Depuis le début nos adhérents et sympathisants sont nombreux sur les ronds-points et dans les manifestations.
Le pouvoir désinforme.
Dès le départ de ce mouvement de protestation sans précédent à tous points de vue, la gouvernement a tenté de la discréditer en faisant croire à une manipulation venant de l’extrême droite.
Ces théories complotistes, autour d’une extrême droite imaginaire, font partie depuis longtemps des armes utilisées par le pouvoir pour se maintenir en place. C’est l’ultime argument dès lors que les gouvernants sont incapables de justifier leur politique contraire aux intérêts du Peuple et le la Nation.
Pourtant l’extrême-droite en France se réduit à quelques groupuscules, très souvent infiltrés, pour ne pas dire contrôlés et manipulés par les diverses polices et services de renseignements. Sur le plan électoral, ces petits mouvements n’ont jamais pesé plus de 1% dans de rares élections locales. Mais cela n’empêche pas les médias de relayer régulièrement ce genre de fake-news.
Un mouvement populaire, spontané, que le pouvoir ne parvient pas à canaliser.
Dans la réalité, le mouvement est bel et bien spontané. Il est né d’une convergence d’initiatives individuelles largement diffusées sur le Net, tout simplement parce que le terrain était déjà prêt. Il suffisait d’allumer la mèche.
L’augmentation régulière des taxes, spécialement sur les carburants, la hausse de la CSG, le gel des retraites et du point d’indice des fonctionnaires, le développement de la précarité et des « petits boulots » qui entraînent une baisse des alaires réels pour les plus modestes, la disparition des services publics et de santé dans la ruralité, la baisse du remboursement des soins etc… tout cela s’accumule depuis des années, et les dernières mesures ont été la goutte d’eau qui fait déborder le vase.
Le peuple méprisé.
A ce constat de baisse du niveau de vie, aux inquiétudes pour l’avenir, s’ajoute pour beaucoup le sentiment d’être ignoré, méprisé. L’attitude arrogante et les phrases blessantes de M. Macron ont conduit à ce rejet massif dont il est l’objet, mais au-delà, on voit resurgir sur les ronds-points et dans les manifestations des revendications qui ont trait au fonctionnement de notre système politique.
Les gens n’admettent pas qu’un mouvement qui a recueilli 11 millions de voix aux présidentielles n’ai qu’une poignée de députés. Ils demandent la proportionnelle. Ils réclament aussi le référendum d’initiative populaire afin de pouvoir s’exprimer.
Un convergence avec les idées que nous défendons.
Sur ce point comme sur d’autres, ces revendications collent parfaitement avec le programme défendu par Marine le Pen en 2017, et portées depuis toujours par notre mouvement.
Même chose sur les taxes, la défense de la France de oubliés, un des thèmes de notre campagne dès 2012 !
Au conseil régional, nos élus sont intervenus régulièrement au sujet de la TICPE, des cartes grises etc…
Enfin beaucoup de « gilets jaunes » soulèvent aussi la question de l’immigration, car ils ont du mal à comprendre qu’il n’y a pas d’argent pour eux mais qu’en en trouve pour accueillir des flots ininterrompus de « migrants ».
A contrario l’extrême-gauche rame aujourd’hui pour tenter de récupérer le mouvement, alors qu’elle l’avait dénoncé comme « poujadiste » au départ, et que la gauche a toujours soutenu la fiscalité sur les carburants… tout comme les Républicains, puisque c’est Sarközy qui a « inventé » la taxe « Grenelle ».
Quel suites pour le mouvement ?
Il est possible que le mouvement marque une pause, car il est difficile de rester mobilisé durant des semaines, surtout à cette période de l’année. Les violences commises essentiellement pas les habituels « antifa », anarchistes de tout poil et extrême-gauche, les pillages commis par les racailles elles aussi bien identifiées, ont permis au gouvernement de déployer des forces de police considérable et de bloquer l’accès au lieu de rassemblement pour les manifestants pacifiques.
Mais en janvier salariés et retraités vont découvrir les conséquences du prélèvement à la source. Et la moindre remontée des cours du pétrole risque à tout moment de remettre le feu aux poudres.
La sanction des européennes.
Toutefois le prochain acte devrait se jouer aux européennes de mai 2019.
Les derniers sondages confirment la progression des intentions de vote pour la liste du Rassemblement national, avant même qu’elle ne soit annoncée. Elle est donnée désormais à 24% contre 18% à celle soutenue par Macron, le MoDem, une parue de LR et des centristes… et qui ressemble de plus en plus au radeau de la Méduse !
Et selon un sondage paru ce matin dans le Journal du Dimanche, si l’élection présidentielle avait lieu aujourd’hui, Marine Le Pen obtiendrait 27 à 27,5% des suffrages, contre 25% à Macron.
A nous désormais de transformer l’essai pour véritablement changer de cap, faire en sorte que le peuple soit enfin respecté, écouté et représenté. Pour cela, nous vous invitons à rejoindre le Rassemblement national. Vous pouvez adhérer directement en ligne sur le site du RN. Si vous le faite avant le 31 décembre et que vous payez des impôts, vous aurez droit à une déduction fiscale dès 2019 à hauteur de 66% de votre cotisation.