Les élus du groupe RN n’ont pas l’intention de se taire !
Vendredi dernier lors de la Commission permanente du Conseil régional, certains élus de la majorité ont estimé que le Rassemblement national parlait trop !
C’est tout de même la moindre des choses dans une assemblée délibérative, qui vote chaque mois plusieurs dizaines dizaines de millions d’euros de dépenses.
Il est logique que nos élus jour leur rôle de contrôle et de critique, en présentant également des amendements.
Mais cela semble trop pour certains, qui voudraient sans doute nous voir réduits au silence.
Tribune de Michel Chassier, Président du Groupe RN au conseil régional Centre-Val de Loire.
« La Commission permanente du Conseil régional se réunit tous les mois pour délibérer sur les affaires que lui a déléguées le conseil. En pratique elle peut délibérer sur tous les sujets, hormis le vote du budget et compte administratif.
C’est dire son importance, puisqu’elle vote à chaque fois plusieurs dizaines de millions d’euros de dépenses : transport, lycées, aménagement du territoire, développement économique, agriculture, formation professionnelle, subventions diverses…
Mais la Commission permanente se réunit à huis clos, c’est-à-dire que le public comme la presse ne sont pas admis. Notre groupe Rassemblement National y est représenté par 5 élus sur 25. Les seuls qui refusent d’y voir une chambre d’enregistrement. C’est pourquoi ils interviennent régulièrement pour expliquer leur position, surtout lorsqu’ils ne sont pas d’accord ou que leurs avis sont caricaturés. »
Voir le texte complet sur le site du groupe RN Centre-Val de Loire.
Conseil régional : les élus du Rassemblement national n’ont pas l’intention de se taire !
Le Rassemblement national défend le droit des femmes à Blois et à la Région.
Partout en France le Rassemblement national avait organisé des actions le 8 mars, pour la Journée Internationale des Femmes (officialisée en 1977 par l’ONU).
Mathilde Paris, conseillère régionale de Loir et Cher, conseillère municipale et communautaire de Blois et membre du Bureau national, avait transmis un communiqué à la presse locale… qui n’ a pas été publié, la Nouvelle République préférant relayer les positions de la CGT et des détenus (masculins) de la maison d’arrêt.
Vous en retrouver l’intégralité en téléchargeant le document pdf : Communiqué Journée des Femmes Mathilde Paris.
L’élue RN y insiste sur le recul du droit des femmes, très net dans certains quartiers, et Blois n’échappe pas à la règle : on se souvient de l’épisode de cette jeune serveuse interpellée par deux hommes square Augustin Thierry, qui lui reprochaient d’être en jupe, un « manque de respect » selon eux. Et cela se passait en centre-ville, intutile que dans d’autres quartiers la pression est encore plus forte.
Le même jour en Commission permanente au Conseil régional, Michel Chassier a d’abord demandé que symboliquement la séance soit présidée par une femme. Marc Gricourt n’a pas pu accéder à cette demande, car il avait lui-même reçu délégation du Président de Région, délégation qu’il ne pouvait pas transmettre.
Ensuite à l’occasion d’une subvention au collectif In Situ, Mathilde Paris est intervenue pour rappeler à nouveau les menaces sur le droit des femmes du fait de l’islamisation, un phénomène que les différents partenaires -subventionnés – de la Journée des Droits de la Femme refusent de souligner, bien-pensance oblige.
Une intervention courageuse, calme et argumenté, qui a laissé sans voix les élus des différents bords.
Y compris Guillaume Peltier, qui n’a pas prononcé un mot tout au long de cette commission.
Qui ne dit mot consent, dit l’adage populaire.
Conseil municipal de Blois : calendrier chargé pour la dernière année du mandat.
Ambiance particulière hier soir au conseil municipal de Blois, où de futurs candidats viennent se montrer dans les rangs du public, et qui a débuté par une déclaration de Marc Gricourt au sujet de l’élu communiste accusé de viols, Alexis Bouchou qui était absent hier soir. Tout en rappelant la présomption d’innocence, le maire va recevoir l’élu cette semaine, mais nous ne connaissons pas ses intentions.
A notre que la presse locale, comme libérée par cette déclaration publique, publie l’information ce matin, deux jours après que notre blog ait relayé l’article de l’Obs. Comme quoi les réseaux sociaux ont leur utilité.
Ensuite il a été procédé à l’installation d’un nouveau conseiller municipal, Louison Delvert (UDI) en remplacement de Catherine Fétilleux, démissionnaire. Désormais, LR n’a plus qu’un seul représentant au conseil municipal, Jacques Chauvin.
41 délibérations figuraient à l’ordre du jour, et les élus du groupe RN-Une autre voie pour Blois sont intervenus sur plusieurs dossiers.
Espaces verts et insertion sociale : le RN avait déjà souligné la médiocre qualité des prestations du titulaire actuel, cette fois c’est la Ville lors du renouvellement qui a jugé l’offre insuffisante. Le marché doit être renégocié, mais nous demandons, comme il est rappelé dans le rapport que l’obligation de résultat soit respectée.
Décision modificative n°1 au budget principal : 2 millions d’euros d’emprunt supplémentaire, même si au final il ne sera pas appelé, pour financer 1 million d’euros d’opérations nouvelles, cela peut sembler étonnant. Intervenant sur le sujet Michel Chassier s’est félicité des travaux sur la voirie, tout en regrettant que cela reste insuffisant en raison du retard qui a été pris. CM 2019-03-04 – Maison de Bégon.
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Conseil régional : le Rassemblement national vous défend.
Deux grands sujets lors de la dernière session du Conseil Régional Centre-Val de Loire : la mobilité et la transition énergétique.
Sur le premier dossier, le projet d’une baisse du tarif des abonnements TER a été approuvé à l’unanimité, les élus RN qui sont intervenus ont insisté sur les retards trop fréquents, sur la sécurité dans les transports en commun, sur la fraude, sur les transports scolaires en proposant des améliorations, sur l’offre de transport à destination des touristes etc…
Sue la transition énergétique, le RN a été le seul a émettre des critiques et à porter un regard plus général. Le groupe UDC s’est engouffré dans le discours conventionnel sur un sujet que beaucoup d’élus ne semblent pas vraiment maîtriser.
Devant les nombreuses insuffisances dans l’analyse et en désaccord avec plusieurs des orientations choisies par la Région, le groupe RN a été le seul à ne pas votre le rapport.
Vous pouvez retrouver le texte et les vidéos de toutes nos interventions sur le site du groupe Rassemblement national CVL.
En fin de session, Michel Chassier a défendu un voeu demandant au gouvernement l’abandon définitif des hausses de la taxe carbone prévues entre 2019 et 2022. La gauche a voté contre, le groupe de Guillaume Peltier s’est abstenu…
Conseil régional : vos élus en session le 28 février.
Vos élus régionaux siègent le 28 février à Orléans pour une session qui débute à 9 heures et se tiendra sur une journée.
A l’ordre du jour un rapport sur la transition énergétique, un rapport sur les mobilités et une communication sur la formation.
Vos interviendront comme d’habitude sur tous les sujets, Michel Chassier sur la transition énergétique et Mathilde Paris sur les mobilités.
Nous vous rappelons que les sessions sont publiques (il suffit de présenter une pièce d’identité), elles sont aussi retransmises en direct sur le site de la Région, vous pouvez aussi nous suivre sur le site du groupe RN centre-Val de Loire, mais également sur Twitter.
Vous pouvez aussi revoir les vidéos de nos élus sur Youtube.
Nouveaux tags « antisémites » à Blois : la piste de l’extrême-gauche ?
Manifestation pro-palestinienne à Blois (image d’archive). Le mouvement a-t-il dérivé vers l’antisémitisme sous l’influence des islamistes ?
La Nouvelle République annonçait dans son édition du 21 février que « des tags à l’encontre du président de la République et des inscriptions à caractère antisémite » avaient été découvert la veille sur un abribus près du Lycée Camille Claudel.
France 3 Centre Val de Loire nous en apprend un peu plus.
A côté des inscriptions « Adolf Macron » et « Emmanuel Hitler », plusieurs croix gammées ont été taguées.
Le Préfet de Loir et Cher s’en indigne : « il est complètement intolérable de faire de telles assimilations et de se revendiquer d’une idéologie qui a tué six millions de juifs. On est à l’opposé de nos valeurs«
Si nous partageons cette condamnation, d’autant plus que nous avons trop souvent été victimes de tels agissements, sans que cela choque la classe politique ni les autorités, l’interprétation du Préfet a tout de même de quoi surprendre.
En effet, les auteurs de ces inscriptions ne se revendiquent pas de l’idéologie nazie, au contraire ils comparent M. Macron au dictateur nazi, sans doute en raison de son comportement autoritaire et méprisant.
Il est bien évident que cette comparaison est déplacée et injurieuse, mais c’est bien parce que de telles assimilations ont été trop longtemps tolérées lorsque nous étions victimes qu’elles ont été banalisées.
Et qu’on le veuille ou non, elles sont le fait de l’extrême-gauche, relayée aujourd’hui par les islamistes.
Michel Chassier, délégué départemental du Rassemblement national, a écrit au Préfet pour lui demander que l’enquête en cours soit élargie aux actes similaires qui ont visé plusieurs fois notre permanence à Blois.
Dans un cas comme dans l’autre, ces agissements portent en effet la même marque.
Ce qui n’empêche pas aujourd’hui encore Magcentre de pointer du doigt le mouvement des « Gilets jaunes ».
Rappelons qu’aucun des actes antisémites récents : cimetières profanés, boîtes à lettres taguées de croix gammées recouvrant le visage de Simone Veil, inscription « Juden » sur un commerce, agression d’Alain Finkelkraut, n’a le moindre rapport avec le mouvement.
Ce qu’ont bien compris Finkelkraut lui-même, qui le dit haut et fort, mais aussi des personnes comme Pierre Weil, qui dénonce la manifestation de mardi comme une « mascarade », ou encore Gilles-William Goldnadel.
La gauche qui est à l’origine de ces manifestations et les partis politiques qui se sont associés refusent de voir l’origine de ce nouvel antisémitisme, pire, ils feignent d’y voir une résurgence des années 30, tout en essayant d’y associer le mouvement des Gilets jaunes pour le salir.
De tels amalgames sont scandaleux et nous espérons au moins que localement les coupables seront retrouvés. Et nous verrons si leur identité sera dévoilée ainsi que leurs motivations.
La Région Centre-Val de Loire au secours des « migrants » : seul le Rassemblement national ose dire non !
Les élus du Rassemblement national préparent la Commission permanente.
Seulement 48 rapports ce matin à la commission permanente du conseil régional Centre-Val de Loire, bouclée en un peu plus d’une heure.
Les élus du groupe Rassemblement national sont intervenus sur plusieurs dossiers : développement économique, lycées, aménagement du territoire, enseignement supérieur, coopération décentralisée, formation professionnelle.
Mais il y avait un dossier sensible et hautement symbolique : l’adhésion de la Région à une association de soutien aux « migrants », ANVITA, présidée par le maire (EELV) de Grande-Synthe.
Michel Chassier a dénoncé une démarche politique puisque l’association a pour but de » soutenir, accompagner, impulser, organiser des actions de soutien aux migrants avec les acteurs dans leur grande diversité « .
L’élu RN souligne également que l’emploi du terme de « migrants », volontairement flou, vise à nous faire accepter l’immigration clandestine, puisque le terme de « migrant » peut désigner en Europe toute personne qui a franchi nos frontières, et souvent même plusieurs frontières, légalement ou non, et qui prétend y résider.
Il dénonce « la nébuleuse de structures qui permet de relayer l’action politique de partis, souvent en manque d’électeurs, qui trouvent ainsi le moyen de faire vivre un certain nombre de permanents politiques, financés par l’argent public. »
Et bien évidemment le groupe RN a voté résolument contre cette adhésion.
Lire le communiqué sur le site du groupe RN Centre Val de Loire.
Nous attendions une réaction de Guillaume Peltier, chantre de la « droite forte », sur ce sujet. Mais ce fut le silence radio, d’ailleurs le président du groupe UDC (Union de la Droite et du Centre) n’est pas intervenu une seule fois durant cette commission permanente.
Tout juste s’est-il abstenu à titre personnel sur ce dossier sensible, son groupe ayant une fois plus voté tous les rapports avec la majorité.
Blois : la droite et le centre en ordre dispersé pour les municipales.
Vos élus blésois du Rassemblement national. La seule opposition unie et constructive capable de préparer une alternance en 2020.
Comme en 2014 la droite blésoise risque de partir en ordre dispersé pour les municipales de 2020.
Aucun véritable leader ne parvenant à s’imposer, les candidatures se multiplient.
Après le centriste Franck Prêtre, l’UDI Anis Sabri-Lebaron, c’est au tour de LR de désigner sa tête de liste, Malik Benakcha.
On ne connaît pas encore les intentions de Christelle Ferré, mais à coup sûr il y aura une liste LREM-MoDem.
Peut-être aussi une liste d’extrême-gauche.
Cela commence à faire beaucoup et le maire sortant, Marc Gricourt, ne peut que s’en réjouir s’il parvient à maintenir l’unité de sa majorité (PS, PC, EELV, MRG, Génération.s) dès le premier tour.
Et que fera l’opposant (?) « historique » Jacques Chauvin ? Acceptera-t-il de disparaître définitivement de la vie politique locale ? Pas certain non plus.
Il était parvenu à faire élire 5 représentants de sa liste d’union au second tour en 2014, mais depuis, il est pratiquement seul. Christelle Ferré a quitté le groupe, Jean-Luc Malherbe (MoDem) soutient régulièrement la majorité municipale, tout comme Véronique Reineau, désormais LREM. Quant à Catherine Fétilleux, elle ne siège plus depuis plusieurs mois, autant dire que Jacques Chauvin est désormais totalement isolé.
Le seul groupe d’opposition constructive c’est celui du Rassemblement national, fort de 4 élus qui sont resté fidèles à leurs engagements.
La conclusion s’impose par conséquent pour 2020 : une fois encore nous devons être le fer de lance de cette campagne.
Une première réunion de travail s’est tenue le 26 janvier, d’autres vont suivre rapidement pour fixer le calendrier, réfléchir sur les grands axes de compagne, lancer une grande consultation des Blésois.
Une chose est sûre, nous serons bien présent dans cette bataille pour l’avenir de Blois, nous vous tiendrons informés très prochainement.
Européennes 2019 : rendre le pouvoir au peuple !
Alors que le pouvoir s’enlise dans la crise, le Rassemblement national tenait aujourd’hui sa convention de lancement pour les européennes du 26 mai 2019.
En effet, ce sera pour les Français – à moins d’une dissolution d’ici là – la première occasion de s’exprimer deux ans après l’élection de Macron, au moment où dans toute l’Europe les peuples se réveillent pour secouer le joug de cette Union européenne qui est tout sauf démocratique.
Ce scrutin européen sera donc plus important que jamais à plus d’un titre.
D’abord c’est la première fois que la majorité qui dirige l’UE, sur la base d’un accord entre socialistes et libéraux, peut être remise en cause et que nous représenterons avec nos alliés une force politique suffisamment puissante pour faire aboutir une réforme des institutions européenne, mettant fin à la toute-puissance de la Commission pour transformer l’UE en Alliance des Nations, respectant la souveraineté et la liberté de chacun des Etats membres.
Ensuite, ce sera l’occasion d’achever le processus de la recomposition politique française, avec l’éclatement des LR après celui du PS.
Le ralliement de personnalités comme Thierry Mariani et Jean-Paul Garraud, alors que Juppé rejoint Macron, ne fera qu’accélérer le chute de Wauquiez, ce qui annonce un large rassemblement de ceux qui défendent l’Etat-Nation face aux mondialistes qui ne sont en réalité que le relais des groupes trans-nationaux et du système financier qui les soutient, au détriment des peuples.
Enfin c’est une des réponses à la crise des « Gilets jaunes ». Beaucoup l’ont déjà compris : les revendications qui s’expriment spontanément sur les ronds-points, dans les manifestations ou sur les réseaux sociaux correspondent très largement aux propositions que nous défendons depuis des années. C’est pourquoi Marine progresse dans l’opinion et dans les intentions de vote.
C’est donc une campagne importante qui débute aujourd’hui, au cours de laquelle nous devons mettre toute nos forces dans la bataille.
Les premières affiches arrivent cette semaine. La campagne commence dans les médias et sur le Net.
Marine Le Pen tiendra 25 meetings à travers toutes le France, dont un en Région Centre-Val de Loire.
Toutes les précisions ont été apportées lors du Conseil national de ce matin, auquel participait Michel Chassier en tant que Délégué Départemental et Mathilde Paris comme membre du Bureau national.
Concluant comme Jordan Bardelle, notre tête de liste : « Le soir du dimanche 26 mai, je veux que Castaner ait les larmes aux yeux en voyant les résultats arriver, que Griveaux cherche ses mots sur les plateaux, que Macron, Juncker et Merkel comprennent que c’est fini et que les peuples sont de retour !«
Réunion du bureau départemental du RN41.
Le bureau départemental du Rassemblement national de Loir et Cher s’est réuni pour la 1ère fois cette année le lundi 7 janvier.
Après un hommage à Solange Baubeau qui nous a quitté, Michel Chassier, Délégué départemental a fait le compte-rendu de la réunion des DD à Nanterre le 15 décembre dernier : fonctionnement et organisation des fédérations, relations avec le siège, nouveaux outils de gestion décentralisés, préparation des échéances électorales.
Ensuite un premier point a été fait sur la préparation des municipales, une première demande d’investiture de tête de liste va être envoyée avant le 15 janvier, date de la 1ère Commission Nationale d’Investiture.
Une réunion va être organisée à Blois le 26 janvier pour mettre en place une équipe, réfléchir sur les thématiques locales, lancer les premières actions.
Puis Mathilde Paris a fait un compte-rendu du Bureau national qui se tenait le jour même, avec le communiqué officiel de Marine Le Pen demandant la dissolution de l’ Assemblée Nationale, et la désignation de Jordan Bardella comme tête de liste pour les élections européennes.
Le lancement de la campagne a lieu ce dimanche 13 janvier à Paris au Palais de la Mutualité, un co-voiturage est organisé. 24 meetings régionaux doivent suivre, dont un en Région Centre-Val de Loire.
Au niveau départemental la traditionnelle galette des Rois au ra lieu le dimanche 3 février à Blois, avec Sébastien Chenu.
Au cours des différents échanges il a été question également des adhésions, des actions locales, notamment du mouvement des gilets jaunes auquel plusieurs de nos adhérents participent depuis le départ en respectant les consignes nationales : pas de violence, pas d’affichage politique.
La réunion s’est terminée autour du verre de l’amitié.
Blois perd des habitants… mais gagne des immigrés !
La Nouvelle République publiait le 28 décembre les premiers résultats du recensement INSEE correspondant aux chiffres de 2016.
Au niveau départemental on constate une légère progression (0,45% !) mais avec des contrastes marqués.
Comme le faisait remarquer Michel Chassier au conseil régional lors du débat sur le SRADDET : nous assistons avec la métropolisation a un phénomène de reconcentration urbaine, encouragé par les politiques publiques au nom de l’écologie !
En même temps, les campagnes et les villes moyennes se dépeuplent, à de rares exceptions près, seules les zones périurbaines voient leur population augmenter, dans des proportions variables en raison des contraintes du foncier.
La ville de Blois perd encore des habitants, 703 par rapport à 2011 mais presque 3 500 depuis 1999, soit une baisse de 7%.
Les raisons de cet exode sont multiples : recherche d’emploi, taxes foncières et terrains à construire trop chers, mais aussi, comme le rappelait l’élu RN dans son intervention « une immigration massive et incontrôlée de populations devenues trop nombreuses pour s’intégrer et s’adapter à notre mode de vie, provoquant en exode des Français dits « de souche » vers la périphérie des villes.«
Et si l’on examine de près les derniers chiffres détaillés de l’INSEE (ils datent de 2015), le constat est flagrant.
En 2015, Blois comptait 7 264 immigrés stricto sensu (étrangers + immigrés naturalisés), soit 16,38% de la population municipale, en hausse de + 733 par rapport à 2008.
Mais cela ne rend pas bien compte de la réalité. Car les enfants nés en France, y compris d’étrangers, voire de clandestins, sont automatiquement français !
On peur le constater sur le tableau de l’INSEE, où les « immigrés de moins de 15 ans » ne sont que 452, soit 6,22% de population immigrée, contre 18,01% pour l’ensemble de la population. Alors que les immigrés ont une natalité supérieure. L’explication est simple : tous ceux qui naissent en France sont considérés comme français, ce qui permet de masquer l’ampleur du phénomène.
C’est pourquoi au niveau national l’INSEE distingue les immigrés (8,44 millions en 2012) et les « descendants directs d’immigrés », 8,69 millions la même année.
En extrapolant ces chiffres sur le ville de Blois, nous obtiendrions 7 486 descendants directs, soit au total une population immigrée récente, majoritairement venue du sud de la Méditerranée, qui atteint 14 787 Blésois, autrement 32,35% de la population, environ un habitant sur trois.
Il suffit d’ailleurs d’aller voir à la sortie des écoles pour vérifier l’ampleur de cette vague d’immigration, qui constitue bel et bien le remplacement d’une population par une autre.
Il y a longtemps que nous alertons, que nos adversaires essaient de nier le phénomène, mais c’est bien une réalité qui ne sera pas sans conséquences graves si cela continue dans le même sens.
Conseil régional : Guillaume Peltier fait semblant de croire au Père Noël !
Michel Chassier face à Guillaume Peltier lors d’un débat en 2015. Le député de Sologne vient de perdre son titre de « chef de l’opposition » à la Région. Il a choisi de sauver le soldat Bonneau.
Deux élus ayant quitté sa majorité, François Bonneau pouvait craindre d’être mis en minorité au conseil régional et ne pas pouvoir faire adopter son budget…
Il aurait suffit que les deux élus « en Marche » s’abstiennent, et que le groupe UDC vote contre pour que le budget soit rejeté.
Mais Guillaume Peltier a préféré s’abstenir, ce qui revient à sauver le soldat Bonneau.
Pour justifier sa position, le président du groupe UDC a probablement négocié avec François Bonneau l’adoption par l’assemblée des deux amendements, dont il se vante en prétendant avoir obtenu « un vrai succès pour le pouvoir d’achat » !
Il a d’abord fait adopté sa proposition de « chèque – carburant », mais cela ne ne changera strictement rien pour les habitants du Centre puisqu’il s’agit d’un simple voeu adressé à l’Assemblée nationale, qui a déjà repoussé cette demande. En fait, c’est une simple lettre au Père Noël !
Et la majorité socialiste, qui avait repoussé le même voeu lors de la session d’octobre, a choisi de l’approuver dans les mêmes termes. Vous avez dit bizarre ?
Ensuite il se vante d’avoir obtenu un « moratoire fiscal » qui n’apportera aucun gain de pouvoir d’achat puisque la Région maintient la Région applique déjà le taux maximum pour la TICPE Grenelle (taxe sur les carburants), et qu’aucune hausse n’était prévue au budget sur les cartes grises, déjà à un niveau très élevé. Le président Bonneau pouvait donc bien accepter cet amendement sans aucune portée.
En réalité Guillaume Peltier n’a rien obtenu mais il volé au secours de la majorité socialiste. Le Rassemblement national a refusé de s’associer à cette mascarade, il a voté contre un budget qui ne répond pas aux attentes exprimées par nos concitoyens.
Oui, il y a des élus qui respectent leurs électeurs et défendent l’intérêt général !
A l’occasion d’un point-presse pour la mi-mandat, Michel Chassier, président du groupe RN Centre-Val de Loire, accompagné de Nadine Boisgerault, élue du Loiret a rendu compte de l’action de nos élus depuis leur élection.
« Il y a 3 ans, 308 432 électeurs de la Région Centre-Val de Loire nous ont fait confiance pour les représenter.
Aujourd’hui plus que jamais les Français manifestent un rejet de la classe politique, exacerbé par le mépris de l’exécutif.
Ils ont l’impression tout à fait justifiée de ne pas être écoutés ni représentés par des élus qui ne comprennent pas leurs difficultés et dont les projets sont à cent lieues de leurs préoccupations. »
La suite sur le site du groupe RN-CVL, une vidéo sera prochainement mise en ligne.
En complément, rappelons que nos élus appartiennent à la société civile : employés, professions indépendantes, artisans, agriculteur, infirmière, cadres, retraités du public et du privé…
Ils doivent parfois concilier les contraintes de leur activité professionnelle avec les exigences de leur mandat, ce qui demande un véritable engagement. Nous sommes loin de ces professionnels de la politique qui ne songent qu’à leur carrière, quitte à se renier et à tromper leurs électeurs.
Vos élus au Conseil d’Agglopolys.
Ce soir se tenait le dernier conseil communautaire d’Agglopolys pour 2018.
Quelques ajustements budgétaires de fin d’année ont été adoptés, ainsi que les tarifs pour 2019 pour les bibliothèques de l’Agglo, sans changement.
Pas de changement non plus pour le tarif de séjour dans aires d’accueil pour les gens du voyage, mais Michel Chassier s’est tout de même étonné de la faiblesse des recettes par rapport aux dépenses. A 1,60 € par jour pour un emplacement de deux caravanes, c’est en effet très loin de couvrir les frais.
Mais il semblerait que ce soit difficile de demander davantage…
Blois : des orientations budgétaires floues.
Le débat sur les orientations budgétaires a pour but de présenter une perspectives pour les prochaines années.
Comment vont évoluer les recettes, quelles dépenses sont maîtrisables, quels sont les investissements nécessaires pour le quotidien des Blésois, mais aussi pour préparer l’avenir ? (la Nouvelle République du 27/11/2018).
C’est assez difficile d’y répondre cette année, car il est impossible aujourd’hui de savoir comment le gouvernement va compenser la taxe d’habitation.
Même dans l’hypothèse où la Ville conserverait une recette équivalente, les projections en 2024 sont inquiétantes avec une épargne nette négative, et un endettement qui n’est maintenu sous la barre de dix ans qu’en diminuant de moitié les dépenses d’investissement, au point de compromettre l’entretien du patrimoine (voirie, écoles, bâtiments communaux, équipements sportifs).
On ne voit pas bien comme Marc Gricourt pourra faire campagne dans une telle perspective, en répétant encore comme hier soir que son équipe a un projet pour la ville. ( Télécharger l’intervention de Michel Chassier : CM 26-11-2018 – ROB 2019.)
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Conseil régional : le Rassemblement national seul à s’opposer à des subventions injustifiées.
La Région préfère aider les prostituées de Sikasso, au Mali, que les sinistrés de l’Aude.
Les élus du groupe Rassemblement National au conseil régional Centre-Val de Loire continuent de réaffirmer leur voix et à s’opposer aux dépenses superflues décidées par la majorité socialiste du Président Bonneau pour cette dernière commission de l’année avant le vote du budget 2019 en décembre.
Nos élus se sont ainsi prononcés contre des projets de coopération décentralisée et contre le déplacement à Bruxelles de l’exécutif afin de présenter la position de la Région sur la réforme de la Politique Agricole Commune, une prérogative qui relève de l’Etat. Comment pourrait-on imaginer que chaque région essaie de se défendre seule contre Bruxelles ? Le groupe UDC de Guillaume Peltier a voté pour.
Notre groupe a fermement refusé une aide humanitaire « urgente » de 12000€ attribuée à Sida Solidarité Afrique en faveur des détenus et des prostituées de la région de Sikasso, contestant le caractère d’urgence, alors que dans le même temps aucune aide d’urgence n’a été décidée pour les sinistrés des inondations de l’Aude ! Le groupe de Guillaume Peltier n’a rien trouvé à redire.
Le Président du Groupe Michel Chassier est également intervenu pour déplorer l’approbation de projets financés quasi-exclusivement à 100% par des subventions publiques, à effet rétroactif, en critiquant l’usage de l’écriture inclusive. Le groupe de Guillaume Peltier n’a rien trouvé à redire.
Mais également pour refuser que la Région subventionne le fonctionnement d’organisations syndicales qu’elles soient salariales ou patronales. C’est le seul point sur lequel nous avons été suivis par le groupe UDC.
Enfin, nos élus s’élèvent contre toute promotion du communautarisme de quartier ou tout soutien à des associations non gouvernementales qui agissent au profit des clandestins, en refusant une subvention au profit de l’association « Convergence à la Source ». Le groupe de Guillaume Peltier n’a rien trouvé à redire.
En résumé, le groupe Rassemblement national est bien le seul à s’opposer aux dérives de l’exécutif socialo-écologiste.
il faudra le rappeler le moment venu.
11 novembre à Blois : un hommage et quelques couacs.
Les élus du Rassemblement national ont brièvement quitté la cérémonie pendant la « chanson de Craonne ».
A l’occasion du Centenaire, les cérémonies du 11 novembre à Blois ont pris une ampleur particulière, mais il faut le dire avec quelques couacs. Tout d’abord l’idée de scinder la cérémonie en deux parties, la 1ère à 9 heures devant le monument aux Morts, mais sans l’Armée, la seconde à 11 heures 20 dans les jardins de l’Evêché pour la prise d’armes traditionnelle où cette fois, à côté du détachement du DA 273, il y avait l’équipage du sous-marin nucléaire lanceur d’engins le Terrible ainsi qu’un important détachement de la Gendarmerie nationale. L’ampleur du dispositif ne pouvait pas prendre place entre la Préfecture et le monument aux Morts, puisque comme chaque année à cette époque la place de la République est occupée par les barnums de BD Boum. L’inconvénient c’est que la cérémonie était coupée en deux. De plus entre les deux parties venaient s’intercaler, au même moment une cérémonie ‘interconfessionnelle » à la Cathédrale et une cérémonie civile à la mairie, obligeant le cortège à se scinder en deux place Saint Louis, ce qui n’est pas une symbolique très heureuse.
Sur le fond nous avons eu droit au discours de M. Macron, lu par le Préfet de Loir et Cher. Un discours qui glisse de l’hommage à un plaidoyer pour l’Europe et pour la paix, sans tirer le leçon de l’après-guerre, sans oublier quelques attaques contre les défenseurs de la Nation. Comme un parfum de pré-campagne des européennes. Ensuite, les élèves d’une classe de 3ème du Collège Bégon ont interprété la « chanson de Craonne ». Cette chanson politiquement engagée (à l’extrême-gauche) fustige « Les gros », « ceux qu’ont le pognon » et « les biens de ces messieurs là », et incite à la mutinerie (« c’est fini, nous, les troufions, on va se mettre en grève »).
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Blois : le Rassemblement national fête le centenaire de la victoire.
Samedi 10 novembre à Blois le Rassemblement national célébrait le centenaire de la victoire.
Autour des élus régionaux Michel Chassier et Mathilde Paris, de Jean Yves Narquin maire de Villedieu le Château, une quarantaine d’adhérents et sympathisants avaient répondu présent pour partager un repas convivial dans une ambiance rappelant le souvenir des « poilus » : vidéos, chansons, exposition de photos envoyées par nos amis.
A 15 heures, le discours de marine Le Pen était retransmis depuis Verdun, vous pourrez le retrouver sur les réseaux sociaux.
Un moment de cohésion, de communion dans l’amour de la patrie et l’hommage à nos anciens qui ont combattu pour notre liberté.
Dans son intervention avant le discours de Marine, Michel Chassier a rappelé que nous leur devons de poursuivre le combat pour que la France pour laquelle ils se sont sacrifiés ne soit pas demain asservie à nouveau par un ennemi insidieux qui bénéficie hélas de la complicité de nos gouvernants.
Demain 114 novembre nous serons présents dans toutes les cérémonies du département.
17 novembre… et après ?
La colère enfle dans tout le pays.
Le mouvement du 17 novembre contre la hausse du prix des carburants n’est peut-être que le début d’une vague de protestations que redoute le gouvernement.
La Nouvelle République se fait aujourd’hui l’écho de la mobilisation en Loir et Cher et publie la réaction des principaux partis politiques.
Le Rassemblement national est cité, exprimant son soutien à cette journée de manifestations (*). Au passage Michel Chassier, président du groupe RN Centre-Val de Loire dénonce au passage la « bombe à retardement » que constitue la voiture électrique d’un point de vue écologique. Et donc l’ineptie de ces taxes censées financer la « transition énergétique, ce qui en plus est faux, puisque les taxes servent surtout à réduire le déficit du budget de l’Etat.
Les Républicains, à l’origine de la taxation « Grenelle » avec Nicolas Sarközy et Nicolas Hulot, comme le rappelait Gilles Godefroy au Conseil régional, proposent par la voie de Guillaume Peltier un « chèque carburant » de 100 €, sans expliquer comment il serait financé ! Réponse : par les entreprises et sans doute par les Régions, autrement dit une nouvelle taxe qui viendrait s’ajouter au taxes sur les carburants.
La France dite « insoumise » est incapable de se positionner, et craint de s’associer à un mouvement typiquement « populiste ».
La représentante locale des macronistes prouve encore à quel point son mentor est totalement ignorant des réalités, en proposant de « remettre en question notre utilisation des véhicules, de penser la mobilité autrement. Dans la vie de tous les jours, on peut adopter d’autres comportements, avec le covoiturage, la prime à la conversion, envisager le télétravail quand c’est possible… »
Propos complètement déconnectés de la réalité.
Tout comme ceux de Charles Fournier pour les écologistes : « Comme écolo je ne partage mais pas du tout le fond si celui-ci, c’est le refus d’augmentation du prix du carburant au nom du fameux pouvoir d’achat (comme s’il rendait heureux… le pouvoir de vivre décemment oui et oui, le pouvoir d’achat bof)« .
Tant mieux pour lui s’il n’a pas de problème de pouvoir d’achat, mais ce n’est pas le cas de beaucoup de nos concitoyens.
Vous avez bien compris que seul le Rassemblement national est cohérent dans ses prises de positions, c’est pourquoi, sans afficher de slogans ou de banderoles pour respecter le désir des organisateurs, nos élus, nos adhérents, nos sympathisants et nos électeurs seront présents en nombre pour cette première journée de mobilisation.
En souhaitant qu’elle ne demeure pas sans suite.
Dès le 19 novembre, un appel a été lancé par des routiers pour un blocage total du réseau routier. Une vidéo sur Facebook dépasse déjà les 1 600 000 vues !
Mais surtout il faut traduire ce mouvement de colère par une solution politique, et donc se mobiliser dès maintenant pour les élections européennes de mai 2019 en soutenant la liste d’union autour du Rassemblement national.
(*) nous relaierons prochainement sur notre site les points de rassemblement prévus en Loir et Cher.
Chômage : forte hausse au 3ème trimestre en région Centre-Val de Loire.
Comme nous l’avions prévu, il n’est plus possible de masquer la hausse du chômage, accentuée par un ralentissement de l’activité économique.
La DIRECCTE enregistre une hausse de 1,8% au 3ème trimestre en Région Centre-Val de Loire pour la catégorie A, +0,9% pour les catégories A, B, C.
C’est le plus mauvais résultat depuis longtemps, traduisant l’échec des « macronomics ».
L’Indre (+3,4%) et le Loiret (+3,3%) sont les départements les plus touchés.
Par catégorie d’âge ce sont les jeunes de moins de 25 ans les plus impactés (+2,8%).
Cela s’explique en partie par l’essoufflement des entrées en stage (2615 entrées par mois en moyenne en 2017, 2083 en 2018).
Le dispositif atteint ses limites, d’autant plus que 2/3 de ces stages ne sont pas qualifiants.
La semaine dernière au conseil régional François Bonneau se vantait du « dynamisme » de la région : le chômage y augmente de 1,8% au dernier trimestre contre 0,5% en France.
Seul le groupe Rassemblement national avait pointé la supercherie.
Cherchez l’erreur !
Rassemblement national : les responsables départementaux de la région réunis à Blois.
Les cadres départementaux du Rassemblement national de la Région Centre-Val de Loire (Délégués départementaux, Délégués départementaux adjoints, Référents départementaux Génération Nation) se sont retrouvés le samedi 20 octobre à Blois pour une journée de travail animée par Michel Chassier, président du groupe RN au conseil régional Centre-Val de Loire.
Au programme le point sur les différentes fédérations, la coordination des actions au niveau régional, la préparation des élections européennes et des municipales.
Une journée d’échanges très riche et très intéressante, au cours de laquelle il a été décidé de mettre en place de nouveaux outils pour la communication interne, afin de faciliter les actions communes ou concertées.
L’occasion aussi d’un point presse pour faire le point sur le Rassemblement national.
Après la déception ressentie par les électeurs comme par les adhérents après les présidentielles, en dépit d’un score historique, chacun ressent dans son département que la dynamique est repartie, et l’année 2019 va voir le grand retour de Marine Le Pen et de notre mouvement au 1er plan, plus que jamais au service de la France et des Français !
Conseil régional : vos élus présents sur tous les dossiers, le Président Bonneau fragilisé.
Une fois encore les élus du Rassemblement national ont démontré leur sérieus, leur compétence, leur détermination.
Lors d’une session chargée, le Groupe Rassemblement national a été présent sur tous les dossiers : budget, aide aux éleveurs, jeunesse, sport, commerce.
Michel Chassier a été le seul à poser les vraies questions sur la dernière décision modificative au budget 2018 : à l’évidence certaines dépenses n’étaient pas financées, et il faut emprunter 10,8 millions d’euros supplémentaires pour boucler le budget.
Le 1er vice-président, Marc Gricourt, n’a pas su répondre à cette question.
Quant au débat d’orientations pour 2019 la majorité aujourd’hui fragilisée donne l’impression qu’elle ne sait pas où elle va en l’absence de toute proposition. La dissidence de deux élus « en Marche » rend François Bonneau encore plus dépendant des écologistes, qui le font bien sentir, avec une scène surréaliste à l’occasion d’un vœu sur le climat en fin de session.
Le Rassemblement national a soutenu l’aide aux éleveurs prévue en 2019, tout en l’estimant insuffisante et en regrettant l’absence d’une aide d’urgence.
Dans le domaine du sport, le RN a proposé un amendement pour lutter contre la radicalisation, refusé par l’ensemble de la gauche, et un vœu pour soutenir la démarche du CNOSF, finalement voté à l’unanimité.
Lire la suite sur le site du groupe RN-CVL.
La puissance des images aux Rendez-vous de l’Histoire.
La puissance des images ? Une belle illustration avec Attali !
Les Rendez-vous de l’Histoire (du 10 au 14 octobre à Blois) attirent toujours un public nombreux, quoique difficile à chiffrer en l’absence billetterie.
Ce que déplorent depuis longtemps les élis du Rassemblement national, qui estiment que le public pourrait payer une entrée, avec le maintien la gratuité pour les scolaires et des tarifs pour les étudiants par exemple.
Au lieu de cela on fait venir gratuitement tous les professeurs d’histoire-géographie de la Région, et tant pis pour leurs élèves privés de cours ce jour-là !
Mais tout cela coûte 375 000 € de subvention principale pour 2018, sans compter les rallonges pour diverses manifestations annexes ainsi que la à disposition de personnels, de locaux, de matériel et la fourniture de diverses prestations dont des repas.
Si l’on ajoute les subventions des autres collectivités et de la DRAC, Le coût réel pour le contribuable atteint 979 000 euros pour un budget e 1 381 000 euros, soit un financement public à hauteur de 71%.
En 2014, lors d’un débat sur TV Tours avec Michel Chassier, Marc Gricourt avait reconnu qu’il faudrait y réfléchir.
Mais son adjoint à la Culture et Président d’Agglopolys Christophe Degruelle, dépositaire de l’héritage de Jack Lang, ne semble pas l’entendre de cette oreille.
Nous aurons l’occasion de revenir aussi sur le fond, car cette manifestation nous a souvent habitué au sectarisme et au parti-pris idéologique.
Chaque année on voit ainsi défiler à nos frais de nombreux responsables politiques bien en cour.
Pour cette édition nous n’échapperons pas à la conférence inaugurale du gourou de Mitterrand, Sarközy et Macron, l’ultra-mondialiste Jacques Attali, sur le thème « comment nous protéger des prochaines crises » !
Quel cynisme quand sait que ce sont des hommes comme lui qui en sont les principaux responsables, et qu’il n’avait pas vu venir la crise 2008 !
Enfin pour revenir au thème de cette édition, « la puissance des images« , comment ne pas oublier que tous ces bien-pensants sont ceux-là mêmes qui ont exploité honteusement l’image d’un enfant syrien noyé sur plage de Grèce et soigneusement mis en scène pour émouvoir l’opinion publique européenne… mais qui condamnent Marine Le Pen pour avoir voulu montrer sur un tweet le vrai visage de Daesch !
Région : vos élus au travail.
La semaine prochaine s’annonce chargée pour les élus avec une réunion de la commission permanente régionale le 17 et une session plénière le 18.
Les élus du groupe Rassemblement national Centre Val de Loire étaient réunis ce lundi afin de travailler sur les dossiers, autour de leur Président de groupe Michel Chassier.
Le tout dans une ambiance sereine et studieuse, qui caractérise notre groupe depuis le début.
Nous vous rappelons que la séance plénière est publique, jeudi 18 à partir de 9 h 30, elle est également retransmise en direct en vidéo.
Vous pouvez aussi retrouver les interventions de vos élus depuis le début de la mandature sur le site du groupe.
Conseil municipal de Blois : budget supplémentaire… en attendant 2020.
(images d’archives)
Dans les différents échanges au conseil municipal de rentrée à Blois on sent arriver l’échéance de 2020.
Budget supplémentaire : l’emprunt en ligne de mire.
Dès l’examen du budget supplémentaire Marc Gricourt a tenu à démentir les propos de Michel Chassier et Mathilde Paris dans la Nouvelle République du 15/09 décrivant une majorité « à bout de souffle » (la Nouvelle République du 25/09/2018).
Et il s’appuie pour cela sur la bonne maîtrise de budget qui permet à la Ville de réaliser en 2018 davantage d’investissements qu’en 2017.
Ce à quoi Michel Chassier peut répondre : « certes, mais ces investissements nouveaux sont financés uniquement par l’emprunt« . L’élu RN met également l’accent sur les dépenses de fonctionnement, qui augmentent de 1,14% selon les prévisions budgétaires, soit plus que les 1,05% autorisés par l’Etat. Augmentation qui résulte de hausses subies : carburant, énergie etc… dans un contexte de reprise de l’inflation ( CM 24-09-2018 – BS2018 ).
Auparavant Michel Chassier était déjà intervenu pour faire part des risques encourus sur les taux variables alors que la BCE doit réformer l’Euribor en 2020 : « Tous les acteurs financiers conviennent que le taux actuel de l’Euribor est déconnecté de la réalité,[...] La BCE préconise une réforme des taux de référence qui devrait prendre effet en 2020 et conduire à un niveau plus élevé. D’un point de vue contractuel, est-ce qu’il faudra considérer qu’il s’agit toujours du même indice ? Car dans ce cas le taux pourrait augmenter vraisemblablement dans une fourchette de 1 à 2%. »
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Mises en avant
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