Archives des tags : Commémorations

11 novembre à Blois : un hommage et quelques couacs.

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Les élus du Rassemblement national ont brièvement quitté la cérémonie pendant la « chanson de Craonne ».
A l’occasion du Centenaire, les cérémonies du 11 novembre à Blois ont pris une ampleur particulière, mais il faut le dire avec quelques couacs.
Tout d’abord l’idée de scinder la cérémonie en deux parties, la 1ère à 9 heures devant le monument aux Morts, mais sans l’Armée, la seconde à 11 heures 20 dans les jardins de l’Evêché pour la prise d’armes traditionnelle où cette fois, à côté du détachement du DA 273, il y avait l’équipage du sous-marin nucléaire lanceur d’engins le Terrible ainsi qu’un important détachement de la Gendarmerie nationale. L’ampleur du dispositif ne pouvait pas prendre place entre la Préfecture et le monument aux Morts, puisque comme chaque année à cette époque la place de la République est occupée par les barnums de BD Boum. L’inconvénient c’est que la cérémonie était coupée en deux. De plus entre les deux parties venaient s’intercaler, au même moment une cérémonie ‘interconfessionnelle » à la Cathédrale et une cérémonie civile à la mairie, obligeant le cortège à se scinder en deux place Saint Louis, ce qui n’est pas une symbolique très heureuse.
Sur le fond nous avons eu droit au discours de M. Macron, lu par le Préfet de Loir et Cher. Un discours qui glisse de l’hommage à un  plaidoyer pour l’Europe et pour la paix, sans tirer le leçon de l’après-guerre, sans oublier quelques attaques contre les défenseurs de la Nation. Comme un parfum de pré-campagne des européennes. Ensuite, les élèves d’une classe de 3ème du Collège Bégon ont interprété la « chanson de Craonne ». Cette chanson politiquement engagée (à l’extrême-gauche) fustige « Les gros », « ceux qu’ont le pognon » et « les biens de ces messieurs là », et incite  à la mutinerie (« c’est fini, nous, les troufions, on va se mettre en grève »).
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Centenaire de la victoire de 1918 : rendez-vous à Blois le 10 novembre.

Visuel 10-11-18 Blois« Cent ans après la victoire de la France et de ses alliés, mettant un terme à la Grande Guerre en 1918, notre famille politique a à cœur d’honorer la mémoire du soldat français qui se sacrifia pour défendre notre drapeau et l’intégrité de notre territoire, et la mémoire du peuple français tout entier uni dans les pires circonstances. »  Marine Le Pen
Alors que Macron refuse de fêter dignement la victoire de 1918, le Rassemblement national appelle tous les Français a participer nombreux aux commémorations du 11 novembre.
Nos élus seront présents dans leur communes respectives, soyez nombreux à leurs côtés, avec vos enfants car il est important de leur faire partager ce moment historique.
Le 10 novembre Marine Le Pen sera a Verdun pour un grand banquet patriotique afin de rendre hommage à tous les combattants, ceux qui sont tombés et aussi tous eux qui ont été marqués à vie par cette épreuve
La Fédération de Loir et Cher organise également une journée d’hommage à Blois, avec un repas et la retransmission vidéo sur grand écran de la cérémonie de Verdun et du discours de Marine.
Venez nombreux, en famille, avec vos amis pour cet après-midi d’hommage à nos poilus. Attention : nombre de places limité, inscription obligatoire. Vous pouvez demander l’invitation à contact@rassemblement-national41.fr

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La Nouvelle République veut encore politiser la fête de Jeanne d’Arc.

NR JDA 2018Non le FN ne privatise pas Jeanne d’Arc, il organise l’hommage officiel abandonné par les autorités. C’est la NR qui politise l’événement.

La Nouvelle République rend compte aujourd’hui de l’hommage à Jeanne d’Arc hier à Blois.
Mais la teneur des propos de Michel Chassier lors son allocution, pas plus que les réponses apportées au journalistes ne sont pris en compte.
L’article n’est en réalité qu’un prétexte pour ressortir contre le Front National l’éternelle accusation d’avoir  « récupéré » Jeanne d’Arc.
Au prix de quelques accommodements avec la réalité.
D’abord sur la date de la Fête de Jeanne d’Arc. Il faut savoir, et cela a été rappelé hier, qu’il s’agit d’une cérémonie patriotique officielle de la République française, instituée le 24 juin 1920 par un vote unanime de l’Assemblée nationale, et qu’elle se tient depuis lors partout en France le 2ème dimanche de mai.
A l’exception de la Ville d’Orléans, qui fête sa libération par Jeanne le 8 mai.
Quant à la récupération, nous avons toujours dit que nous étions prêts à laisser aux autorités locales le soin d’organiser la cérémonie.
Or une fois de plus ni le Maire, ni le Préfet, ni le Conseil départemental, ni le Conseil régional, ni les parlementaires, ni les autorités militaires et ecclésiastiques n’étaient présentes ou représentées.
Par conséquent nous n’avons aucunement « récupéré » et encore moins « privatisé » cette fête, comme le dit la NR, ce sont les autorités de la République qui l’ont sciemment abandonnée.
L’article revient aussi sur l’historique des célébrations organisées par le FN.
En 1988, entre les deux tours de la présidentielle,  il avait été décidé de regrouper la Fête de Jeanne d’Arc avec la Fête de travail à l’occasion d’un défilé à Paris.
Aujourd’hui les choses ont évolué en raison des difficultés de l’organisation d’une telle manifestations à Paris.
Cela étant, la Fédération de Loir et Cher a toujours maintenu une célébration  à Blois à la date inscrite dans le calendrier officiel.
Et contrairement à ce qui est écrit dans l’article de la NR, nous n’avons pas « changé de ton ».
Régulièrement nous avons invité le maire de Blois à organiser ou au moins à participer à cette cérémonie.
Y compris lorsque le maire de Blois était Jack Lang, qui a toujours décliné l’invitation.
Nicolas Perruchot avait toutefois fait déposer une gerbe une fois au cours de son mandat.
Marc Gricourt n’a jamais donné suite.
Et si Marine Le Pen avait critiqué Nicolas Sarközy en 2012, c’est qu’elle considérait à juste titre ce dernier illégitime pour fêter cette héroïne, alors qu’il avait abdiqué la souveraineté de la France au mépris du choix des Français lors du référendum de 2005.
Enfin, pour en finir avec la récupération, que dire de M. Macron, qui a récupéré à son profit et pour sa propre promotion le Fête de Jeanne d’Arc à Orléans le 8 mai 2016, préparant déjà sa campagne présidentielle.
Pour notre part aucune ambiguïté, nous célébrerons Jeanne à nouveau à Blois en 2019, ce sera le dimanche 12 mai.
En espérant que les autorités se réveillent et prennent l’initiative d’organiser cette célébration, en présence des corps constitués et avec la participation des troupes et de l’harmonie municipale.

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Châteauvieux : le Préfet rend hommage aux résistants du temps présent.

pierredesaintceran.jpgPierre de Saint Céran lors d’un hommage à Jeanne d’Arc avec le Front National à Blois. Une vie de résistance au service de la France.
A l’occasion de la commémoration annuelle de l’arrestation de six résistants de la commune, dont cinq sont décédés dans les camps et le dernier deux mois après son retour, le Préfet de Loir et Cher a rendu hommage à « ces hommes qui on fait le sacrifice de leur vie pour la patrie » (la Nouvelle République du 5 mai 2018).

Comme leurs aînés de 1914-18, ces résistants de la dernière guerre mondiale sont morts pour la France et reposent au carré militaire du cimetière de Châteauvieux.
Il est bon que le souvenir de leur héroïsme soit transmis aux jeunes générations à qui l’on enseigne le mépris de la Nation, au profit d’une illusoire citoyenneté européenne voire mondiale, assortis d’une repentance prélude à la soumission.
Aujourd’hui ceux qui résistent, ceux qui défendent leur pays menacé par la submersion migratoire, qui se battent pour conserver son indépendance et sa souveraineté sont au contraire montrés du doigt, dénigrés par les médias, qualifiés de dangereux nationalistes.
Ils sont parfois menacés physiquement, certains risquent leur emploi, leurs réunions et leurs locaux sont régulièrement attaqués par des milices d’extrême-gauche qui ne sont jamais inquiétées.
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5 décembre : honneur aux combattants, non à la repentance.

Blois monument aux morts AFN-Indochine-39-45La cérémonie de commémoration pour la journée nationale d’hommage aux morts pour la France pendant la guerre d’Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie a été institue en 2002, pour répondre à la demande de nombreuses associations qui refusaient de commémorer la fin de la guerre d’Algérie le 19 mars, date anniversaire des accords d’Evian, qui ne signifiait pas la fin des hostilités, puisque les massacres les plus abominables ont été commis par le FLN et ses alliés après le 5 juillet 1962, alors que les troupes françaises avaient reçu l’ordre de rester l’arme au pied.
A Blois, la municipalité de gauche est tenue d’organiser cette cérémonie, même si ce n’est pas de gaieté de coeur, et le Maire y était présent.
Toutefois il a laissé à son 10ème adjoint, Pierre Boisseau, le soin de prononcer le discours à la mairie.
On a pu remarquer toutefois que Marc Gricourt était présent à ses côtés, semblant le surveiller d’un oeil un peu inquiet de crainte d’un « dérapage » ou d’une parole malheureuse.
On peut regretter que le Conseil régional n’ait pas été représenté officiellement, puisque Marc Gricourt était là en tant que maire de Blois et portait l’écharpe correspondant à sa fonction. D’autant plus que Michel Chassier, conseiller régional de Loir et Cher était bien présent. Par respect du protocole il aurait dû être associé aux personnalités en tant que représentant du Conseil régional.
Pas l’ombre d’un parlementaire non plus à cette cérémonie.
Sur le plan pratique, la présence de la structure mobile au milieu de la place de la République à cette époque de l’année ne permet pas un dépôt de gerbe sur le monument érigé à la mémoire des combattants d’AFN, situé de l’autre côté du square. Dommage.
A notre la présence en nombre des combattants de l’Union Nationale des Parachutistes, qui ont défilé jusqu’à la mairie en chantant le fameux « Debout les paras« .
Par ailleurs on peut regretter que M. Macron ait choisi cette date pour une visite « amicale » en Algérie, où il a confirmé ses propos scandaleux du mois de février dernier, accusant alors la France, et donc son armée, de « crimes contre l’humanité ». Tout en disant qu’il n’était pas dans une attitude de repentance. 

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