La campagne en Loir et Cher : c’est parti !
Les premières affiches pour les européennes ont été livrées en loir et Cher.
C’est parti pour une nouvelle campagne d’affichage. Il est important de mobiliser nos électeurs, car tout est fait en ce moment pour que la campagne des européennes soit masquée par le « grand débat ».
Certains médias feignent de croire que la campagne n’a pas encore débuté, alors que Marine le Pen, Jordan Bardella et plusiuers des principaux colistiers tiennent des réunions toutes les semaine depuis le 19 janvier, après avoir lancé la campagne à Paris le 13 janvier.
Mais Macron fait tout qu’il n’y ait pas de véritable débat, car il mesure l’hostilité des Français au fonctionnement actuel de l’Union européenne, alors qu’il a pour projet de transférer encore davantage de notre souveraineté.
Il a donc choisi délibérément de détourner l’attention et de jouer sur les peurs.
On voit bien aussi le jeu de l’UE confrontée au Brexit : tout est fait pour pénaliser le Royaume-Uni, jusqu’à tenter d’imposer un nouveau référendum.
Et pendant le même temps, l’UE multiplie les accords commerciaux avec les USA, le Canada, Singapour. Et on nous ferait croire qu’il serait impossible de commercer avec le Royaume Uni ?
En France nous avons droit tous les jours à des messages alarmistes sur les supposées conséquences du Brexit : pas moins de 3 articles en une semaine dans la Nouvelle République.
C’est pourquoi il est important de faire campagne sur le terrain, dans les médias, sur les réseaux sociaux, afin que nos compatriotes soient informés.
Le 26 mai prochain, la seule réponse aux funestes projets de Macron, c’est que les Français se rendent massivement aux urnes et votent pour la liste du Rassemblement national.
A vous tous de relayer le message !
Européennes 2019 : la campagne est lancée en Loir et Cher.
Nouveaux tags « antisémites » à Blois : la piste de l’extrême-gauche ?
Manifestation pro-palestinienne à Blois (image d’archive). Le mouvement a-t-il dérivé vers l’antisémitisme sous l’influence des islamistes ?
La Nouvelle République annonçait dans son édition du 21 février que « des tags à l’encontre du président de la République et des inscriptions à caractère antisémite » avaient été découvert la veille sur un abribus près du Lycée Camille Claudel.
France 3 Centre Val de Loire nous en apprend un peu plus.
A côté des inscriptions « Adolf Macron » et « Emmanuel Hitler », plusieurs croix gammées ont été taguées.
Le Préfet de Loir et Cher s’en indigne : « il est complètement intolérable de faire de telles assimilations et de se revendiquer d’une idéologie qui a tué six millions de juifs. On est à l’opposé de nos valeurs«
Si nous partageons cette condamnation, d’autant plus que nous avons trop souvent été victimes de tels agissements, sans que cela choque la classe politique ni les autorités, l’interprétation du Préfet a tout de même de quoi surprendre.
En effet, les auteurs de ces inscriptions ne se revendiquent pas de l’idéologie nazie, au contraire ils comparent M. Macron au dictateur nazi, sans doute en raison de son comportement autoritaire et méprisant.
Il est bien évident que cette comparaison est déplacée et injurieuse, mais c’est bien parce que de telles assimilations ont été trop longtemps tolérées lorsque nous étions victimes qu’elles ont été banalisées.
Et qu’on le veuille ou non, elles sont le fait de l’extrême-gauche, relayée aujourd’hui par les islamistes.
Michel Chassier, délégué départemental du Rassemblement national, a écrit au Préfet pour lui demander que l’enquête en cours soit élargie aux actes similaires qui ont visé plusieurs fois notre permanence à Blois.
Dans un cas comme dans l’autre, ces agissements portent en effet la même marque.
Ce qui n’empêche pas aujourd’hui encore Magcentre de pointer du doigt le mouvement des « Gilets jaunes ».
Rappelons qu’aucun des actes antisémites récents : cimetières profanés, boîtes à lettres taguées de croix gammées recouvrant le visage de Simone Veil, inscription « Juden » sur un commerce, agression d’Alain Finkelkraut, n’a le moindre rapport avec le mouvement.
Ce qu’ont bien compris Finkelkraut lui-même, qui le dit haut et fort, mais aussi des personnes comme Pierre Weil, qui dénonce la manifestation de mardi comme une « mascarade », ou encore Gilles-William Goldnadel.
La gauche qui est à l’origine de ces manifestations et les partis politiques qui se sont associés refusent de voir l’origine de ce nouvel antisémitisme, pire, ils feignent d’y voir une résurgence des années 30, tout en essayant d’y associer le mouvement des Gilets jaunes pour le salir.
De tels amalgames sont scandaleux et nous espérons au moins que localement les coupables seront retrouvés. Et nous verrons si leur identité sera dévoilée ainsi que leurs motivations.
Incendies volontaires à Blois : nous avions raison d’alerter.
Voitures brûlées en Vienne fin janvier 2019.
On nous reprochait de trop parler de la délinquance à Blois et en partie des incendies volontaires qui se répètent trop souvent dans certains quartiers.
Reproche qui nous a été fait y compris au conseil municipal.
Nous avions pourtant raison de nous inquiéter.
Après une recrudescence d’incendies (conteneurs, voitures, poubelles) ces derniers jours, la Police renforce son dispositif de surveillance et la Nouvelle République y consacre aujourd’hui (22/02/2019) un long article.
Alors que les feux de voitures y sont ordinairement en quelques lignes, où l’on apprend simplement que le feu a été éteint avec « une lance à débit variable » (!) sans autre précision sur les causes possibles de l’incendie.
Aujourd’hui encore, la NR rend compte en 6 petites lignes de l’incendie de deux voitures à Montoire dans la nuit de mercredi à jeudi, mais rien n’indique s’il s’agit où non d’incendies volontaires.
Nous avons déjà consacré quatre article à ce sujet depuis le début de l’année, en insistant sur les risques et sur les conséquences pour les victimes.
Lundi soir dans la rue du Pré-Rocheron en Vienne, deux voitures ont été incendiées à l’intérieur du garage d’un petit immeuble d’habitation, ce qui aurait pu se finir par un drame.
Nous appelons par conséquent tous nos concitoyens à la vigilance.
En cas de comportement suspect, ils peuvent rapidement contacter la Police ou la Gendarmerie.
Rappelons que dans tous les cas d’urgence, appelez immédiatement par téléphone le 17 ou le 112.
Et ensuite appelez le Rassemblement national au 02 54 42 12 17 !
Retour aux 90 km/h en Loir et Cher : le grand flou.
Toutes les personnes sensées conviennent que la limitation à 80 km/h est inutile, inefficace et pénalisante.
Y compris M. Macron qui aurait dit que c’était « une connerie ».
De fait elle est assez peu respectée, et paradoxalement nous avons vu la mortalité routière diminuer en fin d’année alors que deux tiers des radars étaient hors service !
Du coup, pour calmer un peu la colère des « Gilets jaunes », le gouvernement ouvrirait la porte à une « expérimentation », qui serait laissée à l’initiative des départements.
En Loir et Cher Nicolas Perruchot s’en est saisi, faisant ainsi son « buzz » dans les médias, mais de quoi s’agit-il ?
Si le gouvernement l’autorise, 500 km de départementales sur un peu plus de 3400 repasserait à 90 km/h.
Nous craignons que ce genre de décision ne fasse qu’ajouter à la confusion, obligeant les conducteurs à surveiller à chaque instant s’ils sont toujours sur une route limitée à 90 km/h ou bien à 80.
La logique voudrait que les 90 km/h redeviennent la règle, la limitation à 80 l’exception, à l’intiative selon les routes du Département ou des communes.
Rappelons que la maîtrise de la vitesse, qui fait partie de la maîtrise du véhicule, doit être appréciée à tout moment par le conducteur.
C’est l’article R 413-17 du code de la route, qui identifie quelques situations dans lesquelles un défaut de maîtrise de la vitesse peut faire l’objet d’une contravention : le comportement du conducteur ne correspond pas aux conditions de circulation (obstacles prévisibles, état de la chaussée, difficulté du trafic…) ; la vitesse du véhicule est inadaptée – trop lente ou trop rapide – alors que les conditions optimales de circulation sont réunies (trafic fluide, bonnes conditions atmosphériques, véhicule en état de marche…), la vitesse de la voiture n’est pas réduite lors du dépassement d’un piéton, lorsque les conditions de visibilités sont insuffisantes ou dans les virages…
Rien ne sert par conséquent de multiplier les panneaux et de compliquer les limitations. D’ailleurs sur une grande partie du réseau de routes secondaires limitées à 80 km/h la chaussée n’est pas assez large pour que deux véhicules se croisent à cette vitesse. Les conducteurs sont donc amenés à ralentir, ce qu’ils font naturellement.
Par contre, pourquoi ne pas utiliser davantage les panneaux indicateurs affichant une vitesse conseillée ? Cette information serait sans doute plus utile dans certaines cas.
Blois : contre l’antisémitisme les partis politiques ne mobilisent pas.
Marc Gricourt et Pierre Boisseau à Blois aux côté des représentants de « Milli Görüs » en décembre 2015. Une confédération islamiste radicale d’où est issu l’agresseur d’Alain Finkelkraut.
A la suite de plusieurs actes commis en marge de manifestations des « Gilets jaunes » à Paris, un certains nombre de partis politiques ont pris l’initiative d’organiser des manifestations contre l’antisémitisme un peu partout en France le 19 février.
L’agression contre la philosophe Alain Finkelkraut samedi dernier a renforcé encore l’indignation des Français contre ces comportements, qui auraient dû entraîner une réaction populaire de grande ampleur.
Malheureusement le sens donné à cet appel n’a pas favorisé la mobilisation espérée.
Comme le souligne Alain Finkelkraut lui-même, les partis politiques signataires de cet appel ce trompent de cible. Chacun pour des raisons diverses préférant évoqué « le bon vieil antisémitisme » c’est à dire venant d’un extrême-droite fantasmée, alors que selon le philosophe, la menace vient du « puissant courant antisémite issu du salafisme et de son terreau, les banlieues. »
Une réalité que les partis signataires refusent de voir, car elle va à l’encontre de leur analyse politique et surtout les renvoie à leurs propres responsabilités.
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Grand débat : questions interdites
Les réunions du « Grand débat » se suivent et se ressemblent.
Les participants peuvent donner leur avis sur les questions qui leur sont présentées, mais certains sujets sont interdits.
Malgré tout à Vendôme il a été question du problème des gens du voyage, de l’immigration ou en encore des travailleurs détachés.
Ce que déplore la Nouvelle République dont on peut se demander à quel titre elle se permet de juger la pertinence des questions posées.
Cela conforme qu’il ne faut pas entendre grand chose de ces réunions dont le but est aussi de masquer la campagne des européennes.
Quelques exceptions toutefois comme à Beaucaire où le maire RN, Julien Sanchez invite les Beaucairois à venir débattre en toute liberté ce lundi 18 février.
Le député « En Marche » de la circonscription a décliné l’invitation.
Pas très courageux…
Le RN41 vous informe sur Internet.
Plus que jamais les grands médias sont étroitement liés au pouvoir. De rachats en fusions ils sont aujourd’hui dans les mains de puissants groupes d’affaires (Bolloré, Bouygues, Dassault, Lagardère, LVMH, groupe SFR etc…) associés aux banques qui, en même temps qu’elle refusent de prêter à certains partis politiques, refinancent régulièrement des journaux structurellement déficitaire en dépit des subventions de l’Etat.
Et on ne faut pas imaginer un instant que ce financement relève de la philanthropie, le but avoué est bien de contrôler des relais d’opinion.
Tout cela ne relève pas du complotisme, ces informations sont facilement accessibles.
C’est pourquoi Internet offre encore un espace de liberté indispensable, tant que la censure ne parvient pas à l’étouffer, comme on le voit dans certains pays totalitaires, mais la France est en train de suivre une pente dangereuse avec des lois de plus en restrictives qui entendent contrôler les « fake-news », en réalité donner aux médias du système le contrôle de la « vérité » officielle.
Face à cette menace, la meilleure façon de réagir est de relayer au maximum les informations et les opinions que nous diffusons sur Internet à travers les sites, blogs, réseaux sociaux de nos structures, de nos cadres et de nos élus.
Et à ceux qui parlent de « fake news », nous pouvons répondre qu’en bientôt 10 ans d’existence notre blog à publié 6257 articles, sans jamais être pris en défaut, excepté 4 erreurs factuelles rapidement corrigées, ce qui donne un taux brut de fiabilité de 99,936%. Peu de médias pourraient en dire autant.
Cela nous permet de réagir rapidement et de faire connaître rapidement des faits occultés.
Par exemple notre article du 14 février sur Jacqueline Gourault a été lu plusieurs centaines de fois sur le blog, plus de 2350 fois sur Facebook, relayé sur Twitter. Au total des milliers de personnes ont pu connaître notre réaction, la partager et réagir à leur tour.
Et nous avons eu jusqu’à 69 visiteurs simultanés dans la journée.
Mais ce n’est pas encore suffisant.
A l’approche des élections européennes du 26 mai prochain, M. Macron sait bien que son projet européiste ne rencontre pas l’adhésion des Français. C’est pourquoi sa campagne va reposer sur la peur, le mensonge, la désinformation permanente avec la complicité des médias.
Nous devons être en mesure de riposter instantanément.
Vous êtes déjà nombreux à nous suivre, mais nous vous demandons de partager davantage encore nos publications.
Les liens avec les sites et les pages Facebook du Rassemblement national se strouvent sur la colonne de droite de la page d’accueil.
Nous vous incitons aussi à vous rendre régulièrement sur le site du groupe RN Centre-Val de Loire afin de suivre l’activité de vos élus.
Merci également de nous communiquer des informations locales et si possible des photos.
Et merci encore pour votre fidélité.
Croix gammées à Blois : la honteuse récupération des pompiers-pyromanes.
Croix gammée taguée sur notre permanence en juillet 2017. Sans que cela indigne la gauche. Plainte classée sans suite.
Suite à la découverte de croix gammées taguées dans sur le chantier d’un appartement à la Quinière, le maire de Blois a aussitôt tenu à réagir par un communiqué rappelant « les heures les plus sombres de notre histoire » et demandant que les auteurs soient « jugés et condamnés à une peine à la hauteur de leur infamie« .
Sans tarder, le parti socialiste en voie de décrépitude se lance dans la récupération en appelant à une manifestation des partis politiques de « l’arc républicain », dont ils excluent sans aucune justification le Rassemblement national.
Curieusement ces mêmes partis politiques ont oublié de s’indigner lorsque des croix gammées étaient taguées sur la façade de notre permanence à Blois. Et le maire de Blois n’a jamais demandé que les auteurs soient « jugés et condamnés à une peine à la hauteur de leur infamie« .
Mieux que cela, nous avons déposé plainte 5 ou 6 fois sans suite. La seule fois où les auteurs de graffitis ont été identifiés (par nos soins, piégés par un selfie qu’ils avaient posté sur Facebook), ils n’ont eu droit qu’à un simple « rappel à la loi » !
C’est pourquoi nous espérons que les auteurs des tags de la rue Dorgelès soient identifiés et nous attendons avec impatience de connaître leur profil. Ce sera peut-être l’occasion de relancer les enquêtes sur les dégradations de notre permanence.
Nous allons nous adresser dès aujourd’hui au procureur de la République dans ce sens.
Mais il faut également rappeler aux partis politiques qui appellent à manifester qu’ils portent une lourde responsabilité dans la situation actuelle. Comme nous le disions déjà hier, la progression constatée des actes antisémites en France est étroitement liée avec la montée de l’islamisme. Nous avons déjà eu l’occasion de remarquer des tags antisémites à la ZUP de Blois, qui curieusement ont été passés sous silence et n’ont suscité aucune indignation.
Il est évident que nous sommes dans une stratégie imaginée par l’exécutif pour dramatiser la situation avant les élections européennes, quitte à utiliser de manière honteuse l’antisémitisme.
Nous sommes les premiers à condamner des agissements dont nous sommes trop souvent les victimes, mais nous ne laisserons pas faire cette honteuse récupération politicienne.
Macron dans l’Indre : offrons-lui des Pampers !
M. Macron a peur du peuple : zone interdite autour de Gargilesse-Dampierre.
A l’occasion de la venue du chef de M. Macron, ce jeudi 14 février à Gargilesse-Dampierre dans le sud de l’Indre, c’est la branle-bas de combat.
Afin d’être sûr de ne pas rencontrer les manants, tout le secteur est bouclé et de nombreuses interdites à la circulation, du mercredi 13 février à 20 heures et jusqu’au jeudi 14 février 17 heures.
C’est dire à quel point le locataire de l’Elysée a peur du peuple, dont il ne reçoit que des représentants triés sur le volet (*) pour lui poser les questions qu’il veut bien entendre, et leur apporter les réponses déjà préparées par ses services et apprises par coeur par ce bon acteur de théâtre.
On se souvient par exemple de sa réponse à un jeune dyslexique lors de sa visite en Bourgogne : on a su depuis que la question avait été préparée avec l’aide de son professeur de français et posée au moment choisi afin que M. Macron déroule sa réponse devant des journalistes ébaudis.
Il ne faut donc rien attendre de cette rencontre dans l’Indre où tout est écrit à l’avance, il ne s’agit que d’un exercice de communication.
Mais si M. Macron fait sous lui à ce point lors de ses déplacements, il y aurait une solution plus économique et moins pénalisante pour les habitants des territoires visités par sa Majesté : nous pourrions tout simplement lui suggérer de porter des couches-culottes.
(*) évidemment aucun élu du Rassemblement national n’a été invité lors de ces débats factices.
Jacqueline Gourault insulte les Gilets jaunes.
Interrogée dans la Nouvelle République avant la visite de M. Macron dans l’Indre dans le cadre du grand faux débat, Mme Gourault se livre à un amalgame particulièrement scandaleux en accusant les « Gilets jaunes » d’être responsables des « dernières dégradations à Paris comme dans plusieurs villes de province le démontrent : églises profanées, tags antisémites, parlementaires menacés, incendie du domicile de Richard Ferrand en Bretagne…«
La Ministre prétend que le mouvement a été « pris en main en partie par les extrêmes » (*).
Tout cela demande une petite mise au point.
Les observateurs objectifs en conviennent, les violences sont à 90% l’oeuvre des « blacks blocs » et autres Antifa, rompus à ce genre d’exercice. Ces groupes clairement identifiés par la Police depuis des années bénéficient d’une étrange impunité, il est vrai que leurs exactions sont bien utiles au pouvoir en place afin de stigmatiser les manifestants et de retourner l’opinion publique.
On pourrait y ajouter les scènes de pillages dans les grandes villes, où l’on retrouve plutôt la racaille des « quartiers » qui profitent du désordre pour venir « faire leur courses ».
Dans un cas comme dans l’autre, rien à voir avec les « Gilets jaunes ».
D’ailleurs aucune violence ou exaction n’a eu lieu lors des manifestations en Loir et Cher.
Deuxième accusation, encore plus grave : les églises profanées et les tags antisémites.
Quel rapport avec le mouvement des Gilets jaunes ?
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Gare de Blois : quelles solutions pour le stationnement ?
Depuis l’inauguration en juin 2015 de la passerelle évitant la traversée de la voie ferrée par le pont routier et facilitant l’accès aux quais en direction d’Orléans et de Paris, les besoins en stationnement concomitants s’avèrent en forte et constante augmentation sans que les pouvoirs publics daignent s’y intéresser.
Le parking nord dit « du pont de la gare » (100 places) est plus que saturé dès 6 heures du matin et jusqu’à 18 heures tous les jours en semaine et cette affluence se répercute sur toutes les rues adjacentes – à tel point que l’Intermarché rue Gambetta situé à 700 mètres de la gare vient d’installer des barrières à l’entrée de son parking pour faire la chasse au stationnement sauvage. Cela engendre aussi des répercussions sur l’accès aux commerces et à la maison de retraite Saint-François non loin de là.
Lire la suite sur le site du Groupe RN au conseil régional.
De plus cela ne risque pas de s’arranger : le projet de réaménagement du parvis de la gare qui doit voir le jour à l’horizon 2020 ne prévoit qu’un seul stationnement (payant ?) de 200 places côté sud : le parking nord gratuit de 100 places temporaire ne serait pas conservé.
Nos élus pourrons poser la question lors de la commission générale qui précédera le prochain conseil municipal de Blois le 4 mars.
Nous ne manquerons pas de vous tenir informés.
La Région Centre-Val de Loire au secours des « migrants » : seul le Rassemblement national ose dire non !
Les élus du Rassemblement national préparent la Commission permanente.
Seulement 48 rapports ce matin à la commission permanente du conseil régional Centre-Val de Loire, bouclée en un peu plus d’une heure.
Les élus du groupe Rassemblement national sont intervenus sur plusieurs dossiers : développement économique, lycées, aménagement du territoire, enseignement supérieur, coopération décentralisée, formation professionnelle.
Mais il y avait un dossier sensible et hautement symbolique : l’adhésion de la Région à une association de soutien aux « migrants », ANVITA, présidée par le maire (EELV) de Grande-Synthe.
Michel Chassier a dénoncé une démarche politique puisque l’association a pour but de » soutenir, accompagner, impulser, organiser des actions de soutien aux migrants avec les acteurs dans leur grande diversité « .
L’élu RN souligne également que l’emploi du terme de « migrants », volontairement flou, vise à nous faire accepter l’immigration clandestine, puisque le terme de « migrant » peut désigner en Europe toute personne qui a franchi nos frontières, et souvent même plusieurs frontières, légalement ou non, et qui prétend y résider.
Il dénonce « la nébuleuse de structures qui permet de relayer l’action politique de partis, souvent en manque d’électeurs, qui trouvent ainsi le moyen de faire vivre un certain nombre de permanents politiques, financés par l’argent public. »
Et bien évidemment le groupe RN a voté résolument contre cette adhésion.
Lire le communiqué sur le site du groupe RN Centre Val de Loire.
Nous attendions une réaction de Guillaume Peltier, chantre de la « droite forte », sur ce sujet. Mais ce fut le silence radio, d’ailleurs le président du groupe UDC (Union de la Droite et du Centre) n’est pas intervenu une seule fois durant cette commission permanente.
Tout juste s’est-il abstenu à titre personnel sur ce dossier sensible, son groupe ayant une fois plus voté tous les rapports avec la majorité.
Blois : la droite et le centre en ordre dispersé pour les municipales.
Vos élus blésois du Rassemblement national. La seule opposition unie et constructive capable de préparer une alternance en 2020.
Comme en 2014 la droite blésoise risque de partir en ordre dispersé pour les municipales de 2020.
Aucun véritable leader ne parvenant à s’imposer, les candidatures se multiplient.
Après le centriste Franck Prêtre, l’UDI Anis Sabri-Lebaron, c’est au tour de LR de désigner sa tête de liste, Malik Benakcha.
On ne connaît pas encore les intentions de Christelle Ferré, mais à coup sûr il y aura une liste LREM-MoDem.
Peut-être aussi une liste d’extrême-gauche.
Cela commence à faire beaucoup et le maire sortant, Marc Gricourt, ne peut que s’en réjouir s’il parvient à maintenir l’unité de sa majorité (PS, PC, EELV, MRG, Génération.s) dès le premier tour.
Et que fera l’opposant (?) « historique » Jacques Chauvin ? Acceptera-t-il de disparaître définitivement de la vie politique locale ? Pas certain non plus.
Il était parvenu à faire élire 5 représentants de sa liste d’union au second tour en 2014, mais depuis, il est pratiquement seul. Christelle Ferré a quitté le groupe, Jean-Luc Malherbe (MoDem) soutient régulièrement la majorité municipale, tout comme Véronique Reineau, désormais LREM. Quant à Catherine Fétilleux, elle ne siège plus depuis plusieurs mois, autant dire que Jacques Chauvin est désormais totalement isolé.
Le seul groupe d’opposition constructive c’est celui du Rassemblement national, fort de 4 élus qui sont resté fidèles à leurs engagements.
La conclusion s’impose par conséquent pour 2020 : une fois encore nous devons être le fer de lance de cette campagne.
Une première réunion de travail s’est tenue le 26 janvier, d’autres vont suivre rapidement pour fixer le calendrier, réfléchir sur les grands axes de compagne, lancer une grande consultation des Blésois.
Une chose est sûre, nous serons bien présent dans cette bataille pour l’avenir de Blois, nous vous tiendrons informés très prochainement.
Interdiction administrative de manifester : les 3 députés de Loir et Cher votent pour !
Les véritables casseurs sont connus, mais impunis, ils sont trop utiles au pouvoir en place. La loi ne changera rien pour eux.
Les 3 députés de Loir et Cher, Stéphane Baudu (MoDem), Guillaume Peltier (LR) et Pascal Brindeau (UDI) ont voté la loi dite « anti-casseur », qui permet entre autres aux préfets d’interdire de manifester des personnes « suspectées de menacer l’ordre public ». (voir le détail des votes sur le site de l’Assemblée nationale).
Le Conseil de l’ordre du barreau de Paris a réagi dans un communiqué, en rappelant « que la loi pénale visant à réprimer et empêcher les actes violents durant les manifestations existe et paraît suffisante« .
Le Conseil « regrette qu’à l’occasion de violences commises lors du mouvements des « Gilets Jaunes » le gouvernement veuille porter atteinte de manière générale à la liberté fondamentale de manifester et de se rassembler en donnant pouvoir à ses représentants, les préfets, de prononcer des interdictions préventives individuelles. Il constate que la notion de « personnes suspectées de constituer une menace pour l’ordre public », permet l’arbitraire en écartant le magistrat judiciaire, garant des libertés individuelles, seul en mesure d’apprécier les critères dits « objectifs » tels que la commission d’actes violents. »
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Grand débat en Loir et Cher : le grand fisaco.
Le grand faux débat n’a pas convaincu les « Gilets jaunes ».
Nous le disions dès le départ : le « grand débat » voulu par Macron en réponse à la crise des « gilets jaunes » est une grande mascarade.
Comme le rappelait Sébastien Chenu dimanche à Blois, « le seul engagement de Macron est de répondre aux questions qu’il a lui-même posées » (voir également la Nouvelle République du 5/02/2019)
Après Saint Claude de Diray le 26 janvier, un nouveau débat a eu lieu à Blois le 2 février… à l’initiative d’une association proche du parti présidentiel !
Il n’a réuni que moins de 40 personnes, dont de nombreux élus comme Stéphane Baudu, député MoDem macroniste ou encore Louis Buteau, conseiller municipal de Blois, ex-adjoint au commerce de Marc Gricourt, Rachid Méress, les ex-conseillers Michel Géant et Malika Guedjati etc…
La Nouvelle République relève l’absence de gilets jaunes visibles en ce 12ème samedi de mobilisation.
Les échanges sont resté dans le cadre imposé, les questions ont porté sur la fiscalité, les avantages des élus, ce que conteste Stéphane Baudu en indiquant un salaire de 5 700 € nets par mois. Mais c’est en omettant de rappeler tous les avantages qui reviennent à largement le doubler.
D’autres participants ont dénoncé « les questions fermées ou à choix multiple des intervenants reprenant mot pour mot les fiches établies au niveau national« .
Il est peu probable que d’ici le 15 mars les débats organisés en Loir et Cher rassemblent plus de 1000 personnes, à comparer aux plus de 245 000 électeurs inscrits dans le département.
Un grand fiasco.
Sébastien Chenu à Blois : le vrai débat.
La Fédération de Loir et Cher du Rassemblement national recevait ce dimanche Sébastien Chenu, député du Nord et porte-parole du RN, à l’occasion de sa traditionnelle galette des Rois.
Au cours d’un point presse il a répondu aux différentes questions sur les européennes, le « grand débat », la situation politique et sociale en France.
Tous ces thèmes ont été bien repris et développés lors de son intervention.
« Un an et demi que Macron est au pouvoir : ce président a déconstruit la France et considère que la nation doit disparaître au profit de l’UE« .
Le député du Nord ironise aussi sur les médias qui avaient annoncé – une fois de plus – la mort programmée de notre mouvement, et qui font semblant de s’étonner de nous voir faire la course en tête pour le européennes, en dépit de toutes les manoeuvres.
Les tentatives d’assassinat judiciaire ou financier ont échoué, grâce il faut le dire à la mobilisation de nos adhérents et sympathisants, et Marine Le Pen n’a pas chômé depuis la présidentielle, en s’attaquant à la réorganisation du Front national devenu Rassemblement national, en engageant également une réflexion sur la stratégie afin d’être en mesure de l’emporter lors des prochaines échéances.
Sébastien Chenu constate aussi que Macron a semé le chaos qu’il prédisait pour effrayer les Français en cas de victoire de Marine, qu’il continue à jouer sur le pourrissement et ne propose aucune solution, aucune inflexion de sa politique que les Français n’ont pas choisie et qu’ils rejettent majoritairement aujourd’hui.
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Arjowiggins : le président Bonneau soutient les salariés… mais achète du papier au Portugal !
Située dans la Sarthe mais à la limite du Loir et Cher, cette entreprise emploie de nombreux salariés venus du Vendômois et du Perche, notamment dans les anciens cantons de Savigny et de Montoire.
La fermeture annoncée du site de Bessé-sur-Braye illustre une fois plus la prise de contrôle de la finance sur l’économie réelle et l’absence d’une stratégie industrielle au service de l’intérêt national, contrairement à ce que font nos principaux concurrents.
Outre 560 salariés, de nombreux sous-traitants locaux vont être touchés en cas de fermeture définitive.
Le président de Région, François Bonneau, a fait part de son soutien aux salariés et il espère un projet de reprise.
Mais on peut regretter dans ce contexte que la Région commande du papier hier en Allemagne, aujourd’hui au Portugal pour ses propres besoins. Ce que nous imposent malheureusement le code des marchés publics et la réglementation européenne au nom de la libre concurrence, qui s’avère souvent déloyale.
Lire le communiqué du groupe Rassemblement National Centre-Val de Loire
Blois Vienne : 3 voitures incendiées cette nuit.
C’est un riverain écoeuré qui nous transmet l’information et nous envoie cette photo.
Hier soir vers 23 h 00 sur un petit parking de la rue des Métairies à Blois Vienne 3 voitures ont été incendiées.
Le lieu est bien connu des » initiés » et des riverains pour son trafic de drogue…
Sans doute le prix à payer pour la « paix sociale » dans certains quartiers.
Mais en Vienne comme ailleurs les habitants sont excédés par cette délinquance et tout ce qu’elle entraîne.
Encore une fois nous espérons que les auteurs de ces incendies criminels seront identifiés, interpellés et condamnés comme il se doit.
C’est malheureusement assez rare, et quoi qu’il en soit, on sait que les victimes seront très mal indemnisées.
Il est vrai que M. Castaner a d’autres priorités.
Blois : procession contre la fin du monde.
C’est en train de devenir un rituel de la nouvelle religion mondiale. Dimanche avait lieu une « marche pour le climat », avec tout ce que l’on peut compter de collectifs, d’associations, sans parler des partis politiques et des élus se proclamant écologistes, jusqu’au maire de Blois, Marc Gricourt, qui s’est joint un moment au cortège.
La Nouvelle République annonce 250 participants (la Nouvelle République du 28/01/2019). Mais à regarder de près et sous tous les angles les photos publiées sur les réseaux sociaux, il est difficile de compter plus d’une centaine de personnes.
Sur le fond les slogans et les propos tenus par les manifestants ne changent guère : urgence climatique, lutte contre la « surconsommation », hostilité au nucléaire etc…
Une personne interrogée par la NR déclare carrément « si on continue comme ça, ce sera la fin du monde !«
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La série continue : encore une voiture incendiée à la ZUP de Blois
(image d’illustration).
Dans la nuit de samedi à dimanche, une voiture a été incendiée rue Jean-Baptiste Charcot à la ZUP de Blois, vers 1 h 30 du matin (la Nouvelle République).
C’est un secteur régulièrement par ce genre d’incendie criminel.
Déjà dans la nuit de mercredi à jeudi 4 véhicules avaient été touchés rue Apell.
Jusqu’à quand les Blésois vont-ils subir cette délinquance ?
Le grand faux débat arrive en Loir et Cher : tout est bien verrouillé.
La véritable consultation du peuple français se fera le 26 mai prochain. Le grand débat national n’est qu’un enfumage.
La 1ère réunion publique du « grand débat » en Loir et Cher s’est tenue samedi à Saint Claude de Diray avec environ 80 participants (*) selon la Nouvelle République, dont le député MoDem Stéphane Baudu, au premier rang, Gilles Clément, président de la communauté de communes du Grand Chambord, Laurent Allanic, maire de et quelques élus.
Comme partout au niveau national, un débat très encadré, avec les questions prévues d’avance sur les 4 thèmes proposés et à chaque fois un exposé des constats et les diagnostics de la situation à partir de la fiche préparée… par le gouvernement et fournie dans le kit de préparation de la réunion.
La « charte du grand débat« , à laquelle doivent s’engager les organisateurs, précise également qu’on ne doit diffuser « aucune information volontairement erronée, tronquée ou hors sujet. » Autrement les constats et diagnostics établis par le gouvernement ne peuvent pas être remis en cause.
Malgré tout quelques sujets qui ne sont pas évoqués dans le questionnaire ont été soulevés, comme les avantages dont bénéficient certains élus.
Au sujet de la transition écologique, un participant fait remarquer : « moi, je n’ai pas l’argent pour acheter une voiture électrique, je roulerai au diesel jusqu’à la fin. «
Sur la question de la démocratie, Stéphane Baudu se dit favorable à « introduire une dose de proportionnelle à l’Assemblée ».
Comme si la démocratie se dosait ! Si l’on veut réconcilier les Français avec la démocratie représentative, il faut d’abord qu’ils soient représentés équitablement, c’est à dire à la proportionnelle intégrale. Mais cette solution n’est pas retenue par le gouvernement, elle n’est donc pas proposée dans le débat.
Les 4 « fiches de propositions » rédigées à la fin de réunion sont logiquement d’un conformisme affligeant. Sur la fiche « transition écologique », on peut lire : « faire payer les pollueurs« , « éviter les gaspillages« , « aller vers une économie plus humaine« , « taxer les robots« .
Pas de quoi inquiéter Macron ni son gouvernement, qui pourront au final tirer les conclusions qu’ils veulent et qui sont déjà prêtes.
Pas de quoi non plus inciter nos concitoyens à participer à ce genre de réunion qui ne débouche sur rien.
Nous l’avons dit depuis le début : le « grand débat national » est une grande mascarade.
(*) mais sur le compte-rendu on voit que le chiffre original a été raturé, et lors des conclusions il n’y a avait que 45 personnes. Un peu plus de 3% des électeurs de Saint Claude du Diray, qui avaient été plus de 85% à s’exprimer au 2ème tour de la présidentielle.
Il est important de rappeler ces chiffres pour relativiser la portée de cet exercice de démocratie encadrée.
Grand Paris : soupçons de fraude sur les marchés.
Le Parquet national financier a ouvert une enquête préliminaire sur les marchés du Grand Paris express pour soupçons de favoritisme. Cette décision intervient près d’un an après les avertissements de la Cour des comptes sur des dérives de coûts et des « procédures de passation de marchés inégalement respectées« . (source Batiactu 24/01/2019)
La Cour des comptes avait dressé en décembre 2017 un rapport critique faisant état de la dérive budgétaire du Grand Paris express, avec des « coûts prévisionnels » qui « n’ont cessé de dériver« , passant de 20 à 38 milliards d’euros, et « d’une rigueur insuffisante dans la gestion des marchés« , de la part de la Société du Grand Paris.
Sur les 770 marchés notifiés du 1er janvier 2010 au 31 décembre 2016, la juridiction de la rue Cambon s’était focalisée sur 65 dossiers qui « témoignent en général d’une rigueur dans le respect des procédures de passation« . Elle note cependant certains marchés pour lesquels « les procédures et les grands principes de mise en concurrence n’avaient pas été respectés » entre offre qui aurait dû être « rejetée pour irrecevabilité » et modification des modalités de calcul des offres financières impactant « l’ordre de sélection des candidats » (*).
Elle alertait également sur 164 marchés conclus « sans publicité ni mise en concurrence » ou encore le rôle simplement « consultatif » de la commission d’examen des offres (CEO) qui ne permet « pas de disposer d’une assurance externe suffisante sur la régularité et les conditions d’attribution des marchés, l’équilibre concurrentiel et la préservation des intérêts économiques de la SGP« .
Des accusations assez lourdes, qui portent sur une période ou Maurice Leroy a été en charge du Grand Paris. Même s’il n’est pas impliqué directement dans ces procédures de marchés, il était censé exercer un contrôle, voire le pilotage du projet.
On ne peut pas dire qu’il a été très efficace dans l’exercice de sa mission.
Quand on sait qu’il va s’occuper désormais du « Grand Moscou », un projet au budget 10 fois plus important, il y a de quoi être dubitatif…
(*) une observation similaire avait été faite par la Chambre Régionale des Comptes du Centre (Avis n° 96-03355 du 16 juillet 1996) au sujet du marché de l’usine d’incinération de Valéco : « La chambre constate en outre que « le Comité du syndicat ne s’est pas prononcé sur la nature et les conditions financières de l’intervention des services techniques de la Ville de BLOIS ». Intervention dont le seul but était de modifier le classement des offres reçues, au profit de la Lyonnaise. Les dispositions en matière d’entretien et de réparation portent « atteinte au principe d’égalité d’accès des concurrents à la gestion déléguée décidée par le syndicat »,
Nouveaux incendies de voitures à Blois et à Theillay.
(image d’illustration)
Il est toujours difficile de connaître les chiffres exacts des incendies de voitures à Blois comme ailleurs.
Tout juste sait-on officieusement que plus de 1000 voitures ont brûlé dans la nuit de la Saint Sylvestre. Mais les médias préfèrent passer en boucle les voitures brûlées à la fin des manifestations de gilets jaunes à Paris, en oubliant de dire que ce sont des casseurs d’extrême gauche qui viennent profiter de l’occasion. Pour le plus grand bénéfice du gouvernement.
A Blois c’est la même chose : les chiffres de 2018 n’ont toujours pas été publiés.
Pourtant la presse locale se fait régulièrement l’écho de ces incendies de voitures.
Dernière épisode en date mercredi soir, avec 3 véhicules incendiés vers 21 h 30 rue Appell, tout près de la ZUP de Blois (2 voitures un fourgon incendiés, une autre voiture partiellement touchée), puis vers 0 h 40 rue Bertheau en Vienne (la Nouvelle République du 25/01/2019).
4 véhicules brûlés dans la même nuit, cela commence à faire beaucoup. La Police a ouvert une enquête.
Durant la même nuit une voiture, dont les plaques d’immatriculation avait été préalablement retirées, a été incendiée à Theillay.
Mais à part ça, madame la Marquise… tout va très bien, tout va très bien !
Eoliennes : les protestations se multiplient, le gouvernement les ignore.
La face cachée des éoliennes : 300 à 400 m3 de béton et 30 à 45 tonnes de ferraillage pour un une éolienne de 2 MW.
Un nouveau projet de parc éolien suscite la colère des habitants de Saint Anne, près de Vendôme, qui en subiront les nuisances tandis que la commune voisine de Villerable bénéficiera des avantages financiers.
Les opposants ont manifesté vendredi dernier lors des voeux du maire de Villerable (la Nouvelle République du 24/01/2019).
Le débat n’est pas nouveau et plusieurs projets font débat en Loir et Cher, qu’il s’agisse de la Beauce ou de la vallée du Cher.
Comme un peu partout en France, les défenseurs des paysages et de l’environnement protestent contre des implantations ou bien trop proches des habitations, ou bien qui portent atteinte à des sites remarquables comme face au massif du Canigou dans les Pyrénées ou près de l’île de Noirmoutier.
Derrière ce forcing, la volonté du gouvernement de multiplier par 2,5 les capacités de production d’électricité des éoliennes, les faisant passer de 6 à 15% de l’électricité produite dans le mix énergétique français d’ici 2028.
Un choix contestable, qui ne ferait qu’augmenter le prix de l’électricité payée par les Français, tout en nécessitant la construction de centrale thermiques d’appoint pour parer aux aléas de production.
Mais devant le « vent de fronde » soulevé par ces projets, le gouvernement a l’intention de passer en force.
En effet, pendant qu’il encourage le grand faux débat national, il a décidé de supprimer dans certaines régions, une autre forme de consultation : les enquêtes publiques (France Info 23/01/2019).
Ce sera cas pour la Bretagne et les Hauts de France, avant de généraliser la mesure.
Pourtant le gouvernement avait interrogé les citoyens sur internet. Résultat : 3 avis en faveur de la suppression de l’enquête publique, 2768 contre. Cette procédure consultative n’a pas empêché le décret d’être promulgué.
C’est comme le grand faux débat : « cause toujours, je décide ».
N’en déplaise à Charles Fournier, vice-président de la Région Centre-Val de Loire, la démocratie dite « participative » est un leurre.
Procès en diffamation : le maire de Blois débouté.
Nous avions déjà remarqué que le maire de Blois, Marc Gricourt, était plutôt procédurier.
Suites aux critiques publiées sur Facebook par un défenseur du patrimoine, l’édile blésois y avait vu de la diffamation.
Nous avions longuement exprimé notre point de vue en mai dernier suite à la décision du conseil municipal d’engager des poursuites au nom de la Ville… et aux frais du contribuable.
Il nous aurait paru plus simple de mettre en demeure l’auteur de ces critiques en lui demandant de retirer ou de modifier la phrase litigieuse.
Il n’est pas certain en effet que la publicité donnée à cette affaire rende service au maire de Blois.
Certes l’honneur est sauf, puisque le tribunal juge que la diffamation est établie, il considère que le maire de Blois n’est pas visé personnellement.
Par conséquent ce dernier est débouté (la Nouvelle République du 23/01/2019), et l’affaire n’ira pas plus loin, à moins qu’un appel soit interjeté par l’une des parties.
Espérons pour le contribuable blésois qu’on s’en tiendra là.
Mises en avant
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Mathilde PARIS, tête de liste « Un autre avenir pour Blois » était jeudi soir l’invitée de la rédaction de @TVTOURS. Revoir la vidéo....
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