La Nouvelle République publiait le 28 décembre les premiers résultats du recensement INSEE correspondant aux chiffres de 2016.
Au niveau départemental on constate une légère progression (0,45% !) mais avec des contrastes marqués.
Comme le faisait remarquer Michel Chassier au conseil régional lors du débat sur le SRADDET : nous assistons avec la métropolisation a un phénomène de reconcentration urbaine, encouragé par les politiques publiques au nom de l’écologie !
En même temps, les campagnes et les villes moyennes se dépeuplent, à de rares exceptions près, seules les zones périurbaines voient leur population augmenter, dans des proportions variables en raison des contraintes du foncier.
La ville de Blois perd encore des habitants, 703 par rapport à 2011 mais presque 3 500 depuis 1999, soit une baisse de 7%.
Les raisons de cet exode sont multiples : recherche d’emploi, taxes foncières et terrains à construire trop chers, mais aussi, comme le rappelait l’élu RN dans son intervention « une immigration massive et incontrôlée de populations devenues trop nombreuses pour s’intégrer et s’adapter à notre mode de vie, provoquant en exode des Français dits « de souche » vers la périphérie des villes.«
Et si l’on examine de près les derniers chiffres détaillés de l’INSEE (ils datent de 2015), le constat est flagrant.
En 2015, Blois comptait 7 264 immigrés stricto sensu (étrangers + immigrés naturalisés), soit 16,38% de la population municipale, en hausse de + 733 par rapport à 2008.
Mais cela ne rend pas bien compte de la réalité. Car les enfants nés en France, y compris d’étrangers, voire de clandestins, sont automatiquement français !
On peur le constater sur le tableau de l’INSEE, où les « immigrés de moins de 15 ans » ne sont que 452, soit 6,22% de population immigrée, contre 18,01% pour l’ensemble de la population. Alors que les immigrés ont une natalité supérieure. L’explication est simple : tous ceux qui naissent en France sont considérés comme français, ce qui permet de masquer l’ampleur du phénomène.
C’est pourquoi au niveau national l’INSEE distingue les immigrés (8,44 millions en 2012) et les « descendants directs d’immigrés », 8,69 millions la même année.
En extrapolant ces chiffres sur le ville de Blois, nous obtiendrions 7 486 descendants directs, soit au total une population immigrée récente, majoritairement venue du sud de la Méditerranée, qui atteint 14 787 Blésois, autrement 32,35% de la population, environ un habitant sur trois.
Il suffit d’ailleurs d’aller voir à la sortie des écoles pour vérifier l’ampleur de cette vague d’immigration, qui constitue bel et bien le remplacement d’une population par une autre.
Il y a longtemps que nous alertons, que nos adversaires essaient de nier le phénomène, mais c’est bien une réalité qui ne sera pas sans conséquences graves si cela continue dans le même sens.
Blois perd des habitants… mais gagne des immigrés !
Blois : une conductrice de bus voilée.
(image d’archives)
C’est un usager du réseau urbain Azalys qui nous interpelle : « est-ce légal qu’une conductrice de bus d’Azalys porte le voile pendant son service et passe des appels téléphoniques avec une oreillette ?« .
Les faits ont été observés ce mercredi 26 décembre dans un bus de l’Agglo.
Nous poseront la question à son Président, Christophe Degruelle ainsi qu’au directeur de l’entreprise Kéolis qui gère le réseau.
Mise à jour le 12 janvier : la personne qui signe ses commentaires « Fréd O. » et se présente comme proche de « Christophe » (Degruelle) n’est pas Frédéric Orain, le Premier Secrétaire du PS en Loir et Cher qui nous le confirme (voir fil des commentaires).
Il s’agit donc de quelqu’un qui sous couvert d’anonymat a cherché à semer le doute.
Blois : les élus Rassemblement national seuls à voter contre le budget.
Lors du dernier conseil municipal à Blois les élus du Rassemblement national ont été les seuls à voter contre le budget.
Certes, nous pouvons reconnaître des efforts de gestion, mais il est vrai que la municipalité n’a pas le choix, avec l’encadrement par l’Etat des dépenses de fonctionnement.
Il y a quelques années, nous avions proposé de limiter la hausse des dépenses de fonctionnement à 1%, alors qu’elles progressaient à l’époque de 3 à 4%.
Le maire nous avait alors répondu que c’était totalement impossible.
Pourquoi y parviennent-ils aujourd’hui ? Parce qu’ils n’ont pas le choix.
Mais tout le mode n’est pas visé de la même manière par cette rigueur budgétaire.
La Ville a fait le choix de supprimer des postes dans les écoles maternelles, amis les subventions à certaines associations sont sanctuarisées.
Et pas n’importe lesquelles. Il faut savoir que sur quelques 160 associations bénéficiaires de subventions, les 10 plus importantes reçoivent 70% de l’enveloppe. Mais aussi qu’il existe environ 600 associations, donc pratiquement les 3/4 vivent sans aucune subvention.
C’est pourquoi nous sommes rvenus sur le cas des Rendez-Vous de l’Histoire ou de Bd Boum, qui refusent toujours de mettre en place une billetterie qui permettrait de diminuer la contribution de la collectivité.
Cela n’aurait rien d’extraordinaire si l’on regarde ce qui se passe dans d’autres villes, pour d’autres festivals.
Mais il n’est pas question de toucher à l’héritage de Jack Lang, à ce que nous avons déjà appelé les « vaches sacrées ».
Le Rassemblement national avait déposé deux amendements budgétaires dans ce sens, ils ont été rejetés non seulement par la majorité , mais par le groupe présidé par Jacques Chauvin, qui a finalement voté le budget dans sa globalité.
On voit bien que la seule opposition crédible, c’est le Rassemblement national !
Vos élus sont également intervenus sur d’autres sujets, comme le projet Saint Vincent, dont la réalisation est repoussée de 2020 à 2023, sans aucune certitude aujourd’hui sur la commercialisation, et donc sur la faisabilité de l’opération. Entre temps, il y aura les élections municipales de 2020…
Vos élus au Conseil d’Agglopolys.
Ce soir se tenait le dernier conseil communautaire d’Agglopolys pour 2018.
Quelques ajustements budgétaires de fin d’année ont été adoptés, ainsi que les tarifs pour 2019 pour les bibliothèques de l’Agglo, sans changement.
Pas de changement non plus pour le tarif de séjour dans aires d’accueil pour les gens du voyage, mais Michel Chassier s’est tout de même étonné de la faiblesse des recettes par rapport aux dépenses. A 1,60 € par jour pour un emplacement de deux caravanes, c’est en effet très loin de couvrir les frais.
Mais il semblerait que ce soit difficile de demander davantage…
Blois : des orientations budgétaires floues.
Le débat sur les orientations budgétaires a pour but de présenter une perspectives pour les prochaines années.
Comment vont évoluer les recettes, quelles dépenses sont maîtrisables, quels sont les investissements nécessaires pour le quotidien des Blésois, mais aussi pour préparer l’avenir ? (la Nouvelle République du 27/11/2018).
C’est assez difficile d’y répondre cette année, car il est impossible aujourd’hui de savoir comment le gouvernement va compenser la taxe d’habitation.
Même dans l’hypothèse où la Ville conserverait une recette équivalente, les projections en 2024 sont inquiétantes avec une épargne nette négative, et un endettement qui n’est maintenu sous la barre de dix ans qu’en diminuant de moitié les dépenses d’investissement, au point de compromettre l’entretien du patrimoine (voirie, écoles, bâtiments communaux, équipements sportifs).
On ne voit pas bien comme Marc Gricourt pourra faire campagne dans une telle perspective, en répétant encore comme hier soir que son équipe a un projet pour la ville. ( Télécharger l’intervention de Michel Chassier : CM 26-11-2018 – ROB 2019.)
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Gilets jaunes : nouvelles manifestations en Loir et Cher.
Rassemblement aujourd’hui à Romorantin.
De nombreuses actions ont eu lieu tout au long de la journée en Loir et Cher, la Nouvelle République reconnaît une « forte mobilisation ».
Péage gratuit à Blois, barrages filtrants, action près des centre commerciaux, les initiatives n’ont pas manqué et encore une fois le mouvement fait preuve de sa force et de sa détermination.
Nos amis étaient à nouveau présents sur plusieurs sites, comme simples citoyens selon la consigne, ils peuvent témoigner de la bonne ambiance au sein des manifestations, de l’accueil très largement favorable qu’ils reçoivent, et du calme des manifestants, loin de la caricature de certains médias proches du pouvoir..
Les petites provocations de Castaner n’y feront rien, il faut que Macron et son gouvernement entendent et changent de cap, car le cap est mauvais.
Il faut surtout arrêter de prendre les gens pour des imbéciles, et de dire qu’il faut leur expliquer davantage la transition écologique pour la faire accepter.
Tout le monde a bien compris que ce n’est qu’un prétexte pour nous taxer et restreindre nos libertés.
Mais cette fois-ci ça ne passe plus !
Aujourd’hui, Macron était enfermé dans son bunker de l’Elysée, encerclé de toutes parts. L’image est terrible d’un président arrogant, méprisant, incapable, qui ne sait plus comment faire.
Un clandestin multirécidiviste à nouveau condamné à Blois. Mais que faut-il encore en France ?
Un ancien combattant rappelle à Macron sa promesse non tenue.
Une fois encore la chronique judiciaire nous apprend qu’un homme de 40 ans, « originaire de la Côte d’Ivoire et en situation irrégulière » était jugé en appel à Orléans (la Nouvelle République du 24/11/2018).
L’individu, une certain Lenace, avait été condamné pour outrages et menaces à l’encontre d’un surveillant de prison à Blois, pour des insultes au personnel des urgences de l’hôpital de Vendôme, ainsi que pour une tentative de fuite lors d’un contrôle alors qu’il conduisait sans permis.
On apprend au passage que le sieur Lenace collectionne déjà 23 mentions à son casier judiciaire !
Cela pose bien sûr plusieurs questions.
D’abord comment se fait-il qu’un étranger en situation irrégulière soit toujours en France après une telle série de condamnations ?
Depuis combien de temps est-il sur notre sol en situation irrégulière ? De quoi vit-il ? Qui a payé les frais d’un appel, alors que de nombreux justiciables français renoncent parfois à se défendre car ils n’en ont pas les moyens ?
Qui va payer les frais de procédure s’il n’est pas solvable ?
Enfin, suite à cette enième condamnation, va-t-il enfin faire l’objet d’une expulsion du territoire français ?
Macron avait promis il y a un an que tous les « étrangers en situation irrégulière » qui commettent un délit « quel qu’il soit seront expulsés » de France, promettant d’être « intraitable sur ce sujet« .
Encore une promesse non tenue…
Gilets jaunes : péage gratuit à Blois.
Nouvelle action des gilets jaunes ce matin à Blois : opération péage gratuit à la sortie de l’A10.
D’autres actions sont prévues un peu partout en Loir et Cher, relayées sur les réseaux sociaux.
Il était difficile pour beaucoup de se déplacer à Paris en raison du coût que cela représente, sans compter que certains redoutent des provocations et des violences de la part les milices d’extrême-gauche protégées par le pouvoir, et qui font régulièrement dégénérer les manifestations syndicales afin de « faire de l’image » et de déconsidérer le mouvement. Et curieusement les auteurs de ces violences sont rarement interpellés et condamnés.
La faiblesse du mouvement des Gilets jaunes c’est peut-être le manque de coordination et l’absence d’une revendication claire, mais sa force réside dans la multiplication d’initiatives que le gouvernement ne parvient pas à contrôler.
Ainsi, malgré l’interdiction injustifiée de Castaner, les Gilets jaunes ont commencé à rassembler sur les Champs Elysées.
Si le mouvement dure, il faudra bien que Macron lâche du lest, autrement que par les promesses de quelques primes. Il faut simplement renoncer à la taxe carbone, à minima annuler la hausse prévue au 1er janvier.
Une autre mesure de bon sens, présentée à l’Assemblée nationale par Marine Le Pen et les députés du Rassemblement national, consisterait à ne pas appliquer la TVA sur les le montant de la TICPE. Il faut savoir en effet que l’on applique une taxe sur au autre taxe.
Cela permettrait de gagner quelques centimes par litre (13 à 14 centimes sur un litre d’essence).
Nous vous tiendrons informés au cours de la journée des opérations en Loir et Cher.
Blois : les « Gilets jaunes » devant la Mairie.
Les Gilets multiplient et diversifient leurs actions.
Dans le Loir et Cher, tout se déroule dans le calme, à tel point que la directrice de cabinet du Préfet, Marie-Frédérique Whitley salue « le civisme des manifestants » (la Nouvelle République du 22 novembre).
Voilà qui contredit le message de Macron et Castaner au sujet d’une prétendue « radicalisation ».
Cela ne va peut-être pas favoriser la promotion de cette fonctionnaire trop sincère dans ses propos.
Ce matin alors que plusieurs barrages filtrants sont toujours en place, pour bien faire savoir que le mouvement continuera tant qu’il n’y aura pas une réponse satisfaisante, à minima sur la taxation des carburants, des « Gilets jaunes » s’étaient donné rendez-vous dans la cour de la Mairie (*), pour chanter « la Marseillaise ».
Le maire de Blois n’est sans doute pas responsable de la hausse des prix du carburant, mais il est tout de même vice-président de la Région Centre-Val de Loire qui applique le taux maximum sur la part régionale de la TICPE, ce que nos élus ont longtemps été seuls à critiquer.
Cette petite piqûre de rappel n’est donc pas inutile avant le vote du budget de la Région le 20 décembre à Orléans.
Revoir la dernière intervention de Gilles Godefroy le 18/10/2018 a Orléans :
(*) Mise à jour à 12 h 00 : ce matin des gilets jaunes se sont réuni devant la préfecture, ensuite une petite marche en direction du centre des impôts, mais ils avaient fermé. Donc une petite pause en chanson devant le centre des impôts. Puis direction la mairie, de nouveau Marseillaise, aucun responsable de la municipalité n’est venu à notre rencontre.
Ensuite redirection la préfecture, mais cette fois-ci le préfet souhaite s’entretenir avec 3 gilets jaunes.
Et cet après-midi un rendez-vous est fixé à 14 heures vers le centre Leclerc.
A signaler le calme des manifestants ainsi que la présence plutôt sereine des forces de l’ordre.
Blois : violente bagarre devant le collège des Provinces.
La nouvelle n’avait pas filtré jusqu’ici, c’est la Nouvelle République qui publie l’information ce matin (20/11/2018).
Les faits remontent à jeudi dernier. Un groupe de 5 à 7 « jeunes » issus d’un autre établissement est venu attaquer des élèves à la sortie du collège des Provinces.
Trois élèves ont été blessés dont un sérieusement.
L’origine de cette rixe serait à rechercher sur les réseaux sociaux.
La Police enquête pour identifier les agresseurs, mais en attendant ce type de bagarre montre que Blois est à son tour gagné par ce phénomène de règlements de comptes violents à proximité des établissements scolaires.
Mais l’équipe municipale actuelle semble ne pas bien mesurer à quel point la situation est en train de se dégrader.
Mise à jour : un correspondant nous parle d’une vingtaine de personnes avec des couteaux, battes etc… et d’une deuxième bagarre. Mais devant le silence des médias, difficile d’avoir confirmation pour le moment.
Macron bloque la France, les gilets jaunes chantent la Marseillaise !
Blois : les gilets jaunes chantent la Marseillaise !
Les blocages se sont donc poursuivis aujourd’hui en Loir et Cher comme partout en France. La Nouvelle République parle de 10 rassemblements de gilets jaunes ce lundi dans notre département.
Le plus souvent des barrages filtrants, et dans l’ensemble selon nos amis qui sont présents dans les manifestations, les usagers de la route sont plutôt compréhensifs, beaucoup encouragent le mouvement faute de pouvoir y participer directement.
Les routiers français sont généralement favorables, ils font partie des gens qui travaillent dur et qui ressentent la perte de leur pouvoir d’achat. En plus ils sont payés, car officiellement bloqués contre leur gré, c’est plutôt bien joué.
Nous avons vu aussi des gendarmes qui symboliquement avaient mis le gilet jaune sur le tableau de bord du véhicule de gendarmerie.
Et des commerçants qui apportent à boire, des automobilistes du café et des gâteaux !
Même si cela peut agacer certaines personnes qui ont besoin de se déplacer, le mouvement reste donc populaire en dépit des tentatives du pouvoir pour le salir à partir de quelques incidents ultra-minoritaires, ramenés à plus de 2500 opérations mobilisant des centaines de milliers de personnes.
Les Français doivent bien comprendre que c’est Macron qui bloque la France en refusant d’entendre le message des manifestants.
Et pendant qu’il dénigrait la France et les Français depuis le Bundestag, les gilets jaunes chantaient la Marseillaise près du rond-point de la Patte d’Oie.
Nous continuerons à vous tenir informés sur la suite du mouvement, il se prépare d’ores et déjà une montée sur Paris pour le 24 novembre.
Macron fanfaronnait il y peu « qu’ils viennent me chercher ! » Cette fois les Français l’ont pris au mot. Ils vont le faire.
Blois : la voie rapide à nouveau bloquée, les routiers s’y mettent.
Ce matin en direct de la RD 956.
Le mépris affiché hier soir par Edouard II (*) n’aura fait que monter d’un cran la colère des Français.
De nouveaux blocages sont signalés un peu partout ce matin, autoroutes, centre commerciaux, dépôts de carburants.
A Blois, la voie rapide (RD 956) est bloquée ce matin, au niveau de la patte d’Oie par des gilets jaunes, mais aussi désormais par des routiers.
Là encore, en dehors des syndicats de salariés et de transporteurs, un routier avait lancé un appel sur Facebook, vue plus de 2 millions de fois.
Et les appels se relaient sur les réseaux sociaux pour monter à Paris le 24 octobre, place de la Concorde.
Pendant ce temps Macron était en Allemagne, pour encenser la politique de Merkel et dénigrer la France et les Français. Oubiant que les Allemands eux-même ont sévèrement sanctionné leur chancelière.
S’il admire tant l’Allemagne, pourquoi ne va-t-il pas s’y présenter pour succéder à son amie Angela ? Après tout Cohn-Bendit, qui l’admire, s’était bien présenté en France. Et les Français seraient je pense heureux de faire don à nos voisins du petit Emmanuel avec Brigitte ne prime.
Plus sérieusement, le gouvernement n’aura pas le choix. Dans un premier temps, il faut qu’il renonce à la taxation carbone pour faire redescendre le niveau des carburants.
La transition écologique n’est qu’un prétexte, et celle qu’on nous propose est à la fois coûteuse, inefficace et irréaliste. Il serait temps d’écouter sur le sujet l’avis des gens sérieux, nous y reviendrons.
Gilets jaunes : grosse mobilisation en Loir et Cher.
Difficile de savoir à cette heure encore combien il y a eu de manifestants en Loir et Cher, certains parlent de 2500 (*).
Les actions allaient du blocage à certains moments de la journée sur l’axe nord-sud de Blois aux barrages filtrants ou au simples manifestations statiques comme au rond-point de Chouzy sur Cisse.
A Romorantin il y avait même des tracteurs venus se joindre aux manifestants.
Nos amis étaient présents à Blois, Mer, Noyers-Saint-Aignan, Onzain, Chouzy, Romorantin, Vendôme…
Partout un très bon accueil, y compris pour nos élus présents, qui sont reconnus comme les seuls ayant un discours cohérent sur la taxation des carburants, contrairement à Mélenchon qui, lors de la présidentielle, se voulait champion de l’écologie, ou encore les Républicains, à l’origine de la taxe « Grenelle » sous Sarközy…
Mise à jour du 19/11 : le chiffre communiqué par la Préfecture est de 3 600 participants.
Gilets jaunes : c’est parti en Loir et Cher !
Ce matin au rond point de la patte d’Oie : pas de slogans partisans ni de drapeaux rouges, un seul drapeau bleu-blanc-rouge !
Malgré les menaces de Macron et Castaner, le mouvement a démarré très fort partout en France ce matin.
Les forces de l’ordre ont essayé en vain d’empêcher le blocage du périphérique parisien, mais elles ont vite été débordées : on ne peut rien contre une marée populaire.
A Blois dès le petit jour l’action était lancée, après un rassemblement sur le parking du Leclerc, les barrages filtrants étaient mis en place au rond point de Cap’ciné et à la patte d’Oie de Saint Gervais.
Nos amis étaient déjà présents, ils le seront tout au long de la journée à Blois, Mer, Noyers-Saint-Aignan, Onzain, Chouzy, Romorantin, Vendôme…
Nous vous tiendrons informés tout au long de la journée.
Attaques contre le diesel : emplois menacés.
Le président (PS) de la Région Centre-Val de Loire, François Bonneau, s’insurge contre la fermeture annoncée de l’entreprise Ibiden qui fabrique des filtres à particules pour le diesel à Courtenay dans le Loiret.
C’est pourtant bien le même président Bonneau, dont la majorité est l’otage des écologistes, qui relaie toutes les attaques contre le diesel.
Certes la fermeture annoncée du site de Courtenay est liée au choix de la direction japonaise de réaliser la fabrication des nouveaux filtres à haute porosité à son site hongrois, mais c’est aussi la conséquence de la volonté gouvernementale de combattre le diesel, réputé plus polluant que l’essence, ce qui reste à démontrer, sans parler de l’électrique dont le bilan écologique se révèle désastreux. Le site blésois de Delphi, spécialisé dans l’injection diesel, pourrait bien être menacé dans un proche avenir.
Confronté aux conséquences de ses propres choix idéologiques, François Bonneau s’affole. Il demande qu’Ibiden rembourse la subvention de 68 000 euros qui lui avait été accordée en 2014 en échange d’un maintien des emplois sur 5 ans. Ce ne serait que justice, mais hélas, cela ne ramènera pas les emplois. Une raison supplémentaire pour manifester ce samedi avec les gilets jaunes !
Blois : voiture brûlée allée des Platanes.
Un quartier calme en apparence (ici rue des Peupliers) mais victime de la délinquance.
Une voiture a été incendiée dans la nuit de samedi à dimanche allée des Platanes à Blois, dans le quartier des Allées.
C’est un secteur où les habitants sont régulièrement victimes de ces actes de délinquance.
On ne dira jamais assez le préjudice que représente ces incendies de voitures pour des propriétaires souvent modestes qui en ont besoin pour leurs déplacements quotidiens, et qui souvent n’ont pas les moyens d’en acheter une autre immédiatement.
11 novembre à Blois : un hommage et quelques couacs.
Les élus du Rassemblement national ont brièvement quitté la cérémonie pendant la « chanson de Craonne ».
A l’occasion du Centenaire, les cérémonies du 11 novembre à Blois ont pris une ampleur particulière, mais il faut le dire avec quelques couacs. Tout d’abord l’idée de scinder la cérémonie en deux parties, la 1ère à 9 heures devant le monument aux Morts, mais sans l’Armée, la seconde à 11 heures 20 dans les jardins de l’Evêché pour la prise d’armes traditionnelle où cette fois, à côté du détachement du DA 273, il y avait l’équipage du sous-marin nucléaire lanceur d’engins le Terrible ainsi qu’un important détachement de la Gendarmerie nationale. L’ampleur du dispositif ne pouvait pas prendre place entre la Préfecture et le monument aux Morts, puisque comme chaque année à cette époque la place de la République est occupée par les barnums de BD Boum. L’inconvénient c’est que la cérémonie était coupée en deux. De plus entre les deux parties venaient s’intercaler, au même moment une cérémonie ‘interconfessionnelle » à la Cathédrale et une cérémonie civile à la mairie, obligeant le cortège à se scinder en deux place Saint Louis, ce qui n’est pas une symbolique très heureuse.
Sur le fond nous avons eu droit au discours de M. Macron, lu par le Préfet de Loir et Cher. Un discours qui glisse de l’hommage à un plaidoyer pour l’Europe et pour la paix, sans tirer le leçon de l’après-guerre, sans oublier quelques attaques contre les défenseurs de la Nation. Comme un parfum de pré-campagne des européennes. Ensuite, les élèves d’une classe de 3ème du Collège Bégon ont interprété la « chanson de Craonne ». Cette chanson politiquement engagée (à l’extrême-gauche) fustige « Les gros », « ceux qu’ont le pognon » et « les biens de ces messieurs là », et incite à la mutinerie (« c’est fini, nous, les troufions, on va se mettre en grève »).
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Blois : le Rassemblement national fête le centenaire de la victoire.
Samedi 10 novembre à Blois le Rassemblement national célébrait le centenaire de la victoire.
Autour des élus régionaux Michel Chassier et Mathilde Paris, de Jean Yves Narquin maire de Villedieu le Château, une quarantaine d’adhérents et sympathisants avaient répondu présent pour partager un repas convivial dans une ambiance rappelant le souvenir des « poilus » : vidéos, chansons, exposition de photos envoyées par nos amis.
A 15 heures, le discours de marine Le Pen était retransmis depuis Verdun, vous pourrez le retrouver sur les réseaux sociaux.
Un moment de cohésion, de communion dans l’amour de la patrie et l’hommage à nos anciens qui ont combattu pour notre liberté.
Dans son intervention avant le discours de Marine, Michel Chassier a rappelé que nous leur devons de poursuivre le combat pour que la France pour laquelle ils se sont sacrifiés ne soit pas demain asservie à nouveau par un ennemi insidieux qui bénéficie hélas de la complicité de nos gouvernants.
Demain 114 novembre nous serons présents dans toutes les cérémonies du département.
Centenaire de la victoire de 1918 : rendez-vous à Blois le 10 novembre.
« Cent ans après la victoire de la France et de ses alliés, mettant un terme à la Grande Guerre en 1918, notre famille politique a à cœur d’honorer la mémoire du soldat français qui se sacrifia pour défendre notre drapeau et l’intégrité de notre territoire, et la mémoire du peuple français tout entier uni dans les pires circonstances. » Marine Le Pen
Alors que Macron refuse de fêter dignement la victoire de 1918, le Rassemblement national appelle tous les Français a participer nombreux aux commémorations du 11 novembre.
Nos élus seront présents dans leur communes respectives, soyez nombreux à leurs côtés, avec vos enfants car il est important de leur faire partager ce moment historique.
Le 10 novembre Marine Le Pen sera a Verdun pour un grand banquet patriotique afin de rendre hommage à tous les combattants, ceux qui sont tombés et aussi tous eux qui ont été marqués à vie par cette épreuve
La Fédération de Loir et Cher organise également une journée d’hommage à Blois, avec un repas et la retransmission vidéo sur grand écran de la cérémonie de Verdun et du discours de Marine.
Venez nombreux, en famille, avec vos amis pour cet après-midi d’hommage à nos poilus. Attention : nombre de places limité, inscription obligatoire. Vous pouvez demander l’invitation à contact@rassemblement-national41.fr
Insécurité à l’hôpital de Blois : l’omerta ?
Tout va bien à l’hôpital de Blois, soyez rassurés braves gens, dormez bien !
Comme dans les collèges et les lycées, la consigne #PasDeVague semble aussi être appliquée dans les hôpitaux.
Mais il est toujours difficile de cacher la vérité, elle finit un jour ou l’autre par ressortir.
En l’occurrence ce sont les personnels de sécurité de l’hôpital de Blois qui expriment leur colère… sous la bannière de la CGT !
« Sécurité en sous-effectif = hôpital en insécurité » peut-on lire sur une des banderoles.
La situation est-elle donc si grave ? Pourtant elle est soigneusement cachée par les responsables de l’établissement, dont le maire de Blois, Marc Gricourt préside du conseil de surveillance.
Reste que la CGT n’en dit pas assez sur l’insécurité qui touche les personnels soignants. De quel type d’agressions s’agit-il ? Qui sont les auteurs ?
Là, c’est au tour de la CGT de pratiquer l’omerta.
Aux agents victimes de cette situation d’en tirer les conséquences : seul le Rassemblement national peut vraiment les défendre.
Fermeture de l’AFPA : où vont aller les « migrants » ?
Le sort des clandestins avant l’avenir des formations ?
Alors que 5 centres AFPA sont menacés de fermeture en Région Centre-Val de Loire, dont celui de Blois, certains s’inquiètent non pas de l’avenir de la formation, mais du du sort des « migrants » hébergés sur le site de Blois (nous n’avons pas d’information pour les autres sites).
On se souvient que des clandestins qui campaient à Calais dans l’espoir de passer en Angleterre avaient été dispersés dans toute le France par Hollande en octobre 2015, mais depuis cela ne cesse pas.
C’est ainsi que le centre AFPA de Blois en avait reçu une quarantaine, à l’époque le Front National avait été seul à protester.
Selon Mag’centre, ils seraient aujourd’hui encore 48, mais bien sûr ce ne sont plus les mêmes, il y a régulièrement de nouvelles arrivées, tandis que les autres sont régularisés ou bien disparaissent dans la nature.
Le coût de l’opération est toujours soigneusement caché… tout ce que l’on sait, c’est que c’est nous qui payons.
Mais ce qui préoccupe les élus du Rassemblement national, c’est le devenir de ces centres, qui recevaient plus de 2000 stagiaires par an pour des formations qualifiantes.
Au conseil régional ils ont co-signé avec tous les groupes un appel au gouvernement pour reconsidérer cette décision.
A Blois, un communiqué a été adressé à la presse locale :
« L’annonce brutale et sans concertation du projet de fermeture de 5 centres AFPA dans notre région, dont celui de Blois, illustre bien le mépris de ce gouvernement pour les territoires et leurs représentants.
Rappelons qu’il s’agit du premier opérateur régional de formation, et l’un des seuls qui propose une offre d’hébergement pour les stagiaires.
Les élus qui ont appris cette nouvelle jeudi matin au cours de la session du conseil régional à Orléans demandent un moratoire immédiat sur la fermeture de ces centres, soutenue par l’ensemble des groupes.
Le Rassemblement national soutien cette démarche et demande également à nous deux ministres loir-et-chériens de prendre position sur ce dossier. »
Aucun écho à ce jour.
Aux yeux de certains, l’avenir des clandestins est sans doute plus important.
Rassemblement national : les responsables départementaux de la région réunis à Blois.
Les cadres départementaux du Rassemblement national de la Région Centre-Val de Loire (Délégués départementaux, Délégués départementaux adjoints, Référents départementaux Génération Nation) se sont retrouvés le samedi 20 octobre à Blois pour une journée de travail animée par Michel Chassier, président du groupe RN au conseil régional Centre-Val de Loire.
Au programme le point sur les différentes fédérations, la coordination des actions au niveau régional, la préparation des élections européennes et des municipales.
Une journée d’échanges très riche et très intéressante, au cours de laquelle il a été décidé de mettre en place de nouveaux outils pour la communication interne, afin de faciliter les actions communes ou concertées.
L’occasion aussi d’un point presse pour faire le point sur le Rassemblement national.
Après la déception ressentie par les électeurs comme par les adhérents après les présidentielles, en dépit d’un score historique, chacun ressent dans son département que la dynamique est repartie, et l’année 2019 va voir le grand retour de Marine Le Pen et de notre mouvement au 1er plan, plus que jamais au service de la France et des Français !
Blois : le rendez-vous des politiques.
François Hollande, qui nous coûte déjà une fortune, vient vendre son livre à Blois dans un festival payé par le contribuable !
Après Jacques Attali, les ministres ou anciens ministres Jack Lang, Jean-Michel Blanquer, Christiane Taubira, Frédérique Vidal, des proches du PS comme l’économiste Pierre Rosanvallon etc… c’est aujourd’hui François Hollande qui vient profiter des Rendez-vous de l’Histoire pour vendre et dédicacer son livre « les leçons du pouvoir » (la Nouvelle République du 14/10/2018).
Tout cela avec près d’un million d’euros de subventions publiques pour financer ce festival, n’y aurait-il pas comme une forme de détournement de fonds publics ?
Une chance, étant donné le thème retenu cette année, « la puissance des images », nous avons heureusement échappé à la venue du couple people Brigitte et Manu, élu comme le dit si bien Emmanuel Todd en raison d’une « hallucination collective« . Le fameuse puissance des images, quand elles sont relayées par des médias tenus par ceux-là même qui avaient de Macron leur champion.
Attali : vrai gourou, faux prophète.
Guerre franco-allemande : Jacques Attali a presque 1 siècle et demi de retard !
La conférence inaugurale des rendez-vous de l’Histoire dans la salle du jeu de Paume est loin d’avoir fait le plein.
La Nouvelle République annonce « près de 700″ personnes dans une salle de… 2525 places !
On est loin de l’image d’une salle bondée et refusant du monde comme c’était le cas à la Halle aux Grains (610 places).
Un constat qui permet de douter du décompte des participants annoncé par les RVH : 45000 cette année !
Mag Centre parle d’un public « qu’on aurait imaginé plus nombreux (et plus jeune ?)« .
Le magazine indique également que la visite du sieur Attali n’était certainement pas désintéressée : « en tournée de promo de son dernier livre, il était normal qu’il s’arrête à Blois. »
Ce n’est plus tout à fait l’altruisme dont il se revendique. Nous serions curieux aussi de savoir si sa prestation était rémunérée, et à quelle hauteur.
Et tout cela pour tenir propos d’une rare banalité, du style « il y a des choses qui vont « mieux », et d’autres « moins bien ». Il faut bien être énarque et polytechnicien pour dire cela.
Il prétend avoir des solutions pour nous protéger des prochaines crises, alors qu’il n’avait pas prévu la dernière, celle de l’automne 2008, qu’il situe d’ailleurs en 2007 !
Souvenons-nous qu’à l’époque, seul Jean-Marie Le Pen l’avait annoncé de façon très précise, en expliquant ses causes, son mécanisme et ses conséquences, lors d’une conférence de presse en juin 2008.
Jacques Attali rappelle toutefois une évidence : « il faut penser en permanence à l’impact sur 20 à 30 ans. C’est ce qui distingue un politicien d’un homme d’Etat« .
A l’évidence, de Mitterrand à Macron en passant par Hollande et Sarközy, il n’aura servi que des politiciens préoccupés par leur réélection, et qui ont vendu la France en viager.
Ou bien ses conseils n’ont pas été entendus, ou bien ce n’était que de la poudre de perlimpinpin.
Le meilleur moment de cette conférence reste certainement cet avertissement aux jeunes « qui pourraient connaître une guerre« , c’est la version NR, qui n’ose pas reprendre sa prédiction délirante citée par Mag Centre « Les plus jeunes qui sont dans cette salle peuvent connaître une guerre franco-allemande »
On pourrait presque en rire ! Il faudrait d’ailleurs pour cela que les Allemands nous vendent les fusils que nous ne produisons plus, que la Américains acceptent de nous fournir en bombes guidées, etc…
De tels propos devraient d’considérer à jamais ce gourou prétentieux adulé par les médias.
Sans oublier que la guerre, nos jeunes la connaissent déjà, avec un ennemi qui frappe déjà sur notre sol, mais que M. Attali refuse voir.
Bien entendu, nous sommes disposés à ouvrir le débat avec l’intéressé, si jamais il est capable de justifier ses propos.
La puissance des images aux Rendez-vous de l’Histoire.
La puissance des images ? Une belle illustration avec Attali !
Les Rendez-vous de l’Histoire (du 10 au 14 octobre à Blois) attirent toujours un public nombreux, quoique difficile à chiffrer en l’absence billetterie.
Ce que déplorent depuis longtemps les élis du Rassemblement national, qui estiment que le public pourrait payer une entrée, avec le maintien la gratuité pour les scolaires et des tarifs pour les étudiants par exemple.
Au lieu de cela on fait venir gratuitement tous les professeurs d’histoire-géographie de la Région, et tant pis pour leurs élèves privés de cours ce jour-là !
Mais tout cela coûte 375 000 € de subvention principale pour 2018, sans compter les rallonges pour diverses manifestations annexes ainsi que la à disposition de personnels, de locaux, de matériel et la fourniture de diverses prestations dont des repas.
Si l’on ajoute les subventions des autres collectivités et de la DRAC, Le coût réel pour le contribuable atteint 979 000 euros pour un budget e 1 381 000 euros, soit un financement public à hauteur de 71%.
En 2014, lors d’un débat sur TV Tours avec Michel Chassier, Marc Gricourt avait reconnu qu’il faudrait y réfléchir.
Mais son adjoint à la Culture et Président d’Agglopolys Christophe Degruelle, dépositaire de l’héritage de Jack Lang, ne semble pas l’entendre de cette oreille.
Nous aurons l’occasion de revenir aussi sur le fond, car cette manifestation nous a souvent habitué au sectarisme et au parti-pris idéologique.
Chaque année on voit ainsi défiler à nos frais de nombreux responsables politiques bien en cour.
Pour cette édition nous n’échapperons pas à la conférence inaugurale du gourou de Mitterrand, Sarközy et Macron, l’ultra-mondialiste Jacques Attali, sur le thème « comment nous protéger des prochaines crises » !
Quel cynisme quand sait que ce sont des hommes comme lui qui en sont les principaux responsables, et qu’il n’avait pas vu venir la crise 2008 !
Enfin pour revenir au thème de cette édition, « la puissance des images« , comment ne pas oublier que tous ces bien-pensants sont ceux-là mêmes qui ont exploité honteusement l’image d’un enfant syrien noyé sur plage de Grèce et soigneusement mis en scène pour émouvoir l’opinion publique européenne… mais qui condamnent Marine Le Pen pour avoir voulu montrer sur un tweet le vrai visage de Daesch !
Mises en avant
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Mathilde PARIS, tête de liste « Un autre avenir pour Blois » était jeudi soir l’invitée de la rédaction de @TVTOURS. Revoir la vidéo....
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