Ce sont des agressions dont la presse ne parle pas, car elles font l’objet d’un simple enregistrement au commissariat de Police, qui ne communique pas.
Mais nous citerons deux faits récents.
La première agression se situe dans un quartier du haut de la ville, près de la Cathédrale.
Une femme seule se gare devant chez elle, lorsqu’une voiture se range en double file, occupée par deux individus que la censure ne nous permet pas de décrire.
Ils intiment à la femme l’ordre de descendre. Celle-ci refuse mais se trouve de fait coincée dans son véhicule.
Par chance, une autre voiture arrive dans le rue, obligeant les deux petites frappes à circuler.
La semaine dernière cela se passe en plein centre-ville, devant le Totem, place de la Résistance.
Comme souvent, une voiture occupée par des « jeunes » est arrêtée sur le rue devant le débit de tabac, bloquant la circulation.
La plupart du temps, les Blésois « de souche » préfèrent patienter, connaissant la susceptibilité des ces « chances pour la France ».
Mais le femme ainsi bloquée par ces gens irrespectueux a eu le malheur de klaxonner !
Aussitôt elle est prise à partie par les petits voyous, qui prétendent que leur voiture a été accrochée et demandent à la personne de descendre pour faire un constat.
Elle leur propose plutôt d’appeler la Police et saisit son téléphone, ce qui a pour effet de faire fuir les voyous. Bon réflexe.
Mais ces deux exemples sont révélateurs d’un climat qui hélas n’est pas nouveau, et qui fait que Blésois et touristes ont tendance à déserter le centre-ville une fois la nuit tombée.
A quand une véritable réaction ?
Blois : agressions au quotidien.
Conseil municipal de Blois : budget supplémentaire… en attendant 2020.
(images d’archives)
Dans les différents échanges au conseil municipal de rentrée à Blois on sent arriver l’échéance de 2020.
Budget supplémentaire : l’emprunt en ligne de mire.
Dès l’examen du budget supplémentaire Marc Gricourt a tenu à démentir les propos de Michel Chassier et Mathilde Paris dans la Nouvelle République du 15/09 décrivant une majorité « à bout de souffle » (la Nouvelle République du 25/09/2018).
Et il s’appuie pour cela sur la bonne maîtrise de budget qui permet à la Ville de réaliser en 2018 davantage d’investissements qu’en 2017.
Ce à quoi Michel Chassier peut répondre : « certes, mais ces investissements nouveaux sont financés uniquement par l’emprunt« . L’élu RN met également l’accent sur les dépenses de fonctionnement, qui augmentent de 1,14% selon les prévisions budgétaires, soit plus que les 1,05% autorisés par l’Etat. Augmentation qui résulte de hausses subies : carburant, énergie etc… dans un contexte de reprise de l’inflation ( CM 24-09-2018 – BS2018 ).
Auparavant Michel Chassier était déjà intervenu pour faire part des risques encourus sur les taux variables alors que la BCE doit réformer l’Euribor en 2020 : « Tous les acteurs financiers conviennent que le taux actuel de l’Euribor est déconnecté de la réalité,[...] La BCE préconise une réforme des taux de référence qui devrait prendre effet en 2020 et conduire à un niveau plus élevé. D’un point de vue contractuel, est-ce qu’il faudra considérer qu’il s’agit toujours du même indice ? Car dans ce cas le taux pourrait augmenter vraisemblablement dans une fourchette de 1 à 2%. »
En lire plus …
Blois : voiture incendiée au lac de la Piçonnière.
Image d’archives : voiture brûlée dans le lac de la Pinçonnière en 2017.
Un de nos correspondants nous informe que jeudi vers 21h30, les pompiers sont intervenus sur un véhicule Ford Fuego en feu sur le parking nord ( bâtiments communaux ) du lac de la Pinçonnière à Blois.
La carcasse était toujours en place le lendemain matin avec une plaque d’immatriculation identifiable.
La nuit précédente, ce sont à nouveau des poubelles qui ont été incendiées en Vienne, rue Georges Litalien, dans un quartier lui aussi régulièrement touché par ce genre d’exactions.
Dormez bien braves gens !
Loir et Cher : le Rassemblement national déjà offensif.
Dans un entretien récent sur France 2 pour ses 50 ans d’émissions politiques à la télévision, on a demandé à Alain Duhamel quelle avait été sa principale erreur de jugement. Réponse de l’intéressé : c’est en 1984, quand j’avais pensé que le Front national n’était qu’un « feu de paille ».
Beaucoup d’autres observateurs, de journalistes, sans parler de nos adversaires, ont régulièrement annoncé notre mort depuis lors : après la scission en 1998, après l’élection se Sarközy – qui s’était vanté d’avoir tué le FN – en 2007, et à nouveau après la présidentielle de 2017, oubliant les 11 millions d’électeurs de Marine Le Pen.
Mais après un an de travail acharné et en dépit des attaques de nos adversaires, la refondation porte ses fruits, les faits nous donnent raison, la bulle macronnienne implose, et de nouveau nous avons rendez-vous avec l’histoire.
Les sondages nous placent pratiquement à égalité avec le conglomérat LREM-MoDem-UDI, et ce n’est qu’un début.
Au niveau local également, la dynamique est bien là.
La Nouvelle République titrait ce samedi son article consacré à la rentrée politique blésoise : « le Rassemblement national déjà offensif« . Et de fait sur la Ville de Blois nous sommes les seuls désormais à incarner l’alternance attendue par les Blésois après deux mandats de Marc Gricourt. L’autre groupe d’opposition (?) a complètement éclaté, la majorité commence à se fissurer.
C’est le même constat à la Région, où la majorité de François Bonneau est fragilisée par la dissidence des élus passés à LREM sur fond de municipales 2020.
Sans doute pourra-t-il compter sur le soutien de Guillaume Peltier, qui continue à jouer le grand écart entre un discours de « droite forte » visant à séduire notre électorat, tandis que a presse le qualifie ironiquement de « 14ème vice-président ». On se demande d’ailleurs comment son groupe, souvent divisé lors des votes, peut encore tenir. Attendons les élections européennes…
Plus que jamais nous devons être présents auprès de nos compatriotes, plus que jamais nous avons besoin de votre soutien dans cs moments décisifs.
Le conducteur responsable de la mort du jeune cycliste écroué.
Prison de Blois (image d’illustration).
Le conducteur qui avait percuté le jeune Takhir le 10 septembre à la ZUP de Blois avait pris la fuite. L’enfant n’avait pas survécu à ses blessures.
Dès le 13/09, nous étions informés du profil du conducteur, déjà bien connu de la Police et de la Justice puisqu’il était sorti de prison depuis peu. Sans doute la vidéosurveillance aura permis de l’identifier. On savait aussi qu’il conduisait sans permis et sans assurance.
Nous n’avions pas divulgué ces informations afin de ne pas gêner le travail des enquêteurs devant conduire à le retrouver.
L’individu s’est finalement présenté au commissariat lundi dernier, une semaine après le drame, accompagné de son avocat (la Nouvelle République du 20/09/2018).
Il a été mis en examen pour homicide involontaire aggravé et aussitôt écroué.
Le procureur confirme que l’individu avait déjà été condamné plusieurs fois entre 2012 et 2017 pour des délits routiers (déjà !) et des affaires de stupéfiants.
Son nom n’est toujours pas divulgué, mais d’après nos sources il s’agit vous l’avez compris d’une « chance pour la France », selon l’expression reprise de Jacques Attali à Madame Parisot en passant par Emmanuel Macron, pour qui l’immigration est toujours «une chance pour la France».
Blois : le voile islamique s’impose à l’antenne de droit.
Avec 200 étudiants inscrits et une légère progression en 1ère année, le directeur de l’antenne universitaire de droit s’estime plutôt satisfait, au moment où d’autres enseignements sur le site de Blois sont remis en cause par l’Université de Tours, ex-François Rabelais.
Mais ce qui frappe sur photo de la Nouvelle République illustrant l’article, c’est la présence de deux étudiantes portant le hijab, c’est à dire le voile islamique.
Mais si la loi de 2004 avait interdit le port du voile dans l’enseignement secondaire (primaire, collège, lycée) pour les élèves comme pour les personnels, y compris les accompagnants des sorties scolaires, ce n’est pas le cas dans l’enseignement supérieur, où les présidents d’université sont priés de se « débrouiller », et comme ils ne veulent surtout pas d’histoire, on connaît le résultat.
En tout cela ne semble pas déranger le président, Pierre Boisseau, par ailleurs dixième adjoint en charge de la démocratie locale, de l’intégration républicaine, de la laïcité, de l’histoire et de la mémoire et des égalité des droits, et défenseur intransigeant de la laïcité… quand il s’agit de l’Eglise catholique…
Pour notre part nous considérons que le port ostensible, pour ne pas dire provocateur, du voile islamique dans cette enceinte manifeste une revendication communautaire et l’affirmation de la supériorité du droit coranique par rapport au droit français.
Inquiétant pour des étudiantes en droit qui peuvent demain se retrouver magistrats, et peut-être présider une audience en portant le voile, sans parler des orientations que pourraient prendre leurs jugements.
Blois : quand un adjoint porte plainte contre un ex-adjoint en Marche…
Adjoint et ex-adjoints ont bien du temps à perdre sur Facebook. Comme dit l’un des intervenants dans des échanges « quand-est-ce qu’on sort du caniveau ? »
Il va y avoir de l’ambiance au conseil municipal du 24 septembre à Blois.
Ozgur Eski, onzième adjoint en charge de la politique « de la ville », du suivi du PRU, de le Gestion urbaine de proximité et de l’économie sociale et solidaire veut poursuivre Louis Buteau, ex adjoint en charge du commerce démis de ses fonctions lors du conseil municipal du 23 avril après avoir publiquement critiqué les actions de la Ville qu’il était pourtant chargé de suivre depuis 4 ans !
Et pour cela Qzgur Eski fait appel à la protection fonctionnelle des élus pour que la Ville couvre ses frais de justice.
Ce sera l’objet de la délibération n°206.
En fait l’intéressé vise des propos publiés sur la page Facebook publique de Louis Buteau par Malika Ghedjati, elle-même adjointe au commerce lors de la précédente mandature et également « remerciée » par Marc Gricourt.
Nous ne reproduirons ses propos qui, à l’heure où nous écrivons, n’ont pas été retirés de le page Facebook en question.
Ils font référence à une rixe dans la quartier de Quinière en juillet 2014 où semble-t-il Ozgur Eski aurait tenté de s’interposer, ce qui lui valu en réprésailles l’incendie de sa voiture et de celle de son épouse.
Nous avions à l’époque rendu compte des faits, ce qui nous avait valu également une plainte assortie là encore d’une demande de protection fonctionnelle, votée par la majorité, dont Louis Buteau. Hodie mihi, cras tibi !
Cette plainte ridicule n’a d’ailleurs jamais abouti, mais nous aimerions savoir si la Ville avait engagé des frais dans cette affaire.
Une fois encore tout cela semble disproportionné, il aurait certes été préférable que Louis Buteau modère de lui-même les commentaires sur sa page, mais il aurait été facile à la personne visée de lui demander tout simplement de faire retirer ces propos lourds de sous-entendus.
Mais il préfère sans doute un procès… surtout si les frais sont payés par la Ville, donc par les Blésois.
Cela ne va pas améliorer l’image des politiques…
Un jeune cycliste tué par une voiture à la ZUP de Blois, le conducteur en fuite.
Le lieu du drame : la priorité à droite est censée réduire la vitesse… à condition de la respecter.
Lundi soir le jeune Takhir, âgé de 12 ans, a été violemment renversé par une voiture rue de Tourville à la ZUP de Blois, entre la Place Lorjou et la médiathèque. Transporté à l’hôpital Clocheville à Tours, il n’a pas survécu à ses blessures (la Nouvelle République du 12/09/2018).
Le conducteur de la voiture a pris la fuite.
Même si toutes les circonstances de l’accident ne sont pas connues, l’émotion est grande dans le quartier, et nombreux sont ceux qui dénoncent la vitesse excessive de certains conducteurs et le non respect des règles.
Certains soulignent aussi le manque d’aménagements de sécurité.
On peut d’ailleurs s’étonner que dans ces quartiers rénovés récemment et à grands frais il n’y ait pas davantage de pistes cyclables.
Le maire de Blois qui s’est rendu sur les lieux s’interroge sur « l’apprentissage des règles de sécurité routière et le respect collectif du code de la route« .
Mais comment certains individus qui ne respectent pas loi pourraient-ils respecter le code de la route ?
En souhaitant que le conducteur soit identifié rapidement, toutes nos pensées vont aux parents de la jeune victime.
Combien de « migrants » en Loir et Cher et combien ça coûte ? Le Rassemblement national pose la question à Nicolas Perruchot.
Migrants de Calais accueillis à Blois en octobre 2016 dans des logements réquisitionnés. Combien aujoud’hui ?
Suite à publication d’un dossier de presse sur les « mineurs non accompagnés » par le Conseil départemental d’Indre et Loire, nous posions publiquement la question pour le Loir et Cher.
Longuement interviewé par la Nouvelle République, Nicolas Perruchot évoque moins de 100 mineurs qui auraient demandé l’asile (chiffre arrêté début juillet), mais s’agit-il des mineurs arrivés ou bien de ceux admis au bénéfice de l’aide sociale à l’enfance après examen de leur situation (307 fin août en Indre et Loire pour 865 arrivés… dont déjà 426 se sont révélés majeurs, sans être pour autant reconduits à la frontière).
Et rien sur la charge que cela représente pour le département.
C’est pourquoi Michel Chassier, Président du groupe RN au conseil régional, a écrit à Nicolas Perruchot afin de lui demander de rendre publiques toutes ces informations.
Attendons sa réponse.
Nous reviendrons ces prochains jours sur les autres sujets abordés dans cette interview.
Encore des feux de voitures à Blois.
(image d’illustration).
Deux voitures ont été incendiées à Blois dans la nuit de samedi à dimanche (la Nouvelle République du 10/09/2018).
La première rue Sainte Anne en Vienne vers 4 h 30, la seconde sur le mail Pierre Sudreau vers 5 heures.
Il se pourrait que les auteurs soient les mêmes si l’on considère la distance qui sépare les deux endroits et le laps de temps entre les deux incendies.
On peut s’interroger par contre sur la motivation de ces actes criminels.
Encore deux victimes qui auront bien du mal à se faire indemniser de leur préjudice.
C’est la rentrée politique en Loir et Cher.
Notre blog a marqué une pause au mois d’août, mais nos militants sont restés actifs sur les réseaux sociaux… et sur le terrain !
Collages et distribution de documents ont eu lieu tout l’été, notamment en Beauce et la semaine dernière dans le Blésois.
Nous reviendrons ces jours-ci sur les principaux événements locaux du mois d’août.
Le bureau départemental se réunira le 7 septembre.
Nous reviendrons aussi sur la tentative d’assassinat judiciaire du Rassemblement national et sur notre riposte.
A l’heure où partout en Europe les faits nous donnent raison, l’heure est plus que jamais au rassemblement et au combat !
Permanence du RN 41 : les horaires du mois d’août.
Durant le mois d’août la permanence du Rassemblement national de Loir et Cher reste ouverte tous les vendredi, mais seulement le matin (8 h à 12 h).
Notre ami Robert Limelette (Bob) vous y accueillera.
Vous pouvez laisser un message au 02 54 42 12 17 ou nous contacter via notre blog (cliquez sur « contact »).
Blois : l’antenne universitaire menacée ?
A la rentrée 2018 l’Université de Tours (ex François Rabelais) ouvre de nouvelles formations informatiques à Tours… les mêmes que celles qui sont enseignées à l’antenne de Blois.
Une façon déguisée de fermer à terme le site de Blois au profit de la métropole tourangelle.
Les élus d’Agglopolys avaient adopté le 12 juillet un voeu adressé au président de l’Université pour soutenir le maintien de ses filières à Blois, voeu resté depuis sans réponse.
Le président Degruelle fait part de sa « grande déception » (la Nouvelle République du 28/07/2018), mais cela ne remettra pas en cause l’ouverture des formations concurrentes à Tours dès la rentrée.
On peut se demander dès lors quelle est l’utilité du Schéma Régional de l’Enseignement Supérieur de la Recherche et de l’Innovation (SRESRI), puisque les présidents d’université n’en tiennent pas compte, occupés par ailleurs par des projets de regroupement hors Région.
Cela démontre une fois de plus les dangers de la métropolisation au détriment des villes moyennes et des territoires ruraux, dangers régulièrement dénoncés par les élus du Rassemblement national, auxquels l’exécutif régional fait toujours la même réponse : vous avez tort de vous inquiéter, la Région entretien de bonne relations avec les métropoles… Bref la langue de bois.
15 juillet à Blois : quand la fête dégénère.
Militaires et policiers sifflés par une foule hostile. Où est le sentiment de fierté nationale ?
A Blois comme partout la célébration de la victoire de l’équipe de France a été émaillée d’incidents.
Et il a fallu quelques jours pour que l’info ressorte sur les réseaux sociaux, la presse locale comme nationale a étouffé ces débordements ou bien les minimise.
Des vidéos montrent une voiture, peinte en bleu-blanc-rouge, retournée par la foule place de la Résistance. Curieuse manière de célébrer la victoire. Et quand les policiers arrivent sur place, ils sont pris à partie ainsi que les militaires chargés de sécuriser les place. On voit les forces de l’ordre obligées de reculer devant une foule hostile. Pour quelle raison ?
Dans le contexte de menace islamo-terroriste que nous connaissons, tous ceux qui célébrait cette victoire auraient dû au contraire applaudir nos soldats.
Tout comme Olivier Giroud qui considère que nos militaires qui risquent leur vie méritent davantage la légion d’honneur que des footballeurs ou des artistes.
Les réactions sont nombreuses sur les réseaux sociaux pour condamner ces exactions.
Mais Ozgur Eski minimise, tout comme le directeur de cabinet de Marc Gricourt qui compare à 1998.
Avec une différence notable pour ceux qui ont un peu de mémoire : il y avait beaucoup plus de monde dans les rues de Blois en 1998, ce qui prouve que beaucoup de Blésois ont renoncé à venir en famille par crainte d’incidents dans un climat de sécurité dégradé.
En 1998 on n’avait pas retourné une voiture place de la Résistance, mais la statue qui se trouvait au milieu du rond-point avait disparu, ce dont à vrai dire peu de Blésois s’étaient plaints.
Autre temps, autre moeurs.
Pression communautaire à la pataugeoire de l’Agglo : ça continue.
Comme tous les étés, les incidents se répètent à la pataugeoire de l’Agglo au parc des Mées.
Nous en avions déjà parlé en 2013 et en 2014, mais cette fois c’est la Nouvelle République qui est obligée d’en parler.
Il y est question d’une « ambiance parfois orageuse« , de la « mauvaise humeur de certains usagers« , de personnes qui entre dans l’eau en survêtement ou avec un jean retroussé.
Mais il faut bien aborder le coeur du sujet. Un surveillant explique : « l’autre jour j’ai expliqué à une femme voilée qu’elle ne pouvait pas rester dans le bassin ainsi habillée. Son mari est venu me voir pour me dire que c’était à lui qu’il fallait que je m’adresse. »
Nous pourrions ajouter que le réglement intérieur s’applique non seulement dans le bassin mais sur les plages, et une femme voilée ne devrait pas être acceptée dans l’enceinte de la pataugeoire.
Le réglement avait déjà été assoupli en 2014 et ne parlait plus que de « vêtements trop longs. »
Cette fois encore pour calmer le jeu, il est fait appel à un agent de médiation. Comme si un règlement qui touche à l’hygiène et à la sécurité pouvait faire l’objet de médiation et d’acommodements ?
Mais cela risque de ne pas suffire, comme le prouvent les jets de bouteilles durant la nuit qui ont occasionné une fermeture de la pataugeoire pendant deux jours la semaine dernière. Acte de vengeance suite à une remarque d’un surveillant ?
Comme le constate le président d’Agglopolys, Christophe Degruelle, « tout cela illustre les difficultés du bien vivre ensemble. »
Ce qui ne fait que confirmer ce que nous disons depuis longtemps : cette immigration de masse voulue par nos gouvernants depuis plus de 40 ans conduit à cette situation explosive.
Il serait temps de l’admettre et d’en tirer les conséquences.
Salbris et Vendôme acceptent leur mise sous tutelle par l’Etat.
A Blois comme à la Région, les élus RN ont voté contre la mise sous tutelle.
Après Nicolas Perruchot qui s’était précipité pour signer avec l’Etat au nom du département, ce sont les villes de Salbris et de Vendôme, ainsi que l’agglomération des territoires vendômois, qui ont accepté la mise sous tutelle de leur budget, au mépris du principe constitutionnel de libre administration des collectivités.
Nous avions déjà parlé du débat à Blois, où le conseil municipal a refusé de se soumettre et à la région Centre-Val de Loire, où le président Bonneau a fini par signer, contraint et forcé.
Prochaine étape en 2020 : faudra-t-il soumettre au Préfet les programmes des candidats à l’élection municipale pour vérifier s’ils permettront de respecter cet engagement, et le cas échéant invalider les candidatures qui refusent de s’y plier ?
Le « nouveau monde » de M. Macron ressemble fort au second empire, où ce sont les Préfets qui désignaient les maires ! Et où les banquiers ont véritablement pris le pouvoir…
Blois : retour sur le conseil municipal.
Le conseil municipal de Blois s’est lundi 25 juin.
Premier sujet abordé : la contractualisation avec l’Etat, dont nous avions déjà longuement parlé.
Le maire de Blois a proposé de ne pas signer ce contrat léonin, suivi par la quasi-totalité des élus, à l’exception des deux macronistes, Louis Buteau (ex PS) et Véronique Reineau (ex LR).
Dommage que Marc Gricourt, 1er président de la Région, n’ait pas la même position à Orléans.
L’examen du compte administratif fait ressortir la fragilité des marges et interroge sur l’avenir pour cette fin de mandature, en particulier pour le projet commercial Saint-Vincent, qui a peu de chances d’aboutir avant 2021.
Au sujet de la reconstruction du groupe scolaire de la Croix Chevalier, Véronique Reineau s’est réjouie d’un « renouvellement de population. »
Michel Chassier lui a répondu qu’il faudrait plutôt parler de « remplacement de la population« .
En outre il a rappelé les graves désordres constatés sur l’école Jules Ferry, inaugurée en 2011. Marc Gricourt a reconnu qu’il ne faudrait pas répéter « les mêmes erreurs« . C’est donc reconnaître, au-delà des malfaçons, une erreur de conception.
La Ville propose également aux associations une « charte culturelle ». Le problème est qu’elle s’inspire de la « déclaration de Fribourg », qui fait ouvertement la promotion d’une conception communautariste de la culture. Par exemple, toute communauté résidant sur une territoire donné, en l’occurrence le nôtre, doit pouvoir « enseigner et recevoir un enseignement dans sa langue« , y compris donc étrangère.
Ce qui va tout à fait à l’encontre d’une démarche d’intégration. Michel Chassier a rappelé l’épisode de dimanche soir ou des dizaines de ressortissants turcs ont bruyamment célébré dans les rues de Blois la victoire d’Erdogan.
Enfin les élus du Rassemblement national se sont étonnés du choix de déplacer l’aire de grand passage des « gens du voyage » près de la D951, ce qui n’est pas la meilleure image de Blois que l’on puisse offrir au touristes qui arrivent dans notre ville, y compris sur l’itinéraire de la Loire à Vélo.
Encore une fois, seuls les élus FN/RN font entendre leur différence et osent aborder les questions dont personne n’ose parler publiquement… même si certains les félicitent en privé.
Conseil régional : conférence de presse ce matin à Orléans
Conférence de presse ce matin à Orléans. Michel Chassier, président du groupe RN-Centre Val de Loire : « Par principe, nous voterons contre la contractualisation avec l’Etat sachant qu’elle ne met pas à l’abri la collectivité d’une pénalité en cas de dépassement du plafond de ses dépenses » #RCVL #RegionCentreValdeLoire.
Nous avons déjà traité ce sujet, nous y reviendrons à l’occasion de la prochaine session qui débute jeudi matin à 9 h 30 à Orléans.
Voir notre communiqué de presse du 21/06 et notre article du 23/06.
Michel Chassier est également intervenu hier soir au Conseil municipal de Blois sur ce sujet (la Nouvelle République du 26/06).
Blois : les partisans d’Erdogan fêtent bruyamment leur victoire.
Les partisans du président turc Reycip Erdogan ont manifesté bruyamment au centre-ville de Blois hier soir pour fêter la victoire de leur candidat.
Ils ont commencé à se rassembler au pied de l’escalier Denis Papin avant de défiler en voiture dans le center-ville à grand renfort de klaxon, en agitant les drapeaux turcs. A minuit la fête durait encore, au grand dam des riverains.
Ce genre de manifestation démontre une fois de plus un comportement communautaire qui est tout le contraire d’une volonté d’intégration.
Imagineriez-vous des Français célébrer la victoire de leur candidat dans les rue d’Ankara ou d’Istanbul ?
Cela démontre également à quel point le parti d’Erdogan est présent et organisé en France, contrôlant des associations, des syndicats et des mosquées.
Tout cela est pour le moins inquiétant.
Déjà samedi après-midi c’est un cortège de mariage qui roulait à contre-sens dans une rue centre-ville. La Nouvelle République qui signale l’incident ne précise pas toutefois de qui il s’agit. Peut-être des Suédois ?
Vos élus Rassemblement national au travail.
Voici les dossiers qui seront examinés mors de la prochaine session plénière à la Région !
La fin du mois de juin est traditionnellement chargée pour les élus locaux : c’est l’heure du vote des comptes administratifs, autrement dit le bilan de l’année écoulée, en plus des délibérations habituelles.
Et cette année pour le collectivités les plus importantes il faudra aussi trancher la question de la contractualisation budgétaire imposée par le gouvernement : la signer ou pas. En Loir et Cher cela concerne le Département et la Ville de Blois.
Et contrairement à ce que tentent de vous faire croire trop souvent les médias nationaux, les élus du Rassemblement national travaillent sérieusement et sont bien présents dans les assemblées.
Ce sera le cas lundi soir à Blois, mardi 26 à Mer, mecredi 27 à Romorantin, jeudi 28 à la Communauté de communes beauce-Val de Loire, etc…
Et le Conseil régional, après la commission permanente du 22 juin se réunit en session plénière sur deux jours, les 28 et 29 juin.
Vos élus travaillent déjà sur les dossiers, reçu parfois tardivement dans certaines communes (le délai réglementaire est de 5 jours francs).
Rappelons que toutes ces réunions sont publiques et que vous pouvez y assister.
Blois : 3 algériens immigrés clandestins interpellés.
Contrôle aux frontières : des ratés inquiétants.
Pourquoi se gêner ?
Trois individus se sont introduits dans un appartement rue du Sermon à Blois après avoir brisé une vitre (la Nouvelle République du 21/06/2018).
Procédé habituel pour des squatteurs qui, une fois installé dans les lieux, deviennent rapidement impossible à déloger, si ce n’est au tyerme d’une longue procédure.
C’est ainsi dans notre pays, les squatteurs ont davantage de droits que les propriétaires, qui parfois ne peuvent récupérer leur bien qu’au bout de deux ou trois ans, et complètement détérioré. Et bien sûr les coupables sont insolvables.
Heureusement dans ce cas précis, un voisin a pu alerter la Police qui est intervenue rapidement.
Et il s’avère que les trois individus, dont une mineur, sont des algériens en situation irrégulière, autrement des clandestins.
D’où cette question : ou bien ils avaient déjà été repérés sur le territoire mais laissés libres de circuler à leur guise, ou bien ils étaient passés entre les mailles du filet.
Plutôt inquiétant quand on connaît la présence en Algérie de groupe islamistes radicaux pourchassés par le pouvoir mais toujours actifs dans la clandestinité.
Cela en dit long sur le contrôle aux frontières de l’Union européenne et le fameux dispositif Frontex censé nous protéger.
Les deux adultes ont été transféré vers un centre de rétention administrative en vue de leur expulsion du territoire français… si un pays accepte de les accueillir et a condition que les associations pro-immigration financées avec nos impôts ne déposent pas un recours, ce qui est quasi-automatique.
Quand au « jeune mineur », il ne pourra pas être expulsé, il a fait l’objet d’une rappel à loi et sera pris en charge par les services sociaux du Département.
Incendie de voitures 3 mois de prison pour l’auteur, 20 € d’indemnité pour la victime.
Procès tout à fait symbolique au tribunal correctionnel de Blois : on y jugeait un « jeune » de 30 ans, anonyme, et qui a déjà passé plus de 4 années en prison pour, dit-il « des bêtises » (la Nouvelle République du 18/06/2018).
A noter que l’individu avait été surpris par la police en flagrant délit le… 12 mars 2013. Il y a plus de 5 ans !
Il est condamné à 3 mois de prison ferme.
Mais ce qu’il faut retenir, c’est que la victime n’avait reçu de son assurance qu’une indemnité de… 20 € !
C’est bien ce que nous répétons : les victimes de ces incendies sont le plus souvent des gens modestes, et les assurances remboursent très peu, à condition q’elles remboursent selon le contrat souscrit et les exclusions éventuelles.
C’est pourquoi ce fléau doit cesser, sans oublier les proportions que peut prendre un incendie, comme le rappelait la vice-procureure.
Hélas la série continue, nous apprenons le même jour qu’un voiture a été incendiée à Blois rue Jean de la Fontaine, dans le quartier de la Quinière vers 4 heures du matin ce dimanche…
Blois : le collège Bégon célèbre l’Aid.
Le Conseil de la Vie Collégienne du collège Bégon, à la ZUP de Blois, accompagné par les CPR (Conseillers principaux d’éducation) organisent le 21 juin une journée spéciale à l’occasion de la fête de l’Aid el Fitr (bien que ce ne soit pas la date exacte).
Les élèves sont invités à venir habillés en « tenue traditionnelle (boubou, wax, takchita)« .
Un « repas de l’Aid » sera servi au self le midi. Sera-t-il précédé comme le veut la tradition par la triple invocation d’Allah, où l’on répète « Allâhu Abkar, Allâhu Akbar, Allâhu Akbar » ?
Cela pose tout de même beaucoup de questions.
Comment peut-on en arriver à considérer que pour des élèves de collège, les « tenues traditionnelles » soient des tenues africaines ou marocaines ? Pourquoi pas le tchador, le haik ou le caftan ?
C’est un nouvel exemple de cette intégration à l’envers, qui consiste à préférer la culture d’origine plutôt qu’une assimilation.
Croyez-vous que des jeunes collégiennes d’origine africaine vont venir en boubou pour être la risée des petits caïds d’origine maghrébine ? Beaucoup de familles originaires d’Afrique subsaharienne sont chrétienes ou animistes et ne voient certainement pas d’un bon oeil la célébration d’une fête musulmane au sein d’un établissement scolaire public.
Quand aux jeunes français « de souche » ils devront encore subir, en évitant surtout de critiquer ou de manifester leur désaccord sous peine de représailles ou même de sanctions de la la part de l’équipe enseignante.
Une fois encore, c’est eux qui devront se soumettre avec la complicité des autorités.
Les élus blésois du Rassemblement national vont s’adresser aux autorités compétentes, Education nationale et Département, pour dénoncer cette initiative.
Et pour commencer, nous vous invitons à partager massivement cette information sur les réseaux sociaux.
Blois : l’insécurité au centre-ville, un problème récurrent.
Marginaux place Valin à Blois (photo d’archives)
La saison touristique a largement démarré, les soirées sont longues, Blésois et visiteurs sont nombreux aux terrasses dans le centre-ville de Blois.
Malheureusement depuis des années quelques marginaux, pour la plupart bien connus, importunent régulièrement les clients et les passants, quand ils ne se bagarrent pas entre eux sous l’effet de l’alcool.
Certains sont accompagnés de chiens parfois dangereux, au prétexte de se protéger, mais il peuvent aussi s’en servir pour attaquer, y compris contre des policiers en novembre dernier rue du commerce (la Nouvelle République du 12/06/2018).
Les policiers ont du intervenir une nouvelle fois vendredi dernier pour maîtriser un marginal particulièrement violent.
Ce n’est pas hélas la première fois, une série d’incidents et d’agressions en 2016 avait conduit commerçants et riverains et lancer une pétition pour demander au maire de Blois de réagir.
En lire plus …
Quartiers nord de Blois : moins d’habitants, davantage d’enfants dans les écoles ?
A l’occasion de la réunion des quartiers nord de Blois, le maire et son équipe municipale ont fait le point sur les différents projets.
Curieusement les questions « sensibles » n’apparaissent pas dans le compte-rendu de la Nouvelle République.
Rien sur l’insécurité chronique ni sur l’école maternelle Jules Ferry, dont nous évoquions les problèmes hier.
Par contre il était question de la reconstruction de l’école Mandela-Croix Chevalier.
Un projet à 10 millions d’euros, justifié selon le maire par la démographie scolaire de ces quartiers « qui accueillent 54% des effectifs totaux de la ville et où la démographie scolaire a été de + 20% depuis 2009″.
Chiffres qui interrogent, quand on sait avec le Plan de Rénovation Urbaine (PRU), ces quartiers ont perdu une partie de leur population, ce qui n’empêche pas les effectifs scolaires d’augmenter.
Moins d’habitants, davantage d’enfants ? Cela veut bien dire plus d’enfants par habitant, autrement dit cela démontre une fois de plus qu’il y un changement de population toujours plus marqué.
Mais l’INSEE n’a pas le droit de publier les statistiques sur l’origine de ces populations, dès lors que les enfants nés en France sont automatiquement Français, même si beaucoup à l’âge adulte ne manifestent pas vraiment leur amour pour la France.
ET tous ces millions dépensés n’empêcheront pas certains de répéter que ces quartiers sont « défavorisés ».
Vous connaissez la chanson !
Mises en avant
Mathilde Paris invitée de la rédaction sur TVTours
Mathilde PARIS, tête de liste « Un autre avenir pour Blois » était jeudi soir l’invitée de la rédaction de @TVTOURS. Revoir la vidéo....
Jordan Bardella à Mer le 25 janvier
Bien que nous ayons basculé sur notre nouveau site depuis juin 2019, vous êtes encore nombreux à consulter ce blog. C’est pourquoi nous avons décidé...
RN Loir-et-Cher : Notre nouveau site internet départemental est en ligne.
Dans la suite logique de la refondation de notre mouvement initiée l’an dernier par nos instances nationales, nous avons le plaisir de vous faire...
Européennes 2019 : Marine LE PEN, Jordan BARDELLA et Nicolas BAY à Mer Samedi 13 Avril.
Nous avons l’honneur de vous annoncer la venue de Marine LE PEN, Présidente du Rassemblement National, Jordan BARDELLA, Tête de liste aux élections...
Européennes 2019 : le temps se gâte pour Macron et ses alliés.
Marine Le Pen imprime sa marque sur la campagne des européennes. Lors de son passage dans l’Emission politique la semaine dernière, elle a réalisé...
Européennes 2019 : en Loir et Cher aussi #OnArrive !
La campagne pour les européennes se poursuit en Loir et Cher : affichage, distribution de documents dans les boîtes aux lettres, porte à porte. Une partie...