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La plaque commémorative à la mémoire de Xavier Jugelé dégradée… par qui ?

D13CdesXQAAX6xACet acte odieux a suscité une vive émotion à Romorantin d’où était originaire le capitaine Xavier Jugelé, lâchement exécuté par un terroriste islamiste à Paris, sur les Champs-Elysées en avril 2017.
Cette même avenue qui a été envahie ce samedi par quelques 1 500 activistes de l’ultra-gauche, profitant de la manifestation des Gilets jaunes.
Dans les colonnes de la Nouvelle République ce matin (18/03) la famille du militaire exprime sa douleur, avec beaucoup de retenue, et des élus de Romorantin font part de leur condamnation.
Mais curieusement sans désigner les coupables.
Or, l’acte est signé. Mais la NR a choisi de montrer la plaque intacte, (NDLR : on trouve une autre photo sur le site en ligne de la NR) avant qu’elle ne soit souillée par le symbole des anarchistes, associé à un autocollant « action antifasciste » représentant un drapeau noir et un drapeau rouge.
Un type d’autocollant que nous avons plusieurs fois retrouvé sur notre permanence à Blois, collé par des individus habitant le quartier et connus de la Police. Mais le Procureur de la République n’a jamais donné suite à nos plaintes.
Cette simple observation permet de mieux expliquer ces violences à répétition et la relative impunité de leurs auteurs, là aussi souvent identifiés.
C’est que ces « black blocs » et autres « anfifa » jouent un rôle utile pour le pouvoir, quel qu’il soit.
En faisant dégénérer des manifestations pacifiques en émeutes urbaines avec incendies spectaculaires, pillages et saccages, cela contribue à retourner l’opinion publique favorable aux revendications des manifestants, mais scandalisée par de telles scènes.
Ces divers groupuscules d’extrême-gauche ultra-violents servent aussi le pouvoir en place en attaquant le Rassemblement national.
Lorsqu’ils créent des désordres en marge d’une manifestation, d’un meeting ou d’un congrès de notre mouvement, cela permet aux médias de nous associer dans l’esprit des gens aux violences commises… par nos adversaires.
Violences, il faut toujours le rappeler, encouragées par Jean-Christophe Cambadélis qui les qualifiait de « harcélement démocratique ».
Dans le cas présent de la crise des « Gilets jaunes », le pouvoir a joué le pourrissement et cherché une fois encore à exploiter les scènes de violences pour déconsidérer le mouvement.
Il faudra tout de même nous expliquer un jour comment on peut arrêter préventivement des centaines de manifestants, parfois pour la simple détention d’une masque respiratoire, sans parvenir à filtrer des centaines de « black blocs » casqués, transportant des projectiles et des produits incendiaires.
Il serait temps de mettre fin à ces méthodes barbouzardes et de mettre hors d’état de nuire ces milices de guerre civile, avant qu’il ne se produise des actes encore plus graves.
Enfin il est certain, mais c’est autre débat, que Macron n’a pas su apprécier la situation, préférant tranquillement aller se « ressourcer » au ski en posant avec Madame pour Gala, Paris Match et autres revues « people ».
Sans oublier toutefois de mobiliser une bonne partie des forces de l’ordre de l’ordre afin de protéger les « lieux de pouvoir », au détriment des autres unités, ce qui a rendu plus difficile le contrôle de la manifestation.  

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Blois Vienne : 3 voitures incendiées cette nuit.

50881540_2621661361207613_6112952430419247104_nC’est un riverain écoeuré qui nous transmet l’information et nous envoie cette photo.
Hier soir vers 23 h 00 sur un petit parking de la rue des Métairies à Blois Vienne 3 voitures ont été incendiées.
Le lieu est bien connu des  » initiés  » et des riverains pour son trafic de drogue…
Sans doute le prix à payer pour la « paix sociale » dans certains quartiers.
Mais en Vienne comme ailleurs les habitants sont excédés par cette délinquance et tout ce qu’elle entraîne.
Encore une fois nous espérons que les auteurs de ces incendies criminels seront identifiés, interpellés et condamnés comme il se doit.
C’est malheureusement assez rare, et quoi qu’il en soit, on sait que les victimes seront très mal indemnisées.
Il est vrai que M. Castaner a d’autres priorités.

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Joué-les-Tours : encore 5 véhicules brûlés, la guérilla urbaine continue.

DvW9fZ4XcAEW0piVoitures incendiées à la Rabière (image d’archives).
La série continue à Joué les Tours. Après les incendies de voitures de début novembre ou ceux de la nuit de Noël, cinq véhicules ont brûlé ce samedi soir.

Sans couverture médiatique. On préfère montrer les véhicules enflammés par des casseurs en marge des manifestations des gilets jaunes pour les discréditer, mais silence radio au contraire sur les 1030 véhicules incendiés la nuit de la Saint Sylvestre.
Le haineux Castaner est aussi un incapable, il n’a même pas le courage de dénoncer cette violence quotidienne qui touche en France des centaines de quartiers pourtant dits « prioritaires » et arrosés de subventions.
A Blois aussi des véhicules brûlent régulièrement sans que cela provoque la moindre réaction.
La maire de Joué les Tours avait institué un couvre-feu pour les mineurs de moins de 17 ans jusqu’au 24 janvier, leur interdisant toute sortie seuls de 22h à 6h.
Mais les renforts de CRS déployés après les incidents du 25 décembre ont quitté la Rabière depuis la nuit du 2 au 3 janvier. Seule la police patrouille donc dans le quartier ces derniers jours pour en assurer la sécurité. Et le couvre-feu n’empêche pas les voitures de brûler.
« Pour une raison non déterminée » ajoute Info-Tours. Tout le monde aura compris.

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Onze voitures brûlées à Saint Sulpice de Pommeray.

Voiture bruléeImage d’illustration.
C’est par quelques lignes que la Nouvelle République (22/11/2018) relate l’incendie de 11 véhicules sur le parking d’un garage à Saint Sulpice de Pommeray, tout près de Blois.
Les sapeurs pompiers sont intervenus dans la nuit de mardi à mercredi vers 23 h 30 pour circonscrire le sinistre.
La gendarmerie enquête, mais  à priori l’incendie semble suspect.

 

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Blois : violente bagarre devant le collège des Provinces.

Collège provinces BloisLa nouvelle n’avait pas filtré jusqu’ici, c’est la Nouvelle République qui publie l’information ce matin (20/11/2018).
Les faits remontent à jeudi dernier. Un groupe de 5 à 7 « jeunes » issus d’un autre établissement est venu attaquer des élèves à la sortie du collège des Provinces.
Trois élèves ont été blessés dont un sérieusement.
L’origine de cette rixe serait à rechercher sur les réseaux sociaux.
La Police enquête pour identifier les agresseurs, mais en attendant ce type de bagarre montre que Blois est à son tour gagné par ce phénomène de règlements de comptes violents à proximité des établissements scolaires.
Mais l’équipe municipale actuelle semble ne pas bien mesurer à quel point la situation est en train de se dégrader.

Mise à jour : un correspondant nous parle d’une vingtaine de personnes avec des couteaux, battes etc… et d’une deuxième bagarre. Mais devant le silence des médias, difficile d’avoir confirmation pour le moment.

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Mer et la petite Beauce : une insécurité au quotidien.

Gendarmerie MerL’insécurité, le saccage des équipements publics, les dégradations sur les propriétés et les biens privés, les vols, les incivilités ne sont pas l’apanage des grandes villes.
Nouvel exemple à Mer ou 14 véhicules ont été l’objet de vols à la roulotte et dégradés (la Nouvelle République du 7/11/2018).
Mardi la Gendarmerie a fait distribuer un appel à témoin dans les boîtes aux lettres.
Espérons que les coupables soient et identifiés et les victimes indemnisées.
Le phénomène touche aussi les communes de la petite Beauce.
A tel point que Maves, 660 habitants, va bientôt installer 9 caméras pour améliorer la sécurité des personnes et notamment des biens municipaux qui sont régulièrement vandalisés et font l’objet de dégradations et vols…
Les élus Mérois du Rassemblement national expriment leur soutien aux victimes et demandent au Préfet de Loir de Loir et Cher que les forces de l’ordre disposent des moyens nécessaires pour mener leur mission de protection des populations.
Cela nous semble plus urgent pour nos compatriotes que l’accueil des migrants.  

Insécurité à l’hôpital de Blois : l’omerta ?

CHB sécuritéTout va bien à l’hôpital de Blois, soyez rassurés braves gens, dormez bien !
Comme dans les collèges et les lycées, la consigne #PasDeVague semble aussi être appliquée dans les hôpitaux.
Mais il est toujours difficile de cacher la vérité, elle finit un jour ou l’autre par ressortir.
En l’occurrence ce sont les personnels de sécurité de l’hôpital de Blois qui expriment leur colère… sous la bannière de la CGT !
« Sécurité en sous-effectif = hôpital en insécurité » peut-on lire sur une des banderoles.
La situation est-elle donc si grave ? Pourtant elle est soigneusement cachée par les responsables de l’établissement, dont le maire de Blois, Marc Gricourt préside du conseil de surveillance.
Reste que la CGT n’en dit pas assez sur l’insécurité qui touche les personnels soignants. De quel type d’agressions s’agit-il ? Qui sont les auteurs ?
Là, c’est au tour de la CGT de pratiquer l’omerta.
Aux agents victimes de cette situation d’en tirer les conséquences : seul le Rassemblement national peut vraiment les défendre.

 

Blois : agressions au quotidien.

TotemCe sont des agressions dont la presse ne parle pas, car elles font l’objet d’un simple enregistrement au commissariat de Police, qui ne communique pas.
Mais nous citerons deux faits récents.
La première agression se situe dans un quartier du haut de la ville, près de la Cathédrale.
Une femme seule se gare devant chez elle, lorsqu’une voiture se range en double file, occupée par deux individus que la censure ne nous permet pas de décrire.
Ils intiment à la femme l’ordre de descendre. Celle-ci refuse mais se trouve de fait coincée dans son véhicule.
Par chance, une autre voiture arrive dans le rue, obligeant les deux petites frappes à circuler.
La semaine dernière cela se passe en plein centre-ville, devant le Totem, place de la Résistance.
Comme souvent, une voiture occupée par des « jeunes » est arrêtée sur le rue devant le débit de tabac, bloquant la circulation.
La plupart du temps, les Blésois « de souche » préfèrent patienter, connaissant la susceptibilité des ces « chances pour la France ».
Mais le femme ainsi bloquée par ces gens irrespectueux a eu le malheur de klaxonner !
Aussitôt elle est prise à partie par les petits voyous, qui prétendent que leur voiture a été accrochée et demandent à la personne de descendre pour faire un constat.
Elle leur propose plutôt d’appeler la Police et saisit son téléphone, ce qui a pour effet de faire fuir les voyous. Bon réflexe.
Mais ces deux exemples sont révélateurs d’un climat qui hélas n’est pas nouveau, et qui fait que Blésois et touristes ont tendance à déserter le centre-ville une fois la nuit tombée.
A quand une véritable réaction ?

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Mustapha, 37 ans, 32 condamnations : « je vais faire pire qu’au Bataclan ! »

Balance-justiceChaque jour la chronique judiciaire nous renseigne sur l’état de la société, l’ensauvagement des délinquants qui se transforment parfois en criminels faute d’une réponse judiciaire assez rapide et assez ferme pour les faire réfléchir.
C’est ainsi qu’un certain Mustapha, 37 ans, actuellement mis en examen pour viol, outrage à agents et usage illicite de stupéfiants, a vu rejeter, sans surprise, une demande de mise en liberté.
Il faut dire que l’individu collectionne déjà 32 mentions à son casier judiciaire qui, ont le sait, n’enregistre pas les petits délits et contraventions… (la Nouvelle République du 2/10/2018).
Et il récidive à l’audience en menaçant magistrats et avocats de la partie civile : « Je n’ai rien à perdre, vous allez voir, je vais faire pire qu’au Bataclan ! »
Heureusement que la Justice a refusé cette mise en liberté, cela paraît tout de même plus sage.
Mais combien d’individus dans le même genre sont aujourd’hui dans la nature ?
Voilà une question que nous ne pourrons plus poser à Gérard Collomb, qui vient de faire à son touret à sa manière un doigt d’honneur à Macron !

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Un jeune cycliste tué par une voiture à la ZUP de Blois, le conducteur en fuite.

Tourville-CaradecLe lieu du drame : la priorité à droite est censée réduire la vitesse… à condition de la respecter.
Lundi soir le jeune Takhir, âgé de 12 ans, a été violemment renversé par une voiture rue de Tourville à la ZUP de Blois, entre la Place Lorjou et la médiathèque. Transporté à l’hôpital Clocheville à Tours, il n’a pas survécu à ses blessures (la Nouvelle République du 12/09/2018).

Le conducteur de la voiture a pris la fuite.
Même si toutes les circonstances de l’accident ne sont pas connues, l’émotion est grande dans le quartier, et nombreux sont ceux qui dénoncent la vitesse excessive de certains conducteurs et le non respect des règles.
Certains soulignent aussi le manque d’aménagements de sécurité.
On peut d’ailleurs s’étonner que dans ces quartiers rénovés récemment et à grands frais il n’y ait pas davantage de pistes cyclables.
Le maire de Blois qui s’est rendu sur les lieux s’interroge sur « l’apprentissage des règles de sécurité routière et le respect collectif du code de la route« .
Mais comment certains individus qui ne respectent pas loi pourraient-ils respecter le code de la route ?
En souhaitant que le conducteur soit identifié rapidement, toutes nos pensées vont aux parents de la jeune victime.

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Jacqueline Gourault : les heures supplémentaires des policiers et des gendarmes ne seront pas payées !

Jacqueline Gourault ADCFDepuis plusieurs annés,  policiers et gendarmes sont mis à très rude épreuve pour contrer la menace islamo-terroriste.
François Hollande avait même parlé de guerre.
Mais l’intendance ne suit pas : l’Etat leur doit des millions d’heures supplémentaires à ce stade ni payées ni récupérées.
Les membres des forces de l’ordre seront-ils indemnisés un jour ?
Non, a répondu en substance ce mardi matin Jacqueline Gourault, la ministre auprès du ministre de l’Intérieur.
La réponse est claire, elle indique bien le mépris affiché par le pouvoir à l’égard des forces de l’ordre, taillables et corvéables à merci, et bien souvent empêchées de se défendre.
L’info, parue le 3 juillet dans France-soir, n’a pas fait grand bruit dans les médias, a tel point qu’elle nous avait échappée. Merci à Olivier Besnard, notre élu de Mer, de l’avoir signalé.
Un tel degré de cynisme est proprement scandaleux.
Il faut espérer que les intéressés réagissent, encore faudrait-il que leurs syndicats les défendent.
En attendant, à vous de faire tourner en boucle cette information.

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15 juillet à Blois : quand la fête dégénère.

Mondial 2018-2Militaires et policiers sifflés par une foule hostile. Où est le sentiment de fierté nationale ?
A Blois comme partout la célébration de la victoire de l’équipe de France a été émaillée d’incidents.

Et il a fallu quelques jours pour que l’info ressorte sur les réseaux sociaux, la presse locale comme nationale a étouffé ces débordements ou bien les minimise.
Des vidéos montrent une voiture, peinte en bleu-blanc-rouge, retournée par la foule place de la Résistance. Curieuse manière de célébrer la victoire. Et quand les policiers arrivent sur place, ils sont pris à partie ainsi que les militaires chargés de sécuriser les place. On voit les forces de l’ordre obligées de reculer devant une foule hostile. Pour quelle raison ?
Dans le contexte de menace islamo-terroriste que nous connaissons, tous ceux qui célébrait cette victoire auraient dû au contraire applaudir nos soldats.
Tout comme Olivier Giroud qui considère que nos militaires qui risquent leur vie méritent davantage la légion d’honneur que des footballeurs ou des artistes.
Les réactions sont nombreuses sur les réseaux sociaux pour condamner ces exactions.
Mais Ozgur Eski minimise, tout comme le directeur de cabinet de Marc Gricourt qui compare à 1998.
Avec une différence notable pour ceux qui ont un peu de mémoire : il y avait beaucoup plus de monde dans les rues de Blois en 1998, ce qui prouve que beaucoup de Blésois ont renoncé à venir en famille par crainte d’incidents dans un climat de sécurité dégradé.
En 1998 on n’avait pas retourné une voiture place de la Résistance, mais la statue qui se trouvait au milieu du rond-point avait disparu, ce dont à vrai dire peu de Blésois s’étaient plaints.
Autre temps, autre moeurs.

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Blois : 3 algériens immigrés clandestins interpellés.

CollombContrôle aux frontières : des ratés inquiétants.
Pourquoi se gêner ?

Trois individus se sont introduits dans un appartement rue du Sermon à Blois après avoir brisé une vitre (la Nouvelle République du 21/06/2018).
Procédé habituel pour des squatteurs qui, une fois installé dans les lieux, deviennent rapidement impossible à déloger, si ce n’est au tyerme d’une longue procédure.
C’est ainsi dans notre pays, les squatteurs ont davantage de droits que les propriétaires, qui parfois ne peuvent récupérer leur bien qu’au bout de deux ou trois ans, et complètement détérioré. Et bien sûr les coupables sont insolvables.
Heureusement dans ce cas précis, un voisin a pu alerter la Police qui est intervenue rapidement.
Et il s’avère que les trois individus, dont une mineur, sont des algériens en situation irrégulière, autrement des clandestins.
D’où cette question : ou bien ils avaient déjà été repérés sur le territoire mais laissés libres de circuler à leur guise, ou bien ils étaient passés entre les mailles du filet.
Plutôt inquiétant quand on connaît la présence en Algérie de groupe islamistes radicaux pourchassés par le pouvoir mais toujours actifs dans la clandestinité.
Cela en dit long sur le contrôle aux frontières de l’Union européenne et le fameux dispositif Frontex censé nous protéger.
Les deux adultes ont été transféré vers un centre de rétention administrative en vue de leur expulsion du territoire français… si un pays accepte de les accueillir et a condition que les associations pro-immigration financées avec nos impôts ne déposent pas un recours, ce qui est quasi-automatique.
Quand au « jeune mineur », il ne pourra pas être expulsé, il a fait l’objet d’une rappel à loi et sera pris en charge par les services sociaux du Département.

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Incendie de voitures 3 mois de prison pour l’auteur, 20 € d’indemnité pour la victime.

Pvoiturebrule3.jpgrocès tout à fait symbolique au tribunal correctionnel de Blois : on y jugeait un « jeune » de 30 ans, anonyme, et qui a déjà passé plus de 4 années en prison pour, dit-il « des bêtises » (la Nouvelle République du 18/06/2018).
A noter que l’individu avait été surpris par la police en flagrant délit le… 12 mars 2013. Il y a plus de 5 ans !
Il est condamné à 3 mois de prison ferme.
Mais ce qu’il faut retenir, c’est que la victime n’avait reçu de son assurance qu’une indemnité de… 20 € !
C’est bien ce que nous répétons : les victimes de ces incendies sont le plus souvent des gens modestes, et les assurances remboursent très peu, à condition q’elles remboursent selon le contrat souscrit et les exclusions éventuelles.
C’est pourquoi ce fléau doit cesser, sans oublier les proportions que peut prendre un incendie, comme le rappelait la vice-procureure.
Hélas la série continue, nous apprenons le même jour qu’un voiture a été incendiée à Blois rue Jean de la Fontaine, dans le quartier de la Quinière vers 4 heures du matin ce dimanche…

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Blois : l’insécurité au centre-ville, un problème récurrent.

z7891-bis-anonymeMarginaux place Valin à Blois (photo d’archives)
La saison touristique a largement démarré, les soirées sont longues, Blésois et visiteurs sont nombreux aux terrasses dans le centre-ville de Blois.

Malheureusement depuis des années quelques marginaux, pour la plupart bien connus, importunent régulièrement les clients et les passants, quand ils ne se bagarrent pas entre eux sous l’effet de l’alcool.
Certains sont accompagnés de chiens parfois dangereux, au prétexte de se protéger, mais il peuvent aussi s’en servir pour attaquer, y compris contre des policiers en novembre dernier rue du commerce (la Nouvelle République du 12/06/2018).
Les policiers ont du intervenir une nouvelle fois vendredi dernier pour maîtriser un marginal particulièrement violent.
Ce n’est pas hélas la première fois, une série d’incidents et d’agressions en 2016 avait conduit commerçants et riverains et lancer une pétition pour demander au maire de Blois de réagir.
En lire plus …

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Le maire en patrouille de nuit avec la police municipale… pas à Blois, mais à Beaucaire.

Julien Sanchez BeaucaireMaire, officier de police judiciaire, j’étais à nouveau cette nuit en patrouille avec la police municipale.
Ce n’est pas la maire de Blois qui publie cette information sur Twitter, mais le maire Beaucaire, Julien Sanchez.
Un moyen de rappeler l’importance qu’il accorde à la sécurité des ces concitoyens, et de soutenir la police dans l’exercice de ses missions au moment où certains la dénigrent.
Un exemple à suivre pourquoi pas à Blois.
Et si le maire ne veut pas le faire, les élus du Rassemblement national peuvent recevoir une délégation pour le faire à sa place, il y sont tout à fait disposés.

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Blois : voiture incendiée et tensions à la ZUP.

Rue maryse Bastié_2Rue Maryse Bastié – image d’illustration.
Avec les longues soirées de juin et la période du ramadan, il y a du monde assez tard dans les rues de la ZUP.

Et aussi un certains de petites racailles qui continuent à semer le désordre dans le quartier, à brûler des véhicules et à provoquer les forces de l’ordre.
La Nouvelle République du 5 juin rapporte un incendie de voiture dans la nuit de dimanche à lundi rue Maryse Bastié, vers 2 heures du matin.
Un quartier régulièrement touché par ce type de délinquance.
Aucune trace cependant d’une information qui nous a été rapportée par des habitants du quartier au sujet d’un incendie de scooter le même soir du côté de la place Mirabeau.
Un voiture de Police arrivée sur les lieux aurait été caillassée.
Dans plusieurs villes de France ce genre d’incident se multiplies en ce moment.
Les forces de l’ordre vont-elles recevoir à nouveau des consignes d’évitement ? C’est bien probable selon le témoignage discret de policiers d’une ville voisine de la Région.
Exactement le contraire de ce qu’il faudrait faire.
Et après cela on s’étonnera que les Français rejettent le « vivre ensemble » et ma « mixité sociale » qu’on voudrait leur imposer !

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Orléans : une femme égorgée la veille de la fête des mères.

Orléans rue L-J SoulasOrléans : le rue où s’est produit le drame.
Le drame s’est produit samedi 26 mai, à la veille de la fête des mères.

Les premières informations annoncent qu’une jeune femme » a été poignardée à plusieurs reprises ».
Elle décède rapidement des suites de ses blessures, à l’hôpital d’Orléans.
Nous apprenons aussi que cette mère de 3 enfants a reçu les premiers coups de couteau dans le hall de l’immeuble, et que son meurtrier l’a poursuivie et continué à la frapper dans la rue.
Mais tous les médias parlent de  »coups de couteau au thorax et au cou », pour éviter le mot « égorgement ». Comme pour le colonel Beltrame, mort d’un « coup de couteau à la trachée ».
On voit bien le mot égorgement leur fait peur, car il en dit beaucoup sur l’origine et la mentalité de l’assassisn.
En l’occurrence, nous apprenons que l’auteur des faits est un certain Malik S., déjà condamné en 2004 pour un homicide volontaire commis à l’arme blanche, à Orléans en 2002, sorti de détention en 2012, d’abord en semi-liberté puis sous le régime de la liberté conditionnelle (la République du Centre).
Dans la Nouvelle République de Loir et Cher, seulement quelques lignes en page 31, sans évoquer les circonstances ni l’identité de l’assassin.
Surtout pas d’amalgame…

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Blois, Romorantin : une série d’incendies inquiétante.

rue Monge_1Dans la nuit de samedi à dimanche, plusieurs de véhicules et de poubelles ont touché différents quartiers de Blois (la Nouvelle République du 7 mai 2018).
D’abord rue Monge (*) à la ZUP de Blois, une voiture et plusieurs conteneurs, puis en Vienne rue Jean de Morvilliers une voiture est incendiée devant un garage, ensuite c’est un feu de poubelles à Bas Rivière puis à nouveau en bordure de la ZUP, rue Etienne Baudet où un scooter est détruit par le feu.
Une série inquiétante qui touche plusieurs quartiers. S’agit-il d’un coïncidence ou au contraire de méfaits commis par une même équipe ?
Et dans quel but ? Après les incendies de mercredi soir rue Georges Sand et rue Mongolfier, cela commence à faire beaucoup et il faut espérer que les auteurs soient identifiés et jugés comme ils le méritent.
Nous l’avons déjà dit, un jour il y aura des conséquences graves. Un logement a du être évacué en Vienne en raison des risques de propagation.
La même nuit Romorantin a connu également un feu de poubelles près du magasin Monoprix en centre-ville.
Les élus du Front National demandent que tout soit mis en oeuvre pour mettre hors d’état de nuire les auteurs de ces incendies.

(*) plusieurs voitures ont déjà été incendiées rue Monge en  2016 et 2017.

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Encore deux incendies à la ZUP de Blois.

Scooter incendié(image d’illustration)
Nouveaux incendies mercredi soir à la ZUP de Blois : un scooter vers 22 h 10 rue Georges Sand, des poubelles peu après rue Montgolfier (la Nouvelle République du 4 mai 2018).

L’intervention rapide des sapeurs pompiers a évité la propagation, mais cela reste des actes graves, dont les conséquences peuvent dépasser ce qu’imaginent leurs auteurs.
Et ces incendies à répétition continuent à dégrader le climat de ces quartiers. N’oublions pas aussi que les victimes sont presque toujours des personnes modestes.
Encore une fois seules des sanctions exemplaires pourraient mettre fin à de tels comportements.
Mais Jean-Louis Borloo propose toujours le même remède : déverser des milliards d’euros sure les « quartiers prioritaires ». C’est sur ceux uù brûlent les voitures.
C’est aussi la politique menée à Blois depuis plus de 30 ans. En vain.

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Vols et vandalisme à la Quinière : le procureur connaît-il bien le quartier ?

incendie-quiniereVéhicules en feu à la Quinière en 2014. Un quartier tranquille avant 2016 ?
Jugement hélas ordinaire mardi dernier au tribunal correctionnel de Blois.

Yacine, 21 ans comparaissait pour une série de 27 vols et tentatives de vols ainsi que de nombreuses dégradations commis dans le quartier de la Quinière à Blois (la Nouvelle République du 30/04/2018).
Un délinquant précoce en quelque sorte, puisqu’il compte déjà 8 mentions à son casier judiciaire !
Un genre d’individu qui n’est malheureusement pas isolé, et qui pourrit littéralement la vie des habitants à la Quinière comme à la ZUP.
L’avocat d’une des victimes, Maître Robiliard, signale d’ailleurs que ce sont des gens modestes qui sont touchés, comme cet électricien au chômage qui vit avec 500 € par mois, dont le cyclomoteur a été volé puis incendié.
Mais au-delà du jugement, ce sont les propos du procureur de la République qui interpellent, lorsqu’il parle de « la Quinière où jusqu’en 2016 on vivait plutôt tranquillement » !
Peut-être fait-il référence à l’incendie du centre commercial Quinière en octobre 2016. Mais la délinquance sous toutes ses formes, le trafic de drogue et l’insécurité qui en découle ne datent pas de 2016, la dégradation remonte à plusieurs années, en partie à cause du déplacement de certaines populations à problème de la ZUP de Blois dans le cadre du PRU.
La suite est tout aussi étonnante, puisque le procureur note une « évolution positive de Yacine« , qui justifie sa réquisition d’une peine entièrement avec sursis.
Ce qui devrait en théorie l’inciter à se tenir tranquille un certain temps, l’avenir le dira.
Voilà en tous cas son « palmarès » enrichi d’une 9ème inscription à son casier judiciaire.
Il aura du mal à rattraper un certain Bayram, de Romorantin, qui comparaissait également, avec 17 condamnations à son actif à l’âge de 22 ans. Il aura droit quant à lui à 8 mois de prison dont 3 avec sursis, ce qui là encore ne veut pas dire qu’il sera incarcéré.
Par contre les victimes ont peu de chance d’être un jour remboursées du préjudice matériel retenu, 10 000 €, ce qui semble très en deçà de la réalité puisque l’une des nombreuses dégradations commises, sans compter les vols, s’élève à elle seule à 17 000 € !
Mais elles auront peut-être le plaisir de voir Yacine se réinsérer…

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Respecter les policiers… et faire aimer la France.

Je soutiens la PoliceCollège Bégon : visite de la police mais c’est un « gilet rouge » qui surveille la classe.
On ne peut qu’approuver l’initiative du Directeur départemental de la sécurité publique de Loir et Cher, à l’occasion de la journée de rapprochement police-population, d’une journée de rencontre et d’échanges avec des collégiens de Bégon (la Nouvelle République du 11/04/2018).

D’autant plus que cette présentation des missions de la police était accompagnée d’une visite des tranchées d’entraînement datant de la première guerre mondiale en Forêt de Blois, d’une visite au musée de la Résistance avant d’aller observer une minute de silence devant le monument aix morts place de la République.
Il faudrait cependant que l’esprit de cette rencontre se prolonge au-delà d’une journée.
Or nous devons bien constater que l’enseignement de l’histoire de France a été bien abîmé dans les programmes, des pans entiers supprimés, tandis qu’au contraire les manuels scolaires traînent notre pays dans la boue en l’accusant de tous les maux et en cultivant une éternelle repentance.
En lire plus …

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ZUP de Blois : une étincelle peut mettre le feu.

rue Monge_1Rue Monge – image d’archives.
Une violente altercation s’est déroulée lundi après-midi rue Monge à la ZUP de Blois, mais elle n’est rapportée que ce jeudi par la Nouvelle République.

Suite à une histoire entre enfants, les familles sont intervenues pour en venir non seulement aux mains, mais à une rixe au cours de laquelle les couteaux ont été sortis.
On compte plusieurs blessés à l’arme blanche, dont certains sérieusement, il y a eu au moins trois hospitalisations.
Mais à l’arrivée de la Police il semblerait que tout ce beau monde se soit réconcilié. Une quarantaine de personnes qui s’étaient attroupées ont tenté de s’opposer aux interpellations, certains brandissant des marteaux.
Toujours selon la Nouvelle République, les policiers ont été caillassés et ont eu recours au gaz lacrymogène pour disperser leurs agresseurs.
Des policiers ont été blessés dans l’opération, mais au final ils ont pu mener à bien l’interpellation de trois individus.
Ce nouvel épisode de violence en dit long sur le climat qui règne dans le quartier, où le moindre incident peut vite dégénérer, et où les forces de l’ordre ne sont pas les bienvenues.
On se souvient des émeutes de 2014, suite à l’interpellation d’un jeune à moto place Lorjou, cette situation peut hélas se reproduire à tout moment, ce qui explique une certaine politique d’évitement. Mais la contrepartie c’est que les racailles s’enhardissent.
La majorité des habitants qui voudraient vivre en paix se trouvent de fait pris en otage, ce qui explique pourquoi certains demandent à être relogés.
Le problème de la ZUP ne sera jamais réglé tant qu’on s’attaquera pas aux véritables causes, que tout le monde connaît.

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Violences contre le principal du collège : le « grand frère » n’ira pas en prison.

Collège Rabelais BloisLes faits se sont produits mardi, ils ont été jugés assez graves pour que le tribunal se prononce dès jeudi.
C’est mardi soir après les cours qu’un « jeune » de 28 ans, dont la soeur rencontrait des difficultés (?) dans l’établissement s’en est pris au principal du collège Bégon, au coeur de ce quartier fraîchement rénové (la Nouvelle République du 30 mars 2018).
Le « jeune homme », « qui a déjà des antécédents judiciaires » a comparu dans le cadre d’une procédure de plaider coupable.
Il a été condamné à 8 mois de prison dont 4 avec sursis, mais sans mandat de dépôt.
L’avenir nous dira si l’individu aura compris la leçon.
Mais une fois de plus, nous remarquons que cette personne pourtant majeure est protégée par l’anonymat.
Nous pensons que le fait de rendre public le nom d’un condamné fait partie de la justice, contribue à l’exemplarité de la peine et à son effet dissuasif.
Ce n’est pas pour rien qu’il est question de mettre en place, pour des infractions fiscales et financières, le « name and shame » : «  »nommer et faire honte ».

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Arnaud Beltrame : hommage au sacrifice d’un officier chrétien.

DZXkU-mWkAAFtbc(photo Gendarmerie Nationale)
C’était hier l’hommage de la République auquel nous avons participé, certains par leur présence aux cérémonies, comme Marine le Pen et d’autres élus à Paris et dans les régions, d’autres simplement en suivant la cérémonie des Invalides à la télévision, puisqu’en Loir et Cher par exemple, aucun hommage public n’avait été prévu.

Nous aurons l’occasion de revenir sur le discours de M. Macron, en particulier sur certains oublis volontaires, mais d’abord nous tenions à publier le témoignage du prêtre qui l’a accompagné jusqu’à ses dernières heures.

Témoignage d’un chanoine de l’abbaye de Lagrasse (Aude), le jour de sa mort, 24 mars 2018.
« C’est au hasard d’une rencontre lors d’une visite de notre abbaye, Monument Historique, que je fais connaissance avec le lieutenant-colonel Arnaud Beltrame et Marielle, avec laquelle il vient de se marier civilement le 27 août 2016. Nous sympathisons très vite et ils m’ont demandé́ de les préparer au mariage religieux que je devais célébrer près de Vannes le 9 juin prochain. Nous avons donc passé de nombreuses heures à travailler les fondamentaux de la vie conjugale depuis près de 2 ans. Je venais de bénir leur maison le 16 décembre et nous finalisions leur dossier canonique de mariage. La très belle déclaration d’intention d’Arnaud m’est parvenue 4 jours avant sa mort héroïque.
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