, l’affirmation au sujet des moyens humains : « On est le seul service de la Ville où ils sont en augmentation. » Or, comment les élus le dénonçaient dans Blois Mag du mois de septembre, le fait que sur 40 emplois à la Police municipale 30 seulement soient pourvus, dont 28 agents de terrain. En 2012 il y avait 39 postes pourvus, dont 37 sur le terrain, soit une diminution de 9 agents en 4 ans. Et quand on renforce les moyens place Louis XII il faut réduire la présence dans les autres quartiers, ce que le maire a été obligé de avouer lors du dernier conseil municipal en juin. Peut-être allons nous voir les effectifs augmenter à nouveau à désormais. Comme quoi les vacances à Béziers de Marc Gricourt lui auront peut-être été utiles !
Blois : une voiture brûlée rue Monge.
Compte-rendu laconique dans la Nouvelle République : « les pompiers de Blois-Nord sont intervenus, dimanche, à 1 h 15, pour éteindre une voiture entièrement embrasée, rue Monge, à Blois.«
Pas d’autre commentaire, mais chacun comprend que cette voiture n’a pas pris feu spontanément.
Cela veut dire que la série continue. Le lieu n’est pas anodin, rue Monge, un des premiers sites traités par le Plan de Rénovation Urbaine, devant un immeuble « résidentialisé ».
De l’autre côté de la rue le marché Coty, qui fait également parler de lui en ce moment, avec une réorganisation censée favoriser le « vivre ensemble », mais qui est loin de satisfaire commerçants et chalands.
Affaire à suivre…
Procès pour contrefaçons à Blois : le verdict est tombé, mais les coupables restent anonymes.
Nous avions posé la question lors du procès le 16 juillet dernier. Pourquoi les noms des personnes poursuivies n’étaient pas cités dans le compte-tendu fait par la presse locale ?
Nous vous donnions alors des éléments de réponses, qui sont toujours en ligne et que vous pouvez consulter.
Aujourd’hui la Nouvelle République rend compte du jugement prononcé le 6 septembre… mais parle seulement d’un « ex-couple de Blésois ».
Relisez notre article du 16 juillet, vous comprendrez pourquoi.
Blois : une voiture brûlée à la Quinière
Impossible de tenir la chronique des voitures brûlées au jour le jour, à Blois ou ailleurs, il y en a chaque semaine. Dans la nuit de vendredi à samedi, ce sont deux voitures qui ont brûlé vers 1 heure du matin près de Dugny.
Une voiture a été incendiée à la Quinière juste en face du Carrefour Market dans la nuit de samedi à dimanche.
Une de plus. Et bien sûr personne n’en parle, les photos ont été publiées sur la page Facebook « tu es de Blois si… ».
Blois : « je suis Daech » !
Les faits rapportés par la Nouvelle République du 2 août nous semblent à la fois révélateurs et inquiétants.
« Je suis armé, je suis Daech, je vais vous faire exploser. » Telles sont les menaces proférée lors d’un contrôle routier rue Michel Bégon à la ZUP de Blois. Non contente de cela, l’automobiliste en question frappe les policiers et les insulte.
L’homme est maîtrisé, conduit au commissariat et il a comparu devant le tribunal correctionnel de Blois dans le cadre d’une comparution immédiate, qui a jugé nécessaire de la placer en détention immédiate jusqu’à son procès prévu le 6 septembre.
Nous apprenons que l’individu compte déjà sept mentions au casier, dont des faits de refus d’obtempérer, de menace et d’outrage.
Mais une fois de plus, nous ne connaîtrons pas son identité. Peut-être par crainte de « stigmatiser » ?
Cette affaire démontre à quel point Daech exerce un pouvoir d’attraction sur ce type de délinquants. On remarque d’ailleurs que les auteurs des attentats qui ont frappé notre pays étaient pratiquement tous passés par la case délinquance.
Et lorsque le ministre de la Ville Patrick Kanner évoquait « cent Molenbeek » en France, nul doute que l’on pense fortement à la ZUP de Blois.
Le moins qu’on puisse dite est que cela n’est pas très rassurant.
Et dire pendant ce temps-là certains continuent à vivre dans le monde des Bisounours…
Noyers sur Cher : une voiture brûlée.
Le rue de Ricoisnes à Noyers sur Cher.
Dans la nuit de samedi à dimanche vers 2 heures du matin, une voiture a été incendiée à Noyers sur Cher à hauteur du 67 rue de Ricoisnes (source : la Nouvelle République du 25 juillet 2016).
L’enquête en dira davantage, mais il est probable une fois de plus qu’il s’agisse d’une voiture volée.
Une voiture brûlée à La Chaussée Saint Victor.
Dans la nuit de vendredi à jeudi vers 3 h 30, les pompiers ont été appelés pour un feu de voiture sur la levée de la Loire, près du Parc des Mées et l’Observatoire.
Ce lieu désert la nuit a été choisi par les malfaiteurs pour commettre leur forfait. L’enquête nous dira s’il s’agit d’une voiture volée comme cela arrive régulièrement.
Tags sur notre permanence : des slogans débiles.
Inscription contre la Police et pictogramme « mort aux vaches » sur les vitres de la permanence.
Notre article au sujet des inscriptions tracées sur la façade de notre permanence dans la nuit du 17 au 18 juillet n’a pas manqué de susciter de nombreuses réactions. En effet nous avions estimé que cette attaque minable perpétrée en plein deuil national pouvait constituer un hommage, certes involontaire, à Daech.
Ce qui nous a valu un flot de commentaires hystériques qu’il a fallu quelquefois modérer, preuve que notre article avait bien fait mouche !
Pour revenir sur ces tags, qui diffèrent légèrement des précédents, ils méritent toutefois un commentaire.
Leur première caractéristique est l’incohérence, signe d’une grande confusion intellectuelle, entretenue il est vrai par les médias « mainstream ».
L’une des inscriptions sur les vitres ne vise pas le FN… mais la police : il s’agit de la signature « ACAB » qui signifie en anglais « All cops are bastards », ce qui peut se traduire par « Tous les flics sont des salauds « . Mais les auteurs de cette « pensée » n’ont pas eu le courage d’aller l’écrire sur les murs du commissariat !
Un autre inscription proclame « #Je suis noir – Love U » (Love you en globisch = je vous aime). Curieuse manière de déclarer son amour, et au final un message totalement incohérent.
Deux autres slogans interrogent sur la psychologie des leurs auteurs. L’un d’eux proclame « Au bucher », suivi d’une croix gammée placée juste en-dessous, ce qui en fait… une signature !
A en croire une autre signature en grands caractères, les tagueurs se revendiquent de la mouvance « Skin Oï », qui a défrayé la chronique en Grande-Bretagne dans les années 70 et 80, car fortement soupçonnée de néo nazisme.
Ce qui est amusant que les auteurs de ces inscriptions, qui semblent vivre dans un monde fantasmé, n’ont même pas saisi que les passants, dans ce quartier populaire, sont totalement étrangers à leur culture marginale et ne comprennent rien à leurs slogans.
Comme nous avons le constater à chaque fois les riverains sont d’abord choqués par ces dégradations qui enlaidissent leur quartier, commises pas des lâches à la cervelle de piaf.
Addendum : comme prévu, cet article fait réagir ceux qui se sentent visés, et qui sont une fois de plus ridiculisés.
Blois : inquiétante recrudescence de la délinquance des mineurs.
Depuis plusieurs jours les agressions et autres actes de délinquance se multiplient à Blois.
Ce qui est inquiétant c’est qu’ils sont commis par des mineurs, qui n’hésitent pas à menacer leurs victimes à l’arme blanche, en plein jour et en plein centre-ville.
Ainsi ces deux jeunes femmes prises à partie à la sortie de la gare par quatre hommes, dont l’un sort un couteau et les menace. Elles se font violemment arracher leurs sacs (la Nouvelle République du 20/07/2016).
L’un des agresseurs « un lycéen blésois âgé de 16 ans » sera interpellé peu après.
La Nouvelle République rapporte aussi dans la même édition que deux jeunes de 16 ans ont été interpellés pour le vol d’appareils photos commis le 9 juin, lors d’une « journée citoyenne » organisée à Blois au Service territorial éducatif de milieu ouvert et d’insertion de Blois.
Le 14 juillet au soir, une personne se fait voler son téléphone à l’arraché à Blois. Les policiers parviennent à retrouver le voleur, âgé de 17 ans, jette un autre portable volé précédemment à Rouen.
Après l’agression d’une jeune femme le soir du 10 juillet square Valin de la Vaissière, cela commence à faire beaucoup.
Et il y a de quoi être inquiet quand on voit le nombre de mineurs impliqués dans des actes aussi graves, sachant que malheureusement dans ce cas la justice n’a pas beaucoup de réponses à apporter.
Quand la loi n’est pas appliquée, les honnêtes gens se sentent abandonnés.
(Image d’illustration)
Quelles sont les raisons de l’acharnement contre ce jeune maraîcher bio de Mont-Près-Chambord ?
Peut-être le saura-t-il un jour si les auteurs des faits sont identifiés, ce que l’on ose espérer.
Mais dans l’immédiat il est obligé de jeter l’éponge : depuis 8 mois son exploitation, qu’il venait de débuter, était la cible de vols et de dégradations, jusqu’à l’incendie de son tracteur hier matin (la Nouvelle République du 20/07/2016).
C’est une décision grave et qui doit nous interroger.
Car nous sommes bien obligés de constater que les forces de l’ordre n’ont plus aujourd’hui les moyens de faire respecter la loi. Il ne s’agit pas bien sût d’accuser la Gendarmerie, dont chacun reconnaît l’efficacité mais peuvent-ils encore aujourd’hui mener l’action de proximité qui était la leur avant la mutualisation des brigades ?
N’oublions la responsabilité dans cette situation d’un certain Nicolas Sarközy qui avait diminué les effectifs durant son mandat, poussant au regroupement voire à la fermeture de certaines brigades rurales.
Sans parler du contexte de l’Etat d’urgence qui entraîne un surcroît d’activités tel que Bernard Cazeneuve veut renforcer, bien tardivement, la réserve opérationnelle. Dont, soit dit en passant, les objectifs en terme de recrutement n’ont pas été atteints faute de financement.
En même temps il y a longtemps que les victimes ont renoncé à se défendre, puisque lorsqu’elles le font, elles se retrouvent systématiquement accusées et souvent condamnées.
Nous espérons tout de même que les syndicats agricoles ainsi que les associations de producteurs bio vont réagir et peut-être vous apporter un soutien qui permettrait à ce jeune maraîcher de poursuivre son activité.
Après les zones de non-droit dans certains quartiers en ville, il ne doit pas non plus y avoir de zone de non-droit dans la ruralité.
Blois : les émules de Daech s’en prennent à la permanence du Front National.
Encore une fois la permanence du Front National a été recouverte d’inscriptions injurieuses tracées à la peinture sur la façade.
En cette période de deuil national, une telle attaque prouve que ses auteurs se rangent du côté de Daech contre les patriotes.
Comme le disais Marion Maréchal Le Pen il y a deux jours « soit vous êtes avec nous contre l’islamisme, soit vous êtes contre nous avec l’islamisme« .
D’ailleurs ces attaques minables nous valent la sympathie des habitants du quartier, indignés par de tels procédés.
Nous tenons à remercier le Service d’Intervention Rapide de la Ville de Blois (SIR) qui est intervenu rapidement et avec efficacité. Encore une fois les voyous en sont pour leurs frais.
Bien sûr, comme à chaque fois le Police Nationale a procédé aux constations et une plainte va suivre.
L’un des individus qui s’était lui-même mis en scène devant notre permanence lors d’une précédente dégradation s’en prend cette fois à la Police sur sa page Facebook en reprenant une vieille chanson anarchiste se félicitant de la mort des « poulets ».
A l’heure où les forces de l’ordre paient un lourd tribut dans la lutte contre l’islamo-terrorisme, certains semblent s’en réjouir. Ce sont les mêmes qui s’en prennent au Front National.
Procès pour contrefaçon : qui sont les gérants incriminés ?
C’est une affaire classique de contrefaçon qui était jugée à Blois en début de semaine (la Nouvelle République du 17/07/2016).
Elle remonte à 2012, alors que les douaniers, suite à une dénonciation avait saisi 99 cartons contenant 2.442 jeans portant la marque Diesel, mais en réalité des produits de contrefaçon fabriqués au Maroc.
L’importateur était la société Destyle, située rue Michel Bégon à Blois, dans le fameux village d’entreprises Bégon-Lapérouse.
Il s’agit d’une filière familiale puisque le société marocaine en question était alors gérée par le propre frère du prévenu qui gérait la société Alarme Electricité Service à Vineuil et détenait des parts dans la société Destyle créée par son ex-compagne.
Selon la Nouvelle République, « Le tribunal note que la société Destyle a déménagé à Paris quelques jours après la visite des douaniers et qu’elle s’est enregistrée auprès du tribunal du commerce de la capitale sous le nom de Denim Stock. Cette entreprise fera l’objet d’un dépôt de bilan et d’une liquidation judiciaire durant l’été 2013. »
Ce que ne précise pas l’article, c’est que le dirigeant de la société Denim Stock était une certaine Hayette Boussetta qui serait donc la soeur d’un colistier du maire de Blois, Marc Gricourt, et animateur, entre autres, des tentatives de « Nuit Debout » à Blois (*). Il suffit d’aller faire un tour sur le site société.com pour découvrir que cette Madame Hayette Boussetta était bien la dirigeante de cette société.
Aujourd’hui elle est dirigeante de l’enseigne Kayzerstone qui vient d’ouvrir à Blois rue Denis Papin et dont la revue municipale Blois mag fait la promotion dans son dernier numéro, où elle se fait appeler Nadia, comme dans la NR… de peur d’être reconnue ?
Il est pour le moins étonnant que cette personne puisse ouvrir aussi facilement un nouveau commerce après avoir été contrainte à une liquidation dans de telles conditions.
Il est vrai que le jugement ne sera rendu que le 6 septembre afin de déterminer les responsabilités des uns et des autres, mais tout cela fait un peu désordre dans l’entourage du Maire.
Ce qui explique peut-être le silence prudent de la Nouvelle République.
(*) mouvement « spontané » mais qui a bénéficié lui aussi d’une promotion sur le site Internet de la Ville de Blois !
Blois : voiture brûlée rue Roland Garros.
(image d’illustration)
Vers 1 h 15 du matin dans la nuit de mercredi à jeudi, alors que les forces de l’ordre étaient massivement mobilisées autour des manifestations du 14 juillet, une voiture à brûlé rue Roland Garros à la ZUP de Blois.
C’est dans ce secteur que se situe le village d’entreprises Bégon-Lapérouse. Les élus FN avaient souligné au dernier conseil communautaire que le climat d’insécurité du quartier n’était pas étranger à l’échec de cette opération, qu’il faut sans cesse renflouer.
La Nouvelle République du 15 juillet signale également un incendie de voiture à Sougé, mais dans ce cas il est peut-être accidentel.
Montlivault : quatrième braquage à l’épicerie !
C’est la 4ème fois que l’épicerie de Montlivault se fait braquer. La dernière fois c’était en avril 2014.
Même scénario hier, sauf que c’est le mari de l’épicière qui tenait le magasin.
C’est un jeune encagoulé qui l’a mis en joue avec une arme poing (factice ou non ?) pour lui demander la caisse.
L’agresseur était seul mais on ignore encore si un complice l’attendait à l’extérieur.
Mises en avant
Mathilde Paris invitée de la rédaction sur TVTours
Mathilde PARIS, tête de liste « Un autre avenir pour Blois » était jeudi soir l’invitée de la rédaction de @TVTOURS. Revoir la vidéo....
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