Mathilde PARIS, tête de liste « Un autre avenir pour Blois » était jeudi soir l’invitée de la rédaction de @TVTOURS. Revoir la vidéo.
Jordan Bardella à Mer le 25 janvier
Bien que nous ayons basculé sur notre nouveau site depuis juin 2019, vous êtes encore nombreux à consulter ce blog.
C’est pourquoi nous avons décidé d’y relayer l’invitation pour la venue de Jordan Bardella :
Samedi 25 janvier, nous avons le plaisir de recevoir Jordan Bardella à la Halle de Mer en présence de vos élus et têtes de listes aux élections municipales en Loir et Cher et dans le Loiret.
Programme :
11 h 30 : Ouverture au public
12 h 00 : Mot d’accueil et vœux du Délégué départemental
12 h 30 : Intervention de Jordan Bardella
Participation aux frais : 20 € (gratuit pour les moins de 12 ans). Bulletin d’inscription à télécharger Invitation 25 janvier 2020.
Blois : une fin de mandat difficile pour Marc Gricourt.
Carré Saint Vincent : le projet est bien mal engagé.
Une droite locale affaiblie et divisée, LREM qui se cherche une tête de file, Marc Gricourt pourrait voir venir la prochaine échéance municipale avec sérénité.
Mais rien n’est moins certain.
Alors que nous sommes entrés dans la dernière année de mandat, plusieurs dossiers risquent de poser problème.
1) le Carré Saint Vincent. Nous n’avons jamais été vraiment convaincus par le bien fondé de ce projet, décidé lors de la précédente mandature et soutenu à la fois par la majorité et par Jacques Chauvin. Aujourd’hui, faute d’une enseigne qui ferait office de « locomotive », la commercialisation de l’ensemble semble problématique, et tous les coûts ne sont pas maîtrisés.
Et désormais Louis Buteau, ancien adjoint au commerce qui avait soutenu le projet depuis le début se met à son tour à le critiquer.
Nous en reparlerons prochainement, mais une chose est sûre : la Carré Saint Vincent ne sortira pas de terre d’ici la fin de cette mandature.
2) L’Hôtel Dieu. Les services de l’Etat vont quitter le site d’ici fin 2020. Or le foncier appartient à la Ville, qui va se retrouver avec ce bâtiment historique sur les bras, mais pour quelle destination.
Ne voulant pas revivre les péripéties de la caserne Maurice de Saxe, où le projet a mis plusieurs à sortir, la Ville veut aller vite. Un appel à projet a été voté lors du dernier conseil municipal. le seul problème c’est qu’il aurait déjà 6 candidats sur l’affaire. Il faudra s’assurer qu’il y ait bien une égalité de traitement si d’autres candidats se présentent.
Sur le fond du projet, nous jugerons le moment venu, mais il nous semble important de faire revivre les bords de Loire.
3) Des affaires qui pourraient devenir embarrassantes.
Plusieurs affaires dans l’entourage du Maire ou de son équipe risquent aussi de lui porter préjudice.
Récemment c’est un jeune conseiller communiste de sa majorité qui fait l’objet d’une plainte pour viol. Même s’il faut respecter la présomption d’innocence, c’est gênant en terme d’image.
Plusieurs recours ont été introduits contre des projets immobiliers, avec des fortunes diverses, d’autres sont en cours, et certains regrettent aussi un manque de publicité à l’occasion de cessions du patrimoine de la Ville, comme pour l’ancienne école Victor Hugo, tout près du château, vendue sur la base de l’estimation des domaines (*).
Une autre affaire qui commence à agiter les réseaux sociaux pourrait bientôt sortir au grand jour : une plainte déposée contre Denys Robiliard pour prise illégale d’intérêt a été déposée auprès du Procureur de la République.
Et un ancien du maire de Blois, aujourd’hui « en marche », pourrait bien se charger de souffler sur les braises
Pour notre part, nous continuerons à vous informer, et à préparer sereinement les municipales de 2020, dans l’intérêt de Blois et de tous les Blésois.
(*) en définitive, la vente n’a pas abouti, affaire à suivre.
Blois : la droite et le centre continuent à se déchirer.
Réunion de travail à Blois en vue des municipales.
Un scénario pire qu’en 2014 pour la droite et le centre ? Ce n’est pas exclu
Nous en parlions déjà il y a un mois.
Entre temps le candidat investi par LR, Malik Benakcha, se voyait déjà en haut de l’affiche, allant jusqu’à prédire un duel dont il serait l’un des protagonistes. Un rien présomptueux… car il lui faudra déjà sortir d’une triangulaire avec ses concurrents de la droite et du centre, sans parler le LREM.
Tout cela semble ouvrir un boulevard à Marc Gricourt.
La semaine dernière, c’est au tour de Philippe Bahu de claquer la porte de LR pour annoncer son soutien à Franck Prêtre, tout en critiquant pêle-mêle Wauquiez, Peltiet, Benakcha et le fonctionnement qu’il juge « opaque » de LR au niveau local.
Pendant ce temps le Rassemblement national travaille sereinement sur la mise à jour de son projet, en vue de constituer une liste d’ouverture la plus large possible.
Avis aux déçus de cette droite locale incapable de s’entendre.
Romorantin : le deal Peltier-Lorgeoux.
A Romorantin rien ne change.
Le Député de la circonscription, Guillaume Peltier (LR), a décidé de présenter une liste, pour le moment sans tête, contre Louis de Redon.
Motif : l’élu MoDem avait soutenu ouvertement Macron aux présidentielles et aux législatives.
Sauf erreur de notre part, Guillaume Peltier avait bien appelé à voter pour Macron au deuxième tour des présidentielles.
Comme l’a confirmé récemment Bellamy, il préfère Macron à Marine Le Pen et Merkel-Juncker à Salvini-Orban.
Ce reproche n’est donc qu’un simple prétexte.
En réalité Guillaume Peltier poursuit le deal établi par son prédécesseur Patrice Martin-Lalande avec Jeanny Lorgeoux depuis 1993 : je te laisse la ville de Romorantin, tu me laisses la circonscription.
On ne sait pas encore quelle sera la position de LREM, approché à la fois par Lorgeoux et par de Redon, mais on voit bien que l’intérêt de Romorantin compte peu dans cette affaire, ce qui compte avant tout ce sont les calculs politiciens de ces deux jeunes carriéristes, sous l’oeil amusé de seul bénéficiaire de l’opération, l’inamovible maire de Romorantin, prêt à repartir pour un 7ème mandat.
Dans ce contexte le Rassemblement national qui n’a aujourd’hui qu’un représentant au conseil municipal de Romorantin se doit d’être présent dans la bataille, dans une ville où Marine Le Pen est arrivée en tête du 1er tour des présidentielles.
Logement insalubre à Blois : que fait la Ville ?
Logement insalubre à Blois dans les degrés Saint Nicolas.
La catastrophe de la rue d’Aubagne à Marseille a rappelé à tous la question des logements insalubres, voire potentiellement dangereux, mais qui sont toujours offerts à la location.
De tels exemples ont été signalés à Blois, sans que l’on connaisse vraiment l’étendue du problème.
Les élus du Rassemblement national ont depuis longtemps critiqué une politique de l’urbanisme et du logement qui a conduit a démolir des centaines de logements souvent de bonne qualité architecturale et qu’il suffisait d’entretenir et de rénover, pendant que l’on voyait des immeubles se dégrader dans le bâti ancien, sans parler des immeubles HLM construits dans certains quartiers bien avant ceux de la ZUP, mais qui n’étaient pas éligibles au Plan de Rénovation Urbaine, car hors du périmètre.
Implicitement, un candidat putatif à la mairie de Blois voudrait que « tous les quartiers bénéficient du même traitement« . Fort bien, c’est ce que nous demandons depuis longtemps, mais il ne faut pas oublier que la funeste « politique de la Ville » a toujours été soutenue, à Blois et ailleurs, par ses amis politiques.
Blois : un conseiller municipal communiste accusé de viols.
L’information est parue le 24 février dans l’Obs : le mouvement des jeunes communistes est rattrapé par la vague #Me Too.
Bien sûr à ce stade, si des plaintes ont été déposées, la présomption d’innocence prévaut, c’est pourquoi l’Obs a changé le prénom.
Mais sur les réseaux sociaux les jeunes communistes se déchaînent, accusant la direction d’avoir étouffé ces affaires.
L’affaire a éclaté le 27 janvier, au siège du Parti communiste, alors que quelques 300 délégués du Mouvement jeunes communistes de France (MJCF) se sont réunis pour voter de nouveaux statuts, et élire leur conseil national et leur direction.
« Soudain une jeune femme monte à la tribune et saisit le micro : »L’immense majorité du mouvement se prononce radicalement contre les violences sexistes et sexuelles. Il est plus que temps de le mettre en pratique, et c’est pourquoi, aujourd’hui, nous refusons de nous taire », lance la jeune femme. Elle accuse ensuite nommément deux coordinateurs nationaux de « protéger des agresseurs depuis plusieurs années en mettant systématiquement le blâme sur les victimes pour qu’elles quittent l’orga [l'organisation, NDLR]« . Au moment où elle lâche son nom, l’un des deux mis en cause décrète l’évacuation de la salle. Des insultes fusent. Des camarades se bousculent. Un délégué hurle : « La diffamation, c’est puni par la loi. » D’autres se mettent à chanter pour couvrir sa voix : »On a purgé des camarades pour moins que ça, tu devrais fermer ta gueule. »
« Tout le monde criait, c’était hyper-violent », décrit une militante montée à la tribune. »
Depuis sur les réseaux sociaux les langues se délient, et nous apprenons que l’un des agresseurs, accusé de viol par deux jeunes femmes est un conseiller municipal de Blois.
Alerté, le maire de Blois a publié une réaction sur Twitter : « Bonjour, nous découvrons cette affaire par ces tweets. Soucieux du respect de la présomption d’innocence mais aussi devant la gravité des faits évoqués, le maire va rapidement rencontrer M. Bouchou pour l’entendre. Il exprime son soutien aux victimes présumées. »
Nous verrons si l’affaire sera évoquée au conseil municipal lundi prochain.
Ce qui est ennuyeux pour Marc Gricourt c’est qu’en cas de démission de l’intéressé, le suivant de liste appelé à siéger est un certain Sidi Boussetta qui a lui aussi défrayé la chronique locale pour d’autres affaires.
Voilà qui va compliquer une fin de mandat déjà marquée par le départ de Louis Buteau.
Mise à jour du 6/03/2019 : Alexis Bouchou fait savoir par son avocate qu’il conteste la version de la plaignante (la Nouvelle République du 6/03/2019). Nous ne ferons bien sûr aucun commentaire sur cette affaire, c’est désormais à la justice de faire son travail.
Blois 2020 : les prétendants se bousculent, les fake news arrivent !
Loin des invectives et de l’agitation de nos adversaires, nouvelle réunion de travail ce matin à Blois pour préparer les municipales.
Nous évoquions récemment le grand désordre dans les rangs de la droite et du centre à Blois.
L’un de ces prétendants a eu droit une page complète dans la Nouvelle République cette semaine (01/03/2019).
L’occasion pour ce candidat de dégainer contre le Rassemblement national la première des fake-news de la campagne, prétendant que le RN ne reconnaîtrait pas comme blésois les enfants d’immigrés !
Propos mensongers, immédiatement démentis par un communiqué de Michel Chassier, publié dans la Nouvelle République du 2 mars.
En voici le contenu intégral.
« Dans un entretien à la NR du 1er mars, un des prétendants de la droite et du centre à la mairie de Blois déclare que le Rassemblement national « ne reconnaît pas comme blésois les enfants d’immigrés ». C’est la 1ère fake-new de cette campagne !
Si nous avons à juste titre porté à la connaissance des Blésois les chiffres de l’INSEE sur la population immigrées, qui constituent des données publiques et accessibles à tous, nous n’avons jamais tenus de tels propos, cette accusation est donc à la fois mensongère et diffamatoire.
Nous demandons à l’intéressé de le reconnaître et de faire amende honorable. Nous n’excluons pas des poursuites judiciaires s’il maintenait son accusation.
Nous sommes d’autant plus étonnés de ce comportement que ce même candidat potentiel nous avait approché en espérant rallier certains de nos élus à sa liste. »
Cette dernière remarque n’a pas été appréciée par le candidat, qui répond sur Facebook, « J’ai croisé, en prenant le train à la gare de Blois à cette periode, un jeune depuis devenu conseiller municipal, qui m’a fait part de ses distances alors avec les valeurs de ce mouvement. »
Or, aucun « jeune devenu conseiller municipal » n’a quitté notre mouvement à Blois, tous nos conseillers siègent toujours au sein de notre groupe « Rassemblement national – une autre voie pour Blois », ce qui n’est pas le cas des élus de la liste de Jacques Chauvin, dont le groupe a complètement explosé !
Deux mensonges en deux jours, la campagne est mal partie pour ce carriériste qui a déjà changé deux fois de casaque.
Manque de chance pour lui, les Blésois nous connaissent bien, et savent parfaitement que nous ne ressemblons en rien à ces accusations mensongères et stupides.
Nous espérons qu’il sera présent lundi au conseil municipal pour venir dialoguer sereinement avec nous et reconnaître ses erreurs.
Mises en avant
Mathilde Paris invitée de la rédaction sur TVTours
Mathilde PARIS, tête de liste « Un autre avenir pour Blois » était jeudi soir l’invitée de la rédaction de @TVTOURS. Revoir la vidéo....
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