Les vidéos des interventions de vos élus lors des sessions plénières d’avril et de mai sont en ligne sur le site du groupe FN Centre-Val de Loire et sur notre chaîne Youtube.
Nous vous invitons à vous y rendre pour les réécouter. Vous pourrez constater par vous-même le travail de nos élus.
Nous mettrons en ligne sur notre blog les interventions des élus de Loir et Cher.
Plan régional de santé : l’intervention de Michel Chassier
Fête champêtre de la Fédération de Loir et Cher le 16 juin.
Dans le cadre de la tournée des membres du bureau national, Jean Messiha sera en Loir et Cher le 16 juin prochain aux côtés de Mathilde Paris.
Après une réunion de travail avec le bureau élargi et les militants, il animera une soirée à Vernou en Sologne à partir de 19 heures, en présence de Michel Chassier, Délégué départemental, président du groupe FN Centre-Val de Loire et des élus locaux de Loir et Cher.
Programme : apéritif, repas champêtre (barbecue), allocutions des membres du Bureau national, animations, espace pétanque, stands, boutique FN41. Venez nombreux avec des amis et vos enfants.
Inscription obligatoire par courriel : fn41@frontnational.com, tel 02 54 42 12 17.
Participation aux frais 10€ (gratuit pour les enfants de moins de 12 ans).
Orléans : une femme égorgée la veille de la fête des mères.
Orléans : le rue où s’est produit le drame.
Le drame s’est produit samedi 26 mai, à la veille de la fête des mères.
Les premières informations annoncent qu’une jeune femme » a été poignardée à plusieurs reprises ».
Elle décède rapidement des suites de ses blessures, à l’hôpital d’Orléans.
Nous apprenons aussi que cette mère de 3 enfants a reçu les premiers coups de couteau dans le hall de l’immeuble, et que son meurtrier l’a poursuivie et continué à la frapper dans la rue.
Mais tous les médias parlent de »coups de couteau au thorax et au cou », pour éviter le mot « égorgement ». Comme pour le colonel Beltrame, mort d’un « coup de couteau à la trachée ».
On voit bien le mot égorgement leur fait peur, car il en dit beaucoup sur l’origine et la mentalité de l’assassisn.
En l’occurrence, nous apprenons que l’auteur des faits est un certain Malik S., déjà condamné en 2004 pour un homicide volontaire commis à l’arme blanche, à Orléans en 2002, sorti de détention en 2012, d’abord en semi-liberté puis sous le régime de la liberté conditionnelle (la République du Centre).
Dans la Nouvelle République de Loir et Cher, seulement quelques lignes en page 31, sans évoquer les circonstances ni l’identité de l’assassin.
Surtout pas d’amalgame…
Sans l’Europe on lutterait plus efficacement contre la grenouille-taureau.
La grenouille-europe veut avaler les nations. Elle risque de finir comme la grenouille de la fable !
Nouvel exemple de propagande pour l’Union européenne dans la Nouvelle République du 24 mai 2018.
Le but avoué de la manoeuvre, initiée par Marc Gricourt et Charles Fournier, Vice-présidents de la Région Centre-Val de Loire est explicite : parler de l’Europe « aux Loir-et-Chériens, leur montrer ce qu’elle leur apporte au quotidien. »
L’exemple choisi est cette fois la grenouille-taureau, espèce invasive qui fait l’objet d’un plan de lutte contre sa prolifération.
Lutte qui va coûter 3 430 000 € entre 2016 et 2022, soit près d’un demi-million d’euros par an pour notre région.
Et nos deux compères soulignent que l’Europe apporte 2 millions d’euros de subvention pour ce plan.
D’où le titre de l’article : « sans l’Europe, la grenouille taureau envahirait la Sologne ».
Encore une fois, il faut dénoncer ce mensonge. L’Europe, en réalité l’Union européenne, ne nous donne rien, elle nous restitue seulement une partie de notre argent.
Rapporté à cette opération, il faut expliquer à nos concitoyens que la France a versé 3 230 000 € au budget de l’UE pour recevoir en retour ces 2 000 000 €.
Cela veut dire que sans le prélèvement européen, l’Etat aurait pu financer à hauteur de 3 230 000 e ce plan de lutte contre la grenouille-taureau, ne laissant à la région et au Département que 200 000 € à charge, au lieu de 1 430 000 €.
A l’approche des européennes de 2019, ce type de mensonge va se multiplier, nous ne cesserons de la dénoncer.
Déjà le 18 mai dernier en commission permanente Michel Chassier est intervenu, une nouvelle fois, pour refuser le financement d’un déplacement du même Charles Fournier à Strasbourg dans le cadre des rencontres EYE (European Youth Event), dont le but avoué dans le programme officiel est d’endoctriner les jeunes en faveur en faveur du fédéralisme européen, au détriment des nations et des identités.
Inutiles de dire que tous les autres groupes de LR au PS, ont voté pour.
Nous saurons le rappeler le moment venu.
Routes : communiqué de presse du Front National
Lors de la session plénière du 16 mai le groupe Front National a déposé un vœu pour demander que la Région prenne en compte le réseau routier d’intérêt régional dans le cadre de la loi NOTRe.
Ce vœu fait écho à la demande des 6 présidents des départements de la région Centre-Val de Loire, mais le groupe FN avait déjà formulé cette demande à plusieurs occasions, considérant qu’il s’agit d’un enjeu incontournable qui doit être intégré dans les différents schémas d’aménagement de la Région.
Suite sur le site du groupe FN Centre-Val de Loire.
Michel Chassier, président du groupe FN CVL a écrit au 6 présidents des départements pour les informés de la position du FN sur cette question qui intéresse les habitants de la Région au plus haut point.
Routes : la Région refuse toujours de s’engager.
Aménagement d’un rond-point sur la D952, ex RN 152, à Chouzy sur Cisse (crédit photo : Conseil départemental 41).
L’entretien des routes est devenu un véritable problème pour toutes les collectivités.
Les villes, nous le voyons à Blois, ne parviennent plus à entretenir leur voirie.
Pour les les départements, cela devient de plus en plus difficile.
On assiste à une série de transferts en cascade : la plupart des anciennes nationales ont « départementalisées », certaines départementales ont été transférées aux agglomérations, comme le partie urbaine de la D952 à Blois et bien d’autres.
On distingue donc les routes nationales, réduites en Loir et Cher à la portion congrue (il n’en reste que les 47 km de RN10), les routes départementales, et les voies communales, pour lesquelles on distingue la voirie d’intérêt communautaire et la voirie communale proprement dite.
Mais la loi NOTRe a introduit une nouvelle catégorie, le réseau routier d’intérêt régional.
Le problème, c’est que ce sont les régions elles-mêmes qui définissent ces itinéraires d’intérêt régional, au travers des schémas régionaux des infrastructures et des transports dont elles ont la maîtrise.
Et quand de surcroît la majorité a besoin des écologistes, la situation est bloquée, comme le fait remarquer le Président du Conseil départemental, Nicolas Perruchot (la Nouvelle République du 16/05/2018).
Le Front National a déjà soulevé plusieurs fois la question, notamment en déposant un voeu au sujet de la D943 qui relie Tours à Châteauroux, alors qu’il n’existe aucune liaison ferroviaire.
Cette fois encore le groupe FN Centre-Val de Loire, par la voix de Matthieu Colombier, conseiller régional de l’Indre, a défendu un voeu demandant que la Région s’occupe du réseau routier d’intérêt régional.
La majorité s’y est opposé, en avançant des arguments budgétaires mais aussi le respect des compétences de chacun.
C’est plutôt curieux quand on ont voit le niveau d’imbrication des compétences dans les contrats territoriaux !
Le plus étonnant par contre, c’est que Guillaume Peltier ait choisi de pas prendre part au vote, consigne que son groupe a suivi diversement.
Région : Michel Chassier intervient sur le ferroviaire.
Michel Chassier, Président du groupe FN Centre-Val de Loire est intervenu au sujet de la révision contractuelle de la convention TER en rappelant notre opposition à la réforme de la SNCF dictée par Bruxelles et qui remet en cause le principe de l’égal accès aux services publics pour tous les citoyens. Les conditions de transfert de la gestion des lignes TET, négociées région par région, participent également de cette mise à mal du principe de péréquation tarifaire. Les présidents de régions, aveuglés par l’illusion de pouvoir décider de leur politique de transport ferroviaire, ne voient pas qu’en réalité l’Etat leur transfère une charge qu’il n’est plus capable d’assumer.
Voir l’ensemble des interventions sur le site du groupe FN Centre-Val de Loire.
Vos élus en session mercredi 16 mai à Orléans.
La session du 16 mai sera consacrée entièrement au ferroviaire, avec une révision de la convention TER qui va désormais intégrer 3 lignes Intercités (TET) et une communication portant sur un plan d’urgence pour les lignes de proximité, les « trains du quotidien ».
Les élus du groupe Front National ont toujours été présents sur ces dossiers, ils ont prévu plusieurs interventions ainsi que deux voeux qui seront défendus.
Vous pourrez suivre les débats en direct sur le site de la région Centre-Val de Loire ainsi que sur les réseaux sociaux : https://twitter.com/FN_CValdeLoire.
La séance débute à 14 h 30, elle est ouverte au public (se munir d’une pièce d’identité).
Comment remplacer la taxe d’habitation ? Par de nouveaux impôts.
Macron c’est bien le mensonge permanent.
Avec sans doute un part d’incompétence qui frise l’amateurisme.
C’est ainsi qu’il se trouve pris au piège par sa promesse électorale de supprimer la taxe d’habitation.
Une mesure qui fait l’affaire de ceux qui seront exonérés, et qui lui sans doute rapporté des voix, mais aujourd’hui, comment la financer ?
Les élus locaux s’en inquiètent, nous en parlions à Blois lors du dernier conseil municipal.
Alors que le programme de Marine Le Pen avait l’objet d’un chiffrage précis, rien de cela chez Macron, pour qui le programme d’ailleurs ne comptait pas.
Aujourd’hui le Ministère des finances évaluent le coût de cette suppression à 18 milliards d’euros, qu’il faudra compenser auprès des collectivités locales. Mais le Comité des Finances Locales estime la facture à 26 milliards !
On peut admirer à l’aune de cet écart le sérieux de Macron et de son gouvernement.
Quant aux pistes pour compenser le manque à gagner des communes et intercommunalités, elles demeurent floues, mais ce qui est certains c’est que cela va se traduire par de nouveaux impôts.
Il serait question de basculer certains ressources fiscales des départements vers le bloc communal, mais alors il faudra compenser les départements, ou bien d’attribuer au bloc communal des recettes provenant de la TVA, de la CSG ou de la fiscalité sur les carburants.
Nous y voilà : la suppression de la taxe d’habitation risque bien de se traduire par des hausses de TVA, de CSG ou des taxes sur les carburants, peut-être un mélange des trois.
Au final, il y aura bien une augmentation des impôts et des taxes.
Asile et immigration : Daniel Fraczak répond au voeu des écologistes au conseil régional.
Lors de la dernière session du conseil régional Centre-Val de Loire, Daniel Fraczak (FN Indre et Loire) répondait au voeu présenté par les écologistes au sujet de la loi « asile et immigration » en débat à l’assemblée nationale.
Une réponse argumentée, précise, cinglante, qui a laissé sans voix nos adversaires, tout comme le sémillant Guillaume Peltier qui s’est bien gardé d’intervenir sur un sujet qui risquait de diviser son groupe.
Un bel exemple de la combativité des élus FN et de leur utilité.
Si nous n’avions pas été là, personne n’aurait réagi !
Partagez cette vidéo, disponible aussi sur le site du groupe FN-CVL et sur Twitter.
1998 : le jour où le RPR et l’UDF ont donné la Région à la gauche.
Jacqueline Gourault, « ministre auprès du ministre » de Macron. En 1998 elle manifestait avec l’extrême gauche contre le Front National.
On va beaucoup parler de mai 68, 50 ans après les événements. Nous y avons déjà consacré un article et nous y reviendrons.
Mais lors de la dernière session du Conseil régional à Orléans, à l’occasion d’un rapport sur la « démocratie permanente », Michel Chassier n’a pas manqué de rappeler l’épisode de mars 1998, lorsque la droite locale a confié la Région à la gauche ( 2018.04.19 SP – Démocratie permanente Michel Chassier).
En effet dans cet épisode peu glorieux, c’est bien la démocratie qui a été bafouée.
En mars 1998 les électeurs n’avaient pas donné la majorité à la gauche, ni en voix, ni en sièges.
L’assemblée régionale comptait donc 33 élus de gauche, 1 d’extrême gauche, 29 RPR-UDF, 1 CNPT et 13 FN.
Et logiquement, les élus du FN avaient soutenu l’élection à la présidence de la Région du centriste Bernard Harang.
Soutien sans participation, puisque le Front National n’avait demandé aucune vice-présidence, mais simplement un engagement de mandature portant sur 5 points dont la promesse de ne pas augmenter les impôts.
Mais c’était encore trop pour la gauche. Et comme il s’était passé la même chose dans 4 autres régions, l’affaire a pris une dimension nationale.
Une fois de plus la gauche et l’extrême-gauche ont refusé le verdict des urnes et commencé à manifester dans la rue.
Après tout elle était dans son rôle.
Mais la trahison est venue des états-majors parisiens du RPR et de l’UDF, avec à la manoeuvre le chef de l’Etat en personne, Jacques Chirac.
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Loir et Cher : Wauquiez ne vaut rien.
A Bruxelles comme à Paris les amis de Wauquiez font le contraire de ce qu’ils promettent dans leurs discours !
Photo en première page de la Nouvelle République du 25 avril : faut-il déjà « sauver le soldat Wauquiez ».
Largement devancé par Marine Le Pen dans les sondages, il serait promis en cas de présidentielle à une score digne de Benoît Hamon.
Avec un parcours identique : l’un comme l’autre ont cherché à rallier le noyau dur de leur électorat, mais c’était peine perdue pour Hamon à cause de Mélenchon, tandis que Wauquiez voit Marine Le Pen non seulement se maintenir mais progresser dans les sondages et revenir en force un an après la présidentielle.
Et dans un cas comme dans l’autre, la partie modérée de l’électorat se jette dans les bras de Macron !
On comprend, en lisant les déclarations de l’intéressé, que le principal adversaire de Wauquiez n’est pas Macron, dont plusieurs ministres sont issus des Républicains, mais bel et bien Marine Le Pen.
Il éructe littéralement contre ceux de sa propre famille politique qui seraient tentés par une alliance avec le Front National, menaçant de les excommunier.
Mais le problème de Wauquiez et de son parti, ce sont les contradictions permanentes entre les déclarations et les votes, à Bruxelles comme à l’Assemblée nationale, voire à la Région pour son lieutenant Guillaume Peltier, que des médias locaux ont déjà surnommé avec une pointe d’ironie « le 14ème vice-président » du socialiste François Bonneau.
Nous le voyons en commission permanente, où il vote à 99% avec la gauche, y compris sur des subventions qui devraient révolter ses électeurs.
Ainsi Laurent Wauquiez se veut critique à l’égard de l’Union européenne, mais ses députés à Bruxelles votent en faveur des sanctions contre la Pologne.
Même grand écart sur le doit du sol, où l’on a vu les députés LR voter contre un amendement déposé par les députés du Front National.
On ne peut pas tromper tout le monde tout le temps disait Abraham Lincoln. Wauquiez ne l’a pas encore compris, les électeurs si.
Chômage : les chiffres ne sont pas convaincants.
La majorité des médias, Nouvelle République en tête, titrent sur la baisse de chômage, en France et dans notre Région.
Si c’était vrai, nous serions les premiers à nous en féliciter. Avec une reprise de la croissance mondiale (près de 4% prévus en 2018), la France devrait en profiter un peu.
Mais ce n’est pas vraiment ce qu’on peut observer su l’on regarde dans le détail les chiffres trimestriels publiés par la DIRECCTE Centre.
Certes le nombre de chômeurs inscrit en catégorie A diminue de 1 % au niveau national, 1,1% pour la Région Centre-Val de Loire, mais en prenant les catégories A,B,C on peut dire que rien ne change, tout juste -0,1% en région depuis le dernier trimestre mais + 0,9% en un an (+2,1% au niveau national).
Cette hausse touche surtout les femmes (+ 2,5% dans la région) et les plus de 50 ans (+ 2,6%).
Le chômage de longue durée (demandeurs d’emploi inscrits depuis plus de 1 an) augmente lui aussi de 2,7%.
De plus si l’on regarde de près les entrées et sorties de Pôle Emploi (publiées en moyennes mensuelles sur le trimestre), on compte 19 000 inscriptions nouvelles pour 18 900 sorties, soit moins qu’en 2017 (19 236 sorties par mois en moyenne).
Les reprises d’emploi déclarées représentent 3460 sorties de Pôle emploi par mois en 2018 contre 3500 en moyenne au 1er trimestre 2017.
Il faudra qu’on nous explique où sont les signes d’une reprise de l’emploi !
Encore une fois les médias présentent ces chiffres comme une embellie… pour Macron.
Mais pas pour les chômeurs qui peinent toujours à retrouver un emploi.
13 mai : Fête de Jeanne d’Arc à Blois
Hommage à Jeanne d’Arc le 13 mai à Blois.
Le Front National de Loir-et-Cher et le FNJ41 organisent comme chaque année, depuis plus de 20 ans, cet hommage traditionnel à l’occasion de la fête nationale de Jeanne d’Arc, instituée par la République Française en 1920 le 2ème dimanche de mai.
Rassemblement le 13 mai à 11 h 45 dans les jardins de l’Evêché à Blois, à côté de la mairie.
Cérémonie et Dépôt de Gerbe à 12 h 00.
Les porte-drapeaux des associations patriotiques sont invités à cette cérémonie.
Peut-être les autorités qui ont été invitées seront-elles présentes comme cela devrait être le cas, mais depuis plus de 20 ans, elles brillent surtout par leur absence !
Venez nombreux avec vos amis et vos enfants.
Vin d’honneur et repas à 12 h 30 à la salle du Bourg Saint Jean (inscription obligatoire : fn41@frontnational.com).
A 15 h 00 : intervention de Michel Chassier, Délégué Départemental de la Fédération FN Loir-et-Cher, Président du Groupe FN au Conseil régional Centre-Val de Loire.
Contact : 06 65 86 47 41 - fn41@frontnational.com
Région Centre-Val de Loire : démocratie « permanente » ou démocratie illusoire ?
Depuis quelques temps la gauche est malmenée dans les urnes.
D’élection en élection elle voit les électeurs l’abandonner, nous l’avons constaté en Loir et Cher, aux départementales de 2015 et aux régionales de 2015 où le FN était en tête du 1er tour.
Nous avons vu à la présidentielle l’effondrement du PS réduit à un peu plus de 6%.
Les dernières enquêtes d’opinion, dont celle toute récente de l’IFOP, confirment cette tendance, qui ne concerne d’ailleurs pas seulement le France, mais l’Italie, la Hongrie, l’Autriche, la Pologne etc…
Il ne faut pas oublier non plus que la Région Centre-Val de Loire est actuellement dirigée par la gauche uniquement grâce à un système électoral qui lui donne la majorité à l’assemblée régionale avec seulement 35,45% des suffrages exprimés au 2ème tour.
C’est pourquoi la gauche régionale essaie de d’inventer une nouvelle forme de démocratie, d’abord « participative », puis « permanente », où des assemblées de citoyens, parfois tirés au sort, parfois choisis, et des militants issus du réseau des associations « engagée » dans le bon sens pourraient débattre de divers sujets et donner leur avis (la Nouvelle République du 23/04/2018).
Le problème c’est que ça ne marche pas, il y a très peu de citoyens pour participer à ces rencontres ou l’on retrouve au final toujours les mêmes, y compris pour le forums sur Internet, où le nombre de participants est dérisoire : quelques dizaines pour 1 800 000 électeurs.
Au nom du groupe FN Stanislas de La Ruffie a dénoncé la méthode et demandé au contraire d’oser la démocratie en ayant recours au référendum local, la consultation ouverte ou à l’avis consultatif, dispositions que la loi autorise.
Véronique Péan, Charles de Gevigney et Gilles Godefroy sont également intervenus pour rappeler que c’est tout même bien l’élection qui fonde la démocratie.
Et Michel Chassier d’ajouter à condition qu’elle soit représentative : il faut 200 000 voix pour élire un député FN, 25 000 suffise pour un député « en Marche ».
Vous pouvez retrouver les interventions de nos élus sur le site du groupe FN centre-Val de Loire.
Devinette : Tolbiac libérée ?
Cette photo peut vous faire penser à une salle de la fac de Tolbiac après l’évacuation des gauchistes ? Vous n’y êtes pas. D’ailleurs il manque les tags sur les murs.
Vous serez sans doute surpris en apprenant qu’il s’agit d’une « oeuvre d’art » exposée au FRAC d’Orléans.
Et malheur au balayeur qui par inadvertance viendrait ramasser ces détritus pour les mettre dans un sac poubelle : il risquerait des poursuites judiciaires pour la destruction d’une oeuvre d’art dont le prix est sans doute inestimable !
Cela pourrait passer pour une plaisanterie, mais ce qui est moins drôle, c’est que c’est vous qui payez, avec vos impôts.
A la Région, seuls les élus FN ont le courage de voter contre les subventions pour ce genre de fumisterie, tous les autres groupes, y compris celui de Guillaume Peltier, votent pour.
Région Centre-Val de Loire : la gauche veut toujours plus d’immigration, le FN répond.
Lors de la session plénière du 19 avril le groupe « écologiste » a proposé un vœu pour demander au gouvernement de revenir sur les nouvelles dispositions du projet de loi Asile et Immigration actuellement discuté à l’Assemblée Nationale.
Au nom du groupe Front national Daniel Fraczak (Indre et Loire) a répondu par une intervention remarquablement argumentée, remettant sérieusement les choses en place et laissant la gauche sans voix.
Du coup Guillaume Peltier a préféré ne pas intervenir, conscient certainement des différences de sensibilité à l’intérieur de son groupe.
Encore une fois les socialistes en suivi les écologistes, dont ils ont besoin pour conserver la majorité pour faire adopter ce voeu, qui heureusement n’aura aucun effet.
Les groupes FN et UDC ont voté contre.
Voir le texte de l’intervention sur le site du groupe FN Centre-Val de Loire.
Plan régional de santé : les élus FN dénoncent une mascarade.
Un an après l’élection de Macron, ses méthodes suscitent un rejet grandissant de part des élus locaux en charge des collectivités.
Méconnaissance des territoires, mépris pour les élus, engagements bafoués, décisions imposées, mise sous tutelle budgétaire, la coupe est pleine et l’on grandir une véritable fronde qui dépasse tous les clivages politiques.
Nous évoquions il y a quelques jours la colère de Marc Gricourt, maire de Blois, hier c’est au Conseil régional que les élus, toutes tendances confondues, ont dénoncé cette ignorance des territoires qui va toucher une fois encore la ruralité et les villes moyennes.
Lors de la conférence des présidents avant l’ouverture de la séance François Bonneau, président de Région, Jean-Patrick Gilles (groupe SRD), Guillaume Peltier (groupe UDC), Michel Chassier (groupe FN) et Patrick Fournier (groupe Ecologiste) ont tous fait le même constat.
Au cours débat Guillaume Peltier a parlé de « mépris pour nos territoires« , François Bonneau a souligné les insuffisances du PRS au regard de la situation de la Région, classée dernière pour le nombre de médecins par habitants et demandé des aménagements.
Mais à quoi bon ? Puisque le Plan régional de Santé a déjà été adopté le 29 mars, et que le Conseil régional était appelé simplement à donner un avis consultatif… alors que la décision est déjà prise !
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Région Centre-Val de Loire : vos élus en session.
Vos élus du groupe FN Centre-Val de Loire sont réunis cet après-midi en session à Orléans.
Au programme un rapport sur la « démocratie permanente » proposé par la majorité. Traduction : comme les électeurs ne votent plus en leur faveur, les élus des partis de gauche laminés par le dernier cycle électoral, ils tentent d’encadrer la démocratie à travers des « concertations » et autres réunions toujours encadrées par les élus de la majorité.
Le deuxième rapport porte le Plan régional de santé deuxième génération, sur lequel les élus doivent donner un avis… consultatif, alors que le projet est déjà adopté. Une véritable mascarade !
Vous pouvez suivre la séance en direct sur le site Internet de la Région, sur le site du groupe FN Centre-Val de Loire et sur les réseaux sociaux.
Immigration : Jacqueline Gourault perd son sang froid.
Conférence de presse lundi 16 avril à l’Assemblée nationale pour présenter le contre-projet du Front National
Moment d’énervement, de colère comme le disent les médias, ou bien perte de contrôle à la limite du dérapage.
Le débat sur la loi asile et immigration a provoqué hier de vifs échanges à l’Assemblée nationale, où Gérard Collomb a refusé de répondre aux questions des députés sur la « face cachée » de la loi, avec un projet de régularisation de 40 000 « sans-papiers », autrement des clandestins, évoqué par un élu de la majorité dans le journal officiel du système, « le Monde ».
Jacqueline Gourault, ministre auprès du ministre de l’Intérieur (!) s’est alors emportée en s’indignant qu’un député puisse « obliger un ministre à répondre« .
Mouvement de panique qui démontre bien le désarroi du gouvernement voyant ses intentions démasquées.
Ce projet de loi affiche une certaine fermeté sur quelques sujets, afin de faire mieux admettre les régularisations à venir et l’accueil du quota de migrant réclamé par l’Union européenne.
Et la gauche joue les idiots utiles en laissant croire que cette loi serait destinée à restreindre l’asile et l’immigration, alors qu’elle vise l’effet contraire.
Pour autant, cela ne justifie pas le dérapage de Jacqueline Gourault, sévèrement remise en place par Christian Jacob : « à ce stade je pense qu’il faut effectivement ramener l’Assemblée au calme, madame la ministre également. Le gouvernement est responsable devant le Parlement, ça n’est pas l’inverse ».
Etonnant qu’une parlementaire aussi expérimentée que Jacqueline Gourault ait oublié cela.
On comprend d’autant mieux le projet de M. Macron visant à museler le Parlement.
Malgré le peu de temps de parole dont ils disposent, vos députés FN sont intervenus dans le débat à plusieurs reprises, notamment pour défendre des amendements.
Au final, seuls 27 amendements ont été étudiés et l’article 3 n’a pu être soumis au vote. Il y a au total 40 articles à examiner et 972 amendements déposés.
Le gouvernement qui voulait forcer la main des députés afin d’obtenir un vote d’ici vendredi soir n’est plus du tout certain d’atteindre son objectif.
Il faut souhaiter que le débat dure suffisamment longtemps pour alerter les Français.
Vous pouvez compter pour cela sur vos députés FN.
Région Centre-Val de Loire : quand un socialiste ne croit plus à l’égalité des territoires !
Lundi 16 avril le CESER (Conseil Economique Social et Environnemental Régional) donnait son avis sur le SRADDET (Schéma Régional d’Aménagement et de Développement Durable et d’Egalité du Territoire).
Prenant la parole au nom du Président de Région, Dominique Roullet, Vice-Président délégué à l’Aménagement du Territoire et au Numérique, déclarait : « je ne crois pas à l’égalité des territoires, mais à leur complémentarité. »
Les socialistes avouent qu’ils ne croient plus à l’égalité des territoires !
Il est étonnant qu’un tel dérapage n’ait pas eu davantage d’écho.
Le groupe Front National Centre-Val de Loire, dont le Président Michel Chassier assistait aux débats, a aussitôt envoyé un communiqué de presse aux médias régionaux.
Nul doute que ces propos auront un écho à l’occasion des débats de la prochaine session.
Communiqué de presse du Groupe FN Centre-Val de Loire :
Ces dernières années, un changement de dénomination s’est produit : la politique d’aménagement du territoire est devenue politique d’égalité des territoires. Changement sémantique pour beaucoup, mais pas seulement. Comme l’expliquait en 2015 le ministère de l’Égalité des territoires et du Logement, « cette notion est à mettre en regard des inégalités constatées, de plus en plus importantes. L’égalité est inséparable de la question territoriale ». Suite sur le site du Groupe FN-CVL.
Orléans : trafic de drogue et prières de rue en plein centre-ville.
Un collectif d’habitants Carmes-Porte Saint-Jean-Madeleine, vient de protester contre les prières de rue, qui bloquent sur toute sa largeur la rue de Limare, en plein centre-ville d ‘Orléans chaque vendredi en début d’après-midi (source : Mag’Centre).
Ce même collectif avait déjà alerté la municipalité au sujet des »incivilités et autres problèmes liés aux dealers ».
Le maire adjoint à la Sécurité publique, Olivier Geffroy, a convoqué les responsables de la salle de prière.
On peut s’étonner tout de même qu’il ait fallu cette réaction des habitants pour faire bouger la mairie d’Orléans.
Il n’est pas certain non plus que le problème puisse être réglé par les promesses des responsables qui s’engagent à « renforcer leur présence à l’entrée rue de Limare pour que le phénomène cesse. »
Autrement dit une police religieuse pour encadrer ces prières publiques, qui ne se produisent pourtant pas par hasard.
Est-ce une manière pour les responsables de cette mosquée de se charger progressivement de l’ordre public dans le quartier ?
C’est un glissement que l’on voit se produire dans de nombreux quartiers, où des maires sous-traitent avec les imams et certaines associations communautariste le soin de gérer les « incivilités », pour parler le langage convenu.
Mais on voit comment cela fini. Comme depuis 48 heures à Toulouse, où tout un quartier connaît des émeutes depuis que des policiers ont voulu contrôler une femme portant un niqab.
A Orléans c’est d’autant plus grave que cette mosquée avait été signalée en 2016 pour être fréquentées islamistes préparant des attentats. Neuf personnes avaient été interpellées, 6 autres seraient partie en Syrie.
Malgré les discours rassurants tenus à la suite par les responsables, on comprend que les riverains s’inquiètent.
Le colonel Beltrame a bien été égorgé.
Un « rebelle » syrien soutenu par Macron. Ce sont les amis du tueur qui a égorgé le colonel Beltrame.
Le déroulé des faits entourant la prise d’otages de Trèves et la fin dramatique du Colonel Beltrame.
Il est bel et bien confirmé que « selon les résultats de l’autopsie, le lieutenant-colonel Arnaud Beltrame est décédé d’un coup de poignard à la trachée. Ses blessures par balles, au pied et au bras, n’étaient, elles, pas mortelles. »
« Coup de poignard à la gorge » : une façon pudique de ne pas dire égorgement, ce que des proches avaient révélé dans les heures suivant son lâche assassinat.
Mais cette information a été soigneusement occultée dans les déclarations officielles comme dans les médias.
Comme si la consigne était de cacher la vérité aux Français, pour éviter bien sût tout « amalgame ».
Pire, le gouvernement n’en tire aucune conclusion, en particulier il n’a pas reconsidéré sa politique de soutien aux groupes djihadistes en Syrie, que nous armons et que nos forces spéciales encadrent sur le terrain..
Au contraire les frappes contre la Syrie, basées sur des accusations sans preuves (*), visant un site dont l’OIAC venait de certifier dans un rapport rendu le 23 mars qu’il n’y avait aucune trace d’armes chimiques, pour un résultat dérisoire sont bien destinées à prolonger cette guerre.
Or il faut bien comprendre que frapper la Syrie revient à aider les diverses composantes de la nébuleuse terroriste islamiste, qu’il s’agisse de Daech, d’Al Qaïda, Al Nosra et leur filiales.
C’est bien pourquoi ces frappes illégales sont non seulement stupides mais contre productives, militairement et diplomatiquement.
(*) le document publié sur le site du ministère des Armées est tout simplement ridicule.
Le département informatique menacé à Blois.
Nous l’avions évoqué à l’occasion du dernier conseil communautaire d’Agglopolys : le département informatique de Blois est menacé.
Le président de l’Université de Tours, Philippe Vendrix, ne cache pas son désir de rapatrier le plus vite possible le département informatique de Blois dans des locaux tourangeaux.
La Nouvelle République a interrogé le responsable du département informatique, Thomas Devogele. Il a pris connaissance de ce projet il y a quelques semaines. « Il n’y a pas eu la moindre consultation », déclare-t-il à la NR.
Et il craint que le projet passe en force.
Ce regroupement sur Tours n’est pas un phénomène isolé, c’est toute la question des antennes universitaires qui est remise en cause.
De la même façon, l’Université d’Orléans a dans le collimateur les antennes de Bourges, Chartres et Châteauroux-Issoudun jugées trop coûteuses.
Mais cette approche va en réalité dans le sens de la métropolisation. Dans le cas de la Région Centre-Val de Loire c’est une nouvelle illustration de la rivalité entre les deux métropoles de Tours et d’Orléans, et le futur SRADDET aura bien du mal à imposer une conception plus équilibrée du développement des territoires.
On l’observe également quand Orléans demande l’ouverture d’une 1ère année de médecine. Pour commencer.
Les élus du Front National avaient souligné cette évolution dès 2011, lors des débats du SRADDT.
Yann Bourseguin ne voit dans la métropolisation qu’un « phénomène de mode ».
C’est au contraire une tendance lourde, qui peut s’observer au nouveau mondial.
Bien sûr les élus locaux sont mobilisés, Christophe Degruelle rappelle qu’Agglopolys verse chaque année 30 000 € au département informatique de Blois. Mais cela ne semble pas de nature à contrarier la volonté de Tours Métropole, qui dispose de moyens autrement plus importants.
Les élus du Front National défendront à Blois comme à la Région le maintien du département informatique à Blois.
SNCF : les mélenchonistes font de la récupération, mais ils sont en retard d’un train !
Ce jeudi 14 avril 2018, la France Insoumise a distribué à la sortie de gare de Blois-Chambord un tract pour dénoncer la réforme de la SNCF. Malheureusement, pour eux, à la lecture de ce tract nous pouvons que constater que la France Insoumise n’a pas actualisé ses fiches liées à la dernière réforme ferroviaire de 2015. Il dénonce que la SNCF va mal car celle-ci est scindée en deux entreprises : RFF d’un côté et de l’autre la SNCF. Mais depuis, le 1er juillet 2015, RFF a été réintégré dans le giron de la SNCF. La dernière réforme a consisté à la création de trois EPIC (Etablissement public à caractère industriel et commercial) de la façon suivante :
- SNCF, EPIC de tête
- SNCF mobilité s’occupant de la gestion du trafic et de l’infrastructure des gares et atelier de maintenance
- SNCF Réseaux (dont RFF) s’occupant de l’entretien du réseau
Cette erreur sur le tract de la France insoumise permet de faire tomber les masques. Ils ne viennent pas soutenir la cause de cette belle entreprise française la SNCF mais essaent de faire de la récupération politique. En tout cas, les cheminots qui ont pris le tract ont du se demander comment un parti politique se disant proche des syndicats puisse être aussi déconnecté de cette réforme.
Nous reviendrons plus longuement sur la réforme de la SNCF dans de prochains articles afin d’expliquer les inquiétudes des cheminots.
Au passage, le nombre de trains circulant en gare de Blois est bien en deçà des chiffres avancés par les médias : tous trains confondus (TER, Intercités), sur 24 trains entre Tours et Orléans, seulement 3 circulent le vendredi 13, soit 1 train sur 8.
Mises en avant
Mathilde Paris invitée de la rédaction sur TVTours
Mathilde PARIS, tête de liste « Un autre avenir pour Blois » était jeudi soir l’invitée de la rédaction de @TVTOURS. Revoir la vidéo....
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