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Blois : une fin de mandat difficile pour Marc Gricourt.

Carré Saint Vincent-JMPCarré Saint Vincent : le projet est bien mal engagé.
Une droite locale affaiblie et divisée, LREM qui se cherche une tête de file, Marc Gricourt pourrait voir venir la prochaine échéance municipale avec sérénité.

Mais rien n’est moins certain.
Alors que nous sommes entrés dans la dernière année de mandat, plusieurs dossiers risquent de poser problème.
1) le Carré Saint Vincent. Nous n’avons jamais été vraiment convaincus par le bien fondé de ce projet, décidé lors de la précédente mandature et soutenu à la fois par la majorité et par Jacques Chauvin. Aujourd’hui, faute d’une enseigne qui ferait office de « locomotive », la commercialisation de l’ensemble semble problématique, et tous les coûts ne sont pas maîtrisés.
Et désormais Louis Buteau, ancien adjoint au commerce qui avait soutenu le projet depuis le début se met à son tour à le critiquer.
Nous en reparlerons prochainement, mais une chose est sûre : la Carré Saint Vincent ne sortira pas de terre d’ici la fin de cette mandature.
2) L’Hôtel Dieu. Les services de l’Etat vont quitter le site d’ici fin 2020. Or le foncier appartient à la Ville, qui va se retrouver avec ce bâtiment historique sur les bras, mais pour quelle destination.
Ne voulant pas revivre les péripéties de la caserne Maurice de Saxe, où le projet a mis plusieurs à sortir, la Ville veut aller vite. Un appel à projet a été voté lors du dernier conseil municipal. le seul problème c’est qu’il aurait déjà 6 candidats sur l’affaire. Il faudra s’assurer qu’il y ait bien une égalité de traitement si d’autres candidats se présentent.
Sur le fond du projet, nous jugerons le moment venu, mais il nous semble important de faire revivre les bords de Loire.
3) Des affaires qui pourraient devenir embarrassantes.
Plusieurs affaires dans l’entourage du Maire ou de son équipe risquent aussi de lui porter préjudice.
Récemment c’est un jeune conseiller communiste de sa majorité qui fait l’objet d’une plainte pour viol. Même s’il faut respecter la présomption d’innocence, c’est gênant en terme d’image.
Plusieurs recours ont été introduits contre des projets immobiliers, avec des fortunes diverses, d’autres sont en cours, et certains regrettent aussi un manque de publicité à l’occasion de cessions du patrimoine de la Ville, comme pour l’ancienne école Victor Hugo, tout près du château, vendue sur la base de l’estimation des domaines (*).
Une autre affaire qui commence à agiter les réseaux sociaux pourrait bientôt sortir au grand jour : une plainte déposée contre Denys Robiliard pour prise illégale d’intérêt a été déposée auprès du Procureur de la République.
Et un ancien du maire de Blois, aujourd’hui « en marche », pourrait bien se charger de souffler sur les braises
Pour notre part, nous continuerons à vous informer, et à préparer sereinement les municipales de 2020, dans l’intérêt de Blois et de tous les Blésois.

(*) en définitive, la vente n’a pas abouti, affaire à suivre.

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Le Rassemblement national défend le droit des femmes à Blois et à la Région.

mathilde-paris-18-12-2015Partout en France le Rassemblement national avait organisé des actions le 8 mars, pour la Journée Internationale des Femmes (officialisée en 1977 par l’ONU).
Mathilde Paris, conseillère régionale de Loir et Cher, conseillère municipale et communautaire de Blois et membre du Bureau national, avait transmis un communiqué à la presse locale… qui n’ a pas été publié, la Nouvelle République préférant relayer les positions de la CGT et des détenus (masculins) de la maison d’arrêt.
Vous en retrouver l’intégralité en téléchargeant le document pdf :  Communiqué Journée des Femmes Mathilde Paris.
L’élue RN y insiste sur le recul du droit des femmes, très net dans certains quartiers, et Blois n’échappe pas à la règle : on se souvient de l’épisode de cette jeune serveuse interpellée par deux hommes square Augustin Thierry, qui lui reprochaient d’être en jupe, un « manque de respect » selon eux. Et cela se passait en centre-ville, intutile que dans d’autres quartiers la pression est encore plus forte.
Le même jour en Commission permanente au Conseil régional, Michel Chassier a d’abord demandé que symboliquement la séance soit présidée par une femme. Marc Gricourt n’a pas pu accéder à cette demande, car il avait lui-même reçu délégation du Président de Région, délégation qu’il ne pouvait pas transmettre.
Ensuite à l’occasion d’une subvention au collectif In Situ, Mathilde Paris est intervenue pour rappeler à nouveau les menaces sur le droit des femmes du fait de l’islamisation, un phénomène que les différents partenaires -subventionnés – de la Journée des Droits de la Femme refusent de souligner, bien-pensance oblige.
Une intervention courageuse, calme et argumenté, qui a laissé sans voix les élus des différents bords.
Y compris Guillaume Peltier, qui n’a pas prononcé un mot tout au long de cette commission.
Qui ne dit mot consent, dit l’adage populaire.

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Romorantin : le deal Peltier-Lorgeoux.

1er JOB JEANNY LORGEOUXA Romorantin rien ne change.
Le Député de la circonscription, Guillaume Peltier (LR), a décidé de présenter une liste, pour le moment sans tête, contre Louis de Redon.
Motif : l’élu MoDem avait soutenu ouvertement Macron aux présidentielles et aux législatives.
Sauf erreur de notre part, Guillaume Peltier avait bien appelé à voter pour Macron au deuxième tour des présidentielles.
Comme l’a confirmé récemment Bellamy, il préfère Macron à Marine Le Pen et Merkel-Juncker à Salvini-Orban.
Ce reproche n’est donc qu’un simple prétexte.
En réalité Guillaume Peltier poursuit le deal établi par son prédécesseur Patrice Martin-Lalande avec Jeanny Lorgeoux depuis 1993 : je te laisse la ville de Romorantin, tu me laisses la circonscription.
On ne sait pas encore quelle sera la position de LREM, approché à la fois par Lorgeoux et par de Redon, mais on voit bien que l’intérêt de Romorantin compte peu dans cette affaire, ce qui compte avant tout ce sont les calculs politiciens de ces deux jeunes carriéristes, sous l’oeil amusé de seul bénéficiaire de l’opération, l’inamovible maire de Romorantin, prêt à repartir pour un 7ème mandat.
Dans ce contexte le Rassemblement national qui n’a aujourd’hui qu’un représentant au conseil municipal de Romorantin se doit d’être présent dans la bataille, dans une ville où Marine Le Pen est arrivée en tête du 1er tour des présidentielles. 

Conseil municipal de Blois : calendrier chargé pour la dernière année du mandat.

elus-municipaux-blois-rn41Ambiance particulière hier soir au conseil municipal de Blois, où de futurs candidats viennent se montrer dans les rangs du public, et qui a débuté par une déclaration de Marc Gricourt au sujet de l’élu communiste accusé de viols, Alexis Bouchou qui était absent hier soir. Tout en rappelant la présomption d’innocence, le maire va recevoir l’élu cette semaine, mais nous ne connaissons pas ses intentions.
A notre que la presse locale, comme libérée par cette déclaration publique, publie l’information ce matin, deux jours après que notre blog ait relayé l’article de l’Obs. Comme quoi les réseaux sociaux ont leur utilité.
Ensuite il a été procédé à l’installation d’un nouveau conseiller municipal, Louison Delvert (UDI) en remplacement de Catherine Fétilleux, démissionnaire. Désormais, LR n’a plus qu’un seul représentant au conseil municipal, Jacques Chauvin.
41 délibérations figuraient à l’ordre du jour, et les élus du groupe RN-Une autre voie pour Blois sont intervenus sur plusieurs dossiers.
Espaces verts et insertion sociale : le RN avait déjà souligné la médiocre qualité des prestations du titulaire actuel, cette fois c’est la Ville lors du renouvellement qui a jugé l’offre insuffisante. Le marché doit être renégocié, mais nous demandons, comme il est rappelé dans le rapport que l’obligation de résultat soit respectée.
Décision modificative n°1 au budget principal : 2 millions d’euros d’emprunt supplémentaire, même si au final il ne sera pas appelé, pour financer 1 million d’euros d’opérations nouvelles, cela peut sembler étonnant. Intervenant sur le sujet Michel Chassier s’est félicité des travaux sur la voirie, tout en regrettant que cela reste insuffisant en raison du retard qui a été pris.  CM 2019-03-04 – Maison de Bégon.
En lire plus …

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Blois : un conseiller municipal communiste accusé de viols.

MeeTooL’information est parue le 24 février dans l’Obs : le mouvement des jeunes communistes est rattrapé par la vague #Me Too.
Bien sûr à ce stade, si des plaintes ont été déposées, la présomption d’innocence prévaut, c’est pourquoi l’Obs a changé le prénom.
Mais sur les réseaux sociaux les jeunes communistes se déchaînent, accusant la direction d’avoir étouffé ces affaires.
L’affaire a éclaté le 27 janvier, au siège du Parti communiste,  alors que quelques 300 délégués du Mouvement jeunes communistes de France (MJCF) se sont réunis pour voter de nouveaux statuts, et élire leur conseil national et leur direction.
« Soudain une jeune femme monte à la tribune et saisit le micro :  »L’immense majorité du mouvement se prononce radicalement contre les violences sexistes et sexuelles. Il est plus que temps de le mettre en pratique, et c’est pourquoi, aujourd’hui, nous refusons de nous taire », lance la jeune femme. Elle accuse ensuite nommément deux coordinateurs nationaux de « protéger des agresseurs depuis plusieurs années en mettant systématiquement le blâme sur les victimes pour qu’elles quittent l’orga [l'organisation, NDLR]« . Au moment où elle lâche son nom, l’un des deux mis en cause décrète l’évacuation de la salle. Des insultes fusent. Des camarades se bousculent. Un délégué hurle : « La diffamation, c’est puni par la loi. » D’autres se mettent à chanter pour couvrir sa voix :  »On a purgé des camarades pour moins que ça, tu devrais fermer ta gueule. »
« Tout le monde criait, c’était hyper-violent », décrit une militante montée à la tribune. »
Depuis sur les réseaux sociaux les langues se délient, et nous apprenons que l’un des agresseurs, accusé de viol par deux jeunes femmes est un conseiller municipal de Blois.
Alerté, le maire de Blois a publié une réaction sur Twitter : « Bonjour, nous découvrons cette affaire par ces tweets. Soucieux du respect de la présomption d’innocence mais aussi devant la gravité des faits évoqués, le maire va rapidement rencontrer M. Bouchou pour l’entendre. Il exprime son soutien aux victimes présumées. »
Nous verrons si l’affaire sera évoquée au conseil municipal lundi prochain.
Ce qui est ennuyeux pour Marc Gricourt c’est qu’en cas de démission de l’intéressé, le suivant de liste appelé à siéger est un certain Sidi Boussetta qui a lui aussi défrayé la chronique locale pour d’autres affaires.
Voilà qui va compliquer une fin de mandat déjà marquée par le départ de Louis Buteau.

Mise à jour du 6/03/2019 : Alexis Bouchou fait savoir par son avocate qu’il conteste la version de la plaignante (la Nouvelle République du 6/03/2019). Nous ne ferons bien sûr aucun commentaire sur cette affaire, c’est désormais à la justice de faire son travail. 

 

 

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Blois 2020 : les prétendants se bousculent, les fake news arrivent !

D0pieO3X4AAJNl9Loin des invectives et de l’agitation de nos adversaires, nouvelle réunion de travail ce matin à Blois pour préparer les municipales.
Nous évoquions récemment le grand désordre dans les rangs de la droite et du centre à Blois.

L’un de ces prétendants a eu droit une page complète dans la Nouvelle République cette semaine (01/03/2019).
L’occasion pour ce candidat de dégainer contre le Rassemblement national la première des fake-news de la campagne, prétendant que le RN ne reconnaîtrait pas comme blésois les enfants d’immigrés !
Propos mensongers, immédiatement démentis par un communiqué de Michel Chassier, publié dans la Nouvelle République du 2 mars.
En voici le contenu intégral.
« Dans un entretien à la NR du 1er mars, un des prétendants de la droite et du centre à la mairie de Blois déclare que le Rassemblement national « ne reconnaît pas comme blésois les enfants d’immigrés ». C’est la 1ère fake-new de cette campagne !
Si nous avons à juste titre porté à la connaissance des Blésois les chiffres de l’INSEE sur la population immigrées, qui constituent des données publiques et accessibles à tous, nous n’avons jamais tenus de tels propos, cette accusation est donc à la fois mensongère et diffamatoire.
Nous demandons à l’intéressé de le reconnaître et de faire amende honorable. Nous n’excluons pas des poursuites judiciaires s’il maintenait son accusation.
Nous sommes d’autant plus étonnés de ce comportement que ce même candidat potentiel nous avait approché en espérant rallier certains de nos élus à sa liste. »
Cette dernière remarque n’a pas été appréciée par le candidat, qui répond sur Facebook, « J’ai croisé, en prenant le train à la gare de Blois à cette periode, un jeune depuis devenu conseiller municipal, qui m’a fait part de ses distances alors avec les valeurs de ce mouvement. »
Or, aucun « jeune devenu conseiller municipal » n’a quitté notre mouvement à Blois, tous nos conseillers siègent toujours au sein de notre groupe « Rassemblement national – une autre voie pour Blois », ce qui n’est pas le cas des élus de la liste de Jacques Chauvin, dont le groupe a complètement explosé !
Deux mensonges en deux jours, la campagne est mal partie pour ce carriériste qui a déjà changé deux fois de casaque.
Manque de chance pour lui, les Blésois nous connaissent bien, et savent parfaitement que nous ne ressemblons en rien à ces accusations mensongères et stupides.
Nous espérons qu’il sera présent lundi au conseil municipal pour venir dialoguer sereinement avec nous et reconnaître ses erreurs.

 

Incendies volontaires à Blois : nous avions raison d’alerter.

50881540_2621661361207613_6112952430419247104_nVoitures brûlées en Vienne fin janvier 2019.
On nous reprochait de trop parler de la délinquance à Blois et en partie des incendies volontaires qui se répètent trop souvent dans certains quartiers.

Reproche qui nous a été fait y compris au conseil municipal.
Nous avions pourtant raison de nous inquiéter.
Après une recrudescence d’incendies (conteneurs, voitures, poubelles) ces derniers jours, la Police renforce son dispositif de surveillance et la Nouvelle République y consacre aujourd’hui (22/02/2019) un long article.
Alors que les feux de voitures y sont ordinairement en quelques lignes, où l’on apprend simplement que le feu a été éteint avec « une lance à débit variable » (!) sans autre précision sur les causes possibles de l’incendie.
Aujourd’hui encore, la NR rend compte en 6 petites lignes de l’incendie de deux voitures à Montoire dans la nuit de mercredi à jeudi, mais rien n’indique s’il s’agit où non d’incendies volontaires.
Nous avons déjà consacré quatre article à ce sujet depuis le début de l’année, en insistant sur les risques et sur les conséquences pour les victimes.
Lundi soir dans la rue du Pré-Rocheron en Vienne, deux voitures ont été incendiées à l’intérieur du garage d’un petit immeuble d’habitation, ce qui aurait pu se finir par un drame.
Nous appelons par conséquent tous nos concitoyens à la vigilance.
En cas de comportement suspect, ils peuvent rapidement contacter la Police ou la Gendarmerie.
Rappelons que dans tous les cas d’urgence, appelez immédiatement par téléphone le 17 ou le 112.
Et ensuite appelez le Rassemblement national au 02 54 42 12 17 !

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Gare de Blois : quelles solutions pour le stationnement ?

Passerelle 2Depuis l’inauguration en juin 2015 de la passerelle évitant la traversée de la voie ferrée par le pont routier et facilitant l’accès aux quais en direction d’Orléans et de Paris, les besoins en stationnement concomitants s’avèrent en forte et constante augmentation sans que les pouvoirs publics daignent s’y intéresser.
Le parking nord dit « du pont de la gare » (100 places) est plus que saturé dès 6 heures du matin et jusqu’à 18 heures tous les jours en semaine et cette affluence se répercute sur toutes les rues adjacentes – à tel point que l’Intermarché rue Gambetta situé à 700 mètres de la gare vient d’installer des barrières à l’entrée de son parking pour faire la chasse au stationnement sauvage. Cela engendre aussi des répercussions sur l’accès aux commerces et à la maison de retraite Saint-François non loin de là.
Lire la suite sur le site du Groupe RN au conseil régional.
De plus cela ne risque pas de s’arranger : le projet de réaménagement du parvis de la gare qui doit voir le jour à l’horizon 2020 ne prévoit qu’un seul stationnement (payant ?) de 200 places côté sud : le parking nord gratuit de 100 places temporaire ne serait pas conservé.
Nos élus pourrons poser la question lors de la commission générale qui précédera le prochain conseil municipal de Blois le 4 mars.
Nous ne manquerons pas de vous tenir informés.

 

Grand débat en Loir et Cher : le grand fisaco.

safe_imageLe  grand faux débat n’a pas convaincu les « Gilets jaunes ».
Nous le disions dès le départ : le « grand débat » voulu par Macron en réponse à la crise des « gilets jaunes » est une grande mascarade.

Comme le rappelait Sébastien Chenu dimanche à Blois, « le seul engagement de Macron est de répondre aux questions qu’il a lui-même posées » (voir également la Nouvelle République du 5/02/2019)
Après Saint Claude de Diray le 26 janvier, un nouveau débat a eu lieu à Blois le 2 février… à l’initiative d’une association proche du parti présidentiel !
Il n’a réuni que moins de 40 personnes, dont de nombreux élus comme Stéphane Baudu, député MoDem macroniste ou encore Louis Buteau, conseiller municipal de Blois, ex-adjoint au commerce de Marc Gricourt, Rachid Méress, les ex-conseillers Michel Géant et Malika Guedjati etc…
La Nouvelle République relève l’absence de gilets jaunes visibles en ce 12ème samedi de mobilisation.
Les échanges sont resté dans le cadre imposé, les questions ont porté sur la fiscalité, les avantages des élus, ce que conteste Stéphane Baudu en indiquant un salaire de 5 700 € nets par mois. Mais c’est en omettant de rappeler tous les avantages qui reviennent à largement le doubler.
D’autres participants ont dénoncé « les questions fermées ou à choix multiple des intervenants reprenant mot pour mot les fiches établies au niveau national« .
Il est peu probable que d’ici le 15 mars les débats organisés en Loir et Cher rassemblent plus de 1000 personnes, à comparer aux plus de 245 000 électeurs inscrits dans le département.
Un grand fiasco.

 

Procès en diffamation : le maire de Blois débouté.

Marc Gricourt 5 avril 2014Nous avions déjà remarqué que le maire de Blois, Marc Gricourt, était plutôt procédurier.
Suites aux critiques publiées sur Facebook par un défenseur du patrimoine, l’édile blésois y avait vu de la diffamation.
Nous avions longuement exprimé notre point de vue en mai dernier suite à la décision du conseil municipal d’engager des poursuites au nom de la Ville… et aux frais du contribuable.
Il nous aurait paru plus simple de mettre en demeure l’auteur de ces critiques en lui demandant de retirer ou de modifier la phrase litigieuse.
Il n’est pas certain en effet que la publicité donnée à cette affaire rende service au maire de Blois.
Certes l’honneur est sauf, puisque le tribunal juge que la diffamation est établie, il considère que le maire de Blois n’est pas visé personnellement.
Par conséquent ce dernier est débouté (la Nouvelle République du 23/01/2019), et l’affaire n’ira pas plus loin, à moins qu’un appel soit interjeté par l’une des parties.
Espérons pour le contribuable blésois qu’on s’en tiendra là.

 

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Mer : la majorité municipale se divise sur le budget.

Olivier Besnard 10-2015Olivier Besnard, élu Mer Bleu Marine.
Le budget 2019 a été vivement débattu mardi soir au conseil municipal.

Pour le groupe d’opposition Mer Bleu Marine (Rassemblement national), c’est Olivier Besnard qui est intervenu pour souligner le flou des comparaisons  avec 2018 en raison de transferts de compétences qui ne sont pas évalués en charges et recettes, ce que confirme le Maire, Raymond Gervy.
Par ailleurs, l’élu RN a pointé une une situation financière qui se dégrade, avec une épargne nette négative (- 156 000 €) et une capacité de désendettement qui passe à 11,6 années. La ville n’a plus aucune capacité d’autofinancement et doit emprunter pour financer les investissements.
Pour financer 3 505 000 € d’investissements (hors remboursement de la dette) il faut emprunter  3 405 000 €, ce qui montre aussi que la Ville ne parvient pas à obtenir beaucoup de subventions du Département et de la Région.
C’est pareil pour la Gendarmerie, avec 1 453 800 € d »emprunt, et aucune subvention du département.
Un élu de la majorité (?) à proposer un amendement contre les travaux de l’avenue Maunoury, qui a recueilli 12 voix (15 contre, 2 blancs).
Pour le vote du budget, la majorité a de nouveau explosé  : 15 pour, 9 contre, 5 abstentions. Rappelons que la majorité actuelle compte officiellement 22, élus, la gauche 4, le RN 3.
Olivier Besnard est également intervenu au sujet des vélos électriques, indiquant qu’il était difficile de surveiller les personnes qui vont en bénéficier et qui pourraient le revendre immédiatement après avoir reçu la prime. De même, que se passerait-t-il si le vélo ne fonctionne pas correctement et doit être remplacé les 3 ans du contrat ? Le maire a dû admettre que cela n’avait pas été envisagé, qu’il chercherait une réponse. Où doit-on recycler les batteries de ces vélos car il ne faut pas oublier qu’après 100 à 150 charges les batteries sont mortes et que les déchetteries dans leurs ensemble ne les récupèrent pas.
En résumé une ambiance très morose parmi les membres de la majorité, cela sent vraiment la fin de règne !

2018 dans le rétroviseur (2/3).

32394207_1660979047353666_2312209787128905728_n13 mai 2018 : fête de Jeanne d’Arc à Blois.
Cela fait plus de 20 ans que nous célébrons à Blois la fête de Jeanne d’Arc, instituée en 1920 par un vote solennel de l’Assemblée nationale.
Une fois de plus ni le Maire, ni le Préfet, ni le Conseil départemental, ni le Conseil régional n’étaient représentés.
Mais les élus du Front National ont répondu présent : Michel Chassier président du groupe FN Centre-Val de Loire, conseiller municipal et communautaire de Blois, Jean-Louis Berger conseiller municipal et communautaire de Blois, Renaud Grazioli conseiller municipal de Vendôme, Olivier Besnard conseiller municipal et communautaire de Mer et Gilles Godefroy, conseiller régional d’Indre et Loire, conseiller municipal de Tours.
A l’issue de la cérémonie un vin d’honneur et un repas ont rassemblé nos amis présents à la permanence.
(lire l’article complet)

Fëte RN41 Vernou 201816 juin  2018 : fête champêtre à Vernou en Sologne avec Jean Messiha.
Devant 70 personnes présentes à Vernou en Sologne, Jean Messiha, membre du Bureau national et délégué national études et argumentaires a fait le point sur la situation politique en France, en Europe et dans le monde, un an après l’élection présidentielle en France.
Auparavant Michel Chassier, Délégué départemental et Président du groupe Rassemblement national Centre-Val de Loire a prononcé quelques mots d’accueil et de remerciements, suivi par Jack Terrier, maire de Vernou en Sologne qui nous recevait dans se commune et nous fait l’honneur et le plaisir de partager le repas avec nous, ainsi Mathilde Paris, conseillère régional de Loir et Cher et membre du Bureau national qui retracé les grandes lignes de la refondation et appelé à la mobilisation pour les échéances à venir.
(lire l’article complet.)

Vos élus au travail.
Vos élus régionaux et municipaux sont toujours actifs : présence dans les assemblées, interventions, présence sur le terrain. Un travail parfois méconnu qui mérite d’être encouragé, en particulier pour nos élus qui siègent seuls. Nous invitons nos amis à les contacter et à venir les soutenir.
14445973_934462879992202_8546052695716258484_nCM Blois 2018-02Do-UjA7X4AAe1YcMC-MP-CPR-06-2018Renaud Grazioli -M.GozardVirginie Dupuy FR3J-C Perthuis

Blois perd des habitants… mais gagne des immigrés !

INSEE Blois 2015La Nouvelle République publiait le 28 décembre  les premiers résultats du recensement INSEE correspondant aux chiffres de 2016.
Au niveau départemental on constate une légère progression (0,45% !) mais avec des contrastes marqués.
Comme le faisait remarquer Michel Chassier au conseil régional lors du débat sur le SRADDET : nous assistons avec la métropolisation a un phénomène de reconcentration urbaine, encouragé par les politiques publiques au nom de l’écologie !
En même temps, les campagnes et les villes moyennes se dépeuplent, à de rares exceptions près, seules les   zones périurbaines voient leur population augmenter, dans des proportions variables en raison des contraintes du foncier.
La ville de Blois perd encore des habitants, 703 par rapport à 2011 mais presque 3 500 depuis 1999, soit une baisse de 7%.
Les raisons de cet exode sont multiples : recherche d’emploi, taxes foncières et terrains à construire trop chers, mais aussi, comme le rappelait l’élu RN dans son intervention « une immigration massive et incontrôlée de populations devenues trop nombreuses pour s’intégrer et s’adapter à notre mode de vie, provoquant en exode des Français dits « de souche » vers la périphérie des villes.« 
Et si l’on examine de près les derniers chiffres détaillés de l’INSEE (ils datent de 2015), le constat est flagrant.
En 2015, Blois comptait 7 264 immigrés stricto sensu (étrangers + immigrés naturalisés), soit 16,38% de la population municipale, en hausse de + 733 par rapport à 2008.
Mais cela ne rend pas bien compte de la réalité. Car les enfants nés en France, y compris d’étrangers, voire de clandestins, sont automatiquement français !
On peur le constater sur le tableau de l’INSEE, où les « immigrés de moins de 15 ans » ne sont que 452, soit 6,22% de population immigrée, contre 18,01% pour l’ensemble de la population. Alors que les immigrés ont une natalité supérieure. L’explication est simple : tous ceux qui naissent en France sont considérés comme français, ce qui permet de masquer l’ampleur du phénomène.
C’est pourquoi au niveau national l’INSEE distingue les immigrés (8,44 millions en 2012) et les « descendants directs d’immigrés », 8,69 millions la même année.
En extrapolant ces chiffres sur le ville de Blois, nous obtiendrions 7 486 descendants directs, soit au total une population immigrée récente, majoritairement venue du sud de la Méditerranée, qui atteint 14 787 Blésois, autrement 32,35% de la population, environ un habitant sur trois.
Il suffit d’ailleurs d’aller voir à la sortie des écoles pour vérifier l’ampleur de cette vague d’immigration, qui constitue bel et bien le remplacement d’une population par une autre.
Il y a longtemps que nous alertons, que nos adversaires essaient de nier le phénomène, mais c’est bien une réalité qui ne sera pas sans conséquences graves si cela continue dans le même sens.

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Les voeux du RN 41 pour 2019.

DuO6U61XgAA9_ehL’année 2018 a été marquée par le fin, plus rapide que prévue, de l’imposture macronienne.
Parallèlement, le Front devenu Rassemblement National apparaît clairement comme le seul recours.
C’est pourquoi nous appelons les Français à nous rejoindre à l’aube de cette nouvelle année !
Au nom du bureau départemental de Loir et Cher je tiens à nouveau à remercier tous ceux qui ont contribué à nos succès, nos militants infatigables, nos élus qui font parfois un travail ingrat mais indispensable pour représenter et défendre nos électeurs.
En 2019 le combat continue. Il y a une nous citions Winston Churchill  : « nous ne capitulerons jamais ! »
Les faits encore une fois nous ont donné raison, et nous sortons renforcés de l’épreuve que nous avons traversée.
C’est dans la difficulté que l’on reconnaît les caractères bien trempés et les véritables amis. C’est en restant unis que nous préparerons les victoires de demain.
En attendant, je vous présente, au nom du bureau départemental et de tous nos élus, tous mes vœux pour que 2019 soit une bonne année pour vous-même, pour votre famille, avec une pensée particulière pour ceux qui souffrent de la maladie ou de la solitude, des difficultés de la vie, ceux qui ont perdu un proche.
L’année débutera très vite avec le lancement de la campagne des européennes à Paris  le dimanche 13 janvier.
Nous nous retrouverons ensuite pour notre traditionnelle galette des Rois et les voeux de la Fédération le dimanche 3 février à Blois. 

Pour le bureau départemental du RN41
Michel Chassier – Délégué départemental
Conseiller régional de Loir et Cher

Président du groupe RN Centre-Val de Loire
Conseiller municipal et communautaire de Blois

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Blois : les élus Rassemblement national seuls à voter contre le budget.

Duo3ggmW0AANbAdLors du dernier conseil municipal à Blois les élus du Rassemblement national ont été les seuls à voter contre le budget.
Certes, nous pouvons reconnaître des efforts de gestion, mais il est vrai que la municipalité n’a pas le choix, avec l’encadrement par l’Etat des dépenses de fonctionnement.
Il y a quelques années, nous avions proposé de limiter la hausse des dépenses de fonctionnement à 1%, alors qu’elles progressaient à l’époque de 3 à 4%.
Le maire nous avait alors répondu que c’était totalement impossible.
Pourquoi y parviennent-ils aujourd’hui ? Parce qu’ils n’ont pas le choix.
Mais tout le mode n’est pas visé de la même manière par cette rigueur budgétaire.
La Ville a fait le choix de supprimer des postes dans les écoles maternelles, amis les subventions à certaines associations sont sanctuarisées.
Et pas n’importe lesquelles. Il faut savoir que sur quelques 160 associations bénéficiaires de subventions, les 10 plus importantes reçoivent 70% de l’enveloppe. Mais aussi qu’il existe environ 600 associations, donc pratiquement les 3/4 vivent sans aucune subvention.
C’est pourquoi nous sommes rvenus sur le cas des Rendez-Vous de l’Histoire ou de Bd Boum, qui refusent toujours de mettre en place une billetterie qui permettrait de diminuer la contribution de la collectivité.
Cela n’aurait rien d’extraordinaire si l’on regarde ce qui se passe dans d’autres villes, pour d’autres festivals.
Mais il n’est pas question de toucher à l’héritage de Jack Lang, à ce que nous avons déjà appelé les « vaches sacrées ».
Le Rassemblement national avait déposé deux amendements budgétaires dans ce sens, ils ont été rejetés non seulement par la majorité , mais par le groupe présidé par Jacques Chauvin, qui a finalement voté le budget dans sa globalité.
On voit bien que la seule opposition crédible, c’est le Rassemblement national !
Vos élus sont également intervenus sur d’autres sujets, comme le projet Saint Vincent, dont la réalisation est repoussée de 2020 à 2023, sans aucune certitude aujourd’hui sur la commercialisation, et donc sur la faisabilité de l’opération. Entre temps, il y aura les élections municipales de 2020…

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Démission de Maurice Leroy ou comment éviter une partielle.

Leroy 2La nouvelle courait depuis plusieurs jours : Maurice Leroy, député de la 3ème circonscription de Loir et Cher, troisième vice-président de l’Assemblée nationale, préparait sa démission, pour des raisons qui restent encore floues, mais qui tiennent à des raisons personnelles.
Problème : comment éviter une élection législative partielle, obligatoire dans un tel cas de figure ? (article L.O. 178 du Code électoral)
Et nul ne pouvait prévoir l’issue d’un scrutin dans le contexte actuel.
D’où le stratagème imaginé par l’intéressé.
Dans un premier temps, Philippe Sartori lui cède sa place de vice-président chargé du tourisme au conseil départemental.
Cette fonction dans l’exécutif le met en situation de cumul de mandat et l’oblige à démissionner de l’Assemblée nationale (articles L.O. 137, L.O. 137-1, L.O. 141 du Code électoral).
Dans un second temps, Maurice Leroy cèdera sa place à Philippe Sartori, avant de partir selon nos informations pour Moscou et le tour est joué !
Pascal Brindeau se retrouvera donc député et deviendra simple conseiller municipal de Vendôme puisqu’il devra céder son fauteuil de maire et la présidence de l’intercommunalité des Territoires vendômois.
La première partie du scénario est donc confirmée cet après-midi sur le site de la Nouvelle République.
Nous verrons si la suite se déroule comme prévu… à moins qu’il n’y ait un recours considérant qu’il s’agit d’une manoeuvre pour contourner la loi ?

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Rassemblement national : les responsables départementaux de la région réunis à Blois.

Dp8d7RDWkAASk2ALes cadres départementaux du Rassemblement national de la Région Centre-Val de Loire (Délégués départementaux, Délégués départementaux adjoints, Référents départementaux Génération Nation) se sont retrouvés le samedi 20 octobre à Blois pour une journée de travail animée par Michel Chassier, président du groupe RN au conseil régional Centre-Val de Loire.
Au programme le point sur les différentes fédérations, la coordination des actions au niveau régional, la préparation des élections européennes et des municipales.
Une journée d’échanges très riche et très intéressante, au cours de laquelle il a été décidé de mettre en place de  nouveaux outils pour la communication interne, afin de faciliter les actions communes ou concertées.
L’occasion aussi d’un point presse pour faire le point sur le Rassemblement national.
Après la déception ressentie par les électeurs comme par les adhérents après les présidentielles, en dépit d’un score historique, chacun ressent dans son département que la dynamique est repartie, et l’année 2019 va voir le grand retour de Marine Le Pen et de notre mouvement au 1er plan, plus que jamais au service de la France et des Français !

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Un nouvel élu Mer Bleu Marine.

J-C PerthuisSuite à la démission de Sophie Boulaigre qui a quitté le département, c’est Jean-Claude Perthuis, suivant sur la liste, qui a été officiellement installé lors du dernier conseil municipal.
Ancien cadre de fonction publique hospitalière et responsable syndical, il s’était investit lors de la campagne des municipales de 2014.
Il est désormais adhérent de Rassemblement national.
Au service des Mérois avec Olivier Besnard, Robert Krysik et toute l’équipe Mer Bleu Marine, il prépare déjà l’échéance de 2020. 

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Conseil municipal de Blois : budget supplémentaire… en attendant 2020.

CM Blois 2018-02(images d’archives)
Dans les différents échanges au conseil municipal de rentrée à Blois on sent arriver l’échéance de 2020.

Budget supplémentaire : l’emprunt en ligne de mire.
Dès l’examen du budget supplémentaire Marc Gricourt a tenu à démentir les propos de Michel Chassier et Mathilde Paris dans la Nouvelle République du 15/09 décrivant une majorité « à bout de souffle » (la Nouvelle République du 25/09/2018).

Et il s’appuie pour cela sur la bonne maîtrise de budget qui permet à la Ville de réaliser en 2018 davantage d’investissements qu’en 2017.
Ce à quoi Michel Chassier peut répondre : « certes, mais ces investissements nouveaux sont financés uniquement par l’emprunt« . L’élu RN met également l’accent sur les dépenses de fonctionnement, qui augmentent de 1,14% selon les prévisions budgétaires, soit plus que les 1,05% autorisés par l’Etat. Augmentation qui résulte de hausses subies : carburant, énergie etc… dans un contexte de reprise de l’inflation ( CM 24-09-2018 – BS2018 ).
Auparavant Michel Chassier était déjà intervenu pour faire part des risques encourus sur les taux variables alors que la BCE doit réformer l’Euribor en 2020 : « Tous les acteurs financiers conviennent que le taux actuel de l’Euribor est déconnecté de la réalité,[...] La BCE préconise une réforme des taux de référence qui devrait prendre effet en 2020 et conduire à un niveau plus élevé. D’un point de vue contractuel, est-ce qu’il faudra considérer qu’il s’agit toujours du même indice ? Car dans ce cas le taux pourrait augmenter vraisemblablement dans une fourchette de 1 à 2%. »
En lire plus …

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Blois : quand un adjoint porte plainte contre un ex-adjoint en Marche…

FB LBAdjoint et ex-adjoints ont bien du temps à perdre sur Facebook. Comme dit l’un des intervenants dans des échanges « quand-est-ce qu’on sort du caniveau ? »
Il va y avoir de l’ambiance au conseil municipal du 24 septembre à Blois.

Ozgur Eski, onzième adjoint en charge de la politique « de la ville », du suivi du PRU, de le Gestion urbaine de proximité et de l’économie sociale et solidaire veut poursuivre Louis Buteau, ex adjoint en charge du commerce démis de ses fonctions lors du conseil municipal du 23 avril après avoir publiquement critiqué les actions de la Ville qu’il était pourtant chargé de suivre depuis 4 ans !
Et pour cela Qzgur Eski fait appel à la protection fonctionnelle des élus pour que la Ville couvre ses frais de justice.
Ce sera l’objet de la délibération n°206.
En fait l’intéressé vise des propos publiés sur la page Facebook publique de Louis Buteau par Malika Ghedjati, elle-même adjointe au commerce lors de la précédente mandature et également « remerciée » par Marc Gricourt.
Nous ne reproduirons ses propos qui, à l’heure où nous écrivons, n’ont pas été retirés de le page Facebook en question.
Ils font référence à une rixe dans la quartier de Quinière en juillet 2014 où semble-t-il Ozgur Eski aurait tenté de s’interposer, ce qui lui valu en réprésailles l’incendie de sa voiture et de celle de son épouse.
Nous avions à l’époque rendu compte des faits, ce qui nous avait valu également une plainte assortie là encore d’une demande de protection fonctionnelle, votée par la majorité, dont Louis Buteau. Hodie mihi, cras tibi !
Cette plainte ridicule n’a d’ailleurs jamais abouti, mais nous aimerions savoir si la Ville avait engagé des frais dans cette affaire.
Une fois encore tout cela semble disproportionné, il aurait certes été préférable que Louis Buteau modère de lui-même les commentaires sur sa page, mais il aurait été facile à la personne visée de lui demander tout simplement de faire retirer ces propos lourds de sous-entendus.
Mais il préfère sans doute un procès… surtout si les frais sont payés par la Ville, donc par les Blésois.
Cela ne va pas améliorer l’image des politiques…

 

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Salbris et Vendôme acceptent leur mise sous tutelle par l’Etat.

CM Blois 2018-02A Blois comme à la Région, les élus RN ont voté contre la mise sous tutelle.
Après Nicolas Perruchot qui s’était précipité pour signer avec l’Etat au nom du département, ce sont les villes de Salbris et de Vendôme, ainsi que l’agglomération des territoires vendômois, qui ont accepté la mise sous tutelle de leur budget, au mépris du principe constitutionnel de libre administration des collectivités.

Nous avions déjà parlé du débat à Blois, où le conseil municipal a refusé de se soumettre et à la région Centre-Val de Loire, où le président Bonneau a fini par signer, contraint et forcé.
Prochaine étape en 2020 : faudra-t-il soumettre au Préfet les programmes des candidats à l’élection municipale pour vérifier s’ils permettront de respecter cet engagement, et le cas échéant invalider les candidatures qui refusent de s’y plier ?
Le « nouveau monde » de M. Macron ressemble fort au second empire, où ce sont les Préfets qui désignaient les maires ! Et où les banquiers ont véritablement pris le pouvoir… 

Blois : retour sur le conseil municipal.

CM Blois 2018-02Le conseil municipal de Blois s’est lundi 25 juin.
Premier sujet abordé : la contractualisation avec l’Etat, dont nous avions déjà longuement parlé.
Le maire de Blois a proposé de ne pas signer ce contrat léonin, suivi par la quasi-totalité des élus, à l’exception des deux macronistes, Louis Buteau (ex PS) et Véronique Reineau (ex LR).
Dommage que Marc Gricourt, 1er président de la Région, n’ait pas la même position à Orléans.

L’examen du compte administratif fait ressortir la fragilité des marges et interroge sur l’avenir pour cette fin de mandature, en particulier pour le projet commercial Saint-Vincent, qui a peu de chances d’aboutir avant 2021.
Au sujet de la reconstruction du groupe scolaire de la Croix Chevalier, Véronique Reineau s’est réjouie d’un « renouvellement de population. »
Michel Chassier lui a répondu qu’il faudrait plutôt parler de « remplacement de la population« .
En outre il a rappelé les graves désordres constatés sur l’école Jules Ferry, inaugurée en 2011. Marc Gricourt a reconnu qu’il ne faudrait pas répéter « les mêmes erreurs« . C’est donc reconnaître, au-delà des malfaçons, une erreur de conception.
La Ville propose également aux associations une « charte culturelle ». Le problème est qu’elle s’inspire de la « déclaration de Fribourg », qui fait ouvertement la promotion d’une conception communautariste de la culture. Par exemple, toute communauté résidant sur une territoire donné, en l’occurrence le nôtre, doit pouvoir « enseigner et recevoir un enseignement dans sa langue« , y compris donc étrangère.
Ce qui va tout à fait à l’encontre d’une démarche d’intégration. Michel Chassier a rappelé l’épisode de dimanche soir ou des dizaines de ressortissants turcs ont bruyamment célébré dans les rues de Blois la victoire d’Erdogan.
Enfin les élus du Rassemblement national se sont étonnés du choix de déplacer l’aire de grand passage des « gens du voyage » près de la D951, ce qui n’est pas la meilleure image de Blois que l’on puisse offrir au touristes qui arrivent dans notre ville, y compris sur l’itinéraire de la Loire à Vélo.
Encore une fois, seuls les élus FN/RN font entendre leur différence et osent aborder les questions dont personne n’ose parler publiquement… même si certains les félicitent en privé.

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Conseil régional : conférence de presse ce matin à Orléans

Dgm0l77W0AA-zKBConférence de presse ce matin à Orléans. Michel Chassier, président du groupe RN-Centre Val de Loire : « Par principe, nous voterons contre la contractualisation avec l’Etat sachant qu’elle ne met pas à l’abri la collectivité d’une pénalité en cas de dépassement du plafond de ses dépenses » #RCVL #RegionCentreValdeLoire.
Nous avons déjà traité ce sujet, nous y reviendrons à l’occasion de la prochaine session qui débute jeudi matin à 9 h 30 à Orléans.
Voir notre communiqué de presse du 21/06 et notre article du 23/06.
Michel Chassier est également intervenu hier soir au Conseil municipal de Blois sur ce sujet (la Nouvelle République du 26/06).

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Mise sous tutelle budgétaire : François Bonneau indigné mais résigné.

FBonneauRégion Centre-Val de Loire : le président Bonneau s’apprête à signer… contraint et forcé. Mais que vaut un contrat signé sous la menace ?
Les Régions font partie des collectivités territoriales qui doivent signer avant le 30 juin le pacte financier prévu dans les articles 13 et 29 de la loi n° 2018-32 du 22 janvier 2018 de programmation des finances publiques pour les années 2018 à 2022, encadrant la progression des dépenses de fonctionnement.

La question ne figurant pas à l’ordre du jour de la prochaine session Michel Chassier, président du groupe Rassemblement National Centre-Val de Loire, s’est adressé au président François Bonneau afin de connaître la position que souhaitait adopter notre Région et demander que les oppositions soient consultées.
En réponse le président Bonneau a fait savoir que les discussions sont toujours en cours entre l’Association Régions de France et le Gouvernement.
Suite à la demande de notre groupe, les présidents de groupe ont été reçus en urgence ce vendredi avant la Commission permanente afin d’être informés de la position qui sera soumise à l’Assemblée régionale jeudi prochain en session plénière.
Tout en critiquant la mesure, le président Bonneau proposera jeudi prochain de signer le pacte financier, craignant qu’un refus expose la Région a un risque qu’il ne souhaite pas prendre.
En lire plus …

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Mathilde Paris au bureau national samedi 26 mai.

DeHig54X0AABlH4Bureau national ce matin à Nanterre.
Marine Le Pen réunissait aujourd’hui le Bureau National, pour évoquer notamment l’actualité européenne et la formation du nouveau gouvernement italien, et préparer le Conseil National élargi du 1er juin à Lyon.

Mathilde Paris conseillère régionale de Loir et Cher, conseillère municipale et communautaire de Blois, participait à cette réunion.
Prochains rendez-vous en Loir et Cher : bureau départemental élargi le 4 juin, tournée des membres du bureau national avec Jean Messiha et Mathilde Paris le 16 juin. Les invitations par messagerie électronique et par courrier partent ce week-end, nous reviendrons en détail sur cette manifestation prochainement.

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