La Nouvelle République signalait un feu de voiture et un feu de scooter dans la nuit de jeudi à vendredi rue Jean de la Fontaine à la Quinière (voir notre article du 7 mai).
Les épaves étaient toujours sur place aujourd’hui.
De plus, nous avons pu constater qu’au moins deux abribus avaient eu leurs vitres brisées, à l’arrêt Charles d’Orléans et à l’arrêt Marivaux.
Les habitants du quartier ne manqueront pas d’interroger le Maire lors de la prochaine réunion de quartier mardi 17 mai 2016 à 19h, à l’Espace Quinière (avenue du Maréchal Juin).
Quinière : retour sur les violences urbaines
Blois : voitures incendiées en Vienne et à la Quinière.
Nouvelle recrudescence des incendies de voitures à l’occasion du pont de l’Ascension.
Une voiture a été incendiée rue Trinqueau en Vienne entre 23 et 23h30 dans la nuit du vendredi à samedi.
La nuit précédente à 1 h 40 les pompiers ont été appelés rue Jean de la Fontaine à la Quinière pour une voiture et un scooter en feu. Un voiture stationnée à proximité a été également touchées « par contagion ».
Selon l’expression habituelle, « une enquête a été ouverte pour déterminer les causes du sinistre », dont l’origine criminelle ne fait aucun doute.
Quel avenir pour Blois et Agglopolys ?
Sur cette carte du SRADDT, la bi-polarisation Tours-Orléans est évidente. Au détriment des villes moyennes et de la ruralité.
Difficile de s’y retrouver dans les plans, les schémas et les projets élaborés à tous les niveaux.
On nous disait que la loi NOTRe (Nouvelle Organisation Territoriale de la République) devait simplifier et clarifier les compétences de chacun.
Nous pouvons constater chaque jour qu’il n’en est rien.
Ainsi la Région élabore des dizaines de schémas, dont le SRADDET (Schéma Régional d’Aménagement, de Développement Durable et d’Egalité des Territoires), Agglopolys gère le PLUI (Plan Local d’Urbanisme Intercommunal), tandis que le SIAB (Syndicat Intercommunal de l’agglomération Blésoise) qui regroupe Agglopolys et la communauté de communes du Grand Chambord gère le SCOT (Schéma de Cohérence Territoriale).
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Des dépenses inutiles pour des objectifs imprécis.
Le « vivre ensemble » et les « incivilités» en question. Paroles, paroles…
Lors du Conseil du 29/2, il a été proposé de reconduire la GUP (Gestion Urbaine de proximité), une instance créée dans le cadre du PRU (destruction et reconstruction de la ZUP), chargée de « lutter contre les « incivilités », promouvoir le « vivre ensemble », impliquer les habitants et améliorer les pratiques de gestion ».
Cette instance, jusqu’à présent était limitée à la ZUP, elle sera élargie aux Cornillettes et à la Quinière. Mais pas en Blois Vienne, ni en centre-ville du côté du Faubourg St Jean, de plus en plus déstabilisé par des « incivilités délinquantes », alors que ce serait aussi nécessaire !
Certains objectifs ont été contestés par Miguel de Peyrecave qui a relevé que les « incivilités » n’étaient pas éloignées de la délinquance, laquelle doit être combattue par la Police principalement et pas par des organismes de substitution.
Quant au « vivre ensemble», si souvent mis en avant par la Pensée Unique de gauche, c’est un ensemble flou dans lequel on peut tout mettre sauf peut-être le « savoir vivre » ou la politesse de base. La preuve en est que le rapporteur de cette délibération et maire -adjoint, Ogur Eski, refuse de serrer la main des élus FN, seulement parce qu’ils sont Front National. Un comportement d’un autre âge bien loin de la tradition de la France Courtoise et pas encore entré dans la modernité. Une attitude désavouée dans les faits par plusieurs élus socialistes, dont le Maire, qui sont venus saluer les élus FN après le Conseil, naturellement.
Vendôme : voitures brûlées, habitants évacués.
Image d’archives FN41 (quartier de la Quinière-les Allées à Blois)
C’est la Nouvelle République qui rapporte l’info sur Internet ce matin.
La nuit dernière (du 2 au 3 janvier) vers 2 h 30 deux véhicules ont été incendiés (« ont pris feu » pour la NR) impasse du Commandant Verrier à Vendôme.
Devant l’extension du sinistre, qui avait provoqué une fuite de gaz, deux pavillons voisins ont dû être évacués.
Qu’on le veuille ou non, ces incendies de voitures trop souvent minimisés et ramenés à de la « petite délinquance » sont des actes graves, et cette évacuation nocturne de deux familles menacées par les flammes fait plutôt penser à une scène de guerre.
Mais Bernard Cazeneuve pourra être satisfait : les incendiaires ont attendu la nuit du 2 au 3 janvier, les chiffres de la Saint Sylvestre n’en seront que meilleurs !
Loir et Cher : incendies en série.
Image d’archive : voiture brûlée à Blois.
Les incendies de voitures continuent en Loir et Cher : après la Quinière et la place Coty à Blois le week-end dernier, deux voitures ont été incendiées dans la nuit de mercredi à jeudi rue de Bellevue à la Chaussée Saint Victor, dans un quartier à priori sans histoires.
La veille c’est un engin de travaux publics qui a été incendié sur un site de stockage de gaz naturel à Sassay. Peut-être les malfaiteurs ont-ils voulu masquer les traces d’un vol de carburant.
Mais à part cela tout va bien et sans doute aurons-nous droit début 2016 à la publications de chiffres tout à fait rassurants sur la délinquance en 2015.
Blois : voitures brûlées à la Quinière et à la ZUP.
Certains ont-ils voulu fêter à leur manière le résultat des élections régionales ? Ou bien marquer que nous étions hier juste un mois après les attentats du 13 novembre ?
Toujours est-il qu’une voiture a été incendiée la nuit dernière vers 2 h 30 du matin à la Quinière.
C’est un habitant du quartier, réveillé par le bruit qui nous a alerté. L’information a été confirmée ce matin sur Plus FM.
Nous apprenons également que deux autres voitures ont incendiées du côté de la place Coty à la ZUP de Blois.
Les électeurs ouvrent les yeux sur la Justice de Christiane Taubira
Lundi dernier 7 décembre, les policiers de Blois ont interpellé un homme de 41 ans. L’empreinte génétique de cette personne déjà condamnée, est apparue sur deux vols commis cet été à La Chaussée-Saint-Victor. Il sera jugé… dans 6 mois, en juin prochain. De qui se moque Christiane Taubira en ne renforçant pas le personnel dans les Tribunaux pour accélérer les procédures ?
Une Justice qui n’impressionne pas les délinquants
Les délinquants ont moins peur de la Justice ou de la prison que du milieu des malfrats. C’est la remarque qu’a faite la présidente Isabelle Fachaux face à un Blésois qui refusait de révéler à la Justice le nom de son fournisseur de drogue. (la Nouvelle République 9/12/2015)
C’est bien le monde à l’envers. Devant le laxisme de la Politique pénale socialiste, ce seront bientôt les juges et les policiers qui trembleront devant les délinquants.
On notera au passage que, dans cette affaire, le nom et le prénom d’un prévenu bien de chez nous ont été intégralement publiés. On se demande pourquoi alors qu’en règle générale on ne donne qu’un prénom, souvent fictif. Y a –t-il des noms à protéger et d’autres à jeter en pâture ? En lire plus …
Conseil municipal de Blois : des orientations budgétaires moroses.
Hommage aux victimes.
Le conseil a débuté par un hommage aux victimes du carnage des terroristes islamistes. Après la minute de silence, le maire a invité les élus et le public à entonner la Marseillaise qu’il avait oubliée devant la mairie la semaine précédente.
Dans sa courte allocution, il n’a pas pu s’empêcher de parler du risque « d’amalgame » et du « repli sur soi ». Dérisoire et hors sujet : cette stigmatisation déguisée du Front national ne prend plus.
Les clandestins de Calais : toujours pas de réponse.
Quand le FN a posé des questions sur les clandestins de Calais installés à l’AFPA, le maire a répondu que ce dossier relevait du préfet et que cela ne coûtait rien à la Ville… pour le moment. A part cela aucune information sur le devenir des ces migrants à l’issue de leur séjour à l’AFPA, qui ne va pas se prolonger éternellement..
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Demandeurs d’asiles : à Blois aussi.
Les demandeurs d’asile ne constituent qu’une des nombreuses filières de l’immigration massive voulue, il faut le rappeler sans cesse, pas nos dirigeants passés et actuels, depuis que Giscard-Chrirac ont ouvert grand les vannes avec le « regroupement familial« .
Depuis quarante ans, des millions d’immigrés sont ainsi rentrés en France, transformant des quartiers et des villes entières, et leur nombre est devenu tel que leur assimilation est devenue illusoire.
D’ailleurs, il y a longtemps que le terme a été abandonné, remplacé par celui d’intégration, lui-même abandonné à son tour au profit du « vivre-ensemble », vision anglo-saxonne et antinationale d’une société où cohabitent différentes communautés qui se définissent par leur origine, leur religion voire leur sexualité.
L’actualité de ces derniers jours nous montre l’accélération et l’aggravation du phénomène migratoire, avec un véritable chantage exercé sur les peuples européens, sommés d’accueillir tous les réfugiés de la planète.
Blois ne fait pas exception à la règle, une fois encore nous voyons s’installer un véritable camp, la presse locale parle de bidonville, aux portes de la ville.
Il faut préciser qu’il s’agit de demandeurs déboutés, autrement dit de faux demandeurs d’asile, comme ils le sont dans plus des trois quarts des cas, même après recours, même avec l’assouplissement des consignes constaté en 2014, selon les statistiques officielles du ministère de l’Intérieur.
Mais ces demandeurs déboutés refusent la plupart du temps de repartir, et occupent le terrain, avec la complicité d’associations qui bénéficient de financements publics !
In fine, les pouvoirs publics cèdent, et tous ces gens sont relogés, au grand étonnement des Français en recherche de logement, et qui se voient répondre qu’il n’y a pas de place.
C’est déjà le scénario que nous avions connu à Blois il y a quelques années avec les familles de Roms avaient installé un campement sauvage du côté de la ferme de Brisebarre… avant d’être relogés dans les HLM du côté de la Quinière.
Va-t-on assister au même scénario ?
Place Lorjou, rue Michel Bégon : les symboles de l’échec du PRU
Place Lorjou, des cellules commerciales qui ne trouvent pas preneur. Qui osera dire pourquoi ?
Un vendredi après-midi vers 16 heures : la place Lorjou était déserte… hormis 4 ou 5 « jeunes » désoeuvrés » qui discutaient près d’une voiture.
La plupart des commerces étaient fermés, le bar devait ouvrir peu après. L’une des vitrines est remplacée par un panneau provisoire en bois.
De l’autre côté de la rue, les cellules commerciales nouvellement construites risque d’attendre longtemps avant de trouver preneur : le promoteur a préféré toutes les murer solidement à l’aide de parpaings.
Mais ce calme durant l’après-midi cesse à la tombée de la nuit : les habitants nous disent que les « rodéos » continuent sur la place et dans le rue de l’Amiral de Tourville et que l’activité des dealers se poursuit « presque 24 h sur 24, 7 jours sur 7″.
Le grille qui protège le porche d’entrée de la résidence qui donne sur la place est régulièrement forcée, car l’endroit est commode pour ce genre de trafic, à l’abri des regards.
Au dire des habitants, ils voient passer une voiture de patrouille de temps en temps, mais les policiers n’en descendent pas. Chacun se souvient des émeutes qui avaient suivi une interpellation Place Lorjou fin octobre 2014.
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Vidéosurveillance à la Quinière : le vote FN porte ses fruits !
En 1998, il avait fallu que Michel Chassier, candidat FN sur Blois IV, fasse 43,4% au 2ème tour pour que Jack Lang se résolve à doubler les effectifs de la Police municipale ! Tout en refusant de voir la réalité : il ne voulait admettre qu’un vague « sentiment d’insécurité ».
En 2001, Miguel de Peyrecave avait axé la campagne municipale du FN sur la sécurité, alors préoccupation majeure des Blésois, en proposant 10 mesures, dont quelques-unes seront reprises par la nouvelle municipalité de Nicolas Perruchot.
En particulier la vidéosurveillance, qui va être mise en place sur les endroits « sensibles » de la ZUP, puis au Centre-ville.
Bien que contestant le principe, la gauche revenue aux affaires va maintenir le dispositif… et même le compléter.
C’est ainsi que le centre commercial de la Quinière, théâtre de nombreux incidents et agressions des derniers mois, vient d’être équipé à son tour, à la grande satisfaction des commerçants et des habitants.
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Blois : Le quartier Quinière, grand absent du contrat de ville.
Mars 2015 – Nos candidats à la rencontre des habitants du quartier de la Quinière à Blois. (Photo FN41)
Mis sous pression par les élus municipaux du Front National ainsi que par Michel CHASSIER et Laura NAEGELEN, dernièrement candidats aux élections départementales (canton de Blois I) qui avaient mis le quartier Quinière au cœur des enjeux de la campagne, Marc GRICOURT a profité de la venue ce vendredi 7 juillet de la Secrétaire d’Etat à la Ville, Myriam El KHOMRI, pour lui faire remarquer les inégalités engendrées par le contrat de Ville.
Dans une lettre qu’il lui a adressé, il indique que le quartier de la Quinière ne figure pas parmi les quartiers ciblés prioritaires de la ZUS ou de la ZUP et n’a pas pu profiter des mêmes investissements déployés dans les Quartiers Nord de Blois.
Blois : l’immigration, sujet tabou ?
Au dernier conseil municipal du 22 juin à Blois figurait la présentation des rapports sur la DSU (Dotation de Solidarité Urbaine) et le politique de la Ville.
D’emblée Miguel de Peyrecave, qui est intervenu sur ces deux rapports, a recadré le contexte, en précisant que derrière la politique de la Ville se cache en réalité une politique d’accompagnement de l’immigration.
Pour mémoire ces politiques sont nées après les émeutes des Minguettes dans la banlieue de Lyon en 1981. Premier signe d’un échec de l’assimilation de ces populations immigrées venues du sud de la Méditerrannée, devenues – déjà – trop nombreuses pour s’intégrer, d’autant plus que la différence des cultures présente un obstacle difficile à franchir.
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Blois : les policiers visés.
Trois faits divers publiés ce matin par la Nouvelle République méritent un commentaire. Ils concernent tous trois les policiers de Blois.
Dimanche 7 juin, c’est un automobiliste conduisant sans permis et en état de récidive rue Dumont d’Urville à la ZUP de Blois qui se rebelle lors d’un contrôle et bouscule les policiers.
Lundi c’est un « jeune homme », mineur, qui donne un coup de tête à un policier route de Château-Renault, dans ce quartier de la Quinière-Les Allées devenu lui aussi « sensible ».
Enfin, c’est un adolescent de 16 ans « connu des services de police » qui a été identifié comme l’auteur d’une série d’appels au commissariat de Blois destinés à déclencher des interventions sur des faits imaginaires.
Tout cela dénote un certain climat. Il faut dire que les forces de l’ordre sont régulièrement l’objet de critiques dans les médias, comme récemment au sujet de l’évacuation des squatteurs en situation illégale porte de la Chapelle à Paris, conformément à une décision de Justice.
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Blois : nouvel épisode de violence à la Quinière.
Dans la nuit de samedi à dimanche un jeune blésois, Julien, âgé de 22 ans, rentrait chez lui après une soirée chez des amis.
C’est l’un deux qui le dépose vers 5 heures du matin rue Jean de la Bruyère, dans le quartier de la Quinière.
Alors qu’il rentrait chez lui, il a été abordé par deux individus qui lui ont demandé une cigarette. Devant son refus, les deux « jeunes » ont commencé à se montrer agressifs. Quatre autres « jeunes » sont alors arrivés avec des battes de base-ball et se sont mis à frapper le malheureux Julien et se sont acharnés sur lui alors qu’il était à terre (source : la Nouvelle République du 18/05/2015).
Quand il est revenu à lui, il a découvert qu’il avait été dépouillé de son téléphone, de ses papiers, de son argent et de ses clés d’appartement. Il a pu alerter un voisin qui a appelé les secours.
Ce nouvel épisode de violence est symptomatique de la situation du quartier de la Quinière, qui continue malheureusement de se dégrader.
Il semble que les habitants n’aient toujours pas été entendus.
En attendant, Julien est une nouvelle victime de la fameuse « politique de la Ville » conduite par Lang, Perruchot et Gricourt depuis plus de 20 ans, avec mes conséquences que nous avions prévues.
Nous espérons que les auteurs de cette agression aussi odieuse que lâche seront interpellés rapidement et mis hors d’état de nuire.
Blois : les représentants de la Ville à nouveau interpellés sur l’insécurité à la Quinière.
Laura Naegelen et Michel Chassier au marché Quinière lors de la campagne des départementales.
A l’occasion de l’Assemblée générale de l’Alep (Association de loisirs et d’éducation populaire), l’animateur du Club photo a profité de la présence d’élus de la Ville de Blois pour évoquer »les dégradations qui sévissent à l’Espace Quinière depuis deux ans (détériorations, incivilités…) ». Des agissements qui reflètent la situation générale du quartier.
Les responsables de la ville ont été obligés de reconnaître les faits,et s’engagent à une « concertation ». Il faudra nous expliquer ce que signifie une « concertation » avec des petits délinquants. Mme Taubira a peut-être la réponse…
La Nouvelle République qui relate cet échange semble s’étonner : « l’homme plutôt calme s’est lâché » en fin de réunion peut-on lire dans cet article.
Comme si le fait d’alerter les élus ou le simple fait de rompre le silence, étaient déplacés. Oui, ce sont des gens calmes, des gens paisibles, qui s’inquiètent. Et l’insécurité n’est pas un fantasme agité par le Front National, comme le prétendent nos adversaires, mais bel et bien une réalité subie au quotidien.
Les élus blésois du FN restent à l’écoute des habitants de la Quinière pour relayer leur message.
Conseil municipal de Blois : le FN, seule opposition ?
C’est l’info de la soirée : Blois n’est plus considérée comme un territoire à risque important pour l’inondation. Les habitants de la Bouillie vont apprécier !
Hier soir le conseil municipal de Blois a commencé avec plus d’une heure de retard, en raison d’une manifestation des parents et des enseignants des écoles maternelles, visés par la suppression des postes d’ATSEM.
Après avoir reçu une délégation des manifestants, Marc Gricourt a débuté la séance en faisant une déclaration sur le sujet. Plusieurs interventions ont suivi, dont celles de Jean-Benoît Delaporte (PC) qui, n’osant pas désavouer le maire, s’est contenté de demander une « révision à la hausse de la dotation de l’État » ! On peut toujours rêver… François Thiollet pour Les Verts, approuve aussi cette décision, ainsi que Jacques Chauvin pour l’UMP.
ATSEM : d’autres économies étaient possibles.
Michel Chassier, au nom des élus du Front National, regrette que cette question n’ait pas été soulevée lors du débat d’orientations, car chacun aurait pu donner son opinion, et désapprouve le choix qui a été fait, pour économiser au final 250 000 euros pas an. Lors de la préparation du budget, le FN avait proposé d’autres pistes d’économies : sur les subventions 311 000 euros, sur les fêtes et cérémonies 116 000 euros, sur les charges de fonctionnement (publications, voyages et déplacements, carburants, fournitures etc…) et charges diverses 300 000 euros, sur les frais de personnel 175 000 euros. Au total plus de 900 000 euros.
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Blois I : journée de campagne à Cabochon et la Quinière
Blois I : des candidats FN sur le terrain… et respectueux de leurs adversaires.
Cette belle journée printanière avant l’heure annoncerait-elle le printemps de la France ?
En tous cas Michel Chassier et Laura Naegelen, nos candidats sur le canton de Blois I ont reçu ce matin un accueil extraordinaire depuis le centre commercial de la Quinière jusqu’à l’avenue Foch.
Ils ont pu échanger avec de nombreux passants et constater à quel points ils sont désormais reconnus et encouragés par les habitants de ces quartiers oubliés.
Nous avons vu des automobilistes s’arrêter pour prendre un tract, des petits groupes de personnes se former pour écouter les candidats et faire part de leur exaspération devant la dégradation de la situation du quartier.
Le message est clair, le 22 mars il faut voter et faire voter pour les candidats du Front National !
« Tout s’est bien passé, Madame la Marquise ! »
La police déplore un feu de voiture dans le quartier de la Quinière à Blois et un feu de poubelle près de l’église de la Trinité à Vendôme.
C’est mieux qu’au 31 décembre 2013, ou l’on avait signalé 4 voitures brûlées dont 3 à Blois (en fait un ami pompier nous avait indiqué un total de 7 véhicules détruits « par contagion »).
On ne peut que se féliciter de l’efficacité du dispositif mis en place par les forces de l’ordre et qui a permis de limiter les dégâts.
En revanche les cambrioleurs n’ont pas chômé, puisqu’une dizaine d’habitations de Villebarou ont été cambriolées entre 18 h et 22 h, mercredi soir. Les cambrioleurs ont probablement repéré des maisons dont les occupants étaient partis réveillonner.
Doit-on en conclure que le passage de 2014 à 2015 s’est « passé en douceur dans le département » (la Nouvelle République du 01/01/15). Avant d’en être certains, il faudrait connaître la liste exhaustive des méfaits commis cette nuit-là.
Quand le journal « Le Monde » s’intéresse à Blois, il est toujours aussi mal informé.
« Les dégâts ne sont pas très sévères » selon Le Monde. Mais les Blésois paieront la facture.
Le journal « Le Monde » a dépêché une envoyée « spéciale » à Blois pour faire un « papier » sur les émeutes de Blois, publié dans son édition du 4/11/2014. Révélateur des méthodes de ce journal bien-pensant et de son orientation politique.
Pour expliquer – justifier ? – le déclenchement des émeutes, la journaliste commence par évoquer « une intervention policière musclée ».
Dans les faits, il s’agissait d’une simple patrouille de trois policiers, dont une femme, qui ont voulu faire cesser un désordre sur la voie publique. Par contre, c’est la réaction des « jeunes » qui a été musclée, obligeant les policiers à se dégager, l’un deux faisant usage de son flash-ball. « Une arme décriée » selon le Monde.
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Émeutes et violences à la ZUP de Blois : rappel des faits.
Marc Gricourt : « je ne vois rien venir » !
De nouvelles violences envers les forces de l’ordre dans la ZUP de Blois et d’autres quartiers aux alentours font suite à celles de la veille : le point complet sur la situation.
La veille, jeudi 30 Octobre 2014, vers 19h, la police est contactée pour un énième rodéo Place Lorjou, et un témoin reconnaît le scooter qu’on lui avait volé peu de temps avant. En voulant interpeler le conducteur, une patrouille de (seulement ?) 3 policiers se retrouve confrontée à une quinzaine d’individus cagoulés et armés de divers projectiles et d’une barre de fer, selon La Nouvelle République du 1/11/2014. C’est dans ce contexte, qu’un des policiers a dû faire usage de son flash-ball, en tirant à 10 mètres de la foule d’individus à hauteur de buste pour se dégager des lieux, lui et ses collègues. Selon les premiers éléments de l’enquête, il n’aurait donc visé personne ne particulier.
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Emeutes urbaines à Blois : délinquance spontanée ou organisée ?
Les millions d’euros investis dans la transformation de la ZUP avec le Plan de rénovation urbaine de l’UMPS ne servent à rien. Le Front National le répète depuis 15 ans. Le problème n’est pas une question de densité excessive ou d’architecture trop bétonnée mais de population inassimilée.
Nous ne sommes plus les seuls à la dire. Sur la page Facebook de la Nouvelle République, Nicolas Viault, urbaniste blésois qui avait soutenu Marc Gricourt en 2008, écrit dans un commentaire : « Encore une preuve que mettre des dizaines et des dizaines de millions d’euros pour détruire et reconstruire des immeubles ne résout rien. » (*)
Les évènements de la nuit dernière le confirment. C’est sur un vaste territoire qui déborde de très loin la Place Lorjou que les émeutiers ont brûlé, dégradé ou saccagé des installations publiques et privées. Ils recherchent l’incident qui mettra le feu aux poudres.
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Non à l’anesthésie générale de la démocratie
Les réunions de quartier sont terminées. Elles ont permis de faire le point sur les réels problèmes de Blois, l’insécurité, l’entretien des voiries et l’immigration. Quoique pour ce dernier problème il fallait décrypter car la pensée unique vous contraint à parler à demi mot… que tout le monde comprend.
Samedi, nous aurons les « Rencontres de la démocratie locale », des rencontres plus feutrées où le Maire veut reprendre l’initiative après avoir laissé la parole aux Blésois le temps d’une soirée. La Nouvelle République du 16/10/14 se trompe quand elle écrit que « les réunions de quartier sont des lieux où l’on parle du quotidien et où les habitants en profitent généralement pour se lâcher. A l’opposé, il y a les instances participatives qui nécessitent un réel investissement et où l’on envisage l’avenir ». Non, Monsieur, les habitants ne « se lâchent » pas, ils s’expriment et cela exige un réel investissement pour certains, on l’a bien vu à La Quinière avec l’intervenant de l’îlot Corneille.
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Week-end « chaud » à la ZUP de Blois : retour aux années 90 ?
Photo d’illustration. Cette fois-ci les voyous n’ont pas atteint leur cible, mais ce n’est pas la 1ère fois que les pompiers de Blois sont caillassés ou menacés.
Nous avions été alerté par des habitants de la ZUP et des sapeurs-pompiers au sujet d’actes de violences commis le soir de la réunion de quartier à la Maison de Bégon et le lendemain (voir notre article du 30/09).
Une fois de plus, n’en déplaise à M. Vételé, nos informations sont confirmées par la Nouvelle République, qui évoquait déjà dans son édition de mardi « une quinzaine de véhicules dégradés et la destruction par le feu de deux conteneurs à ordures« .
Mais ce que les pompiers ne nous avaient pas précisé, sans doute sur ordre de leur hiérarchie, c’est qu’ils avaient été caillassés lors de leur intervention place Coty par des individus encagoulés.
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