(image d’archives)
Week-end ordinaire à la ZUP de Blois, avec 2 voitures incendiées, la première vendredi soir peu avant 21 heurs rue du Dr Schweitzer , la seconde samedi matin à 7 h 40 avenue de l’Europe. La Nouvelle République parle à ce stade de « feux de voitures », mais on comprend facilement de quoi il s’agit lorsque l’on apprend qu’il n’y avait « aucun occupant dans la voiture. »
Ni à proximité d’ailleurs.
Ces deux incendies ont eu lieu, faut-il le rappeler, dans des secteurs ayant bénéficié de la récente rénovation urbaine, qui devaient transformer ces quartiers en lieux du parfait « vivre ensemble ».
Cherchez l’erreur.
Deux voitures incendiées à la ZUP de Blois.
Les Rendez-vous de l’Histoire : la gratuité coûte cher.
Personne ne peut contester l’intérêt des rendez-vous de l’Histoire à 2 conditions. La première est qu’ils favorisent la liberté de recherche historique et la pluralité des expressions. La deuxième est qu’ils ne coûtent rien au contribuable blésois… ou régional.
Pour la première, il y a encore des efforts à faire car, comme par hasard, on retrouve toujours les mêmes intervenants du style d’Attali et son photocopieur ou de Jeanneney, le fils de son père. Sans compter que la liberté en matière historique est surveillée, et cette manifestation blésoise n’échappe pas à la règle : il faut rester « historiquement correcte ». Nous ne sommes pas les seuls à la dire, le revue Enquète & Débat posait la même question il y a un an.
Nous avions pu l’observer également en 2013 lors d’un « débat » sur le Front National animé par Caroline Fourest.
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La grève des bus : preuve de l’incompétence de l’Agglo
Le matraquage ministériel et préfectoral qui consiste à imposer les regroupements de communes et d’intercommunalités continue. Sans trop de protestations de la part des maires ou des élus, il faut bien le reconnaître, car contester le calendrier n’est pas une contestation de fond mais de pure forme. Un peu comme si l’anesthésie précédant l’abattoir inhibait toute réaction publique. Alors qu’en privé la parole est libre et contestataire. La loi pourtant est brutale comme un couperet : le préfet doit faire approuver les schémas de regroupement avant le 30 mars 2016 pour l’arrêter avant le 31 décembre 2016.
Blois : une gauche sectaire, un maire qui dérape.
Les élus blésois du FN avant le conseil.
L’ordre du jour du conseil municipal est toujours très chargé à la rentrée, car en plus des délibérations habituelles il y a les budgets supplémentaires et les comptes-rendus annuels d’activité de nombreux organismes et services publics.
En début de séance, Miguel de Peyrecave a posé une question au sujet de l’accueil des « migrants », puisque les élus n’ont été informés de la décision du maire que par la presse. Réponse de Marc Gricourt : « C’est la préfecture qui gère, le ministère décidera du nombre de familles qui viendront en Loir-et-Cher. » Nous n’en saurons pas davantage sur le nombre, ni sur le coût pour la Ville de Blois.
Budget supplémentaire : circulez, y a rien à voir !
L’examen des budgets supplémentaires a été l’occasion pour Michel Chassier de pointer une nouvelle réduction des dotations de l’Etat par rapport aux prévisions. Alors que les maires ont manifesté cette semaine pour exprimer leur inquiétude au gouvernement, la Maire de Blois est resté très discret…
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Cahier spécial de l’Express sur Blois : supplément local ou supplément électoral ?
Un publi-reportage pour le candidat Gricourt à trois mois des élections régionales. Financé par qui ?
La magazine l’Express n°3348 daté du 2 au 8 septembre consacre un cahier spécial de 8 pages à la Ville de Blois, avec le portrait de Marc Gricourt en page de couverture.
Ce supplément a été diffusé non seulement sur la Ville de Blois, mais aussi sur les communes de l’Agglo.
Passons sur le contenu, à la gloire de Marc Gricourt, et qui ne cite le Front national que pour indiquer son score du 1er tour, oubliant de rappeler que notre liste « Une autre voie pour Blois » était arrivée en 2ème position, et surtout que la gauche a perdu 16 points sur Blois Ville entre les municipales et les départementales, alors que le FN en gagnait plus de 13 avec 32,55% sur l’ensemble de la Ville au 2ème tour !
Mais il ne fallait pas s’attendre à autre chose de la part de ce magazine très anti-FN, qui n’a même pas daigné nous contacter pour la préparation de ce cahier très spécial.
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Saint Pierre – Saint Joseph : 1 paroisse, 2 églises, 3 mosquées.
L’Eglise Saint Pierre à la ZUP de Blois.
Depuis le 1er septembre, la paroisse Saint-Joseph et la paroisse Saint-Pierre ont fusionné pour former une seule paroisse.
Tout un symbole car ces deux églises sont les dernières édifiées à Blois, en 1957 pour l’église Saint Pierre de Cabochon, en 1965 pour l’Eglise Saint Joseph proche de la place Kennedy.
Constructions justifiées alors par le formidable développement démographique de ces quartiers.
Ce regroupement s’explique comme par ailleurs en zone rurale par la diminution du nombre de prêtres, mais aussi par la baisse de la pratique.
Il y aura désormais une messe le samedi à 18 h 30 à Saint-Pierre, et une messe le dimanche à 11 h à Saint-Joseph.
Il faut dire qu’entre-temps, la donne à changé, avec l’arrivée massive de populations immigrées majoritairement musulmanes.
Résultat, le même secteur compte 3 mosquées, avec une fréquentation en plein essor.
Pas de doute, le « grand remplacement » est bien en marche.
Blois : deux voitures brûlées rue Christophe Colomb
Rue Christophe Colomb : un quartier transformé par la rénovation urbaine. Les voitures brûlent toujours.
Deux voitures ont brûlé la nuit dernière à la ZUP de Blois, rue Christophe Colomb (*). Selon la Nouvelle République, c’est « une grosse berline de marque Audi » qui a brûlé – traduisez qui a été incendiée – communiquant le feu à une voiture garée à côté.
Une troisième voiture est également atteinte.
Comme d’habitude, « l’origine du sinistre n’a pas encore été déterminé. » Il semble tout même que l’origine criminelle soit une quasi-certitude, un embrasement spontané à 2 h 50 du matin nous paraît tout de même peu probable.
La cible visée, « une grosse berline de marque Audi », pourrait indiquer un règlement de compte dans une affaire liée au trafic de drogue. L’enquête nous en dira -peut-être – davantage.
Tout cela se finira-t-il comme à Marseille ? L’hypothèse n’est pas absurde, après le double meurtre lié à un trafic de drogue, commis en mars dernier près de Blois.
(*) une camionnette a déjà été incendiée dans cette rue dans la nuit de samedi à dimanche.
Blois : l’ancien site de l’AAJB encore cambriolé et vandalisé.
L’ancien site de l’AAJB levée des Pingres, encore saccagé.
C’est une chronique sans fin de la délinquance quotidienne subie par les riverains de la Boire.
Les anciens locaux de l’AAJB ont été encore une fois saccagés par des « récupérateurs » de matériaux : câbles en cuivre, radiateurs, chaudière.
Ce pillage intervient après une longue série. Tous les bâtiments abandonnés dans la ZAC de la Bouillie ont connu peu ou prou le même sort, après que les habitants en aient été chassés.
Mais les Viennois sont de plus exaspérés par cette situation et ne comprennent pas pourquoi on ne parvient pas à mettre un terme à ces méfaits.
En réponse, nul doute que la Ville saura nous communiquer des statistiques rassurantes !
L’article de la Nouvelle République conclut sur une note positive, en rappelant que l’AAJB occupe désormais un nouveau site. Certes, mais en accumulant les déficits devant des charges plus élevées que prévues. De mauvais augure pour la contribuable !
Réfugiés syriens à Blois : le bon vouloir du Maire ?
Une caricature il y a 20 ans, la réalité aujourd’hui.
« La Ville de Blois accueillera des réfugiés syriens » : ainsi en a décidé Marc Gricourt, qui le fait savoir dans la Nouvelle République du 8/09/2015.
Et il annonce mettre à disposition « deux appartements du domaine privé de la Ville« . Pas sûr que tous les Blésois soient heureux de l’apprendre, en particulier ceux qui recherchent un logement dans l’urgence.
Mais ce qui est frappant, c’est que dans cette affaire, le Maire de Blois ait pris cette décision tout seul, sans l’avis du Conseil municipal.
Les élus blésois du Front National ne manqueront pas de soulever cette question lors du prochain conseil, le 21 septembre prochain.
En attendant, ils dénoncent cette décision, prise sous l’influence d’une campagne médiatique exploitant scandaleusement la mort d’un enfant, et qui constitue un formidable encouragement à l’immigration clandestine.
Dès ce matin des Blésois nous ont téléphoné pour nous faire connaître leur indignation.
Nous serons leur porte-parole lors du prochain conseil municipal, et nous espérons que les autres élus d’opposition nous suivront.
Demandeurs d’asiles : à Blois aussi.
Les demandeurs d’asile ne constituent qu’une des nombreuses filières de l’immigration massive voulue, il faut le rappeler sans cesse, pas nos dirigeants passés et actuels, depuis que Giscard-Chrirac ont ouvert grand les vannes avec le « regroupement familial« .
Depuis quarante ans, des millions d’immigrés sont ainsi rentrés en France, transformant des quartiers et des villes entières, et leur nombre est devenu tel que leur assimilation est devenue illusoire.
D’ailleurs, il y a longtemps que le terme a été abandonné, remplacé par celui d’intégration, lui-même abandonné à son tour au profit du « vivre-ensemble », vision anglo-saxonne et antinationale d’une société où cohabitent différentes communautés qui se définissent par leur origine, leur religion voire leur sexualité.
L’actualité de ces derniers jours nous montre l’accélération et l’aggravation du phénomène migratoire, avec un véritable chantage exercé sur les peuples européens, sommés d’accueillir tous les réfugiés de la planète.
Blois ne fait pas exception à la règle, une fois encore nous voyons s’installer un véritable camp, la presse locale parle de bidonville, aux portes de la ville.
Il faut préciser qu’il s’agit de demandeurs déboutés, autrement dit de faux demandeurs d’asile, comme ils le sont dans plus des trois quarts des cas, même après recours, même avec l’assouplissement des consignes constaté en 2014, selon les statistiques officielles du ministère de l’Intérieur.
Mais ces demandeurs déboutés refusent la plupart du temps de repartir, et occupent le terrain, avec la complicité d’associations qui bénéficient de financements publics !
In fine, les pouvoirs publics cèdent, et tous ces gens sont relogés, au grand étonnement des Français en recherche de logement, et qui se voient répondre qu’il n’y a pas de place.
C’est déjà le scénario que nous avions connu à Blois il y a quelques années avec les familles de Roms avaient installé un campement sauvage du côté de la ferme de Brisebarre… avant d’être relogés dans les HLM du côté de la Quinière.
Va-t-on assister au même scénario ?
Rentrée scolaire : sous le signe de l’islam.
On présente à nos enfants une vision rassurante de l’Islam, alors que la religion chrétienne est dénigrée. Cherchez l’erreur.
Il ne s’agit pas d’un cas isolé. Des parents d’élèves de Blois, de Mer et de Contres nous ont alerté. Ce ne sont pas des adhérents du Front National, mais des parents qui s’adressent à nous en désespoir de cause, ne sachant comment réagir en voyant ce qu’on enseigne à leurs enfants dans le cadre du cours d’histoire géographie.
A Contres, c’est dès le 1er cours, à la rentrée, que les élèves de 5ème subissent un cours sur l’Islam, sans le moindre recul historique, au mépris de la laïcité alors même que l’on demande aux parents de signer un document sur ce thème. De qui se moque-t-on ?
Comme nous le font justement remarquer les parents, leurs enfants n’ont jamais eu un cours portant sur la religion chrétienne, souvent dénigrée au contraire comme obscurantiste et opposée aux supposées « lumières ».
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Blois : des sauvageons multirécidivistes.
Des sauvageons : c’est le terme choisi par la Nouvelle République pour désigner ces 3 jeunes auteurs d’une série de méfaits et de dégradations, et qui viennent d’écoper de peines de prison ferme devant le tribunal correctionnel de Blois : 18 mois pour Bilal et Nawfel à 18 mois et 6 mois pour Abdelkader.
Pour des faits qui remontent au 16 novembre 2013. On ne peut que déplorer la lenteur de la justice.
On peut aussi s’interriger sur le faits que ces jeunes étaient connus, depuis l’adolescence, par les services de Police, et avaient déjà fait l’objet de condamnations par la tribunal pour enfants.
Deux d’entre eux avaient été incarcérés entre temps pour d’autre délits.
La décision du tribunal a été accueillie par des vociférations et des insultes, ce qui démontrent que les intéressés ne semblent pas avoir pris conscience de leurs actes.
Mais ce n’est malheureusement que le résultat du laxisme de la Justice qui, faute d’avoir été suffisamment ferme, n’a fait que donner à ces jeunes un sentiment d’impunité.
Et que dire des parents, comment expliquer qu’ils n’aient pas su réagir à la dérive qui conduit leurs enfants en prison.
Tout cela est bien un immense gâchis, et rien ne montre qu’on en tire des leçons, bien au contraire.
Circulation à Blois : dès la rentrée, ça bloque
Symbolique : un camion de pompiers bloqué sur le pont. AU quotidien, ce sont les automobilistes et les usagers d’Azalys qui sont pénalisés.
Alors que les travaux du carrefour de la Résistance ne commencent que le 7 septembre, les automobilistes blésois ont déjà retrouvé les embouteillages. Mais aussi les usagers du réseau de bus Azalys, comme le relate la Nouvelle République du 3 septembre dans un billet.
Car les bus également se trouvent coincés dans la circulation, et de l’aveu d’un conducteur d’Azalys, certains horaires sont tout simplement supprimés sans crier gare : « dès que la circulation reprend, il est impossible de respecter les temps de parcours. »
Situation qui risque de s’aggraver avec les travaux, mais surtout de perdurer, car il semble bien, comme les élus FN le redoutaient, que l’aménagement urbain des deux têtes de pont et la la suppression d’une voie sur le pont Jacques Gabriel vont créer un goulot d’étranglement durable, pour reprendre un mot à la mode.
Rappelons que nos élus avaient demandé, en vain, une phase d’expérimentation avant la mise ne place définitive. On leur avait répondu, avec dédain, que « tout avait été étudié ».
Nous en voyons aujourd’hui les résultat.
Mais avec un tel manque de fiabilité, comment imaginer que les habitants vont se tourner davantage vers les transports en commun ?
Quelques observations sur la rentrée 2015
La rentrée scolaire 2015 de Blois pourrait paraitre anodine ou identique aux autres. Il n’en est rien si l’on regarde en détail les informations qui sont distillées au compte goutte par les autorités politiques et académiques.
Plus d’élèves à Blois? Mais d’où viennent-ils ?
Nous apprenons que les écoles primaires de Blois comptent 130 élèves de plus cette année et 550 depuis 5 ans. Alors que la population de Blois diminue régulièrement, il faudra qu’on nous explique d’où viennent les 130 élèves supplémentaires. Une hypothèse entre autres : les enfants d’immigrés clandestins sont automatiquement intégrés dans nos classes et la déferlante de cet été ne doit pas être étrangère à cette hausse soudaine. Nous poserons la question en conseil municipal.
Transports : conseil départemental UMP et Agglopolys PS se renvoient la patate chaude.
Photo Google Maps : Itinéraire à Villefrancoeur d’un enfant dépourvu de transport scolaire.
En ce début de rentrée, c’est la problématique du transport scolaire en zone rurale qui, comme chaque année refait surface. Et les difficultés exaspèrent les habitants de Villebouzon, un hameau de Villefrancoeur, qui fait partie du nouveau canton d’Onzain mais aussi du périmètre d’Agglopolys. Et pour cause : les arrêts qui desservent la commune…sont situés après 3 km de parcelles agricoles isolées, au détour de routes étroites et non éclairées. En ce sens, il est légitime que les familles rechignent à laisser leurs enfants partir seul à l’école.
« Des sans papiers » ? NON. Des clandestins !
La Ville de Blois va démolir une maison en ruines qui lui appartient depuis 2007, boulevard Dupuis, près de laquelle sont installées des familles albanaises qui devront quitter les lieux. Comme d’habitude, pour couper court à toute critique de cette politique d’immigration laxiste, les enfants scolarisés et la complexité de la situation administrative sont mis en avant par les élus socialistes, les familles et les associations qui sont partisans de l’ouverture à tous vents de nos frontières. (Nouvelle République 20/8/2015)
Blois : encore deux voitures brûlées à la Boire.
(Secteur de la Boire : image d’archives)
Comme d’habitude un simple entrefilet dans la Nouvelle République pour relater l’information, tant elle est devenue banale : dans la nuit de mardi à mercredi, 2 voitures ont été incendiées à la Boire.
Un mode opératoire habituel dans ce secteur, où des véhicules généralement volé sont brûlés après avoir été utilisés et quelquefois en partie dépouillés de pièce destinées à la revente via des circuits douteux.
Illégalité des nomades. C’est partout en France.
(images d’archives : blocage de Tours sud par les « gens du voyage en mai dernier. Capture d’écran).
On se souvient que récemment les nomades ont envahi les terrains communaux de Candé sur Beuvron ou de Mer. Certains pourraient penser que ce type d’invasion ne se passe qu’en Loir et Cher. Ils se trompent, cela se fait partout en France et surtout à proximité des lieux touristiques ou de forte concentration saisonnière. On devine pourquoi !
Cette semaine le président de Metz Métropole, Jean-Luc Bohl, a assuré dans un communiqué s’inquiéter «face à la recrudescence de ce genre d’incidents par certains groupes qui ne respectent en rien les installations des communes, tout en trouvant de multiples prétextes pour ne pas s’installer sur la seule aire officielle de grand passage des bassins de vie de Metz et Thionville. » Le maire de Marly, a vainement protesté après l’installation d’une centaine de caravanes dans sa commune. Le quotidien Sud- Ouest du 10/8/2015 nous annonce qu’il en est de même dans les Pyrénées Atlantiques où chacune des communes d’Ascain, de Saint Pée sur Nivelle, de Bayonne et du Boucau a été envahie par plus de 250 caravanes. Ce sera pareil le 15 août à Lourdes mais, là, les autorités seront plus vigilantes, elles bloqueront les entrées de la ville. Comme quoi, il y a des miracles !
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Un drapeau. Une mission. Une équipe.
Le maire de Blois vient de «touiter » quelques mots désagréables sur la municipalité de Béziers. Nous apprenons que le maire de cette ville, Robert Ménard, pour la première fois en France, vient de remettre à sa Police municipale un drapeau bleu blanc rouge, signe de son appartenance à un corps de service public qui mérite estime et considération pour son sens du devoir en vue de la protection des habitants.
Le nouveau directeur de la Police municipale de Blois, ancien fusilier-marin commando, ne verrait sans doute pas d’un mauvais œil que l’on fasse la même chose à Blois. Les policiers municipaux qui exercent une mission exposée et difficile seraient probablement heureux de voir qu’on les prend au sérieux, comme les policiers de la Police nationale. Un drapeau, c’est quelque chose !
Loir et Cher : pas de vacances pour les militants !
En août, les militants du FN41 sont toujours sur le terrain. Cette semaine collages en Beauce, en Sologne et autour de l’agglomération blésoise.
Le FNJ a également effectué un collage ce week-end.
Bravo à toutes les équipes, n’hésitez pas à nous envoyer des photos.
Quand Marc Gricourt visite Béziers… avec des oeillères !
Marc Gricourt était en vacances dans l’Héraut et il en profité pour visiter Béziers.
Sur sa page Facebook, il n’a pas pu s’empêcher de publier ce commentaire « cette ville mérite mieux que les élus choisis par ses habitants. Béziers réveille toi !«
Nous lui ferons remarquer que les habitants de Béziers ont choisi leur maire démocratiquement, avec une participation de 68,51% au 2ème tour contre seulement 52,34% à Blois.
Et ils ne semblent pas regretter leur choix, puisqu’aux élections départementales qui avaient lieu un an après, les 3 binômes Front National ont remporté les 3 cantons de la ville, avec une progression moyenne de 10 points par rapport au 2ème tour des municipales !
Alors qu’à Blois l’ensemble de la gauche perdait 16 points entre les 2 élections pendant que le FN en gagnait 13 !
1er tour municipales 2014 | 2ème tour municipales 2014 | 1er tour départementales | 2ème tour départementales | |
Total gauche | 50,59% | 57,55% | 47,23% | 41,15% |
Total droire-centre | 33,68% | 23,29% | 27,37% | 26,30% |
Front National | 15,73% | 19,16% | 25,40% | 32,55% |
(les chiffres des départementales sont donnés pour Blois-Ville)
Voilà qui pourrait inciter à davantage de modestie.
Au fait, Marc Gricourt n’aurait-il pas pu tout simplement rendre visite au Maire de Béziers pour échanger leurs points de vue ?
Blois : bienvenue au nouveau directeur de la prévention et de la sécurité.
La sécurité : un préoccupation légitime des Blésois.
Nos élus ont déploré à plusieurs reprises les conditions de réorganisation de la Police municipale à Blois, sans aucune concertation avec l’opposition, sans même que la commission de sécurité ne soit saisie.
Le recrutement du nouveau directeur de la prévention et de la sécurité a connu également quelques rebondissements, mais enfin c’est fait.
Nous ne pouvons évidemment que nous en féliciter, et souhaiter la bienvenue à Thierry Girard, dont le profil et la riche expérience devrait lui permettre sans problème d’assumer son poste (la Nouvelle République du 7/08/2015).
Sa nomination prouve bien que le Front National a eu raison d’alerter sur la dégradation de la sécurité à Blois et nous attendons, avec tous les Blésois, une amélioration dans les prochains mois.
En effet, si le nouveau directeur juge notre ville plutôt paisible comparée à d’autres, il ne faut pas ignorer la recrudescence de la délinquance, qualifiée parfois à tort de « petite » dans plusieurs quartiers. Et l’on sait parfaitement que la tension est toujours là, la situation pouvant dégénérer très rapidement, on l’a vu en novembre dernier, dès que la Police essaie de faire son travail de terrain.
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Laxisme + lenteur de la Justice = démoralisation de la Police
(image d’illustration)
Lors d’une patrouille à proximité de la CPAM (*) de Blois, le 19 juin dernier, les policiers arrêtent un véhicule qui vient de commettre une infraction au code de la route. À peine sortie de sa voiture, la conductrice insulte les policiers. Ces derniers décident alors de l’interpeller, mais la jeune femme refuse et ne se laisse pas faire. Ils parviennent à la maîtriser mais le trajet jusqu’au commissariat va être violent car la jeune femme tente de frapper le conducteur et crache sur les policiers (la Nouvelle République 7/8/2015).
En raison de la violence et de l’excitation de l’interpellée, les fonctionnaires font appel à un médecin pour éviter toute complication administrative. Celui-ci déclare que l’état de la jeune femme est incompatible avec une garde à vue ce qui oblige les policiers à la relâcher sur le champ. Elle sera donc convoquée ultérieurement par les policiers.
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Tourisme : la preuve par Blois
Nous évoquions il y a 3 jours la nécessité de développer un tourisme enraciné, en valorisant le patrimoine, l’histoire et le terroir.
Les premiers chiffres connus sur la ville de Blois pour le mois de juillet conforte notre point de vue.
Ainsi le château de Blois connaît une hausse de fréquentation de 7% par rapport à juillet 2015 (la Nouvelle République du 6/08/2015) qui s’explique surtout par l’exposition consacrée à François Ier.
La Maison de la Magie y trouve son compte également, avec l’effet des billets groupés. On peut espérer que cet équipement se rapproche de l’équilibre financier, ce qui n’était pas encore le cas en 2014, avec des recettes inférieures aux prévisions, et une subvention d’équilibre versée par la Ville représentant encore 18,5% du budget total.
Par contre le Son et Lumière qui enregistre une fréquentation en hausse de 13%, est déjà à l’équilibre financier.
Pour le reste, on voit que la Fondation du Doute ne décolle pas, le chiffre de 2000 visiteurs évoqué dans l’article , stable par rapport à juillet 2014 demanderait d’ailleurs a être affiné : s’agit-il de visiteurs payants ?
Nous reviendrons largement sur ces questions à l’occasion des élections régionales, dans le cadre d’une vision d’ensemble du tourisme en Région Centre.
Justice : un dossier parmi tant d’autres
(image d’illustration : un « marabout » africain en région parisienne.) Abderahamane, un malien de 2 mètres et de 110 kg, demande en appel à Orléans sa mise en liberté qui, depuis son incarcération, le 27 mai 2015, lui a été refusée. Sur une plainte de 2 femmes – qui n’ont parlé qu’après l’incarcération de l’individu – il lui est reproché, sous prétexte de conseils en création d’entreprises, d’user de son influence de soi-disant « marabout-imam ». Et d’avoir violé ces deux femmes selon un rituel particulier en faisant référence à la religion musulmane (*). Muni de prétendus pouvoirs surnaturels, recouvert d’eau de vie pour se purifier avant d’intervenir sur ses clientes, il avait tout de même encaissé 15000 € pour ses « prestations » (la Nouvelle République 5/8/2015). Il faut savoir que ce n’est pas un novice et que 15 citations figurent à son casier de 2002 à 2010 pour des vols, viols ou extorsions. Le 15 juin, le juge des libertés a refusé sa demande de liberté. En lire plus …
Mises en avant
Mathilde Paris invitée de la rédaction sur TVTours
Mathilde PARIS, tête de liste « Un autre avenir pour Blois » était jeudi soir l’invitée de la rédaction de @TVTOURS. Revoir la vidéo....
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