Maire, officier de police judiciaire, j’étais à nouveau cette nuit en patrouille avec la police municipale.
Ce n’est pas la maire de Blois qui publie cette information sur Twitter, mais le maire Beaucaire, Julien Sanchez.
Un moyen de rappeler l’importance qu’il accorde à la sécurité des ces concitoyens, et de soutenir la police dans l’exercice de ses missions au moment où certains la dénigrent.
Un exemple à suivre pourquoi pas à Blois.
Et si le maire ne veut pas le faire, les élus du Rassemblement national peuvent recevoir une délégation pour le faire à sa place, il y sont tout à fait disposés.
Le maire en patrouille de nuit avec la police municipale… pas à Blois, mais à Beaucaire.
Blois : voiture incendiée et tensions à la ZUP.
Rue Maryse Bastié – image d’illustration.
Avec les longues soirées de juin et la période du ramadan, il y a du monde assez tard dans les rues de la ZUP.
Et aussi un certains de petites racailles qui continuent à semer le désordre dans le quartier, à brûler des véhicules et à provoquer les forces de l’ordre.
La Nouvelle République du 5 juin rapporte un incendie de voiture dans la nuit de dimanche à lundi rue Maryse Bastié, vers 2 heures du matin.
Un quartier régulièrement touché par ce type de délinquance.
Aucune trace cependant d’une information qui nous a été rapportée par des habitants du quartier au sujet d’un incendie de scooter le même soir du côté de la place Mirabeau.
Un voiture de Police arrivée sur les lieux aurait été caillassée.
Dans plusieurs villes de France ce genre d’incident se multiplies en ce moment.
Les forces de l’ordre vont-elles recevoir à nouveau des consignes d’évitement ? C’est bien probable selon le témoignage discret de policiers d’une ville voisine de la Région.
Exactement le contraire de ce qu’il faudrait faire.
Et après cela on s’étonnera que les Français rejettent le « vivre ensemble » et ma « mixité sociale » qu’on voudrait leur imposer !
Blois : pneus crevés en série au parking Saint Honoré.
Près de la moitié des voitures stationnées sur le parking Saint Honoré à Blois ont eu les pneus crevés.
Il y avait un défilé de dépanneuses ce matin dans la rue…
Ce n’est pas la première fois que ce parking est la cible de ce genre de malveillance.
Il serait peut-être temps d’envisager une caméra de vidéo-surveillance.
Mosquée de Romorantin : travail au noir et soupçons de trafics.
« Le coiffeur exerçait illégalement« . C’est ainsi que la Nouvelle République titre le compte-rendu d’une audience au tribunal correctionnel de Blois.
On y apprend qu’un individu, apparemment « sans papiers », exerçait une activité de coiffeur dans les locaux de l’association cultuelle de ma mosquée turque de Romorantin.
Dénoncé par une lettre envoyée à la gendarmerie de Romorantin l’homme, dont le nom n’est pas révélé, écope de 1000 € d’amende.
Affaire banale pourrez-vous dire.
Mais dans le même compte-rendu on apprend qu’une autre lettre dénonçait un trafic d’armes et de drogue et l’apologie du terrorisme.
Simple rumeur ? L’article n’en dit pas plus sur le sujet, mais par les temps qui courent la question a de quoi inquiéter.
Il faut savoir que cette mosquée est gérée par une association affiliée à la Conférédration Mili Görüs, mouvement radical dont le discours et les buts sont pour le moins inquiétants, au point d’être considéré comme « extrèmiste » par Erdogan, qui n’est pourtant pas un enfant de choeur !
Il est pour le moins surprenant que la question soulevée demeure sans réponse.
Orléans : une femme égorgée la veille de la fête des mères.
Orléans : le rue où s’est produit le drame.
Le drame s’est produit samedi 26 mai, à la veille de la fête des mères.
Les premières informations annoncent qu’une jeune femme » a été poignardée à plusieurs reprises ».
Elle décède rapidement des suites de ses blessures, à l’hôpital d’Orléans.
Nous apprenons aussi que cette mère de 3 enfants a reçu les premiers coups de couteau dans le hall de l’immeuble, et que son meurtrier l’a poursuivie et continué à la frapper dans la rue.
Mais tous les médias parlent de »coups de couteau au thorax et au cou », pour éviter le mot « égorgement ». Comme pour le colonel Beltrame, mort d’un « coup de couteau à la trachée ».
On voit bien le mot égorgement leur fait peur, car il en dit beaucoup sur l’origine et la mentalité de l’assassisn.
En l’occurrence, nous apprenons que l’auteur des faits est un certain Malik S., déjà condamné en 2004 pour un homicide volontaire commis à l’arme blanche, à Orléans en 2002, sorti de détention en 2012, d’abord en semi-liberté puis sous le régime de la liberté conditionnelle (la République du Centre).
Dans la Nouvelle République de Loir et Cher, seulement quelques lignes en page 31, sans évoquer les circonstances ni l’identité de l’assassin.
Surtout pas d’amalgame…
Toujours plus de migrants en Loir et Cher : Macron a encore menti aux Français.
30 logements réquisitionnés par le Préfet à Blois en octobre 2016, 125 de plus sont prévus. Combien au total ? (image d’archives FN41)
La loi « asile et immigration » avait provoqué des cris d’orfraie du côté de la gauche et de l’extrême-gauche, allant jusqu’à provoquer des vapeurs chez certains députés « en Marche », où en plus des « godillots » il y a aussi quelques « babouches ».
Cette indignation, réelle ou feinte ne pouvait que servir le tandem Collomb-Macron, dont les Français ont pu croire qu’ils allaient durcir la politique d’asile et d’immigration.
Bien sûr, c’est exactement le contraire.
Cette loi était destinée à faire croire aux Français qu’il y aurait désormais un contrôle plus strict, pour mieux leur faire accepter les quotas de réfugiés qui nous sont imposés par Bruxelles, en plus de ceux qui de toutes façons entrent clandestinement.
Ainsi pour le seul département de Loir et Cher, le Préfet annonce la mise à disposition de 125 logements supplémentaires pour accueillir les familles en sortie de CADA (centres d’accueil de demandeurs d’asile) et ceux qui arrive « via la plateforme nationale », autrement dit des migrants en situation irrégulière que l’on réparti sur le territoire pour désengorger Calais ou Paris.
Et comme il est précisé dans l’article (la Nouvelle République du 26/05/2018) les places ainsi libérées en CADA seront aussitôt occupées par de nouveaux arrivants.
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Repas sans porc : le FN persiste et signe.
Les élus FN apportent toujours la preuve de ce qu’ils avancent.
Le compte-rendu du conseil municipal de Blois publié le 24/05 dans la Nouvelle République était consacré quasi exclusivement à l’éviction de Louis Buteau, attiré dans l’orbite d’une certaine planète gazeuse.
Mais le dossier principal était bien la restauration scolaire, avec le renouvellement du contrat de délégation.
Nous avons évoqué le sujet hier, mais la NR y revient aujourd’hui dans un billet qui parle d’une « tentative de déstabilisation« , pour reprendre une expression de Benjamin Vételé.
On ne comprend pas vraiment ce qu’il entend par là, il s’agissait d’une remarque parmi d’autres et d’une question posée au sujet des menus sans porc.
Le procès-verbal pourra attester précisément des propos tenus par Michel Chassier et de la réponse de Marc Gricourt (Benjamin Vétélé n’a pas répondu sur ce point).
Dans le nouveau contrat de délégation, dans le cadre des repas spéciaux, article 21 paragraphe 21.11.1, pages 43 et 44, il est prévu des repas sans porc ainsi que alternatives sans porc pour les pique-niques et repas froids.
Marc Gricourt nous a répondu que ce choix avait été fait avant 2008 par son prédécesseur, Nicolas Perruchot.
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Vendôme : le mythe des quartiers défavorisés.
Photo d’illustration : piscine des Maillettes.
Les faits sont têtus. Et les faits divers que nous relatons parfois le sont tout autant.
A Vendôme la piscine des Maillettes, située dans le quartier des Rottes, vient à nouveau d’être vandalisée (la Nouvelle République du 23/05/2018).
Elle avait été rouverte le 18 mai, après une première fermeture en raison de dégradations commises le 8 mai.
Quatre jours plus tard elle est de nouveau fermée suite aux dégradations commises dans la nuit de dimanche à lundi.
Qui sont les auteurs de ces actes et quelles sont leurs motivations ? Il faut espérer que l’enquête aboutisse pour la savoir.
Nous avons certes une petite idée, mais patience…
Toujours est-il que ces dégradations répétées d’un équipement public utilisé par les habitants du quartier et au-delà en raison des travaux sur la piscine des Grands Prés sont une nouvelle illustration du mythe des quartiers « défavorisés ».
La plupart de ces quartiers, désignés aujourd’hui comme quartiers prioritaires de la politique de la Ville, sont généralement les mieux pourvus en équipements publics, à l’instar de la ZUP de Blois dont nous avons souvent parlé.
Mais le problème c’est que les équipements publics sont régulièrement la cible de dégradations, et que les services publics ont souvent quitté ces quartiers car leurs agents étaient victimes de menaces et d’agression.
Ainsi la piscine Tournesol à Blois qui a été incendiée, la salle Paul-Emile Victor plusieurs fois saccagé avant d’être incendiée et aujourd’hui rasée dans le cadre du PRU. Et ce ne sont que quelques exemples, nous pourrions les multiplier.
C’est pourquoi nous ne pouvons que nous réjouir de l’abandon du plan Borloo, même si nous redoutons que M. Macron aggrave encore la politique de « discrimination positive », ce qui ressort malheureusement de son discours dans lequel il reproche seulement au plan Borloo d’avoir été inspiré par « deux mâles blancs » !
Il reprend en cela l’expression d’une certaine Anne Lauvergeon, qui avait déclaré qu’à compétences égales, elle préférait recruter « tout sauf le mâle blanc« . Propos racistes et imbéciles dans les deux cas, et l’on sait comment Anne Lauvergeon a conduit AREVA à la catastrophe.
Pour notre part nous pensons que le plan Borloo était surtout inspiré par la professeur Shadoko
Blois : le menu sans porc officialisé dans les cantines.
(image d’archives)
Conseil municipal exceptionnel ce 22 mai à Blois, motivé d’abord par les délibérations portant sur l’éviction de Louis Buteau, ex-adjoint au commerce et à l’artisanat, qui s’était vu retirer sa délégation le 23 avril.
Il payait son ralliement à Macron et quelques propose publics qui ont pu déplaire à Marc Gricourt.
Désormais toutes ses autres délégations (dans le conseils d’administration des Lycées, les conseils d’écoles, la commission des foires et marchés, la société publique locale Stationéo) lui ont été retirées.
Il n’y aura plus d’adjoint au commerce et à l’artisanat, mais c’est le maire en personne qui va s’en charger.
Le dossier le plus important portait sur le renouvellement de la délégation de service public de la restauration scolaire et municipale.
Le Front National n’est malheureusement pas représenté au sein de la commission ad hoc, mais le choix entre les candidats a été fait selon le règlement de la consultation qui attachait une importance à la qualité de la prestation.
Michel Chassier s’est félicité également que le délégataire retenu ne soit pas un des « majors » du secteur, mais une entreprise familiale échappant encore à la mainmise des banquiers.
Il a toutefois regretté que soit mentionné pour la 1ère fois l’existence de menus de substitution sans porc, « pour les familles qui le souhaitent ».
L’élu FN a déploré cette dérive, qui ouvre la porte à toutes sortes de revendications et d’exceptions, religieuses ou non, et va l’encontre d’un processus d’intégration. Toutes sensibilité confondues, les autres élus se ont tus. Faut-il en conclure qu’ils se sont soumis ?
Sur un autre sujet Hubert de Pirey est intervenu sur les conséquences du changement de rythmes scolaires sur le temps périscolaire. Une distinction est faite désormais avec les loisirs périscolaires (jusqu’à 18 h) et la garderie jusqu’à 18 h 30.
Enfin Michel Chassier a évoqué une décision du maire au sujet d’une action en diffamation décidée à l’encontre de Nicolas Viault, jugeant la procédure quelque peu disproportionnée par rapport à des propos critiques et à simple sous-entendu postés sur une page Facebook, propos auxquels il aurait été facile de répondre.
Même si Nicolas Viault ne fait partie de nos amis – il ne se prive pas non plus de nous critiquer – nous admettons les critiques et même les questions qui fâchent. Il est vrai que nous avons une certaine habitude d’en être la cible. Le maire persiste et signe, les autres élus n’ont pas souhaité intervenir.
Trafic de drogue à Blois : supermarché ou superettes ?
Le tribunal correctionnel de Blois jugeait le 15 mai une affaire de drogue pour une filière démantelée en mars 2016 (la Nouvelle République du 16/05/2018).
Deux ans après les faits, trois des sept protagonistes s’étaient évaporés dans la nature.
Parmi les prévenus présents à l’audience, Raouf, « Bobo » et Jadet, certains n’avaient pas le choix car ils étaient déjà incarcérés.
Comme d’habitude ils tentent de minimiser leur rôle.
Bien que ni la nationalité ni l’origine de trafiquants soit révélée, nous apprenons que parfois « les échanges téléphoniques se faisaient en langage codé, parfois en dialecte congolais« .
La substitut a qualifié les deux appartements de « supermarchés des drogues dures. » , la défense modère en parlant de « supérettes ».
Dans tous les cas c’est bien une confirmation de l’importance de ce trafic, dont cette filière ne représentait qu’une mince partie.
Chacun sait que cette économie souterraine est toujours bien présente dans plusieurs quartiers.
Les policiers font pourtant leur possible et souvent un travail remarquable, mais il est permis de douter de la volonté du gouvernement de lutter efficacement contre ce fléau, car des actions trop musclées risqueraient de provoquer les « réprésailles » habituelles : émeutes, incendies de voiture ou de biens publics etc…
La Nouvelle République veut encore politiser la fête de Jeanne d’Arc.
Non le FN ne privatise pas Jeanne d’Arc, il organise l’hommage officiel abandonné par les autorités. C’est la NR qui politise l’événement.
La Nouvelle République rend compte aujourd’hui de l’hommage à Jeanne d’Arc hier à Blois.
Mais la teneur des propos de Michel Chassier lors son allocution, pas plus que les réponses apportées au journalistes ne sont pris en compte.
L’article n’est en réalité qu’un prétexte pour ressortir contre le Front National l’éternelle accusation d’avoir « récupéré » Jeanne d’Arc.
Au prix de quelques accommodements avec la réalité.
D’abord sur la date de la Fête de Jeanne d’Arc. Il faut savoir, et cela a été rappelé hier, qu’il s’agit d’une cérémonie patriotique officielle de la République française, instituée le 24 juin 1920 par un vote unanime de l’Assemblée nationale, et qu’elle se tient depuis lors partout en France le 2ème dimanche de mai.
A l’exception de la Ville d’Orléans, qui fête sa libération par Jeanne le 8 mai.
Quant à la récupération, nous avons toujours dit que nous étions prêts à laisser aux autorités locales le soin d’organiser la cérémonie.
Or une fois de plus ni le Maire, ni le Préfet, ni le Conseil départemental, ni le Conseil régional, ni les parlementaires, ni les autorités militaires et ecclésiastiques n’étaient présentes ou représentées.
Par conséquent nous n’avons aucunement « récupéré » et encore moins « privatisé » cette fête, comme le dit la NR, ce sont les autorités de la République qui l’ont sciemment abandonnée.
L’article revient aussi sur l’historique des célébrations organisées par le FN.
En 1988, entre les deux tours de la présidentielle, il avait été décidé de regrouper la Fête de Jeanne d’Arc avec la Fête de travail à l’occasion d’un défilé à Paris.
Aujourd’hui les choses ont évolué en raison des difficultés de l’organisation d’une telle manifestations à Paris.
Cela étant, la Fédération de Loir et Cher a toujours maintenu une célébration à Blois à la date inscrite dans le calendrier officiel.
Et contrairement à ce qui est écrit dans l’article de la NR, nous n’avons pas « changé de ton ».
Régulièrement nous avons invité le maire de Blois à organiser ou au moins à participer à cette cérémonie.
Y compris lorsque le maire de Blois était Jack Lang, qui a toujours décliné l’invitation.
Nicolas Perruchot avait toutefois fait déposer une gerbe une fois au cours de son mandat.
Marc Gricourt n’a jamais donné suite.
Et si Marine Le Pen avait critiqué Nicolas Sarközy en 2012, c’est qu’elle considérait à juste titre ce dernier illégitime pour fêter cette héroïne, alors qu’il avait abdiqué la souveraineté de la France au mépris du choix des Français lors du référendum de 2005.
Enfin, pour en finir avec la récupération, que dire de M. Macron, qui a récupéré à son profit et pour sa propre promotion le Fête de Jeanne d’Arc à Orléans le 8 mai 2016, préparant déjà sa campagne présidentielle.
Pour notre part aucune ambiguïté, nous célébrerons Jeanne à nouveau à Blois en 2019, ce sera le dimanche 12 mai.
En espérant que les autorités se réveillent et prennent l’initiative d’organiser cette célébration, en présence des corps constitués et avec la participation des troupes et de l’harmonie municipale.
Blois : hommage à Jeanne d’Arc.
Cela fait plus de 20 ans que nous célébrons à Blois la fête de Jeanne d’Arc, instituée en 1920 par un vote solennel de l’Assemblée nationale.
Curieusement tous ceux qui parlent de « mémoire » semblent l’avoir oublié.
Certains parlent de récupération, mais nous sommes prêts à leur laisser le soin d’organiser la cérémonie.
Or une fois de plus ni le Maire, ni le Préfet, ni le Conseil départemental, ni le Conseil régional n’étaient représentés.
Seuls les élus du Front National ont répondu présent : Michel Chassier président du groupe FN Centre-Val de Loire, conseiller municipal et communautaire de Blois, Jean-Louis Berger conseiller municipal et communautaire de Blois, Renaud Grazioli conseiller municipal de Vendôme, Olivier Besnard conseiller municipal et communautaire de Mer et Gilles Godefroy, conseiller régional d’Indre et Loire, conseiller municipal de Tours.
Dans son discours d’hommage à Jeanne d’Arc, Michel Chassier a rappelé le sens de cette cérémonie et déploré que l’histoire de France soit à ce point malmenée dans les programmes ( Discours Jeanne d’Arc 2018).
Une minute de silence a été observée en mémoire à tous ceux qui morts pour la France, avec une pensée particulière cette année pour Pierre de Saint Céran qui avait longtemps organisé cette cérémonie blésoise.
Les participants se sont ensuite retrouvés pour un verre de l’amitié à notre permanence salle du Bourg Saint Jean et par un repas convivial.
Blois, Romorantin : une série d’incendies inquiétante.
Dans la nuit de samedi à dimanche, plusieurs de véhicules et de poubelles ont touché différents quartiers de Blois (la Nouvelle République du 7 mai 2018).
D’abord rue Monge (*) à la ZUP de Blois, une voiture et plusieurs conteneurs, puis en Vienne rue Jean de Morvilliers une voiture est incendiée devant un garage, ensuite c’est un feu de poubelles à Bas Rivière puis à nouveau en bordure de la ZUP, rue Etienne Baudet où un scooter est détruit par le feu.
Une série inquiétante qui touche plusieurs quartiers. S’agit-il d’un coïncidence ou au contraire de méfaits commis par une même équipe ?
Et dans quel but ? Après les incendies de mercredi soir rue Georges Sand et rue Mongolfier, cela commence à faire beaucoup et il faut espérer que les auteurs soient identifiés et jugés comme ils le méritent.
Nous l’avons déjà dit, un jour il y aura des conséquences graves. Un logement a du être évacué en Vienne en raison des risques de propagation.
La même nuit Romorantin a connu également un feu de poubelles près du magasin Monoprix en centre-ville.
Les élus du Front National demandent que tout soit mis en oeuvre pour mettre hors d’état de nuire les auteurs de ces incendies.
(*) plusieurs voitures ont déjà été incendiées rue Monge en 2016 et 2017.
Châteauvieux : le Préfet rend hommage aux résistants du temps présent.
Pierre de Saint Céran lors d’un hommage à Jeanne d’Arc avec le Front National à Blois. Une vie de résistance au service de la France.
A l’occasion de la commémoration annuelle de l’arrestation de six résistants de la commune, dont cinq sont décédés dans les camps et le dernier deux mois après son retour, le Préfet de Loir et Cher a rendu hommage à « ces hommes qui on fait le sacrifice de leur vie pour la patrie » (la Nouvelle République du 5 mai 2018).
Comme leurs aînés de 1914-18, ces résistants de la dernière guerre mondiale sont morts pour la France et reposent au carré militaire du cimetière de Châteauvieux.
Il est bon que le souvenir de leur héroïsme soit transmis aux jeunes générations à qui l’on enseigne le mépris de la Nation, au profit d’une illusoire citoyenneté européenne voire mondiale, assortis d’une repentance prélude à la soumission.
Aujourd’hui ceux qui résistent, ceux qui défendent leur pays menacé par la submersion migratoire, qui se battent pour conserver son indépendance et sa souveraineté sont au contraire montrés du doigt, dénigrés par les médias, qualifiés de dangereux nationalistes.
Ils sont parfois menacés physiquement, certains risquent leur emploi, leurs réunions et leurs locaux sont régulièrement attaqués par des milices d’extrême-gauche qui ne sont jamais inquiétées.
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Encore deux incendies à la ZUP de Blois.
(image d’illustration)
Nouveaux incendies mercredi soir à la ZUP de Blois : un scooter vers 22 h 10 rue Georges Sand, des poubelles peu après rue Montgolfier (la Nouvelle République du 4 mai 2018).
L’intervention rapide des sapeurs pompiers a évité la propagation, mais cela reste des actes graves, dont les conséquences peuvent dépasser ce qu’imaginent leurs auteurs.
Et ces incendies à répétition continuent à dégrader le climat de ces quartiers. N’oublions pas aussi que les victimes sont presque toujours des personnes modestes.
Encore une fois seules des sanctions exemplaires pourraient mettre fin à de tels comportements.
Mais Jean-Louis Borloo propose toujours le même remède : déverser des milliards d’euros sure les « quartiers prioritaires ». C’est sur ceux uù brûlent les voitures.
C’est aussi la politique menée à Blois depuis plus de 30 ans. En vain.
Rébellion et insultes : scène ordinaire à la ZUP de Blois.
Le tribunal correctionnel de Blois voir continuellement défiler ce genre de délinquant, et le scénario ne change guère.
Des petits trafiquants ou des individus en infraction qui tentent de s’enfuir lors d’un contrôle ou d’une interpellation, qui se rebellent, insultent et parfois frappent les policiers.
C’est le cas d’un certain Mohamed (le prénom n’a pas été changé !) dont l’interpellation jeudi dernier à la ZUP de Blois a été pour le moins « sportive » (la Nouvelle République du 2 mai 2018).
Les policiers ont été copieusement insultés et menacés, particulièrement deux femmes policières.
Jugé en comparution immédiate, le prévenu jure évidemment qu’il n’a rien fait !
Agé de 19 ans il a déjà été condamné deux fois alors qu’il était encore mineur.
Le Substitut demande 6 mois fermes sans mandat de dépôt, ce qui est forme de sursis déguisé, mais comme les prisons sont pleines, la majorité des peines de moins d’un an ne sont pas effectuées.
Finalement il écopera d’une simple contrainte pénale de 24 mois « avec obligation de travailler ».
Un conseiller d’insertion et de probation devra suivre le jeune Mohamed, mais chacun sait que la Justice manque de moyens. L’efficacité du dispositif laisse d’ailleurs sceptique beaucoup de magistrats, qui utilisent assez rarement cette mesure, en tout cas très en deçà des objectifs fixés au départ par le Ministère.
Quant aux policiers, ils auront le plaisir de croiser sur leur chemin celui qui les a insultés et menacés.
Le Front National demande davantage de fermeté lorsque les forces de l’ordre sont victimes d’agressions.
Vols et vandalisme à la Quinière : le procureur connaît-il bien le quartier ?
Véhicules en feu à la Quinière en 2014. Un quartier tranquille avant 2016 ?
Jugement hélas ordinaire mardi dernier au tribunal correctionnel de Blois.
Yacine, 21 ans comparaissait pour une série de 27 vols et tentatives de vols ainsi que de nombreuses dégradations commis dans le quartier de la Quinière à Blois (la Nouvelle République du 30/04/2018).
Un délinquant précoce en quelque sorte, puisqu’il compte déjà 8 mentions à son casier judiciaire !
Un genre d’individu qui n’est malheureusement pas isolé, et qui pourrit littéralement la vie des habitants à la Quinière comme à la ZUP.
L’avocat d’une des victimes, Maître Robiliard, signale d’ailleurs que ce sont des gens modestes qui sont touchés, comme cet électricien au chômage qui vit avec 500 € par mois, dont le cyclomoteur a été volé puis incendié.
Mais au-delà du jugement, ce sont les propos du procureur de la République qui interpellent, lorsqu’il parle de « la Quinière où jusqu’en 2016 on vivait plutôt tranquillement » !
Peut-être fait-il référence à l’incendie du centre commercial Quinière en octobre 2016. Mais la délinquance sous toutes ses formes, le trafic de drogue et l’insécurité qui en découle ne datent pas de 2016, la dégradation remonte à plusieurs années, en partie à cause du déplacement de certaines populations à problème de la ZUP de Blois dans le cadre du PRU.
La suite est tout aussi étonnante, puisque le procureur note une « évolution positive de Yacine« , qui justifie sa réquisition d’une peine entièrement avec sursis.
Ce qui devrait en théorie l’inciter à se tenir tranquille un certain temps, l’avenir le dira.
Voilà en tous cas son « palmarès » enrichi d’une 9ème inscription à son casier judiciaire.
Il aura du mal à rattraper un certain Bayram, de Romorantin, qui comparaissait également, avec 17 condamnations à son actif à l’âge de 22 ans. Il aura droit quant à lui à 8 mois de prison dont 3 avec sursis, ce qui là encore ne veut pas dire qu’il sera incarcéré.
Par contre les victimes ont peu de chance d’être un jour remboursées du préjudice matériel retenu, 10 000 €, ce qui semble très en deçà de la réalité puisque l’une des nombreuses dégradations commises, sans compter les vols, s’élève à elle seule à 17 000 € !
Mais elles auront peut-être le plaisir de voir Yacine se réinsérer…
Région Centre-Val de Loire : la gauche veut toujours plus d’immigration, le FN répond.
Lors de la session plénière du 19 avril le groupe « écologiste » a proposé un vœu pour demander au gouvernement de revenir sur les nouvelles dispositions du projet de loi Asile et Immigration actuellement discuté à l’Assemblée Nationale.
Au nom du groupe Front national Daniel Fraczak (Indre et Loire) a répondu par une intervention remarquablement argumentée, remettant sérieusement les choses en place et laissant la gauche sans voix.
Du coup Guillaume Peltier a préféré ne pas intervenir, conscient certainement des différences de sensibilité à l’intérieur de son groupe.
Encore une fois les socialistes en suivi les écologistes, dont ils ont besoin pour conserver la majorité pour faire adopter ce voeu, qui heureusement n’aura aucun effet.
Les groupes FN et UDC ont voté contre.
Voir le texte de l’intervention sur le site du groupe FN Centre-Val de Loire.
Immigration : Jacqueline Gourault perd son sang froid.
Conférence de presse lundi 16 avril à l’Assemblée nationale pour présenter le contre-projet du Front National
Moment d’énervement, de colère comme le disent les médias, ou bien perte de contrôle à la limite du dérapage.
Le débat sur la loi asile et immigration a provoqué hier de vifs échanges à l’Assemblée nationale, où Gérard Collomb a refusé de répondre aux questions des députés sur la « face cachée » de la loi, avec un projet de régularisation de 40 000 « sans-papiers », autrement des clandestins, évoqué par un élu de la majorité dans le journal officiel du système, « le Monde ».
Jacqueline Gourault, ministre auprès du ministre de l’Intérieur (!) s’est alors emportée en s’indignant qu’un député puisse « obliger un ministre à répondre« .
Mouvement de panique qui démontre bien le désarroi du gouvernement voyant ses intentions démasquées.
Ce projet de loi affiche une certaine fermeté sur quelques sujets, afin de faire mieux admettre les régularisations à venir et l’accueil du quota de migrant réclamé par l’Union européenne.
Et la gauche joue les idiots utiles en laissant croire que cette loi serait destinée à restreindre l’asile et l’immigration, alors qu’elle vise l’effet contraire.
Pour autant, cela ne justifie pas le dérapage de Jacqueline Gourault, sévèrement remise en place par Christian Jacob : « à ce stade je pense qu’il faut effectivement ramener l’Assemblée au calme, madame la ministre également. Le gouvernement est responsable devant le Parlement, ça n’est pas l’inverse ».
Etonnant qu’une parlementaire aussi expérimentée que Jacqueline Gourault ait oublié cela.
On comprend d’autant mieux le projet de M. Macron visant à museler le Parlement.
Malgré le peu de temps de parole dont ils disposent, vos députés FN sont intervenus dans le débat à plusieurs reprises, notamment pour défendre des amendements.
Au final, seuls 27 amendements ont été étudiés et l’article 3 n’a pu être soumis au vote. Il y a au total 40 articles à examiner et 972 amendements déposés.
Le gouvernement qui voulait forcer la main des députés afin d’obtenir un vote d’ici vendredi soir n’est plus du tout certain d’atteindre son objectif.
Il faut souhaiter que le débat dure suffisamment longtemps pour alerter les Français.
Vous pouvez compter pour cela sur vos députés FN.
Orléans : trafic de drogue et prières de rue en plein centre-ville.
Un collectif d’habitants Carmes-Porte Saint-Jean-Madeleine, vient de protester contre les prières de rue, qui bloquent sur toute sa largeur la rue de Limare, en plein centre-ville d ‘Orléans chaque vendredi en début d’après-midi (source : Mag’Centre).
Ce même collectif avait déjà alerté la municipalité au sujet des »incivilités et autres problèmes liés aux dealers ».
Le maire adjoint à la Sécurité publique, Olivier Geffroy, a convoqué les responsables de la salle de prière.
On peut s’étonner tout de même qu’il ait fallu cette réaction des habitants pour faire bouger la mairie d’Orléans.
Il n’est pas certain non plus que le problème puisse être réglé par les promesses des responsables qui s’engagent à « renforcer leur présence à l’entrée rue de Limare pour que le phénomène cesse. »
Autrement dit une police religieuse pour encadrer ces prières publiques, qui ne se produisent pourtant pas par hasard.
Est-ce une manière pour les responsables de cette mosquée de se charger progressivement de l’ordre public dans le quartier ?
C’est un glissement que l’on voit se produire dans de nombreux quartiers, où des maires sous-traitent avec les imams et certaines associations communautariste le soin de gérer les « incivilités », pour parler le langage convenu.
Mais on voit comment cela fini. Comme depuis 48 heures à Toulouse, où tout un quartier connaît des émeutes depuis que des policiers ont voulu contrôler une femme portant un niqab.
A Orléans c’est d’autant plus grave que cette mosquée avait été signalée en 2016 pour être fréquentées islamistes préparant des attentats. Neuf personnes avaient été interpellées, 6 autres seraient partie en Syrie.
Malgré les discours rassurants tenus à la suite par les responsables, on comprend que les riverains s’inquiètent.
Le colonel Beltrame a bien été égorgé.
Un « rebelle » syrien soutenu par Macron. Ce sont les amis du tueur qui a égorgé le colonel Beltrame.
Le déroulé des faits entourant la prise d’otages de Trèves et la fin dramatique du Colonel Beltrame.
Il est bel et bien confirmé que « selon les résultats de l’autopsie, le lieutenant-colonel Arnaud Beltrame est décédé d’un coup de poignard à la trachée. Ses blessures par balles, au pied et au bras, n’étaient, elles, pas mortelles. »
« Coup de poignard à la gorge » : une façon pudique de ne pas dire égorgement, ce que des proches avaient révélé dans les heures suivant son lâche assassinat.
Mais cette information a été soigneusement occultée dans les déclarations officielles comme dans les médias.
Comme si la consigne était de cacher la vérité aux Français, pour éviter bien sût tout « amalgame ».
Pire, le gouvernement n’en tire aucune conclusion, en particulier il n’a pas reconsidéré sa politique de soutien aux groupes djihadistes en Syrie, que nous armons et que nos forces spéciales encadrent sur le terrain..
Au contraire les frappes contre la Syrie, basées sur des accusations sans preuves (*), visant un site dont l’OIAC venait de certifier dans un rapport rendu le 23 mars qu’il n’y avait aucune trace d’armes chimiques, pour un résultat dérisoire sont bien destinées à prolonger cette guerre.
Or il faut bien comprendre que frapper la Syrie revient à aider les diverses composantes de la nébuleuse terroriste islamiste, qu’il s’agisse de Daech, d’Al Qaïda, Al Nosra et leur filiales.
C’est bien pourquoi ces frappes illégales sont non seulement stupides mais contre productives, militairement et diplomatiquement.
(*) le document publié sur le site du ministère des Armées est tout simplement ridicule.
Respecter les policiers… et faire aimer la France.
Collège Bégon : visite de la police mais c’est un « gilet rouge » qui surveille la classe.
On ne peut qu’approuver l’initiative du Directeur départemental de la sécurité publique de Loir et Cher, à l’occasion de la journée de rapprochement police-population, d’une journée de rencontre et d’échanges avec des collégiens de Bégon (la Nouvelle République du 11/04/2018).
D’autant plus que cette présentation des missions de la police était accompagnée d’une visite des tranchées d’entraînement datant de la première guerre mondiale en Forêt de Blois, d’une visite au musée de la Résistance avant d’aller observer une minute de silence devant le monument aix morts place de la République.
Il faudrait cependant que l’esprit de cette rencontre se prolonge au-delà d’une journée.
Or nous devons bien constater que l’enseignement de l’histoire de France a été bien abîmé dans les programmes, des pans entiers supprimés, tandis qu’au contraire les manuels scolaires traînent notre pays dans la boue en l’accusant de tous les maux et en cultivant une éternelle repentance.
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Vendôme : le « jeune » Malik menace un policier d’égorgement.
La Nouvelle République parle d’interpellation « houleuse ».
Le jeune Malik, présenté comme un « grand frère » dans le quartier des Rottes, ce qui en dit long, aurait « pété les plombs » en voyant son cousin interpellé par la Police, pour une affaire de stupéfiants.
Devenu très agressif, il s’en est pris aux forces de l’ordre, tandis que se formait un attroupement d’une dizaine de « personnes hostiles ». Sans d’autres « frères » et des « cousins » ?
Malik en est même venu aux mains, saisissant l’un des agents par le col tout en le menaçant de mort en mimant un geste d’égorgement.
Il a fallu des renforts (au total 14 policiers) pour le maîtriser et le conduite à la Maison d’arrêt où il a passé le week-end en attendant sa comparution immédiate ce lundi.
On peut se féliciter que la Justice ait pu se saisir de l’affaire aussi rapidement, mais le jugement laisse quelque peu dubitatif.
Le Vice-procureur a pourtant insisté sur l’extrême violence de cet individu et réclamé 6 mois fermes, mais le tribunal a semble-t-il entendu les arguments de la défense, plaidant que le prévenu s’est « laissé dépasser par les évènements [...] et il regrette amèrement« .
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Fourgonnette incendiée à Pontlevoy.
Image d’archives FN41 : minibus incendié en 2015.
Dans la nuit de dimanche à lundi un véhicule utilitaire a été entièrement détruit pas le feu à Pontlevoy chemin de l’Imbert, en bordure de la D62.
Selon les constatations des pièces avaient été démontée avant que les malfrats ne mettent le feu au véhicule (la Nouvelle République du 10/04/2018).
Un mode opératoire malheureusement devenu classique.
Hier soir l’épave était toujours visible au bord de la route.
Faux réfugié, vrai truand.
En Europe, il suffit de rentrer par effraction pour obtenir des droits.
Sokol est un Albanais de 34 ans. Avec ses deux frères ils ont demandé le statut de « réfugié politique ».
Etrange pour des ressortissants d’un pays de l’OTAN et dont la candidature à l’Union européenne remonte à 2009.
Et bien sûr, en attendant que ce statut leur soit accordé ou refusé – ce qui ne les empêchera de rester chez nous – les trois individus sont logés, touchent une allocations de l’OFPRA (360 euros par mois), bénéficient de l’AME (assistance médicale gratuite qui les couvre à 100%) etc…
Mais cela ne leur suffit pas, ils complètent ces allocations par du travail au noir et d’autres activités lucrative comme le trafic de bijoux et d’objets volés.
Déjà jugé deux fois pour des faits de même nature, Sokol est à nouveau condamné par le tribunal de Metz en octobre 2017. Cette fois, il écope de six mois de prison.
Cependant il fait appel, ce qui démontre qu’il peut se payer un avocat, ou bien qu’il y a quelqu’un pour payer…
Sa défense ne parvient pas à convaincre le tribunal, qui prononce le maintien en détention.
Mais la vraie question n’est pas là.
Comment un tel individu, délinquant multirécidiviste, peut-il toujours bénéficier du statut de demandeur d’asile et vivre à nos dépends.
Il y a longtemps que le Front National se bat que ces faux demandeurs d’asile, à fortiori délinquants, soient expulsés.
Mais Sarközy avait aboli la « double-peine » pour les étrangers, et ni Hollande ni Macron ne sont revenus sur cette question, totalement absente du projet de loi qui fait tant hurler l’extrême-gauche.
Mises en avant
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Mathilde PARIS, tête de liste « Un autre avenir pour Blois » était jeudi soir l’invitée de la rédaction de @TVTOURS. Revoir la vidéo....
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