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ZUP de Blois : une étincelle peut mettre le feu.

rue Monge_1Rue Monge – image d’archives.
Une violente altercation s’est déroulée lundi après-midi rue Monge à la ZUP de Blois, mais elle n’est rapportée que ce jeudi par la Nouvelle République.

Suite à une histoire entre enfants, les familles sont intervenues pour en venir non seulement aux mains, mais à une rixe au cours de laquelle les couteaux ont été sortis.
On compte plusieurs blessés à l’arme blanche, dont certains sérieusement, il y a eu au moins trois hospitalisations.
Mais à l’arrivée de la Police il semblerait que tout ce beau monde se soit réconcilié. Une quarantaine de personnes qui s’étaient attroupées ont tenté de s’opposer aux interpellations, certains brandissant des marteaux.
Toujours selon la Nouvelle République, les policiers ont été caillassés et ont eu recours au gaz lacrymogène pour disperser leurs agresseurs.
Des policiers ont été blessés dans l’opération, mais au final ils ont pu mener à bien l’interpellation de trois individus.
Ce nouvel épisode de violence en dit long sur le climat qui règne dans le quartier, où le moindre incident peut vite dégénérer, et où les forces de l’ordre ne sont pas les bienvenues.
On se souvient des émeutes de 2014, suite à l’interpellation d’un jeune à moto place Lorjou, cette situation peut hélas se reproduire à tout moment, ce qui explique une certaine politique d’évitement. Mais la contrepartie c’est que les racailles s’enhardissent.
La majorité des habitants qui voudraient vivre en paix se trouvent de fait pris en otage, ce qui explique pourquoi certains demandent à être relogés.
Le problème de la ZUP ne sera jamais réglé tant qu’on s’attaquera pas aux véritables causes, que tout le monde connaît.

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Blois – Vineuil : voiture incendiée à la Boire.

Feu Boire 01-04-18Un nouveau feu de voiture en plein après-midi à la Boire a mobilisé les sapeurs-pompiers le 1er avril vers 17 h 30.
Deux camions et un véhicule léger sont intervenus pour maîtriser l’incendie, qui se propageait à la végétation.
Un scénario hélas récurrent dans le secteur, où bien souvent des véhicules volés sont incendiés après avoir été désossés.

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Bourges : des islamistes refusent de serrer la main de la Préfète lors de l’hommage au Colonel Beltrame.

DZoCPu1WAAYULZgHommage au Colonel Beltrame à Bourges le 28 mars à la caserne de Gendarmerie.
Communiqué de Julie APRICENA, Secrétaire Départementale FNJ du CHER, membre du Bureau National du Front National de la Jeunesse.

« Mercredi 28 mars 2018, alors que sur l’ensemble du territoire les Français étaient rassemblés afin d’honorer le héros qu’est le Colonel Arnaud BELTRAME, un incident loin d’être anodin s’est produit à Bourges.
En effet, alors que les autorités du département du Cher rendaient les hommages au sein de la caserne du Groupement de Gendarmerie, deux représentants d’une association communautariste musulmane conviés à l’événement ont refusé de serrer la main de la Préfète sous prétexte qu’elle est une femme.
Le Front National de la Jeunesse condamne ces pratiques rétrogrades et contraires aux valeurs de la France, qui plus est dans un instant d’union nationale en la mémoire du héros Arnaud Beltrame.
La femme française est l’égale de l’homme et ne subira jamais les lois d’un quelconque rigorisme religieux. »

Nous regrettons également que presque partout en France il n’y ait eu que des cérémonies privées dans les Préfectures et les Gendameries. Aujourd’hui à Carcassonne une marche blanche en hommage à toutes les victimes de Trèves a été interdite par la Préfecture de l’Aude pour des raisons de sécurité.
M. Macron serait-il terrorisé à ce point ?

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Violences contre le principal du collège : le « grand frère » n’ira pas en prison.

Collège Rabelais BloisLes faits se sont produits mardi, ils ont été jugés assez graves pour que le tribunal se prononce dès jeudi.
C’est mardi soir après les cours qu’un « jeune » de 28 ans, dont la soeur rencontrait des difficultés (?) dans l’établissement s’en est pris au principal du collège Bégon, au coeur de ce quartier fraîchement rénové (la Nouvelle République du 30 mars 2018).
Le « jeune homme », « qui a déjà des antécédents judiciaires » a comparu dans le cadre d’une procédure de plaider coupable.
Il a été condamné à 8 mois de prison dont 4 avec sursis, mais sans mandat de dépôt.
L’avenir nous dira si l’individu aura compris la leçon.
Mais une fois de plus, nous remarquons que cette personne pourtant majeure est protégée par l’anonymat.
Nous pensons que le fait de rendre public le nom d’un condamné fait partie de la justice, contribue à l’exemplarité de la peine et à son effet dissuasif.
Ce n’est pas pour rien qu’il est question de mettre en place, pour des infractions fiscales et financières, le « name and shame » : «  »nommer et faire honte ».

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Mosquée de Vendôme : les autorités se soumettent.

sabreLa sourate at-tawba contient le « verset de l’épée » et appelle à combattre « ceux qui ne croient pas ».
Etrange rencontre à la mosquée de Vendôme, qui aurait pu être annulée au lendemain de la mort du Colonel Beltrame, égorgé par un musulman fanatique.

De surcroît cette invitation avait lieu le dimanche des Rameaux qui marque l’entrée dans la semaine sainte.
L’association qui gère cette mosquée a pourtant maintenu ce repas entre voisins qui se tient pour la quatrième année consécutive.
Rencontre qui n’a d’ailleurs pas attiré les foules en dehors des officiels : conseiller municipal, représentants de la gendarmerie et du commissariat.
On peut remarquer, dans l’article, forcément bienveillant, publié par la Nouvelle République du 27/03, que les femmes étaient réunies entre elles dans une autre salle. Sans que cela scandalise les féministes ni Marlène Schiappa.
Sur la tuerie l’Aude les responsables de la mosquée ne souhaitent pas s’exprimer : « pourquoi nous demander à nous d’expliquer  ces actes qui n’ont rien à voir avec notre foi... »
Seraient-ils donc d’aussi piètres lecteurs du Coran ?
Car le nom même de leur mosquée, At Tawba, fait référence à une sourate considérée comme l’une des plus dure du Coran.
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Arnaud Beltrame : hommage au sacrifice d’un officier chrétien.

DZXkU-mWkAAFtbc(photo Gendarmerie Nationale)
C’était hier l’hommage de la République auquel nous avons participé, certains par leur présence aux cérémonies, comme Marine le Pen et d’autres élus à Paris et dans les régions, d’autres simplement en suivant la cérémonie des Invalides à la télévision, puisqu’en Loir et Cher par exemple, aucun hommage public n’avait été prévu.

Nous aurons l’occasion de revenir sur le discours de M. Macron, en particulier sur certains oublis volontaires, mais d’abord nous tenions à publier le témoignage du prêtre qui l’a accompagné jusqu’à ses dernières heures.

Témoignage d’un chanoine de l’abbaye de Lagrasse (Aude), le jour de sa mort, 24 mars 2018.
« C’est au hasard d’une rencontre lors d’une visite de notre abbaye, Monument Historique, que je fais connaissance avec le lieutenant-colonel Arnaud Beltrame et Marielle, avec laquelle il vient de se marier civilement le 27 août 2016. Nous sympathisons très vite et ils m’ont demandé́ de les préparer au mariage religieux que je devais célébrer près de Vannes le 9 juin prochain. Nous avons donc passé de nombreuses heures à travailler les fondamentaux de la vie conjugale depuis près de 2 ans. Je venais de bénir leur maison le 16 décembre et nous finalisions leur dossier canonique de mariage. La très belle déclaration d’intention d’Arnaud m’est parvenue 4 jours avant sa mort héroïque.
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Arnaud Beltrame : pourquoi n’y a-t-il pas d’hommage public en Loir et Cher ?

DZOS0txXkAE8bkJNous apprenons, par un billet dans la Nouvelle République du 29 mars, qu’un hommage au Lieutenant-Colonel Arnaud Beltrame et aux victimes de Trèbes sera rendu en Loir et Cher, sous forme d’une minute de silence observée par la corps préfectoral et les gendarmes.
Aucune cérémonie publique n’est annoncée, ni par la Préfecture ni par le maire de Blois par exemple.
Nous aurions souhaité que la population soit associée à cet hommage. A chaque fois que sont commis ces attentats, qui s’inscrivent dans la cadre d’une guerre contre la France et contre notre civilisation, les Français doivent se montrer unis et déterminés pour faire comprendre aux assassins que nous ne céderons jamais.
A Beaucaire le maire FN, Julien Sanchez, a pris l’initiative d’ouvrir un registre de condoléances et une minute de silence sera observée à 12h00 dans la cour de l’Hôtel de Ville en hommage aux victimes du terrible attentat islamiste de Trèbes.
Le maire de Blois aurait-il peur que nos concitoyens ouvrent les yeux ?

Mise à jour à 11 h 00 : François Bonneau, président de la Région Centre-Val de Loire a envoyé ce matin à 10 h 44 un mail en diffusion interne : « L’attentat perpétré à TREBES le vendredi 23 mars dernier a fait plusieurs victimes , dont le Colonel de Gendarmerie Arnaud BELTRAME qui recevra ce jour les honneurs de la Nation.
Je vous convie à un moment de recueillement en mémoire des victimes de cette attaque , en présence des élus , ce jour, Mercredi 28 mars , à 12 heures , dans le hall de l’Hotel de Région 9 rue Saint Pierre Lentin.« 
En ce qui concerne la présence des élus, encore aurait-il fallu qu’ils soient prévenus, ce qui n’est pas le cas puisqu’ils n’ont pas été destinataires de ce message, hormis sans doute les membres de l’exécutif.

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Terrorisme : Marc Gricourt conseille… de ne rien faire !

Marc Gricourt 5 avril 2014(photo d’archives)
Pour Marc Gricourt, le mort du Lieutenant-Colonel Beltrame fait partie des « risques du métier ».
C’est sur page Facebook que Marc Gricourt publie un petit billet pour mettre en garde nos concitoyens.

Pas contre la menace terroriste d’un islam radical, non, mais pour s’opposer à  « revendiquer plus d’armement, armement létal, notamment pour les vigiles, policiers municipaux, ou autres…« 
Comme si c’était l’armement des forces de l’ordre qui menaçait la population !
Il reconnaît que « sur l’instant, à chaud, nous avons tous une réaction de colère, de révolte, de haine parfois, de volonté de vengeance. »
Il ajoute, citant son père militaire de carrière engagé pendant la seconde guerre mondiale: « pour nous c’est aussi le risque du métier et nous le savons dès notre engagement« . Faut-il comprendre que la mort du Lieutenant-Colonel Arnaud Beltrame, abattu et égorgé par un musulman fanatique fait tout simplement partie des « risques du métier » et qu’elle est somme toute normale ?
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Après l’hommage aux victimes, les Français attendent des actes !

attaque islamiste 23-03-18Nous aurons tous ce dimanche une pensée émue pour les victimes du tueur islamiste de l’Aude :
Christian Medves 50 ans, boucher,
Hervé Sosna 65 ans, retraité du bâtiment,
Jean Mazières 61 ans, viticulteur à la retraite,
Arnaud Beltrame 44 ans, officier de gendarmerie
lâchement assassinés…
Une pensée également pour tous les blessés, certains toujours dans état grave, et pour toutes les familles et les proches.
Bien sûr il y aura un hommage national, bien sûr nous entendrons une fois encore les mêmes déclarations.
Il y aura à Trèbes une « marche blanche » à la mémoire des victimes, mais attention, la consigne est surtout « pas d’amalgame ». Il paraît pourtant que nous sommes en guerre, pour reprendre l’expression de François Hollande en 2015.
Malheureusement ce refus de désigner l’ennemi et de prendre enfin les mesures qui s’imposent ne fait que nous rendre plus vulnérables.
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Le Bureau national du FN observe une minute de silence à la mémoire d’Arnaud Beltrame.

DZDLAkNWsAI5apKNanterre le 24 mars.
Alors que Marine Le Pen présidait ce matin la première réunion du nouveau Bureau National depuis le Congrès, elle a tenu à honorer la mémoire d’Arnaud Beltrame par une minute de silence.

Nous invitons bien sûr nos amis à participer aux côtés de leurs élus aux cérémonies d’hommage à toutes les victimes, nous vous tiendrons informés du calendrier pour le Loir et Cher.

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Hommage au lieutenant-colonel Arnaud Beltrame

2018-DZCbIm6X4AEuOBaHommage au lieutenant-colonel Arnaud Beltrame, tombé en héros face à l’ennemi islamique.
Pensées à sa famille et à tous ceux qui sacrifient leur vie au service de la France.
Beaucoup d’acteurs politiques doivent avoir honte ce matin car ils portent une responsabilité.

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Attaque islamiste dans l’Aude : le communiqué du Front National.

trebes-F1Attaque terroriste de Trèbes : quand le gouvernement prendra-t-il conscience que nous sommes en guerre?
Notre pays a été l’objet d’une nouvelle attaque terroriste. Comme d’habitude, les Français ont droit à une sorte de rituel gouvernemental :
- déplacement du ministre de l’Intérieur sur les lieux, qui nous expliquera avec l’air satisfait les mesures mises en place;- déclaration lénifiante sur les pathologies psychiatriques supposées du terroriste, comme vient de le faire E. Macron;
- avis d’experts pour démontrer l’efficacité des dispositifs antiterroristes…
Fait inquiétant : on s’aperçoit qu’après avoir frappé les métropoles, les terroristes choisissent désormais de s’attaquer aux périmètres moins contrôlés des zones rurales, adoptant là la technique expérimentée dans tous les pays qui ont sombré dans le terrorisme comme l’Irak.
L’attaque meurtrière de Trèbes est visiblement le fait d’un étranger fiché S doublé d’un délinquant. Que faisait-il sur le sol français? Lorsque les députés du Front National ont proposé le 28 septembre 2017, par voie d’amendement, l’expulsion des fichés S étrangers, la majorité En Marche et LR ont voté contre. Le Front National demande que le terrorisme soit maintenant traité comme un « acte de guerre », et que les étrangers sur les 16.000 fichés « S » recensés soient immédiatement expulsés.
Au-delà de cette mesure ciblée, le Front national demande le retour des contrôles effectifs aux frontières nationales.

Télécharger l’amendement des députés du FN :  Amendement FN fichés S étrangers

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Mai 68 : la fac de Droit d’Orléans, village Gaulois.

68-moutonsMoutons un jour, moutons toujours.
Notre ami Daniel Fraczak, conseiller régional d’Indre et Loire twittait ce matin :

« Mai 1968… les jeunes sont dans la rue
Mai 2018… les retraités seront dans la rue
Ce sont les mêmes… toute la vie ils se seront fait avoir…« 
Depuis quelques jours les médias ont commencé la célébration du mai 68.
Une rappel des faits nous semble utile, car nous allons avoir droit pendant au moins deux mois à un bobardement médiatique massif.
Aujourd’hui nous ferons un zoom sur le Faculté de Droit et des Sciences économiques d’Orléans, avec le témoignage de Michel Chassier.
« Lundi 6 mai 1968. Grèves et occupations se multiplient dans les grandes facs parisiennes et gagnent la province. Le 3 mai la Sorbonne a été évacuée par les forces de l’ordre. A compter du 6 mai les syndicats étudiants, les syndicats enseignants du supérieur et quelques mouvements d’extrême-gauche – que l’on nommera bientôt les « gauchistes » – appellent à une grève générale et au blocage de toutes les universités.
A Orléans, le premier cours du lundi matin, à 8 h 40, sera un test pour savoir si les étudiants et les professeurs suivent la grève.
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Blois : encore deux policiers agressés.

Je soutiens la PoliceLes audiences se suivent et se ressemblent au tribunal correctionnel de Blois, qui avait à juger deux cas d’agressions commises à Blois contre des policiers (source : la Nouvelle République du 14/03/2018).
Ce qui fait quatre jugements en deux semaines pour des violences à l’encontre des forces de l’ordre.
Cette fois encore, les coupables sont protégés par l’anonymat, ce qui affaiblit la portée de jugement.
Au chapitre des peines, huit mois dont six avec sur sursis dans le premier, 6 mois fermes dans l’autre.
Avec le projet de réforme pénale Macron, il n’y aurait pas eu d’incarcération.
Les policiers peuvent donc redouter que ce type d’agression se multiplie.

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Encore un reniement de Macron qui invente la libre circulation des délinquants !

TaubiraAu secours, elle revient !
Encore une promesse non tenue : M. Macron s’était engagé à créer 15 000 places de prison durant son mandat, ce sera – peut-être ? – 7000.

Mais comme  cela ne permettra de résoudre le problème de la surpopulation carcérale, il propose une autre solution : supprimer l’incarcération pour les peines de moins d’un an.
Même Christiane Taubira n’avait pas osé !
Le recours à  accru aux illusoires « travaux d’intérêt général », souvent non exécutés faute d’encadrement (*) ou le bracelet électronique ne constituent pas une réponse suffisante.
Souvenons nous qu’Adel Kermiche portait son bracelet électronique quand il a assassiné lâchement  le père Hamel.
D’ailleurs à Marseille les « jeunes » ne cachent même plus leur bracelet, au contraire ils l’exhibent fièrement !
Nous relations cette semaine deux cas d’agressions commises sur des policiers à Blois. Dans un cas 6 mois de prison avec sursis, donc pas de changement, dans l’autre 6 mois de prison ferme : avec la réforme Macron l’auteur des faits échapperait à la prison.
Ce qui ne pourra qu’encourager les agressions contre les représentants de la Loi.
C’est exactement l’inverse de ce qu’attendent les Français qui voient la violence gagner chaque jour du terrain.
Le Front National a réagi par un communiqué de presse diffusé aujourd’hui aux médias.

(*) les TIG ne représentent que 6% des peines, les juges d’application des peines ont le plis grand mal à trouver des collectivités ou des organismes intéressés.

Policiers agressés : il faut une réponse ferme !

hommage policiers Blois_3Photo d’illustration : hommage aux policiers à Blois en juin 2016.
Régulièrement la chronique judiciaire de la Nouvelle République relate des faits d’agressions contre des policiers.

Lors de l’audience du 26 février un « jeune homme », dont le nom n’est pas révélé, est jugé pour des insultes, des menaces et des coups portés sur des policiers qui venaient de l’interpeller avenue Wilson. Une policière qui lui expliquait l’obligation du dépistage de l’alcoolémie – qui se révélera positif -  a été violemment frappée au visage, après avoir été menacée de mort.
Il frappe encore les policiers qui essaient de le maîtriser.
Alors que le parquet avait requis 8 mois de prison dont 4 avec sursis, le « jeune homme » sera condamné à 6 mois avec sursis.
Hier c’est un certain « Mara » qui était jugé pour des violences sur des policiers, toujours commises à Blois, le 15 janvier dans une rue du Centre-Ville (la Nouvelle République du 3/03/2018).
Même pas cette fois « l’excuse » de l’alcool, non, Mara s’est simplement « mis en colère ».
L’individu décrit comme athlétique, 1,95m, s’est violemment débattu, frappant plusieurs policiers avant d’être maîtrisé.
On ne peut qu’admirer le sang-froid et le professionnalisme desdits policiers, qui ont finalement interpellé le forcené à mains nues, sans utiliser aucune arme.
A l’audience, Mara, qui s’exprime avec calme et une certaine assurance, est présenté par son avocat comme « poli, travailleur », mais son casier judiciaire ne dit pas la même chose, puisqu’il compte déjà un dizaine de condamnations pour la même infraction. Peut-être aurait-il du plaider une allergie au bleu ?
Faut-il comprendre qu’il ait jusqu’ici toujours bénéficié de susrsis ?
Finalement il sera condamné cette fois à 15 mois de prison dont 6 fermes. 
Mais ces deux affaires rapprochées montrent à quel point les violences à l’encontre des policiers et des gendarmes se multiplient, y compris dans un département comme le Loir et Cher.
En France 5 767 policiers ont été blessés en intervention durant l’année 2016 (+1,6%) ainsi que 4 079 gendarmes (+ 7,7%).
Il serait temps que les auteurs de ces violences soient sévèrement et systématiquement condamnées et ce dès la première agression afin d’éviter les récidives encouragées par un sentiment d’impunité.

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Loir et Cher : les « migrants » osent revendiquer !

Submersion-migratoireAvec le soutien des organisations habituelles, dont beaucoup subventionnées, des « migrants » hébergés en Loir et Cher écrivent un cahier de doléances !
Non, vous ne rêvez pas, cette action est relayée, pour ne pas dire soutenue, sur une demi-page par la Nouvelle République du 28 février.
Il faut tout de même remettre les pendules à l’heure.
Le terme de « migrants », imposé par la classe politique et les médias mainstream, désigne ceux qu’on appelait auparavant les « sans-papiers », en fait des immigrés clandestins qui sont entrés illégalement en Europe grâce à des filières mafieuses et ensuite, grâce à l’espace Schengen sont parvenus jusqu’en France.
Ce choix n’est pas tout à fait un hasard : hormis ceux qui cherchent à rallier le Royaume Uni via Calais, la plupart on choisi le France en raison de sa générosité dont la réputation a fait le tour du monde !
Hébergement, soins, éducation, allocations : nulle part ailleurs ils ne trouvent autant d’avantages, au point d’être souvent mieux traités que les SDF ou même certains de nos anciens.
Et les initiatives se multiplient, y compris en Région Centre, pour leur réserver des places de formation avec promesse d’embauche, au détriment des Français en recherche d’emploi qui auraient bien aimé bénéficier des mêmes dispositifs.
Il est donc pour le moins étonnant de voir ces gens qui sont arrivés chez nous par effraction, que nous n’avons jamais invité, se permettre de revendiquer ! S’ils ne sont pas satisfaits de l’accueil qui leur est fait, la réponse est très simple : qu’ils repartent !
Chacun doit être bien conscient que le phénomène va encore s’amplifier, et le gouvernement va poursuivre sa politique de répartition des « migrants » dans les petites villes et la ruralité.
Et attention, la réforme du droit d’asile qui indigne tant la gauche immigrationniste n’est qu’un leurre destiné à rassurer les Français, pour leur faire accepter au final davantage d’immigration, en accord avec Mme Merkel, en faisant croire que le processus est sous contrôle.
Et sur ce point la gauche est rejointe par le président du MEDEF, Pierre Gattaz, qui déclarait en 2015 : « l’accueil des migrants est une opportunité pour notre pays. »
Une opportunité pour le MEDEF peut-être, pour les Français certainement pas.
Nos élus seront attentifs aux demandes de subventions des organisations et organismes qui les soutiennent.

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Nouveaux incendies de voitures à Blois, Vernou et Saint Julien de Chedon.

Voiture brulée(image d’illustration : un fléau quasi quotidien.)
Les incendies de voitures continuent en Loir et Cher. 

Deux véhicules ont été incendiés jeudi soir  à Saint Julien de Chedon, une voiture samedi soir à Vernou en Sologne et un autre véhicule dimanche vers 4 du matin rue Dumont d’Urville à Blois (source : la Nouvelle République 24 et 26/02/2017.)
On retrouve toujours globalement les mêmes zones ciblées : le sud du département et la ville de Blois, avec deux formes de délinquance spécifiques et bien identifiée.
Peux-t-on le dire sans « stigmatiser » ?
Quoiqu’il en soit personne n’est dupe.
Ces incendies à répétition sont pour le moins préoccupants, bien qu’ils soient désormais banalisés, malgré une augmentation inquiétante de 43 % en 2017.
Qu’en sera-t-il cette année ?

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Délinquance en Loir et Cher : les incendies de voiture ont augmenté de 43%

rue des ponts Chartrains incendies  02Image d’illustration : feu de voiture à Blois en 2017.
Le préfet de Loir et Cher, Jean-Pierre Condemine, présentait ce mardi 20 février le bilan annuel de la délinquance dans le département (source Magcentre 20-02-2018).

Malheureusement les chiffres bruts ne sont plus communiqués depuis plusieurs années, ce qui rend plus difficile une analyse objective, car il faut bien être conscient que l’exercice relève toujours de la communication.
Impossible donc de savoir si la délinquance a globalement augmenté ni dans quelles proportions.
Quelques indices toutefois : le nombre de voiture brûlées à bondi de 43% ! Ben mon Collomb, pourrait-on dire en la circonstance.
Nous faisons état régulièrement de ces actes dont les victimes voient rarement leur préjudice totalement indemnisé.
Par contre le nombre d’atteintes aux biens diminuerait plutôt légèrement, -1,6%, mais on sait que pour de faibles préjudices les victimes renoncent parfois à faire une déclaration, soit qu’ils jugent la démarche inutile, soit qu’ils ne sont pas assurés contre le vol et les dégradations, soit à l’inverse qu’ils préfèrent ne pas déclarer pour ne pas que leur assurance résilie leur contrat…
Malgré cela en zone gendarmerie les cambriolages augmentent tout de même de 8,7%, et la « délinquance générale » de 3,7%.
Globalement, les « atteintes volontaires à l’intégrité physique » augmentent de + 13,33% avec 2.176 faits sur l’ensemble du département.
Selon le Préfet ce chiffre s’explique par une meilleure prise en charge des victimes qui parfois n’osaient pas porter plainte, mais aussi par « la paupérisation de certains quartiers dans lesquels la violence s’est banalisée et devient un mode d’expression naturel« .
Plutôt que de paupérisation, il serait plus correct de parler de certaines populations qui refusent l’intégration. mais nous abordons là un sujet tabou.
La Police et la Gendarmerie, avec des moyens souvent insuffisants en personnel et en matériel, peuvent être félicitées pour leur travail, rendu plus difficile encore dans ce climat permanent de menace terroriste qui oblige à une vigilance de tous les instants. Ils doivent pouvoir compter sur le soutien des autorités et de la population.

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Main basse des groupes financiers sur les HLM ?

migrants 25102016 01 fDes logements sociaux plus chers pour les Français, gratuits pour les « migrants » ? Photo d’illustration : clandestins de Calais accueillis à Blois dans des logements réquisitionnés par le Préfet.
On commence à comprendre les intentions du gouvernement dans la loi qui se prépare pour les bailleurs sociaux, qui gère le parc des logements sociaux, communément appelés « HLM ».

Le but de ces logements est de permettre aux familles à revenus modestes de se loger décemment, et cela correspond à un véritable besoin.
Pour que les loyers restent bas les pouvoirs publics fournissent une aide indirecte, versée non au locataire, mais au bailleur, sous forme de facilités de financement, de subventions, de déduction fiscale, etc. Cette aide est assortie de conditions sur la qualité du logement et le montant des loyers.
Mais c’est là que la bât blesse. L’Etat, contraint par ses créanciers de réduire son endettement, vient de diminuer les APL d’une part, les concours aux bailleurs sociaux d’autre part, estimant que ces derniers disposaient d’une « cagnotte ».
En réalité, l’ensemble des bailleurs sociaux dispose au total de 8,5 milliards d’euros, mais cela représente 2 mois et demi de trésorerie, rien d’exceptionnel par conséquent.
Mais en réduisant ses concours, l’Etat risque de mettre certains bailleurs en difficulté… ce qui est peut-être l’objectif recherché.
Car la future loi veut inciter les bailleurs sociaux à se regrouper. Il est bien sûr question de volontariat, mais un volontariat forcé par la contrainte financière. Un peu comme pour les regroupements de communes, domaine où l’Etat alterne la carotte et le bâton.
Cette perspective inquiète les trois organismes du département, qui ne voient pas forcément l’intérêt d’un tel regroupement.
Mais à terme l’idée sous-jacente est bien de permettre aux grands groupes financiers et immobiliers de prendre progressivement le contrôle du secteur, selon un principe immuable : ils encaisseront les bénéfices tandis que les collectivités auront la charge des personnes en situation de fragilité.
Au-delà de cette loi, il ne faut toutefois pas ignorer un problème majeur qui touche tous les bailleurs sociaux, c’est la question de l’immigration de masse.
Ce phénomène, qui s’est accéléré dès le début des années 80, s’est traduit par l’arrivée de centaines de familles immigrées, à la ZUP  de Blois, mais aussi à Romorantin, à Vendôme, à Mer ou Salbris.
Et on assiste partout, dès que l’on atteint un seuil critique, aux problèmes de cohabitation qui font que les locataires d’origine française préfèrent partir… quand ils en ont les moyens.
Du coup la mixité sociale des quartiers tant souhaitée est devenue un mythe, et les logements sociaux sont majoritairement occupés par des familles d’origine immigrée, ou par des familles à faibles revenus, beaucoup aux minima sociaux, personnes isolées et souvent âgées, qui sont de facto « piégés » dans leur quartier.
C’est un aspect de la situation que la loir ne veut pas aborder, ce qui démontre à quel point ce gouvernement ignore les problèmes vécus par les Français.

Hébergement, soins, formation, emploi : priorité aux clandestins ?

AuchanAuchan recrute. N’hésitez pas à proposer votre candidature.
« Samioula, Jahangir, Mohamed, Doghei, sont Soudanais, Afghans, Syriens. Ils sont jeunes, certains sont mariés et ont laissé femmes et enfants très loin d’ici ; ils possédaient un travail et une formation dans leur pays d’origine, qu’ils ont quitté, certains depuis 2003. Ils ont tous un point commun : ils sont arrivés en France il y a un ou deux ans, comme migrants, certains à la fin du mois d’octobre 2015. Ils sont passés par le CADA (Centre d’accueil des Demandeurs d’asile) [de la Région) ».

C’est que révèle le magazine Internet Mag’Centre.
Traduction : ils sont entrés en France clandestinement, après avoir franchi les portes d’une Europe-passoire et au lieu d’être reconduits à la frontière, ce que nous interdit Schengen, ils sont pris en charge intégralement à vos frais : logement, nourriture, soins, formation et promesse d’embauche. Avec bien sûr un petit pécule à la clé.
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Blois orange mécanique ?

France OMPublié en 2013 le livre de Laurent Obertone a déjà été vendu à plus de 200 000 exemplaires en dépit de l’omerta des grands médias. Il décrit une réalité, qui ne touche pas que les grandes villes.
Ce qui frappe dans la chronique judiciaire, c’est le fait que les individus confrontés à la Justice n’ont souvent plus aucun respect pour l’institution. Dans une affaire grave jugée ce mardi au Tribunal correctionnel de Blois, le procureur s’insurge : « ça rigole, ça commente, ils sont dans leur monde. Le respect chez vous, c’est une notion en dehors de votre construction » (la Nouvelle République du 24/01/2018).

Mais revenons d’abord sur les faits : un « jeune homme » de 20 ans, agacé par les arrêts répétés du bus va  parler au chauffeur, et lui demande de griller le feu rouge auquel il est arrêté à un carrefour de Blois. Un homme de 91 ans, passager du bus, intervient pour le raisonner.
Il est aussitôt pris à partie et frappé par le « jeune » et un de ses amis.
Et ce n’est pas tout : lorsque tout le monde descend au même arrêt, un homme a voulu défendre la personne âgée et la situation a de nouveau dégénéré.
Alertée, la police est arrivée sur les lieux pour interpeller les deux « jeunes », qui ont poursuivi leurs « exploits » au commissariat, en s’en prenant cette fois aux policiers, en particulier à à deux agents féminines copieusement insultées. Faut-il y voir un indice supplémentaire sur le profil de ces « jeunes » ?
De surcroît on apprend à l’audience que les deux jeunes délinquants on déjà un casier judiciaire bine chargé.
Le premier est condamné à dix mois de prison ferme, l’autre à huit mois, dont quatre avec sursis et mise à l’épreuve, et ils ont été incarcérés.
Le compte-rendu d’audience ne dit pas si cette condamnation a fait tomber d’autres sursis, mais il faut espérer que ces deux individus, qui n’expriment aucun remords exécutent intégralement leur peine et prennent conscience de la gravité de leurs actes.
En attendant il faut constater, une fois de plus, que ces deux « jeunes » restent anonymes.
Si vous lisez régulièrement notre blog, vous savez sans doute pour quelle raison !

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Sécurité routière : sans permis au volant, mort au tournant ?

accident de la routeImage d’archives.

La Nouvelle République relate les péripéties d’un homme de 24 ans, convoqué au Tribunal de Blois pour plusieurs infractions au code de la sécurité routière : conduite sans permis, sans assurance ni carte grise et délit de fuite une première fois, puis deux ans plus tard – à nouveau pour une conduite sans permis.

L’accusé avoue d’ailleurs de manière assez spontanée conduire régulièrement depuis ses 13 ans sans le titre officiel, la voiture qu’un « grand de la ZUP » lui prête. Pour sa défense, Me Denys Robiliard, évoque des problèmes de famille ainsi qu’une peine de prison en cours sans que l’on sache pour quels faits (l’accusé a déjà été inculpé pour d’autres faits antérieurs à ceux présentés).

Si parfois, faire preuve d’indulgence peut porter ses fruits, nous avons affaire ici à un multirécidiviste notoire qui par son comportement a mis potentiellement en danger les autres usagers de la route, y compris les piétons.

A l’heure où le gouvernement d’Emmanuel Macron et d’Edouard Philippe imposera injustement une limite de vitesse à 80 km/heure pour sanctionner encore davantage les automobilistes sous prétexte fallacieux que cette mesure épargnera 400 vies par an (quand bien même les résultats d’une étude n’ont jamais été dévoilés) que propose-t-il au législateur face à ce genre de dérives judiciaires ?

Qu’elle est la responsabilité morale d’un avocat (et ancien député) envers le Tribunal pour déclarer en séance à propos de l’accusé « il sait conduire, il n’a jamais eu d’accident… il n’est pas dangereux ? ». Rappelons en guise de « plaidoirie électorale » que cet avocat déclarait à l’occasion des législatives de juin 2012 (pour lesquelles il était candidat et élu jusqu’en 2017) - dans les colonnes de la NR: « Je connais trop, par profession, les drames que constituent les accidents graves de la circulation, pour ne pas me préoccuper de la sécurité des déplacements »

Qu’elle est la responsabilité juridique d’un tribunal laxiste si l’accusé, condamné à seulement 6 mois de sursis et une amende ridicule – récidive à nouveau et commet cette fois-ci l’irréparable ? Sans que l’on sache si le prévenu à obligation de présenter des garanties quant à la passation et l’obtention du fameux sésame.

Mais le gouvernement préfère limiter la vitesse sur route plutôt que de s’attaquer au problème des conducteurs sans permis qui seraient plus de 600 000 en France et ont causé 241 décès sur la route l’année dernière (source Francetvinfo).
Les citoyens français sont en droit de se poser des questions.

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Blois : une voiture incendiée rue Dumont d’Urville.

2018-21-Dumont d'UrvilleEncore une voiture brûlée la nuit dernière à la ZUP de Blois, rue Dumont d’Urville.
Un secteur particulièrement touché, à proximité de la Place Lorjou. Une voiture avait déjà incendiée le week-end dernier.
La photo a été  prise par un riverain à 23 h 50.
Dormez bien braves gens, tout va bien.

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Vol en plein jour et voiture incendiée : des malfaiteurs prêts à tout.

 

Photo d'illustration

Si les voleurs avaient trouvé la maison occupée, que serait-il arrivé ?
La Nouvelle République relate brièvement ce matin (20/01/2018) le volet l’incendie d’une voiture.

Mais l’affaire va au-delà. On apprend en effet que les malfaiteurs encagoulés ont fait irruption en plein jour dans une habitation vendredi matin à Averdon. Ils ont mis la main sur des bijoux, du matériel informatique et une carte bancaire, avant de voler la Mercedes des victimes.
On ne sait pas si les propriétaires étaient sur les lieux, mais le mode opératoire a de quoi inquiéter, car tout porte à croire que les deux individus n’auraient pas hésité à perpétrer leur forfait en leur présence.
L’alerte semble avoir été donnée rapidement puisque la Gendarmerie a mis en place un dispositif de recherche qui a sans doute contraint les malfaiteurs à abandonner le véhicule près de Tour en Sologne après y avoir mis le feu. L’article ne dit pas si le butin a été récupéré.
La direction prise par les fuyards, vers une zone de la vallée du Cher bien connue, peut donner une idée sur les auteurs de ce raid éclair.
Mais attention, il ne faut pas stigmatiser. Les Loir et Chériens auront tout de même compris.

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