14 janvier 2018
dans Actualité, Actualité de vos Elus, Canton de Onzain, Fédération, Loir et Cher, Manifestations, Région Centre-Val de Loire
Conférence de presse.
Après la venue de Marine Le Pen le 18 novembre à Romorantin, la Fédération de Loir et Cher recevait aujourd’hui Julien Sanchez, Maire de Beaucaire, Président du groupe FN en Occitanie et porte parole de notre Présidente.
Après un déjeuner à Onzain avec les membres du bureau départemental, le Maire de Beaucaire a tenu une conférence de presse entouré par Michel Chassier et Mathilde Paris, avant de s’adresser à plus d’une centaine d’adhérents venus pour cette traditionnelle galette des Rois.
Revenant sur les présidentielles il a rappelé le résultat historique atteint par Marine Le Pen avec près de 11 millions de voix au second tour, alors que les partis qui avaient gouverné la France depuis 40 ans étaient éliminés.
Pendant l’intervention de Julien Sanchez à Onzain
Certes nous n’avons pas remporté cette élection, mais il ne faut pas noircir le tableau. Au contraire nous avons été sommes le seul mouvement à résister face à l’escroquerie Macron qui, avec la complicité des médias, est parvenu à faire oublier son passé de ministre de Hollande pour recueillir les voix de ceux qui ne voulaient plus des partis du Système et aspiraient au changement. C’est raté !
Mais on ne peut pas tromper tout le monde tout le temps et les faits nous donnent raison jour après jour. Déjà Marine le Pen apparaît comme la première opposante à M. Macron.
Julien Sanchez répond en direct aux questions des adhérents.
Il nous fallait cependant analyser les raisons qui nous ont empêché de l’emporter et réfléchir à une stratégie et à la réorganisation du Front National pour le transformer définitivement en parti de gouvernement.
Pour cela Marine Le Pen compte beaucoup sur l’ancrage local, dont Julien Sanchez est un parfait exemple.
Elu avec près de 40% des voix, alors que ses adversaires avaient prédit l’apocalypse en cas de victoire du FN, il a su montrer sa capacité à gérer la ville, et même à la gérer mieux que ses opposants.
A tel point que Marine Le Pen a fait 55 % au 2ème tour à Beaucaire, et que le candidat FN aux législatives à réalisé 63% sur la ville. On constate la même progression dans toutes les villes FN.
C’est bien pourquoi aux élections régionales de 2015 le PS avait préféré se suicider pour ne pas que nous gagnions deux ou trois régions parmi les six où le FN était arrivé en tête.
Car ce que redoutaient nos adversaires ce n’est pas notre échec, mais notre réussite dans la gestion de ces Régions, ce qui aurait conforté le score présidentiel de Marine Le Pen.
Il nous faudra donc gagner davantage d’élections locales afin de prouver aux Français que nous serons capables demain de gouverner la France.
C’est en résumé le message de Julien Sanchez, qui a répondu ensuite aux questions de l’auditoire.
L’après-midi s’est poursuivi par un spectacle de perroquets particulièrement apprécié par toute l’assistance.
Les Poliakofs présentent leur spectacle de perroquets.
La soirée s’est terminée par une marseillaise chantée en choeur par toute l’assistance.
9 janvier 2018
dans Actualité, Actualité de vos Elus, Loir et Cher, Région Centre-Val de Loire
A Blois et à Vendôme comme partout en France les policiers ont manifesté pour dénoncer la recrudescence des agressions dont il sont les victimes et le manque de moyens (site Internet la Nouvelle République).
Après la tentative de lynchage d’une policière à Champigny sur Marne et plusieurs autres agression lors de la Saint Sylvestre, l’affaire n’est sortie dans les médias que grâce à la diffusion massive de l’information sur les réseaux sociaux, réseaux que M. Macron veut encore censurer davantage alors que la France est déjà un des pays les moins libres en la matière.
Le ministre de l’Intérieur avait même osé déclarer « « dans l’ensemble, les gens ont pu jouir de la nuit de la Saint-Sylvestre de manière pacifiée. » (voir notre article du 2 janvier)
Ce qui revenait à considérer l’agression de Champigny comme un « point de détail ».
D’ailleurs ni le ministre ni le Président ne se sont rendus au chevet de la policière.
Dans un climat de haine « anti-flics » répandue par l’extrême gauche et quelques saltimbanques complices, sans réaction sérieuse du gouvernement, on comprend l’exaspération des policiers.
Ils ont manifesté devant les commissariats de Blois et Vendôme et un peu partout en région Centre.
Nos élus régionaux étaient à leurs côtés à Tours, comme de nombreuses villes de France.
2 janvier 2018
dans Actualité, Fédération, Loir et Cher, Manifestations, Région Centre-Val de Loire
Nous aurons le plaisir de recevoir Julien Sanchez, maire de Beaucaire et Président du groupe FN au Conseil régional d’Occitanie, le dimanche 14 janvier à Onzain pour notre traditionnelle galette des Rois.
Ouverture des portes et des stands à 14 heures, mot d’accueil et vœux du Secrétaire départemental à 14 h 30, intervention de Julien Sanchez à 15 heures.
La galette sera suivie par un spectacle d’animation avec les Poliakofs.
Participation aux frais 10€, gratuit pour les enfants de moins de 12 ans.
Renseignements : 02 54 42 12 17 ou 06 65 86 47 41 ou par mail : fn41@frontnational.com
Inscriptions directement sur le Pot Commun www.lepotcommun.fr/billet/kg38mun6 ou par courrier (télécharger le bulletin en format pdf : Galette des Rois FN41 14-01-2018)
Pensez à réserver votre place dès maintenant.
30 décembre 2017
dans Actualité, Loir et Cher, Région Centre-Val de Loire
Le bilan de l’année 2017 en Loir et Cher enregistre a de quoi inquiéter : 34 tues contre 29 en 2016 (+ 17%), 364 blessés (+ 34%) dans 278 accidents corporels (+13%). Source : la Nouvelle République du 30/12/2017)
On remarque que le nombre de victimes progresse plus vite que le nombre d’accidents, ce qui indique des accidents plus grave.
Comment expliquer un tel bilan ?
Alcool, vitesse, inattention sont cités comme les causes principales.
En fait, l’accidentologie considère dans la plupart des cas qu’il n’y a pas une cause unique à l’accident.
Bien sûr il y a des comportements accidentogènes : alcool ou drogues, vitesse excessive, usage du téléphone portable, mais aussi le non-respect des règles élémentaires (priorités, feux rouges, dépassements) etc…
Malheureusement ces comportements ne peuvent pas être surveillés en permanence sur l’ensemble du réseau routier.
De même que d’autres causes existent comme l’état du réseau routier ou la signalisation.
Mais comment y remédier et faire en sorte qu’il y ait moins de victimes en 2018 ?
Pour une fois le Préfet ne mise pas que sur la répression, mais évoque « des actions de sensibilisation à destination des jeunes conducteurs, mais aussi les seniors, les usagers des deux-roues qui sont particulièrement exposés et enfin, les professionnels de la route qui conduisent beaucoup, tous les jours, parfois à des cadences très élevées. »
Il faut toutefois s’attendre à un renforcement des contrôles, certes indispensables, mais qui devraient cibler les comportements à risque.
Nous craignons au contraire que la limitation de vitesse à 80 km/h sur les routes à chaussées non séparées nous soit imposée en 2018 au nom de la sécurité. Cela n’empêchera ceux qui dépassent déjà largement les 90 km/h de rouler aussi vite, mais ce sont les conducteurs prudents qui écoperont d’une amende et d’un retrait de points pour avoir roulé à 85 km/h.
Enfin il ne faut pas oublier l’état du réseau routier. L’exemple de la RN10 en Loir et Cher est emblématique. Cette route reste sur de nombreux tronçons inadaptée au trafic et accidentogène. Mais au lieu d’investir pour la passer en deux fois deux voies, l’Etat trouve plus simple d’installer des radars.
Il y a aussi l’exemple de la RD 943 entre Tours et Châteauroux, une nationale devenue départementale, dont le caractère d’intérêt régional est reconnu, sans que la Région accepte pour autant d’y mettre le premier euro.
Nous verrons bien ce que nous réserve 2018, nous souhaitons pour notre part que les vrais délinquants soient punis, que les automobilistes ne soient pas pris pour des vaches à lait, et que l’Etat et les collectivités fassent leur travail sur les routes.
Nous espérons aussi que le bilan ne s’aggrave pas d’ici la fin de l’année et nous invitons chacun à la prudence.
27 décembre 2017
dans Actualité, Economie, Social, Loir et Cher, Région Centre-Val de Loire
Après la hausse du mois d’octobre les chiffres de la DIRECCTE pour novembre indiquent pour la région Centre-Val de Loire une baisse de 1,5% en catégorie A, et -0.2% pour l’ensemble des catégories A, B, C.
Les reprises d’emploi déclarées restent pourtant faibles à 3500 (17,8% des motifs de sortie), les entrées en stage diminuent (60 de moins qu’en septembre en moyenne trimestrielle).
Les « cessations d’inscription pour défaut d’actualisation » et « radiations administratives » repassent la barre des 10 000, au total 51,1% des motifs de sortie.
La hausse est toujours de 1,5% sur un an.
Pour le Loir et Cher, la baisse est de 1,3% en catégorie A, mais on enregistre une hausse de 0,2% pour les catégories A, B et C.
Il convient par conséquent de rester prudent, d’autant que l’on assiste comme au niveau national à un glissement de la catégorie A à la catégorie B (personnes inscrites à Pôle Emploi ayant exercé une activité réduite courte : moins de 78 heures ou moins au cours du mois).
En Loir et Cher le total A + B passe même de 18 400 à 18 500. Cela démontre aussi que de nombreux demandeurs d’emplois acceptent d’occuper des emplois précaires, faute de trouver un emploi durable et à temps plein.
En cette période de fêtes, nous devons particulièrement penser à tous nos compatriotes privés d’emploi par la faute des gouvernants qui se sont succédé depuis 40 ans… et qui sont toujours aux commandes malgré l’illusion du changement.
27 décembre 2017
dans Actualité, Actualité de vos Elus, Loir et Cher, Région Centre-Val de Loire
Les résultats instantanés affichés le 24/12 à 18 heures. (capture d’écran)
La Nouvelle République avait lancé une consultation sur Internet pour désigner la personnalité politique de l’année en Loir et Cher.
Il fallait choisir entre 12 personnes (5 femmes et 7 hommes) pré-sélectionnées par la NR.
Le problème c’est que sur Internet il y a des petits malins qui savent comment déjouer le blocage censé empêcher une même personne de voter plusieurs fois.
La consultation a donc été fermée, et la NR ne publiera pas le résultat jugé non significatif.
Il faut dire que si Nicolas Perruchot était parti très fort, il était suivi de près par Mathilde Paris.
Pour notre part nous ne disposons pas « robots » programmés pour voter, mais nous avons bien naturellement porté ce sondage à la connaissance de nos amis sur les réseaux sociaux, où nous sommes particulièrement présents. Ceci explique sans doute le résultat.
Mais nous reconnaissons volontiers que ces sondages sur Internet sont rarement fiables. Et si de plus le résultat n’est pas « politiquement correct ! »
27 décembre 2017
dans Actualité, Actualité de vos Elus, Loir et Cher, Région Centre-Val de Loire
En région Centre-Val de Loire les recettes provenant de l’automobile et du transport routier : cartes grises, TICPE sous toutes ses déclinaisons (régionale, Grenelle, compensation, apprentissage, formation professionnelle), représentent en 2018 le total de 321 559 298 euros !
Un record puisqu’en 2017 c’était un peu moins de 300 millions.
Et en contrepartie que leur apporte la Région ? Absolument rien. Pas un centime n’est investi dans les infrastructures routières.
Le Président Bonneau l’a redit encore lors de la dernière session, répondant à un amendement du Front National (*) au sujet de RD 943 (Tours-Châteauroux). Pour lui, c’est de la compétence des départements.
Sauf que la loi NOTRe confirme la notion de réseau routier d’intérêt régional.
Ce qui est le cas de la RD 943, d’autant plus qu’il n’existe plus de liaison ferroviaire permettant de relier Tours à Châteauroux, ni pour les voyageurs, ni pour le fret.
En réalité le Président Bonneau est l’otage du groupe écologiste sans lequel il n’a pas la majorité.
Il est donc obligé de passer sous les fourches caudines et de subventionner toutes sortes de « bidules » plus ou moins sérieux pour faire plaisir à ses alliés.
Car les tenants de l’idéologie écolo-gauchiste sont des adversaires acharnés de l’automobile et refusent d’investir le moindre centime dans le réseau routier.
Peu leur importe par conséquent qu’il y ait encore des morts sur la RD 943, ce qui les préoccupe c’est de « sauver la planète » !
Heureusement que cela ne dépend pas d’eux !
(*) amendement rejeté par les socialistes, les écologistes… et l’Union de la Droite et du Centre ! En mars dernier le groupe FN avait déjà déposé un voeu, soutenu à l’époque par l’UDC. Il est vrais que Guillaume Peltier était absent de la dernière session, provoquant un certain flottement.
26 décembre 2017
dans Actualité, Région Centre-Val de Loire
Constance de Pélichy (LR) affichait le 21 décembre sa solidarité avec François Bonneau (PS). Point commun : ils ont appelé à voter Macron et en subissent les conséquences.
« Très vif débat » au dernier conseil municipal de la Ferté Saint Aubin (45) au sujet de la suppression de deux postes d’enseignement artistique.
Raison invoquée par la majorité municipale : « le désengagement de l’Etat envers les collectivités territoriales« . (la Nouvelle République du 26/12/2017).
L’opposition a vivement réagi lors de cette réunion et aussi lancé une pétition auprès des parents d’élèves.
Fort bien. On peut entendre les arguments des uns et des autres, mais au printemps dernier, pour qui ont-ils appelé à voter ?
Pas de mystère pour Mme de Pélichy qui appelait à voter Macron « sans hésitation » au terme d’un entretien publié par Mag Centre où elle laissait déborder sa haine du Front National en reprenant les poncifs habituels.
Mais ces coupes budgétaires étaient annoncées par M. Macron et faisaient intégralement partie de sa feuille de route, dictée pas ses soutiens parmi lesquels les banques détentrices des créances sur la maison France.
Par conséquent nous sommes étonnés de voir ces élus se trouver forts dépourvus maintenant que l’hiver budgétaire est venu.
Nous observons la même chose au Conseil régional, où siège également Mme de Pélichy, maire de la Ferté Saint AUbin, dont le groupe a choisi de ne pas voter contre le budget… par solidarité avec l’exécutif en raison de la baisse des dotations.
Ce qui étonne tout de même c’est la situation financière de cette commune, dont le taux des d’imposition sont parmi les plus élevés du Loiret, avec une taxe foncière 38,75% (contre 25,84% à Beaugency par exemple).
En trois années de mandat Constance de Pélichy n’a pas été capable d’alléger la fiscalité. Certes les dotations de l’Etat ont diminué. Mais toutes les communes ont fait des efforts de gestion en conséquence. A La Ferté Saint Aubin les dépenses de fonctionnement en continué d’augmenter : + 3,01 en 2015, + 4,58% en 2016.
La situation commençait à devenir critique, d’où ces économies contraintes sur le budget 2018.
Comme quoi avant de donner des leçons, il vaut mieux d’abord balayer devant sa porte.
22 décembre 2017
dans Actualité, Actualité de vos Elus, Aménagement du Territoire, Loir et Cher, Région Centre-Val de Loire
Concertation pendant une suspension de séance.
Dès l’ouverture du débat sur le budget 2018, l’UDC (Union de la Droite et du Centre) annonce la couleur : par solidarité avec la majorité régionale en raision de la baisse des dotations de l’Etat, leur groupe se prononcera pour une abstention « vigilante ».
A part cela, Constance de Pélichy qui remplaçait Guillaume Peltier « alité » n’avait pas grand chose à dire, sauf proposer un amendement sur le démocratie participative pour trouver un prétexte à ne pas voter le budget.
L’intervention de Michel Chassier au nom du Groupe FN était d’une autre teneur ( Rapport-17.05.01-Budget-Primitif-2018-Intervention-Générale-Michel-CHASSIER.)
Remettant les pendules à l’heure l’élu FN a rappelé que ce que le président Bonneau considère comme une « affirmation du fait régional » n’est rien d’autre que le désengagement de l’Etat, qui transfère des compétences sans les financer, ou du moins très partiellement.
Mais surtout la Région repousse une fois encore les choix qu’imposerait la contrainte budgétaire, en poursuivant une politique de dispersion des moyens qui frise parfois le clientélisme.
Faute de faire des choix et d’affirmer une stratégie régionale, l’exécutif s’est contenté de rogner ici et là, diminuant les crédits pour plusieurs programmes de développement économique qu’il s’agisse de l’artisanat, de l’agriculture ou même de l’innovation. Même chose sur les politiques territoriales : les CRST (Contrats Régionaux de Solidarité Territoriale) passé avec les Pays, les Intercommunalités et les Agglomération seront prolongé sur 6 ans au lieu de 5. Autrement à volume équivalent l’enveloppe annuelle des crédits baisse de 16,7%.
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21 décembre 2017
dans Actualité, Actualité de vos Elus, Loir et Cher, Région Centre-Val de Loire
Vos élus du groupe FN centre-Val de Loire siègent aujourd’hui à Orléans à partir de 9 heures, avec un ordre du jour chargé : budget 2018, transferts des trains Intercités (TET), la stratégie régionale en faveur de l’alimentation, en matière d’action internationale, la carte des formations, les Contrats régionaux de solidarité territoriale, le Service public régional de l’énergie.
Vous pouvez suivre les débats en vidéo sur le site du Conseil régional ou sur le compte Twitter du groupe FN-CVL.
Le groupe FN a déposé 31 amendements budgétaires.
Nous rendrons compte des interventions de nos élus sur notre blog et sur le site du groupe FN-CVL.
La Nouvelle République rend compte ce matin de notre point presse de lundi.
19 décembre 2017
dans Actualité, Actualité de vos Elus, Loir et Cher, Région Centre-Val de Loire
Conférence de presse à Orléans le 18 décembre.
Ce n’est pas nous qui le disons, mais Guillaume Peltier, Président du groupe UDC, qui se vante pratiquement de co-gérer la Région Centre-Val de Loire avec François Bonneau. A tel point que Mag Centre lui attribue par dérision le titre de « vice-président ».
A vrai dire nous l’avions déjà remarqué en Commission permanente comme en Session plénière, où l’UDC vote plus souvent avec les socialistes que le groupe Ecologiste !
Il est permis de sourire au passage des grandes déclarations de Guillaume Peltier au sujet du patriotisme économique, alors que son parti approuve le TAFTA et le CETA, de même qu’il se fait le chantre de la ruralité tout en soutenant la métropolisation… et en résidant à Paris, après avoir laissé sa mairie-marchepied de Neung sur Beuvron.
De fait le Groupe Front National est souvent le seul à incarner l’opposition.
Ce sera sans doute encore le cas lors de la session du 21 décembre, qui s’annonce particulièrement chargée : vote du budget 2018, décision modificative au budget 2017, et, en dernière minute un rapport sur le transferts des lignes TET (trains « Intercités) au 1er janvier 2018, rapport reçu ce soir à… 18 h 52 !
Or il s’agit de s’engager jusqu’en 2023 sur des 480 millions d’euros en investissement et 196 millions d’euros en fonctionnement, avec une charge supplémentaire pour la Région qui pourra représenter plus de 40 millions d’euros après 2023. Un nouveau désengagement de l’Etat qui nous est imposé le couteau sous la gorge.
Et la commission des transports, comme la commission des finances, ne se réunissent que demain, après l’heure limite de dépôt des amendements.
Un singulière conception de la démocratie.
7 décembre 2017
dans Actualité, Actualité de vos Elus, Blois, Commémorations, Loir et Cher
La cérémonie de commémoration pour la journée nationale d’hommage aux morts pour la France pendant la guerre d’Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie a été institue en 2002, pour répondre à la demande de nombreuses associations qui refusaient de commémorer la fin de la guerre d’Algérie le 19 mars, date anniversaire des accords d’Evian, qui ne signifiait pas la fin des hostilités, puisque les massacres les plus abominables ont été commis par le FLN et ses alliés après le 5 juillet 1962, alors que les troupes françaises avaient reçu l’ordre de rester l’arme au pied.
A Blois, la municipalité de gauche est tenue d’organiser cette cérémonie, même si ce n’est pas de gaieté de coeur, et le Maire y était présent.
Toutefois il a laissé à son 10ème adjoint, Pierre Boisseau, le soin de prononcer le discours à la mairie.
On a pu remarquer toutefois que Marc Gricourt était présent à ses côtés, semblant le surveiller d’un oeil un peu inquiet de crainte d’un « dérapage » ou d’une parole malheureuse.
On peut regretter que le Conseil régional n’ait pas été représenté officiellement, puisque Marc Gricourt était là en tant que maire de Blois et portait l’écharpe correspondant à sa fonction. D’autant plus que Michel Chassier, conseiller régional de Loir et Cher était bien présent. Par respect du protocole il aurait dû être associé aux personnalités en tant que représentant du Conseil régional.
Pas l’ombre d’un parlementaire non plus à cette cérémonie.
Sur le plan pratique, la présence de la structure mobile au milieu de la place de la République à cette époque de l’année ne permet pas un dépôt de gerbe sur le monument érigé à la mémoire des combattants d’AFN, situé de l’autre côté du square. Dommage.
A notre la présence en nombre des combattants de l’Union Nationale des Parachutistes, qui ont défilé jusqu’à la mairie en chantant le fameux « Debout les paras« .
Par ailleurs on peut regretter que M. Macron ait choisi cette date pour une visite « amicale » en Algérie, où il a confirmé ses propos scandaleux du mois de février dernier, accusant alors la France, et donc son armée, de « crimes contre l’humanité ». Tout en disant qu’il n’était pas dans une attitude de repentance.
6 décembre 2017
dans Actualité, Loir et Cher, Militantisme
En raison de la mort de Johnny Halliday, la conférence de presse prévue aujourd’hui par Marine Le Pen dans le cadre de la « Journée du drapeau » a été reportée.
Malgré tout un certain nombre d’opérations avaient déjà en lancées en Loir et Cher, avec un communiqué de presse publié ce matin par la Nouvelle République, ainsi que plusieurs opérations de collage sur le département.
Il y aura prochainement une nouvelle action nationale, mais le Front National a pu montrer sa présence en Loir et Cher et rappelé son attachement à la souveraineté et à l’indépendance de notre pays.
Il s’agissait de réagir contre la proposition des députés « En Marche arrière » d’imposer l’emblème de l’Union européenne à l’assemblée nationale.
Ce n’est pas inutile de le rappeler au moment où certains voudraient faire croire que Marine aurait changé de position.
Avec tous ses militants la Fédération du FN41 dédie cette action à la mémoire de Johnny Halliday qui a toujours porté fièrement nos trois couleurs.
6 décembre 2017
dans Actualité, Loir et Cher, Manifestations, Région Centre-Val de Loire
500 personnes pour écouter Marine le Pen à Romorantin le 18 décembre, 150 pour Laurent Wauquiez le 5 décembre à Châteauneuf sur Loire.
Le constat est amer pour l’ancien parti de Nicolas Sarközy, qui dispose pourtant dans la région de dizaines d’élus locaux et – paraît-il – de milliers d’adhérents.
Mais cela ne fait que confirmer ce que nous apprennent les sondages, qui donne Marine largement devant Laurent Wauquiez.
Ce qui explique sans cet acharnement de Wauquiez a refuser tout dialogue avec le Front National.
Mais dans son propre camp plus que jamais divisé, et désormais de façon irréversible, beaucoup, considère qu’il va « hamoniser » ce qui reste des « Républicains ».
Raisons de plus pour les électeurs LR déboussolés de rejoindre le Front National.
5 décembre 2017
dans Actualité, Actualité de vos Elus, Loir et Cher, Région Centre-Val de Loire
Démocratie « permanente » ou « participative » font désormais partie de la communication de la Région Centre-Val de Loire.
Une manière de suivre l’exemple du mouvement « En Marche » ? Le problème c’est que tout le monde a bien compris désormais qu’il s’agissait en l’occurrence d’une imposture, où l’on donnait aux participants l’illusion de contribuer à des décisions prises depuis longtemps dans les cercles du pouvoir et de la finance.
Le problème de l’exécutif régional, c’est qu’il ne représente que 35% des électeurs qui ont daigné se déplacer. De plus le taux d’abstention a été catastrophique aux dernières législatives. Ou bien les gens ne votent pas, ou bien les gens votent « mal ».
Dans l’esprit des promoteurs de la « démocratie permanente », il faut donc les « rééduquer » et les encadrer.
Cela se passe à travers des réunions, des forums, des ateliers, où se retrouvent les élus et quelques représentants des milieux associatifs « engagés » et au final très peu de citoyens, qui sont abreuvés de la « bonne » parole.
Au final, comme l’ont fait observé les élus du FN, les Conseil régional a été élu par plus d’un million d’électeurs ( 1 028 275 suffrages exprimés), leur simulacre de « démocratie permanente » ne rassemble au mieux que quelques centaines de citoyens bien ciblés et encadrés.
D’ailleurs on constate que cela ne marche plus.
La grande réunion de restitution au Conseil régional avait été un flop retentissant. Pour le lancement de la consultation sur le SRADDET, censée associer les citoyens et les « acteurs du territoire », c’est le Zenith d’Orléans qui avait été réservé… pour accueillir à peine 500 personnes. La méthode ne fait plus recette.
Hier à Blois se tenait à nouveau une « grand’messe » censée faire le bilan d’une année d’expérimentation. Bilan un hémicycle à moitié vide pour écouter le discours d’autosatisfaction de l’exécutif régional.
Audrey Pulvar, journaliste en cour et présidente par intérim de la Fondation de Nicolas Hulot était invitée comme « grand témoin ». Elle est arrivée à 11 h30, alors que les travaux de les matinée étaient pratiquement terminés, pour réciter son discours convenu sur le réchauffement climatique, un peu hors sujet.
Seule consolation : elle aura certainement coûter moins cher que Barack Obama, qui prend 400 000 dollars pour débiter des inepties.
A noter que les élus FN sont les seuls à dénoncer cette comédie, le sémillant Guillaume Peltier restant très discret sur le sujet.
Rendez-vous à la session du 21 décembre pour renouveler les budgets consacrés à cette mascarade. Nous verrons bien qui les votera.
5 décembre 2017
dans Actualité, Economie, Social, Loir et Cher, Région Centre-Val de Loire
Près de 300 000 en 2015, combien sont-ils aujourd’hui ?
La « clause Molière » vise à « protéger les ouvriers et soutenir l’emploi local ». En effet, les règles de sécurité d’un chantier de BTP étant rédigées en français, il faut que tous les intervenants puisse les comprendre et au-delà pouvoir communiquer. Le but est bien sûr de lutter contre la directive « travailleurs détachés » imposée par l’UE.
Mais le gouvernement français ne l’entend pas de cette oreille, et c’est le ministère de l’Intérieur qui s’était directement pourvu en cassation pour faire annuler ce type de clause dans les marchés publics.
Cependant, c’est un petit coup de théâtre, bien que le rapporteur public du Conseil d’Etat, Gilles Pellissier, estimait que la clause Molière n’avait pas lieu d’être, l’instance en a finalement décidé autrement. Elle a rejeté un recours contre les « clauses d’interprétariat » prévues pour un marché public de travaux.
Petite victoire donc pour les partisans de la « clause Molière », mais d’une portée limitée.
Le conseil d’Etat précise en effet qu’il ne valide pas la « clause Molière », à proprement parler, celle-ci consistant à rendre obligatoire l’usage du français sur les chantiers. Le dispositif dont il est question ici ne concerne que l’utilisation d’un interprète pour exposer les droits sociaux dont disposent les travailleurs et les règles de sécurité qu’ils doivent respecter sur le chantier.
Au-delà de cette formalité ponctuelle, peu importe si le chantier ressemble à une tour de Babel.
En clair cela signifie que l’emploi massif de « travailleurs détachés » va se poursuivre au détriment de l’emploi local, en raison du dumping social sciemment organisé par l’Union européenne.
Ce matin, c’est le Figaro qui s’inquiète de cette concession faite par le Conseil d’Etat.
Il est clair que face à ce système dont M. Macron, le petit télégraphiste de Mme Merkel, est l’instrument docile, le Front National représente la seule force politique d’opposition qui combatte cette vision de l’Europe. C’est une question sur laquelle Marine Le Pen reste ferme, contrairement à ce que certains essaient de faire croire pour justifier leur trahison.
Nous pensons même que la « clause Molière » devrait être étendue en exigeant l’usage du Français par les administrations et les collectivités territoriales où le « franglais » ne cesse de faire des ravages, sans parler des conseils d’administration de grandes entreprises françaises, qui se tiennent souvent en anglais, parfois approximatif.
4 décembre 2017
dans Actualité, Congrès FN, Loir et Cher, Région Centre-Val de Loire
Dans le cadre de la refondation de notre mouvement politique, Marine Le Pen a nommé 18 ambassadeurs parmi lesquels figure Mathilde Paris, Conseillère régionale Centre-Val de Loire et Conseillère municipale de Blois. Marine a voulu ainsi mettre en avant de nouveaux visages et talents. Les ambassadeurs de la refondation se rendront dans chaque département afin d’y tenir des réunions de travail avant la fin du mois de février en vue du Congrès qui se tiendra le 10 mars à Lille.
En parallèle du questionnaire qui a été envoyé, l’objectif est de recueillir directement les attentes des adhérents et militants et de faire remonter leurs idées pour la refondation du parti. Ce sera également l’occasion de répondre aux questions de chacun et de débattre du « Nouveau Front ».
La démarche a été présentée au Secrétaire départementaux le 18 novembre à Blois, parmi toutes les initiatives qui s’inscrivent dans le cadre de la préparation du prochain Congrès.
C’est dire à quel point Marine Le Pen souhaite que la nécessaire réflexion sur la stratégie et l’organisation du mouvement après les dernières présidentielles soit conduite avec sérieux, en y associant tous les adhérents.
Mathilde se rendra dans 6 départements : le Maine-et-Loire, l’Eure-et-Loir, La Sarthe, l’Orne, la Mayenne et l’Ille-et-Vilaine.
Dans le Loir-et-Cher c’est Aurélien Legrand, Conseiller Régional d’Ile-de-France, qui viendra nous rendre visite.
2 décembre 2017
dans Actualité, Actualité de vos Elus, Loir et Cher, Région Centre-Val de Loire, Santé
Michel Chassier intervient sur le PRS à Bourges en 2012.
Le Plan Régional de Santé est élaboré par l’Etat afin de définir l’organisation territoriale des services de santé et les moyens correspondants.
Sa dernière révision date de 2012, le projet pour le futur PRS doit être présenté le 6 décembre.
Déjà certains syndicats de la santé et de l’action sociale appellent à manifester.
Il faut dire que dans l’optique de M. Macron, le budget de la Sécurité sociale est appelé à contribuer à la réduction des déficits publics alors que l’Etat diffère toujours son propre effort.
Il faut donc s’attendre à un nouveau programme d’économies, à la fermetures d’hôpitaux de proximité, à la réduction des budgets. Sous la pression de l’UE, l’objectif est de supprimer en France 22000 postes dans la fonction publique hospitalière et 16000 lits.
Rappelons que le Conseil régional est consulté simplement pour émettre un avis.
En 2012, c’est le Front National qui est parvenu à faire changer l’avis de la Région, puisque le président Bonneau avait proposé un avis « favorable avec réserves« . Seul le Front National avait logiquement proposé un avis défavorable, en reprenant les critiques formulées par la majorité dans le rapport de présentation.
Après une suspension de séance, François Bonneau s’est rallié à notre point de vue. Seul le groupe de la Droite et du Centre avait maintenu un avis favorable.
Une fois plus cela démontre la perspicacité, la cohérence et l’efficacité de nos élus, qui n’étaient pourtant que sept à l’époque.
2 décembre 2017
dans Actualité, Actualité de vos Elus, Economie, Social, Emploi, Loir et Cher, Vendômois/Le Perche
La Nouvelle République confirme aujourd’hui les menaces de suppressions d’emploi chez Bosch à Vendôme.
Par des sources syndicales, nous étions informés depuis près d’un mois, mais n’avons pas souhaité ajouter à l’inquiétude des personnes concernées sans avoir de nouveaux éléments d’information.
Suite à un comité d’entreprise extraordinaire, la direction confirme son intention de réduire le personnel sur le site de Vendôme, sans toutefois annoncer les chiffres.
Cette décision serait justifiée par une baisse importante du chiffre d’affaires avec « des pertes conséquentes depuis plusieurs années« , selon la même source, à cause d’une « pression économique considérable« .
Traduction : le site de Vendôme est victime de la concurrence déloyale de pays, y compris à l’intérieur de l’UE, dont les coûts de production sont largement inférieurs aux nôtres.
A l’intérieur de l’entreprise, on évoquait clairement une délocalisation de certaines productions.
Situation paradoxale au moment où la marché automobile français est en pleine croissance (+ 10,3% en novembre, et une prévision entre + 3 et +5 % sur l’année).
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1 décembre 2017
dans Actualité, Actualité de vos Elus, Loir et Cher, Présidentielles 2017, Région Centre-Val de Loire
Les présidents de Région ont voulu voir Macron et ils ont eu Macron. Toute honte bue, ils capitulent face au gouvernement.
On se souvient de la démission tonitruante de Philippe Richert, président des Régions de France lors du Congrès à Orléans le 28 septembre dernier.
A l’époque tous les Présidents de Région avaient décidé de boycotter la Conférence des territoires, en riposte au mépris affiché par le Premier ministre qui refusait de revenir sur l’annulation de 450 millions d’euros de dotations promis par le gouvernement en compensation du transfert de la compétence développement économique.
Depuis, les prises de position se sont multipliées dans les assemblées, avec une série de voeux adoptés par les Conseils régionaux, les conseils départementaux et municipaux.
En Région Centre-Val de Loire, la majorité a fait voter, à l’unanimité, un voeu dans ce sens lors de la session du 19 octobre. En revanche Marc Gricourt qui présidait la séance, a fait repousser le voeu déposé par le Groupe Front National, tout en reconnaissant son bien fondé !
Une attitude qui démontrait déjà les limites de la mini-révolte des présidents d’exécutifs régionaux.
D’ailleurs Michel Chassier, au nom du groupe FN, n’avait pas manquer de souligner, lors des orientations budgétaires, que tous ceux qui critiquent aujourd’hui M.Macron avaient voté pour lui en mai dernier, en toute connaissance de cause.
C’est désormais acté, le nouveau président des Régions de France, le centriste Hervé Morin, a décidé de reprendre le dialogue (?) avec le gouvernement.
Fini la comédie, après avoir fait illusion auprès des électeurs, une nouvelle fois trompés.
Une fois encore dans cette affaire, seul le Front National a fait preuve de constance et de cohérence.
Les Français devront en tirer les conséquences.
29 novembre 2017
dans Actualité, Economie, Social, Emploi, Loir et Cher, Région Centre-Val de Loire
Les chiffres de la DIRECCTE pour le mois d’octobre indiquent pour la région Centre-Val de Loire un hausse de 0,3% en catégorie A, une stabilité pour l’ensemble des catégories A, B, C.
Les reprises d’emploi déclarées restent stables à 3550 (18,1% des motifs de sortie), les entrées en stage diminuent (140 de moins qu’en septembre en moyenne trimestrielle).
Pour le Loir et Cher, la hausse est de 1,5% en catégorie A, 0,8% pour les catégories A, B et C.
On peut faire la même remarque que le mois dernier, pour le moment la croissance demeure trop faible pour résorber le chômage.
23 novembre 2017
dans Actualité, Actualité de vos Elus, Blois, Europe, Loir et Cher, National
Déjà une mauvaise note pour l’élève Macron.
La programmation prévue dans la Loi de Finances 2018 et jusqu’en 2022 avait fait réagir les élus FN dans les assemblées.
A l’occasion des orientations budgétaires Michel Chassier avait souligné à Blois comme à Orléans au Conseil régional, que la trajecroire de réduction des déficits publics était moins que certaine, de surcroît le gouvernement faisait porter le plus gros de l’effort sur les collectivités (communes, régions, départements) et les organismes de sécurité sociale, promettant pour sa part une amélioration… à la fin de la mandature !
Il faut le souligner à nouveau : le passage sous la barre des 3% de déficit public en 2017 est obtenu grâce à l’effort des collectivités locales et de la sécurité sociale, on sait dans quelles conditions, alors que l’Etat voit son déficit passer de 3,3 à 3,2%, donc en dehors des critères de Maastricht.
Et le solde de l’Etat ne va pas s’améliorer en 2018, puisqu’il est toujours affiché à 3,2%, avant de se dégrader à nouveau en 2019 avec une prévision de 4% (source : Assemblée nationale).
Qui plus est la Commission estime pour sa part que le déficit structurel va progresser de 0,4 point l’année prochaine.
En raison notamment d’un commerce extérieur plombé par l’euro et dont le déficit augmente.
Sans parler du montant de la dette, près de 100% du PIB et donc très loin des 60% exigés par l’UE, et qui va continuer à progresser.
Cette affaire tombe mal pour Paris qui demeure encore avec l’Espagne sous le coup d’une « procédure de déficit excessif ». Une situation qui, en théorie, peut aboutir à des sanctions et des amendes.
C’est la première que M. Macron se fait taper sur les doigts. Un façon de lui rappeler à qui il doit son élection et d’exiger qu’il suive la feuille de route qui lui est dictée par l’UE, le FMI, la BCE… et par nos créanciers !
Les Français n’ont pas eu le courage de faire le bon choix en mai dernier. Maintenant ils vont payer.
21 novembre 2017
dans Actualité, Actualité de vos Elus, Loir et Cher, Région Centre-Val de Loire
Nous publions en vidéo l’intervention de Michel Chassier sur les orientations budgétaires de la dernière session plénière du Conseil régional.
21 novembre 2017
dans Actualité, Actualité de vos Elus, Éducation, Europe, Loir et Cher, Région Centre-Val de Loire
Image d’illustration : un catastrophe évitée ?
Nos élus siègent désormais régulièrement aux conseils d’administration des lycées de la Région. Ce qui leur permet d’avoir des contacts directs avec les représentants de la communauté éducative, enseignants, personnels, parents, lycéens et d’avoir des informations de première main sur ce qui se passe dans les établissements.
Cela permet à nos élus d’intervenir au sein de leur commission en toute connaissance de cause, alors que certains élus socialistes ne se donnent même pas la peine de siéger dans les lycées où ils sont désignés pour représenter la Région.
C’est ainsi que nous avons pu apprendre un incident grave, qui aurait pu mal tourner sans la vigilance des enseignants et des parents présents.
Pour un déplacement en Allemagne, un lycée de la Région avait contracté avec le transporteur le moins-disant, c’est à dire le moins cher, qui se trouvait être un voyagiste allemand.
Mais lorsque le car s’est présenté le matin pour embarquer les élèves, les personnes présentes ont été alertées par plusieurs anomalies.
D’abord le chauffeur, originaire d’un pays de l’Est et ne parlant pas français, avait fait le voyage depuis l’Allemagne la nuit même et s’apprêtait à reprendre la route sans respecter son temps de repos.
Peu avant d’arriver, il avait eu un accrochage, peut-être déjà dû à la fatigue.
Enfin le car est tombé en panne au moment du départ. Le chauffeur s’apprêtait à dépanner lui-même.
Heureusement le chef d’établissement a pris la bonne décision : faire descendre tous les élèves du car et refuser le départ dans de telles conditions.
Un transporteur local a pu dans l’urgence mettre à disposition un car et un chauffeur, permettant aux lycéens de partir avec quelques heures de retard.
Nous signalons cet incident, sans bien sûr citer l’établissement mais les personnes concernées se reconnaîtront, pour illustrer les dérives de la concurrence déloyale instituée par l’Union européenne et acceptée par nos gouvernants.
Non seulement nos entreprises sont pénalisées, mais dans ce cas précis ce sont les lycéens et leurs accompagnateurs qui pouvaient être mise en danger.
Il faut le faire savoir.
21 novembre 2017
dans Actualité, Actualité de vos Elus, Éducation, Loir et Cher, Région Centre-Val de Loire
Lors de la dernière session du Conseil régional à Orléans, le groupe FN avait proposé un voeu visant à bannir l’écriture dite « inclusive » de la communication et des documents de la Région.
Une élue PS avait été préposée à répondre, enfilant les anachronismes et les lieux communs tout droit sortis de Wikipédia, afin de justifier l’opposition de la majorité à ce voeu de bon sens.
En l’absence de Guillaume Peltier, qui avait déjà quitté la séance, c’est Constance de Pélichy au nom du groupe UDC qui avait courageusement botté en touche en déclarant au mépris de la réalité que la question n’était pas de notre compétence. Son groupe avait opté pour une non-participation au vote.
Depuis les prises de positions se sont multipliées, après la sévère mise en garde de l’académie française, ce sont les utilisateurs de la langue des signes qui se sont insurgés, le ministre de l’Education étant plus que réservé.
Au final, c’est le Premier ministre, dans une circulaire à paraître mercredi, qui donne consigne de bannir cette novlangue des textes officiels.
Marine Le Pen avait enfoncé le clou ce week-end à Romorantin et dans les médias.
Le Premier ministre a fini par nous donner raison, déclenchant l’ire de Libération.
Fin du premier acte, attendons la suite, car nous savons que la gauche n’abandonne pas facilement quand il s’agit d’imposer une de ses lubies.