Les élus du Rassemblement national préparent la Commission permanente.
Seulement 48 rapports ce matin à la commission permanente du conseil régional Centre-Val de Loire, bouclée en un peu plus d’une heure.
Les élus du groupe Rassemblement national sont intervenus sur plusieurs dossiers : développement économique, lycées, aménagement du territoire, enseignement supérieur, coopération décentralisée, formation professionnelle.
Mais il y avait un dossier sensible et hautement symbolique : l’adhésion de la Région à une association de soutien aux « migrants », ANVITA, présidée par le maire (EELV) de Grande-Synthe.
Michel Chassier a dénoncé une démarche politique puisque l’association a pour but de » soutenir, accompagner, impulser, organiser des actions de soutien aux migrants avec les acteurs dans leur grande diversité « .
L’élu RN souligne également que l’emploi du terme de « migrants », volontairement flou, vise à nous faire accepter l’immigration clandestine, puisque le terme de « migrant » peut désigner en Europe toute personne qui a franchi nos frontières, et souvent même plusieurs frontières, légalement ou non, et qui prétend y résider.
Il dénonce « la nébuleuse de structures qui permet de relayer l’action politique de partis, souvent en manque d’électeurs, qui trouvent ainsi le moyen de faire vivre un certain nombre de permanents politiques, financés par l’argent public. »
Et bien évidemment le groupe RN a voté résolument contre cette adhésion.
Lire le communiqué sur le site du groupe RN Centre Val de Loire.
Nous attendions une réaction de Guillaume Peltier, chantre de la « droite forte », sur ce sujet. Mais ce fut le silence radio, d’ailleurs le président du groupe UDC (Union de la Droite et du Centre) n’est pas intervenu une seule fois durant cette commission permanente.
Tout juste s’est-il abstenu à titre personnel sur ce dossier sensible, son groupe ayant une fois plus voté tous les rapports avec la majorité.
La Région Centre-Val de Loire au secours des « migrants » : seul le Rassemblement national ose dire non !
Un clandestin multirécidiviste à nouveau condamné à Blois. Mais que faut-il encore en France ?
Un ancien combattant rappelle à Macron sa promesse non tenue.
Une fois encore la chronique judiciaire nous apprend qu’un homme de 40 ans, « originaire de la Côte d’Ivoire et en situation irrégulière » était jugé en appel à Orléans (la Nouvelle République du 24/11/2018).
L’individu, une certain Lenace, avait été condamné pour outrages et menaces à l’encontre d’un surveillant de prison à Blois, pour des insultes au personnel des urgences de l’hôpital de Vendôme, ainsi que pour une tentative de fuite lors d’un contrôle alors qu’il conduisait sans permis.
On apprend au passage que le sieur Lenace collectionne déjà 23 mentions à son casier judiciaire !
Cela pose bien sûr plusieurs questions.
D’abord comment se fait-il qu’un étranger en situation irrégulière soit toujours en France après une telle série de condamnations ?
Depuis combien de temps est-il sur notre sol en situation irrégulière ? De quoi vit-il ? Qui a payé les frais d’un appel, alors que de nombreux justiciables français renoncent parfois à se défendre car ils n’en ont pas les moyens ?
Qui va payer les frais de procédure s’il n’est pas solvable ?
Enfin, suite à cette enième condamnation, va-t-il enfin faire l’objet d’une expulsion du territoire français ?
Macron avait promis il y a un an que tous les « étrangers en situation irrégulière » qui commettent un délit « quel qu’il soit seront expulsés » de France, promettant d’être « intraitable sur ce sujet« .
Encore une promesse non tenue…
Fermeture de l’AFPA : où vont aller les « migrants » ?
Le sort des clandestins avant l’avenir des formations ?
Alors que 5 centres AFPA sont menacés de fermeture en Région Centre-Val de Loire, dont celui de Blois, certains s’inquiètent non pas de l’avenir de la formation, mais du du sort des « migrants » hébergés sur le site de Blois (nous n’avons pas d’information pour les autres sites).
On se souvient que des clandestins qui campaient à Calais dans l’espoir de passer en Angleterre avaient été dispersés dans toute le France par Hollande en octobre 2015, mais depuis cela ne cesse pas.
C’est ainsi que le centre AFPA de Blois en avait reçu une quarantaine, à l’époque le Front National avait été seul à protester.
Selon Mag’centre, ils seraient aujourd’hui encore 48, mais bien sûr ce ne sont plus les mêmes, il y a régulièrement de nouvelles arrivées, tandis que les autres sont régularisés ou bien disparaissent dans la nature.
Le coût de l’opération est toujours soigneusement caché… tout ce que l’on sait, c’est que c’est nous qui payons.
Mais ce qui préoccupe les élus du Rassemblement national, c’est le devenir de ces centres, qui recevaient plus de 2000 stagiaires par an pour des formations qualifiantes.
Au conseil régional ils ont co-signé avec tous les groupes un appel au gouvernement pour reconsidérer cette décision.
A Blois, un communiqué a été adressé à la presse locale :
« L’annonce brutale et sans concertation du projet de fermeture de 5 centres AFPA dans notre région, dont celui de Blois, illustre bien le mépris de ce gouvernement pour les territoires et leurs représentants.
Rappelons qu’il s’agit du premier opérateur régional de formation, et l’un des seuls qui propose une offre d’hébergement pour les stagiaires.
Les élus qui ont appris cette nouvelle jeudi matin au cours de la session du conseil régional à Orléans demandent un moratoire immédiat sur la fermeture de ces centres, soutenue par l’ensemble des groupes.
Le Rassemblement national soutien cette démarche et demande également à nous deux ministres loir-et-chériens de prendre position sur ce dossier. »
Aucun écho à ce jour.
Aux yeux de certains, l’avenir des clandestins est sans doute plus important.
Blois : agressions au quotidien.
Ce sont des agressions dont la presse ne parle pas, car elles font l’objet d’un simple enregistrement au commissariat de Police, qui ne communique pas.
Mais nous citerons deux faits récents.
La première agression se situe dans un quartier du haut de la ville, près de la Cathédrale.
Une femme seule se gare devant chez elle, lorsqu’une voiture se range en double file, occupée par deux individus que la censure ne nous permet pas de décrire.
Ils intiment à la femme l’ordre de descendre. Celle-ci refuse mais se trouve de fait coincée dans son véhicule.
Par chance, une autre voiture arrive dans le rue, obligeant les deux petites frappes à circuler.
La semaine dernière cela se passe en plein centre-ville, devant le Totem, place de la Résistance.
Comme souvent, une voiture occupée par des « jeunes » est arrêtée sur le rue devant le débit de tabac, bloquant la circulation.
La plupart du temps, les Blésois « de souche » préfèrent patienter, connaissant la susceptibilité des ces « chances pour la France ».
Mais le femme ainsi bloquée par ces gens irrespectueux a eu le malheur de klaxonner !
Aussitôt elle est prise à partie par les petits voyous, qui prétendent que leur voiture a été accrochée et demandent à la personne de descendre pour faire un constat.
Elle leur propose plutôt d’appeler la Police et saisit son téléphone, ce qui a pour effet de faire fuir les voyous. Bon réflexe.
Mais ces deux exemples sont révélateurs d’un climat qui hélas n’est pas nouveau, et qui fait que Blésois et touristes ont tendance à déserter le centre-ville une fois la nuit tombée.
A quand une véritable réaction ?
Accueil des clandestins en Loir et Cher : le silence des autorités.
Suite aux échos qui nous sont parvenus (d’une source interne à la Préfecture) au sujet de l’arrivée récente de 200 « migrants » supplémentaires en Loir et Cher, nous avions invité Nicolas Perruchot à communiquer les chiffres par un courrier daté du 10 septembre.
Depuis, aucune nouvelle.
Mais les informations en provenance de tous les départements de France nous confirme qu’il s’agit d’un phénomène de grande ampleur.
L’afflux des faux réfugiés, s’il s’est considérablement réduit en Italie grâce à Mattéo Salvini (ce qui au passage, les humanistes patentés oublient de le dire, à fait diminué d’autant le nombre de morts en Méditerranée) il s’est accéléré depuis l’Espagne.
Et pour vider les campements trop visibles dans les grandes villes, le gouvernement n’a rien trouvé de mieux que de les disperser dans les campagnes et les petites villes.
En Loir et Cher, c’est Blois, Romorantin, Vendôme, Salbris, Mer et parfois des communes voisines.
Et les 370 places en centre d’accueil (CADA) ne suffisent pas, il a fallu réquisitionner des hôtels, des logements, sans parler d’hébergement temporaire à l’AFPA.
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200 « migrants » supplémentaires en Loir er Cher ?
La dispersion des migrants dans nos villes et nos villages se poursuit, le plus souvent sans que nos concitoyens en soient informés.
Si en Indre et Loire le Conseil départemental a lancé une alerte en raison du coût exponentiel de la prise en charge des « mineurs non accompagnés », en Loir et Cher c’est l’omerta.
Ni la Préfecture ni le Conseil départemental ne souhaitent communiquer, malgré le courrier adressé le 10 septembre a son Président Nicolas Perruchot, demeuré jusqu’ici sans réponse ( Courrier NP MNA ).
Mais loin de faire taire l’inquiétude légitime des Loir-et-Chériens, ce silence entretien toutes les rumeurs.
Ainsi, selon un témoin digne de foi citant une employée de la Préfecture, 200 nouveaux « migrants », terme désignant en fait des immigrés clandestins, seraient arrivés en Loir et Cher et le Préfet aurait déclaré que leur accueil était « une priorité. »
Reste à savoir sur quelle période porte ce chiffre s’il est confirmé.
Nul de doute que la Préfecture apportera les précisions nécessaires pour mettre un terme à ces « rumeurs » qui, vu ce qui se passe dans les départements voisins, nous semblent tout de même fondées.
Le conducteur responsable de la mort du jeune cycliste écroué.
Prison de Blois (image d’illustration).
Le conducteur qui avait percuté le jeune Takhir le 10 septembre à la ZUP de Blois avait pris la fuite. L’enfant n’avait pas survécu à ses blessures.
Dès le 13/09, nous étions informés du profil du conducteur, déjà bien connu de la Police et de la Justice puisqu’il était sorti de prison depuis peu. Sans doute la vidéosurveillance aura permis de l’identifier. On savait aussi qu’il conduisait sans permis et sans assurance.
Nous n’avions pas divulgué ces informations afin de ne pas gêner le travail des enquêteurs devant conduire à le retrouver.
L’individu s’est finalement présenté au commissariat lundi dernier, une semaine après le drame, accompagné de son avocat (la Nouvelle République du 20/09/2018).
Il a été mis en examen pour homicide involontaire aggravé et aussitôt écroué.
Le procureur confirme que l’individu avait déjà été condamné plusieurs fois entre 2012 et 2017 pour des délits routiers (déjà !) et des affaires de stupéfiants.
Son nom n’est toujours pas divulgué, mais d’après nos sources il s’agit vous l’avez compris d’une « chance pour la France », selon l’expression reprise de Jacques Attali à Madame Parisot en passant par Emmanuel Macron, pour qui l’immigration est toujours «une chance pour la France».
Combien de « migrants » en Loir et Cher et combien ça coûte ? Le Rassemblement national pose la question à Nicolas Perruchot.
Migrants de Calais accueillis à Blois en octobre 2016 dans des logements réquisitionnés. Combien aujoud’hui ?
Suite à publication d’un dossier de presse sur les « mineurs non accompagnés » par le Conseil départemental d’Indre et Loire, nous posions publiquement la question pour le Loir et Cher.
Longuement interviewé par la Nouvelle République, Nicolas Perruchot évoque moins de 100 mineurs qui auraient demandé l’asile (chiffre arrêté début juillet), mais s’agit-il des mineurs arrivés ou bien de ceux admis au bénéfice de l’aide sociale à l’enfance après examen de leur situation (307 fin août en Indre et Loire pour 865 arrivés… dont déjà 426 se sont révélés majeurs, sans être pour autant reconduits à la frontière).
Et rien sur la charge que cela représente pour le département.
C’est pourquoi Michel Chassier, Président du groupe RN au conseil régional, a écrit à Nicolas Perruchot afin de lui demander de rendre publiques toutes ces informations.
Attendons sa réponse.
Nous reviendrons ces prochains jours sur les autres sujets abordés dans cette interview.
Clandestins « mineurs » non accompagnés. Combien en Loir et Cher ?
(cliquez sur l’image pour agrandir).
Le Conseil départemental d’Indre et Loire vient de communiquer un dossier de presse sur les « mineurs non accompagnés« .
Traduisez : clandestins entrés illégalement en France et se prétendant mineurs.
Le dossier est accablant à tous points de vue.
Le nombre de demandeurs recensés est passé de 209 en 2015 à 865 au 28/08/2018, en à peine 8 mois ! Cela veut dire largement plus de 1000 d’ici la fin de l’année.
La charge financière passe quant à elle de 4 706 657 € en 2015 à 13 750 000 € estimés pour 2018.
On apprend au passage que sur 733 individus contrôlés, 426 étaient majeurs ! Où sont-ils passés ensuite ? Mystère.
Nous aimerions bien connaître la situation en Loir et Cher, mais on ne trouve rien sur le site du Conseil départemental.
Nous allons poser la question directement à son président, Nicolas Perruchot.
Au moment où il est question de réduire les aides sociales, tandis que les retraités sont ponctionné, les Loir-et-Chériens ont le droit de savoir ce qu’on fait de leurs impôts.
Pression communautaire à la pataugeoire de l’Agglo : ça continue.
Comme tous les étés, les incidents se répètent à la pataugeoire de l’Agglo au parc des Mées.
Nous en avions déjà parlé en 2013 et en 2014, mais cette fois c’est la Nouvelle République qui est obligée d’en parler.
Il y est question d’une « ambiance parfois orageuse« , de la « mauvaise humeur de certains usagers« , de personnes qui entre dans l’eau en survêtement ou avec un jean retroussé.
Mais il faut bien aborder le coeur du sujet. Un surveillant explique : « l’autre jour j’ai expliqué à une femme voilée qu’elle ne pouvait pas rester dans le bassin ainsi habillée. Son mari est venu me voir pour me dire que c’était à lui qu’il fallait que je m’adresse. »
Nous pourrions ajouter que le réglement intérieur s’applique non seulement dans le bassin mais sur les plages, et une femme voilée ne devrait pas être acceptée dans l’enceinte de la pataugeoire.
Le réglement avait déjà été assoupli en 2014 et ne parlait plus que de « vêtements trop longs. »
Cette fois encore pour calmer le jeu, il est fait appel à un agent de médiation. Comme si un règlement qui touche à l’hygiène et à la sécurité pouvait faire l’objet de médiation et d’acommodements ?
Mais cela risque de ne pas suffire, comme le prouvent les jets de bouteilles durant la nuit qui ont occasionné une fermeture de la pataugeoire pendant deux jours la semaine dernière. Acte de vengeance suite à une remarque d’un surveillant ?
Comme le constate le président d’Agglopolys, Christophe Degruelle, « tout cela illustre les difficultés du bien vivre ensemble. »
Ce qui ne fait que confirmer ce que nous disons depuis longtemps : cette immigration de masse voulue par nos gouvernants depuis plus de 40 ans conduit à cette situation explosive.
Il serait temps de l’admettre et d’en tirer les conséquences.
Blois : les partisans d’Erdogan fêtent bruyamment leur victoire.
Les partisans du président turc Reycip Erdogan ont manifesté bruyamment au centre-ville de Blois hier soir pour fêter la victoire de leur candidat.
Ils ont commencé à se rassembler au pied de l’escalier Denis Papin avant de défiler en voiture dans le center-ville à grand renfort de klaxon, en agitant les drapeaux turcs. A minuit la fête durait encore, au grand dam des riverains.
Ce genre de manifestation démontre une fois de plus un comportement communautaire qui est tout le contraire d’une volonté d’intégration.
Imagineriez-vous des Français célébrer la victoire de leur candidat dans les rue d’Ankara ou d’Istanbul ?
Cela démontre également à quel point le parti d’Erdogan est présent et organisé en France, contrôlant des associations, des syndicats et des mosquées.
Tout cela est pour le moins inquiétant.
Déjà samedi après-midi c’est un cortège de mariage qui roulait à contre-sens dans une rue centre-ville. La Nouvelle République qui signale l’incident ne précise pas toutefois de qui il s’agit. Peut-être des Suédois ?
Blois : 3 algériens immigrés clandestins interpellés.
Contrôle aux frontières : des ratés inquiétants.
Pourquoi se gêner ?
Trois individus se sont introduits dans un appartement rue du Sermon à Blois après avoir brisé une vitre (la Nouvelle République du 21/06/2018).
Procédé habituel pour des squatteurs qui, une fois installé dans les lieux, deviennent rapidement impossible à déloger, si ce n’est au tyerme d’une longue procédure.
C’est ainsi dans notre pays, les squatteurs ont davantage de droits que les propriétaires, qui parfois ne peuvent récupérer leur bien qu’au bout de deux ou trois ans, et complètement détérioré. Et bien sûr les coupables sont insolvables.
Heureusement dans ce cas précis, un voisin a pu alerter la Police qui est intervenue rapidement.
Et il s’avère que les trois individus, dont une mineur, sont des algériens en situation irrégulière, autrement des clandestins.
D’où cette question : ou bien ils avaient déjà été repérés sur le territoire mais laissés libres de circuler à leur guise, ou bien ils étaient passés entre les mailles du filet.
Plutôt inquiétant quand on connaît la présence en Algérie de groupe islamistes radicaux pourchassés par le pouvoir mais toujours actifs dans la clandestinité.
Cela en dit long sur le contrôle aux frontières de l’Union européenne et le fameux dispositif Frontex censé nous protéger.
Les deux adultes ont été transféré vers un centre de rétention administrative en vue de leur expulsion du territoire français… si un pays accepte de les accueillir et a condition que les associations pro-immigration financées avec nos impôts ne déposent pas un recours, ce qui est quasi-automatique.
Quand au « jeune mineur », il ne pourra pas être expulsé, il a fait l’objet d’une rappel à loi et sera pris en charge par les services sociaux du Département.
Blois : le collège Bégon célèbre l’Aid.
Le Conseil de la Vie Collégienne du collège Bégon, à la ZUP de Blois, accompagné par les CPR (Conseillers principaux d’éducation) organisent le 21 juin une journée spéciale à l’occasion de la fête de l’Aid el Fitr (bien que ce ne soit pas la date exacte).
Les élèves sont invités à venir habillés en « tenue traditionnelle (boubou, wax, takchita)« .
Un « repas de l’Aid » sera servi au self le midi. Sera-t-il précédé comme le veut la tradition par la triple invocation d’Allah, où l’on répète « Allâhu Abkar, Allâhu Akbar, Allâhu Akbar » ?
Cela pose tout de même beaucoup de questions.
Comment peut-on en arriver à considérer que pour des élèves de collège, les « tenues traditionnelles » soient des tenues africaines ou marocaines ? Pourquoi pas le tchador, le haik ou le caftan ?
C’est un nouvel exemple de cette intégration à l’envers, qui consiste à préférer la culture d’origine plutôt qu’une assimilation.
Croyez-vous que des jeunes collégiennes d’origine africaine vont venir en boubou pour être la risée des petits caïds d’origine maghrébine ? Beaucoup de familles originaires d’Afrique subsaharienne sont chrétienes ou animistes et ne voient certainement pas d’un bon oeil la célébration d’une fête musulmane au sein d’un établissement scolaire public.
Quand aux jeunes français « de souche » ils devront encore subir, en évitant surtout de critiquer ou de manifester leur désaccord sous peine de représailles ou même de sanctions de la la part de l’équipe enseignante.
Une fois encore, c’est eux qui devront se soumettre avec la complicité des autorités.
Les élus blésois du Rassemblement national vont s’adresser aux autorités compétentes, Education nationale et Département, pour dénoncer cette initiative.
Et pour commencer, nous vous invitons à partager massivement cette information sur les réseaux sociaux.
Quartiers nord de Blois : moins d’habitants, davantage d’enfants dans les écoles ?
A l’occasion de la réunion des quartiers nord de Blois, le maire et son équipe municipale ont fait le point sur les différents projets.
Curieusement les questions « sensibles » n’apparaissent pas dans le compte-rendu de la Nouvelle République.
Rien sur l’insécurité chronique ni sur l’école maternelle Jules Ferry, dont nous évoquions les problèmes hier.
Par contre il était question de la reconstruction de l’école Mandela-Croix Chevalier.
Un projet à 10 millions d’euros, justifié selon le maire par la démographie scolaire de ces quartiers « qui accueillent 54% des effectifs totaux de la ville et où la démographie scolaire a été de + 20% depuis 2009″.
Chiffres qui interrogent, quand on sait avec le Plan de Rénovation Urbaine (PRU), ces quartiers ont perdu une partie de leur population, ce qui n’empêche pas les effectifs scolaires d’augmenter.
Moins d’habitants, davantage d’enfants ? Cela veut bien dire plus d’enfants par habitant, autrement dit cela démontre une fois de plus qu’il y un changement de population toujours plus marqué.
Mais l’INSEE n’a pas le droit de publier les statistiques sur l’origine de ces populations, dès lors que les enfants nés en France sont automatiquement Français, même si beaucoup à l’âge adulte ne manifestent pas vraiment leur amour pour la France.
ET tous ces millions dépensés n’empêcheront pas certains de répéter que ces quartiers sont « défavorisés ».
Vous connaissez la chanson !
Mosquée de Romorantin : travail au noir et soupçons de trafics.
« Le coiffeur exerçait illégalement« . C’est ainsi que la Nouvelle République titre le compte-rendu d’une audience au tribunal correctionnel de Blois.
On y apprend qu’un individu, apparemment « sans papiers », exerçait une activité de coiffeur dans les locaux de l’association cultuelle de ma mosquée turque de Romorantin.
Dénoncé par une lettre envoyée à la gendarmerie de Romorantin l’homme, dont le nom n’est pas révélé, écope de 1000 € d’amende.
Affaire banale pourrez-vous dire.
Mais dans le même compte-rendu on apprend qu’une autre lettre dénonçait un trafic d’armes et de drogue et l’apologie du terrorisme.
Simple rumeur ? L’article n’en dit pas plus sur le sujet, mais par les temps qui courent la question a de quoi inquiéter.
Il faut savoir que cette mosquée est gérée par une association affiliée à la Conférédration Mili Görüs, mouvement radical dont le discours et les buts sont pour le moins inquiétants, au point d’être considéré comme « extrèmiste » par Erdogan, qui n’est pourtant pas un enfant de choeur !
Il est pour le moins surprenant que la question soulevée demeure sans réponse.
Orléans : une femme égorgée la veille de la fête des mères.
Orléans : le rue où s’est produit le drame.
Le drame s’est produit samedi 26 mai, à la veille de la fête des mères.
Les premières informations annoncent qu’une jeune femme » a été poignardée à plusieurs reprises ».
Elle décède rapidement des suites de ses blessures, à l’hôpital d’Orléans.
Nous apprenons aussi que cette mère de 3 enfants a reçu les premiers coups de couteau dans le hall de l’immeuble, et que son meurtrier l’a poursuivie et continué à la frapper dans la rue.
Mais tous les médias parlent de »coups de couteau au thorax et au cou », pour éviter le mot « égorgement ». Comme pour le colonel Beltrame, mort d’un « coup de couteau à la trachée ».
On voit bien le mot égorgement leur fait peur, car il en dit beaucoup sur l’origine et la mentalité de l’assassisn.
En l’occurrence, nous apprenons que l’auteur des faits est un certain Malik S., déjà condamné en 2004 pour un homicide volontaire commis à l’arme blanche, à Orléans en 2002, sorti de détention en 2012, d’abord en semi-liberté puis sous le régime de la liberté conditionnelle (la République du Centre).
Dans la Nouvelle République de Loir et Cher, seulement quelques lignes en page 31, sans évoquer les circonstances ni l’identité de l’assassin.
Surtout pas d’amalgame…
Toujours plus de migrants en Loir et Cher : Macron a encore menti aux Français.
30 logements réquisitionnés par le Préfet à Blois en octobre 2016, 125 de plus sont prévus. Combien au total ? (image d’archives FN41)
La loi « asile et immigration » avait provoqué des cris d’orfraie du côté de la gauche et de l’extrême-gauche, allant jusqu’à provoquer des vapeurs chez certains députés « en Marche », où en plus des « godillots » il y a aussi quelques « babouches ».
Cette indignation, réelle ou feinte ne pouvait que servir le tandem Collomb-Macron, dont les Français ont pu croire qu’ils allaient durcir la politique d’asile et d’immigration.
Bien sûr, c’est exactement le contraire.
Cette loi était destinée à faire croire aux Français qu’il y aurait désormais un contrôle plus strict, pour mieux leur faire accepter les quotas de réfugiés qui nous sont imposés par Bruxelles, en plus de ceux qui de toutes façons entrent clandestinement.
Ainsi pour le seul département de Loir et Cher, le Préfet annonce la mise à disposition de 125 logements supplémentaires pour accueillir les familles en sortie de CADA (centres d’accueil de demandeurs d’asile) et ceux qui arrive « via la plateforme nationale », autrement dit des migrants en situation irrégulière que l’on réparti sur le territoire pour désengorger Calais ou Paris.
Et comme il est précisé dans l’article (la Nouvelle République du 26/05/2018) les places ainsi libérées en CADA seront aussitôt occupées par de nouveaux arrivants.
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Repas sans porc : le FN persiste et signe.
Les élus FN apportent toujours la preuve de ce qu’ils avancent.
Le compte-rendu du conseil municipal de Blois publié le 24/05 dans la Nouvelle République était consacré quasi exclusivement à l’éviction de Louis Buteau, attiré dans l’orbite d’une certaine planète gazeuse.
Mais le dossier principal était bien la restauration scolaire, avec le renouvellement du contrat de délégation.
Nous avons évoqué le sujet hier, mais la NR y revient aujourd’hui dans un billet qui parle d’une « tentative de déstabilisation« , pour reprendre une expression de Benjamin Vételé.
On ne comprend pas vraiment ce qu’il entend par là, il s’agissait d’une remarque parmi d’autres et d’une question posée au sujet des menus sans porc.
Le procès-verbal pourra attester précisément des propos tenus par Michel Chassier et de la réponse de Marc Gricourt (Benjamin Vétélé n’a pas répondu sur ce point).
Dans le nouveau contrat de délégation, dans le cadre des repas spéciaux, article 21 paragraphe 21.11.1, pages 43 et 44, il est prévu des repas sans porc ainsi que alternatives sans porc pour les pique-niques et repas froids.
Marc Gricourt nous a répondu que ce choix avait été fait avant 2008 par son prédécesseur, Nicolas Perruchot.
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Région Centre-Val de Loire : la gauche veut toujours plus d’immigration, le FN répond.
Lors de la session plénière du 19 avril le groupe « écologiste » a proposé un vœu pour demander au gouvernement de revenir sur les nouvelles dispositions du projet de loi Asile et Immigration actuellement discuté à l’Assemblée Nationale.
Au nom du groupe Front national Daniel Fraczak (Indre et Loire) a répondu par une intervention remarquablement argumentée, remettant sérieusement les choses en place et laissant la gauche sans voix.
Du coup Guillaume Peltier a préféré ne pas intervenir, conscient certainement des différences de sensibilité à l’intérieur de son groupe.
Encore une fois les socialistes en suivi les écologistes, dont ils ont besoin pour conserver la majorité pour faire adopter ce voeu, qui heureusement n’aura aucun effet.
Les groupes FN et UDC ont voté contre.
Voir le texte de l’intervention sur le site du groupe FN Centre-Val de Loire.
Immigration : Jacqueline Gourault perd son sang froid.
Conférence de presse lundi 16 avril à l’Assemblée nationale pour présenter le contre-projet du Front National
Moment d’énervement, de colère comme le disent les médias, ou bien perte de contrôle à la limite du dérapage.
Le débat sur la loi asile et immigration a provoqué hier de vifs échanges à l’Assemblée nationale, où Gérard Collomb a refusé de répondre aux questions des députés sur la « face cachée » de la loi, avec un projet de régularisation de 40 000 « sans-papiers », autrement des clandestins, évoqué par un élu de la majorité dans le journal officiel du système, « le Monde ».
Jacqueline Gourault, ministre auprès du ministre de l’Intérieur (!) s’est alors emportée en s’indignant qu’un député puisse « obliger un ministre à répondre« .
Mouvement de panique qui démontre bien le désarroi du gouvernement voyant ses intentions démasquées.
Ce projet de loi affiche une certaine fermeté sur quelques sujets, afin de faire mieux admettre les régularisations à venir et l’accueil du quota de migrant réclamé par l’Union européenne.
Et la gauche joue les idiots utiles en laissant croire que cette loi serait destinée à restreindre l’asile et l’immigration, alors qu’elle vise l’effet contraire.
Pour autant, cela ne justifie pas le dérapage de Jacqueline Gourault, sévèrement remise en place par Christian Jacob : « à ce stade je pense qu’il faut effectivement ramener l’Assemblée au calme, madame la ministre également. Le gouvernement est responsable devant le Parlement, ça n’est pas l’inverse ».
Etonnant qu’une parlementaire aussi expérimentée que Jacqueline Gourault ait oublié cela.
On comprend d’autant mieux le projet de M. Macron visant à museler le Parlement.
Malgré le peu de temps de parole dont ils disposent, vos députés FN sont intervenus dans le débat à plusieurs reprises, notamment pour défendre des amendements.
Au final, seuls 27 amendements ont été étudiés et l’article 3 n’a pu être soumis au vote. Il y a au total 40 articles à examiner et 972 amendements déposés.
Le gouvernement qui voulait forcer la main des députés afin d’obtenir un vote d’ici vendredi soir n’est plus du tout certain d’atteindre son objectif.
Il faut souhaiter que le débat dure suffisamment longtemps pour alerter les Français.
Vous pouvez compter pour cela sur vos députés FN.
Vendôme : le « jeune » Malik menace un policier d’égorgement.
La Nouvelle République parle d’interpellation « houleuse ».
Le jeune Malik, présenté comme un « grand frère » dans le quartier des Rottes, ce qui en dit long, aurait « pété les plombs » en voyant son cousin interpellé par la Police, pour une affaire de stupéfiants.
Devenu très agressif, il s’en est pris aux forces de l’ordre, tandis que se formait un attroupement d’une dizaine de « personnes hostiles ». Sans d’autres « frères » et des « cousins » ?
Malik en est même venu aux mains, saisissant l’un des agents par le col tout en le menaçant de mort en mimant un geste d’égorgement.
Il a fallu des renforts (au total 14 policiers) pour le maîtriser et le conduite à la Maison d’arrêt où il a passé le week-end en attendant sa comparution immédiate ce lundi.
On peut se féliciter que la Justice ait pu se saisir de l’affaire aussi rapidement, mais le jugement laisse quelque peu dubitatif.
Le Vice-procureur a pourtant insisté sur l’extrême violence de cet individu et réclamé 6 mois fermes, mais le tribunal a semble-t-il entendu les arguments de la défense, plaidant que le prévenu s’est « laissé dépasser par les évènements [...] et il regrette amèrement« .
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Faux réfugié, vrai truand.
En Europe, il suffit de rentrer par effraction pour obtenir des droits.
Sokol est un Albanais de 34 ans. Avec ses deux frères ils ont demandé le statut de « réfugié politique ».
Etrange pour des ressortissants d’un pays de l’OTAN et dont la candidature à l’Union européenne remonte à 2009.
Et bien sûr, en attendant que ce statut leur soit accordé ou refusé – ce qui ne les empêchera de rester chez nous – les trois individus sont logés, touchent une allocations de l’OFPRA (360 euros par mois), bénéficient de l’AME (assistance médicale gratuite qui les couvre à 100%) etc…
Mais cela ne leur suffit pas, ils complètent ces allocations par du travail au noir et d’autres activités lucrative comme le trafic de bijoux et d’objets volés.
Déjà jugé deux fois pour des faits de même nature, Sokol est à nouveau condamné par le tribunal de Metz en octobre 2017. Cette fois, il écope de six mois de prison.
Cependant il fait appel, ce qui démontre qu’il peut se payer un avocat, ou bien qu’il y a quelqu’un pour payer…
Sa défense ne parvient pas à convaincre le tribunal, qui prononce le maintien en détention.
Mais la vraie question n’est pas là.
Comment un tel individu, délinquant multirécidiviste, peut-il toujours bénéficier du statut de demandeur d’asile et vivre à nos dépends.
Il y a longtemps que le Front National se bat que ces faux demandeurs d’asile, à fortiori délinquants, soient expulsés.
Mais Sarközy avait aboli la « double-peine » pour les étrangers, et ni Hollande ni Macron ne sont revenus sur cette question, totalement absente du projet de loi qui fait tant hurler l’extrême-gauche.
Attaque islamiste dans l’Aude : le communiqué du Front National.
Attaque terroriste de Trèbes : quand le gouvernement prendra-t-il conscience que nous sommes en guerre?
Notre pays a été l’objet d’une nouvelle attaque terroriste. Comme d’habitude, les Français ont droit à une sorte de rituel gouvernemental :
- déplacement du ministre de l’Intérieur sur les lieux, qui nous expliquera avec l’air satisfait les mesures mises en place;- déclaration lénifiante sur les pathologies psychiatriques supposées du terroriste, comme vient de le faire E. Macron;
- avis d’experts pour démontrer l’efficacité des dispositifs antiterroristes…
Fait inquiétant : on s’aperçoit qu’après avoir frappé les métropoles, les terroristes choisissent désormais de s’attaquer aux périmètres moins contrôlés des zones rurales, adoptant là la technique expérimentée dans tous les pays qui ont sombré dans le terrorisme comme l’Irak.
L’attaque meurtrière de Trèbes est visiblement le fait d’un étranger fiché S doublé d’un délinquant. Que faisait-il sur le sol français? Lorsque les députés du Front National ont proposé le 28 septembre 2017, par voie d’amendement, l’expulsion des fichés S étrangers, la majorité En Marche et LR ont voté contre. Le Front National demande que le terrorisme soit maintenant traité comme un « acte de guerre », et que les étrangers sur les 16.000 fichés « S » recensés soient immédiatement expulsés.
Au-delà de cette mesure ciblée, le Front national demande le retour des contrôles effectifs aux frontières nationales.
Télécharger l’amendement des députés du FN : Amendement FN fichés S étrangers
Loir et Cher : les « migrants » osent revendiquer !
Avec le soutien des organisations habituelles, dont beaucoup subventionnées, des « migrants » hébergés en Loir et Cher écrivent un cahier de doléances !
Non, vous ne rêvez pas, cette action est relayée, pour ne pas dire soutenue, sur une demi-page par la Nouvelle République du 28 février.
Il faut tout de même remettre les pendules à l’heure.
Le terme de « migrants », imposé par la classe politique et les médias mainstream, désigne ceux qu’on appelait auparavant les « sans-papiers », en fait des immigrés clandestins qui sont entrés illégalement en Europe grâce à des filières mafieuses et ensuite, grâce à l’espace Schengen sont parvenus jusqu’en France.
Ce choix n’est pas tout à fait un hasard : hormis ceux qui cherchent à rallier le Royaume Uni via Calais, la plupart on choisi le France en raison de sa générosité dont la réputation a fait le tour du monde !
Hébergement, soins, éducation, allocations : nulle part ailleurs ils ne trouvent autant d’avantages, au point d’être souvent mieux traités que les SDF ou même certains de nos anciens.
Et les initiatives se multiplient, y compris en Région Centre, pour leur réserver des places de formation avec promesse d’embauche, au détriment des Français en recherche d’emploi qui auraient bien aimé bénéficier des mêmes dispositifs.
Il est donc pour le moins étonnant de voir ces gens qui sont arrivés chez nous par effraction, que nous n’avons jamais invité, se permettre de revendiquer ! S’ils ne sont pas satisfaits de l’accueil qui leur est fait, la réponse est très simple : qu’ils repartent !
Chacun doit être bien conscient que le phénomène va encore s’amplifier, et le gouvernement va poursuivre sa politique de répartition des « migrants » dans les petites villes et la ruralité.
Et attention, la réforme du droit d’asile qui indigne tant la gauche immigrationniste n’est qu’un leurre destiné à rassurer les Français, pour leur faire accepter au final davantage d’immigration, en accord avec Mme Merkel, en faisant croire que le processus est sous contrôle.
Et sur ce point la gauche est rejointe par le président du MEDEF, Pierre Gattaz, qui déclarait en 2015 : « l’accueil des migrants est une opportunité pour notre pays. »
Une opportunité pour le MEDEF peut-être, pour les Français certainement pas.
Nos élus seront attentifs aux demandes de subventions des organisations et organismes qui les soutiennent.
Main basse des groupes financiers sur les HLM ?
Des logements sociaux plus chers pour les Français, gratuits pour les « migrants » ? Photo d’illustration : clandestins de Calais accueillis à Blois dans des logements réquisitionnés par le Préfet.
On commence à comprendre les intentions du gouvernement dans la loi qui se prépare pour les bailleurs sociaux, qui gère le parc des logements sociaux, communément appelés « HLM ».
Le but de ces logements est de permettre aux familles à revenus modestes de se loger décemment, et cela correspond à un véritable besoin.
Pour que les loyers restent bas les pouvoirs publics fournissent une aide indirecte, versée non au locataire, mais au bailleur, sous forme de facilités de financement, de subventions, de déduction fiscale, etc. Cette aide est assortie de conditions sur la qualité du logement et le montant des loyers.
Mais c’est là que la bât blesse. L’Etat, contraint par ses créanciers de réduire son endettement, vient de diminuer les APL d’une part, les concours aux bailleurs sociaux d’autre part, estimant que ces derniers disposaient d’une « cagnotte ».
En réalité, l’ensemble des bailleurs sociaux dispose au total de 8,5 milliards d’euros, mais cela représente 2 mois et demi de trésorerie, rien d’exceptionnel par conséquent.
Mais en réduisant ses concours, l’Etat risque de mettre certains bailleurs en difficulté… ce qui est peut-être l’objectif recherché.
Car la future loi veut inciter les bailleurs sociaux à se regrouper. Il est bien sûr question de volontariat, mais un volontariat forcé par la contrainte financière. Un peu comme pour les regroupements de communes, domaine où l’Etat alterne la carotte et le bâton.
Cette perspective inquiète les trois organismes du département, qui ne voient pas forcément l’intérêt d’un tel regroupement.
Mais à terme l’idée sous-jacente est bien de permettre aux grands groupes financiers et immobiliers de prendre progressivement le contrôle du secteur, selon un principe immuable : ils encaisseront les bénéfices tandis que les collectivités auront la charge des personnes en situation de fragilité.
Au-delà de cette loi, il ne faut toutefois pas ignorer un problème majeur qui touche tous les bailleurs sociaux, c’est la question de l’immigration de masse.
Ce phénomène, qui s’est accéléré dès le début des années 80, s’est traduit par l’arrivée de centaines de familles immigrées, à la ZUP de Blois, mais aussi à Romorantin, à Vendôme, à Mer ou Salbris.
Et on assiste partout, dès que l’on atteint un seuil critique, aux problèmes de cohabitation qui font que les locataires d’origine française préfèrent partir… quand ils en ont les moyens.
Du coup la mixité sociale des quartiers tant souhaitée est devenue un mythe, et les logements sociaux sont majoritairement occupés par des familles d’origine immigrée, ou par des familles à faibles revenus, beaucoup aux minima sociaux, personnes isolées et souvent âgées, qui sont de facto « piégés » dans leur quartier.
C’est un aspect de la situation que la loir ne veut pas aborder, ce qui démontre à quel point ce gouvernement ignore les problèmes vécus par les Français.
Mises en avant
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Mathilde PARIS, tête de liste « Un autre avenir pour Blois » était jeudi soir l’invitée de la rédaction de @TVTOURS. Revoir la vidéo....
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