Un certain Khalid vient d’être condamné à 6 mois « ferme » (mais il ne les fera pas), pour avoir attaqué, vendredi dernier, en pleine rue du centre de Blois une jeune femme afin de lui voler son Smartphone et l’insulter en passant.
La vidéo- surveillance avait permis à la Police municipale de le retrouver rapidement. L’agresseur était un toxicomane qui avait déjà été condamné 15 fois pour consommation de stupéfiants (la Nouvelle République 28/2/2017).
Combien de jeunes femmes sont ainsi à la merci de ces toxicomanes que les services de santé ne contrôlent plus, ou si peu ? L’homme était porteur de 3,45 g d’héroïne dont il disait qu’elle appartenait à un copain. Certains ont pu le croire !
Les magistrats croient-ils encore en la mise à l’épreuve comportant notamment une obligation de soins à laquelle ils condamnent ce genre de délinquant toxicomane pour la 16ème fois ? Nous, non.
A noter que l’affaire a été présentée en comparution immédiate sans attendre les 6 mois habituels ! En période électorale la Justice serait-elle plus rapide ?
Blois. Les ravages de la drogue, facteur d’insécurité
Encore une voiture incendiée à la Quinière
(image d’illustration : parking rue Le Nôtre. 4 voitures y avaient été incendiées en 2014).
A Blois les jours se suivent et se ressemblent : une voiture a été incendiée dans la nuit de mercredi à jeudi, vers 1 h 30, rue Le Nôtre dans le quartier de la Quinière-les Allées à Blois.
Ce n’est malheureusement pas la 1ère fois dans cette rue, où l’on dénombre au moins 7 voitures incendiées depuis 2014.
La Nouvelle République rend compte de l’évènement en signalant simplement que « les pompiers ont éteint un incendie de voiture, jeudi, vers 1 h 30 du matin, rue Le Nôtre, à Blois ».
Rien qui précise la cause du sinistre.
Blois-Vienne : 3 pavillons de jardin incendiés.
Image d’archives : incendie de cabanes de jardin en décembre 2012.
Ce n’est pas la 1ère fois que des cabanons de jardin sont incendiés à Blois-Vienne ou à Saint Gervais. On peut d’ailleurs s’interroger sur le mobile de ces destructions volontaires.
Les faits se sont déroulés dans la nuit de lundi à mardi, les pavillons étaient situés dans un petit ensemble de jardins à l’extrémité de la rue des Droits de l’Homme.
Après l’incendie volontaire de l’entreprise Barbet dans la nuit de dimanche à lundi le sentiment d’insécurité risque bien de se renforcer en Vienne, de même que l’exaspération devant l’apparente impunité des délinquants.
Blois : voiture incendiée rue Arrachart.
(photo transmise par un riverain)
Une voiture a été incendiée dans la nuit du 19 au 20 février sur un terrain entre la rue Arrachart et la rue Louis Armand.
Une de plus pourrait-on dire, car la série ne semble pas en voie de s’arrêter, après l’incendie la même nuit d’un véhicule devant l’entreprise Barbet à Saint Gervais la Forêt, qui a partiellement détruit un bâtiment et les véhicules garés à l’intérieur.
les faits sont signalés ce matin par la Nouvelle République.
Saint Gervais : incendie criminel à l’entreprise Barbet.
Mise à jour du 21/02 : la Nouvelle République confirme bien ce matin l’origine criminelle de l’incendie, comme nous le soupçonnions dès hier.
Des riverains nous avaient communiqué l’information ce matin, mais nous attendions plus d’informations, en particulier sur l’origine du sinistre.
La Nouvelle République publie une brève sur son fil d’actualité Internet à 14 h 29, sans toutefois donner plus de précisions. On apprend seulement que « deux véhicules utilitaires ont pris feu, dimanche, peu avant 20 h 30, route Nationale (départementale 956), à Saint-Gervais-la-Forêt (Loir-et-Cher) ».
Dans quelles circonstances ? A l’intérieur ou à l’extérieur de l’entrepôt ? L’enquête en dira plus, mais les circonstances de l’incendie paraissent étonnantes, surtout un dimanche où l’entreprise était évidemment fermée.
Les riverains se posent des questions bien compréhensibles vu la climat d’insécurité du quartier.
Merci à Alan d’avoir transmis la photo.
Expulsion des délinquants étrangers : nouvel exemple en Loir et Cher
(cliquez sur l’image pour agrandir)
Quinze mentions au casier judiciaire pour des vols en réunion, conduite sans permis etc… pour ce « jeune homme de 21 ans » de nationalité turque, qui vient à nouveau d’être condamné à Blois pour récidive de conduite sans permis (*) et mise en danger de la vie d’autrui (la Nouvelle République du 15/02/2017).
En attendant une nouvelle comparution en juin pour un autre délit.
De qui se moque-t-on ?
Cet individu qui séjourne depuis 7 ans en France multiplie les délits, le procureur constate « une véritable montée en puissance« . Certes il vient d’être condamné à 6 mois d’emprisonnement, mais on peut se demander pourquoi conserver ce délinquant étranger multi-récidiviste sur notre sol ?
La proposition n° 21 des 144 engagements de Marine Le Pen est sans ambiguïté sur ce point : « expulsion automatique des délinquants étrangers« .
C’est d’ailleurs une pratique courante dans de nombreux pays.
L’application de cette mesure aurait le mérite de délivrer un message clair aux délinquants. Elle devrait être soutenue également par tous les ressortissants d’origine étrangère qui ont acquis la nationalité française, et dont l’image pâtit de ce genre de comportement.
(*) ce « jeune homme » qui déclare chercher du travail roulait dans une puissante Mercèdes. Cherchez l’erreur.
Les 2 panaches de fumée de La Boire et de Saint Laurent. Deux signes opposés !
(image d’archive FN41 : panache de fumée de la Boire. Les écologistes ne s’en inquiètent pas !)
On ne peut pas ironiser sur les « 2 lieux de panache de fumée de la Boire et de St Laurent », comme l’a fait le procureur de la République en évoquant les voitures brûlées, après avoir été volées, comme cela se fait dans le secteur de La Boire (la Nouvelle République du 10/2/2017) Une façon de banaliser un fait auquel personne ne peut s’habituer. Ni les propriétaires des voitures détruites et surtout pas les autorités.
Cela ne date pas d’aujourd’hui, la situation de La Boire est plus que « préoccupante » depuis des décennies. Les préfets se succèdent et La Boire continue de dériver dans le non-droit. Ce n’est pas un dossier, c’est une réalité insupportable.
Il ne suffit pas non plus de « souhaiter un effort collectif pour trouver des solutions ». « Un collectif » qui viendrait d’où? Des victimes, du voisinage, des gens du voyage? Restaurer l’application de la loi, comme l’Etat le fait à coups de pv avec les automobilistes, c’est le rôle des pouvoirs publics et des forces de l’ordre. C’est en un mot le rôle du préfet et du procureur de la République. Et « souhaiter un effort collectif » est un formidable aveu d’impuissance.
Les autorités ont tellement peur d’être taxées de discrimination voire de stigmatisation anti-gens du voyage – d’un nouveau Saint Aignan – qu’elles ferment et fermeront les yeux sur ces panaches de fumée.
Signes visibles dans le ciel d’une impuissance publique coupable et génératrice de conséquences risquées.
Bilan 2016 de la délinquance en Loir et Cher. Pas clair !
Nous prenons connaissance du bilan de la délinquance 2016 en Loir et Cher (la Nouvelle République 9/2/2017).
Nous aurions bénéficié d’une baisse des cambriolages, ce que nous n’avons pas constaté, et nous aurions subi une hausse des escroqueries. Ce qui s’explique par le développement du commerce par Internet.
Nous apprenons aussi que le nombre d’atteintes aux biens de notre département (24,58 pour 1 000 habitants) serait inférieur au taux moyen français (33,25 pour 1 000 habitants). Mais nous ne savons pas s’il est à la hausse ou à la baisse.
Faut-il pour autant qualifier de « paisible » le Loir et Cher ? Non, car le plus intéressant est d’examiner l’évolution de la situation d’insécurité sur une dizaine d’années et la récente attaque à main armée de Vineuil n’est pas de nature à rassurer les habitants. D’autre part, nous ne pouvons pas penser que c’est bien en Loir et Cher parce que c‘est pire ailleurs.
Il est important de constater, mais nous l’avions déjà fait remarquer dans ce blog, que le nombre de crimes et délits a augmenté de 7,39 % en zone Police, plus particulièrement à Blois, dans une zone urbaine à plus forte concentration de population hétérogène. Les dernière affaires de drogue confirment ce constat.
Faut-il expliquer la baisse (- 8,3 %) de ces crimes en zone Gendarmerie par une meilleure implantation et à l’organisation militaire de cette structure ? Possible même si le caractère rural d’une population plus homogène explique une moindre criminalité.
En résumé, bien que l’on doive se méfier des bilans officiels d’autosatisfaction, il aurait été réaliste de comptabiliser le nombre de voitures brûlées (directement ou indirectement) ainsi que d’analyser l’efficacité du dispositif « Voisins vigilants » dans les communes qui l’ont choisi. Ce qui semble être le cas de Romorantin qui ne peut que s’en réjouir.
Dans tous les cas, il nous semble capital d’apporter à notre Police et à notre Gendarmerie tout le soutien qu’elles méritent. L’offensive nationale actuelle anti-Police d’Aulnay peut arriver demain à Blois au détour d’une vérification d’identité. Et qui les défendra, à part le Front National et Marine Le Pen, si le Président de la République lui-même les désavoue avant la fin de l’enquête judiciaire ?
Quelques chiffres significatifs.
Les vols avec violences ont augmenté de 9,59%.
Les vols sans violences ont augmenté de 7,07%.
Les violences physiques « crapuleuses » (??) ont augmenté de 9,46%.
Encore deux voitures brûlées en Loir et Cher.
Encore deux voitures incendiées de week-end en Loir et Cher.
La première à Theillay sur le chemin de la Servantière proche de l’autoroute samedi soir vers 20 h 50, la seconde à Thenay chemin de la Rangère vers 21 h 40 (la Nouvelle République du 6/02/2017).
Le mode opératoire est toujours à peu près le même : les malfaiteurs choisissent un endroit isolé pour incendier un véhicule dont ils veulent se débarrasser.
Autant les feux de voitures « urbains » sont liés à des règlements de compte ou bien ou bien une forme de représailles pour défier les autorités, suite à une arrestation par exemple, ces incendies en pleine campagne correspondent le plus souvent à des voitures volées, qui peuvent avoir été utilisées pour commettre des vols, mais aussi en partie désossées pour alimenter un trafic de pièces détachées.
Mais pour les victimes, le résultat est le même : une voiture détruite et un remboursement aléatoire.
Voiture brûlée à Montlivault
Une voiture a brûlé la nuit dernière du vendredi 3 au samedi 4 février, sur la D 951, à Montlivault (la Nouvelle République du 4/2/2017).
Une de plus et ,comme cela arrive souvent, c’était un vendredi ou un samedi une nuit où en principe il y a plus de surveillance policière.
Le drame est que ces incendies vont finir par sembler inévitables et entrer dans les informations les plus banales et pourtant nous savons combien ces vols gênent les personnes les plus faibles ou défavorisées. Ils sont très souvent le résultat d’un vol dissimulé. Les arrestations, la semaine dernière, de personnes sur Vineuil qui avaient incendié les véhicules qu’ils avaient volés en sont la preuve.
A combien de voitures brûlées sommes-nous depuis le 1er janvier en Loir et Cher? Qui peut répondre?
Blois, plaque tournante de la vente de cannabis ?
Mercredi soir 1er février, au péage de Blois, la police a intercepté un transporteur de drogue (la langue de bois officielle anglicisée parle de « go fast ») et saisi 98 kg de cannabis d’une valeur de 700 000 euros !
Un des trois trafiquants s’est échappé après une course-poursuite spectaculaire en direction de Mer mais deux trafiquants ont été capturés et placés en garde à vue.
Il s’agit de deux hommes d’une trentaine d’années installés à Blois – où ? – on ne sait pas. L’un d’eux a déjà été condamné pour des faits de violence et de dégradations.
Comme quoi, tout est lié : violences, destructions, petite et grande délinquance, drogue et demain – pourquoi pas ? – attentat islamiste. Comme de bien entendu, les délinquants-drogueurs sont restés silencieux et n’ont encore rien révélé de leur réseau (la Nouvelle République du 4/2/2017).
Pendant ce temps, les Hamon, Mélenchon ou Peillon proposent la dépénalisation du cannabis alors que l’on sait que si le cannabis est vendu librement ces malfaiteurs passeront à des drogues plus fortes comme la cocaïne …ou la vente d’armes et pourriront notre jeunesse.
Bravo à la Police et à la Douane qui ont su être patientes et professionnelles en acceptant de prendre des risques, c’est la deuxième fois en quelques semaines, pour arrêter ces vendeurs de mort.
Blois est-elle devenue la plaque tournante de la vente du cannabis en Région centre ? La question est posée. Il y a trop de coïncidences !
Blois. Zone de non-droit de la Boire. Suite sans fin ?
Nous avions déjà parlé dans ce Blog des vols de cuivre et de câbles qui sont opérés par les mêmes personnes et dont nous disions que la Police allait bientôt en trouver les auteurs. C’est fait.
Le 1er février, la Brigade anticriminalité (BAC) apprend que le réseau Orange est alerté par un vol. Elle s’y rend et découvre trois personnes en pleine action, qui prennent la fuite en voiture en direction de La Boire où elles disparaissent dans la nature en courant. Dans un secteur qu’elles connaissent bien et où la Police ne s’aventure pas sans précaution.
Le lendemain, le propriétaire du véhicule dans lequel les voleurs s’étaient enfuis, va au commissariat pour déclarer le vol de son automobile. Alors qu’il rédige un procès-verbal, un policier de la BAC reconnaît le propriétaire comme étant l’un des trois individus qui se sont enfuis de la Boire, sous ses yeux.
Certain de son impunité, avec un certain culot et persuadé de ne pas être reconnu, le voleur n’a pas hésité à se rendre au commissariat !!! Cela en dit long sur l’état d’esprit des délinquants et la liberté d’action dont ils croient disposer. Mais il est aussitôt mis en garde à vue et interrogé par les policiers.(Nouvelle République 4/2/2017)
Il reconnaît douze vols de câbles, commis depuis le 24 mars 2016 dans quatre communes différentes – Saint-Claude-de-Diray, Huisseau-sur-Cosson, Vineuil et Blois.
Comme quoi, le dispositif d’alerte du réseau Orange ainsi que la vigilance de la Police portent leurs fruits.
Mais la population honnête commence à en avoir assez de ce climat qui règne dans le secteur de La Boire, et d’ailleurs, où, lorsque les citoyensrespectueux des lois parlent d’une zone de non droit, la Police de la Pensée socialisante parle « d’amalgame » ou de « discrimination ».
De tels évènements ouvrent les yeux des Blésois pour les prochaines décisions à prendre en avril/mai. On en reparlera!
Deux véhicules incendiés à Gièvres, un bâtiment touché.
Rue de la Pêcherie à Gièvres.
C’est mardi vers 5 heures du matin que les pompiers ont été prévenus.
Deux véhicules, un fourgon et une voiture étaient en feu et l’incendie se propageait à un bâtiment voisin désaffecté (la Nouvelle République du 01/02/2017).
Ce lieu isolé, aujourd’hui abandonné, a déjà été le théâtre de ce genre de méfaits et le bâtiment portait des traces d’incendie.
Sans doute l’endroit a-t-il été choisi pour faire disparaître les traces sur des véhicules volés et désossés.
Par qui ? Tout le monde autour de Gièvres a une petite idée.
Mais surtout « pas d’amalgame » !
Cambriolages sur Blois et l’Agglo. Des félicitations et trois questions
(photo d’illustration)
Félicitations.
Bravo à la Police blésoise qui, lors d’une patrouille nocturne, a pu arrêter et mettre en prison 2 voyous qui avaient effectué huit cambriolages, dont trois vols de voitures avec violence au domicile des propriétaires, et huit vols de voitures. Il faut savoir que deux d’entre elles ont été retrouvées incendiées (la Nouvelle République 1/2/2017).
Trois Questions.
- Police Secours a-telle été appelée par un voisin de l’épicerie cambriolée avenue Maunoury ? Dans ce cas, ce comportement « citoyen» justifie la création à Blois du dispositif « Voisins vigilants ».
- Ces mineurs de 17 ans étaient, dit-on, connus des services de police. Cela veut-il dire qu’ils avaient déjà été condamnés ? Mais alors, que faisaient-ils en liberté ?
- Ils sont soupçonnés d’avoir volé des voitures à un propriétaire de Vineuil sous la menace d’une arme. S’agit-il des bandits qui, cagoulés, gantés et armés, ont attaqué et dévalisé un soir vers 18 h 30, il y a quelques semaines, une famille de Vineuil? Y répondre permettrait de rassurer les Vinoliens de plus en plus inquiets.
Saint Georges sur Cher : un incendie de voiture bien ciblé.
Fossés anti-franchissement fraîchement surcreusés.
Nous avions déjà quelques soupçons au sujet de la voiture incendiée à Saint Georges sur Cher dans la nuit de dimanche à lundi.
Une visite sur les lieux confirme cette première impression.
Les traces laissées sur place par l’incendie montrent bien que l’endroit n’avait pas été choisi au hasard.
La commune de Saint Georges sur Cher venait de renforcer les mesures visant à limiter l’intrusion de caravanes dans le périmètre du Port et de l’ancien terrain de camping : les fossés avaient été recreusés et une chicane ajoutée à la barre limitant la hauteur des véhicules.
Les traces de l’incendie à l’entrée de l’ancien camping.
C’est précisément sous cette barre que la voiture a été incendiée.
Chacun pourra conclure de lui-même.
Les effets positifs des « Voisins vigilants » bientôt à Blois ?
Vous connaissez le dispositif « voisins vigilants » que les socialistes ont débaptisé en une surveillance « citoyenne ». Ils ne peuvent en effet s’empêcher de mettre du « citoyen » à toutes les sauces . Ce dispositif consiste à solliciter la participation active des habitants pour surveiller leur rue ou leur quartier en cas de cambriolage, sous la direction des autorités.
La ville de Romorantin qui a amplifié le dispositif à 6 nouveaux quartiers se félicite des résultats puisqu’il y a eu cette année une baisse de 27% des cambriolages dans les quartiers « voisins vigilants ».
Le sous préfet, le procureur et le sénateur–maire se sont réunis pour faire le point et dynamiser la structure (la Nouvelle République du 31/1/2017).
C’est bien de voir les autorités s’intéresser à la sécurité publique par le biais des « voisins vigilants ». Mais il ne faut jamais oublier que l’initiative doit venir des habitants eux-mêmes et non des autorités qui, en matière de sécurité, règnent mais ne gouvernent pas.
Il faut aussi rappeler que si cette structure s’est développée c’est surtout en raison de la carence de l’Etat – la sécurité relève de son pouvoir régalien – qui ne fait pas face à ses obligations.
Faut-il aussi rappeler que si les polices municipales-de plus en plus coûteuses- se sont développées c’est aussi en raison de cette carence chronique et systématique. Il est d’ailleurs curieux de constater que les ministres de l’Intérieur successifs (Sarkozy, Valls, Cazeneuve) sont presque tous devenus premiers ministres ou président de la république. Comme si l’incompétence était un gage d’ascension dans la carrière politique nationale !
Une dernière question. Quand on fait le bilan de la sécurité à Blois, on se demande pourquoi Marc Gricourt n’imite pas Romorantin. « C’est simple, c’est gratuit et ça fonctionne » ! La question sera posée en conseil municipal par les élus FN.
Une voiture brûlée à Saint Georges sur Cher.
Quelques lignes laconiques dans la Nouvelle République ce matin (31 janvier 2017) : lundi vers 1 heure du matin une voiture a brûlé rue du Gué de l’Arche à Saint Georges sur Cher, à proximité de l’ancien terrain de camping.
Situé à l’écart des habitations du Port, cet endroit a déjà été le théâtre de nombreuses méfaits.
Une voiture a déjà été incendiée au même endroit en 2013 (voir l’article sur notre blog).
Le camping avait dû fermer pour des raisons de mises aux normes, et les installations avaient été rapidement l’objet de vols et dégradations.
Quelques années après, une guinguette avait fonctionné pendant 2 ou 3 saisons, avant de jeter l’éponge suite aux dégradations dont les installations étaient régulièrement l’objet.
Au même endroit l’ancien maire avait été poussé dans le Cher par des « gens du voyage » auxquels il reprochait un stationnement illégal, le dépôt d’immondices… et l’abandon d’une carcasse de cheval !
Comme on peut l’imaginer, il avait fallu tout nettoyer aux frais de la commune.
Feu d’appartement à Blois. Accidentel ou criminel ?
(photo d’illustration)
Un appartement de la rue Maryse Bastié à Blois a été l’objet d’un début d’incendie dimanche soir à 22 h 15 (la Nouvelle République 30/1/2017) Les pompiers de Blois ont réussi à limiter la propagation du feu.
L’enquête dira pourquoi le feu s’est déclaré devant la porte d’entrée à partir du palier, en l’absence des occupants. Il est en effet assez rare qu’un feu se déclenche tout seul sur un palier.
Quelqu’un a pu l’y aider.
Il y a quelque temps, nous avions pu avoir le témoignage édifiant d’un pompier, qui s’était retrouvé au quatrième étage d’un immeuble de la ZUP pour éteindre un feu de sacs poubelles sur la palier.
Une fois les flammes éteintes, les pompiers qui s’apprêtaient à repartir sont interpellés par une femme, locataire de l’appartement : « voyez dans quelles conditions on vit, au milieu des ordures ! »
A quoi le soldat du feu répondit du tac au tac : « vous habitez au dernier étage, ce ne sont pas les voisins d’en-dessous qui ont monté les ordures jusqu’ici. »
En fait, ce simulacre d’incendie de sacs poubelles avaient un but : les faire évacuer par les pompiers !
Quitte a mettre les habitants de l’immeuble en danger.
Dans le cas présent l’appartement est inutilisable et la famille qui l’occupait a été relogée. On imagine d’ici la peur des voisins…
Mise à jour : la Nouvelle République du 31/01/2017 confirme les soupçons autour de cet incendie suspect.
Blois. Voiture incendiée aux Grouëts
La semaine dernière, une voiture sans doute volée, avait été incendiée à Blois près du pont Mitterrand.
Ce week-end, une Golf, qui elle aussi avait été volée, a été détruite par les flammes, dans la nuit de samedi à dimanche, près du stade des Grouëts. (la Nouvelle République 23/1/2017).
La série continue dans l’indifférence générale. Sauf des propriétaires…
Une justice sans moyens qui travaille en pure perte !
En juin 2015, un homme harcèle dans une rue de Blois deux jeunes femmes qui portent plainte. La Police arrive sur les lieux mais il s’oppose à tout contrôle et donne un coup de pied sur un agent. Rebellion.
En août, il recommence avec la réceptionniste d’un hôtel du centre-ville de Blois. Mais en se faisant plus pressant puisqu’il la saisit par la gorge en exigeant une fellation et en insistant pour avoir son numéro de téléphone. La jeune femme n’a dû son salut qu’à une fuite dans les toilettes de l’hôtel (la Nouvelle République du 19/1/2017).
En février 2016, il est condamné pour ces faits (6 mois avec sursis) mais, certain d’être victime d’une injustice et ne payant aucuns frais de justice, notre voyou n’hésite pas à faire appel. Sauf que, le jour de l’audience, il ne se présente pas devant le tribunal car il est reparti dans « son pays ».
Quel pays ? L’histoire ne le dit pas. Sans doute « une chance pour la France » qui se moque de notre justice et en alourdit le fonctionnement.
Dans tous les cas, voilà une machine judiciaire qui traite à vide des délinquants souvent récidivistes sans que ceux-ci soient susceptibles d’effectuer la peine à laquelle ils ont été condamnés. Une sacrée faille dans notre dispositif judiciaire.
S’il n’y en avait qu’un, ce ne serait pas grave mais c’est aussi le cas de ce qui s’est passé à Romorantin entre Mustafa et Mohammed le 9 octobre 2013. (Nouvelle république 17/1/2017) Ce dernier, condamné à 3 ans de prison ferme pour avoir arraché l’œil de son « ami » Mustafa avec une petite cuillère, a disparu des radars judiciaires.
Il a dû repartir au pays. Lequel ?
Vineuil a peur quand la nuit tombe.
Nous apprenons une semaine après les faits qu’une famille a été agressée chez elle, le mercredi 11 janvier vers 18h30, à Vineuil (la Nouvelle République 18/1/2017).
Plusieurs individus (Combien ? Etaient-ils tous cagoulés ? On ne sait pas) sont entrés dans une maison et, pistolet au poing, ont rassemblé la famille dans une chambre pendant que les autres complices fouillaient les lieux.
Sûrs de leur fait, ils sont restés une demi-heure à chercher bijoux et argent puis sont repartis avec ce qu’ils avaient trouvé (Quoi, précisément? On ne sait pas). Il n’y aurait pas eu de violence physique mais l’utilisation d’une arme est en soi une grave violence. Imaginons une seconde qu’une des victimes ait utilisé une arme pour protéger sa famille, car ils étaient vraiment en état de légitime défense.
Nous comprenons parfaitement que la Police ne communique pas sur cette affaire car si elle veut aboutir elle a besoin d’un vrai silence médiatique. Il n’en reste pas moins que l’inquiétude a gagné les habitants de Vineuil qui se barricadent dès que la nuit tombe et savent maintenant que cela peut arriver partout dans l’Agglo et que les patrouilles de police n’y changent pas grand chose.
Il faut savoir que cette agression avec arme, en réunion, la nuit est gravissime. Elle relève de la cour d’Assises et ses auteurs peuvent être condamnés à 20 ans de réclusion et à 150 000 euros d’amende. (Art.311-8) Mais les malfrats craignent-ils le Code Pénal et les magistrats ? Pas certain.
Mais si au contraire l’une des victimes avait possédé une arme et blessé un des agresseurs en voulant se défendre, il aurait sans doute été poursuivi !
Le racisme anti-blanc existe-t-il ?
(image d’illustration)
Une affaire révélatrice de l’ambiance actuelle vient de passer devant le Tribunal de Blois.
Un africain originaire de la République Centrafricaine était jugé pour avoir agressé, avec un de ses amis, le vigile (noir ou blanc, on ne sait pas) d’un supermarché de Romorantin qui, le soupçonnant de voler dans le magasin, le suivait à la trace.
Bien sûr, comme cela arrive très souvent, l’agresseur prétend qu’il a été victime d’une remarque raciste (« sale noir ») ce que conteste le vigile. Et, très énervé d’être suivi pas à pas, il s’est rué sur le vigile qui, malgré ses 2 mètres, a été neutralisé et mis à terre (la Nouvelle République 16/1/2017).
Que retirer de cette affaire somme toute banale ?
- Dès que l’on a affaire à une agression, l’agresseur se présente souvent comme la victime et, s’il est d’origine africaine, il se prétend victime de racisme. Cela peut attendrir les juges. Soucieux d’enfoncer le clou, l’avocat du prévenu, venu spécialement de Perpignan (???), et sans doute d’origine africaine, a fait savoir qu’il en avait été lui-même victime malgré son statut d’avocat. Cela n’a pas suffi à convaincre les juges car l’agresseur a été condamné (à du sursis…)
- Cette agression qui a eu lieu en août 2013 ne sort en audience qu’en 2017. Soit 3 ans et demi d’attente ! La lenteur de la justice est due à son cruel manque de moyens que les gouvernements successifs ne veulent pas voir. Ils préfèrent investir dans le « vivre ensemble » avec les effets qu’on connait. A moins qu’il ne s’agisse d’une erreur de transcription…
Quinière : encore un commerce qui disparaît.
L’incendie d’octobre 2016 : un coup fatal pour le Centre commercial ?
Quel avenir pour le centre commercial Quinière ?
L’incendie du mois d’octobre dernier, point d’orgue d’une série d’agressions, de dégradations et de violences, lui aura peut-être porté un coup fatal ?
Nous en avons une nouvelle illustration avec la fermeture de la Cave à vins, certes prévue avant l’incendie. Mais la cellule commerciale risque de ne pas être reprise (la Nouvelle République du 17/01/2017).
Pourtant lorsqu’il avait repris ce commerce il y a 16 ans, Georges Morin trouvait le centre sympathique et plutôt animé.
On sait comment la politique de rénovation urbaine a étendu les problèmes de la ZUP aux quartiers de la Quinière-Les Allées.
Et la Ville n’a pas su mesurer l’ampleur du phénomène, allant jusqu’à le nier, ni prendre les mesures nécessaires.
Un peu de communication autour du « village Quinière » en 2015, sans effet notable, d’autant plus que la délocalisation du centre médical a diminué en même temps le flux de clientèle.
Après l’incendie, Louis Buteau, adjoint au commerce, avait évoque d’autres solutions à l’étude, mais nous ne voyons toujours rien venir.
Nous craignons fort que le Centre Quinière connaisse à terme le sort du Centre Kennedy.
Pour éviter d’en arriver à cette extrêmité, il faudrait impérativement que le quartier retrouve sa tranquillité. Ce qui semble incertain tant que le problème de la sécurité ne sera pas abordé sérieusement et sans ménagement.
Incendies de voitures volées
Voiture incendiée chemin de la Rabière à Blois.
Les incendies de voiture continuent à Blois et en Loir et Cher.
Ce matin, dimanche 15 janvier, chemin de la Rabière en bas du rond point Mitterand une voiture a été incendiée sans doute après avoir été volée (voir photo).
Rappelons que les pompiers et les gendarmes de Romorantin sont déjà intervenus vendredi dernier pour éteindre l’incendie d’une vieille grange isolée, au lieu-dit la Maison Rouge, à Loreux. (la Nouvelle République du 14/1/2017).
Il faut savoir que la grange a été entièrement détruite par le feu qui était parti d’un camion plateau, abandonné contre le bâtiment. Une fois de plus, le véhicule avait été volé.
Cannabis et délinquance. Un rapport de cause à effet ?
Faut-il établir un lien automatique entre drogue et délinquance ? Sans doute que non mais la fusion de ces 2 comportements qui est très fréquente mérite d’y réfléchir quand on débat sur la légalisation du cannabis. C’est ce que nous montre l’actualité blésoise.
Le 11 janvier, un homme est arrêté et placé en garde à vue pour avoir volé le 18 novembre une sacoche dans une boulangerie de la Chaussée St Victor. Il reconnaît les faits qui lui sont reprochés et les policiers découvrent à son domicile de la cocaïne et du cannabis. Bien sûr ,c’était un récidiviste (la Nouvelle République du 14/1/2017). A noter que ce sont les caméras qui ont permis de faire aboutir l’enquête.
Mercredi dernier, dans la ZUP, les policiers ont voulu contrôler un conducteur de 18 ans qui roulait sans ceinture et refusait de s’arrêter pour un contrôle. Il a fini par descendre de voiture et partir en courant. Les policiers qui ont réussi à le rattraper ont été insultés et agressés. Alors qu’il détenait du cannabis, il a refusé de se soumettre aux dépistages. Il sera sans doute convoqué au tribunal au mois de septembre prochain, ce qui lui permet de voir venir et de préparer sa relaxe probable comme cela a été le cas la semaine dernière au tribunal de Blois.
Mises en avant
Mathilde Paris invitée de la rédaction sur TVTours
Mathilde PARIS, tête de liste « Un autre avenir pour Blois » était jeudi soir l’invitée de la rédaction de @TVTOURS. Revoir la vidéo....
Jordan Bardella à Mer le 25 janvier
Bien que nous ayons basculé sur notre nouveau site depuis juin 2019, vous êtes encore nombreux à consulter ce blog. C’est pourquoi nous avons décidé...
RN Loir-et-Cher : Notre nouveau site internet départemental est en ligne.
Dans la suite logique de la refondation de notre mouvement initiée l’an dernier par nos instances nationales, nous avons le plaisir de vous faire...
Européennes 2019 : Marine LE PEN, Jordan BARDELLA et Nicolas BAY à Mer Samedi 13 Avril.
Nous avons l’honneur de vous annoncer la venue de Marine LE PEN, Présidente du Rassemblement National, Jordan BARDELLA, Tête de liste aux élections...
Européennes 2019 : le temps se gâte pour Macron et ses alliés.
Marine Le Pen imprime sa marque sur la campagne des européennes. Lors de son passage dans l’Emission politique la semaine dernière, elle a réalisé...
Européennes 2019 : en Loir et Cher aussi #OnArrive !
La campagne pour les européennes se poursuit en Loir et Cher : affichage, distribution de documents dans les boîtes aux lettres, porte à porte. Une partie...