Dans son édition du 28 juin, le quotidien « La Croix » évoque la vie des réfugiés-migrants venant de Calais et installés à Blois à l’AFPA. Il s’agit de 78 hommes seuls dont l’excellent « accueil leur a donné envie de faire leur vie en France » alors qu’ils n’étaient qu’en transit vers l’Angleterre.
On les comprend, ils sont nourris et logés sans avoir à travailler pour régler ce qui est dépensé. On peut s’étonner de voir que certains hommes mariés, comme cela est dit dans l’article, aient pu laisser chez eux, en danger, femme et enfants dans un pays en guerre.
Les 140 places libres de l’AFPA de Blois (il y en avait 3000 libres en France ! (Quel gaspillage !) ont donc été occupées tout l’hiver par les 78 migrants. Toutefois, avec la mise en œuvre du « Plan 500 000 formations », il est probable que le centre sera mis à contribution et qu’il devra accueillir de nouveaux stagiaires (des vrais !) dans le centre de Blois d’ici à la rentrée. Il faudra donc faire de la place. Le directeur du Centre, Gilles de Ferluc, aimerait bien trouver une solution, donc des subventions, pour que les migrants profitent du plan national de formation. Ben voyons. Tant que les Français acceptent de payer, pourquoi ne pas faire preuve de générosité avec leur argent ?
Une fois de plus nous constatons que ces personnes, presque toutes de confession musulmane, sont rarement accueillies pas des pays musulmans. Nous voyons aussi que les facilités octroyées par la France sont des pompes aspirantes qui amplifient les pressions migratoires et ne règlent pas les problèmes dont sont victimes ces millions de personnes. A cela s’ajoutent les conséquences négatives sur la situation économique de notre pays. Les Français commencent à voir la réalité qui leur est imposée. Ils le feront savoir en 2017.
Les pompes aspirantes de l’immigration fonctionnent à Blois.
Clandestins à l’AFPA : Qui va payer la facture ?
Michel Chassier, conseiller régional, conseiller municipal et communautaire de Blois était interviewé par France 3 ce mardi matin suite à l’arrivée de 38 clandestins à l’AFPA (au départ de la jungle de Calais) ce vendredi dernier. Il explique que ces clandestins, exclusivement des hommes, n’avaient alors initialement qu’un seul objectif, se rendre en Angleterre : « Que leur a t-ont promis pour qu’ils restent à Blois alors qu’ils cherchaient à tout prix à se rendre en Angleterre ? »Une régularisation, l’arrivée de leur famille, un hébergement, du travail…? »
Une « grande conscience » du socialisme, Robert Badinter déclarait encore le 17 juin dernier : « C’est terrible à dire mais avec ses 6 millions de chômeurs sur 29 millions d’actifs, la France, n’est pas en mesure d’accueillir ceux qui viendront ».
La tête de liste départementale du FN en Loir-et-Cher rappelle d’ailleurs que cette situation qui va porter préjudice aux socialistes n’est pas un effet d’aubaine pour le Front National puisqu’il a toujours été le seul parti politique a dresser ce constat en toute lucidité et en toute transparence.
De son côté de la coalition de papier MoDem-UDI-LR incapable de s’entendre sur cette question (Voir notre article) lorsque François Bonneau, le Président-candidat de la Région Centre-Val de Loire a fait voter une aide de 100 000 € pour l’accueil des clandestins, c’est le silence radio depuis le début de l’affaire.
Marc Gricourt, Maire de Blois et tête de liste PS dans le département aux régionales, qui rappelle que cette opération de « mise à l’abri » des clandestins n’a aucun coût direct pour la ville, Agglopolys ou le Département, oublie avec une certaine hypocrisie de préciser que bon nombre d’associations dont Mme Corinne Garcia, 1ère adjointe, se présente sur sa page Facebook comme la super-présidente, puisqu’elle se vante de pouvoir les mobiliser, mais elles recevront des aides de la Ville pour cette action.
Dans un deuxième temps, les familles pourraient rejoindre, comme l’indiquait la Nouvelle République dès le 28 octobre, et il faudra trouver d’autres solutions d’hébergement et de prise en charge, sans parler de la scolarité des enfants, du transport, des soins médicaux…
Donc le Ville paiera, le Département paiera, la Région paiera, les Blésois paieront. C’est une certitude.
Rappelons aussi que l’hébergement des clandestins par l’AFPA (qui était au bord de la cessation de paiement il y a 3 ans), même s’il n’est pas financé par la ville, l’est directement à hauteur de 1,28 millions d’euros en 2014 pour sa structure régionale par la Région Centre-Val de Loire à laquelle il est candidat. Ainsi, depuis les premières lois de décentralisation, ce sont une partie des taxes intérieures de consommation sur les produits pétroliers (TICPE) ainsi qu’une partie du produit des cartes grises qui financent principalement les établissements relevant de la formation professionnelle.
Mises en avant
Mathilde Paris invitée de la rédaction sur TVTours
Mathilde PARIS, tête de liste « Un autre avenir pour Blois » était jeudi soir l’invitée de la rédaction de @TVTOURS. Revoir la vidéo....
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