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Région Centre-Val de Loire : démocratie « permanente » ou démocratie illusoire ?

Stanislas de la RuffieDepuis quelques temps la gauche est malmenée dans les urnes.
D’élection en élection  elle voit les électeurs l’abandonner, nous l’avons constaté en Loir et Cher, aux départementales de 2015  et aux régionales de 2015 où le FN était en tête du 1er tour.
Nous avons vu à la présidentielle l’effondrement du PS réduit à un peu plus de 6%.
Les dernières enquêtes d’opinion, dont celle toute récente de l’IFOP, confirment cette tendance, qui ne concerne d’ailleurs pas seulement le France, mais l’Italie, la Hongrie, l’Autriche, la Pologne etc…
Il ne faut pas oublier non plus que la Région Centre-Val de Loire est actuellement dirigée par la gauche uniquement grâce à un système électoral qui lui donne la majorité à l’assemblée régionale avec seulement 35,45% des suffrages exprimés au 2ème tour.
C’est pourquoi la gauche régionale essaie de d’inventer une nouvelle forme de démocratie, d’abord « participative », puis « permanente », où des assemblées de citoyens, parfois tirés au sort, parfois choisis, et des militants issus du réseau des associations « engagée » dans le bon sens pourraient débattre de divers sujets et donner leur avis (la Nouvelle République du 23/04/2018).
Le problème c’est que ça ne marche pas, il y a très peu de citoyens pour participer à ces rencontres ou l’on retrouve au final toujours les mêmes, y compris pour le forums sur Internet, où le nombre de participants est dérisoire : quelques dizaines pour 1 800 000 électeurs.
Au nom du groupe FN Stanislas de La Ruffie a dénoncé la méthode et demandé au contraire d’oser la démocratie en ayant recours au référendum local, la consultation ouverte ou à l’avis consultatif, dispositions que la loi autorise.
Véronique Péan, Charles de Gevigney et Gilles Godefroy sont également intervenus pour rappeler que c’est tout même bien l’élection qui fonde la démocratie.
Et Michel Chassier d’ajouter à condition qu’elle soit représentative : il faut 200 000 voix pour élire un député FN, 25 000 suffise pour un député « en Marche ».
Vous pouvez retrouver les interventions de nos élus sur le site du groupe FN centre-Val de Loire.

Plan régional de santé : les élus FN dénoncent une mascarade.

Groupe FN RCVLUn an après l’élection de Macron, ses méthodes suscitent un rejet grandissant de part des élus locaux en charge des collectivités.
Méconnaissance des territoires, mépris pour les élus, engagements bafoués, décisions imposées, mise sous tutelle budgétaire, la coupe est pleine et l’on grandir une véritable fronde qui dépasse tous les clivages politiques.
Nous évoquions il y a quelques jours la colère de Marc Gricourt, maire de Blois, hier c’est au Conseil régional que les élus, toutes tendances confondues, ont dénoncé cette ignorance des territoires qui va toucher une fois encore la ruralité et les villes moyennes.
Lors de la conférence des présidents avant l’ouverture de la séance François Bonneau, président de Région, Jean-Patrick Gilles (groupe SRD), Guillaume Peltier (groupe UDC), Michel Chassier (groupe FN) et Patrick Fournier (groupe Ecologiste) ont tous fait le même constat.
Au cours débat Guillaume Peltier a parlé de « mépris pour nos territoires« , François Bonneau a souligné les insuffisances du PRS au regard de la situation de la Région, classée dernière pour le nombre de médecins par habitants et demandé des aménagements.
Mais à quoi bon ? Puisque le Plan régional de Santé a déjà été adopté le 29 mars, et que le Conseil régional était appelé simplement à donner un avis consultatif… alors que la décision est déjà prise !
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Budgets mis sous tutelle : le Département se résigne, la Ville de Blois résiste.

CM Blois 2018-02Incapable d’équilibrer son propre budget, l’Etat demande au collectivités de réduire leurs dépenses.
Et de fait il les oblige, pour les plus importantes, à signer un « contrat » qui les engage à limiter leur dépenses sous peine de sanctions.
Le Front National considère cette mesure contraire au principe de libre administration des collectivités, qui dispose que les collectivités territoriales «s’administrent librement par des conseils élus» et « bénéficient de ressources dont elles peuvent disposer librement, (…) dans les conditions prévues par la loi ».
Le Conseil constitutionnel avait été saisi sur ce point en janvier dernier par soixante députés, ajoutant à leur requête l’introduction « par voie d’amendement des dispositions normatives entièrement nouvelles, sans examen approfondi par la représentation nationale, le Gouvernement a méconnu le principe constitutionnel selon lequel ne peuvent être adoptées en nouvelle lecture que des dispositions ayant un lien direct avec le texte restant en discussion. »
Michel Chassier, au nom du groupe Front National – Une autre voie pour Blois, l’avait rappeler lors du débat budgétaire.
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Le département informatique menacé à Blois.

Dpt informatique BloisNous l’avions évoqué à l’occasion du dernier conseil communautaire d’Agglopolys : le département informatique de Blois est menacé.
Le président de l’Université de Tours, Philippe Vendrix, ne cache pas son désir de rapatrier le plus vite possible le département informatique de Blois dans des locaux tourangeaux.
La Nouvelle République a interrogé le responsable du département informatique, Thomas Devogele. Il a pris connaissance de ce projet il y a quelques semaines. « Il n’y a pas eu la moindre consultation », déclare-t-il à la NR.
Et il craint que le projet passe en force.
Ce regroupement sur Tours n’est pas un phénomène isolé, c’est toute la question des antennes universitaires qui est remise en cause.
De la même façon, l’Université d’Orléans a dans le collimateur les antennes de Bourges, Chartres et Châteauroux-Issoudun jugées trop coûteuses.
Mais cette approche va en réalité dans le sens de la métropolisation. Dans le cas de la Région Centre-Val de Loire c’est une nouvelle illustration de la rivalité entre les deux métropoles de Tours et d’Orléans, et le futur SRADDET aura bien du mal à imposer une conception plus équilibrée du développement des territoires.
On l’observe également quand Orléans demande l’ouverture d’une 1ère année de médecine. Pour commencer.
Les élus du Front National avaient souligné cette évolution dès 2011, lors des débats du SRADDT.
Yann Bourseguin ne voit dans la métropolisation qu’un « phénomène de mode ».
C’est au contraire une tendance lourde, qui peut s’observer au nouveau mondial.
Bien sûr les élus locaux sont mobilisés, Christophe Degruelle rappelle qu’Agglopolys verse chaque année 30 000 € au département informatique de Blois. Mais cela ne semble pas de nature à contrarier la volonté de Tours Métropole, qui dispose de moyens autrement plus importants.
Les élus du Front National défendront à Blois comme à la Région le maintien du département informatique à Blois.

SNCF : les mélenchonistes font de la récupération, mais ils sont en retard d’un train !

TER CVLCe jeudi 14 avril 2018, la France Insoumise a distribué à la sortie de gare de Blois-Chambord un tract pour dénoncer la réforme de la SNCF. Malheureusement, pour eux, à la lecture de ce tract nous pouvons que constater que la France Insoumise n’a pas actualisé ses fiches liées à la dernière réforme ferroviaire de 2015. Il dénonce que la SNCF va mal car celle-ci est scindée en deux entreprises : RFF d’un côté et de l’autre la SNCF. Mais depuis, le 1er juillet 2015, RFF a été réintégré dans le giron de la SNCF. La dernière réforme a consisté à la création de trois EPIC (Etablissement public à caractère industriel et commercial) de la façon suivante :
-          SNCF, EPIC de tête
-          SNCF mobilité s’occupant de la gestion du trafic et de l’infrastructure des gares et atelier de maintenance
-          SNCF Réseaux (dont RFF) s’occupant de l’entretien du réseau
Cette erreur sur le tract de la France insoumise permet de faire tomber les masques. Ils ne viennent pas soutenir la cause de cette belle entreprise française la SNCF mais essaent de faire de la récupération politique. En tout cas, les cheminots qui ont pris le tract ont du se demander comment un parti politique se disant proche des syndicats puisse être aussi déconnecté de cette réforme.
Nous reviendrons plus longuement sur la réforme de la SNCF dans de prochains articles afin d’expliquer les inquiétudes des cheminots.
Au passage, le nombre de trains circulant en gare de Blois est bien en deçà des chiffres avancés par les médias : tous trains confondus (TER, Intercités), sur 24 trains entre Tours et Orléans, seulement 3 circulent le vendredi 13, soit 1 train sur 8.

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Respecter les policiers… et faire aimer la France.

Je soutiens la PoliceCollège Bégon : visite de la police mais c’est un « gilet rouge » qui surveille la classe.
On ne peut qu’approuver l’initiative du Directeur départemental de la sécurité publique de Loir et Cher, à l’occasion de la journée de rapprochement police-population, d’une journée de rencontre et d’échanges avec des collégiens de Bégon (la Nouvelle République du 11/04/2018).

D’autant plus que cette présentation des missions de la police était accompagnée d’une visite des tranchées d’entraînement datant de la première guerre mondiale en Forêt de Blois, d’une visite au musée de la Résistance avant d’aller observer une minute de silence devant le monument aix morts place de la République.
Il faudrait cependant que l’esprit de cette rencontre se prolonge au-delà d’une journée.
Or nous devons bien constater que l’enseignement de l’histoire de France a été bien abîmé dans les programmes, des pans entiers supprimés, tandis qu’au contraire les manuels scolaires traînent notre pays dans la boue en l’accusant de tous les maux et en cultivant une éternelle repentance.
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Agglopolys : moins d’argent, moins de projets.

Péage A10Christophe Degruelle, Président d’Agglopolys, déclare à la presse que les ratios budgétaires sont « toujours aussi excellents » (la Nouvelle République du 6 avril 2018.)
Des marges budgétaires réduites, moins de projets vue.
Une vision pour le moins optimiste car, nous l’avions constaté lors du débat d’orientations au mois de février, les marges se dégradent.
La capacité de désendettement dépasse désormais 8 années, ce qui commence à être élevé.
Cette situation s’explique par le montant des emprunts nécessaires au financement de la salle du jeu de Paume, qui devrait se résorber dans le temps, mais la diminution de la capacité d’autofinancement va entraîner chaque année un recours à l’emprunt qui viendra compenser les remboursements de dette antérieure. A moins que l’Agglo réduise ses projets, ce qui serait également préoccupant pour l’avenir.
C’est pourtant bien ce qui risque de se passer.
Les élus FN ont préféré s’abstenir pour le vote du budget.
Desserte autoroutière de l’Agglomération.
Une nouvelle étude va être lancée sur « l’amélioration de la desserte routière de l’Agglomération blésoise« .
Suite au débat sur le sujet, dont la presse se fait écho depuis plusieurs mois, Michel Chassier est intervenu afin de demander des précisions : est-il question de « l’agglomération blésoise » ou du territoire d’Agglopolys ? L’hypothèse d’une sortie à Herbault, qui permettrait de désenclaver et de dynamiser l’ouest de l’Agglo, est-elle inclue dans cette étude ?
Christophe Degruelle a répondu en donnant l’assurance que 5 scénarios étaient sur la table, et dans l’hypothèse d’une seconde sortie, Herbault pouvait en faire partie.
Nous avions déjà défendu cette solution en expliquant les raisons.
Cette question a suscité plusieurs échanges et à l’issue de la réunion, plusieurs élus de la partie ouest de l’Agglo sont venus remercier l’élu FN pour son intervention.
Rénovation urbaine : des clauses d’insertion inadaptées.
Deux délibérations portant sur la « politique de la ville » faisaient état de clauses d’insertion destinées à privilégier l’embauche d’un quota d’habitants des « QPV » : quartiers politique de la ville.
Michel Chassier fait remarquer que zonage n’est plus pertinent. Aujourd’hui à Blois les populations ne difficultés ne se trouvent pas exclusivement dans les QPV (en gros la ZUP de Blois) d’autant plus que la première phase du PRU a précisément réparti les logements sociaux dans plusieurs quartiers. D’autres critères pourraient être retenus : jeunes de moins de 25 ans sans emploi, chômeurs de longue durée etc…
Personne ne répondra à cette interrogation, on sent bien que pourtant que beaucoup d’élus sont dubitatifs.
Menaces sur la filière informatique à Blois ?
A l’occasion du vote d’un dispositif d’octroi de bourses à des étudiants qui viendraient à Blois en master informatique BMDA (spécialisation dans le traitement et l’analyse de données), Yann Bourseguin fait état des menaces qui visent cette formation, que le Président de l’Université ex-François Rabelais voudrait bien rapatrier… à Tours.
Et l’élu PS blésois dénonce au passage le phénomène de métropolisation, qui va pénaliser encore davantage les villes moyens comme Blois.
Ce que nous disons depuis des années, à la Ville, à l’Agglo et à la Région.
Christophe Degruelle s’est voulu rassurant en évoquant la préparation du SRADDET avec la Région, mais nos élus sont bien placés pour savoir que ce schéma régional ne pourra pas à lui seul répondre à cette tendance lourde, déjà évoquée dans les débats régionaux en 2011.
Encore une fois, il ne fallait pas voter Macron !

ZUP de Blois : une étincelle peut mettre le feu.

rue Monge_1Rue Monge – image d’archives.
Une violente altercation s’est déroulée lundi après-midi rue Monge à la ZUP de Blois, mais elle n’est rapportée que ce jeudi par la Nouvelle République.

Suite à une histoire entre enfants, les familles sont intervenues pour en venir non seulement aux mains, mais à une rixe au cours de laquelle les couteaux ont été sortis.
On compte plusieurs blessés à l’arme blanche, dont certains sérieusement, il y a eu au moins trois hospitalisations.
Mais à l’arrivée de la Police il semblerait que tout ce beau monde se soit réconcilié. Une quarantaine de personnes qui s’étaient attroupées ont tenté de s’opposer aux interpellations, certains brandissant des marteaux.
Toujours selon la Nouvelle République, les policiers ont été caillassés et ont eu recours au gaz lacrymogène pour disperser leurs agresseurs.
Des policiers ont été blessés dans l’opération, mais au final ils ont pu mener à bien l’interpellation de trois individus.
Ce nouvel épisode de violence en dit long sur le climat qui règne dans le quartier, où le moindre incident peut vite dégénérer, et où les forces de l’ordre ne sont pas les bienvenues.
On se souvient des émeutes de 2014, suite à l’interpellation d’un jeune à moto place Lorjou, cette situation peut hélas se reproduire à tout moment, ce qui explique une certaine politique d’évitement. Mais la contrepartie c’est que les racailles s’enhardissent.
La majorité des habitants qui voudraient vivre en paix se trouvent de fait pris en otage, ce qui explique pourquoi certains demandent à être relogés.
Le problème de la ZUP ne sera jamais réglé tant qu’on s’attaquera pas aux véritables causes, que tout le monde connaît.

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Blois – Vineuil : voiture incendiée à la Boire.

Feu Boire 01-04-18Un nouveau feu de voiture en plein après-midi à la Boire a mobilisé les sapeurs-pompiers le 1er avril vers 17 h 30.
Deux camions et un véhicule léger sont intervenus pour maîtriser l’incendie, qui se propageait à la végétation.
Un scénario hélas récurrent dans le secteur, où bien souvent des véhicules volés sont incendiés après avoir été désossés.

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CEREMA : le site de Blois menacé ?

CEREMA BloisLe CEREMA (Centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement) est un établissement public placé sous la tutelle conjointe du ministre chargé de l’écologie, du développement durable et de l’énergie, et du ministre du transport, de l’égalité des territoires et de la ruralité.
Le gouvernement prévoit dans les trois ans à venir des coupes budgétaires et une réduction d’effectifs qui le ferait passer de plus de 3000 agents (3140 en 2014) à 2300.
Pour cela il faudra fermer des centres et le directeur de l’établissement est prévenu par simple mail en octobre 2017 du projet de fermeture de laboratoires en Ile de France (Le Bourget, Melun et Trappes).
Devant les protestations, la mesure est mise en suspens… mais un plan B prévoit comme alternative la fermeture des laboratoires de Blois (75 agents), Autun (83 agents) et Saint Quentin (55 agents).
Le tout sur fond de démissions successives du Président et du Directeur général, qui ne sont pas de nature à rassurer les salariés.
Les syndicats viennent d’écrire aux parlementaires de Loir et Cher, au Président de Région, au maire de Blois et au Président d’Agglopolys pour leur demander de tout faire afin de sauvegarder le site de Blois.
Les élus du Front national se feront le relais de cette demande à la Ville, à l’Agglo et à la Région.
Encore une fois le constat s’impose : il ne fallait pas voter Macron.

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Violences contre le principal du collège : le « grand frère » n’ira pas en prison.

Collège Rabelais BloisLes faits se sont produits mardi, ils ont été jugés assez graves pour que le tribunal se prononce dès jeudi.
C’est mardi soir après les cours qu’un « jeune » de 28 ans, dont la soeur rencontrait des difficultés (?) dans l’établissement s’en est pris au principal du collège Bégon, au coeur de ce quartier fraîchement rénové (la Nouvelle République du 30 mars 2018).
Le « jeune homme », « qui a déjà des antécédents judiciaires » a comparu dans le cadre d’une procédure de plaider coupable.
Il a été condamné à 8 mois de prison dont 4 avec sursis, mais sans mandat de dépôt.
L’avenir nous dira si l’individu aura compris la leçon.
Mais une fois de plus, nous remarquons que cette personne pourtant majeure est protégée par l’anonymat.
Nous pensons que le fait de rendre public le nom d’un condamné fait partie de la justice, contribue à l’exemplarité de la peine et à son effet dissuasif.
Ce n’est pas pour rien qu’il est question de mettre en place, pour des infractions fiscales et financières, le « name and shame » : «  »nommer et faire honte ».

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Apprentissage : un nouveau pas vers la concentration dans les métropoles ?

DYyl7NpX4BI3wmaIl ne fallait pas voter Macron !
La réforme de l’apprentissage lancée par le gouvernement inquiète beaucoup les Régions, les départements ruraux, les CFA des villes moyennes, qui évoquent le risque d’une concentration des formations au profit des Métropoles.

Nous citions il y a quelque temps l’exemple du bassin d’emploi de Romorantin, où il n’y a plus de formation initiale (LP ou CFA) dans les métiers de la mécanique générale (tourneurs, fraiseurs, ajusteurs).
Le projet d’un nouveau CFA interprofessionnel à Blois, qui devrait accueillir 1200 apprentis, risque fort d’être compromis, car il n’entre pas dans la logique des branches, que le MEDEF a imposé à Macron.
Ce choix risque d’avoir de graves conséquences car il faut savoir qu’en France il n’existe pas moins de 700 branches professionnelles, et que seules les plus importantes seront en mesure de gérer l’apprentissage. Et ce sont encore les PME-PMI, les artisans et commerçants qui seront pénalisés si jamais les CFA interprofessionnels venaient à disparaître.
Les Régions pourraient perdre de fait le rôle de pilotage que leur avait accordé la loi NOTRe, mais seraient amenées à financer le déficit des CFA, sans disposer des ressources correspondantes.
Ainsi la Région Centre-Val de Loire recevrait de l’Etat 10 millions d’euros, c’est la moitié de la somme qu’elle reverse aux CFA (la Nouvelle République du 29/03/2018).
Le projet de loi qui devait venir devant l’Assemblée nationale en avril est déjà reporté en juin. Comme pour la question de l’eau, dont nous parlions hier, les élus de terrain, parviennent à faire reculer certaines réformes concoctées à Paris par des technocrates hors sol, le plus souvent pour s’aligner sur les directives européennes.
Ce ne sont que les premiers reculs, mais c’est déjà un signe.
Le Président des Régions de France, Hervé Morin, s’adressant aux directeurs des CFA, aux formateurs et aux élus consulaires leur dit « allez voir vos députés En Marche » !
Mais la plupart sont des députés fantômes, ils ne vont à l’assemblée que pour voter tout ce propose le gouvernement.
D’ailleurs lors des 4 partielles en France métropolitaine depuis janvier, tous les députés En Marche ont été battus, parfois sévèrement comme dans le Loiret, et ce quelque soit leur adversaire. Nul doute que si l’élection avait lieu aujourd’hui, plus de la moitié des députés En marche perdrait leur siège et M. Macron sa majorité.
Alors nous ne pouvons pas nous empêcher de redire à M. Morin et à tous les Présidents de Région qui se plaignent aujourd’hui : « il ne fallait pas voter Macron !« .
Les élus du groupe FN sont intervenus sur cette question lors de la session de février.

Blois : quand un élu PS fait du « blackface ».

Meress  blackfacePersonne n’a oublié la polémique lorsque Antoine Griezmann c’était grimé en noir ?
Il avait d’ailleurs retiré son tweet, et présenté des excuses.
Le Blackface, selon le responsable du CRAN (Conseil représentatif (?) des associations noires) « c’est incontestablement un acte raciste».
La même polémique avait pris de l’ampleur lors du carnaval de Dunkerque avec sa « Nuit des Noirs ».
Nous jugeons pour notre part ce genre d’accusation grotesque, mais elles trouvent quelques échos à gauche.
Mais dimanche lors du carnaval de Blois Rachid Meress, conseillé municipal PS c’est grimé en noir « pour rendre un hommage à son idole de jeunesse Sidney compositeur et danseur Hip Hop. »
Et il publie sur sa page Facebook quelques selfies avec le maire de Blois, Marc Gricourt et président de l’Agglo, Christophe Degruelle.
Espérons que les uns et les autres n’auront pas à subir les foudres du CRAN !

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Coeur de ville de Blois : le Front National avait vu juste.

Place Louis XIILe Plan « action coeur de ville » lancé par le gouvernement va bénéficier à deux villes de Loir et Cher : Blois et Romorantin.
Il faut toutefois relativiser l’importance de ce plan : 5 milliards d’euros sur 5 ans, dont une partie sous forme de prêts, répartis sur 222 villes, cela représente en moyenne 450 k€ par an et par ville, alors que la seule poursuite de la rénovation urbaine à Blois va mobiliser 34 millions d’euros.
Depuis des années nous n’avons cessé de répéter que la « politique de la ville » devait concerner toute la ville.
Nous avons dénoncé aussi le développement inconsidéré des surfaces commerciales périphériques, mais si les consommateurs font le choix de s’y rendre en masse, c’est aussi en partie en raison des difficultés d’accès au centre-ville.
Il faudrait parler aussi des cabinets médicaux et des cliniques qui ont quitté le coeur de ville, les cinémas etc…
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Arnaud Beltrame : pourquoi n’y a-t-il pas d’hommage public en Loir et Cher ?

DZOS0txXkAE8bkJNous apprenons, par un billet dans la Nouvelle République du 29 mars, qu’un hommage au Lieutenant-Colonel Arnaud Beltrame et aux victimes de Trèbes sera rendu en Loir et Cher, sous forme d’une minute de silence observée par la corps préfectoral et les gendarmes.
Aucune cérémonie publique n’est annoncée, ni par la Préfecture ni par le maire de Blois par exemple.
Nous aurions souhaité que la population soit associée à cet hommage. A chaque fois que sont commis ces attentats, qui s’inscrivent dans la cadre d’une guerre contre la France et contre notre civilisation, les Français doivent se montrer unis et déterminés pour faire comprendre aux assassins que nous ne céderons jamais.
A Beaucaire le maire FN, Julien Sanchez, a pris l’initiative d’ouvrir un registre de condoléances et une minute de silence sera observée à 12h00 dans la cour de l’Hôtel de Ville en hommage aux victimes du terrible attentat islamiste de Trèbes.
Le maire de Blois aurait-il peur que nos concitoyens ouvrent les yeux ?

Mise à jour à 11 h 00 : François Bonneau, président de la Région Centre-Val de Loire a envoyé ce matin à 10 h 44 un mail en diffusion interne : « L’attentat perpétré à TREBES le vendredi 23 mars dernier a fait plusieurs victimes , dont le Colonel de Gendarmerie Arnaud BELTRAME qui recevra ce jour les honneurs de la Nation.
Je vous convie à un moment de recueillement en mémoire des victimes de cette attaque , en présence des élus , ce jour, Mercredi 28 mars , à 12 heures , dans le hall de l’Hotel de Région 9 rue Saint Pierre Lentin.« 
En ce qui concerne la présence des élus, encore aurait-il fallu qu’ils soient prévenus, ce qui n’est pas le cas puisqu’ils n’ont pas été destinataires de ce message, hormis sans doute les membres de l’exécutif.

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Terrorisme : Marc Gricourt conseille… de ne rien faire !

Marc Gricourt 5 avril 2014(photo d’archives)
Pour Marc Gricourt, le mort du Lieutenant-Colonel Beltrame fait partie des « risques du métier ».
C’est sur page Facebook que Marc Gricourt publie un petit billet pour mettre en garde nos concitoyens.

Pas contre la menace terroriste d’un islam radical, non, mais pour s’opposer à  « revendiquer plus d’armement, armement létal, notamment pour les vigiles, policiers municipaux, ou autres…« 
Comme si c’était l’armement des forces de l’ordre qui menaçait la population !
Il reconnaît que « sur l’instant, à chaud, nous avons tous une réaction de colère, de révolte, de haine parfois, de volonté de vengeance. »
Il ajoute, citant son père militaire de carrière engagé pendant la seconde guerre mondiale: « pour nous c’est aussi le risque du métier et nous le savons dès notre engagement« . Faut-il comprendre que la mort du Lieutenant-Colonel Arnaud Beltrame, abattu et égorgé par un musulman fanatique fait tout simplement partie des « risques du métier » et qu’elle est somme toute normale ?
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Ce matin sur le marché de Blois : le FN défend les retraités.

Marché Louis XII 2018-03L’action avait été prévue avant le nouveau massacre islamiste de l’Aude.
Nous l’avons tout de même maintenue, car il nous semble important dans ces moments difficiles d’être auprès de nos concitoyens.
En présence de Michel Chassier, conseiller régional et conseiller municipal de Blois, Hubert de Pirey, conseiller municipal de Blois, Mireille et Annie (qui prend la photo), nous avons diffusé sur le marché et aux alentours environ 500 tracts pour la défense des retraites.
L’occasion de nombreux échanges avec des retraités mais pas seulement, car cette question concerne tour le monde.
Une ancienne aide soignante à domicile nous déclare qu’on diminué à la fois sa retraite de base, autour de 600 € et sa complémentaire qui s’élevait à 190 €.
Nous rencontrons beaucoup de personnes qui partagent notre avis. Un commerçant à qui nous tendons le tract nous dit « mais il ne fallait pas voter Macron ! » Il nous avait peut-être pris pour des syndicalistes qui avaient voté en mai dernier pour celui dont ils critiquent maintenant les mesures, pourtant annoncées. Quand il nous a identifiés, il a pris le tract avec enthousiasme pour le déposer en évidence sur son étal.
Beaucoup de personnes connues heureuses de nous voir et de nous dire quelques mots d’encouragement.
Quelques échanges aussi au sujet du drame de l’Aude, et de l’aveuglement de nos gouvernements, qui ne veulent pas dire la vérité aux Français et qui n’ont toujours pas pris les mesures qui s’imposent.
Alors que nos adversaires politiques sont aux abonnés absents, nous préparons d’autres actions en Loir et Cher.

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Hémorragie au PS du Loir et Cher : suite.

Sylvie BorelAprès Pascal Usseglio et Benjamin Vételé, c’est Sylvaine Borel Conseillère municipale de Blois déléguée à la santé et au handicap,  qui est aussi passé chez « Génération-s ».
Avec Louis Buteau passé à « En marche » et Gildas Vieira qui a créé son propre parti faute d’avoir l’investiture macronienne, la majorité est train de de se fissurer. Marc Gricourt risque peut-être d’avoir quelques difficultés à composer sa prochaine liste…
le processus de recomposition se poursuit, le PS est en train de sombrer, les centristes ont été absorbés par Macron, tandis que « Les Républicains », du moins ce qu’il en reste devront très vite choisir leur camp avant les européennes de 2019 : stop ou encore plus d’Europe.
Suite au prochain numéro.

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Les grandes surfaces avancent, le Carré Saint Vincent recule…

CoraDeux informations qui se télescopent aujourd’hui. L’une publique : Cora décide à son tour d’ouvrir le dimanche matin (la Nouvelle République du 22 mars 2018). L’autre plus confidentielle : c’est un mail de la Ville qui informe les participants à la « Conférence citoyenne » sur le projet Saint Vincent que la séance prévue la 14 avril est reportée au 26 mai.
Déjà lors du dernier conseil municipal le permis d’aménager avait été modifié, suscitant l’interrogation des élus FN.
Le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie a réitéré les réserves qu’il avait déjà exprimées sur cette opération.
L’ouverture des grandes surfaces de périphérie le dimanche matin risque à nouveau d’entraîner un transfert de clientèle et une modification des habitudes de consommation.
Les commerces alimentaires ouverts le dimanche matin (boulangeries, boucheries-charcuteries, supérettes) vont certainement en ressentir l’effet.
Le Carré Saint Vincent risque d’arriver trop tard, s’il finit par voir le jour. Mais dans ce cas ce sera peut-être au détriment d’autres commerces du Centre-Ville.

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Grèves et manifestations : les électeurs de Macron cocus et pas contents.

DYyl7NpX4BI3wmaIl n’a rien compris à la France, il méprise les Français. Il a peut-être allumé lui-même la mèche qui va le faire sauter.
3 000 manifestants à Blois selon la Nouvelle République, il y a longtemps qu’on avait pas vu cela.

Le maire de Blois, Marc Gricourt, était pour sa part en bureau d’exécutif au conseil régional.
Il indique sur sa page Facebook : « entre deux dossiers, ne pouvant être à Blois pour la manifestation de 14h, j’avais prévu un passage à la manifestation d’Orleans ce matin. Nous y sommes allés à plusieurs collègues. Beaucoup de monde pour La Défense des services publics ! Ça fait plaisir et c’est rassurant.« 
Rassurant peut-être, mais sûrement pas cohérent, car le même Gricourt avait appelé à voter Macron en connaissance de cause en mai 2017.
Michel Chassier lui avait d’ailleurs fait remarquer au conseil municipal entre les deux tours qu’il se tirait une balle dans le pied  en tant que maire en appelant à voter pour le candidat qui annonçait la diminution des dotations pour les collectivités locales.
Ce qui est certain, c’est que ce mouvement social marque probablement un tournant, le petit protégé de la banque Rothschild est maintenant au pied du mur. Sans doute espère-t-il une usure du mouvement, d’autant plus que la stratégie décidée par les syndicats de la SNCF est plutôt risquée, mais aussi une réaction de l’opinion publique lassée par les grèves.
C’est un pari dangereux dans une France au bord de l’explosion, où d’autres réactions opportunistes peuvent se produire dans les banlieues et autres quartiers « sensibles ».
Par son ignorance, son arrogance et sa soumission aveugle à ses commanditaires M. Macron a peut-être sans le savoir allumé la mèche qui va provoquer une explosion qu’il n’a pas vu venir.
Nous devons nous y tenir prêt, et les Français doivent savoir que le Front National sera le seul recours.
N’attendez pas, adhérez dès maintenant.

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Le barreau blésois marche contre Macron

FallaitPasVoterMacronMoins d’un an après une élection manipulée par les médias contrôlés par les oligarques qui l’ont placé à l’Elysée pour servir leurs intérêts, la France est train de se révolter contre Macron.
Les ordonnances modifiant le code du travail n’avaient pas suscité une grande résistance, car tous les syndicats qui s’y opposaient avaient appelé quelques mois plus tôt à voter Macron.
Mais depuis le mécontentement grandit : agriculteurs, retraités, fonctionnaires, cheminots, personnels des hôpitaux et des EHPAD, personnels pénitentiaires, policiers et gendarmes, élus de la ruralité, et maintenant avocats et magistrats.
On savait que Macron avait été élu sur un mensonge, une gigantesque tromperie, mais surtout il révèle depuis son arrivée au pouvoir son véritable visage : prétentieux, arrogant, méprisant le « petit » peuple « ceux qui ne sont rien » selon ses propres paroles.
De surcroît il apparaît de plus en plus comme incompétent tout comme la majorité des ministres qui l’entourent, sans parler de la majeure partie de ses députés.
Aujourd’hui la France entre dans un mouvement social qui pourrait déraper, car depuis mai 68 le contexte a bien changé, et ce ne sont plus les étudiants bourgeois des beaux quartiers qui joueront à la révolution, mais plutôt les populations immigrées des banlieues et des « quartiers » dont une grande partie a été nourrie par la haine de la France.
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Loir et Cher : le PS prend l’eau.

ROSE PSEn Loir et Cher le Parti socialiste a bien du mal à surmonter la déroute de 2017.
Coup sur coup, nous apprenons que Pascal Usseglio, ancien Secrétaire fédéral et conseiller régional de Loir et Cher, quitte le PS, de même que Benjamin Vételé, conseiller départemental de Loir et Cher et adjoint au maire de Blois.
Ces deux décisions interviennent au lendemain du 1er tour de l’élection pour le poste de premier Secrétaire du PS.
Les deux élus rejoignent la formation de Benoît Hamon dont l’avenir politique paraît pour le moins incertain.
En effet, si le PS réalisait encore 5,15% dans la législative partielle du Loiret dimanche dernier, la formation de Benoît Hamon n’a pas encore affronté le verdict des urnes.
Le groupe socialiste à la région va-t-il rester uni ?
Et quelle sera la position de Marc Gricourt, qui s’était également engagé derrière Benoît Hamon ?
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Plan Régional de Santé : les élus FN demandent que les élus soient consultés.

débat santé 22-03_2Michel Chassier il y a un an lors d’un débat sur la santé à Blois.
Alors que la mobilisation se poursuit pour dénoncer la suppression de lits et de postes à l’hôpital de Blois, Michel Chassier, Président du groupe FN au Conseil Régional Centre-Val de Loire, avait écrit le 5 mars au Président Bonneau au sujet du Plan Régional de Santé, qui doit être voté le 29 mars par la Conférence régionale de la santé et de l’autonomie (CRSA), avant que les élus n’aient la possibilité d’en débattre. Il demandait que le sujet soit évoqué lors de la commission permanente du 16 mars.

En même temps, un communiqué a été envoyé à la presse régionale, qui dans un premier temps n’a pas réagi, jusqu’à ce que la Nouvelle République le publie 10 jours après, le 15 mars.
Presque aussitôt le cabinet du Président faire répondre à Michel Chassier, par un mail envoyé à 9 h 59 le 15 mars, accompagné d’une lettre datée du 14, que le sujet serait bien abordé en Commission permanente
Il a toutefois fallu attendre la dernière minute de la réunion, sur insistance de l’élu FN, pour obtenir enfin une réponse.
En définitive le Président Bonneau s’est engagé à ce que les 3 représentants de la Région au CRSA ne prennent pas part au vote, en attendant que l’assemblée en délibère en Session plénière le 22 avril.
Il serait souhaitable qu’il en soit de même pour les Conseils départementaux, afin qu’il y ait un véritable débat public avant l’adoption du PRS, sur lequel les élus ne seront sollicités qu’après coup… pour donner un avis purement consultatif, les choses étant déjà décidées.

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Eau potable : le FN n’a pas attendu Elise Lucet !

Blois usine des eauxL’émission « cash investigation » du 13 mars était consacrée au marché de l’eau en France et pointait quelques dérives pour le moins scandaleuses.
Un des points soulevés concernait le taux de rendement du réseau, c’est à dire les fuites, souvent révélatrices d’une maintenance insuffisante du réseau par l’opérateur.
Le président de Nîmes Métropole, Yvan Lachaud (UDI), avait l’air bien peu au courant du dossier, renvoyant la responsabilité sur son prédécesseur Jean-Paul Fournier (UMP).
Et dire que ce sont les élus FN qu’on accuse toujours d’incompétence !
Alors que leur gestion municipale est plébiscitée et qu’ils ont fait baisser les impôts !
En Loir et Cher également nos élus, dans l’opposition, sont particulièrement attentifs à la bonne gestion des deniers publics et notamment de l’eau.
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Blois : encore deux policiers agressés.

Je soutiens la PoliceLes audiences se suivent et se ressemblent au tribunal correctionnel de Blois, qui avait à juger deux cas d’agressions commises à Blois contre des policiers (source : la Nouvelle République du 14/03/2018).
Ce qui fait quatre jugements en deux semaines pour des violences à l’encontre des forces de l’ordre.
Cette fois encore, les coupables sont protégés par l’anonymat, ce qui affaiblit la portée de jugement.
Au chapitre des peines, huit mois dont six avec sur sursis dans le premier, 6 mois fermes dans l’autre.
Avec le projet de réforme pénale Macron, il n’y aurait pas eu d’incarcération.
Les policiers peuvent donc redouter que ce type d’agression se multiplie.

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