Maire, officier de police judiciaire, j’étais à nouveau cette nuit en patrouille avec la police municipale.
Ce n’est pas la maire de Blois qui publie cette information sur Twitter, mais le maire Beaucaire, Julien Sanchez.
Un moyen de rappeler l’importance qu’il accorde à la sécurité des ces concitoyens, et de soutenir la police dans l’exercice de ses missions au moment où certains la dénigrent.
Un exemple à suivre pourquoi pas à Blois.
Et si le maire ne veut pas le faire, les élus du Rassemblement national peuvent recevoir une délégation pour le faire à sa place, il y sont tout à fait disposés.
Le maire en patrouille de nuit avec la police municipale… pas à Blois, mais à Beaucaire.
Jules ferry : une école nouvelle déjà insalubre ?
Maternelle Jules Ferry : derrière une façade écolo, combien de malfaçons ?
Inaugurée en septembre 2011, l’école maternelle Jules Ferry à Blois était la fierté de Marc Gricourt, une réalisation phare de son premier mandat.
Dans une vidéo toujours en ligne sur le site de la Ville de Blois (voir ci-dessous), Yann Bourseguin vantait le choix architectural, le recours à des solutions respectant l’environnement, les toitures végétalisées, bref une école qui s’inscrivait dans le concept de « construction durable« , digne du XXIème siècle.
Sauf que les bâtiments, en dépit de leur bardage bois pour faire plus écolo, sont peut-être moins durables que prévu, et qu’ils risquent bien de ne pas voir la fin du siècle.
Et pour cause, quelques années après son ouverture, l’école est touchée pas de graves désordres : « larges taches d’humidité mais aussi des morceaux de plaques de plâtre arrachés et même des trous béants où pendouille de la laine de verre. Pour ne rien arranger, il y a une semaine, le mur séparant une classe du couloir s’est soudainement affaissé en partie... » (la Nouvelle République du 5/06/2018).
C’est au point que le dortoir a dû être fermé en début d’année et que deux classes devraient être relocalisée dans l’école primaire voisine en attendant le résultat des expertises et la mise en jeu de la garantie décennale.
Tout cela dans un bâtiment construit il a tout juste 7 ans.
Les études avaient été lancées à la fin du mandat de Nicolas Perruchot, et les élus FN avaient jugé à l’époque qu’une rénovation du bâtiment ancien, de bonne facture architecturale, aurait été préférable.
Mais la Ville de Blois a préféré dépenser 4 millions d’euros et démolir l’existant.
Le pire c’est que beaucoup des logements reconstruits dans le cadre du PRU risquent fort de connaître rapidement les mêmes mésaventures.
Le directeur d’un des principaux bailleurs sociaux de Blois ne cachait d’ailleurs pas son inquiétude – en privé – sur l’espérance de vie de ces fameux bâtiments « durables » dont l’obsolescence lui paraît d’ores et déjà programmée.
Autre remarque au passage, encore plus « politiquement incorrecte » : la photo des parents d’élèves et de leurs enfants par l’extrême droite. Pour voir la vérité, il suffit pourtant d’ouvrir les yeux…
Blois : voiture incendiée et tensions à la ZUP.
Rue Maryse Bastié – image d’illustration.
Avec les longues soirées de juin et la période du ramadan, il y a du monde assez tard dans les rues de la ZUP.
Et aussi un certains de petites racailles qui continuent à semer le désordre dans le quartier, à brûler des véhicules et à provoquer les forces de l’ordre.
La Nouvelle République du 5 juin rapporte un incendie de voiture dans la nuit de dimanche à lundi rue Maryse Bastié, vers 2 heures du matin.
Un quartier régulièrement touché par ce type de délinquance.
Aucune trace cependant d’une information qui nous a été rapportée par des habitants du quartier au sujet d’un incendie de scooter le même soir du côté de la place Mirabeau.
Un voiture de Police arrivée sur les lieux aurait été caillassée.
Dans plusieurs villes de France ce genre d’incident se multiplies en ce moment.
Les forces de l’ordre vont-elles recevoir à nouveau des consignes d’évitement ? C’est bien probable selon le témoignage discret de policiers d’une ville voisine de la Région.
Exactement le contraire de ce qu’il faudrait faire.
Et après cela on s’étonnera que les Français rejettent le « vivre ensemble » et ma « mixité sociale » qu’on voudrait leur imposer !
Blois : pneus crevés en série au parking Saint Honoré.
Près de la moitié des voitures stationnées sur le parking Saint Honoré à Blois ont eu les pneus crevés.
Il y avait un défilé de dépanneuses ce matin dans la rue…
Ce n’est pas la première fois que ce parking est la cible de ce genre de malveillance.
Il serait peut-être temps d’envisager une caméra de vidéo-surveillance.
Loir et Cher : le marais de la gauche rend service à Macron.
Ils avaient espéré une marée, c’est plutôt le marais, pour ne pas dire le marigot de la gauche et de l’extrême gauche qui a démontré ses limites.
C’est fini : Mélenchon a perdu son pari, il ne sera jamais le 1er opposant à Macron, comme les tenants du système en place tentaient de le faire croire depuis des mois.
A Blois, la « marée populaire » soutenue au niveau national par plus de 60 mouvements politiques de la gaiche à l’extrême-gauche, plusieurs syndicats et de nombreuses associations (dont combien subventionnées ?) n’a rassemblé, selon le décompte de la Nouvelle République, que 300 manifestants place de la Résistance.
Même constat au niveau national, où tous les observateurs concluent qu’avec de tels opposants, Macron peut dormir tranquille.
Il est désormais certain que la 1ère opposante à Macron est bien Marine Le Pen, la seule à présenter une alternative sérieuse et cohérente.
La gauche et l’extrême-gauche ainsi que la majorité des syndicats se sont fourvoyés et sont incapables de présenter un projet commun.
La grève à la SNCF est incomprise par les Français, car le syndicats donnent l’impression de défendre uniquement le statut des cheminots, alors que le vrai sujet est le projet de casser la SNCF pour la privatiser à terme, selon le modèle de France Télécom.
Pendant ce temps le Front National a mené depuis un an un travail de refondation, de réflexion sur la stratégie, de réorganisation, qui va lui permettre, après la dernière étape du changement de nom, de lancer dès la rentrée la campagne des européennes.
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Toujours plus de migrants en Loir et Cher : Macron a encore menti aux Français.
30 logements réquisitionnés par le Préfet à Blois en octobre 2016, 125 de plus sont prévus. Combien au total ? (image d’archives FN41)
La loi « asile et immigration » avait provoqué des cris d’orfraie du côté de la gauche et de l’extrême-gauche, allant jusqu’à provoquer des vapeurs chez certains députés « en Marche », où en plus des « godillots » il y a aussi quelques « babouches ».
Cette indignation, réelle ou feinte ne pouvait que servir le tandem Collomb-Macron, dont les Français ont pu croire qu’ils allaient durcir la politique d’asile et d’immigration.
Bien sûr, c’est exactement le contraire.
Cette loi était destinée à faire croire aux Français qu’il y aurait désormais un contrôle plus strict, pour mieux leur faire accepter les quotas de réfugiés qui nous sont imposés par Bruxelles, en plus de ceux qui de toutes façons entrent clandestinement.
Ainsi pour le seul département de Loir et Cher, le Préfet annonce la mise à disposition de 125 logements supplémentaires pour accueillir les familles en sortie de CADA (centres d’accueil de demandeurs d’asile) et ceux qui arrive « via la plateforme nationale », autrement dit des migrants en situation irrégulière que l’on réparti sur le territoire pour désengorger Calais ou Paris.
Et comme il est précisé dans l’article (la Nouvelle République du 26/05/2018) les places ainsi libérées en CADA seront aussitôt occupées par de nouveaux arrivants.
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La (Nouvelle) République en marche !
Le parti macroniste, La République en marche (LREM) n’en fini pas de remplir les pages la la Nouvelle République, au point qu’on pourrait se demander si ce journal n’est pas tout simplement devenu « La Nouvelle République en marche » !
Dans la page « politique » qui paraît tous les mardi, nous avions eu droit le 15 mai à un article pour le moins bienveillant au sujet d’une marche pour l’Europe qui avait rassemblé… 11 « marcheurs » !
Alors que la veille, rendant compte de notre hommage à Jeanne d’Arc, les 40 personnes présentes dans les jardins de l’Evêché n’était selon le même journal « qu’une poignée ».
Le mardi suivant, le 22 mai, c’est un festival : LREM a droit à 100% de l’espace, une page entière, sur un ton toujours aussi favorable, pour présenter la nouvelle réfèrente départementale désignée d’office par la direction du parti, alors qu’elle n’a pratiquement rien à dire !
Qu’on en juge : interrogée sur les municipales dans les trois principales villes du département, elle ne peut donner aucune réponse.
A Blois, « la situation va se décanter dans les mois à venir« . Comme il faut toujours traduire la langue de bois, cela veut dire en clair qu’il n’y a personne de crédible pour mener une liste.
A Romorantin, « l’équation n’est pas évidente« . Et pour cause : le maire sortant Jeanny Lorgeoux est candidat à l’investiture LREM, tout comme son opposant MoDem Louis de Redon ! On comprend son embarras.
Même constat enfin à Vendôme où la réfèrente départementale constate que Pascal Brindeau travaille déjà avec des élus de tous horizons. Mais après tout Laurent Wauquiez n’exclu pas la présence de candidats macronistes sur les listes municipales LR.
Bref toutes les recettes de la cuisine politique de cet « ancien monde » en train de sombrer, et dont Macron est en France l’ultime recours et le premier représentant.
Pour revenir à Blois, le festival continue. Après le conseil municipal du 23 mai, cela fait trois jours de suite que la NR revient sur l’éviction de Louis Buteau, avec encore plus d’une demi-page aujourd’hui. Et bien sûr les propos de l’intéressé sont pieusement recueillis, sans la moindre critique.
Nous y reviendrons également, au sujet du Centre-ville, car il est pour le moins surprenant qu’un adjoint au commerce critique un projet qu’il a soutenu depuis le début du mandat, et les solutions qu’il propose constitue en véritable retour en arrière, ce sont de Lang-Perruchot !
Pendant ce temps ni notre réponse au sujet des menus sans porc dans les cantines de Blois, ni notre communiqué sur la grenouille-taureau et les fonds européens n’ont reçu le moindre écho…
Repas sans porc : le FN persiste et signe.
Les élus FN apportent toujours la preuve de ce qu’ils avancent.
Le compte-rendu du conseil municipal de Blois publié le 24/05 dans la Nouvelle République était consacré quasi exclusivement à l’éviction de Louis Buteau, attiré dans l’orbite d’une certaine planète gazeuse.
Mais le dossier principal était bien la restauration scolaire, avec le renouvellement du contrat de délégation.
Nous avons évoqué le sujet hier, mais la NR y revient aujourd’hui dans un billet qui parle d’une « tentative de déstabilisation« , pour reprendre une expression de Benjamin Vételé.
On ne comprend pas vraiment ce qu’il entend par là, il s’agissait d’une remarque parmi d’autres et d’une question posée au sujet des menus sans porc.
Le procès-verbal pourra attester précisément des propos tenus par Michel Chassier et de la réponse de Marc Gricourt (Benjamin Vétélé n’a pas répondu sur ce point).
Dans le nouveau contrat de délégation, dans le cadre des repas spéciaux, article 21 paragraphe 21.11.1, pages 43 et 44, il est prévu des repas sans porc ainsi que alternatives sans porc pour les pique-niques et repas froids.
Marc Gricourt nous a répondu que ce choix avait été fait avant 2008 par son prédécesseur, Nicolas Perruchot.
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Le maire de Blois a-t-il été diffamé ?
Le conseil municipal de Blois prenait acte hier soir d’une décision du maire n°2018-81 engageant des poursuites pour « diffamation publique » à l’encontre de Nicolas Viault pour des propos postés sur la page Facebook publique « Tu est de Bois si… » en février dernier.
Nicolas Viault s’intéresse à toutes les questions touchant à l’urbanisme et au patrimoine et il est souvent intervenu publiquement pour critiquer certaines décisions d’aménagement, comme la démolition de la rotonde de la gare de Blois ou certains choix du projet d’aménagement Coeur de ville Loire.
Il apparaît à ce titre pour certains élus comme le « poil à gratter » qui les agace parfois un peu.
En l’occurrence, la plainte ne porte que sur la dernière phrase de la publication, concluant une critique du recours à un paysagiste pour concevoir des bancs publics métalliques jugés inadaptés, et qui laisse entendre que le choix de l’entreprise pourrait s’expliquer « parce ce sont des amis« .
Marc Gricourt y voit une suspicion à l’encontre des élus et des services de la ville, qui auraient en quelque sorte favorisé un candidat dans le cadre d’un marché public, « en violation de la procédure applicable« .
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Blois : le menu sans porc officialisé dans les cantines.
(image d’archives)
Conseil municipal exceptionnel ce 22 mai à Blois, motivé d’abord par les délibérations portant sur l’éviction de Louis Buteau, ex-adjoint au commerce et à l’artisanat, qui s’était vu retirer sa délégation le 23 avril.
Il payait son ralliement à Macron et quelques propose publics qui ont pu déplaire à Marc Gricourt.
Désormais toutes ses autres délégations (dans le conseils d’administration des Lycées, les conseils d’écoles, la commission des foires et marchés, la société publique locale Stationéo) lui ont été retirées.
Il n’y aura plus d’adjoint au commerce et à l’artisanat, mais c’est le maire en personne qui va s’en charger.
Le dossier le plus important portait sur le renouvellement de la délégation de service public de la restauration scolaire et municipale.
Le Front National n’est malheureusement pas représenté au sein de la commission ad hoc, mais le choix entre les candidats a été fait selon le règlement de la consultation qui attachait une importance à la qualité de la prestation.
Michel Chassier s’est félicité également que le délégataire retenu ne soit pas un des « majors » du secteur, mais une entreprise familiale échappant encore à la mainmise des banquiers.
Il a toutefois regretté que soit mentionné pour la 1ère fois l’existence de menus de substitution sans porc, « pour les familles qui le souhaitent ».
L’élu FN a déploré cette dérive, qui ouvre la porte à toutes sortes de revendications et d’exceptions, religieuses ou non, et va l’encontre d’un processus d’intégration. Toutes sensibilité confondues, les autres élus se ont tus. Faut-il en conclure qu’ils se sont soumis ?
Sur un autre sujet Hubert de Pirey est intervenu sur les conséquences du changement de rythmes scolaires sur le temps périscolaire. Une distinction est faite désormais avec les loisirs périscolaires (jusqu’à 18 h) et la garderie jusqu’à 18 h 30.
Enfin Michel Chassier a évoqué une décision du maire au sujet d’une action en diffamation décidée à l’encontre de Nicolas Viault, jugeant la procédure quelque peu disproportionnée par rapport à des propos critiques et à simple sous-entendu postés sur une page Facebook, propos auxquels il aurait été facile de répondre.
Même si Nicolas Viault ne fait partie de nos amis – il ne se prive pas non plus de nous critiquer – nous admettons les critiques et même les questions qui fâchent. Il est vrai que nous avons une certaine habitude d’en être la cible. Le maire persiste et signe, les autres élus n’ont pas souhaité intervenir.
LR + EM = LREM. Wauquiez se rapproche de « En marche » pour les municipales.
« Je suis oiseau, voyez mes ailes, je suis souris, vivent les rats » (Jean de la Fontaine, la souris et les deux belettes) Caricature de Daumier. Tradiction moderne : « Je parle comme Marine, je vote comme Macron » (Laurent Wauquiez).
C’est Laurent Wauquiez qui le dévoile dans le Journal du Dimanche.
Pour les municipales, il ne veut pas d’accord avec le FN, mais il est prêt à ouvrir ses listes aux candidats « En marche ».
Cette révélation, qui pour nous n’en est pas une, confirme une fois de plus le double langage des « Républicains », qui tentent de séduire l’électorat du FN, tout en votant à Paris et à Bruxelles à l’opposé des positions qu’ils prétendent défendre, les exemples sont innombrables.
Nous le constatons également au conseil régional avec Guillaume Peltier, dont la proximité avec le Président Bonneau lui a valu d’être appelé par la presse « le 14ème vice-président ».
Les mauvais sondages, l’approche des européennes, devraient entraîner rapidement une clarification de la situation et l’éclatement définitif de LR entre ceux qui veulent suivre Macron et les défenseurs de la nation et se tourneront vers le Rassemblement national.
Les petites manoeuvres commencent aussi en Loir et Cher, où l’élue blésoise Véronique Reineau, co-listière de Jacques Chauvin, a déjà rejoint En marche… de même que l’ancien adjoint au commerce, le PS Louis Buteau, démis de ses fonctions par Marc Gricourt.
A Vineuil, c’est Patricia Fhima qui prépare déjà 2020 en organisant la « manifestation annuelle » de son association « Vivons ensemble Vineuil et son canton » sur le thème de la réforme constitutionnelle préparée par Macron… au restaurant du golf du château de Cheverny. Tout un symbole !
Le FN réunira quant à lui ses adhérents de Loir et Cher le 16 juin autour d’un barbecue ! (toutes les précisions prochainement).
Les salariés de Auchan Vineuil manifestent.
Manifestations de salariés d’Auchan dans les allées du centre commercial de Blois-Vineuil (photo FN41).
Macron avait promis une hausse du pouvoir d’achat. Les salariés ne la voie pas venir.
L’intersyndicale CFDT/CGT/FO Auchan avait appelé à des débrayages ainsi qu’à des rassemblements ce 18 mai afin de réclamer une prime de 500 euros pour tous les salariés et la réouverture des négociations salariales avec la direction qui sont actuellement au point mort.
A Blois-Vineuil cette manifestation est une première, elle est aussi le signe d’un climat social qui se dégrade (voir aussi la Nouvelle République).
On ne peut pas dire à la fois que le chômage diminue (ce qui est faux), que la croissance repart (en raison de la croissance mondiale, mais la France est en retrait), que le déficit public est contenu (bien que la dette augmente toujours) sans que les salariés, dont le pouvoir d’achat est grignoté depuis des années en raison de rémunérations le plus souvent gelée alors que les prix et les prélèvement augmentent, ne voient toujours rien venir.
Trafic de drogue à Blois : supermarché ou superettes ?
Le tribunal correctionnel de Blois jugeait le 15 mai une affaire de drogue pour une filière démantelée en mars 2016 (la Nouvelle République du 16/05/2018).
Deux ans après les faits, trois des sept protagonistes s’étaient évaporés dans la nature.
Parmi les prévenus présents à l’audience, Raouf, « Bobo » et Jadet, certains n’avaient pas le choix car ils étaient déjà incarcérés.
Comme d’habitude ils tentent de minimiser leur rôle.
Bien que ni la nationalité ni l’origine de trafiquants soit révélée, nous apprenons que parfois « les échanges téléphoniques se faisaient en langage codé, parfois en dialecte congolais« .
La substitut a qualifié les deux appartements de « supermarchés des drogues dures. » , la défense modère en parlant de « supérettes ».
Dans tous les cas c’est bien une confirmation de l’importance de ce trafic, dont cette filière ne représentait qu’une mince partie.
Chacun sait que cette économie souterraine est toujours bien présente dans plusieurs quartiers.
Les policiers font pourtant leur possible et souvent un travail remarquable, mais il est permis de douter de la volonté du gouvernement de lutter efficacement contre ce fléau, car des actions trop musclées risqueraient de provoquer les « réprésailles » habituelles : émeutes, incendies de voiture ou de biens publics etc…
« En marche » fête timidement un an de Macron.
En avril 2017 le car « En marche » était déjà en panne. Tout un symbole. Et la dépanneuse était bleu-blanc-rouge !
Un an après l’élection de Macron, les militants « En marche » de Loir et Cher ont organisé un événement à la mesure de ce parti fantôme : une marche entre la place du Château et la port de la Creusille à Blois.
La manifestation a tout de même rassemblé onze « marcheurs », accompagnant la « reférente » du département, Christine Jagueneau, qui avait pourtant annoncé sa démission le 7 mars dernier.
Plus de deux mois après elle n’est donc pas encore remplacée, il est vrai que la nomination du « référent » est l’affaire de la direction parisienne.
La Nouvelle République relate cette modeste balade urbaine qui était organisée le 9 mai, jour de la « fête de l’Europe », avec le plus grand sérieux.
Et pas question de dire que les macronistes n’étaient qu’une poignée, terme pourtant utilisé par le même journal alors que nous étions 4 fois plus nombreux pour célébrer Jeanne d’Arc.
Pour notre part, nous rencontrons chaque jour nos concitoyens dans la rue, au café, dans les transports ou au travail, et nous savons parfaitement ce qu’ils pensent !
Mise à jour du 16/05 : la nouvelle référente « En marche » vient d’être nommée (la Nouvelle République du 16/05/2018). Ismérie Giron esr ajointe au maire de Fortan, où Marine le Pen avait largement distancé Macron au 1er tour des présidentielles (27,54% contre 16,17%), et frôlé les 50% au 2ème tour (49,24%).
La Nouvelle République veut encore politiser la fête de Jeanne d’Arc.
Non le FN ne privatise pas Jeanne d’Arc, il organise l’hommage officiel abandonné par les autorités. C’est la NR qui politise l’événement.
La Nouvelle République rend compte aujourd’hui de l’hommage à Jeanne d’Arc hier à Blois.
Mais la teneur des propos de Michel Chassier lors son allocution, pas plus que les réponses apportées au journalistes ne sont pris en compte.
L’article n’est en réalité qu’un prétexte pour ressortir contre le Front National l’éternelle accusation d’avoir « récupéré » Jeanne d’Arc.
Au prix de quelques accommodements avec la réalité.
D’abord sur la date de la Fête de Jeanne d’Arc. Il faut savoir, et cela a été rappelé hier, qu’il s’agit d’une cérémonie patriotique officielle de la République française, instituée le 24 juin 1920 par un vote unanime de l’Assemblée nationale, et qu’elle se tient depuis lors partout en France le 2ème dimanche de mai.
A l’exception de la Ville d’Orléans, qui fête sa libération par Jeanne le 8 mai.
Quant à la récupération, nous avons toujours dit que nous étions prêts à laisser aux autorités locales le soin d’organiser la cérémonie.
Or une fois de plus ni le Maire, ni le Préfet, ni le Conseil départemental, ni le Conseil régional, ni les parlementaires, ni les autorités militaires et ecclésiastiques n’étaient présentes ou représentées.
Par conséquent nous n’avons aucunement « récupéré » et encore moins « privatisé » cette fête, comme le dit la NR, ce sont les autorités de la République qui l’ont sciemment abandonnée.
L’article revient aussi sur l’historique des célébrations organisées par le FN.
En 1988, entre les deux tours de la présidentielle, il avait été décidé de regrouper la Fête de Jeanne d’Arc avec la Fête de travail à l’occasion d’un défilé à Paris.
Aujourd’hui les choses ont évolué en raison des difficultés de l’organisation d’une telle manifestations à Paris.
Cela étant, la Fédération de Loir et Cher a toujours maintenu une célébration à Blois à la date inscrite dans le calendrier officiel.
Et contrairement à ce qui est écrit dans l’article de la NR, nous n’avons pas « changé de ton ».
Régulièrement nous avons invité le maire de Blois à organiser ou au moins à participer à cette cérémonie.
Y compris lorsque le maire de Blois était Jack Lang, qui a toujours décliné l’invitation.
Nicolas Perruchot avait toutefois fait déposer une gerbe une fois au cours de son mandat.
Marc Gricourt n’a jamais donné suite.
Et si Marine Le Pen avait critiqué Nicolas Sarközy en 2012, c’est qu’elle considérait à juste titre ce dernier illégitime pour fêter cette héroïne, alors qu’il avait abdiqué la souveraineté de la France au mépris du choix des Français lors du référendum de 2005.
Enfin, pour en finir avec la récupération, que dire de M. Macron, qui a récupéré à son profit et pour sa propre promotion le Fête de Jeanne d’Arc à Orléans le 8 mai 2016, préparant déjà sa campagne présidentielle.
Pour notre part aucune ambiguïté, nous célébrerons Jeanne à nouveau à Blois en 2019, ce sera le dimanche 12 mai.
En espérant que les autorités se réveillent et prennent l’initiative d’organiser cette célébration, en présence des corps constitués et avec la participation des troupes et de l’harmonie municipale.
Blois : hommage à Jeanne d’Arc.
Cela fait plus de 20 ans que nous célébrons à Blois la fête de Jeanne d’Arc, instituée en 1920 par un vote solennel de l’Assemblée nationale.
Curieusement tous ceux qui parlent de « mémoire » semblent l’avoir oublié.
Certains parlent de récupération, mais nous sommes prêts à leur laisser le soin d’organiser la cérémonie.
Or une fois de plus ni le Maire, ni le Préfet, ni le Conseil départemental, ni le Conseil régional n’étaient représentés.
Seuls les élus du Front National ont répondu présent : Michel Chassier président du groupe FN Centre-Val de Loire, conseiller municipal et communautaire de Blois, Jean-Louis Berger conseiller municipal et communautaire de Blois, Renaud Grazioli conseiller municipal de Vendôme, Olivier Besnard conseiller municipal et communautaire de Mer et Gilles Godefroy, conseiller régional d’Indre et Loire, conseiller municipal de Tours.
Dans son discours d’hommage à Jeanne d’Arc, Michel Chassier a rappelé le sens de cette cérémonie et déploré que l’histoire de France soit à ce point malmenée dans les programmes ( Discours Jeanne d’Arc 2018).
Une minute de silence a été observée en mémoire à tous ceux qui morts pour la France, avec une pensée particulière cette année pour Pierre de Saint Céran qui avait longtemps organisé cette cérémonie blésoise.
Les participants se sont ensuite retrouvés pour un verre de l’amitié à notre permanence salle du Bourg Saint Jean et par un repas convivial.
Comment remplacer la taxe d’habitation ? Par de nouveaux impôts.
Macron c’est bien le mensonge permanent.
Avec sans doute un part d’incompétence qui frise l’amateurisme.
C’est ainsi qu’il se trouve pris au piège par sa promesse électorale de supprimer la taxe d’habitation.
Une mesure qui fait l’affaire de ceux qui seront exonérés, et qui lui sans doute rapporté des voix, mais aujourd’hui, comment la financer ?
Les élus locaux s’en inquiètent, nous en parlions à Blois lors du dernier conseil municipal.
Alors que le programme de Marine Le Pen avait l’objet d’un chiffrage précis, rien de cela chez Macron, pour qui le programme d’ailleurs ne comptait pas.
Aujourd’hui le Ministère des finances évaluent le coût de cette suppression à 18 milliards d’euros, qu’il faudra compenser auprès des collectivités locales. Mais le Comité des Finances Locales estime la facture à 26 milliards !
On peut admirer à l’aune de cet écart le sérieux de Macron et de son gouvernement.
Quant aux pistes pour compenser le manque à gagner des communes et intercommunalités, elles demeurent floues, mais ce qui est certains c’est que cela va se traduire par de nouveaux impôts.
Il serait question de basculer certains ressources fiscales des départements vers le bloc communal, mais alors il faudra compenser les départements, ou bien d’attribuer au bloc communal des recettes provenant de la TVA, de la CSG ou de la fiscalité sur les carburants.
Nous y voilà : la suppression de la taxe d’habitation risque bien de se traduire par des hausses de TVA, de CSG ou des taxes sur les carburants, peut-être un mélange des trois.
Au final, il y aura bien une augmentation des impôts et des taxes.
Blois, Romorantin : une série d’incendies inquiétante.
Dans la nuit de samedi à dimanche, plusieurs de véhicules et de poubelles ont touché différents quartiers de Blois (la Nouvelle République du 7 mai 2018).
D’abord rue Monge (*) à la ZUP de Blois, une voiture et plusieurs conteneurs, puis en Vienne rue Jean de Morvilliers une voiture est incendiée devant un garage, ensuite c’est un feu de poubelles à Bas Rivière puis à nouveau en bordure de la ZUP, rue Etienne Baudet où un scooter est détruit par le feu.
Une série inquiétante qui touche plusieurs quartiers. S’agit-il d’un coïncidence ou au contraire de méfaits commis par une même équipe ?
Et dans quel but ? Après les incendies de mercredi soir rue Georges Sand et rue Mongolfier, cela commence à faire beaucoup et il faut espérer que les auteurs soient identifiés et jugés comme ils le méritent.
Nous l’avons déjà dit, un jour il y aura des conséquences graves. Un logement a du être évacué en Vienne en raison des risques de propagation.
La même nuit Romorantin a connu également un feu de poubelles près du magasin Monoprix en centre-ville.
Les élus du Front National demandent que tout soit mis en oeuvre pour mettre hors d’état de nuire les auteurs de ces incendies.
(*) plusieurs voitures ont déjà été incendiées rue Monge en 2016 et 2017.
Encore deux incendies à la ZUP de Blois.
(image d’illustration)
Nouveaux incendies mercredi soir à la ZUP de Blois : un scooter vers 22 h 10 rue Georges Sand, des poubelles peu après rue Montgolfier (la Nouvelle République du 4 mai 2018).
L’intervention rapide des sapeurs pompiers a évité la propagation, mais cela reste des actes graves, dont les conséquences peuvent dépasser ce qu’imaginent leurs auteurs.
Et ces incendies à répétition continuent à dégrader le climat de ces quartiers. N’oublions pas aussi que les victimes sont presque toujours des personnes modestes.
Encore une fois seules des sanctions exemplaires pourraient mettre fin à de tels comportements.
Mais Jean-Louis Borloo propose toujours le même remède : déverser des milliards d’euros sure les « quartiers prioritaires ». C’est sur ceux uù brûlent les voitures.
C’est aussi la politique menée à Blois depuis plus de 30 ans. En vain.
Une « feuille de route » pour le commerce blésois.
Blois n’échappe pas à la règle : depuis les années 70 on a vu se développer rapidement de nouvelles habitudes de consommation avec les centres commerciaux de périphérie : d’abord Blois II, aujourd’hui Cora et la zone commerciale qui l’entoure au nord, puis Euromarché devenu Auchan au sud, avec de nombreuses enseignes qui s’étalent sur Vineuil et Saint Gervais.
En même temps, les grands magasins de centre-ville disparaissent : Nouvelles Galeries et Monoprix.
Progressivement les commerces alimentaires se font de plus en plus rares, les magasins de sports ferment, de même que les drogueries, quincailleries, remplacés par les uns et les autres par les grandes enseignes nationales qui s’installent dans les nouveaux centres commerciaux.
Le commerce traditionnel résiste pourtant : les Langlois, Couppé, Doiteau, Chartin, Crochet, Lépissier, Labbé, et bien d’autres (qu’ils veuillent bien nous excuser) conservent une clientèle fidèle, mais vieillissante.
Car en centre-ville aussi l’heure est désormais aux marques avec pour conséquence le développement de la franchise.
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Rébellion et insultes : scène ordinaire à la ZUP de Blois.
Le tribunal correctionnel de Blois voir continuellement défiler ce genre de délinquant, et le scénario ne change guère.
Des petits trafiquants ou des individus en infraction qui tentent de s’enfuir lors d’un contrôle ou d’une interpellation, qui se rebellent, insultent et parfois frappent les policiers.
C’est le cas d’un certain Mohamed (le prénom n’a pas été changé !) dont l’interpellation jeudi dernier à la ZUP de Blois a été pour le moins « sportive » (la Nouvelle République du 2 mai 2018).
Les policiers ont été copieusement insultés et menacés, particulièrement deux femmes policières.
Jugé en comparution immédiate, le prévenu jure évidemment qu’il n’a rien fait !
Agé de 19 ans il a déjà été condamné deux fois alors qu’il était encore mineur.
Le Substitut demande 6 mois fermes sans mandat de dépôt, ce qui est forme de sursis déguisé, mais comme les prisons sont pleines, la majorité des peines de moins d’un an ne sont pas effectuées.
Finalement il écopera d’une simple contrainte pénale de 24 mois « avec obligation de travailler ».
Un conseiller d’insertion et de probation devra suivre le jeune Mohamed, mais chacun sait que la Justice manque de moyens. L’efficacité du dispositif laisse d’ailleurs sceptique beaucoup de magistrats, qui utilisent assez rarement cette mesure, en tout cas très en deçà des objectifs fixés au départ par le Ministère.
Quant aux policiers, ils auront le plaisir de croiser sur leur chemin celui qui les a insultés et menacés.
Le Front National demande davantage de fermeté lorsque les forces de l’ordre sont victimes d’agressions.
Vols et vandalisme à la Quinière : le procureur connaît-il bien le quartier ?
Véhicules en feu à la Quinière en 2014. Un quartier tranquille avant 2016 ?
Jugement hélas ordinaire mardi dernier au tribunal correctionnel de Blois.
Yacine, 21 ans comparaissait pour une série de 27 vols et tentatives de vols ainsi que de nombreuses dégradations commis dans le quartier de la Quinière à Blois (la Nouvelle République du 30/04/2018).
Un délinquant précoce en quelque sorte, puisqu’il compte déjà 8 mentions à son casier judiciaire !
Un genre d’individu qui n’est malheureusement pas isolé, et qui pourrit littéralement la vie des habitants à la Quinière comme à la ZUP.
L’avocat d’une des victimes, Maître Robiliard, signale d’ailleurs que ce sont des gens modestes qui sont touchés, comme cet électricien au chômage qui vit avec 500 € par mois, dont le cyclomoteur a été volé puis incendié.
Mais au-delà du jugement, ce sont les propos du procureur de la République qui interpellent, lorsqu’il parle de « la Quinière où jusqu’en 2016 on vivait plutôt tranquillement » !
Peut-être fait-il référence à l’incendie du centre commercial Quinière en octobre 2016. Mais la délinquance sous toutes ses formes, le trafic de drogue et l’insécurité qui en découle ne datent pas de 2016, la dégradation remonte à plusieurs années, en partie à cause du déplacement de certaines populations à problème de la ZUP de Blois dans le cadre du PRU.
La suite est tout aussi étonnante, puisque le procureur note une « évolution positive de Yacine« , qui justifie sa réquisition d’une peine entièrement avec sursis.
Ce qui devrait en théorie l’inciter à se tenir tranquille un certain temps, l’avenir le dira.
Voilà en tous cas son « palmarès » enrichi d’une 9ème inscription à son casier judiciaire.
Il aura du mal à rattraper un certain Bayram, de Romorantin, qui comparaissait également, avec 17 condamnations à son actif à l’âge de 22 ans. Il aura droit quant à lui à 8 mois de prison dont 3 avec sursis, ce qui là encore ne veut pas dire qu’il sera incarcéré.
Par contre les victimes ont peu de chance d’être un jour remboursées du préjudice matériel retenu, 10 000 €, ce qui semble très en deçà de la réalité puisque l’une des nombreuses dégradations commises, sans compter les vols, s’élève à elle seule à 17 000 € !
Mais elles auront peut-être le plaisir de voir Yacine se réinsérer…
13 mai : Fête de Jeanne d’Arc à Blois
Hommage à Jeanne d’Arc le 13 mai à Blois.
Le Front National de Loir-et-Cher et le FNJ41 organisent comme chaque année, depuis plus de 20 ans, cet hommage traditionnel à l’occasion de la fête nationale de Jeanne d’Arc, instituée par la République Française en 1920 le 2ème dimanche de mai.
Rassemblement le 13 mai à 11 h 45 dans les jardins de l’Evêché à Blois, à côté de la mairie.
Cérémonie et Dépôt de Gerbe à 12 h 00.
Les porte-drapeaux des associations patriotiques sont invités à cette cérémonie.
Peut-être les autorités qui ont été invitées seront-elles présentes comme cela devrait être le cas, mais depuis plus de 20 ans, elles brillent surtout par leur absence !
Venez nombreux avec vos amis et vos enfants.
Vin d’honneur et repas à 12 h 30 à la salle du Bourg Saint Jean (inscription obligatoire : fn41@frontnational.com).
A 15 h 00 : intervention de Michel Chassier, Délégué Départemental de la Fédération FN Loir-et-Cher, Président du Groupe FN au Conseil régional Centre-Val de Loire.
Contact : 06 65 86 47 41 - fn41@frontnational.com
Blois : retour sur le dernier conseil municipal.
Le carré Saint Vincent. Ouverture prévue en 2021… si tout va bien.
Nous évoquions hier le malaise des élus « En marche » et le voeu sur la contractualisation forcée avec l’Etat. La Nouvelle République y revient ce matin.
Plusieurs autres points importants ont été abordés. Vos 4 élus Front National étaient présents (Michel Chassier, Mathilde Paris, Jean-Louis Berger et Hubert de Pirey).
Le Carré Saint Vincent continue à faire débat.
C’est Michel Chassier qui a posé la première question, au sujet du Carré Saint Vincent. La Ville a déposé un dossier au titre de la Dotation de Soutien à l’Investissement Local pour ce projet, avec une aide qui pourrait atteindre 1 644 850 € sur un total de 2 877 000 € de dépenses programmées. L’élu FN s’est inquiété de savoir où en était cette demande et où en était le calendrier de l’opération dont le véritable lancement est aussi conditionné par cette subvention.
Marc Gricourt a répondu que nous n’étions pas les seuls à déposer une telle demande, les services de l’Etat vont arbitrer, mais il n’a pas encore la réponse sur le montant ni sur les délais, malgré certaines assurances données par le Préfet.
Cette question ouvre un débat sur ce sujet sensible, pour lequel le maire reste « optimiste mais prudent« , Jacques Chauvin n’est « pas pessimiste, mais pas non plus d’un optimisme béat« , Christelle Ferré « réservée« , de même que le Front National.
Les mois qui viennent vont être décisifs, et il faudra bien d’ici la fin de l’année prendre la décision définitive.
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Blois sous tutelle budgétaire de l’Etat : la gêne des macronistes.
Ce devait être un « petit » conseil municipal, avec seulement 51 délibérations, il aura duré au final 4 heures.
Avant de revenir sur un certain nombre de questions examinée dans un prochain article, le point qui a fait longuement c’est l’obligation faites aux villes comme Blois et aux départements de signer un « contrat » avec l’Etat qui les engage à limiter leur dépenses de fonctionnement sous peine de sanctions financières.
Cela fait longtemps que les élus du Front national plaident pour freiner cette hausse des dépenses. On se souvient à Blois de l’époque de Jack Lang, qui avait été un champion en matière de dépenses, et nous en payons encore les conséquences.
Pour autant le FN est attaché au principe de libre administration des collectivités, inscrit dans le constitution, mais qui n’est véritablement possible qu’avec l’autonomie financière. Or, comme l’a rappelé Michel Chassier, les collectivités l’ont progressivement perdue (CM 2018-04-23 – Voeu contractualisation).
Mais lorsque nous voyons ces élus de tous bord critiquer aujourd’hui cette mesure, il ne faudrait pas oublier qu’ils ont tous appelé il y a un an à voter Macron !
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Mises en avant
Mathilde Paris invitée de la rédaction sur TVTours
Mathilde PARIS, tête de liste « Un autre avenir pour Blois » était jeudi soir l’invitée de la rédaction de @TVTOURS. Revoir la vidéo....
Jordan Bardella à Mer le 25 janvier
Bien que nous ayons basculé sur notre nouveau site depuis juin 2019, vous êtes encore nombreux à consulter ce blog. C’est pourquoi nous avons décidé...
RN Loir-et-Cher : Notre nouveau site internet départemental est en ligne.
Dans la suite logique de la refondation de notre mouvement initiée l’an dernier par nos instances nationales, nous avons le plaisir de vous faire...
Européennes 2019 : Marine LE PEN, Jordan BARDELLA et Nicolas BAY à Mer Samedi 13 Avril.
Nous avons l’honneur de vous annoncer la venue de Marine LE PEN, Présidente du Rassemblement National, Jordan BARDELLA, Tête de liste aux élections...
Européennes 2019 : le temps se gâte pour Macron et ses alliés.
Marine Le Pen imprime sa marque sur la campagne des européennes. Lors de son passage dans l’Emission politique la semaine dernière, elle a réalisé...
Européennes 2019 : en Loir et Cher aussi #OnArrive !
La campagne pour les européennes se poursuit en Loir et Cher : affichage, distribution de documents dans les boîtes aux lettres, porte à porte. Une partie...