(image d’archives : parvis de la gare de Tours en novembre 2016).
Progressivement, on sent que la tension monte dans les quartiers dits « sensibles », autrement dit sans langue de bois à forte proportion de population immigrée.
Nous relations la fermeture du Crédit agricole de la ZUP de Blois sous les menaces islamistes, à Tours c’est une véritable guérilla urbaine qui s’installe dans le quartier du Sanitas.
La Nouvelle République relate, dans son édition d’Indre et Loire, l’escalade de la violence qui a conduit le Préfet à faire appel au renfort d’une compagnie de CRS.
On se souvient des incidents graves qui avaient suivi une interpellation sur le parvis de la gare de Tours en novembre dernier (3 blessés, au moins 10 voitures brûlées).
Cette semaine, il s’agit de deux tentatives de meurtre par arme à feu qui ont eu lieu dans le quartier.
Avec un blessé grave samedi dernier, touché par trois balles : deux aux membres inférieurs, une dans le dos, un véritable miraculé selon les secours.
Un autre blessé lundi soir près de la place Saint-Paul, où la situation a failli tourner à l’émeute.
Selon la Nouvelle République, dans les deux cas il s’agit de tirs « en rafale », à balles réelles. De quel calibre ? S’agit-il d’une arme automatique type Kalachnikov ?
Ce quartier est connu pour être un haut lieu du trafic de stupéfiants, ce qui explique probablement ces tentatives de meurtre « à la Marseillaise », dans le cadre d’une rivalité pour s’approprier le territoire.
Un quartier en tous cas où les curieux ne sont pas les bienvenus : une équipe de France 3 qui tentait de faire un reportage mardi après-midi a dû être «exfiltrée» par les CRS.
Ces mêmes CRS qui ont essuyé un tir de mortier d’artifice un peu plus tard dans la soirée.
Ils ont dû également faire usage d’un Flash-ball près de la place Saint-Paul pour disperser des individus violents et particulièrement agressifs.
Dire que Valls et Cazeneuve, comme leurs prédécesseurs, nous ont toujours répété que les zones de non-droit n’existaient pas.
Mais comme le dit le directeur départemental de la sécurité publique, « il faut calmer le jeu !«
Nous considérons plutôt, comme de nombreux habitants du Sanitas, qu’il faut mettre un terme à tous ces trafics, mettre hors d’état de nuire les délinquants identifiés, souvent multi-récidivistes et renvoyer chez eux tous ceux qui n’ont rien à faire chez nous.
Malheureusement, il ne faut pas compter sur le pouvoir en place, ni sur un François Fillon, pour prendre les mesures qui s’imposent.
La seule solution qui s’impose, c’est Marine Le Pen en 2017 !
Indre et Loire : le Sanitas sous haute tension.
Blois : menaces sur l’AFPA.
A Blois comme ailleurs, l’AFPA est dans la tourmente.
L’intersyndicale fait part de son inquiétude pour le Centre de Blois mais aussi celui de Châteauroux (la Nouvelle République du 27/12/2016).
En cause selon les syndicats le « choix du président du conseil régional » de diminuer le volume des formations commandées à l’AFPA (– 2 312 110 €), soit près du quart de l’activité du centre. C’est encore pire pour Châteauroux, où 67 % de l’activité est remise en question.
Cela mérite quelques explications.
Le choix de la Région résulte en effet des nouvelles régles en matière de concurrence, qui obligent à passer par un marché public.
Auparavant l’AFPA, opérateur historique en matière de formation professionnelle fonctionnait sous un statut associatif, et bénéficiait de subventions afin de financer les formations dispensées.
Pour Dominique Roullet, Vice-Président du Conseil régional et élu (PS) de l’Indre, « le problème, c’est que le système d’appel d’offres imposé par l’Europe a des effets redoutables. »
Surprenant de voir un socialiste accuser l’Europe…
Mais les questions qui se posent une fois encore, c’est la définition du service public mais aussi son mode de fonctionnement.
Créée en 1949, l’AFPA demeure le 1er organisme de formation professionnelle qualifiante, avec 140 000 stagiaires formés par an. Il existe 8 centres dans notre Région.
Sa particularité, qui explique aussi une partie de ses difficultés, est d’assurer à la fois la formation, la restauration et l’hébergement.
Il faut bien dire aussi que le mode de fonctionnement, sous statut associatif et avec une « clientèle » assurée par la commande publique, a conduit à quelques dérives.
C’est ainsi que les formations n’étaient pas toujours adaptées ni remises à jour en fonction de l’évolution de la demande.
Nous avons eu des témoignages sur le sujet, dont le cas d’une personne en reconversion qui avait trouvé un stage AFPA en 2013 où la formation dispensée se basait sur des supports de cours datant de… 1997 ! Lors d’une période en entreprise, son employeur a pu lui montrer l’écart existant entre les techniques enseignées et ce qui se pratiquait alors dans la vraie vie !
La gestion du parc immobilier lié à l’hébergement et à la restauration a également posé beaucoup de problèmes. Sans parler du comportement de certains « jeunes » hébergés, comme le rappelle un exemple récent dans l’Hérault.
Cela finit par faire beaucoup.
Les dirigeants de l’AFPA en sont bien conscients, et des mesures ont été prises, dont le changement de statut au 1er janvier 2017, avec la transformation en EPIC (Etablissement Public Industriel et Commercial).
Tous les problèmes ne sont pas réglés pour autant, car la remise aux normes de l’ensemble des bâtiments est chiffrée à 1,2 milliard d’euros, conséquence du désengagement de l’Etat, propriétaire des murs, pendant des années.
La Région Centre-Val de Loire devra certainement clarifier ses relations avec l’AFPA qui, au-delà d’être un prestataire de formations professionnelles, remplit également une mission de service public.
Mais il est pour le moins surprenant de voir diminuer le volume des formations qualifiantes commandées à l’AFPA à l’heure du plan des « 500 000 formations », où la Région commande des milliers de formations courtes et non qualifiantes à de nombreux organismes, dans le but évident de faire du chiffre… et faire baisser la courbe du chômage.
Nos élus au Conseil régional ne manqueront pas d’interroger la Vice-Président Isabelle Gaudron sur ce point.
Pour notre part, nous préférons voir l’AFPA dispenser de véritables formations plutôt que de se transformer comme à Blois en centre d’hébergement pour « migrants ».
Cinéscénie à Chambord : un projet qui ne tient pas compte des réalités locales.
Un communiqué de Mathilde Paris, conseillère régionale de Loir et Cher.
Dans la continuité de notre dernier communiqué, il nous semble nécessaire de développer les raisons de notre opposition au projet de Guillaume Peltier d’une Cinéscénie à Chambord.
En effet, si nous reconnaissons le succès du Puy du Fou créé par Philippe de Villiers et développé avec brio par son jeune frère Emmanuel de Villiers de 1990 à 2002, il est important de rappeler que ce projet est né sur un site en ruine au cœur d’un territoire peu touristique. Initialement un spectacle, dont il faut rappeler que les acteurs sont bénévoles, la Cinéscénie a ensuite été prolongée par le développement progressif d’un parc d’attraction à caractère historique. Le succès du Puy du Fou tient aujourd’hui à la combinaison originale d’un parc d’attraction historique et d’un grand spectacle avec une offre d’hébergement et de restauration sur place.
Le projet d’une Cinéscénie à Chambord soulève plusieurs problèmes, qui révèlent un manque de connaissance des réalités locales par Guillaume Peltier et une manière de procéder des plus cavalières.
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Chômage : les vases communicants.
Le scénario écrit par François Hollande se déroule comme prévu… sauf que l’acteur principal a déclaré forfait.
Les statistiques officielles de Pôle emploi annoncent en effet une nouvelle baisse du chômage… en catégorie A, pour le mois de novembre.
Nous avons régulièrement expliqué comment ces résultats étaient obtenus aux prix d’un application plus sévère des critères de radiation, de la hausse importante des entrées en stage, y compris non qualifiants et de courte durée etc…
Sans parler des chômeurs qui ne s’inscrivent pas à Pôle emploi car ils ne bénéficient pas de droit à indemnisation.
Au final, la diminution observée en catégorie A ne masque pas la hausse continue en catégories A,B et C : + 1 880 inscrits en région Centre depuis novembre 2015, + 4 780 si l’on ajoute les catégories D et E.
Ce qui donne 246 110 inscrits à Pôle emploi en Région Centre-Val de Loire fin novembre (+0,4% en un mois), 6 238 420 pour la France entière.
On est encore bien loin d’une amélioration, on peut seulement observer le principe des vases communicants entre les différentes catégories.
Chambord : nouveau revers pour Guillaume Peltier.
« Chambord, comme Versailles, appartient à la Nation et ne peut faire l’objet d’aucune récupération politique, d’aucune sorte. » C’est par un communiqué cinglant que la direction du Domaine de Chambord répond à l’élu parisien de Neung sur Beuvron (Mag’Centre du 21/12/2016).
Lors de la dernière session du Conseil régional, celui qui est aussi président du groupe UDC (Union de la Droite et du Centre : LR – UDI – MoDem) avait relancé le projet d’un grand spectacle populaire à Chambord, inspiré par le Puy du Fou.
Au passage il est permis de noter que cette idée différe singulièrement de son programme de campagne qui prévoyait des manifestations temporaires sur plusieurs sites de la Région pour ne pas privilégier un département en particulier.
En bon communiquant, Guillaume Peltier annonçait que son projet était déjà validé. Assurément du grand spectacle… d’illusion !
Mais voilà, Guillaume Peltier est maintenant candidat aux législatives dans la 2ème circonscription de Loir et Cher, là où se situe… le Domaine de Chambord ! D’où le changement de pied dans un but évident de communication électorale.
L’illusion n’aura duré que quelques jours.
Le groupe Front National, qui avait présenté lui aussi des projets pour une tourisme valorisant le patrimoine historique, culturel et naturel de la région, a refusé de suivre cet amendement, et s’en explique dans un communiqué envoyé hier aux médias : Communiqué Chambord.
Une fois encore le Front National a vu juste, mais il est vrai que la position de notre groupe est basée à la fois sur l’intérêt général, le connaissance des dossiers et du territoire.
En réalité le projet défendu par l’UDC n’a rien de nouveau, c’est un véritable serpent mer, évoqué dès 2004 et qualifié alors de « Chamborland ». Il avait déjà connu le même sort.
Encore faut-il pour cela être un véritable élu local…
Agriculteurs Bio en difficulté. Qui est responsable ?
Michel Chassier (41) et Jean-René Coueille (18) à la rencontre des agriculteurs bio à Orléans le 16 décembre.
Pendant que le préfet de Région annonce la prochaine disparition de plusieurs centaines d’exploitations agricoles en Région Centre Val de Loire, les agriculteurs bio manifestent et protestent à Orléans devant le Conseil régional. Pourquoi ?
Officiellement, parce que la Région Centre-Val de Loire avait, en 2014, sous-estimé le nombre d’installations en bio et que, de ce fait, les aides ou subventions attribuées en théorie aux agriculteurs Bio nouvellement installés sont insuffisantes. La Région pensait atteindre le doublement des surfaces en 2020 alors qu’en décembre 2016 nous y sommes déjà (la Nouvelle République 16/12/2016).
Trois questions importantes.
- Qui est responsable de ce mauvais calcul ? La Région ? Les instances régionales agricoles ?
- Comment se fait-il qu’il faille aller réclamer des « aides européennes » alors que toutes les aides 2015 n’ont pas été versées, et celles de 2016 pas du tout !
- Comment expliquer les disparités entre les différentes régions dans les attributions de ces subventions dès lors que pour les aides 2016, 11 M€ seraient accordés à la Région Nouvelle-Aquitaine, et moins d’un million à la Région Centre-Val de Loire, alors que notre Région a été plus performante.
Conclusion. Nous voyons bien que ces aides Bio sont surtout destinées à appâter les agriculteurs soucieux d’une reconversion moderne et rentable mais l’instabilité et le flou de leurs attributions fragilisent et condamnent les agriculteurs dans leur plan d’avenir, d’autant plus que les aides au maintien, destinées à les accompagner le temps de la transformation ne seraient plus maintenues.
Il faut savoir que la Région, qui se félicitait il y a deux ans de se voir attribuer par l’Etat la gestion des « aides européennes » en demeure seulement le service instructeur, elle ni le décideur (c’est Bruxelles), ni le payeur (c’est L’Agence de services et de paiement (ASP) établissement public interministériel). D’où la complexité, la lenteur et les retards importants dans le versement de ces aides prétendument européennes qui ne sont que la redistribution incomplète et partielle de l’argent français que nous versons à l’Union européenne. Cet argent ne vient pas d’Union européenne mais de nos poches et nos agriculteurs ont du mal à le récupérer !
Petite anecdote tout de même à propose du bio : la Région accordait une aide aux lycées pour l’achat de produits labellisés bio. Un de nos élus a été alerté à l’occasion d’un conseil d’administration dans un lycée que cette ligne budgétaire aurait été supprimée.
Les agriculteurs « traditionnels » disparaissent par centaines, comme si c’était une fatalité. Tout est promis pour que les reconversions dans le Bio se multiplient mais les promesses ne sont pas tenues.
Situation d’autant plus paradoxale qu’il existe une demande et qu’il faut par conséquent importer des produits bio d’Allemagne. Bonjour les circuits courts et la proximité !
Conseil régional : vos élus en session.
(image d’archives : le groupe FN lors de la dernière session)
Vos élus régionaux siégeront jeudi et vendredi à Orléans pour la dernière session plénière de l’année 2016.
Elle sera surtout consacrée au budget, mais aussi au nouveau Schéma Régional de Développement Economique, de l’Innovation et de l’Internationalisation. Il sera également question des transports routiers et scolaires, d’un point d’étape sur la politique régionale de santé, du tourisme, de l’enseignement supérieur, de la formation professionnelle etc…
Vos élus e Loir et Cher, Mathilde Paris et Michel Chassier auront l’occasion d’intervenir plusieurs fois au cours des débats.
Rappelons que la session est ouverte au public, et que vous pouvez également suivre les débats en direct sur le site de la Région.
Liberté d’expression : le Planning familial 41 approuve la censure.
Dans un communiqué publié ce matin par la Nouvelle République le Planning familial 41 approuve loi adoptée le 1er décembre par les députés, qui prévoit de condamner lourdement un délit de « fausses informations » sur Internet au sujet de l’IVG.
Qu’on ne s’y trompe pas, il s’agit bel et bien d’une nouvelle tentative de museler la liberté d’expression sur Internet, domaine de liberté qui échappait encore largement à la censure.
Nous évoquions cette menace, bien réelle, dans notre article fêtant les 2 millions de visites sur notre blog.
Dans le cas de cette loi proposée à l’initiative du gouvernement, il s’agit de s’en prendre à certains sites internet qui « donnent de fausses informations sur l’IVG » et cherchent « à induire intentionnellement en erreur, dans un but dissuasif », les femmes qui consultent ces sites.
D’emblée la question se pose de savoir ce que l’on considère comme une « fausse information ». Qui pourra en juger ? A contrario, cette loi ne vise pas les sites qui donnent des informations inexactes ou partielles et qu’on pourrait considérer comme agissant « dans un but incitatif » à l’IVG, ce qui prouve bien un manque d’équilibre et une démarche idéologique conduite dans l’urgence avant débâcle de 2017.
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Conseil régional : vos élus préparent la session.
Réunion de groupe pour préparer la session.
La prochaine session du Conseil régional, les 15 et 16 décembre sera essentiellement consacrée au budget, mais aussi au nouveau Schéma Régional de Développement Economique, de l’Innovation et de l’Internationalisation. Il sera également question des transports scolaires, d’un point d’étape sur la politique régionale de santé, du tourisme etc…
Les élus du groupe Front National étaient réunis hier à Orléans pour faire le point sur les dossiers.
Sur le budget, le Président Bonneau parle d’un tournant décisif dans l’affirmation du fait régional. C’est la conséquence de la loi NOTRe et des transferts de compétences.
Nous sommes de fait sur un budget qui augmente de 180 millions d’euros avec 2 blocs de compétences dont une nouvelle : les transports scolaires et inter-urbains et une autre qui voit le rôle de la Région renforcé : la compétence économique.
Nous ne sommes pas convaincus que ces transferts aboutissent à une meilleure efficacité de l’action publique. Pour les transports scolaires la Région devra déployer des moyens dans les départements afin de conserver une gestion de proximité, on ne voit pas vraiment l’avantage, mais on risque à travers les marchés publics de favoriser à nouveau les grands opérateurs au détriment des entreprises locales.
Pour le développement économique il n’est pas certain non plus que la nouvelle répartition des compétences, qui n’est pas toujours parfaitement tranchée, soit plus efficace, d’autant que les leviers d’action de la Région demeurent limités.
Pour revenir au budget, le débat d’orientations avait porté essentiellement sur la question des ressources, d’où la décision, contestée par le groupe FN, d’augmenter de 17% la taxe sur les cartes grises.
Malgré cela, en dehors des compétences transférées, la plupart des programmes voient leur enveloppe diminuer, en particulier les contrats territoriaux d’aménagement.
Notre proposition reste d’annuler la hausse de la taxe sur les cartes grises, cela représente un peu plus de 15 millions d’euros d’économies à réaliser.
Quant au fameux Schéma Régional de Développement Economique, de l’Innovation et de l’Internationalisation (SRDEII), imposé par la loi NOTRe, nous n’y voyons qu’un schéma de plus dont nous doutons de la pertinence et de l’efficacité.
Conférence de presse
On trouve dans ce rapport un catalogue de constats, mais il reste très vague au niveau des solutions.
Au final soit on enfonce des portes ouvertes, soit on formule des intentions qui restent très générales, on énumère 185 « orientations » ce qui démontre bien que l’on sait pas vraiment où l’on va.
Or il y a très loin de la réalité aux ambitions affichées.
Faire de la transition écologique et énergétique un levier de développement nous semble totalement irréaliste.
Quel est le sens d’une « région entreprenante et solidaire qui met l’humain au coeur du développement des entreprises » ? Tout cela relève d’une rhétorique de discours électoral plutôt que d’un schéma d’orientation qui se voudrait opérationnel.
Il est question de « relocaliser l’économie », nous sommes pleinement d’accord, mais de quels leviers dispose réellement la Région ? Nous sommes contraints par la réglementation et la législation européenne dont nous sommes les seuls à dire qu’il faudrait s’en affranchir.
Faire du tourisme le moteur de l’économie régionale c’est omettre le fait que la part du tourisme dans le PIB régional est de seulement 4,4% en dépit des atouts dont nous disposons.
Quant à l’identité de la Région, le changement de nom n’y a pas changé grand-chose.
Nous remarquons au passage que le rapport « vers un écosystème du numérique » fait un peu doublon avec le SDREII, on sent d’ailleurs qu’il s’agit d’un rapport bâclé.
Sur ce point on peut s’attendre lors de la session à de grandes envolées et des propositions tous azimut, mais cela ne restera que des mots.
Vos élus de Loir et Cher, Michel Chassier et Mathilde Paris, interviendrons sur plusieurs sujets (budget, SDREII, tourisme, santé).
A Chartres, le Front National présent pour une région sans migrants
Samedi 3 Décembre, à l’appel du Front National 28, nous étions présents à Chartres pour dénoncer l’accueil de nouveaux migrants dans l’Eure-et-Loir. Devant la préfecture du département, une cinquantaine de personnes (voir article de l’Echo Républicain du 3-12-2016) étaient rassemblés, avec une présence de militants et cadres du FN41 et du FN18. Ainsi après Bourges (voir article du blog du 5-11-2016), nous nous devions d’être présent pour une région Centre sans migrants.
Quand tant de nos compatriotes sont sans emplois, dans la misère sociale, le gouvernement et ses complices préfèrent utiliser l’argent et les ressources publiques au profit d’une immigration déferlante. Comme le disait un certain Michel Rocard, « la France ne peut pas accueillir toute la misère du monde »: nous n’en avons ni les moyens, ni les capacités.
Il faut défendre les nôtres avant les autres. En 2017, les Français devront le dire haut et fort avec #Marine2017.
Quelque photos de la manifestation:
Laurent Bras, Secrétaire Départemental Adjoint du FN41
Rassemblement à Chartres contre l’arrivée de nouveaux « migrants ».
Des centaines de migrants sont arrivés récemment en Eure et Loir. Comme partout ailleurs, la plupart sont des hommes seuls provenant d’Afrique subsaharienne pour des raisons économiques. Ce ne sont donc pas des réfugiés, mais des majoritairement des immigrés clandestins que les autorités vont régularisé en grand nombre, ce qui leur permettra de faire venir leurs familles.
Le FN 28 organise un rassemblement devant la Préfecture du Chartres ce samedi 3 décembre à partir de 10 heures pour exprimer le refus des Euréliens de se voir imposer ces quotas d’immigrés qui seront très vite à la charge des collectivités locales dès que les aides de l’Etat prendront fin.
Nous invitons nos amis de Loir et Cher à se joindre à se rassemblement, car toute la région est concernée.
La Région Centre-Val de Loire et la Syrie : mise au point du Front National.
La prochaine libération de la ville d’Alep contrarie les plans de la « coalition ».
A plusieurs reprises par le passé, la Région Centre-Val de Loire a décidé des aides d’urgence aux populations sinistrées : après les séismes de 2010 à Haïti, de 2015 au Népal, cette fois-ci encore après la tempête Matthew à Haïti.
Ces aides demeurent symboliques, puisque l’enveloppe annuelle est de 100 000 euros, et le groupe Front National les a néanmoins votées, bien que cela ne relève pas des compétences de la Région.
Mais, lors de la dernière commission permanente, il nous a été proposé d’accorder une aide de 30 000 € au Comité International de la Croix Rouge pour son action en Syrie.
Michel Chassier a fait remarquer que cela risquait de constituer un précédent, d’autant plus que les zones de conflit ne manquent pas : outre la Syrie il y a l’Iraq, l’Afghanistan, la Lybie, le Yemen, le Soudan, la Somalie etc…
Il nous paraît donc imprudent de se lancer dans ce type de démarche, qui relève avant tout de l’action gouvernementale.
Ce que rappelle d’ailleurs le rapport qui nous a été soumis, expliquant « que l’action de la Région Centre-Val de Loire en faveur des populations sinistrées s’exerce dans le respect des engagements internationaux de la France et de la politique étrangère du gouvernement« .
Le problème c’est précisément que les engagements internationaux de la France conduisent notre gouvernement à soutenir la rébellion armée contre le régime en place, pourtant reconnu par les Nations Unies.
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Les « jeunes qui s’énervent contre la Police » soutenus par le Conseil régional !
Un rapport n’est pas passé inaperçu lors de la dernière commission permanente du conseil régional vendredi 25 novembre à Orléans. Il était question de subventionner le « Parlement libre des Jeunes » et l’association « Démocratie Ouverte ».
D’abord le « Parlement libre des Jeunes« . Cette manifestation désormais annuelle a péniblement rassemblé 70 jeunes de 18 à 30 ans en 2016, à l’initiative du Mouvement Régional de la Jeunesse Chrétienne. Mouvement qui connaît depuis longtemps une dérive gauchisante, il a soutenu François Hollande en 2012 et Jean-Marc Ayrault y a milité dans sa jeunesse.
En premier lieu ce qui nous a fait réagir c’est le fait que cette rencontre soit financée à 100% par des fonds publics : 10 000 euros du Conseil régional et 3 000 euros de la Direction Régionale de la Jeunesse et des Sports !
Ensuite quand on y regarde d’un peu plus près, les thèmes abordés ont de quoi laisser rêveur. Un des forums thématiques porte sur le droit des « jeunes » citoyens avec le forces de l’ordre.
Avec ce visuel explicite que nous présentons en illustration de cet article.
Le texte est lui-même tout aussi clair : « Certains jeunes sont l’objet de multiples contrôles par la Police ou la Gendarmerie. Parfois ces jeunes s’énervent, sont accusés d’outrage à tort ou à raison… »
Il suffit de rappeler le nombre de Policiers et Gendarmes blessés, ou tués, en service pour comprendre en effet que « certains jeunes s’énervent ».
Tout au long de ce document, on dénonce évidemment les contrôles « au faciès », sans se poser une seule fois la question du comportement des jeunes qui en sont l’objet. Nous pourrions citer des dizaines d’exemples.
Démocratie Ouverte et les Territoires Hautement Citoyens.
Autre subvention dénoncée par les élus FN, celle de 140 000 euros à l’association « Démocratie ouverte » afin d’aider la Région Centre à mener à bien une « démarche globale de multi concertation et alimenter sa réflexion » !
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Mathilde Paris sur Plus FM mercredi 30 novembre à 8 heures.
Mathilde Paris, conseillère régionale, conseillère municipale et communautaire de Blois sera l’invitée de la matinale sur Plus FM mercredi 30 novembre à 8 heures.
Elle évoquera l’actualité locale, départementale et régionale.
Plus FM émet à Blois (89.4), à Montrichard (99.3), Romorantin (96.7), Vendôme (97.4) et enfin Lamotte-Beuvron (105,8) et Montoire (90,8).
Région Centre-Val de Loire : les statistiques du chômage laissent perplexe.
Nous le savions depuis des mois : il fallait absolument que les statistiques annoncent avant fin 2016 une « inversion de la courbe du chômage », condition que François Hollande s’était imposée lui-même en vue de sa candidature qui est désormais une quasi-certitude.
Et, miracle, les chiffres de ces deux derniers mois semblent lui donner raison, avec une légère baisse du nombre des inscrits à Pôle Emploi.
Nous vous tenons informés tous les mois de cette évolution, mais quelques précisions nous semblent nécessaire pour bien comprendre le mécanisme de la tromperie.
Pour cela nous avons repris les données mensuelles détaillées publiées par la DIRECTTE Centre sur la base des données de Pôle emploi.
Ce qu’il faut comprendre d’abord, c’est que les données affichées ne sont pas des données « brutes », mais « corrigées des variations saisonnières ». Ensuite, pour ce qui est des motifs d’entrées et sorties de Pôle emploi, ils sont communiqués sous forme de moyennes trimestrielles, ce qui ne permet pas une comparaison d’un mois sur l’autre.
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Conseil régional : juppéistes et néo-fillonistes font profil bas.
Les Echos de la Région par Michel CHASSIER, Président du groupe Front national en Région Centre-Val de Loire ( conseiller régional de Loir-et-Cher)
Les représentants du Groupe FN en Commission permanente le 25 novembre à Orléans.
Ambiance particulière ce matin à la Commission permanente du Conseil régional à Orléans.
Sans doute une conséquence des primaires, au lendemain du débat insipide Juppé-Fillon, les élus de la Droite et du Centre sont restés en retrait sur la plupart des dossiers.
En particulier pour des sujets « sensibles » sur lesquels certains représentants d’une droite « forte et décomplexée » auraient pu faire entendre leur voix.
Sur le très politisé « forum des droits humains » à Orléans, qui regroupe aussi bien les amis du journal l’Humanité, que la Voix Ouvrière (CGT), Attac 45, le « Mouvement de la Paix » créé après guerre par le parti communiste pour soutenir le désarmement… sauf en URSS, ou encore des associations vantant les mérites de la mondialisation et des migrations, le groupe de Guillaume Peltier a voté contre, alors que la maire « LR » d’Orléans finance la manifestation. Ce sera la seule opposition de l’UDC sur un total de 96 votes !
Mais lorsque le Front National a osé rappeler que le planning familial devrait proposer davantage de prévention et de soutien aux futures mères plutôt que de faire de l’interruption volontaire de grossesse le centre de sa politique, provoquant les réflexes pavloviens et les cris d’orfraie de la gauche, le groupe de la droite et du centre est venu à la rescousse pour soutenir la majorité.
Ce qui pourrait confirmer, au-delà des postures, que Fillon est bien une carpette.
Il est vrai que Guillaume Peltier rencontre quelques difficultés à rallier son groupe sur une position commune, et qu’il n’est sans doute pas encore remis de l’élimination de Nicolas Sarközy, dont il redoute les conséquences dans sa propre circonscription.
Sur les dispositifs d’emplois aidés financés par la Région au travers Cap’Asso et qui se transforment de facto en emplois permanents, silence radio du côté de la Droite et du Centre, qui ont voté l’ensemble des crédits.
Dans le domaine de la formation professionnelle, le Front National a déploré une nouvelle fois que ls crédits soient dilapidés dans un certain nombre de dispositifs inefficaces, qui ne visent qu’à faire baisser artificiellement le nombres des chômeurs.
Le groupe UDC n’a rien trouvé à redire.
Au final, les représentants régionaux de cette droite partagée entre Juppé et Fillon ont soutenu le Président Bonneau davantage que le groupe « écologiste », pourtant membre de la majorité.
Région Centre : ré-enchanter l’idée européenne… par le mensonge !
Les Français ont compris depuis longtemps qu’ils ne devaient rien à l’Union européenne, puisqu’au final ce sont eux qui paient !
On essaie pourtant de leur faire croire le contraire.
Aujourd’hui encore dans la Nouvelle République, on fait miroiter aux habitants de la Région centre-Val de Loire les 633 millions d’euros que l’UE nous apporteraient sur la période 2015/2020, dans le cadre du contrat de plan Etat-Région.
Un rapide calcul permet de démontrer que pour obtenir 633 millions d’euros de l’UE, la France doit en verser un peu plus de 1100 millions, autrement dit ce sont les habitants de la Région Centre-Val de Loire qui vont contribuer au budget européen pour un montant d’environ 470 millions dans le cadre de ce contrat de Plan.
Peut-être même davantage, car le France paie toujours davantage, c’est ainsi que cette année la contribution augmente encore de 7,5%, comme le dénoncent nos représentants au Parlement européen.
En fait sur la période 2014-2020, la contribution française augmente de 20% par rapport à la période précédente (2007-2013). Source : Commission des Finances du Sénat.
Une question sensible que nos sénateurs de Loir et Cher n’abordent jamais…
Nos élus ne manquent pas de le faire savoir lorsque le sujet est abordé au conseil régional, ce qui ne les empêche pas bien sûr d’approuver les demandes de subventions qui nous permettent de récupérer en partie… notre argent !
Faites-le savoir.
Tours : le bilan s’alourdit : 3 blessés, 10 voitures brûlées.
Nous vous informions hier soir des graves incidents qui ont enflammé le quartier du Sanitas à Tours suite à une interpellation sur le parvis de la gare.
La Nouvelle République apporte des précisions cet après-midi sur Internet, dans un article publié à 16 h 17.
Outre le policier qui a été percuté par la moto et qui est le plus gravement touché, le conducteur et le passager ont été blessés dans la chute.
Les secours sont arrivés sur place mais très vite des « jeunes » ont commencé à invectiver les forces de l’ordre. Il a fallu appeler des renforts et une grenade de désencerclement a été utilisée pour écarter des « jeunes » qui tentaient d’ouvrir les ambulances des pompiers afin d’en extraire leurs copains.
Il y a eu deux interpellations, dont une jeune fille mineure selon d’autres sources.
Ensuite la situation a dégénéré dans la quartier du Sanitas, ou plusieurs voitures ont été incendiées en guise de « représailles ».
Au total, 10 véhicules ont été incendiés, dont un minibus du Judo-Club de Touraine.
Il y a quelques jours, les policiers de Tours qui manifestaient dénonçaient l’impunité dont bénéficient certains délinquants, et confirmaient que dans le quartier du Sanitas à Tours ou à la Rabière à Joué-les-Tours, « on reçoit des projectiles ou des cocktails Molotov. On a ordre de ne rien faire, de quitter la cité et de revenir quand tout sera calme« .
Et tout cela se passe alors que nous paraît-il en « état d’urgence » et entre l’hommage aux « poilus » et la commémoration des attentats du 13 novembre 2015.
Il est vraiment temps que cela change. Vivement 2017 !
Prise en charge des « migrants » : le grand mensonge.
Interrogé au sujet de l’accueil d’une nouvelle vague de migrants par les élus du Front National le maire de Blois, Marc Gricourt (PS), avait répondu lors du conseil municipal du 19 septembre que cela ne coûterait rien aux contribuables blésois, puisque tous les frais étaient pris en charge par l’Etat.
Le 13 octobre, répondant aux questions précises du Groupe FN au conseil régional, le même Marc Gricourt, 1er vice-président, admettait implicitement un coût pour les collectivités locales : communes, intercommunalités, départements, pour ajouter aussitôt que dès lors qu’il s’agissait d’humanitaire, il était indécent de parler du coût !
L’exemple récent de Salbris, où nous sommes en train de remonter la filière du « business » des réfugiés, nous donne encore quelques arguments supplémentaires.
Et ce n’est pas fini ! Les dossiers qui passent ici ou là en CCAS nous permettent de confirmer que l’accueil de toutes ces personnes entrées pour la plupart illégalement en France représente bien une charge pour la collectivité.
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Tours : un policier blessé et 5 voitures brûlées.
Vendredi 11 novembre vers 18 h 30 sur la parvis de la gare, en plein centre de Tours, deux « jeunes » se livrent à un rodéo sur une moto au milieu d’un secteur réservé aux piétons. Un policier de la Brigade anti-criminalité, qui patrouillait à pied, veut s’interposer pour mettre un terme à ce comportement dangereux mettant en danger la sécurité des passants. Mais le conducteur lui fonce dessus délibérément. Le policier s’en tire avec de multiples blessures aux côtes et plusieurs jours d’ITT. Le conducteur de la moto cross, souffre d’une fracture à la cheville et a été transporté à l’hôpital. Il sera placé en garde à vue et auditionné dans les prochains jours (source France Bleu Touraine).
Mais l’affaire ne s’arrête pas là : après l’altercation, une trentaine de « jeunes » du quartier du Sanitas tout proche, rapidement informées par téléphone, convergent sur la parvis de la gare pour s’opposer à l’arrestation. Certains sont cagoulés et casqués (source Fdesouche)Les policiers sont contraints d’utiliser une grenade de désencerclement et du gaz lacrymogène… Plusieurs interpellations ont eu lieu après des « échanges musclés » selon la Nouvelle République, dont une jeune femme arrêtée pour outrage. Les autres jeunes se dispersent alors vers leur quartier, où 5 voitures sont incendiées. La circulation du tramway a dû être interrompue. Le calme ne reviendra qu’après 23 heures.
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Migrants à Salbris : enfumage et mépris de la démocratie.
Les Salbrisiens étaient nombreux hier soir à la réunion organisée par la mairie et les autorités.
D’emblée le maire a voulu faire taire toute contestation en déclarant « ce n’est pas une réunion politique, mais une réunion publique d’information ». Au passage il aurait fallu dans ce cas élire un bureau pour la présider…
Pour le reste, le public présent a eu droit à un discours sans surprise, avec les éléments de langage habituels, bien rodés, y compris les interventions de complices dans la salle pour se réjouir de l’arrivée des migrants.
Les premiers rangs étaient « tenus » par les services administratifs, les représentants de la Gendarmerie, de l’Education national, des services sociaux, de quelques associations gravitant autour du projet et de toute l’équipe du maire.
L’objectif était bien entendu d’éviter toute contestation.
Tout cela n’a pas convaincu et de nombreux salbrisiens faisaient part de leur déception. Quelques-uns ont toutefois osé des questions mais ils n’ont obtenu que des réponses évasives.
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Mosquée de Salbris : le Front National avait vu juste !
Le siège de Milli Gorus à Salbris se trouve bien à la mosquée 70 rue de la République.
Nous dénoncions il y a un peu plus d’un mois un projet d’extension de la moquée de Salbris, suscitant une réaction violente du président de l’association turque qui gère la mosquée… et du maire de Salbris.
En dépit de la menace d’une plainte à notre encontre, Omer Fidan était toutefois obligé de confirmer l’existence un projet d’extension de la mosquée-centre culturel, en précisant qu’il ne s’agirait que d’une salle de jeux. Nous y reviendrons.
Dans un deuxième temps il déclarait à propos du Centre Islamique Milli Gorus, « nous ne sommes pas liés à cette association », tout en admettant travailler « parfois » avec cette organisation.
Difficile de retrouver la trace de cette affiliation, car le site français du CIMG a été sérieusement expurgé depuis quelques semaines, est actuellement « en cours de maintenance ». Autant dire qu’aucune information n’est plus accessible.
Mais en recherchant un peu, un site en langue turque établit parfaitement le lien entre le mosquée de Salbris et Milli Gorus.
Nous avions donc raison également sur ce point.
Mais pourquoi essayer de cacher cette affiliation ?
Tout simplement parce que le Centre Islamique Milli Gorus est un mouvement politico-religieux considéré comme fondamentaliste avec un seul objectif ouvertement avoué : l’institution d’un état musulman.
Milli Gorus, qui a contribué à l’arrivée au pouvoir de Recep Tayyip Erdogan, contrôle aujourd’hui une grande partie de la diaspora turque en Europe, en particulier en Allemagne où se situe son siège, mais aussi en France, sa nouvelle terre de mission.
Son but avoué est clair : « empêcher l’assimilation des musulmans français issus de l’immigration et donc toute intégration aux mœurs « impies » des sociétés d’accueil. Pour ces pôles, l’intégration se limite à l’utilisation de la langue et à l’insertion socio-économique, mais les musulmans sont sommés de se « réislamiser » au sens communautaire et rigoriste du terme, et ils doivent bénéficier « d’accomodements raisonnables » et autres aménagements, donc de dérogations aux lois et coutumes de la République et de l’ordre démocratique occidental. » (source : Observatoire de l’islamisation)
Un des moyens, outre le contrôle des mosquées, est le développement d’écoles, sous couvert de centre culturels dans un premier temps : c’est bien de cela qu’il s’agit à Salbris.
Le mouvement Milli Gorus est désormais bien implanté en région Centre-Val de Loire avec une mosquée à Blois, une à Chateaudun dont l’imam est conseiller municipal élu sur la liste du maire « Les Républicains » de la ville. Il est bien implanté aussi à Orléans, à Tours, Vierzon, Romorantin etc…
Il serait temps que le maire de Salbris ouvre les yeux, car nous continuerons à informer la population sur la véritable visage de ce mouvement.
Et dire que pendant ce temps là le gouvernement cherche à ouvrir des centres de « déradicalisation » !
Migrants, mensonges et mauvaise foi : la nausée.
Jeunes Afghans (?) devant le CAO de Blois. Pendant que des jeunes Français vont se faire tuer en Afghanistan !
L’arrivée d’une nouvelle vague d’immigrés clandestins entièrement pris en charge par l’Etat et les collectivités est peut-être la goutte d’eau qui fait déborder le vase.
Malgré les propos rassurants tenus par les autorités et les responsables politiques aux affaires, relayés complaisamment par la presse, les populations demeurent très largement hostiles à cette répartition forcée sur tout le territoire, qui de surcroît leur est imposée.
On essaie pourtant tous les jours de nous apitoyer, avec des images venues de Méditerranée, sur le sort de ceux qui mettent leur vie en péril pour venir en Europe. Mais ce que retient l’opinion, à juste titre, c’est que ce sont plusieurs de milliers de clandestins, car il faut appeler un chat un chat, qui arrivent ainsi chaque jour sur nos rivages.
Bien sûr il faut les secourir en mer lorsqu’ils sont en péril. Mais nous allons les chercher à quelques encablures des côtes libyennes pour les transporter chez nous, alors que la seule solution dissuasive serait de les reconduire à leur point de départ, dans des enclaves sécurisées par l’ONU et sous le contrôle du HCR.
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Conseil régional : les contradictions de Guillaume Peltier.
Alors que le Groupe Front National tient depuis le départ le même discours clair au Conseil régional comme sur le terrain, et parle d’une même voix, l’Union de la Droite et du Centre est rattrapée par ses contradictions.
Nous le savions depuis que Philippe Vigier avait été chargé de conduite une liste qui allait de la « Droite forte » au MoDem avec une première conséquence prévisible : se retrouver derrière le FN au 1er tour des régionales.
Depuis, le groupe UDC (« Républicains » – Centristes) rencontre quelques difficultés à accorder ses positions, et l’unité du groupe a déjà volé en éclat à plusieurs occasions lors de votes « sensibles ».
« Ma Région sans migrants » : le groupe UDC se divise.
Ainsi lors de la dernière session le groupe FN avait déposé un voeu « ma Région sans migrants« . Embarrassé, Guillaume Peltier avait annoncé que son groupe ne participait pas au vote, sachant qu’il était divisé sur la question. Le problème c’est qu’il a été désavoué publiquement, lors d’un vote à main levée, par trois élus du groupe.
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Conseil régional : le Front National commence a être entendu !
Vos élus en Commission permanente. De gauche à droite : Jeanne Beaulier, Mathilde Paris, Michel Chassier, Véronique Péan, Charles de Gevigney.
Le 18 décembre 2015, le Front National entrait en force au Conseil régional, avec un groupe de 17 élus contre 7 dans la mandature précédente.
Très vite les autres groupes politiques comme les médias ont compris que la donne avait changé.
Les élus FN se sont rapidement mis au travail, dans les commissions, dans les diverses représentations et organismes où ils siègent, et tout le monde a pu le remarquer.
A l’issue de la dernière session, la Nouvelle République en faisait le constat : « le FN à 17 élus pèse davantage, mais travaille aussi bien plus les dossiers et, même si, par principe, on lui rejette tous ses amendements et vœux, il continue d’en proposer, certain (celui sur les travailleurs détachés) étant d’ailleurs repris plus tard en d’autres termes.«
Ce qui s’est encore produit en commission permanente le 21 octobre, où le groupe FN avait déposé un amendement pour intégrer la charte(*) limitant le recours aux travailleurs détachés dans le règlement intérieur de la commande publique. Dans l’urgence (**), la majorité socialiste a préféré ajouter un addendum de dernière minute reprenant nos propositions, plutôt que d’être obligée de voter l’amendement !
Au cours de cette même réunion, sur le volet de l’économie sociale et solidaire, l’exécutif de la région a évoqué l’idée d’une dégressivité des subventions CAP’Asso en cas de renouvellement… admettant le bien fondé de notre position depuis le début de la mandature.
Enfin, sur le volet ferroviaire, notre groupe a rappelé que la priorité reste l’entretien et la modernisation du réseau existant dans le domaine des compétences de la Région avant d’investir dans des lignes à grande vitesse, du ressort de l’Etat. Sur ce sujet, Guillaume Peltier a voté tout seul comme le Front National, mais il a été abandonné par son groupe !
Comme quoi le Front National fait avancer les choses, et prouve jour après jour sa capacité à gérer demain les affaires du pays.
(*) votée à l’unanimité lors de la session des 13-14 octobre, elle reprenait un amendement du groupe FN de février 2016.
(**) l’addendum a été envoyé par mail aux membres de la commission permanente la veille à 19 h 30.
Mises en avant

Mathilde Paris invitée de la rédaction sur TVTours
Mathilde PARIS, tête de liste « Un autre avenir pour Blois » était jeudi soir l’invitée de la rédaction de @TVTOURS. Revoir la vidéo....

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