Après un mois de pause estivale, nos lecteurs se montrent fidèles au poste dès les premiers jours de la rentrée.
Ce matin nous avons déjà pu enregistrer 44 visiteurs simultanés en ligne !
Et ce n’est qu’un début, nous avons encore beaucoup d’infos à publier.
Merci à tous pour votre fidélité, et surtout n’hésitez pas à relayer nos articles sur les réseaux sociaux.
La rentrée sur le blog RN41 : départ en fléche !
Nos emplois partent en Chine, les Chinois achètent nos terres.
Philippe Loiseau à Bruxelles : un défenseur acharné de l’agriculture française.
Cette semaine une manifestation surprise de la Confédération paysanne à rappelé au grand public, souvent peu informé, mais aussi aux élus, le danger que représente la financiarisation du foncier agricole.
En l’occurrence l’achat de 1700 hectares de terres céréalières dans l’Indre par le groupe Hyongang en 2016, auxquels il faut ajouter 900 hectares achetés cette année dans l’Allier.
Une menace évidente pour les agriculteurs français qui ne peuvent pas lutter contre de tels groupes financiers, qui dans l’exemple du Berry racheté ces terres trois fois au prix du cours normal, ce qui crée une concurrence déloyale vis-à-vis des jeunes agriculteurs qui cherchent à s’installer .
Le problème c’est que depuis la loi d’avenir de 2014 pour l’agriculture, l’alimentation et la forêt, seules les cessions de 100% de parts sociales d’une société agricole doivent être notifiées aux Safer qui peuvent alors exercer leur droit de préemption. Il suffit donc aux investisseurs de se contenter dans un premier temps de 98% ou 99% pour que l’opération se fasse.
Depuis les groupes financiers, en particulier chinois, se sont engouffrés dans la brèche ouverte à dessein pour les favoriser.
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Sur le marché de Montrichard : la fin de l’illusion Macron.
En mai 2017, conditionnés par une campagne médiatique sans précédent, les Français n’ont pas osé le vrai changement.
Car ce qui leur était présenté comme un renouvellement de la politique balayant les vieux partis n’était qu’une manoeuvre, préparée de longue date, au moins après les régionales de 2015, pour contenir le mécontentement et détourner les électeurs de la seule alternative crédible : Marine Le Pen.
Aujourd’hui le masque est tombé et les Français découvrent jour après jour le vrai visage de ce petit personnage arrogant, méprisant, menteur mais au final impuissant qui se prend pour un président de la République.
Sur les marchés, comme ce matin à Montrichard, les langues se délient et l’on peut surprendre des conversations édifiantes qui en disent long sur le rejet grandissant que suscite l’imposteur.
Après la déception ressentie en 2017 par nos électeurs, l’espoir renaît, probablement bien au-delà.
Partout en Europe les faits nous donnent raison et les solutions que nous proposons depuis longtemps commencent à être appliquées, avec succès par plusieurs pays.
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Baromètre villes : Jean-Yves Narquin dépasse Anne Hidalgo sur Twitter.
Nous vous livrons cette information avec un peu de retard à cause des vacances, mais elle a déjà été relayée sur les réseaux sociaux : début août le maire de Villedieu le Château, Jean-Yves Narquin, a été classé par le site analytics « Baromètre villes », mesurant les maires les plus influents sur twitter comme n°1 en France…
Commentaire de l’intéressé : « ça parait à peine croyable, j’étais souvent dans le paquet de tête mais Anne Hidalgo semblait absolument indéboulonnable et pourtant…«
Une prouesse qui confirme l’audience du Rassemblement national sur Internet… et qui explique la volonté de censure de Macron.
Toutes nos félicitations à Jean-Yves Narquin.
C’est la rentrée politique en Loir et Cher.
Notre blog a marqué une pause au mois d’août, mais nos militants sont restés actifs sur les réseaux sociaux… et sur le terrain !
Collages et distribution de documents ont eu lieu tout l’été, notamment en Beauce et la semaine dernière dans le Blésois.
Nous reviendrons ces jours-ci sur les principaux événements locaux du mois d’août.
Le bureau départemental se réunira le 7 septembre.
Nous reviendrons aussi sur la tentative d’assassinat judiciaire du Rassemblement national et sur notre riposte.
A l’heure où partout en Europe les faits nous donnent raison, l’heure est plus que jamais au rassemblement et au combat !
Travailleurs détachés : triste record pour le Loir et Cher.
Avec 6 237 travailleurs détachés en plein mois de juillet, le Loir et Cher se classe au premier rang des départements français (la Nouvelle République du 30/07/2018).
Toujours aussi difficile à comprendre quand on sait que le département comptait fin juin 14 450 chômeurs de catégorie A et 26 870 en additionnant les catégories A, B et C.
La question de l’attractivité des métiers manuels reste donc bien posée.
On peut également faire remarquer que beaucoup de ces emplois sont saisonniers dans le secteur agricole, là encore on peur s’étonner qu’il n’y ait pas davantage d’étudiants intéressés.
Les élus du Rassemblement national sont intervenus régulièrement sur ce sujet en Région Centre-Val de Loire, mais c’est au niveau de l’Etat qu’il faudrait agir… à condition de savoir dire non à Bruxelles !
Permanence du RN 41 : les horaires du mois d’août.
Durant le mois d’août la permanence du Rassemblement national de Loir et Cher reste ouverte tous les vendredi, mais seulement le matin (8 h à 12 h).
Notre ami Robert Limelette (Bob) vous y accueillera.
Vous pouvez laisser un message au 02 54 42 12 17 ou nous contacter via notre blog (cliquez sur « contact »).
Blois : l’antenne universitaire menacée ?
A la rentrée 2018 l’Université de Tours (ex François Rabelais) ouvre de nouvelles formations informatiques à Tours… les mêmes que celles qui sont enseignées à l’antenne de Blois.
Une façon déguisée de fermer à terme le site de Blois au profit de la métropole tourangelle.
Les élus d’Agglopolys avaient adopté le 12 juillet un voeu adressé au président de l’Université pour soutenir le maintien de ses filières à Blois, voeu resté depuis sans réponse.
Le président Degruelle fait part de sa « grande déception » (la Nouvelle République du 28/07/2018), mais cela ne remettra pas en cause l’ouverture des formations concurrentes à Tours dès la rentrée.
On peut se demander dès lors quelle est l’utilité du Schéma Régional de l’Enseignement Supérieur de la Recherche et de l’Innovation (SRESRI), puisque les présidents d’université n’en tiennent pas compte, occupés par ailleurs par des projets de regroupement hors Région.
Cela démontre une fois de plus les dangers de la métropolisation au détriment des villes moyennes et des territoires ruraux, dangers régulièrement dénoncés par les élus du Rassemblement national, auxquels l’exécutif régional fait toujours la même réponse : vous avez tort de vous inquiéter, la Région entretien de bonne relations avec les métropoles… Bref la langue de bois.
Romorantin, cimetière d’Autolib.
La presse locale ne pouvait pas ignorer cette information, même si la presse nationale reste fort discrète.
Depuis la fin d’Autolib à Paris, des centaines de voitures électriques sont stockées, en attendant des jours meilleurs (?) sur un ancien site Matra à Romorantin (la Nouvelle République du 27/07/2018).
Un échec cuisant pour Vincent Bolloré, dont les liens étroit avec le monde politique a toujours favorisé les affaires.
On se souvient encore de l’épisode du yacht mis à disposition de Nicolas Sarközy après son élection en 2007, ce qui ne l’a pas empêché de soutenir le candidat Macron en 2017.
Pour revenir à Autolib, le concept de voitures électriques partagées s’est avéré un fiasco, et fausse bonne solution sur le plan écologique.
En effet, le bilan écologique de la voiture électrique est loin d’être aussi favorable qu’on essaie de nous le faire croire.
Même si elle n’émet rien au niveau local, sa production se révèle nettement plus énergivore, et donc émettrice de gaz à effet de serre, que celle d’une voiture thermique. En cause : la batterie, qui compte pour moitié dans les besoins énergétiques liés à la fabrication d’une voiture électrique.
Plusieurs reportages ont fini par briser l’omerta, et révélé les dégâts causés par l’extraction des minéraux nécessaires à leur fabrication, en Chine comme en Afrique.
Sans oublier qu’il faut produire de l’énergie électrique pour recharger les batterie.
Aux Etats-Unis, après un engouement auprès des classes aisées sensibilisées aux questions écologiques, sans pour autant maîtriser le sujet, le phénomène Tesla connaît aujourd’hui une net coup de frein, et l’entreprise perd de l’argent tous les jours et les rumeurs d’une prochaine faillite reviennent régulièrement dans les médias et sur les réseaux sociaux.
Plus près de chez nous à Orléans, la Métropole envisage de passer 30% des bus à l’électrique sur le réseau urbain.
Le gestionnaire actuel assure que ce ne serait pas gérable, après avoir fait l’expérience sur quelques bus, et menace de se désengager.
Et le millier d’Autolib stockées à Romorantin pourraient bien finir à la casse.
Il serait intéressant de connaître le bilan écologique de cette expérience…
An moment où la principale entreprise française spécialisée dans les hydroliennes arrête ses investissements un mois et demi après avoir inauguré sa première usine, il serait temps de s’intéresser aux différents projets, comme les éoliennes en mer, dont le coût exorbitant est payé par tous les Français sur leur facture d’électricité, pour finir tôt ou tard dans le cimetière des illusions perdues.
Mais à quel prix ?
Dans ce domaine comme dans d’autres Macron perpétue les pratiques de l’ancien monde, y compris la confusion des intérêts, le tout appuyé par la communication de Nicolas Hulot, dont la compétence en la matière est proche de zéro.
Croissance : la méthode Macron ne vaut pas mieux que la méthode Hollande.
Source : INSEE. On observe le regain de croissance en 2017 lorsque Hollande avait ouvert les robinets avant l’élection présidentielle, la croissance retombe en 2018 dès que Macron est obligé de les refermer. (cliquez sur l’image pour agrandir).
Après les mauvais chiffres du chômage, ce sont les mauvais chiffres de la croissance qui viennent de tomber.
Ceci explique sans doute cela : le taux de croissance reste insuffisant pour créer de l’emploi et résorber le chômage.
Autre conséquence, comme le rappelle Les Echos, l’objectif initial du gouvernement, 2% de croissance semble désormais hors de portée, les prévisions tournent plutôt autour de 1,5 à 1,6% pour l’année 2018. Cela signifie des recettes fiscales inférieures au scénario de la loi de Finances, et donc un déficit public plus élevé que prévu.
Pour corriger le tir il faut s’attendre à de nouvelles mesures d’austérité, hausses de tarif publics etc…
Mais cela revient à aggraver une des causes de cette contre-performance « liée avant tout à l’atonie permanente de la consommation des Français. » Les dépenses de consommation des ménages fléchissent légèrement » : -0,1 %, après avoir augmenté de 0,2 % au trimestre précédent.«
Il est évident que la majorité des Français a vu diminuer son pouvoir d’achat, et cela se ressent sur la consommation.
Il ne faut donc rien attendre de nouveau tant que la France poursuivra dans cette voie.
Le gouvernement évoque une croissance plus faible que prévue en Europe, mais c’est la France qui est la plus touchée, il y a donc bien un problème français.
Coïncidence, le même jour les chiffres de la croissance américaine viennent également de tomber : + 4,1% au 2ème trimestre. Conclusion : l’Union européenne ne parvient toujours pas à protéger les Etats membres, et la capitulation de Jüncker face à Trump, alors qu’il n’avait aucun mandat de négociation, ne va pas arranger les choses.
Seule Marine Le Pen propose une véritable stratégie visant à défendre les intérêts de la France et des Français, mais les électeurs ont voté pour l’illusion du changement. Ils n’ont que la continuité.
Au passage la France perd encore un rang dans le classement des grandes économies mondiales, doublée par l’Inde qui devient la 6ème puissance économique mondiale, la France recule au 7ème rang.
Macron ne s’en est pas vanté.
Chômage : mauvais chiffres pour la Région, nouvelle hausse en Loir et Cher.
Les chiffres publiés par l’INSEE il y a quelques jours l’annonçaient déjà : la situation de l’emploi ne s’améliore pas, elle continue même à se dégrader.
Même si la DIRECCTE annonce une baisse de 0,1% en Région Centre-Val de Loire (- 0,1% en France) le chiffre n’est pas très convaincant puisqu’une fois encore sur le dernier trimestre on compte en moyenne mensuelle davantage d’entrées (20 020 par mois) que de sorties (19 780), ce qui devrait logiquement se traduire par une hausse.
Quant au motif des sorties, le reprises d’emploi déclarées ne représentent que 18% (18,1% en 2017), donc aucun signe d’une évolution de la tendance générale.
Les radiations par défaut d’actualisation grimpent à 9190 en moyenne mensuelle contre 8 176 sur la même période l’an dernier.
Enfin on constate un essoufflement des entrées en stage, boostées en 2017 avant l’échéance présidentielle pour faire diminuer le chômage des jeunes, qui du coup repart à la hausse (2 000 entrées mensuelles en formation contre 2 626 en 2017).
En Loir et Cher, la hausse du chômage atteint +0,4%, dont + 4,3% pour les jeunes de moins de 25 ans.
Et pourtant de nombreuses entreprises ne parviennent pas à recruter.
Cela pose une fois plus la question de l’orientation et de la formation, mais aussi celle des rémunérations dans certaines professions victimes du dumping social encouragé par l’UE et ses relais en France.
M. Macron espère se sortir de l’affaire Benalla en prétendant qu’il travaille. Mais certainement pas dans l’intérêt de la France et des Français.
Affaire Benalla : les parlementaires de Loir et Cher entre complicité et discrétion.
Marine le Pen « castagne » Castaner à l’Assemblée.
L’affaire Benalla est emblématique du fonctionnement de l’entourage de M. Macron, touché chaque jour davantage par les affaires et les scandales.
Elle touche le coeur du pouvoir et démontre que l’actuel locataire de l’Elysée, élu à la faveur d’une manipulation sans précédent de l’opinion après une campagne dont le financement reste plus que jamais suspect, n’a pas les qualités requises pour être Président de la République.
Il est vrai qu’il était en réalité candidat à un poste de gouverneur d’une province de l’Euroland sous tutelle américaine et contrôlée par les banquiers dont il est le représentant.
Mais cette fois l’affaire prend des proportions telles que les médias qui l’ont toujours soutenus ne peuvent plus l’étouffer davantage.
Les parlementaires aussi, qui ont pourtant appelé à voté Macron à plus de 90%, sont nombreux à s’indigner et à demander une véritable enquête.
Et Marine Le Pen a prévenu : il ne faudra s’arrêter au fusible Collomb.
Ce qui surprend un peu dans ce contexte, c’est la discrétion et la modération dont font preuve les parlementaires de Loir et Cher.
Maurice Leroy déclare ce matin dans la Nouvelle République qu’il avait décidé « de ne plus participer à ce triste spectacle.«
Marc Fesneau va jusqu’à défendre Macron en justifiant son silence.
Guillaume Peltier, qu’on a connu plus virulent, reste très discret sur son compte Twitter, se contentant de relayer un tweet de Laurent Wauquiez et préfère parler d’une fête champêtre à Neung sur Beuvron.
Pas trace de réaction non plus de nos deux sénateurs.
On voit bien que cette affaire les embarrasse, mais après tout, ils avaient tous appelé à voter Macron en 2017.
Emploi salarié : l’écart se creuse en Région Centre-Val de Loire.
(source : DIRECCTE Centre-Val de Loire – cliquez sur l’image pour agrandir)
Alors que les statistiques détaillées de l’emploi vont être publiées d’ici quelques jours, une note de conjoncture de la DIRECCTE note un fléchissement de l’emploi salarié en Région, ce qui ne présage rien de bon.
On annonce déjà une hausse du chômage de +0,2% pour la Région au 2ème trimestre selon les chiffres de l’INSEE (critères du BIT).
Dans le secteur privé, la baisse est de 0,3%, alors que curieusement en cette période de rigueur l’emploi public augmente de 0,1%.
Plus grave, l’écart s’accroît entre la Région Centre-Val de Loire et la moyenne nationale : sur un an, l’emploi salarié total progresse à un rythme deux fois moindre dans la région qu’au niveau national (respectivement + 0,5 % et + 1,2 %).
Sur le long terme, l’écart est encore plus visible : en partant d’une base 100 au 4ème trimestre 2010, le niveau d’emploi salarié en France atteint globalement 103,5, et 103,6 pour l’emploi salarié privé.
Pour la région Centre-Val de Loire les chiffres sont respectivement de 99,7 et 98,7.
Cela vient confirmer le mauvais classement de la Région en terme de croissance du PIB et justifie les critiques émises par le groupe Rassemblement national au sujet des aides économiques de la Région, dont il a été question lors de la session de juin.
Avec une croissance en-deçà des prévisions la tendance risque bien de se poursuivre.
On note aussi que c’est le secteur du BTP qui est le plus touché, suivi par l’industrie, alors que le « tertiaire non marchand » se maintien. Mais il ne faut jamais oublier que le secteur « non marchand » est financé par l’économie réelle…
Au niveau national ce marasme est le résultat de la politique économique de l’UE, mais aussi des décisions du FMI de la BCe et des instances mondiales qui ont favorisé les délocalisations afin de maximiser les profits à court terme, au détriment des intérêts nationaux.
Ces politiques sont relayées scrupuleusement par nos gouvernants, qu’ils s’appellent Sarközy, Hollande ou Macron.
Quant à la Région, son action ne peut être que marginale, et la concurrence entre les territoires encouragée par une vision erronée de la décentralisation s’exerce au détriment du Centre-Val de Loire, trop proche de la mégapole parisienne.
Il serait temps de revenir à une vision nationale de l’aménagement du territoire et du développement économique, coordonné par un Etat régalien qui aurait recouvré sa souveraineté.
C’est l’objectif du Rassemblement national.
15 juillet à Blois : quand la fête dégénère.
Militaires et policiers sifflés par une foule hostile. Où est le sentiment de fierté nationale ?
A Blois comme partout la célébration de la victoire de l’équipe de France a été émaillée d’incidents.
Et il a fallu quelques jours pour que l’info ressorte sur les réseaux sociaux, la presse locale comme nationale a étouffé ces débordements ou bien les minimise.
Des vidéos montrent une voiture, peinte en bleu-blanc-rouge, retournée par la foule place de la Résistance. Curieuse manière de célébrer la victoire. Et quand les policiers arrivent sur place, ils sont pris à partie ainsi que les militaires chargés de sécuriser les place. On voit les forces de l’ordre obligées de reculer devant une foule hostile. Pour quelle raison ?
Dans le contexte de menace islamo-terroriste que nous connaissons, tous ceux qui célébrait cette victoire auraient dû au contraire applaudir nos soldats.
Tout comme Olivier Giroud qui considère que nos militaires qui risquent leur vie méritent davantage la légion d’honneur que des footballeurs ou des artistes.
Les réactions sont nombreuses sur les réseaux sociaux pour condamner ces exactions.
Mais Ozgur Eski minimise, tout comme le directeur de cabinet de Marc Gricourt qui compare à 1998.
Avec une différence notable pour ceux qui ont un peu de mémoire : il y avait beaucoup plus de monde dans les rues de Blois en 1998, ce qui prouve que beaucoup de Blésois ont renoncé à venir en famille par crainte d’incidents dans un climat de sécurité dégradé.
En 1998 on n’avait pas retourné une voiture place de la Résistance, mais la statue qui se trouvait au milieu du rond-point avait disparu, ce dont à vrai dire peu de Blésois s’étaient plaints.
Autre temps, autre moeurs.
Pression communautaire à la pataugeoire de l’Agglo : ça continue.
Comme tous les étés, les incidents se répètent à la pataugeoire de l’Agglo au parc des Mées.
Nous en avions déjà parlé en 2013 et en 2014, mais cette fois c’est la Nouvelle République qui est obligée d’en parler.
Il y est question d’une « ambiance parfois orageuse« , de la « mauvaise humeur de certains usagers« , de personnes qui entre dans l’eau en survêtement ou avec un jean retroussé.
Mais il faut bien aborder le coeur du sujet. Un surveillant explique : « l’autre jour j’ai expliqué à une femme voilée qu’elle ne pouvait pas rester dans le bassin ainsi habillée. Son mari est venu me voir pour me dire que c’était à lui qu’il fallait que je m’adresse. »
Nous pourrions ajouter que le réglement intérieur s’applique non seulement dans le bassin mais sur les plages, et une femme voilée ne devrait pas être acceptée dans l’enceinte de la pataugeoire.
Le réglement avait déjà été assoupli en 2014 et ne parlait plus que de « vêtements trop longs. »
Cette fois encore pour calmer le jeu, il est fait appel à un agent de médiation. Comme si un règlement qui touche à l’hygiène et à la sécurité pouvait faire l’objet de médiation et d’acommodements ?
Mais cela risque de ne pas suffire, comme le prouvent les jets de bouteilles durant la nuit qui ont occasionné une fermeture de la pataugeoire pendant deux jours la semaine dernière. Acte de vengeance suite à une remarque d’un surveillant ?
Comme le constate le président d’Agglopolys, Christophe Degruelle, « tout cela illustre les difficultés du bien vivre ensemble. »
Ce qui ne fait que confirmer ce que nous disons depuis longtemps : cette immigration de masse voulue par nos gouvernants depuis plus de 40 ans conduit à cette situation explosive.
Il serait temps de l’admettre et d’en tirer les conséquences.
Canton de Beauce : plus de 2000 € de dons recueillis.
L’appel de notre présidente, relayé par la Fédération et les réseaux sociaux, a été entendu.
Plusieurs adhérents nous ont contacté pour faire un don, beaucoup l’ont fait directement en ligne.
Dans le canton de Beauce, Olivier Besnard a pris l’initiative de récolter les dons pour les transmettre au siège. Plus de 2000 € ont été recueillis, ce qui est remarquable, car nos adhérents sont souvent des gens modestes, à la grande différence des donateurs de la campagne de Macron.
Au niveau national la souscription est déjà un succès, mais le Rassemblement national à encore besoin de vous.
Vous pouvez nous aider en faisant un don sur le site alertedemocratie.fr.
Et au niveau local, toutes les initiatives sont les bienvenues.
Bravo à l’équipe du canton de Beauce !
Salbris et Vendôme acceptent leur mise sous tutelle par l’Etat.
A Blois comme à la Région, les élus RN ont voté contre la mise sous tutelle.
Après Nicolas Perruchot qui s’était précipité pour signer avec l’Etat au nom du département, ce sont les villes de Salbris et de Vendôme, ainsi que l’agglomération des territoires vendômois, qui ont accepté la mise sous tutelle de leur budget, au mépris du principe constitutionnel de libre administration des collectivités.
Nous avions déjà parlé du débat à Blois, où le conseil municipal a refusé de se soumettre et à la région Centre-Val de Loire, où le président Bonneau a fini par signer, contraint et forcé.
Prochaine étape en 2020 : faudra-t-il soumettre au Préfet les programmes des candidats à l’élection municipale pour vérifier s’ils permettront de respecter cet engagement, et le cas échéant invalider les candidatures qui refusent de s’y plier ?
Le « nouveau monde » de M. Macron ressemble fort au second empire, où ce sont les Préfets qui désignaient les maires ! Et où les banquiers ont véritablement pris le pouvoir…
Face à la dictature des juges et des banquiers, soutenez le Rassemblement national.
Communiqué de Marine le Pen (8 juillet 2018)
Le système français de financement de la vie politique prévoit que, pour leur fonctionnement, les partis politiques bénéficient d’une dotation accordée en fonction du nombre de voix obtenues aux législatives. Dans ce cadre, le Rassemblement National doit toucher de l’Etat environ 4,5 millions d’euros par an sur la mandature soit 22,5 millions en cinq ans.
Le Rassemblement National devait donc recevoir ces jours-ci une première partie du versement de sa dotation 2018, avec déjà cinq mois de retard.
Le 5 juillet 2018, dans le cadre de l’affaire dite des « assistants parlementaires » (*), une affaire initiée par l’Union Européenne aux mains de nos adversaires politiques, deux juges d’instruction ont procédé à la saisie de ces sommes vitales pour le fonctionnement du parti. Cette décision est intervenue à la demande du parquet, c’est-à-dire du ministère de la Justice. Cela signe le caractère politique de l’initiative.
Cette décision de blocage de ses moyens de subsistance signifie que le Rassemblement National serait en cessation de paiement à la fin du mois d’août.
L’ordonnance des juges d’instruction s’appuie sur une violation manifeste du droit :
- Violation de la présomption d’innocence : le RN se voit appliquer une exécution de peine sans avoir été condamné ni même jugé puisque l’affaire est au stade de l’instruction. Cela est d’autant plus choquant que les faits sont contestés formellement.
- Violation du texte invoqué : les juges font application d’une disposition légale applicable au grand banditisme qui vise à confisquer le bien acquis de manière illégale (ex : bien acquis par le trafic de drogue). Or dans le cas d’espèce, il n’existe aucun lien entre la somme due par l’Etat et l’infraction supposée.
- Violation de toute proportionnalité : les juges ont décidé de saisir plus de 2 millions d’euros, qui excèdent très largement par leur montant les amendes encourues et les préjudices prétendus. Cela a été fait en pleine connaissance des conséquences vitales sur notre mouvement.
Le Rassemblement National fait face à une nouvelle et gravissime persécution financière après les refus de tout prêt par l’ensemble des banques, la clôture autoritaire des comptes bancaires du siège et de nombreuses fédérations, le retrait de ses moyens de paiement. Le pouvoir n’est pas sans savoir que le RN qui est un parti pauvre ne survivra pas à la privation de ses moyens de fonctionnement.
Marine Le Pen et tout le mouvement vont organiser la résistance à cette tentative de faire disparaître le principal parti d’opposition. Ils vont dénoncer cette situation dans l’opinion, lancer des appels aux dons auprès des Français et inviter les mouvements étrangers partenaires à la solidarité politique.
Il s’agit d’une question de vie ou de mort.
Vous tous, cadres du Rassemblement National devez être mobilisés. Organisez des conférences de presse, mobilisez au maximum les réseaux sociaux et communiquez largement autour de vous le besoin de récolter des dons notamment en allant sur le site dédié : alertedemocratie.fr !
Nous ne les laisserons pas nous faire taire.
Résistons !
(*) Il est reproché aux députés européens FN (aujourd’hui RN) d’avoir utilisé certains de leurs assistants à des tâches politiques autres que le suivi strict des travaux parlementaires. Le Front National a toujours contesté les faits. L’affaire a été montée par l’Olaf, la brigade financière aux ordres de la Commission de Bruxelles. Elle est aujourd’hui au stade de l’instruction. Cette instruction a été confiée à deux juges dont l’un appartient et l’autre est proche du Syndicat de la Magistrature, organisation d’extrême gauche qui organise des conférences avec des islamistes et les indigènes de la république, et à laquelle on doit l’affaire du mur des cons.
Conseil régional : retrouvez les interventions de vos élus.
Vos élus Rassemblement national ont été encore une fois présents dans tous les débats lors de la dernières session à Orléans, qui s’est tenue jeudi et vendredi.
Ils ont pu vous défendre et exprimer leur différence tout au long de ces deux journées, et les médias n’ont pas manqué de remarqué la qualité de nos interventions.
Retrouvez les résumés, les textes complets des interventions et les premières vidéos sur le site du groupe RN-CVL
Blois : retour sur le conseil municipal.
Le conseil municipal de Blois s’est lundi 25 juin.
Premier sujet abordé : la contractualisation avec l’Etat, dont nous avions déjà longuement parlé.
Le maire de Blois a proposé de ne pas signer ce contrat léonin, suivi par la quasi-totalité des élus, à l’exception des deux macronistes, Louis Buteau (ex PS) et Véronique Reineau (ex LR).
Dommage que Marc Gricourt, 1er président de la Région, n’ait pas la même position à Orléans.
L’examen du compte administratif fait ressortir la fragilité des marges et interroge sur l’avenir pour cette fin de mandature, en particulier pour le projet commercial Saint-Vincent, qui a peu de chances d’aboutir avant 2021.
Au sujet de la reconstruction du groupe scolaire de la Croix Chevalier, Véronique Reineau s’est réjouie d’un « renouvellement de population. »
Michel Chassier lui a répondu qu’il faudrait plutôt parler de « remplacement de la population« .
En outre il a rappelé les graves désordres constatés sur l’école Jules Ferry, inaugurée en 2011. Marc Gricourt a reconnu qu’il ne faudrait pas répéter « les mêmes erreurs« . C’est donc reconnaître, au-delà des malfaçons, une erreur de conception.
La Ville propose également aux associations une « charte culturelle ». Le problème est qu’elle s’inspire de la « déclaration de Fribourg », qui fait ouvertement la promotion d’une conception communautariste de la culture. Par exemple, toute communauté résidant sur une territoire donné, en l’occurrence le nôtre, doit pouvoir « enseigner et recevoir un enseignement dans sa langue« , y compris donc étrangère.
Ce qui va tout à fait à l’encontre d’une démarche d’intégration. Michel Chassier a rappelé l’épisode de dimanche soir ou des dizaines de ressortissants turcs ont bruyamment célébré dans les rues de Blois la victoire d’Erdogan.
Enfin les élus du Rassemblement national se sont étonnés du choix de déplacer l’aire de grand passage des « gens du voyage » près de la D951, ce qui n’est pas la meilleure image de Blois que l’on puisse offrir au touristes qui arrivent dans notre ville, y compris sur l’itinéraire de la Loire à Vélo.
Encore une fois, seuls les élus FN/RN font entendre leur différence et osent aborder les questions dont personne n’ose parler publiquement… même si certains les félicitent en privé.
Région : vos élus en session.
Vos élus régionaux siègent aujourd’hui et demain à Orléans.
De nombreux sujets sont à l’ordre du jour, dont le compte administratif 2017 et le budget supplémentaire, mais aussi sur la signature du pacte financier avec l’Etat qui revient à mettre la Région sous tutelle.
Vous pouvez suivre les interventions de vos élus sur le site de notre groupe ou sur le site de la Région, ainsi que sur les réseaux sociaux (Twitter, Facebook).
Conseil régional : conférence de presse ce matin à Orléans
Conférence de presse ce matin à Orléans. Michel Chassier, président du groupe RN-Centre Val de Loire : « Par principe, nous voterons contre la contractualisation avec l’Etat sachant qu’elle ne met pas à l’abri la collectivité d’une pénalité en cas de dépassement du plafond de ses dépenses » #RCVL #RegionCentreValdeLoire.
Nous avons déjà traité ce sujet, nous y reviendrons à l’occasion de la prochaine session qui débute jeudi matin à 9 h 30 à Orléans.
Voir notre communiqué de presse du 21/06 et notre article du 23/06.
Michel Chassier est également intervenu hier soir au Conseil municipal de Blois sur ce sujet (la Nouvelle République du 26/06).
Le site du groupe Rassemblement national Centre-Val de Loire est en ligne.
Suite au changement de nom, nous avons dû procéder au changement du nom de domaine du site de notre groupe régional, c’est pourquoi il a été indisponible durant quelques jours.
Il est désormais accessible avec tout son contenu à la nouvelle adresse http://rn-regioncentre.fr/, le lien permanent se trouve sur la colonne de droite de notre page d’accueil.
Vous pourrez y suivre la session plénière des 28 et 29 juin et les interventions de nos élus.
Blois : les partisans d’Erdogan fêtent bruyamment leur victoire.
Les partisans du président turc Reycip Erdogan ont manifesté bruyamment au centre-ville de Blois hier soir pour fêter la victoire de leur candidat.
Ils ont commencé à se rassembler au pied de l’escalier Denis Papin avant de défiler en voiture dans le center-ville à grand renfort de klaxon, en agitant les drapeaux turcs. A minuit la fête durait encore, au grand dam des riverains.
Ce genre de manifestation démontre une fois de plus un comportement communautaire qui est tout le contraire d’une volonté d’intégration.
Imagineriez-vous des Français célébrer la victoire de leur candidat dans les rue d’Ankara ou d’Istanbul ?
Cela démontre également à quel point le parti d’Erdogan est présent et organisé en France, contrôlant des associations, des syndicats et des mosquées.
Tout cela est pour le moins inquiétant.
Déjà samedi après-midi c’est un cortège de mariage qui roulait à contre-sens dans une rue centre-ville. La Nouvelle République qui signale l’incident ne précise pas toutefois de qui il s’agit. Peut-être des Suédois ?
Vos élus Rassemblement national au travail.
Voici les dossiers qui seront examinés mors de la prochaine session plénière à la Région !
La fin du mois de juin est traditionnellement chargée pour les élus locaux : c’est l’heure du vote des comptes administratifs, autrement dit le bilan de l’année écoulée, en plus des délibérations habituelles.
Et cette année pour le collectivités les plus importantes il faudra aussi trancher la question de la contractualisation budgétaire imposée par le gouvernement : la signer ou pas. En Loir et Cher cela concerne le Département et la Ville de Blois.
Et contrairement à ce que tentent de vous faire croire trop souvent les médias nationaux, les élus du Rassemblement national travaillent sérieusement et sont bien présents dans les assemblées.
Ce sera le cas lundi soir à Blois, mardi 26 à Mer, mecredi 27 à Romorantin, jeudi 28 à la Communauté de communes beauce-Val de Loire, etc…
Et le Conseil régional, après la commission permanente du 22 juin se réunit en session plénière sur deux jours, les 28 et 29 juin.
Vos élus travaillent déjà sur les dossiers, reçu parfois tardivement dans certaines communes (le délai réglementaire est de 5 jours francs).
Rappelons que toutes ces réunions sont publiques et que vous pouvez y assister.
Mises en avant
Mathilde Paris invitée de la rédaction sur TVTours
Mathilde PARIS, tête de liste « Un autre avenir pour Blois » était jeudi soir l’invitée de la rédaction de @TVTOURS. Revoir la vidéo....
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