C’est une question que vous vous posez à juste titre. Et que nous posons régulièrement sans avoir de réponse.
Par contre lorsqu’un collectif de soutien aux « sans-papiers » demande des comptes au conseil départemental (la Nouvelle République du 25/07/2017), il obtient une réponse dans la foulée.
Ce qui nous permet au passage d’avoir quelques éléments intéressants.
En effet, le conseil départemental répond – en moins de 24 heures ! – dans un communiqué qu’il « accueille, protège et accompagne les mineurs isolés étrangers de manière personnalisée : logement, restauration, insertion, suivi éducatif… En 2017, en moyenne, un effectif de 73 mineurs est suivi par le conseil départemental. Une année de prise en charge coûte à la collectivité entre 40.000 et 60.000 € par mineur. » (la Nouvelle République du 25/07/2017)
Prenons une moyenne de 50 000 € par mineur, cela représente 3 650 000 € par an pour le seul Loir et Cher.
Nous savons par ailleurs que l’hébergement en CADA ou CAO coûterait environ 25 € par jour. Là encore, pour 370 places, cela fait près de 3 400 000 € par an. Encore ce chiffre ne tient-il compte que de l’hébergement, il faudrait y ajouter les frais d’insertion, le suivi éducatif, les soins, les transports etc… sans compter le pécule attribué à ces personnes. Autrement dit il faudrait certainement doubler la somme.
Avec les mineurs isolés, nous en sommes donc à 10 000 000 € par an au minimum.
Et encore ce chiffre ne tient pas compte de ceux qui sortent des CAO et sont hébergés dans des logements sociaux ou des hôtels en attente d’une hypothétique régularisation. Alors combien ? 12, 15 millions d’euros ?
Nous aimerions bien que le conseil départemental, si prompt à répondre aux associations pro-immigration, publie enfin le coût réel de tous ces dispositifs, en précisant la part financée par l’Etat.
Nos élus vont à nouveau poser la question.
Mais pendant ce temps le gouvernement préfère rogner les aides au logement et augmenter la CSG sur les retraites.
Accueil des clandestins en Loir et Cher : combien ça coûte ?
Plan « migrants » du gouvernement : combien en Loir et Cher ?
Image d’archives : immigrés clandestins logés à Blois dans des logements réquisitionnées en octobre 2016.
Le 1er ministre LR, Edouard Philippe, vient d’annoncer il y a quelques jours un nouveau plan « migrants » avec le création de 12 500 places d’accueil d’ici 2019.
Outre les structures existantes (CAO, CADA) des hôtels ainsi que des logements sociaux seront réquisitionnés.
Bien sûr, tout sera fait dans les médias pour minimiser l’impact de ces nouvelles mesures.
Mais en Loir et Cher, il existe déjà 370 places en CAO et CADA, sans compter les logements sociaux et les hôtels, la réalité est vraisemblablement de l’ordre de 500 places d’hébergement.
Sachant que les « migrants » ne restent que quelques mois en CAO en attendant l’examen de leur dossier, cela signifie que plusieurs centaines de ces clandestins transitent chaque année en Loir et Cher, et comme dans 80% des cas la demande d’asile est refusée car non justifiée, ils disparaissent aussitôt dans la nature car très peu sont reconduits à la frontière.
Nous saurons probablement en septembre combien de places supplémentaires seront créées en Loir et Cher, mais un rapide calcul nous permet de penser que cela sera au minimum une soixantaine, voire davantage car les centres de la région parisienne sont saturés et le gouvernement préfère donc envoyer les « migrants » dans les campagnes…
Seul le Front National dénonce cette politique désastreuse et le laisser-faire de l’Union européenne, pour ne pas dire davantage, car les différentes organisations présentes en Méditerranée vont désormais chercher les migrants à quelques encablures de la côte Libyenne et se transforment de fait en passeurs.
S’il normal de porter assistance aux personnes entassées par des criminels sur des embarcations surchargées, inadaptées, sans vivres et sans eau potable, la logique consisterait à les reconduire à leur port d’embarquement au lieu de les transporter en Europe, ce qui ne peut qu’encourager ce trafic.
Nous vous tiendrons informés des suites de cette décision en Loir et Cher, car tout laisse à penser que les autorités choisiront la discrétion.
Mise à jour : dans le cadre du plan gouvernemental, un hôtel du Cher va être racheté pour y loger des clandestins. Lire le communiqué du FN18.
ZUP de Blois : des paroles qui jettent de l’huile sur le feu.
Violences, trafics : quel rapport avec le dialogue inter-religieux ? Réponse : pour désigner un coupable idéal, le Français moyen.
La Nouvelle République consacre aujourd’hui (28 mars 2017) une demi-page, sur 4 colonnes, à une rencontre « autour de la violence » organisée par le groupe Chrétiens et musulmans. On ne devine que 6 personnes sur la photo, mais on n’imagine que les participants n’étaient pas très nombreux.
A titre de comparaison, bien qu’il s’agisse d’un autre sujet, pour la rencontre-débat sur la santé organisée par le FN41 en présence du Dr Joëlle Mélin, le Nouvelle République nous avait répondu « nous allons annoncer le débat en présence de Joëlle Mélin mais nous ne le couvrirons pas. » Moyennant quoi nous avons eu droit à 8 petites lignes dans l’agenda.
L’histoire de la ZUP revisitée.
Le premier témoignage, d’une certaine Madeleine, commence ainsi : « J’avais 17 ans quand la ZUP de Blois a été construite. Dès que le premier trou a été creusé, les gens ont commencé à dire qu’il y aurait plein de pieds-noirs et d’Arabes, que la vie serait impossible pour les Français. »
Mémoire défaillante ou bien manipulée ?
C’est d’abord l’exode rural et l’implantation d’usines décentralisées de la région parisienne (le fameux slogan lancé par Pierre Sudreau alors Préfet de Loir et Cher invitant les industriels à « s’intaller dans la chlorophylle »), mais aussi le manque criant de logements suite au « baby-boom » de la fin de la guerre, qui ont conduit à la création d’une « zone à urbaniser en priorité » (ZUP) en 1959.
Ces logements étaient attendus par de nombreuses familles blésoises vivant dans ce qu’on qualifierait aujourd’hui de « logements indignes » dans le vieux Blois, en Vienne, sans parler de la « cité » des Allées, baraquements d’urgence construits après la guerre, mais toujours occupés au début des années 60.
Par conséquent il est faux de de prétendre que les Blésois se seraient alarmés à l’époque de l’arrivée des Pieds-Noirs (je remets la majuscule « oubliée ») et des Arabes, qui n’était pas du tout à l’ordre du jour.
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Expulsion des délinquants étrangers : nouvel exemple en Loir et Cher
(cliquez sur l’image pour agrandir)
Quinze mentions au casier judiciaire pour des vols en réunion, conduite sans permis etc… pour ce « jeune homme de 21 ans » de nationalité turque, qui vient à nouveau d’être condamné à Blois pour récidive de conduite sans permis (*) et mise en danger de la vie d’autrui (la Nouvelle République du 15/02/2017).
En attendant une nouvelle comparution en juin pour un autre délit.
De qui se moque-t-on ?
Cet individu qui séjourne depuis 7 ans en France multiplie les délits, le procureur constate « une véritable montée en puissance« . Certes il vient d’être condamné à 6 mois d’emprisonnement, mais on peut se demander pourquoi conserver ce délinquant étranger multi-récidiviste sur notre sol ?
La proposition n° 21 des 144 engagements de Marine Le Pen est sans ambiguïté sur ce point : « expulsion automatique des délinquants étrangers« .
C’est d’ailleurs une pratique courante dans de nombreux pays.
L’application de cette mesure aurait le mérite de délivrer un message clair aux délinquants. Elle devrait être soutenue également par tous les ressortissants d’origine étrangère qui ont acquis la nationalité française, et dont l’image pâtit de ce genre de comportement.
(*) ce « jeune homme » qui déclare chercher du travail roulait dans une puissante Mercèdes. Cherchez l’erreur.
Michel Chassier invité de la matinale de Plus FM mardi 24 janvier.
Michel Chassier Président du Groupe FN au conseil régional, conseiller municipal et communautaire de Blois sera l’invité de la matinale sur Plus FM mardi 24 janvier à 8 heures.
Il évoquera l’actualité locale, départementale et régionale et les prochaines échéances électorales.
Plus FM émet à Blois (89.4), à Montrichard (99.3), Romorantin (96.7), Vendôme (97.4) et enfin Lamotte-Beuvron (105,8) et Montoire (90,8).
Blois : comprendre les quartiers nord… en rencontrant les associations.
Sur le marché place Lorjou à la ZUP de BLois.
Le maire de Blois, Marc Gricourt, a accompagné le nouveau Préfet de Loir et Cher pour une visite de la ZUP de Blois, pardon, des « quartiers nord » selon l’expression consacrée.
Au nord de quoi ? Michel Chassier en avait fait la démonstration au conseil municipal lors d’un précédent mandat, rappelant que le centre commercial Kennedy, aujourd’hui rasé, était sur le même parallèle que la mairie de Blois, 47,588° N, quant à la Place de l’Europe devenue place Lorjou, elle se situe sur le même parallèle que la Préfecture, 47,59° N.
De même l’Hôpital de Blois est légèrement plus au nord que le collège Bégon, nous pourrions multiplier les exemples.
Les « quartiers nord » seraient donc plutôt les quartiers Ouest.
Anecdotique dirons certains ? Pourtant cela dénote parfaitement l’esprit de toute la communication faite autour de la « rénovation urbaine », des « quartiers sensibles » et autres « quartiers défavorisés », appelés parfois tout simplement « les quartiers », afin de masquer la cause première des désordres, de l’insécurité, des trafics et du règne des caïds : une immigration massive de populations extra-européennes devenues trop nombreuses pour être assimilées.
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Blois : vrais ou faux Syriens ?
Cet après-midi à côté du Lerclerc Drive avenue de Châteaudun plusieurs personnes nous ont signalé une « famille syrienne » avec femme et enfants faisant la manche près des feux.
Rien ne garantit qu’il s’agisse bien de réfugiés syriens, qui ne représentent en réalité qu’une faible partie du flux migratoire qui entre chaque jour l’espace « Schengen ».
Mais s’il s’agit de « demandeurs d’asile » logés, nourris et soignés, et recevant de surcroît un petit pécule pour leurs menues dépenses, on comprend mal pourquoi ils se livreraient à cette mendicité sur la voie publique.
Nous aurons peut-être davantage d’information des pouvoirs publics prochainement ?
Saint Joseph : messe de Noël sous haute surveillance. Un nouveau pas vers la dhimmitude ?
L’Eglise Saint-Joseph est située à la ZUP de Blois. Chaque année la paroisse demande la présence de la Police nationale et des équipes de Quartiers proximité (les fameux « correspondants de nuit ») afin d’assurer lé sécurité aux abords, en particulier sur les parkings.
C’est dire le climat qui règne dans le quartier, malgré les dénégations du maire et des autorités.
Cette année une lectrice se félicite, dans la Nouvelle République, qu’une dizaine de membres de la communauté musulmane soient venus avec Houari Benyagoub ( président de l’association musulmane blésoise El Djezair) pour « assurer une présence vigilante ».
Est-ce à dire que la messe de Noël ne peut désormais être dite à le ZUP de Blois que sous la protection de ce qu’il faut bien considérer comme l’embryon d’une milice communautaire musulmane ?
Le fait pour des Chrétiens de se placer ainsi sous la protection des musulmans devenus majoritaires dans certains quartiers porte un nom : la dhimmitude.
Ceux qui se réjouissent de ce « Noël fraternel » ne semblent pas l’avoir compris.
En attendant, les signes de radicalisation se multiplient à la ZUP de Blois et ailleurs dans le département. La fermeture du Crédit Agricole de la rue Michel Bégon en est un autre exemple récent.
Crédit Agricole Bégon : l’omerta continue.
La Nouvelle République revient aujourd’hui sur la fermeture de l’agence du Crédit Agricole de Blois-Bégon.
Nous en avions parlé sur notre blog le 13 décembre, en expliquant les véritables raisons de cette fermeture inattendue.
Les éléments de langage du directeur général restent très prudents : « l’intérêt de nos clients et de nos salariés a guidé nos actions tant dans le choix de fermer cette agence que dans la gestion de celle-ci. » C’est en gros ce qui disait le courrier adressé aux clients : « attachés à vous offrir un service de qualité, nous sommes contraints de procéder à la fermeture de l’agence« . Il évoque également les « comportements inacceptables de certains clients », sans plus de précisions.
Quant au maire de Blois, Marc Gricourt, il parle simplement de « problèmes que je nie pas« , sans en dire davantage.
Bref, c’est l’omerta, silence radio, la chape de plomb habituelle destinée à masquer la réalité.
Car la nature de ces « comportements inacceptables » est parfaitement établie, comme nous l’indiquions dès le 13 décembre. Il s’agissait de menaces proférées par des islamistes « agressifs avec une touche de violence » ne voulant pas être servis par des femmes.
Nous avions alors publié le témoignage d’une cliente, et une enquête rapide aurait permis au journaliste de confirmer ce témoignage.
Mais tout le monde a intérêt à cacher la vérité. On connaît le principe : pas d’amalgame !
Et le maire comme les autorités de l’Etat ne souhaitent pas que l’échec de la « politique de la Ville » et du Plan de Rénovation Urbaine soit révélé au grand jour.
Au passage Marc Gricourt précise qu’il aurait pu donner « quelques conseils sur le profil des agents de sécurité« . On aimerait en savoir plus. Mais cela rappelle l’époque de Jack Lang, quand la Ville faisait appel une certaine association pour assurer la sécurité des lieux publics comme la salle Paul-Emile Victor, ce qui ne l’a pas empêchée d’être incendiée plus tard…
L’exemple du Crédit Agricole, dont l’agence Blois-Bégon venait d’être rénovée à grand frais il y a un an est une démonstration supplémentaire.
Le problème n°1, c’est le refus grandissant d’une frange islamiste radicale de se conformer aux lois de la République et à notre façon de vivre. Il faut bien comprendre que ce n’est là que le début d’un phénomène appelé à prendre de l’ampleur tant que les flux migratoires se poursuivront.
Avez-vous remarqué dans cette affaire le silence assourdissant des représentants locaux de la droite et du centre ?
Dont le candidat s’apprête une fois de plus à trahir les Français.
Pour mettre un terme à cette dérive inacceptable, une seule solution : Marine 2017 !
Apprendre à lire aux migrants : combien ça coûte, et à qui ?
(image d’illustration)
La Nouvelle République consacre un article aux formations dispensées par l’association Alire à destination des étrangers « désireux de s’installer en France. »
En fait, on rencontre des situations diverses. Certains sont des « réfugiés » ou plutôt des « demandeurs d’asile », ce qui n’est pas tout à fait la même chose. Malgré l’assouplissement des régularisations demandé par le gouvernement, 70% des demandes sont rejetées, ce qui veut bien dire que ce ne sont pas majoritairement des réfugiés.
D’autres sont venus pour rejoindre leur conjoint français, là encore avec une part non négligeable de mariages « arrangés » par des intermédiaires qui travaillent aujourd’hui sur Internet, ou encore viennent au titre du regroupement familial.
L’origine géographique des personnes citées dans l’article montre bien que les réfugiés y sont minoritaires : pays du Maghreb, Arménie, Afrique noire (sans autre précision), Irak, Taïwan. Et ce sont des femmes qui sont majoritairement citées, contrairement à ce que nous montrent les images des hordes de « migrants » forçant les frontières de l’Europe.
Question : où sont donc passés les hommes ? Certains auraient-ils d’autres activités plus lucratives comme le montre souvent la rubrique des faits divers ?
Il est rappelé aussi que ces formations s’inscrivent dans le cadre du Contrat d’intégration républicaine (CIR), dont les signataires s’engagent à « respecter de manière effective les principes qui régissent la République française » ou encore les « les valeurs essentielles de la société française et de la République ». Est-ce à dire que le port du voile est interdit pendant les cours ? Quel est le contenu de l’instruction civique qui est dispensée ? Autant de questions qui mériteraient une réponse.
Enfin l’article n’évoque jamais une question essentielle : combien ça coûte et qui paie ?
L’association Alire vend également des formations à la Région Centre-Val de Loire (*), notamment au titre des « savoirs de base », dispositif de remise à niveau qui n’est pas sans similitudes avec ce qui se fait pour l’accueil des étrangers.
Or, ces « visas Libres savoirs » qui durent 10 à 80 heures sont facturés entre 194 et 511 € (visa trois en un de 80 heures) par stagiaire. Par déduction, on peut estimer un module de 200 heures à environ 1 200 €, soit 24 000 € pour la formation citée en exemple.
Et l’article précise que 275 formations ont été dispensées en 2016 par l’association. Pour quel coût total ?
Nous espérons – sans trop y croire – que les intéressés feront connaître les réponses.
En tout cas, nous constatons, comme avec l’exemple de Coalia à Salbris, que l’accueil des « migrants » représente un business intéressant pour certains… mais toujours aux frais du contribuable !
(*) bien que l’association Alire n’ait pas toujours été retenue en raison de notes éliminatoires dans les appels d’offres, (« offres irrégulières »)
A Chartres, le Front National présent pour une région sans migrants
Samedi 3 Décembre, à l’appel du Front National 28, nous étions présents à Chartres pour dénoncer l’accueil de nouveaux migrants dans l’Eure-et-Loir. Devant la préfecture du département, une cinquantaine de personnes (voir article de l’Echo Républicain du 3-12-2016) étaient rassemblés, avec une présence de militants et cadres du FN41 et du FN18. Ainsi après Bourges (voir article du blog du 5-11-2016), nous nous devions d’être présent pour une région Centre sans migrants.
Quand tant de nos compatriotes sont sans emplois, dans la misère sociale, le gouvernement et ses complices préfèrent utiliser l’argent et les ressources publiques au profit d’une immigration déferlante. Comme le disait un certain Michel Rocard, « la France ne peut pas accueillir toute la misère du monde »: nous n’en avons ni les moyens, ni les capacités.
Il faut défendre les nôtres avant les autres. En 2017, les Français devront le dire haut et fort avec #Marine2017.
Quelque photos de la manifestation:
Laurent Bras, Secrétaire Départemental Adjoint du FN41
Salbris : quand le maire joue sur les mots.
La réunion publique du 3 novembre n’avait pas vraiment convaincu les Salbrisiens.
Mais le « mot du maire », dans le dernier bulletin municipal (Salbris mag n°8)a de quoi les rendre encore plus perplexes.
En effet le maire y déclare que « l’augmentation du nombre de places d’accueil de demandeurs d’asile » et non pas de « la création d’un C.A.D.A. comme beaucoup le pense (sic) car cela existe à Salbris depuis 2004« .
On ne voit pas bien l’intérêt de ce subtil distingo, ce que tout le monde à compris est qu’il existait 16 places en C.A.D.A. depuis 2004 à Salbris, et que 60 places supplémentaires ont été créées dans une extension du Centre sur un nouveau site.
« Cette décision difficile prise avant l’été après obligation prononcée par les services de l’État provoque encore aujourd’hui rumeurs et bruits de couloir‘, croit-il bon d’ajouter. Mais si la décision était déjà prise avant l’été, pourquoi avoir attendu fin septembre pour l’annoncer publiquement suite à des « fuites » auxquelles notre blog a modestement contribué suite à un article publié le 23 septembre, bientôt relayé par un tract pour informer les Salbrisiens.
Et force est de constater que ce que le maire qualifie de « rumeurs et bruits de couloir » s’est avéré être la stricte vérité.
Nous attendons également de sa part une réponse sur ses relations avec l’association Coalia gestionnaire du Centre, afin de savoir si elles ont pu jouer un rôle dans le choix de Salbris.
Enfin, la question du permis de construire en vue d’une extension de la mosquée en lien avec le mouvement Mili Görus ne relève pas non plus des « bruits de couloir » et sur ce point les informations sont toujours aussi difficiles à obtenir.
Rassemblement à Chartres contre l’arrivée de nouveaux « migrants ».
Des centaines de migrants sont arrivés récemment en Eure et Loir. Comme partout ailleurs, la plupart sont des hommes seuls provenant d’Afrique subsaharienne pour des raisons économiques. Ce ne sont donc pas des réfugiés, mais des majoritairement des immigrés clandestins que les autorités vont régularisé en grand nombre, ce qui leur permettra de faire venir leurs familles.
Le FN 28 organise un rassemblement devant la Préfecture du Chartres ce samedi 3 décembre à partir de 10 heures pour exprimer le refus des Euréliens de se voir imposer ces quotas d’immigrés qui seront très vite à la charge des collectivités locales dès que les aides de l’Etat prendront fin.
Nous invitons nos amis de Loir et Cher à se joindre à se rassemblement, car toute la région est concernée.
Fermeture de DIA : la Ville de Blois a du mal à reconnaître l’échec de la « politique de la Ville ».
La Nouvelle République revient aujourd’hui sur la fermeture du supermarché DIA de la place Lorjou, à la ZUP de Blois.
Nous en avions expliqué les raisons dans un article le 16 novembre, soulignant l’échec global du PRU (Plan de Rénovation Urbaine).
Non seulement le diagnostic était mauvais, mais les choix n’ont même pas respecté les préconisations de l’étude qui avait été réalisée.
Les Blésois ont vécu la dégradation rapide de la situation à la ZUP à partir de la fin des années 80. En réponse sont apparues les premières mesures de la « Politique de la Ville », avec la création de l’association « Développement Social des Quartiers » en 1989.
Puis l’idée des première « requalifications » de l’espace urbain et de rénovation du bâti. Surprenant quand on sait que les derniers immeubles de la ZUP ont été terminés en 1979, alors qu’il y a des immeubles HLM datant de 1953 avenue Foch ou rue de Flandres.
Les élus du Front National n’ont pas cessé de répéter depuis 1995 que les causes véritables de l’insécurité grandissante à la ZUP n’étaient pas à rechercher du côté de l’urbanisme, mais qu’il s’agissait avant tout d’un problème d’intégration, ou plutôt de non-intégration d’une population immigrée extra-européenne devenue trop nombreuse pour être assimilée.
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Loir et Cher : Fillon a su faire oublier son bilan et ses mensonges.
A l’issue du 2ème tour de la primaire de la Droite et du Centre, Michel Chassier, Secrétaire départemental du Front National a publié le communiqué suivant :
« Le second tour de la primaire de la Droite et du Centre confirme les résultats de dimanche dernier, y compris en Loir et Cher.
François Fillon est parvenu à faire oublier son bilan désastreux : 600 milliards d’euros de dette supplémentaire, 1 129 000 chômeurs de plus et 1 million d’immigrés, le vote du traité des Lisbonne etc… Il n’a pas davantage de programme crédible et risque de redonner une chance à la gauche.
Nous donnons rendez-vous aux Français pour la seule primaire qui compte dans les institutions de la Vème République : le 1er tour de l’élection présidentielle« .
Nous nous sommes bien sûr gardés de toute intervention dans ce choix interne qui ne nous concernait pas, mais maintenant que le gagnant est connu, nous ne manquerons de rappeler son bilan et de souligner l’absence du moindre programme crédible.
Premier ministre de Sarközy, il en partage le bilan désastreux du quinquennat.
Il est donc comptable des 600 milliards de dette supplémentaire, de 1 129 000 chômeurs en plus, de la destruction de 450 000 emplois industriels, de 1 000 000 d’immigrés etc…
C’est lui également qui a mis en place en 2008 le calamiteux RSI (Régime Social des Indépendants) imaginé par Raffarin. C’est lui qui a supprimé la 1/2 part fiscale des veuves etc...
Sur le plan sociétal, il ne faut pas oublier qu’il a gouverné avec Roselyne Bachelot et qu’il a eu comme ministre Frédéric Mitterrand, qu’il a soutenu lors du scandale provoqué par ses confidences très particulières.
Quand il réclame que l’on parle de Clovis, il oublie que c’est son ministre Luc Châtel qui a taillé en pièces l’histoire de France et voulait supprimer son enseignement en terminale S.
Enfin au sujet de l’islam, si certains sites proches de la droite « forte » ont fait campagne contre « Ali Juppé », ils semblent avoir oublié que François Fillon inaugurait en 2010 la grande mosquée d’Argenteuil en se félicitant de la multiplication des lieux de culte musulman en France !
Qu’en pensent ses nouveaux soutiens en Loir et Cher ?
Toujours est-il que ses partisans sont restés bien silencieux vendredi dernier au conseil régional sur des sujets qui avaient été mis en « tête de gondole » pendant la campagne des primaires.
Côté programme, la suppression de 500 000 postes de fonctionnaires est un leurre et nous le mettons au défi de pouvoir s’en expliquer, il avait échoué avec Sarközy dans ce domaine, à part la réduction de postes dans la Police, la Gendarmerie et l’Armée.
Les électeurs qui se sont déplacés à l’occasion de cette primaire ont voté pour une couverture de Paris-Match. Quand les Français découvriront ce qu’il y a derrière, ils risquent d’être bien vite déçus !
Paroles de migrants : la désinformation continue.
La Fabrique, espace jeunes de la Ville de Blois, accueille une exposition de photos retraçant le parcours de six immigrés clandestins logés à Blois aux frais du contribuable au terme de leur périple.
Cette exposition prétend « vaincre les clichés » mais ne fait en réalité que reprendre une fois de plus le discours que l’on entend à longueur de journées dans tous les médias.
L’article très militant (*) de la Nouvelle République, qui n’a sur le sujet aucun recul ni aucune analyse, nous conte l’histoire de ce jeune qui « a franchi les frontières turque, bulgare, serbe, hongroise, autrichienne et allemande« … et française comme un exploit. Il faut traduire qu’il a franchi illégalement 7 frontières, et qu’en application des accords de Dublin, il devrait être reconduit sans délai en Bulgarie, premier Etat membre de l’Union où il aurait dû déposer sa demande d’asile.
Seule la faiblesse, pour ne pas dire plus, du gouvernement français lui permet de séjourner chez nous, au mépris des conventions internationales et de surcroît aux frais du contribuable.
Deuxième remarque, on nous dit que ces jeunes ont fui la guerre. Dans le cas du jeune Amir Khlaji, il a fui l’Afghanistan. Il nous semble curieux que de jeunes Afghans viennent se réfugier en France alors que de jeunes Français sont allés se faire tuer en Afghanistan pour les défendre. La remarque vaut pour d’autres zones de conflits.
De plus, le fait de quitter un pays en guerre ne donne pas le moindre droit au statut de réfugié, qui n’est accordé que dans le cas de menaces précises ou de persécutions dont le demandeur aurait été victime à titre personnel. Ce n’est pas un statut collectif, situation qui renvoie à la question des « personnes déplacées » en raison des combats.
Enfin, puisqu’il s’agit de vaincre les clichés, rappelons tout simplement le dernier constat de « Médecins du Monde » qui jette un discrédit cinglant au mythe de migrants majoritairement réfugiés. Parmi les près de 10 000 personnes interrogées par cette ONG, seuls 13,7% des migrants ont affirmé avoir fui la guerre.
Lorsqu’il sera question de subventionner l’association qui héberge cette exposition de pure propagande, nos élus ne manqueront pas de le rappeler.
(*) qui reproduit sans sourciller les propos du photographe, animateur dans une autre structure blésoise, déclarant s’engager « en réaction à tous les propos racistes sur les migrants ». Nous serions curieux de savoir qui aurait tenu de tels propos ? Encore un cliché qu’il essaie d’imposer, en accusant de racisme ceux qui s’opposent à l’arrivée massive des clandestins.
Prise en charge des « migrants » : le grand mensonge.
Interrogé au sujet de l’accueil d’une nouvelle vague de migrants par les élus du Front National le maire de Blois, Marc Gricourt (PS), avait répondu lors du conseil municipal du 19 septembre que cela ne coûterait rien aux contribuables blésois, puisque tous les frais étaient pris en charge par l’Etat.
Le 13 octobre, répondant aux questions précises du Groupe FN au conseil régional, le même Marc Gricourt, 1er vice-président, admettait implicitement un coût pour les collectivités locales : communes, intercommunalités, départements, pour ajouter aussitôt que dès lors qu’il s’agissait d’humanitaire, il était indécent de parler du coût !
L’exemple récent de Salbris, où nous sommes en train de remonter la filière du « business » des réfugiés, nous donne encore quelques arguments supplémentaires.
Et ce n’est pas fini ! Les dossiers qui passent ici ou là en CCAS nous permettent de confirmer que l’accueil de toutes ces personnes entrées pour la plupart illégalement en France représente bien une charge pour la collectivité.
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La Quinière : les habitants en colère.
Suite à l’interview complaisante de « Chefar » dans la Nouvelle République du 10 novembre, les réactions n’ont pas tardé, notamment sur la page Facebook du journal.
Réactions le plus souvent d’étonnement et de colère devant la présentation des faits, qui reprend une fois plus la technique de la « victimisation ».
Selon « Chefar », ses amis et ceux qui veulent bien relayé son message, les délinquants se transforment en victimes, ce sont les habitants du quartier qui se comporteraient mal à leur égard.
La NR en fait part dans son édition du 11 novembre : « vous avez été nombreux à réagir ou à vous indigner », avouant que de nombreux commentaires ont du être effacé car jugés comme insultants, agressifs, méprisants, offensants ou bien évidemment « racistes », pour reprendre les accusations du jeune « Chefar ».
Cela indique en tous cas l’ampleur de la vague de protestation suscitée par cet article, d’autant plus scandaleux qu’il met en cause également la Police, accusée de « jouer les cow-boys ». Là aussi, il convient de rétablir les faits.
Lorsque « Chefar » prétend avoir été délogé sans raisons par la Police alors qu’ils faisaient un barbecue, il ment. Un groupe de jeunes a bien été contrôlé en juillet-août, mais les policiers les ont laissé continuer leur barbecue.
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La Quinière : les victimes montrées du doigt !
Ce matin les habitants de la Quinière n’en croient pas leurs yeux !
L’insécurité, les dégradations, les incendies, les insultes et les menaces seraient dus au « manque de respect » et au racisme ambiant !
Mais attention, pas le manque de respect des voyous, non mais le manque de respect des honnêtes gens à l’égard des « jeunes » qui leur pourrissent la vie !
C’est ainsi qu’un certain Yacine est complaisamment interviewé par la Nouvelle République pour se plaindre du manque d’enthousiasme des habitants de la Quinière à supporter les comportements de bandes d’individus désœuvrés selon ses propres dires, mais qui seraient victimes d’un rejet, de suspicions injustifiées, uniquement parcequ’ils sont « différents » !
Une façon de retourner la situation qui montre bien le mépris de ces « jeunes » à l’égard des autres habitants du quartier.
D’ailleurs ledit Yacine préfère se faire appeler « Chefar » ce qui veut dire voleur. Simple provocation ? Il se vante d’avoir commis « de nombreux cambriolages dans le coin » sans que l’on sache s’il parle sérieusement ou non.
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Salbris : toujours des zones d’ombre sur l’accueil des « migrants ».
La réunion publique, dite d’information, de jeudi dernier n’a pas apporté les réponses attendues.
C’est pourquoi nous allons continuer à informer les Salbrisiens.
Le directeur de Coallia qui est longuement intervenu était en l’occurrence juge et partie, puisqu’il défendait son propre projet et son propre business, s’est trouvé plusieurs fois bien embarrassé, préférant éluder ou détourner certaines questions de l’assistance.
Cela n’a rien d’étonnant quand on fait quelques recherches.
D’abord sur l’insistance de Coallia pour s’installer à Salbris. Le maire prétend qu’il ne pouvait pas s’opposer. Mais depuis quand était-il vraiment au courant ?
Il faut savoir que la directrice des ressources humaines de Coallia, Anne Sophie Sauvage, a été auparavant DRH du Groupe IGS Formation Continue, dont Olivier Pavy fait partie du « conseil scientifique ». Il exerce aussi depuis 2015 une activité libérale dans le domaine de l’enseignement supérieur.
Ces relations ont-elles influé ou facilité le projet de Coallia ?
Deuxième point sur lequel il nous faut revenir, c’est sur la nature de cette association. Car si Coallia se présente bien comme une association, avec 328 « établissements », elle ressemble davantage à un groupe puisqu’elle contrôle plusieurs sociétés anonymes dans le domaine de l’immobilier.
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Rassemblement du Front National à Bourges pour défendre les nôtres avant les autres
Aujourd’hui, Samedi 5 Novembre, à l’initiative de la Fédération du FN18, nous étions rassemblés à Bourges devant la préfecture du Cher pour dire « non » à l’arrivée de nouveaux « migrants » dans ce département. Plusieurs militants des départements voisins ont fait le déplacement dont des cadres et militants du Loir-et-Cher.
En tout environ une centaine de personnes pour affirmer que le gouvernement doit défendre les Français d’abord, que la France ne peut pas accueillir toutes les populations où sévissent des guerres (vraies ou supposées), et que, surtout, cet accueil se fait toujours au détriment de notre peuple
Nous devons défendre les nôtres avant les autres !
Bien évidement nous avons eu droit aux éternels moralisateurs de tout poil de l’extrême- gauche et autre anti-faf qui ont joué la carte de la provocation en permanence, et qui avec un anti-fascisme de retard … sans doute le fait que leur logiciel de pensée est complètement obsolète … oublient que le fascisme actuellement est plutôt vert et islamiste.
Le Front National est en phase, lui, avec les Français puisque la majorité de nos concitoyens est opposée à l’accueil de nouveaux migrants dans notre pays et qu’ils veulent en finir avec l’immigration massive et incontrôlée.
Laurent Bras, Secrétaire Départemental Adjoint du FN41
Migrants à Salbris : enfumage et mépris de la démocratie.
Les Salbrisiens étaient nombreux hier soir à la réunion organisée par la mairie et les autorités.
D’emblée le maire a voulu faire taire toute contestation en déclarant « ce n’est pas une réunion politique, mais une réunion publique d’information ». Au passage il aurait fallu dans ce cas élire un bureau pour la présider…
Pour le reste, le public présent a eu droit à un discours sans surprise, avec les éléments de langage habituels, bien rodés, y compris les interventions de complices dans la salle pour se réjouir de l’arrivée des migrants.
Les premiers rangs étaient « tenus » par les services administratifs, les représentants de la Gendarmerie, de l’Education national, des services sociaux, de quelques associations gravitant autour du projet et de toute l’équipe du maire.
L’objectif était bien entendu d’éviter toute contestation.
Tout cela n’a pas convaincu et de nombreux salbrisiens faisaient part de leur déception. Quelques-uns ont toutefois osé des questions mais ils n’ont obtenu que des réponses évasives.
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Centre d’accueil des migrants : réunion publique jeudi 3 novembre à Salbris.
L’information n’a pas été relayée ce matin dans la presse locale, qui préfère consacrer une demi-page à la visite du château de Blois par des immigrés Afghans entrés en France clandestinement !
Le Front National a été le 1er à informer les Salbrisiens du projet d’un centre d’accueil de 60 places pour des migrants.
Le maire a été obligé de confirmer et d’organiser, avec le sous-préfet, une réunion d’information un peu tardive, mettant la population devant le fait accompli.
Cette réunion se tiendra jeudi 3 novembre à 19 heures salle Georges Waquet, 50 boulevard de la République, à Salbris.
Nous devons être nombreux pour exprimer notre opposition et dénoncer l’absence de concertation puisque personne n’a été consulté et que le conseil municipal n’a pas été appelé à se prononcer.
A l’issue de la réunion, nous invitons tous les adhérents et sympathisants à se retrouver pour un repas convivial dans un restaurant à proximité, en présence de nos élus régionaux Michel Chassier, Secrétaire départemental, Mathilde Paris, candidate pré-investie dans la 2ème circonscription, ainsi que Josette Mazoyer, Secrétaire de circonscription.
Inscription obligatoire : fn41@frontnational.com – réglement sur place (15 €).
Centre d’accueil de Salbris : réunion publique le 3 novembre.
Migrants : il faut traiter le problème à la source, pas à Salbris !
Le Front National a été le 1er à informer les Salbrisiens du projet d’un centre d’accueil de 60 places pour des migrants.
Le maire a été obligé de confirmer et d’organiser, avec le sous-préfet, une réunion d’information un peu tardive, mettant la population devant le fait accompli.
Cette réunion se tiendra jeudi 3 novembre à 19 heures salle Georges Waquet, 50 boulevard de la République, à Salbris.
Les Salbrisiens et les Solognots doivent venir nombreux pour poser des questions.
Le projet est d’autant plus mal accepté qu’il n’y a pas eu la moindre information ni la moindre concertation puisque personne n’a été consulté et que le conseil municipal n’a pas été appelé à se prononcer.
On note aujourd’hui dans la Nouvelle République le communiqué embarrassé co-signé par Patrice Martin-Lalande et Guillaume Peltier, se disant rassurés de « la confirmation que, contrairement à ce que chacun pouvait craindre, seuls de véritables demandeurs d’asile seront accueillis à Salbris. »
Non sans rappeler les conventions internationales qui nous obligent à »accueillir sans réserve ceux qui sont reconnus comme de vrais réfugiés politiques. »
Mais c’est bien là qu’il y a tromperie !
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Mises en avant
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Mathilde PARIS, tête de liste « Un autre avenir pour Blois » était jeudi soir l’invitée de la rédaction de @TVTOURS. Revoir la vidéo....
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