« Macron fait ce qu’il avait dit » : c’est ce que nous répètent en boucle les médias du système, qui ne sont pas avares de « fake news ».
Pourtant Macron s’était déjà renié en adoptant la limitation de vitesse à 80 km/h, après avoir dit pendant la campagne qu’il y était opposé.
De la même façon, il avait expliqué qu’il ferait l’aéroport de Notre de Dame des Landes.
Il vient encore de se renier en abandonnant le projet, il faut bien dire par lâcheté.
Certes le Front National n’était pas favorable à ce nouvel aéroport, mais le référendum consultatif avait tranché en faveur de sa construction et tous les recours en justice avaient échoué.
Mais face à une minorité d’extrémistes occupant les lieux, le gouvernement a capitulé piteusement, au mépris des citoyens et des élus locaux.
Cela démontre la véritable nature de M. Macron qui ne fait pas ce qu’il a dit, mais ce que lui dictent les puissants, les lobbies, et qui cède à la menace.
Il va maintenant se heurter aux riverains de l’aéroport existant, qui refusent son extension.
Au déni de démocratie et au reniement s’ajoute un gâchis financier qui n’est pas encore chiffré.
L’ancien monde est toujours bien là !
Notre Dame des Landes : nouveau reniement de Macron en forme de capitulation.
80 km/h : mauvaise réponse !
Comme il fallait s’y attendre le gouvernement va imposer la limitation à 80 km/h sur les routes sans séparateur central.
Un véritable matraquage médiatique destiné à préparer l’opinion et à culpabiliser les réfractaires a précédé cette annonce.
Pour notre part nous sommes prêts à ouvrir le débat, qui aurait dû avoir lieu, mais il est évident que cette mesure n’est pas justifiée.
L’argument est toujours le même : sauver des vies.
Sauf que toutes les études sérieuses, en France et à l’étranger, y compris les expérimentations menées en 2017 n’ont jamais démontré que l’abaissement de la vitesse autorisée au-delà d’un certain seuil permettait d’éviter les accidents et les victimes, l’effet obtenu a parfois été une aggravation.
En France les vitesses de 90 km/h sur route, 110 km/h sur les voies express à chaussées séparées, 130 km/h sur autoroute datent de 1974.
Or il y avait eu cette année là 15 108 tués sur les routes de France, contre 3 477 en 2016, sans nouvelles limitations de vitesse.
Et contrairement aux affirmations officielles, la vitesse moyenne de circulation a largement augmenté depuis. Avant l’autoroute il fallait 14 à 16 heures pour aller de Paris à Marseille, la moitié aujourd’hui.
Comment expliquer cette diminution du nombre de tués alors qu’il 39 millions de véhicules en circulation contre environ 15 millions en 1974 et que la distance moyenne parcourue augmente ? Ce qui veut dire que le nombre de tués au kilomètre a été divisé par 15 sans modification des vitesses autorisées.
Les réponses sont multiples : le développement du réseau autoroutier, ce qui démontre au passage qu’on peut-être davantage en sécurité à 130 km/h sur une route adaptée qu’à 90 km/h sur une départementale mal entretenue ou mal aménagée.
Ensuite il y a aussi les progrès considérables accomplis sur la sécurité des véhicules : ceintures, airbags, système de freinage, tenue de route, pneumatiques, absorption des chocs etc… Il faut avoir conduit une Dauphine ou une Simca 1000 pour mesurer l’évolution.
Il faut y ajouter une meilleure préparation des conducteurs avec un enseignement de la conduite beaucoup plus poussé que dans les années 70, où l’on obtenait le permis après avoir un petit tour en ville et réalisé un créneau de stationnement.
Voilà la réalité.
Les expériences réalisées dans deux départements français en 2017 n’ont pas été probantes, a tel points que les résultats ne sont toujours pas publiés, il y aurait même eu dans certains cas davantage d’accidents.
Enfin il faut citer le Danemark, qui a décidé de faire le contraire de la France en augmentant la vitesse de 80 à 90 km/h sur les routes, de 110 à 130 km/h sur autoroutes.
Résultat : moins d’accidents et de victimes. Et pourtant il n’y a que 10 radars dans tout le pays !
Toutes ces informations se trouvent sur Internet, elles mériteraient au moins d’être examinées. Mais le gouvernement est sourd et aveugle.
Cette mesure inefficace n’aura pour conséquence que l’augmentation des recettes de l’Etat, puisque les radars rapportent déjà plus d’un milliard d’euros par an.
En Loir et Cher on déplore déjà deux accidents mortels depuis le début de l’année. Dans les deux cas, la limitation à 80 km/h n’aurait rien changé.
Le Front National lance une grande pétition en ligne pour protester contre cette mesure, prise sans concertation et nous sommes prêts à ouvrir le débat sur notre blog.
N’hésitez à réagir, que vous soyez d’accord ou pas.
Macron ou le « fake » Président.
Une loi sur les « fake news » une bourde de Macron qui en dit long sur le personnage.
En annonçant à l’occasion des voeux son intention de renforcer la censure sur Internet, M. Macron a certainement commis un erreur grossière.
Tout d’abord il a prouvé son ignorance de la loi du 29 juillet 1881 relative à la liberté de la presse, loi qui s’est d’ailleurs durcie au fil du temps.
Cette loi sanctionne d’une amende de 45 000 euros «la publication, la diffusion ou la reproduction, par quelque moyen que ce soit, de nouvelles fausses, de pièces fabriquées, falsifiées ou mensongèrement attribuées à des tiers lorsque, faite de mauvaise foi, elle aura troublé la paix publique, ou aura été susceptible de la troubler.» (art 27).
Depuis le début des années 2000, sont également punis d’un an emprisonnement et de 15 000 euros d’amende, ceux qui, d’après l’article L97 du Code électoral, «à l’aide de fausses nouvelles, bruits calomnieux ou autres manoeuvres frauduleuses, auront surpris ou détourné des suffrages,» sans oublier les différents types de sanctions que réserve le Code pénal à ceux qui font circuler de fausses informations, comme par exemple visant à faire croire à un attentat, à un détournement d’avion ou pour influencer sur les cours d’entreprises en bourse.
Et pour couronner le tout les lois Pleven et Gayssot-Toubon.
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Au moins 1031 voitures brûlées pour la Saint Sylvestre.
Les explications de Gérard Collomb n’ont pas convaincu les policiers.
C’est le bilan officiel communiqué par le ministère de l’Intérieur, sans doute en deçà de la réalité.
En effet depuis plusieurs années les autorités ne comptent plus les véhicules détruits « par contagion ». Autrement si le feu a été mis à une voiture mais en a brûlé deux autres, le ministère de l’Intérieur n’en comptabilise qu’une.
Ce bilan encore provisoire est en nette augmentation par rapport à l’an dernier, ce qui démontre bien que rien n’a changé en dehors du style et de la communication.
En Loir et Cher deux feux de voitures sont signalés à Blois, avenue de l’Europe et rue Michel Détroyat, ainsi que des feux de conteneurs avenue du Maréchal Leclerc.
Plus grave, la soirée du 31 décembre a été marquée par plusieurs agressions de policiers à Champigny sur Marne, à Aulnay sous Bois, à Stains… Mais pour Gérard Collomb les choses se sont plutôt bien passées : « dans l’ensemble, les gens ont pu jouir de la nuit de la Saint-Sylvestre de manière pacifiée. »
On attend toujours que le ministre ou le gouverneur Macron se rende au chevet de la policière lynchée à Champigny.
Marine Le Pen a réagi dès hier, non seulement pour condamner cette énième agression de policiers, mais aussi pour demander des mesures, que les députés FN ont déjà proposé en vain à l’Assemblée nationale : les députés-godillots « en Marche » s’y étaient opposés.
Marine Le Pen toujours dans le coeur des Français.
Depuis l’élection présidentielle les médias répètent à l’envi que Marine Le Pen avait perdu la confiance des Français et que le FN était devenu inaudible.
Il faut dire que pour être entendu dans les médias, il faut d’abord être invité, ce qui n’a pas été vraiment le cas depuis la rentrée. A tel point que le Front National saisi le CSA pour protester contre le déséquilibre notoire du temps de parole dont il est victime.
Mais présent ou pas dans les médias, le FN reste dans les coeurs et dans les esprits de nos compatriotes.
Ce que n’ont pas compris nos adversaires, c’est que quoiqu’ils fassent, qu’ils nous insultent ou qu’ils étouffent notre voix, ce sont les faits qui nous donnent raison jour après jour.
Et le FN n’a jamais renoncé, jamais baissé les bras. Nos militants sont toujours sur le terrain pour rappeler à nos amis que nous bien là, nos adhérents se réunissent régulièrement, et nous disposons fort heureusement de relais grâce aux réseaux sociaux qui nous permettent de faire passer notre message.
En cette fin d’année, ceux qui souhaitaient notre mort politique au point d’en rêver tout haut en sont pour leurs frais.
Sondage après sondage Marine le Pen conforte sa place de première et peut être de seule véritable opposante à Macron.
Un résultat que vient confirmer le « top 100″ de RTL des personnalités politiques, où Marine Le Pen apparaît en n°3, et première femme du classement devant la chancelière allemande Angela Merkel (11e du top 100 mixte), de la première ministre britannique Theresa May (14e), la maire socialiste de Paris Anne Hidalgo (28e) et Ségolène Royal (32e).
Hausse des tarifs du gaz : merci à la taxe Hulot-Macron.
C’est la troisième hausse des tarifs réglementés du gaz depuis celle d’octobre (1,2%) et novembre (2,6%).
Celle du 1er janvier sera de 7%. En réalité 2,3% correspondent à la hausse des cours du pétrole et du gaz, mais 4,7% proviennent de la hausse de la taxe intérieure de consommation sur le gaz naturel (TICGN) qui passe de 5,88 euros par mégawattheure (mWh) consommé à 8,45 euros/MWh, soit une hausse de 43%.
C’est la conséquence de la hausse au 1er janvier de la contribution climat énergie destinée à punir ceux qui utilisent l’énergie fossile, hausse votée dans la loi de Finances 2018 par les députés-godillots.
Pas de doute Hulot nous prend pour des sots, Macron nous prend pour des …ons.
Les baisses d’impôts annoncées seront compensées plus que largement par les taxes, prélèvements, cotisations, péages… qui ont le mérite de ne pas rentrer dans le calcul de la fiscalité obligatoire, mais qui sont payés par le plus grand nombre.
Pour rendre à César ce qui appartient à César, rappelons que cette taxe remonte à la loi de Finances 1986, le Premier ministre était alors Laurent Fabius, et le ministre des Finances Henri Emmanuelli.
Mais on peut compter sur le tandem Hulot-Macron pour la faire prospérer.
Philippot : jusqu’au bout de la trahison.
Florian Philippot a connu une brève existence médiatique grâce à Marine Le Pen. Critiqué par de nombreux cadres du mouvement pour ses méthodes et son positionnement jugé trop à gauche, il n’a pas eu le courage d’affronter le vote des militants au prochain congrès, il a préféré la fuite.
Il ne cesse depuis d’attaquer Marine et son ancienne formation politique, en espérant retrouver un écho dans les médias en rejoignant la meute de nos adversaires.
Il sait pertinemment que son micro-parti est voué à l’échec et qu’aucun des élus qui l’ont rejoint en trahissant leur parole et leurs engagements ne sera réélu à la prochaine échéance.
Réduit au rôle de simple supplétif su système, il en sait plus que faire pour exister.
Sa dernière initiative risque toutefois d’ouvrir les yeux à ceux qui l’avaient rejoint en le croyant sincère.
Il vient en effet de rendre hommage à François Mitterrand sur sa tombe à Jarnac.
Désormais les choses sont claires. après avoir fait un appel du pied à Mélenchon, il vient de rendre hommage à un ancien représentant du Parti socialiste, qui avait défendu le traité de Maastricht.
Il n’y a pas longtemps le même Philippot faisait remarquer que Mitterrand avait privatisé davantage que la droite !
Espérons que ce nouvel épisode incitera les quelques adhérents qui l’avaient rejoint à revenir vers le Front National, le véritable parti des patriotes.
Société Générale : la fermeture des comptes du FN est bien une décision politique.
Le hashtag #JeQuitteLaSG fait le buzz sur Twitter.
La Société Générale a beau démentir, sa décision non motivée de fermer les comptes du Front National est bel et bien politique.
En effet, les comptes du FN sont, comme ceux de tous les partis, étroitement surveillés par la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques, qui publie son rapport tous les ans.
Comme le rappelait ce matin Marine le Pen, le FN dispose de ressources stables, les résultats aux dernières élections législatives lui garantissant un financement dont le montant est connu pour les 5 prochaines années, il dispose également des adhésions et du reversement des élus.
Après les élections de 2017, où il a fallu pré-financer les campagnes, le FN est dans l’attente des remboursements par l’Etat, prévus début 2018, mais c’est la même chose pour tous les candidats et toutes les formations politiques qui ont dû leur consentir des prêts ou des avances.
Le motif est donc bien ailleurs. Sinon comment expliquer que les banques n’aient pas clôturé les comptes de l’ex UMP, dont Les Républicains ont hérité de la dette abyssale et qui a vu ses ressources divisées par 3, et que dire du PS, quasiment en faillite ?
Non, il est évident que la décision est politique.
Encore une fois, ceux qui espéraient la mort du FN ont raté leur coup. Les observateurs de bonne foi sont bien obligés de reconnaître que la dynamique autour de Marine Le Pen est repartie, en dépit des tous les efforts des médias du système.
Il fallait donc passer à l’étape suivante, tenter l’asphyxie financière.
Ce genre de décision ne doit rien au hasard, ni à la situation financières du FN, qui a été bien pire en 2007.
Mais il faut savoir pour cela qui est le Directeur général de la Société Générale, Frédéric Oudéa.
Cet inspecteur des Finances a travaillé comme conseiller au ministère du Budget d’un certain Nicolas Sarközy de 1993 à 1995, Il est également proche de François Pérol, alors Secrétaire général adjoint de la présidence, et de Stéphane Richard, directeur de cabinet de Christine Lagarde.
Des liens par conséquents très étroits avec le monde politique.
La défaite de Balladur, soutenu par Sarkozy à la présidentielle de 1995 bloque alors sa carrière politique. A-t-il été au courant des soupçons de financements occultes de la campagne ?
En 2003 il est nommé directeur financier de la générale, où il va « découvrir » l’affaire Kerviel, avant de succéder à Daniel Bouton comme PDG suite au scandale.
En 2016, la Société générale est la principale banque française concernée par le scandale des Panama Papers. Un parlementaire demande alors la démission de Frédéric Oudéa, soupçonné d’avoir livré un faux témoignage au Sénat au sujet de sociétés offshore créées par la banque, et demande des suites judiciaires. Curieusement le bureau du Sénat renonce à le poursuivre en justice pour faux témoignage au sujet de ces déclarations faites sous serment lors d’une audition au Sénat.
Les relations politiques sont parfois bien utiles, surtout si l’on détient quelques secrets.
Cela n’empêche pas son épouse, Amélie Castéra, d’être pressentie par M. Macron comme ministre des Sports en mai 2017.
Nouvelle démonstration des liens étroits entre le mouvement « En marche » et les milieux financiers.
Toujours est-il que M. Oudéa peut difficilement prétendre que la décision de la banque qu’il préside n’est pas de caractère politique.
Le scandale ne fait que commencer.
Immunité parlementaire : Macron vise son opposante n°1.
Ce sont des méthodes qu’on pensait réservées aux régimes autoritaires que la France dénonce, sauf bien sûr s’il s’agit de partenaires commerciaux.
Mais cela se passe pourtant bien dans la patrie qui se proclame celle des Droits de l’Homme.
A la demande du ministre de la Justice, au mépris de la séparation des pouvoirs, un parlement servile a voté la levée de l’immunité parlementaire de Marine Le Pen, coupable d’avoir dénoncé l’extrême violence de l’Etat Islamiste (ou Daech selon l’acronyme arabe).
C’est le monde à l’envers ! Au moment même où la France trouve des arrangements pour permettre à ses ressortissants partis combattre en Syrie et en Irak d’être rapatriés, ceux qui sont en pointe dans le combat contre cette organisation terroriste qualifiée d’ennemie, et que nos armées combattent sur le terrain, se voient menacés de poursuite judiciaire.
Le scandale est énorme et commence déjà à embarrasser le gouvernement, qui craint un effet boomerang.
Nous vous invitons à prendre connaissance du communiqué de Marine Le Pen, et à vous rendre sur les réseaux sociaux pour lui exprimer votre soutien et relayer l’information.
« Suite à la demande formulée par Madame Nicole Belloubet, ministre de la Justice, Garde des Sceaux, le bureau de l’Assemblée nationale a décidé ce jour la levée de mon immunité parlementaire.
Le gouvernement actuel s’inscrit ainsi une nouvelle fois dans la continuité du précédent, car c’est Bernard Cazeneuve, alors ministre socialiste de l’Intérieur, qui avait saisi la justice dans cette affaire de liberté d’expression politique. [...]«
Lire la suite du communiqué sur le site du Front National.
Contre l’intoxication médiatique : l’action, que l’action et rien que l’action !
L’éditorial de Steeve Briois dans la Lettre du Front du 27 octobre 2017 mérite d’être diffusé largement. Nous le reproduisons volontiers.
Les phénomènes médiatiques ont ceci de pernicieux qu’ils peuvent convaincre des réalités qui n’en sont pas.
Des bruits de fond tellement répétés qu’ils provoquent une ambiance, un sentiment qui parfois, à tort, devient une conviction.
Certains parmi nous ont pu ainsi traverser ces derniers mois une phase de découragement, pensant que notre ascension était enrayée par un débat un peu moins bon que les précédents, par les modestes départs d’aigris nettement moins modestes.
La réalité et le terrain nous donnaient toutes les raisons de rester optimistes. 11 millions d’électeurs au second tour de l’élection présidentielle et 8 députés plus tard, sans compter un accueil au quotidien toujours aussi enthousiaste : comment ont-ils pu croire en une déconvenue ?
La réalité, c’est ce qu’un sondage IFOP publié le 22 octobre dans le Journal du Dimanche est – une fois n’est pas coutume – venu nous rappeler. Et de manière particulièrement claire, en confirmant que nous sommes aujourd’hui toujours aussi forts qu’à la veille de ce 1er tour historique de l’élection présidentielle, quand dans le même temps Jean-Luc Mélenchon semble reculer.
A rebours de l’ambiance médiatique qui traite la France Insoumise avec une complaisance hallucinante, lui prêtant une audience et une influence que le réel vient systématiquement nier. C’est une leçon pour beaucoup de politiques, même parmi les plus expérimentés : il ne faut se fier qu’au terrain, qu’à une réalité à laquelle on doit se confronter au quotidien.
Et surtout ne jamais cesser l’action politique et militante. Entre ceux qui ne vivent que des réseaux sociaux et des plateaux TV, et ceux qui existent par leur engagement, comme militants et comme élus, il y a un fossé terrible.
La semaine parlementaire a encore une fois démontré à quel point nos députés pouvaient être efficaces, pugnaces et compétents. Vous ne le verrez pas à la télé, mais nos électeurs en sont conscients.
Il faut se désintoxiquer par l’action, que l’action et rien que l’action.
La refondation du Front National nous offre cette occasion en or. Nous devons encore évoluer pour progresser, accepter de nous remettre en question et entendre les messages envoyés par les Français : ceux qui s’y refusent choisissent la facilité du clanisme et des tentations groupusculaires. Les autres savent que les victoires se font au prix de la sueur, de l’effort et de la volonté.
Je vous invite donc à participer activement à la refondation de notre mouvement. Chaque adhérent, militant et élu a, et aura, son mot à dire.
En avant pour un nouveau Front !
Steeve Briois
Secrétaire Général du Front National
Député français au Parlement européen
Maire d’Hénin-Beaumont
Macron va-t-il trouver du pétrole ?
L’arrivée du très médiatique Nicolas Hulot au gouvernement se voulait un symbole fort de la transition énergétique.
N’a-t-il pas annoncé la fin de la commercialisation des voitures diesel et essence d’ici 2040 ?
C’est dommage puisqu’il se pourrait bien que M. Macron finisse par trouver du pétrole, pour reprendre l’expression d’André Santini commentant la chute dans les sondages d’une certaine Edith Cresson.
En effet le factotum de l’UE enregistre une nouvelle baisse de popularité de 7 points, après celle de 10 points le mois précédent.
Selon la dernière enquête d’opinion commanditée par le Huffington Post et CNews, il ne reste plus que 36% de Français à juger positivement l’action de M. Macron. Sans doute obtiendrait-il un meilleur résultat chez les « migrants ».
A ce rythme il risque de battre le record de ses prédécesseurs.
Nous avions déjà expliqué les raisons de cette chute, qui risque de s’accélérer au fur et à mesure que les Français vont comprendre l’imposture dont ils ont été les victimes consentantes, et le véritable projet qui anime M. Macron.
Sans parler de l’amateurisme d’un grand nombre de ses députés, de ses ministres souvent loin d’être à la hauteur.
Enfin à le rentrée, le gouvernement va devoir aborder les sujets qui fâchent, comme la loi travail, loi Macron II qu’ils veulent faire passer en force, alors que la loi Macron I (dite loi El Khomri ou El Macron) est à peine appliquée et n’a fait l’objet d’aucune évaluation.
Il ne suffira plus alors de montrer les jambes de Brigitte Macron en couverture de Paris Match pour maintenir la popularité du couple élyséen.
Jupiteux va bientôt se retrouver face à la réalité, et les Français découvrir que le roi est nu.
Le Front National sera au rendez-vous pour rassembler tous ceux qui refusent cette politique désastreuse.
Tout l’été, tenez-vous informés de l’actualité locale sur notre site et sur les réseaux sociaux (Facebook, Twitter)
Zéro migrant dans la rue… et combien dans nos départements ?
Le salon Murat à l’Elysée : on s’y préoccupe du sort des « migrants ».
« Zéro migrant dans la rue » d’ici le fin de l’année. C’est la dernière promesse faite par M. Macron lors de son discours d’Orléans le 27 juillet.
Quelques jours auparavant ils répondaient aux salariés de GM & S qu’il n’était pas le père Noël. Mais il prêt désormais à jouer le père Noël pour les « migrants » !
Ce n’est pas sans rappeler l’objectif « zéro SDF » lancé successivement par Chirac, par Jospin puis par Sarközy avec le résultat que l’on sait.
D’ailleurs à l’époque, Libération avait parlé de « démagogie ».
Mais quand il s’agit de M. Macron, pas question de démagogie. Il est vrai que Libération est détenu à 50% par Patrick Drahi ami très proche de M. Macron qui lui a donné plus qu’un coup de pouce quand il était ministre des Finances. D’où le soutien inconditionnel des médias de l’empire Drahi à la campagne présidentielle du candidat qui marchait pour le système.
La Nouvelle République nous conte aujourd’hui la soirée mondaine des époux Rouillac à l’Elysée, où il a été question… des migrants ?
Certains seront-ils logés à l’Elysée, ou bien au château d’Artigny où le commissaire-priseur Philippe Rouillac organise ses ventes ?
Vous n’y pensez pas. Mais l’Etat vient de réquisitionner un hôtel au Subdray près de Bourges et le président (LR) du département d’Indre et Loire demande que le centre de Pontourny soit reconverti pour l’accueil des migrants mineurs.
Il y a fort à parier que le Loir et Cher sera également touché et que nous devrons augmenter la capacité des centres d’accueil, et peut-être réquisitionner des hôtels et des logements.
M. Macron tente ainsi de répondre aux exigences de l’Europe et de Mme Merkel, à l’heure où la fracture sociale n’a jamais été aussi criante en France.
Il est évident que ce n’est pas en créant de nouvelle place d’hébergement que l’on va régler le problème.
Tant que nous irons chercher les migrants devant les côtes libyennes pour les amener en Europe, au lieu de les débarquer sur la c^te dont ils sont partis, la situation ne fera que s’aggraver.
Au contraire il faudrait que la France donne le signal de la fermeté en renvoyant chez eux tous les faux réfugiés, qui représentent plus de 80% des « migrants ».
C’est à cette condition que le gouvernement pourrait enfin se préoccuper du sort des Français les plus défavorisés, dont beaucoup sont aussi à la rue. Mais de cela il n’a pas été question sous les ors du salon Murat à l’Elysée.
Loir et Cher : le parti de Macron rattrapé par les pratiques des « vieux partis ».
Le crime était presque parfait.
Des citoyens sincères, dégoûtés par le spectacle d’une classe politique jugée incapable de proposer des solutions crédibles, critiquée pour ses pratiques parfois douteuses, ont cru que le mouvement créé par M. Macron avec le soutien des banquiers, des affairistes, des médias, de l’Union européenne et l’appui discret de François Hollande allait provoquer un renouveau des moeurs politiques dans notre pays.
Nous avons eu beau dénoncer cette imposture, nous n’avons pas été entendus, le tintamarre médiatique était trop fort autour du candidat chargé de sauver le système.
Mais les faits sont têtus et progressivement les « marcheurs » ouvrent les yeux.
Déjà l’arrogance, l’insolence de M. Macron commence à sérieusement indisposer les Français. Sa mise en scène lors de rencontres internationales ne pourront tromper bien longtemps, d’autant plus qu’elles ne se traduisent pas par le moindre résultat.
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Séminaire du Front National : première étape vers le Congrès.
Marine le Pen à la tribune de l’Assemblée nationale : la voix des Français.
La récente élection présidentielle a profondément modifié le paysage politique français, révélant au grand jour la parfaite identité de vue entre les partis du système. Ce que nous avions depuis longtemps appelé l’UMPS existe bel et bien, puisque le Premier ministre Edouard Philippe appartient aux « Républicains » alors que Macron était conseiller puis ministre de Hollande.
Les Français ont été trompés par quelqu’un qui prétendait incarner le renouveau, ils ont cru tourner la page des « vieux partis » discrédités, mais il ne s’agissait en fait qu’une vaste opération de blanchiment.
Sans doute faudra-t-il encore quelque mois avant que les Français perdent leurs illusions, mais le processus a déjà commencé : parti d’une cote de popularité de 62 % après son élection, contre 61% à Hollande, Macron chute au bout de 3 mois à 54% contre 56% pour Hollande à la même période.
Chute qui risque de s’accélérer à la rentrée dès lors que le gouvernement va aborder le concret dans la loi travail.
Le Front National demeure par conséquent le seul recours pour nos compatriotes.
Certes, Marine Le Pen n’a pas remporté la présidentielle, ce qui a provoqué une déception compréhensible, qui s’est ressentie lors des législatives, où beaucoup de nos électeurs se sont dit « à quoi bon ? »
Mais pour autant il est abusif de parler de « crise » au Front national comme le font à dessein les médias.
«Comment voulez-vous être en crise quand vous êtes qualifiés au second tour [de l'élection présidentielle] et que vous rassemblez près de 11 millions d’électeurs ?» rappelait à juste titre Stéphane Ravier.
Le séminaire qui s’est tenu vendredi et samedi n’a pas été l’occasion d’un « règlement de compte » comme l’auraient souhaité nos adversaires, mais d’un temps d’analyse et de réflexion pour faire le bilan de la séquence électorale passée et préparer l’avenir.
C’est une première étape. Ensuite les adhérents seront consultés à travers un questionnaire, il y aura également des assemblées générales départementales et enfin le Congrès en mars 2018.
Encore une fois, ce sont les faits qui vont nous donner raison très rapidement, et nous devons être prêts afin de proposer aux Français la véritable alternative.
Mais si vous souhaitez participer à ce débat dont l’enjeu est capital pour la France, il fait être adhérent. C’est pourquoi je vous incite dès maintenant à adhérer ou à renouveler votre adhésion. Vous pouvez demander un bulletin d’adhésion auprès de notre fédération : fn41@frontnational.com ou bien adhérer directement en ligne.
Voici le communiqué du Front national publié à l’issue du séminaire :
« Réunis en séminaire, ces 21 et 22 juillet au siège du Front National, les membres du Bureau politique, élargi à certains responsables des campagnes électorales récentes, ont passé méthodiquement en revue tous les aspects de la vie du mouvement : fonctionnement du parti, gestion et animation des fédérations, implantation et rôle des élus locaux, bilan des élections présidentielles et législatives, communication et supports de communication, thématiques programmatiques et stratégie.
Après un bilan détaillé, de nombreuses propositions ont été émises dans un état d’esprit constructif et suivies de décisions qui seront prochainement communiquées aux adhérents. Une grande consultation sera lancée en septembre, afin de leur soumettre un questionnaire complet, concernant tant le projet que la stratégie et l’organisation.«
Suite du communiqué sur le site du Front National.
Attention fake news : Najat Vallaud-Belkacem a menti !
Najat Vallaud-Belkacem : menteuse, arrogante et menaçante. Osera-t-elle nous répondre ?
Mise à jour du 22/05 à 19 h 30 : voilà plus de 24 heures que nous avons mis Mme Vallaud-Belkacem au défi de nous répondre. Silence radio. Et aujourd’hui c’est Laurent Ruquier, loin d’être de nos amis, qui défend à son tour la journaliste de France 2, expliquant que « la seule fake news, c’est de dire que Vanessa Burggraf a fait des fake news« .
Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’Education sous François Hollande, s’en est prise violemment à Vanessa Burggraf dans l’émission « On est pas couché » samedi 20 mai.
Mise en difficulté devant le bilan catastrophique de l’apprentissage du Français à l’école et au collège, elle a qualifié la réforme de l’orthographe de « fake news ».
C’est la dernière mode pour disqualifier un adversaire, on qualifie de « fake » toute information qui n’est pas validée par les médias du système.
Au passage, Mme Vallaud-Belkacem aurait pu se donner la peine traduire cette expression en français…
Mais revenons au fond de l’histoire : l’information est-elle vérifiée ou non ?
La réponse est oui.
Mme Vallaud-Belkacem a été Ministre de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche du 26 août 2014 au 10 mai 2017. Le décret portant sur la réforme de l’orthographe a été publié par le Bulletin officiel de l’Education nationale du 26 novembre 2015, Le décret se basait sur des recommandations du conseil supérieur de la langue française datant de 1990, mais qu’aucun ministre n’avait osé mettre en pratique. C’est bien elle qui a franchi le pas.
Cela concerne plus de 2 000 mots, qui posséderont désormais deux orthographes, ne faisant qu’ajouter à la confusion. De nombreux articles ont été consacrés à cette réforme, traduite concrètement dans de nombreux manuels scolaires à la rentrée 2016, et très largement critiquée par les enseignants.
On essaie de nous faire croire que cela relèverait d’une simple » décision des éditeurs ». Il faut arrêter de prendre les Français pour des imbéciles.
Conclusion : c’est bien Mme Vallaud-Belkacem qui a menti et propagé un « fake ».
Nous ne manquerons du publier ici-même sa réponse et les commentaires des internautes. Une telle arrogance devient véritablement insupportable. Et nous ne sommes pas, nous ne serons jamais couchés !
Ce n’est pas sans rappeler l’attitude de M. Macron durant le débat avec Marine Le Pen, où il a multiplié les mensonges avec une telle assurance que les téléspectateurs n’y ont vu que du feu.
Gouvernement provisoire : les vieilles recettes de la cuisine électorale.
1er gouvernement Macron : pas beaucoup de femmes au 1er plan !
Les Français ont eu peur du changement, il se sont contentés de voir un nouveau visage, et ils ont espéré un renouveau de la vie politique française.
Jour après jour, ils découvrent qu’ils ont été trompés.
Les piliers du nouveau gouvernement formé depuis hier sont pour la plupart de vieux routiers de la politique, mûs par l’ambition personnelle et soucieux avant tout de leur carrière.
Ainsi Bruno Lemaire, ministre pour la 4ème fois, heureux de retrouver un maroquin après son humiliante défaite aux primaires de la droite et du centre avec un score de 2,4% ! Pour l’anecdote, il disait il y a quelque temps « Macron c’est l’homme sans projet, car c’est l’homme sans conviction. » Leur voilà au moins un point commun !
François Bayrou, qu’on ne présente plus, est pour sa part dans la vie politique depuis 1986, date de son 1er mandat de député. Plus de 30 ans de carrière, il était déjà ministre en 1993.
Gérard Collomb, élu député en 1981, enchaîne les mandats depuis 1981, cela fait 36 ans ! Quelle renouveau ! Spécialiste du cumul des mandats (sénateur, maire de Lyon, Président de Lyon Métropole) il a vu son indemnité de sénateur réduite à 4000 euros par mois en 2016 pour « absentéisme ». Une caricature de ces politiciens que les Français rejettent.
Quant à Marielle de Sarnez, qui « que » 66 ans, elle est en politique depuis 1974, date de son engagement auprès de Valéry Giscard d’Estaing.
Enfin le Premier ministre, l’énarque Edouard Philippe dont nous parlions hier, se caractérise à la fois pas son peu d’activité à l’Assemblée nationale et son caractère autoritaire à la mairie du Havre selon ses opposants, qui le qualifient volontiers d’anguille en raison de ses nombreux changements d’orientation, avec comme seule boussole l’ambition personnelle. Voilà qui ressemble à Macron.
Par contre, faire cohabiter l’ancien lobbyiste de chez AREVA avec Nicolas Hulot risque de poser quelques problèmes. On le voit déjà avec la méthode « hollandaise » choisie pour Notre-Dame des Landes : le gouvernement va nommer un médiateur. Avant de créer un comité Théodule ? Il faut surtout gagner du temps avant les élections législatives…
Il semblerait d’ailleurs que les Français n’aient pas tellement confiance, comme en témoignent les premières enquêtes d’opinion.
Cela risque bien de ne pas favoriser les candidats « En Marche » sur terrain, dont certains risquent fort de « ramer ».
En Loir et Cher Marc Fesneau qui se présente en dehors de sa circonscription pour ne pas affronter Maurice Leroy, UDI Macron-compatible, était encore à la recherche d’un suppléant. Mais la présence de Rama Yade sera un handicap, car elle risque de capter le même électorat, elle aurait d’ailleurs demandé l’investiture d’En Marche.
Dans la 2ème circonscription Jean-Luc Brault semble lancer une campagne… de conseiller départemental, en expliquant ce qu’il fera dans le département s’il est élu ! Et il annonce déjà que s’il arrive 3ème il se désistera pour faire battre Mathilde Paris, candidate du Front National. Pas très mobilisateur.
Face à tous les candidats du système, aux représentants des partis de gouvernement divisés et hésitants, nous appelons les électeurs du Loir et Cher à un véritable sursaut.
Il est indispensable que le Front National représente à l’Assemblée nationale une véritable opposition, le noyau dur autour duquel doit se constituer le bloc des patriotes, pour défendre la France et les Français.
Décompostion.
Le premier ministre choisi par M. Macron au sein de l’UMPS ne veut pas parler d’ouverture, mais de recomposition.
Il devrait plutôt parler de décomposition.
Les tractations autour de la formation du gouvernement, après les marchandages autour des investitures, ont le parfum désuet de la IVème République, avec les alliances entre socialistes, radicaux et centristes.
Premier barbu à occuper Matignon depuis Paul Ramadier pour mieux compléter le tableau, Edouard Philippe a pour principale mission de brouiller les cartes d’ici les élections législatives, en ôtant aux « Républicains » leur principal argument de campagne : forcer M. Macron à une cohabitation. Trop tard !
Et puis la cohabitation, c’est dans la Vème République, pas dans la IVème !
Toujours dans la même logique d’appareil, l’investiture de Marc Fesneau (MoDem) est confirmée, mais pas dans sa circonscription, où il ne veut pas affronter Maurice Leroy. Il a choisi la 1ère, ajoutant à la confusion après l’auto-parachutage de Rama Yade, qui vise le même électorat.
Aucune nouveauté donc avec « En marche », si ce n’est un retour aux vielles solutions du passé et dépassées.
C’est pourquoi nous renouvelons notre appel à tous les patriotes sincères pour faire entendre leur voix.
La France a perdu une bataille, mais elle n’a pas rendu les armes !
La véritable recomposition, elle est à venir, une fois que les partis qui ont gouverné depuis 40 ans auront fin de se décomposer, et que les survivants, embarqués par M. Macron sur son radeau de la Méduse auront fini de s’entre dévorer !
Après les mensonges, la tricherie ?
Après les mensonges de M. Macron lors du débat face à Marine Le Pen, la fraude électorale ?
Nous avons alertés par de nombreux électeurs ayant reçu des enveloppes dans lesquelles le bulletin de Marine le Pen était déchiré. Cela touche plusieurs départements dans des proportions qui dépassent l’explication d’un simple incident technique.
Communiqué de presse de David Rachline, Directeur de campagne de Marine Le Pen :
Des centaines de relais départementaux, des milliers de signalements par départements nous remontent de toute la France pour nous alerter sur une situation très préoccupante quant à des violations graves du droit électoral en vigueur.
Ainsi de nombreux administrés ont réceptionné chez eux, au titre de la propagande électorale les deux bulletins de vote des deux candidats à l’élection présidentielle, le bulletin de notre candidate étant systématiquement déchiré et celui de notre opposant, M. Macron intact.
La multiplication de ces actes profondément anti-démocratiques constitue une grave atteinte au fonctionnement de notre République.
Ces graves irrégularités et infractions au code électoral en vigueur ont été constatées dans les départements suivants : Ardèche (07), Alliers (03), Savoie (73), Loire (42), Yvelines (78), Eure-et-Loir (28), Hérault (34).
Il est également constaté que certains maires envoient à leurs administrés des courriers portant des consignes de vote, plus ou moins directes, sur papier à en-tête de la commune, et probablement avec les moyens de celle-ci.
De même, en ce qui concerne la banderole que le maire de Montpellier s’est cru autorisé à déployer sur un bâtiment public.
De telles pratiques constituent une infraction claire de l’article L 116 du code électoral, qui sanctionne toute manœuvre ayant pour but d’altérer la sincérité du scrutin :
“Ceux qui, par des manœuvres frauduleuses quelconques, accomplies même en dehors des locaux ou commissions visés à l’article L. 113, auront porté atteinte ou tenté de porter atteinte à la sincérité d’un scrutin, violé ou tenté de violer le secret du vote, empêché ou tenté d’empêcher les opérations du scrutin, ou qui, par les mêmes manœuvres, en auront changé ou tenté de changer les résultats, seront punis des peines portées audit article.”
Nous vous informons que je viens, au titre de directeur de Campagne de Marine Le Pen de saisir la Commission de contrôle électoral sur la base des faits évoqués plus haut.
Nous invitons tous les électeurs à la vigilance et leur rappelons qu’ils sont en droit d’exiger le jour du scrutin l’inscription sur les deux exemplaires du procès-verbal détenu par chaque bureau de vote de toutes observations, protestations ou irrégularités.
Personne ne peut voler l’intégrité du scrutin aux Français, seul le peuple est souverain de cette élection majeure pour notre pays.
Nous n’avions eu qu’un signalement au 1er tour en Loir et Cher, merci de nous communiquer toute anomalie.
Si jamais vous vous receviez un bulletin endommagé, il ne faut surtout pas l’utiliser, mais prendre celui que vous trouverez dans votre bureau de vote.
Mélenchon, ultime trouvaille du système ?
Comme M. Mélenchon, le dictateur a toujours bénéficié de l’indulgence des médias.
C’est la nouvelle coqueluche des médias ! Comme en 2012, M. Mélenchon bénéficie d’une promotion exceptionnelle dans les médias, qui présentent comme une nouveauté ses propositions d’un retour au socialisme des années 50, façon Fidel Castro !
L’objectif est strictement le même : essayer de détourner l’électorat populaire d’un vote constructif en faveur de Marine Le Pen, pour changer vraiment le système, pour un vote purement protestataire et totalement stérile.
Qui plus est, M. Mélenchon n’inquiète pas le système dont il est issu. L’exemple de Tzipras en Grèce est là pour les rassurer. Arrivé au pouvoir à la tête du mouvement Syriza, il accepte de se conformer aux exigences d’austérité de la troïka (Commission européenne, BCE, FMI), donnant encore la semaine dernière un nouveau tour de vis.
Souvenez-vous qu’en 2012, à 48 heures du scrutin, les sondages entretenaient encore le suspense pour savoir qui de Marine Le Pen ou de M. Mélenchon serait le « 3ème homme ». Ils étaient donnés tous les deux à égalité à 14 %.
On connaît la suite : 18% pour Marine, 11% pour Mélechon !
Cette fois encore on nous refait le coup des sondages… et des meetings géants, pour lesquels les médias reprennent sans discuter les chiffres invraisemblables des organisateurs.
Ainsi aujourd’hui à Marseille sur le Vieux-Port, où le bonimenteur prétend avoir rassemblé 70 000 personnes, sur une place dont la surface n’excède guère, y compris le quai de Bègles, 6 000 m2. Même si la foule occupait le bas de la Canebière, les vidéos montrent que la densité était loin d’atteindre 1 personne par mètre carré, il faut donc diviser le chiffre par 10 ! (*)
Et en matière de mensonges, M. Mélenchon n’en est pas à son coup d’essai. Nous n’avons pas oublié qu’en 2012, il prétendait avoir rassemblé… 120 000 Marseillais à la plage du Prado. C’est ce qu’on appelle à Marseille une galéjade !
Mais cette fois il a préféré choisir une place plus petite et avoue que le nombre des participants, selon ses propres dires, à diminué de 42% !
Enfin puisqu’il est question de mensonge, il faut dénoncer l’accusation portée par l’admirateur de Pol Pot et de Fidel Castro contre Marine Le Pen, qui aurait suggéré de rejeter le réfugiés à la Mer !
Mensonge, ignorance, ou bien les deux à la fois ?
Marine Le Pen n’a jamais tenu de tels propos, elle préconise seulement que les naufragés recueillis en mer soient reconduits à leur point de départ.
Mais il est vrai qu’à Marseille quelqu’un avait demandé de rejeter des réfugiés à la mer. Il s’appelait Gaston Defferre, et il voulait rejeter à la mer nos compatriotes chassés d’Algérie par les amis de MM. Mélenchon et Macron, les tueurs du FLN.
Nous mettons au défi le candidat de la France soumise de nous répondre sur cette question.
(*) Le Monde s’était livré à ce genre de calcul pour la Manif pour tous en 2013. pas pour M. Mélenchon !
François Hollande rejoint Emmanuel Macron !
Cette fois c’est un gros poisson qui tombe dans les filets d’Emmanuel Macron.
On attendait depuis longtemps la décision du Président sortant, mais il restait muet comme une carpe.
Peut-être Manuel Valls a-t-il servi de poisson-pilote pour tester les réactions de ce qui reste du PS ? Mais les remous consécutifs à sa trahison se limitent pour le moment à quelques vaguelettes à la surface du marigot.
Selon un source généralement bien informée, le blogueur Aurélien Pilchard, une rencontre secrète aurait eu lieu entre le frétillant candidat d’En Marche et François Hollande, qui s’y serait rendu discrètement en scooter afin d’éviter de tomber dans la nasse des journalistes aux aguets.
Contrairement à certaines rumeurs, la cabinet noir n’est pas le lieu de cette rencontre en eaux troubles.
Sans doute la grande presse rendra compte rapidement de cette information exclusive, mais pas avant le 2 avril pour éviter toute mauvaise interprétation.
Espérons que cette arête ne reste pas en travers de la gorge de Benoît Hamon !
Ce qui est certain pour le moment, c’est que Frédéric Poisson n’a pas encore mordu à l’hameçon.
Quant à Marine Le Pen, elle garde le cap, en dépit des vagues et des courants, bien au-dessus de ces péripéties halieutiques !
Le projet présidentiel de Marine Le Pen porte aussi la question sociale
Les militants du cercle Front syndical, les syndicalistes patriotes, étaient présents aux Assises Présidentielles de Marine Le Pen à Lyon les 3 et 4 Février. Nous avons ainsi pu constater comment Marine, à travers une cohérence politique forte, porte très haut la question sociale, puisque figurent notamment parmi les 144 engagements présidentiels :
-la suppression de la directive « détachement des travailleurs » pour mettre fin au dumping social par et dans l’Union européenne (Engagement 38),
-le retrait de la loi Travail dite loi El Khomri (Engagement 53),
- le maintien de la durée légale du travail à 35H avec la possibilité d’une négociation au niveau des branches pour rallonger la durée du temps de travail avec compensation salariale (en clair si on passe à 39H, c’est 4H payés en plus). Mesure qui permettra d’augmenter le pouvoir d’achat, donc qui favorisera la relance de l’économie (Engagement 63),
- le maintien de la majoration des heures supplémentaires et leur défiscalisation. On applique vraiment le «travailler plus pour gagner plus » (Engagement 64),
- la préservation de la liberté syndicale.
Ainsi la défense du modèle social français est réaffirmée et ne peut que passer par la défense de l’Etat-nation et par la récupération de nos souverainetés spoliées par l’Union Européenne.
La candidature de Marine Le Pen à l’élection présidentielle est donc bien la seule candidature qui défende les intérêts des salariés et du monde du travail dans sa diversité, la seule vraie candidature des acteurs de l’économie réelle. C’est ce que les militants du cercle Front syndical porteront sur tout le territoire.
Dominique Bourse-Provence, Responsable national du cercle Front syndical
Laurent Bras, Secrétaire Général du cercle Front syndical
Le discours de Marine Le Pen à Lyon en version intégrale sur Youtube.
Le discours de clôture des assises présidentielles de Lyon a rassemblé 7000 personnes au Palais des Congrès, 728 000 sur les chaînes d’info (BFMTV, LCI, LCP) 640 000 sur Facebook avec près de 10 000 partages etc…
Il est disponible désormais sur Youtube, n’hésitez pas à la diffuser et à la partager.
Les voeux de Marine le Pen aux Français.
Marine Le Pen souhaite aux Français une très bonne année, pleine de courage et d’espoir.
On ne mesure que mieux le contraste avec François Hollande qui a choisi, pour ses derniers voeux de Président, le langage de la haine et de la division en insultant des millions de Français.
Nous évoquions hier dans les voeux du bureau départemental la devise de Richelieu « la politique est l’art de rendre possible ce qui est nécessaire« . C’est sous le portrait de ce grand serviteur de la France que Marine Le Pen a choisi de présenter ses voeux aux Français.
Faites largement circuler cette vidéo, nos compatriotes doivent comprendre l’enjeu de cette élection capitale. Invitez-les à nous rejoindre dès maintenant.
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