La session du 16 mai sera consacrée entièrement au ferroviaire, avec une révision de la convention TER qui va désormais intégrer 3 lignes Intercités (TET) et une communication portant sur un plan d’urgence pour les lignes de proximité, les « trains du quotidien ».
Les élus du groupe Front National ont toujours été présents sur ces dossiers, ils ont prévu plusieurs interventions ainsi que deux voeux qui seront défendus.
Vous pourrez suivre les débats en direct sur le site de la région Centre-Val de Loire ainsi que sur les réseaux sociaux : https://twitter.com/FN_CValdeLoire.
La séance débute à 14 h 30, elle est ouverte au public (se munir d’une pièce d’identité).
Vos élus en session mercredi 16 mai à Orléans.
La Nouvelle République veut encore politiser la fête de Jeanne d’Arc.
Non le FN ne privatise pas Jeanne d’Arc, il organise l’hommage officiel abandonné par les autorités. C’est la NR qui politise l’événement.
La Nouvelle République rend compte aujourd’hui de l’hommage à Jeanne d’Arc hier à Blois.
Mais la teneur des propos de Michel Chassier lors son allocution, pas plus que les réponses apportées au journalistes ne sont pris en compte.
L’article n’est en réalité qu’un prétexte pour ressortir contre le Front National l’éternelle accusation d’avoir « récupéré » Jeanne d’Arc.
Au prix de quelques accommodements avec la réalité.
D’abord sur la date de la Fête de Jeanne d’Arc. Il faut savoir, et cela a été rappelé hier, qu’il s’agit d’une cérémonie patriotique officielle de la République française, instituée le 24 juin 1920 par un vote unanime de l’Assemblée nationale, et qu’elle se tient depuis lors partout en France le 2ème dimanche de mai.
A l’exception de la Ville d’Orléans, qui fête sa libération par Jeanne le 8 mai.
Quant à la récupération, nous avons toujours dit que nous étions prêts à laisser aux autorités locales le soin d’organiser la cérémonie.
Or une fois de plus ni le Maire, ni le Préfet, ni le Conseil départemental, ni le Conseil régional, ni les parlementaires, ni les autorités militaires et ecclésiastiques n’étaient présentes ou représentées.
Par conséquent nous n’avons aucunement « récupéré » et encore moins « privatisé » cette fête, comme le dit la NR, ce sont les autorités de la République qui l’ont sciemment abandonnée.
L’article revient aussi sur l’historique des célébrations organisées par le FN.
En 1988, entre les deux tours de la présidentielle, il avait été décidé de regrouper la Fête de Jeanne d’Arc avec la Fête de travail à l’occasion d’un défilé à Paris.
Aujourd’hui les choses ont évolué en raison des difficultés de l’organisation d’une telle manifestations à Paris.
Cela étant, la Fédération de Loir et Cher a toujours maintenu une célébration à Blois à la date inscrite dans le calendrier officiel.
Et contrairement à ce qui est écrit dans l’article de la NR, nous n’avons pas « changé de ton ».
Régulièrement nous avons invité le maire de Blois à organiser ou au moins à participer à cette cérémonie.
Y compris lorsque le maire de Blois était Jack Lang, qui a toujours décliné l’invitation.
Nicolas Perruchot avait toutefois fait déposer une gerbe une fois au cours de son mandat.
Marc Gricourt n’a jamais donné suite.
Et si Marine Le Pen avait critiqué Nicolas Sarközy en 2012, c’est qu’elle considérait à juste titre ce dernier illégitime pour fêter cette héroïne, alors qu’il avait abdiqué la souveraineté de la France au mépris du choix des Français lors du référendum de 2005.
Enfin, pour en finir avec la récupération, que dire de M. Macron, qui a récupéré à son profit et pour sa propre promotion le Fête de Jeanne d’Arc à Orléans le 8 mai 2016, préparant déjà sa campagne présidentielle.
Pour notre part aucune ambiguïté, nous célébrerons Jeanne à nouveau à Blois en 2019, ce sera le dimanche 12 mai.
En espérant que les autorités se réveillent et prennent l’initiative d’organiser cette célébration, en présence des corps constitués et avec la participation des troupes et de l’harmonie municipale.
Blois : hommage à Jeanne d’Arc.
Cela fait plus de 20 ans que nous célébrons à Blois la fête de Jeanne d’Arc, instituée en 1920 par un vote solennel de l’Assemblée nationale.
Curieusement tous ceux qui parlent de « mémoire » semblent l’avoir oublié.
Certains parlent de récupération, mais nous sommes prêts à leur laisser le soin d’organiser la cérémonie.
Or une fois de plus ni le Maire, ni le Préfet, ni le Conseil départemental, ni le Conseil régional n’étaient représentés.
Seuls les élus du Front National ont répondu présent : Michel Chassier président du groupe FN Centre-Val de Loire, conseiller municipal et communautaire de Blois, Jean-Louis Berger conseiller municipal et communautaire de Blois, Renaud Grazioli conseiller municipal de Vendôme, Olivier Besnard conseiller municipal et communautaire de Mer et Gilles Godefroy, conseiller régional d’Indre et Loire, conseiller municipal de Tours.
Dans son discours d’hommage à Jeanne d’Arc, Michel Chassier a rappelé le sens de cette cérémonie et déploré que l’histoire de France soit à ce point malmenée dans les programmes ( Discours Jeanne d’Arc 2018).
Une minute de silence a été observée en mémoire à tous ceux qui morts pour la France, avec une pensée particulière cette année pour Pierre de Saint Céran qui avait longtemps organisé cette cérémonie blésoise.
Les participants se sont ensuite retrouvés pour un verre de l’amitié à notre permanence salle du Bourg Saint Jean et par un repas convivial.
L’Europe prête 20 milliards d’euros à la Turquie : seul le FN dit non !
La Banque Européenne d’Investissement a pour but principal de financer des projets au sein de l’Union européenne. Elle finance également des projets en dehors de l’Union européenne notamment dans les pays partenaires méditerranéens.
C’est ainsi que la BEI va prêter 20 milliards d’euros à la Turquie d’Erdogan, au moment même où la Commission menace de priver de subventions les pays qui refusent de se voir imposer des quotas de migrants comme la Pologne, la Hongrie, la Tchéquie ou la Slovaquie.
Il faut dire que la Turquie pratique quant à elle le chantage aux migrants et bénéficie de 5 milliards d’euros de subventions de l’UE pour garder son territoire les vrais et faux réfugiés syriens.
Le FN et le groupe ENL (Europe des Nations et des Libertés) a voté contre cet accord de prêt, les « Républicains » ont voté pour avec les centristes pro-Macron et les socialistes.
Les mêmes d’ailleurs avaient voté en faveur de sanctions contre la Pologne.
Toujours le double-langage.
A l’approche des élections européennes, il faut le faire savoir.
Une « feuille de route » pour le commerce blésois.
Blois n’échappe pas à la règle : depuis les années 70 on a vu se développer rapidement de nouvelles habitudes de consommation avec les centres commerciaux de périphérie : d’abord Blois II, aujourd’hui Cora et la zone commerciale qui l’entoure au nord, puis Euromarché devenu Auchan au sud, avec de nombreuses enseignes qui s’étalent sur Vineuil et Saint Gervais.
En même temps, les grands magasins de centre-ville disparaissent : Nouvelles Galeries et Monoprix.
Progressivement les commerces alimentaires se font de plus en plus rares, les magasins de sports ferment, de même que les drogueries, quincailleries, remplacés par les uns et les autres par les grandes enseignes nationales qui s’installent dans les nouveaux centres commerciaux.
Le commerce traditionnel résiste pourtant : les Langlois, Couppé, Doiteau, Chartin, Crochet, Lépissier, Labbé, et bien d’autres (qu’ils veuillent bien nous excuser) conservent une clientèle fidèle, mais vieillissante.
Car en centre-ville aussi l’heure est désormais aux marques avec pour conséquence le développement de la franchise.
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Asile et immigration : Daniel Fraczak répond au voeu des écologistes au conseil régional.
Lors de la dernière session du conseil régional Centre-Val de Loire, Daniel Fraczak (FN Indre et Loire) répondait au voeu présenté par les écologistes au sujet de la loi « asile et immigration » en débat à l’assemblée nationale.
Une réponse argumentée, précise, cinglante, qui a laissé sans voix nos adversaires, tout comme le sémillant Guillaume Peltier qui s’est bien gardé d’intervenir sur un sujet qui risquait de diviser son groupe.
Un bel exemple de la combativité des élus FN et de leur utilité.
Si nous n’avions pas été là, personne n’aurait réagi !
Partagez cette vidéo, disponible aussi sur le site du groupe FN-CVL et sur Twitter.
1998 : le jour où le RPR et l’UDF ont donné la Région à la gauche.
Jacqueline Gourault, « ministre auprès du ministre » de Macron. En 1998 elle manifestait avec l’extrême gauche contre le Front National.
On va beaucoup parler de mai 68, 50 ans après les événements. Nous y avons déjà consacré un article et nous y reviendrons.
Mais lors de la dernière session du Conseil régional à Orléans, à l’occasion d’un rapport sur la « démocratie permanente », Michel Chassier n’a pas manqué de rappeler l’épisode de mars 1998, lorsque la droite locale a confié la Région à la gauche ( 2018.04.19 SP – Démocratie permanente Michel Chassier).
En effet dans cet épisode peu glorieux, c’est bien la démocratie qui a été bafouée.
En mars 1998 les électeurs n’avaient pas donné la majorité à la gauche, ni en voix, ni en sièges.
L’assemblée régionale comptait donc 33 élus de gauche, 1 d’extrême gauche, 29 RPR-UDF, 1 CNPT et 13 FN.
Et logiquement, les élus du FN avaient soutenu l’élection à la présidence de la Région du centriste Bernard Harang.
Soutien sans participation, puisque le Front National n’avait demandé aucune vice-présidence, mais simplement un engagement de mandature portant sur 5 points dont la promesse de ne pas augmenter les impôts.
Mais c’était encore trop pour la gauche. Et comme il s’était passé la même chose dans 4 autres régions, l’affaire a pris une dimension nationale.
Une fois de plus la gauche et l’extrême-gauche ont refusé le verdict des urnes et commencé à manifester dans la rue.
Après tout elle était dans son rôle.
Mais la trahison est venue des états-majors parisiens du RPR et de l’UDF, avec à la manoeuvre le chef de l’Etat en personne, Jacques Chirac.
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Loir et Cher : Wauquiez ne vaut rien.
A Bruxelles comme à Paris les amis de Wauquiez font le contraire de ce qu’ils promettent dans leurs discours !
Photo en première page de la Nouvelle République du 25 avril : faut-il déjà « sauver le soldat Wauquiez ».
Largement devancé par Marine Le Pen dans les sondages, il serait promis en cas de présidentielle à une score digne de Benoît Hamon.
Avec un parcours identique : l’un comme l’autre ont cherché à rallier le noyau dur de leur électorat, mais c’était peine perdue pour Hamon à cause de Mélenchon, tandis que Wauquiez voit Marine Le Pen non seulement se maintenir mais progresser dans les sondages et revenir en force un an après la présidentielle.
Et dans un cas comme dans l’autre, la partie modérée de l’électorat se jette dans les bras de Macron !
On comprend, en lisant les déclarations de l’intéressé, que le principal adversaire de Wauquiez n’est pas Macron, dont plusieurs ministres sont issus des Républicains, mais bel et bien Marine Le Pen.
Il éructe littéralement contre ceux de sa propre famille politique qui seraient tentés par une alliance avec le Front National, menaçant de les excommunier.
Mais le problème de Wauquiez et de son parti, ce sont les contradictions permanentes entre les déclarations et les votes, à Bruxelles comme à l’Assemblée nationale, voire à la Région pour son lieutenant Guillaume Peltier, que des médias locaux ont déjà surnommé avec une pointe d’ironie « le 14ème vice-président » du socialiste François Bonneau.
Nous le voyons en commission permanente, où il vote à 99% avec la gauche, y compris sur des subventions qui devraient révolter ses électeurs.
Ainsi Laurent Wauquiez se veut critique à l’égard de l’Union européenne, mais ses députés à Bruxelles votent en faveur des sanctions contre la Pologne.
Même grand écart sur le doit du sol, où l’on a vu les députés LR voter contre un amendement déposé par les députés du Front National.
On ne peut pas tromper tout le monde tout le temps disait Abraham Lincoln. Wauquiez ne l’a pas encore compris, les électeurs si.
Blois : retour sur le dernier conseil municipal.
Le carré Saint Vincent. Ouverture prévue en 2021… si tout va bien.
Nous évoquions hier le malaise des élus « En marche » et le voeu sur la contractualisation forcée avec l’Etat. La Nouvelle République y revient ce matin.
Plusieurs autres points importants ont été abordés. Vos 4 élus Front National étaient présents (Michel Chassier, Mathilde Paris, Jean-Louis Berger et Hubert de Pirey).
Le Carré Saint Vincent continue à faire débat.
C’est Michel Chassier qui a posé la première question, au sujet du Carré Saint Vincent. La Ville a déposé un dossier au titre de la Dotation de Soutien à l’Investissement Local pour ce projet, avec une aide qui pourrait atteindre 1 644 850 € sur un total de 2 877 000 € de dépenses programmées. L’élu FN s’est inquiété de savoir où en était cette demande et où en était le calendrier de l’opération dont le véritable lancement est aussi conditionné par cette subvention.
Marc Gricourt a répondu que nous n’étions pas les seuls à déposer une telle demande, les services de l’Etat vont arbitrer, mais il n’a pas encore la réponse sur le montant ni sur les délais, malgré certaines assurances données par le Préfet.
Cette question ouvre un débat sur ce sujet sensible, pour lequel le maire reste « optimiste mais prudent« , Jacques Chauvin n’est « pas pessimiste, mais pas non plus d’un optimisme béat« , Christelle Ferré « réservée« , de même que le Front National.
Les mois qui viennent vont être décisifs, et il faudra bien d’ici la fin de l’année prendre la décision définitive.
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Blois sous tutelle budgétaire de l’Etat : la gêne des macronistes.
Ce devait être un « petit » conseil municipal, avec seulement 51 délibérations, il aura duré au final 4 heures.
Avant de revenir sur un certain nombre de questions examinée dans un prochain article, le point qui a fait longuement c’est l’obligation faites aux villes comme Blois et aux départements de signer un « contrat » avec l’Etat qui les engage à limiter leur dépenses de fonctionnement sous peine de sanctions financières.
Cela fait longtemps que les élus du Front national plaident pour freiner cette hausse des dépenses. On se souvient à Blois de l’époque de Jack Lang, qui avait été un champion en matière de dépenses, et nous en payons encore les conséquences.
Pour autant le FN est attaché au principe de libre administration des collectivités, inscrit dans le constitution, mais qui n’est véritablement possible qu’avec l’autonomie financière. Or, comme l’a rappelé Michel Chassier, les collectivités l’ont progressivement perdue (CM 2018-04-23 – Voeu contractualisation).
Mais lorsque nous voyons ces élus de tous bord critiquer aujourd’hui cette mesure, il ne faudrait pas oublier qu’ils ont tous appelé il y a un an à voter Macron !
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Région Centre-Val de Loire : démocratie « permanente » ou démocratie illusoire ?
Depuis quelques temps la gauche est malmenée dans les urnes.
D’élection en élection elle voit les électeurs l’abandonner, nous l’avons constaté en Loir et Cher, aux départementales de 2015 et aux régionales de 2015 où le FN était en tête du 1er tour.
Nous avons vu à la présidentielle l’effondrement du PS réduit à un peu plus de 6%.
Les dernières enquêtes d’opinion, dont celle toute récente de l’IFOP, confirment cette tendance, qui ne concerne d’ailleurs pas seulement le France, mais l’Italie, la Hongrie, l’Autriche, la Pologne etc…
Il ne faut pas oublier non plus que la Région Centre-Val de Loire est actuellement dirigée par la gauche uniquement grâce à un système électoral qui lui donne la majorité à l’assemblée régionale avec seulement 35,45% des suffrages exprimés au 2ème tour.
C’est pourquoi la gauche régionale essaie de d’inventer une nouvelle forme de démocratie, d’abord « participative », puis « permanente », où des assemblées de citoyens, parfois tirés au sort, parfois choisis, et des militants issus du réseau des associations « engagée » dans le bon sens pourraient débattre de divers sujets et donner leur avis (la Nouvelle République du 23/04/2018).
Le problème c’est que ça ne marche pas, il y a très peu de citoyens pour participer à ces rencontres ou l’on retrouve au final toujours les mêmes, y compris pour le forums sur Internet, où le nombre de participants est dérisoire : quelques dizaines pour 1 800 000 électeurs.
Au nom du groupe FN Stanislas de La Ruffie a dénoncé la méthode et demandé au contraire d’oser la démocratie en ayant recours au référendum local, la consultation ouverte ou à l’avis consultatif, dispositions que la loi autorise.
Véronique Péan, Charles de Gevigney et Gilles Godefroy sont également intervenus pour rappeler que c’est tout même bien l’élection qui fonde la démocratie.
Et Michel Chassier d’ajouter à condition qu’elle soit représentative : il faut 200 000 voix pour élire un député FN, 25 000 suffise pour un député « en Marche ».
Vous pouvez retrouver les interventions de nos élus sur le site du groupe FN centre-Val de Loire.
Devinette : Tolbiac libérée ?
Cette photo peut vous faire penser à une salle de la fac de Tolbiac après l’évacuation des gauchistes ? Vous n’y êtes pas. D’ailleurs il manque les tags sur les murs.
Vous serez sans doute surpris en apprenant qu’il s’agit d’une « oeuvre d’art » exposée au FRAC d’Orléans.
Et malheur au balayeur qui par inadvertance viendrait ramasser ces détritus pour les mettre dans un sac poubelle : il risquerait des poursuites judiciaires pour la destruction d’une oeuvre d’art dont le prix est sans doute inestimable !
Cela pourrait passer pour une plaisanterie, mais ce qui est moins drôle, c’est que c’est vous qui payez, avec vos impôts.
A la Région, seuls les élus FN ont le courage de voter contre les subventions pour ce genre de fumisterie, tous les autres groupes, y compris celui de Guillaume Peltier, votent pour.
Région Centre-Val de Loire : la gauche veut toujours plus d’immigration, le FN répond.
Lors de la session plénière du 19 avril le groupe « écologiste » a proposé un vœu pour demander au gouvernement de revenir sur les nouvelles dispositions du projet de loi Asile et Immigration actuellement discuté à l’Assemblée Nationale.
Au nom du groupe Front national Daniel Fraczak (Indre et Loire) a répondu par une intervention remarquablement argumentée, remettant sérieusement les choses en place et laissant la gauche sans voix.
Du coup Guillaume Peltier a préféré ne pas intervenir, conscient certainement des différences de sensibilité à l’intérieur de son groupe.
Encore une fois les socialistes en suivi les écologistes, dont ils ont besoin pour conserver la majorité pour faire adopter ce voeu, qui heureusement n’aura aucun effet.
Les groupes FN et UDC ont voté contre.
Voir le texte de l’intervention sur le site du groupe FN Centre-Val de Loire.
Plan régional de santé : les élus FN dénoncent une mascarade.
Un an après l’élection de Macron, ses méthodes suscitent un rejet grandissant de part des élus locaux en charge des collectivités.
Méconnaissance des territoires, mépris pour les élus, engagements bafoués, décisions imposées, mise sous tutelle budgétaire, la coupe est pleine et l’on grandir une véritable fronde qui dépasse tous les clivages politiques.
Nous évoquions il y a quelques jours la colère de Marc Gricourt, maire de Blois, hier c’est au Conseil régional que les élus, toutes tendances confondues, ont dénoncé cette ignorance des territoires qui va toucher une fois encore la ruralité et les villes moyennes.
Lors de la conférence des présidents avant l’ouverture de la séance François Bonneau, président de Région, Jean-Patrick Gilles (groupe SRD), Guillaume Peltier (groupe UDC), Michel Chassier (groupe FN) et Patrick Fournier (groupe Ecologiste) ont tous fait le même constat.
Au cours débat Guillaume Peltier a parlé de « mépris pour nos territoires« , François Bonneau a souligné les insuffisances du PRS au regard de la situation de la Région, classée dernière pour le nombre de médecins par habitants et demandé des aménagements.
Mais à quoi bon ? Puisque le Plan régional de Santé a déjà été adopté le 29 mars, et que le Conseil régional était appelé simplement à donner un avis consultatif… alors que la décision est déjà prise !
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Région Centre-Val de Loire : vos élus en session.
Vos élus du groupe FN Centre-Val de Loire sont réunis cet après-midi en session à Orléans.
Au programme un rapport sur la « démocratie permanente » proposé par la majorité. Traduction : comme les électeurs ne votent plus en leur faveur, les élus des partis de gauche laminés par le dernier cycle électoral, ils tentent d’encadrer la démocratie à travers des « concertations » et autres réunions toujours encadrées par les élus de la majorité.
Le deuxième rapport porte le Plan régional de santé deuxième génération, sur lequel les élus doivent donner un avis… consultatif, alors que le projet est déjà adopté. Une véritable mascarade !
Vous pouvez suivre la séance en direct sur le site Internet de la Région, sur le site du groupe FN Centre-Val de Loire et sur les réseaux sociaux.
Immigration : Jacqueline Gourault perd son sang froid.
Conférence de presse lundi 16 avril à l’Assemblée nationale pour présenter le contre-projet du Front National
Moment d’énervement, de colère comme le disent les médias, ou bien perte de contrôle à la limite du dérapage.
Le débat sur la loi asile et immigration a provoqué hier de vifs échanges à l’Assemblée nationale, où Gérard Collomb a refusé de répondre aux questions des députés sur la « face cachée » de la loi, avec un projet de régularisation de 40 000 « sans-papiers », autrement des clandestins, évoqué par un élu de la majorité dans le journal officiel du système, « le Monde ».
Jacqueline Gourault, ministre auprès du ministre de l’Intérieur (!) s’est alors emportée en s’indignant qu’un député puisse « obliger un ministre à répondre« .
Mouvement de panique qui démontre bien le désarroi du gouvernement voyant ses intentions démasquées.
Ce projet de loi affiche une certaine fermeté sur quelques sujets, afin de faire mieux admettre les régularisations à venir et l’accueil du quota de migrant réclamé par l’Union européenne.
Et la gauche joue les idiots utiles en laissant croire que cette loi serait destinée à restreindre l’asile et l’immigration, alors qu’elle vise l’effet contraire.
Pour autant, cela ne justifie pas le dérapage de Jacqueline Gourault, sévèrement remise en place par Christian Jacob : « à ce stade je pense qu’il faut effectivement ramener l’Assemblée au calme, madame la ministre également. Le gouvernement est responsable devant le Parlement, ça n’est pas l’inverse ».
Etonnant qu’une parlementaire aussi expérimentée que Jacqueline Gourault ait oublié cela.
On comprend d’autant mieux le projet de M. Macron visant à museler le Parlement.
Malgré le peu de temps de parole dont ils disposent, vos députés FN sont intervenus dans le débat à plusieurs reprises, notamment pour défendre des amendements.
Au final, seuls 27 amendements ont été étudiés et l’article 3 n’a pu être soumis au vote. Il y a au total 40 articles à examiner et 972 amendements déposés.
Le gouvernement qui voulait forcer la main des députés afin d’obtenir un vote d’ici vendredi soir n’est plus du tout certain d’atteindre son objectif.
Il faut souhaiter que le débat dure suffisamment longtemps pour alerter les Français.
Vous pouvez compter pour cela sur vos députés FN.
Romorantin : l’entreprise Carrier délocalise vers l’est. 90 salariés sur le carreau.
Le jour même du nouveau discours d’allégeance de M. Macron à Strasbourg le couperet est tombé à Romorantin pour l’entreprise Carrier.
Intégré au groupe américain UTC, le site de Romorantin demeurait le dernier en Europe de l’Ouest après la fermeture des unités de production en Italie, en Suède et en Allemagne (la Nouvelle République du 18/04/2018).
Tout un symbole. Le maire de Romorantin, Jeanny Lorgeoux, peut bien déplorer cette décision, mais il fait partie des ardents défenseurs de l’Union européenne.
Récemment au Conseil régional, seul les élus FN ont voté contre le rapport sur la stratégie des fonds européens, qui appelle à augmenter la contribution des Etats membres et à la création d’un véritable impôt européen.
Michel Chassier n’avait pas manqué de dénoncer la concurrence déloyale dont les entreprises et les salariés français sont victimes.
Nos élus vont vérifier auprès de la région si cette entreprise n’a pas bénéficié de subventions régionales au cours de ces dernières années, auquel cas nous demanderons un remboursement des aides accordées.
Au-delà des protestations légitime et de la négociation des indemnités, la seule solution pour que cela ne se reproduise pas demain sur un autre site, c’est de voter en juin 2019 pour la liste présentée par le Front National.
Sinon il ne restera plus aux salariés et aux élus qu’à pleurer après chaque délocalisation.
Région Centre-Val de Loire : quand un socialiste ne croit plus à l’égalité des territoires !
Lundi 16 avril le CESER (Conseil Economique Social et Environnemental Régional) donnait son avis sur le SRADDET (Schéma Régional d’Aménagement et de Développement Durable et d’Egalité du Territoire).
Prenant la parole au nom du Président de Région, Dominique Roullet, Vice-Président délégué à l’Aménagement du Territoire et au Numérique, déclarait : « je ne crois pas à l’égalité des territoires, mais à leur complémentarité. »
Les socialistes avouent qu’ils ne croient plus à l’égalité des territoires !
Il est étonnant qu’un tel dérapage n’ait pas eu davantage d’écho.
Le groupe Front National Centre-Val de Loire, dont le Président Michel Chassier assistait aux débats, a aussitôt envoyé un communiqué de presse aux médias régionaux.
Nul doute que ces propos auront un écho à l’occasion des débats de la prochaine session.
Communiqué de presse du Groupe FN Centre-Val de Loire :
Ces dernières années, un changement de dénomination s’est produit : la politique d’aménagement du territoire est devenue politique d’égalité des territoires. Changement sémantique pour beaucoup, mais pas seulement. Comme l’expliquait en 2015 le ministère de l’Égalité des territoires et du Logement, « cette notion est à mettre en regard des inégalités constatées, de plus en plus importantes. L’égalité est inséparable de la question territoriale ». Suite sur le site du Groupe FN-CVL.
Budgets mis sous tutelle : le Département se résigne, la Ville de Blois résiste.
Incapable d’équilibrer son propre budget, l’Etat demande au collectivités de réduire leurs dépenses.
Et de fait il les oblige, pour les plus importantes, à signer un « contrat » qui les engage à limiter leur dépenses sous peine de sanctions.
Le Front National considère cette mesure contraire au principe de libre administration des collectivités, qui dispose que les collectivités territoriales «s’administrent librement par des conseils élus» et « bénéficient de ressources dont elles peuvent disposer librement, (…) dans les conditions prévues par la loi ».
Le Conseil constitutionnel avait été saisi sur ce point en janvier dernier par soixante députés, ajoutant à leur requête l’introduction « par voie d’amendement des dispositions normatives entièrement nouvelles, sans examen approfondi par la représentation nationale, le Gouvernement a méconnu le principe constitutionnel selon lequel ne peuvent être adoptées en nouvelle lecture que des dispositions ayant un lien direct avec le texte restant en discussion. »
Michel Chassier, au nom du groupe Front National – Une autre voie pour Blois, l’avait rappeler lors du débat budgétaire.
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Le département informatique menacé à Blois.
Nous l’avions évoqué à l’occasion du dernier conseil communautaire d’Agglopolys : le département informatique de Blois est menacé.
Le président de l’Université de Tours, Philippe Vendrix, ne cache pas son désir de rapatrier le plus vite possible le département informatique de Blois dans des locaux tourangeaux.
La Nouvelle République a interrogé le responsable du département informatique, Thomas Devogele. Il a pris connaissance de ce projet il y a quelques semaines. « Il n’y a pas eu la moindre consultation », déclare-t-il à la NR.
Et il craint que le projet passe en force.
Ce regroupement sur Tours n’est pas un phénomène isolé, c’est toute la question des antennes universitaires qui est remise en cause.
De la même façon, l’Université d’Orléans a dans le collimateur les antennes de Bourges, Chartres et Châteauroux-Issoudun jugées trop coûteuses.
Mais cette approche va en réalité dans le sens de la métropolisation. Dans le cas de la Région Centre-Val de Loire c’est une nouvelle illustration de la rivalité entre les deux métropoles de Tours et d’Orléans, et le futur SRADDET aura bien du mal à imposer une conception plus équilibrée du développement des territoires.
On l’observe également quand Orléans demande l’ouverture d’une 1ère année de médecine. Pour commencer.
Les élus du Front National avaient souligné cette évolution dès 2011, lors des débats du SRADDT.
Yann Bourseguin ne voit dans la métropolisation qu’un « phénomène de mode ».
C’est au contraire une tendance lourde, qui peut s’observer au nouveau mondial.
Bien sûr les élus locaux sont mobilisés, Christophe Degruelle rappelle qu’Agglopolys verse chaque année 30 000 € au département informatique de Blois. Mais cela ne semble pas de nature à contrarier la volonté de Tours Métropole, qui dispose de moyens autrement plus importants.
Les élus du Front National défendront à Blois comme à la Région le maintien du département informatique à Blois.
80 km/h : nouvelles manifestations samedi.
Edouard Philippe est sourd.
Il répète que rien ne le fera changer d’avis sur la limitation de vitesse à 80 Km/h le 1er juillet prochain.
Sauf que l’échéance se rapprochant la contestation va monter en puissance.
Nous nous sommes déjà exprimés à plusieurs reprises sur cette mesure inefficace et pénalisante, surtout dans nos départements ruraux, pour les particuliers comme pour les professionnels, et rejetée par 75% des Français.
Depuis janvier les militants du FN41 ont déjà distribué plus de 8000 tracts (à télécharger : tract_80 Km/h) condamnant cette décision prise, là encore, sans concertation.
Le groupe FN Centre-Val de Loire a déposé un voeu à la session du 22 février 2018 pour s’opposer à cette mesure. Le groupe Union de la Droite et du Centre a voté pour.
Mais les groupes Socialistes-Radicaux-Démocrates et « Ecologie » ont voté contre, entraînant son rejet.
Aujourd’hui les initiatives citoyennes se multiplient.
Une nouvelle manifestation est organisée samedi 14 avril au départ de Blois par la FFMC, mais les automobilistes sont invités à s’y joindre, pour se rendre à Orléans où se tiendra un rassemblement régional.
Nous encourageons tous nos amis, motards ou non, à s’y joindre.
Quoi que dise Edouard Philippe, cette mesure ne passera pas !
Vous pouvez également signez notre pétition en ligne.
Vos élus régionaux préparent les prochaines échéances.
Réunion studieuse toute la journée de lundi à Orléans pour les élus du groupe FN Centre-Val de Loire.
Au programme la prochaine session plénière, qui doit examiner un rapport sur la « démocratie permanente » et donner un avis, à titre consultatif, sur la Projet Régional de Santé… déjà adopté le 29 mars par la Conférence régionale de la santé de l’autonomie.
Pas vraiment exemplaire en matière de démocratie !
Les élus ont également passé en revue les rapports de la prochaine commission permanente du 13 avril, nous aurons l’occasion d’y revenir en détail.
Bureau départemental : le FN41 toujours sur le terrain.
La réunion mensuelle du bureau départemental du FN41 était l’occasion de faire le point sur les actions du mois de mars et de tracer la feuille de route du trimestre.
Le Congrès de Lille a été un succès, avec 17 participants du Loir et Cher, un record.
Le 1er trimestre a été marqué par plusieurs réunions, manifestations et actions militantes : galette de Rois avec Julien Sanchez à Onzain, tournée des « ambassadeurs » fin janvier avec Aurélien Legrand à Blois, 3 réunions du bureau départemental.
Les actions militantes ont eu lieu tout au cours du trimestre avec diffusion de 3 tracts nationaux : contre les 80Km/h (déjà plus 8 000 ex distribués), un tract général contre la politique de Macron, un autre sur l’immigration. En plus, un tract a été réalisé localement sur les retraites. Des actions d’affichages ont eu lieu régulièrement sur plusieurs cantons.
Nos élus et nos militants ont été présents tous les mois sur le marché de Blois.
Au niveau des adhésions nous avons enregistré un pic en janvier avant la date limite pour voter au Congrès, et depuis mi-mars les adhésions en ligne fonctionnent à nouveau. Signe encourageant, il y a eu 10 adhésions nouvelles au cours du trimestre.
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Agglopolys : moins d’argent, moins de projets.
Christophe Degruelle, Président d’Agglopolys, déclare à la presse que les ratios budgétaires sont « toujours aussi excellents » (la Nouvelle République du 6 avril 2018.)
Des marges budgétaires réduites, moins de projets vue.
Une vision pour le moins optimiste car, nous l’avions constaté lors du débat d’orientations au mois de février, les marges se dégradent.
La capacité de désendettement dépasse désormais 8 années, ce qui commence à être élevé.
Cette situation s’explique par le montant des emprunts nécessaires au financement de la salle du jeu de Paume, qui devrait se résorber dans le temps, mais la diminution de la capacité d’autofinancement va entraîner chaque année un recours à l’emprunt qui viendra compenser les remboursements de dette antérieure. A moins que l’Agglo réduise ses projets, ce qui serait également préoccupant pour l’avenir.
C’est pourtant bien ce qui risque de se passer.
Les élus FN ont préféré s’abstenir pour le vote du budget.
Desserte autoroutière de l’Agglomération.
Une nouvelle étude va être lancée sur « l’amélioration de la desserte routière de l’Agglomération blésoise« .
Suite au débat sur le sujet, dont la presse se fait écho depuis plusieurs mois, Michel Chassier est intervenu afin de demander des précisions : est-il question de « l’agglomération blésoise » ou du territoire d’Agglopolys ? L’hypothèse d’une sortie à Herbault, qui permettrait de désenclaver et de dynamiser l’ouest de l’Agglo, est-elle inclue dans cette étude ?
Christophe Degruelle a répondu en donnant l’assurance que 5 scénarios étaient sur la table, et dans l’hypothèse d’une seconde sortie, Herbault pouvait en faire partie.
Nous avions déjà défendu cette solution en expliquant les raisons.
Cette question a suscité plusieurs échanges et à l’issue de la réunion, plusieurs élus de la partie ouest de l’Agglo sont venus remercier l’élu FN pour son intervention.
Rénovation urbaine : des clauses d’insertion inadaptées.
Deux délibérations portant sur la « politique de la ville » faisaient état de clauses d’insertion destinées à privilégier l’embauche d’un quota d’habitants des « QPV » : quartiers politique de la ville.
Michel Chassier fait remarquer que zonage n’est plus pertinent. Aujourd’hui à Blois les populations ne difficultés ne se trouvent pas exclusivement dans les QPV (en gros la ZUP de Blois) d’autant plus que la première phase du PRU a précisément réparti les logements sociaux dans plusieurs quartiers. D’autres critères pourraient être retenus : jeunes de moins de 25 ans sans emploi, chômeurs de longue durée etc…
Personne ne répondra à cette interrogation, on sent bien que pourtant que beaucoup d’élus sont dubitatifs.
Menaces sur la filière informatique à Blois ?
A l’occasion du vote d’un dispositif d’octroi de bourses à des étudiants qui viendraient à Blois en master informatique BMDA (spécialisation dans le traitement et l’analyse de données), Yann Bourseguin fait état des menaces qui visent cette formation, que le Président de l’Université ex-François Rabelais voudrait bien rapatrier… à Tours.
Et l’élu PS blésois dénonce au passage le phénomène de métropolisation, qui va pénaliser encore davantage les villes moyens comme Blois.
Ce que nous disons depuis des années, à la Ville, à l’Agglo et à la Région.
Christophe Degruelle s’est voulu rassurant en évoquant la préparation du SRADDET avec la Région, mais nos élus sont bien placés pour savoir que ce schéma régional ne pourra pas à lui seul répondre à cette tendance lourde, déjà évoquée dans les débats régionaux en 2011.
Encore une fois, il ne fallait pas voter Macron !
Congrès de la FNSEA à Tours : l’agriculture va de Travert.
Le moins qu’on puisse dire c’est que le ministre n’a pas convaincu les agriculteurs réunis à Tours pour le Congrès de la FNSEA (la Nouvelle République du 30/03/2018).
Les sujets qui fâchent ne manquent pas, comme les zones défavorisées, les traités de libre-échange ou les cotisations sociales.
La présidente Christiane Lambert était « visiblement contrariée » par ce discours de clôture, mais comment pourrait-il en être autrement ?
Sur la redéfinition des zones défavorisées comme sur les traités (CETA, TAFTA, accords avec le Mercosur) le ministre est tout aussi impuissant que le locataire de l’Elysée, réduit au rôle de gouverneur de la France, puisque c’est Bruxelles qui tranche.
Et cela, la FNSEA le savait déjà en 2017, ce qui ne l’a pas empêché d’appeler à voter en faveur de Macron et de se réjouir de son élection.
En cela les dirigeants du principal syndicat agricole se comportent comme tous ces élus qui se plaignent aujourd’hui de mesures qui étaient annoncées et qui sont en grande partie la conséquence de leurs propres choix : « ils se plaignent des effets dont ils chérissent les causes« .
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Mises en avant
Mathilde Paris invitée de la rédaction sur TVTours
Mathilde PARIS, tête de liste « Un autre avenir pour Blois » était jeudi soir l’invitée de la rédaction de @TVTOURS. Revoir la vidéo....
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