Suite aux incendies de voitures qui ont touché plusieurs quartiers de la ville, le Front National a réagit immédiatement, que ce soit pour le Centre-ville, la Quinière et les Allées en août, aujourd’hui Bel-Air et les Hautes Granges. Nos concitoyens doivent savoir que seul le Front National peut désormais mettre fin à cette dérive sans fin de violence et de la délinquance. Ce nouveau tract est en cours de diffusion dès aujourd’hui 7 septembre dans les quartiers qui viennent d’être touchés, vous pouvez également le télécharger et l’imprimer pour le distribuer autour de chez vous, ou encore transmettre le lien à des amis.
tractblois092010.pdf
Voitures incendiées à Blois : le Front National réagit
Voitures brûlées à Blois : le Front National réagit
Encore 3 voitures brûlées le week end dernier aux Allées et à la Quinière : le Front National réagit. Un nouveau tract est en cours de diffusion. Si vous habitez Blois ou les environs, vous pouvez également le télécharger au format pdf pour l’imprimer et le diffuser près de chez vous. Merci pour votre contribution !
3 voitures incendiées à Blois
(image d’archives)
Tout va très bien Madame la Marquise ! Pendant que le gouvernement et les médias s’intéressent aux Roms, les voitures continuent de brûler dans l’indifférence générale, et plus personne ne parle des « banlieues ».
Dimanche matin entre 3h30 et 4h30, 3 voitures ont été incendiées dans le quartier le la Quinière-les Allées à Blois : la 1ère près du stade des Allées-Jean Leroi, la seconde rue Jean-Jacques Rousseau, la 3ème avenue de maréchal Juin.
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Loir et Cher : 3 voitures brûlées à Saint Sulpice de Pommeray
Dans l’agglomération blésoise, l’insécurité ne cesse de s’étendre et de s’aggraver. Longtemps circonscrit pour l’essentiel d’une part dans les « quartiers nord » de la ZUP de Blois, et d’autre part dans le secteur Vineuil-Saint Gervais aux alentours de la Boire, le phénomène atteint désormais la Quinière, les Allées, et les communes périphériques, comme le prouve l’incendie volontaire de 3 voitures à Saint Sulpice de Pommeray, dans un quartier « jusqu’ici tranquille ». Source : La Nouvelle République du 16 mars.