Cet acte odieux a suscité une vive émotion à Romorantin d’où était originaire le capitaine Xavier Jugelé, lâchement exécuté par un terroriste islamiste à Paris, sur les Champs-Elysées en avril 2017.
Cette même avenue qui a été envahie ce samedi par quelques 1 500 activistes de l’ultra-gauche, profitant de la manifestation des Gilets jaunes.
Dans les colonnes de la Nouvelle République ce matin (18/03) la famille du militaire exprime sa douleur, avec beaucoup de retenue, et des élus de Romorantin font part de leur condamnation.
Mais curieusement sans désigner les coupables.
Or, l’acte est signé. Mais la NR a choisi de montrer la plaque intacte, (NDLR : on trouve une autre photo sur le site en ligne de la NR) avant qu’elle ne soit souillée par le symbole des anarchistes, associé à un autocollant « action antifasciste » représentant un drapeau noir et un drapeau rouge.
Un type d’autocollant que nous avons plusieurs fois retrouvé sur notre permanence à Blois, collé par des individus habitant le quartier et connus de la Police. Mais le Procureur de la République n’a jamais donné suite à nos plaintes.
Cette simple observation permet de mieux expliquer ces violences à répétition et la relative impunité de leurs auteurs, là aussi souvent identifiés.
C’est que ces « black blocs » et autres « anfifa » jouent un rôle utile pour le pouvoir, quel qu’il soit.
En faisant dégénérer des manifestations pacifiques en émeutes urbaines avec incendies spectaculaires, pillages et saccages, cela contribue à retourner l’opinion publique favorable aux revendications des manifestants, mais scandalisée par de telles scènes.
Ces divers groupuscules d’extrême-gauche ultra-violents servent aussi le pouvoir en place en attaquant le Rassemblement national.
Lorsqu’ils créent des désordres en marge d’une manifestation, d’un meeting ou d’un congrès de notre mouvement, cela permet aux médias de nous associer dans l’esprit des gens aux violences commises… par nos adversaires.
Violences, il faut toujours le rappeler, encouragées par Jean-Christophe Cambadélis qui les qualifiait de « harcélement démocratique ».
Dans le cas présent de la crise des « Gilets jaunes », le pouvoir a joué le pourrissement et cherché une fois encore à exploiter les scènes de violences pour déconsidérer le mouvement.
Il faudra tout de même nous expliquer un jour comment on peut arrêter préventivement des centaines de manifestants, parfois pour la simple détention d’une masque respiratoire, sans parvenir à filtrer des centaines de « black blocs » casqués, transportant des projectiles et des produits incendiaires.
Il serait temps de mettre fin à ces méthodes barbouzardes et de mettre hors d’état de nuire ces milices de guerre civile, avant qu’il ne se produise des actes encore plus graves.
Enfin il est certain, mais c’est autre débat, que Macron n’a pas su apprécier la situation, préférant tranquillement aller se « ressourcer » au ski en posant avec Madame pour Gala, Paris Match et autres revues « people ».
Sans oublier toutefois de mobiliser une bonne partie des forces de l’ordre de l’ordre afin de protéger les « lieux de pouvoir », au détriment des autres unités, ce qui a rendu plus difficile le contrôle de la manifestation.
La plaque commémorative à la mémoire de Xavier Jugelé dégradée… par qui ?
Suicide d’un gendarme en Loir et Cher.
Un gendarme de 32 ans s’est tué samedi en milieu de journée avec son arme de service dans son bureau de la communauté de brigades de Selles-sur-Cher (compagnie de Romorantin).
Communiqué de l’Essor : « Nous apprenons avec une immense tristesse le décès du Gendarme Romain Rio. Il avait 32 ans.
D’abord réserviste opérationnel en Bretagne, il est admis à suivre la formation à l’école des sous-officiers de gendarmerie de Châteaumin pour enfin rejoindre la compagnie de Romorantin dans le Loir-et-Cher (41) où il est affecté à la COB de Selles sur Cher. Nous adressons à sa famille, ses proches et ses camarades nos sincères condoléances et les assurons de notre soutien.«
Le RN41 s’associe à ces condoléances.
Sans connaître les raisons de cet acte tragique, nous savons que les forces de l’ordre sont sous tension depuis bien longtemps en France. On leur demande beaucoup alors qu’ils manquent parfois cruellement de moyens et que les heures supplémentaires impayées s’accumulent.
Dans la crise de Gilets jaunes qui dure maintien depuis bientôt 5 mois, le gouvernement a choisi une stratégie favorisant les débordements et automatiquement le riposte des Forces de l’ordre, désignée à la vindicte de l’opinion.
Dans un article publié en octobre dernier, selon les informations de l’Essor « 29 gendarmes ont mis fin à leurs jours depuis le début de l’année. Un chiffre “inquiétant” selon le directeur général de la Gendarmerie le général d’armée Richard Lizurey. Ce chiffre – pour dix mois et demi – dépasse en effet celui des cinq dernières années : 23 en 2013, 22 en 2014, 25 en 2015, 25 en 2016, 17 en 2017. »
Le Rassemblement national a toujours soutenu la Gendarmerie et l’ensemble des forces de l’ordre. Les seuls à critiquer, les seuls responsables sont Macron et Castaner, c’est eux qui devront rendre des comptes.
Romorantin : le deal Peltier-Lorgeoux.
A Romorantin rien ne change.
Le Député de la circonscription, Guillaume Peltier (LR), a décidé de présenter une liste, pour le moment sans tête, contre Louis de Redon.
Motif : l’élu MoDem avait soutenu ouvertement Macron aux présidentielles et aux législatives.
Sauf erreur de notre part, Guillaume Peltier avait bien appelé à voter pour Macron au deuxième tour des présidentielles.
Comme l’a confirmé récemment Bellamy, il préfère Macron à Marine Le Pen et Merkel-Juncker à Salvini-Orban.
Ce reproche n’est donc qu’un simple prétexte.
En réalité Guillaume Peltier poursuit le deal établi par son prédécesseur Patrice Martin-Lalande avec Jeanny Lorgeoux depuis 1993 : je te laisse la ville de Romorantin, tu me laisses la circonscription.
On ne sait pas encore quelle sera la position de LREM, approché à la fois par Lorgeoux et par de Redon, mais on voit bien que l’intérêt de Romorantin compte peu dans cette affaire, ce qui compte avant tout ce sont les calculs politiciens de ces deux jeunes carriéristes, sous l’oeil amusé de seul bénéficiaire de l’opération, l’inamovible maire de Romorantin, prêt à repartir pour un 7ème mandat.
Dans ce contexte le Rassemblement national qui n’a aujourd’hui qu’un représentant au conseil municipal de Romorantin se doit d’être présent dans la bataille, dans une ville où Marine Le Pen est arrivée en tête du 1er tour des présidentielles.
Gilets jaunes : nouvelles manifestations en Loir et Cher.
Rassemblement aujourd’hui à Romorantin.
De nombreuses actions ont eu lieu tout au long de la journée en Loir et Cher, la Nouvelle République reconnaît une « forte mobilisation ».
Péage gratuit à Blois, barrages filtrants, action près des centre commerciaux, les initiatives n’ont pas manqué et encore une fois le mouvement fait preuve de sa force et de sa détermination.
Nos amis étaient à nouveau présents sur plusieurs sites, comme simples citoyens selon la consigne, ils peuvent témoigner de la bonne ambiance au sein des manifestations, de l’accueil très largement favorable qu’ils reçoivent, et du calme des manifestants, loin de la caricature de certains médias proches du pouvoir..
Les petites provocations de Castaner n’y feront rien, il faut que Macron et son gouvernement entendent et changent de cap, car le cap est mauvais.
Il faut surtout arrêter de prendre les gens pour des imbéciles, et de dire qu’il faut leur expliquer davantage la transition écologique pour la faire accepter.
Tout le monde a bien compris que ce n’est qu’un prétexte pour nous taxer et restreindre nos libertés.
Mais cette fois-ci ça ne passe plus !
Aujourd’hui, Macron était enfermé dans son bunker de l’Elysée, encerclé de toutes parts. L’image est terrible d’un président arrogant, méprisant, incapable, qui ne sait plus comment faire.
Romorantin, cimetière d’Autolib.
La presse locale ne pouvait pas ignorer cette information, même si la presse nationale reste fort discrète.
Depuis la fin d’Autolib à Paris, des centaines de voitures électriques sont stockées, en attendant des jours meilleurs (?) sur un ancien site Matra à Romorantin (la Nouvelle République du 27/07/2018).
Un échec cuisant pour Vincent Bolloré, dont les liens étroit avec le monde politique a toujours favorisé les affaires.
On se souvient encore de l’épisode du yacht mis à disposition de Nicolas Sarközy après son élection en 2007, ce qui ne l’a pas empêché de soutenir le candidat Macron en 2017.
Pour revenir à Autolib, le concept de voitures électriques partagées s’est avéré un fiasco, et fausse bonne solution sur le plan écologique.
En effet, le bilan écologique de la voiture électrique est loin d’être aussi favorable qu’on essaie de nous le faire croire.
Même si elle n’émet rien au niveau local, sa production se révèle nettement plus énergivore, et donc émettrice de gaz à effet de serre, que celle d’une voiture thermique. En cause : la batterie, qui compte pour moitié dans les besoins énergétiques liés à la fabrication d’une voiture électrique.
Plusieurs reportages ont fini par briser l’omerta, et révélé les dégâts causés par l’extraction des minéraux nécessaires à leur fabrication, en Chine comme en Afrique.
Sans oublier qu’il faut produire de l’énergie électrique pour recharger les batterie.
Aux Etats-Unis, après un engouement auprès des classes aisées sensibilisées aux questions écologiques, sans pour autant maîtriser le sujet, le phénomène Tesla connaît aujourd’hui une net coup de frein, et l’entreprise perd de l’argent tous les jours et les rumeurs d’une prochaine faillite reviennent régulièrement dans les médias et sur les réseaux sociaux.
Plus près de chez nous à Orléans, la Métropole envisage de passer 30% des bus à l’électrique sur le réseau urbain.
Le gestionnaire actuel assure que ce ne serait pas gérable, après avoir fait l’expérience sur quelques bus, et menace de se désengager.
Et le millier d’Autolib stockées à Romorantin pourraient bien finir à la casse.
Il serait intéressant de connaître le bilan écologique de cette expérience…
An moment où la principale entreprise française spécialisée dans les hydroliennes arrête ses investissements un mois et demi après avoir inauguré sa première usine, il serait temps de s’intéresser aux différents projets, comme les éoliennes en mer, dont le coût exorbitant est payé par tous les Français sur leur facture d’électricité, pour finir tôt ou tard dans le cimetière des illusions perdues.
Mais à quel prix ?
Dans ce domaine comme dans d’autres Macron perpétue les pratiques de l’ancien monde, y compris la confusion des intérêts, le tout appuyé par la communication de Nicolas Hulot, dont la compétence en la matière est proche de zéro.
Vos élus Rassemblement national au travail.
Voici les dossiers qui seront examinés mors de la prochaine session plénière à la Région !
La fin du mois de juin est traditionnellement chargée pour les élus locaux : c’est l’heure du vote des comptes administratifs, autrement dit le bilan de l’année écoulée, en plus des délibérations habituelles.
Et cette année pour le collectivités les plus importantes il faudra aussi trancher la question de la contractualisation budgétaire imposée par le gouvernement : la signer ou pas. En Loir et Cher cela concerne le Département et la Ville de Blois.
Et contrairement à ce que tentent de vous faire croire trop souvent les médias nationaux, les élus du Rassemblement national travaillent sérieusement et sont bien présents dans les assemblées.
Ce sera le cas lundi soir à Blois, mardi 26 à Mer, mecredi 27 à Romorantin, jeudi 28 à la Communauté de communes beauce-Val de Loire, etc…
Et le Conseil régional, après la commission permanente du 22 juin se réunit en session plénière sur deux jours, les 28 et 29 juin.
Vos élus travaillent déjà sur les dossiers, reçu parfois tardivement dans certaines communes (le délai réglementaire est de 5 jours francs).
Rappelons que toutes ces réunions sont publiques et que vous pouvez y assister.
Mosquée de Romorantin : travail au noir et soupçons de trafics.
« Le coiffeur exerçait illégalement« . C’est ainsi que la Nouvelle République titre le compte-rendu d’une audience au tribunal correctionnel de Blois.
On y apprend qu’un individu, apparemment « sans papiers », exerçait une activité de coiffeur dans les locaux de l’association cultuelle de ma mosquée turque de Romorantin.
Dénoncé par une lettre envoyée à la gendarmerie de Romorantin l’homme, dont le nom n’est pas révélé, écope de 1000 € d’amende.
Affaire banale pourrez-vous dire.
Mais dans le même compte-rendu on apprend qu’une autre lettre dénonçait un trafic d’armes et de drogue et l’apologie du terrorisme.
Simple rumeur ? L’article n’en dit pas plus sur le sujet, mais par les temps qui courent la question a de quoi inquiéter.
Il faut savoir que cette mosquée est gérée par une association affiliée à la Conférédration Mili Görüs, mouvement radical dont le discours et les buts sont pour le moins inquiétants, au point d’être considéré comme « extrèmiste » par Erdogan, qui n’est pourtant pas un enfant de choeur !
Il est pour le moins surprenant que la question soulevée demeure sans réponse.
Toujours plus de migrants en Loir et Cher : Macron a encore menti aux Français.
30 logements réquisitionnés par le Préfet à Blois en octobre 2016, 125 de plus sont prévus. Combien au total ? (image d’archives FN41)
La loi « asile et immigration » avait provoqué des cris d’orfraie du côté de la gauche et de l’extrême-gauche, allant jusqu’à provoquer des vapeurs chez certains députés « en Marche », où en plus des « godillots » il y a aussi quelques « babouches ».
Cette indignation, réelle ou feinte ne pouvait que servir le tandem Collomb-Macron, dont les Français ont pu croire qu’ils allaient durcir la politique d’asile et d’immigration.
Bien sûr, c’est exactement le contraire.
Cette loi était destinée à faire croire aux Français qu’il y aurait désormais un contrôle plus strict, pour mieux leur faire accepter les quotas de réfugiés qui nous sont imposés par Bruxelles, en plus de ceux qui de toutes façons entrent clandestinement.
Ainsi pour le seul département de Loir et Cher, le Préfet annonce la mise à disposition de 125 logements supplémentaires pour accueillir les familles en sortie de CADA (centres d’accueil de demandeurs d’asile) et ceux qui arrive « via la plateforme nationale », autrement dit des migrants en situation irrégulière que l’on réparti sur le territoire pour désengorger Calais ou Paris.
Et comme il est précisé dans l’article (la Nouvelle République du 26/05/2018) les places ainsi libérées en CADA seront aussitôt occupées par de nouveaux arrivants.
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La (Nouvelle) République en marche !
Le parti macroniste, La République en marche (LREM) n’en fini pas de remplir les pages la la Nouvelle République, au point qu’on pourrait se demander si ce journal n’est pas tout simplement devenu « La Nouvelle République en marche » !
Dans la page « politique » qui paraît tous les mardi, nous avions eu droit le 15 mai à un article pour le moins bienveillant au sujet d’une marche pour l’Europe qui avait rassemblé… 11 « marcheurs » !
Alors que la veille, rendant compte de notre hommage à Jeanne d’Arc, les 40 personnes présentes dans les jardins de l’Evêché n’était selon le même journal « qu’une poignée ».
Le mardi suivant, le 22 mai, c’est un festival : LREM a droit à 100% de l’espace, une page entière, sur un ton toujours aussi favorable, pour présenter la nouvelle réfèrente départementale désignée d’office par la direction du parti, alors qu’elle n’a pratiquement rien à dire !
Qu’on en juge : interrogée sur les municipales dans les trois principales villes du département, elle ne peut donner aucune réponse.
A Blois, « la situation va se décanter dans les mois à venir« . Comme il faut toujours traduire la langue de bois, cela veut dire en clair qu’il n’y a personne de crédible pour mener une liste.
A Romorantin, « l’équation n’est pas évidente« . Et pour cause : le maire sortant Jeanny Lorgeoux est candidat à l’investiture LREM, tout comme son opposant MoDem Louis de Redon ! On comprend son embarras.
Même constat enfin à Vendôme où la réfèrente départementale constate que Pascal Brindeau travaille déjà avec des élus de tous horizons. Mais après tout Laurent Wauquiez n’exclu pas la présence de candidats macronistes sur les listes municipales LR.
Bref toutes les recettes de la cuisine politique de cet « ancien monde » en train de sombrer, et dont Macron est en France l’ultime recours et le premier représentant.
Pour revenir à Blois, le festival continue. Après le conseil municipal du 23 mai, cela fait trois jours de suite que la NR revient sur l’éviction de Louis Buteau, avec encore plus d’une demi-page aujourd’hui. Et bien sûr les propos de l’intéressé sont pieusement recueillis, sans la moindre critique.
Nous y reviendrons également, au sujet du Centre-ville, car il est pour le moins surprenant qu’un adjoint au commerce critique un projet qu’il a soutenu depuis le début du mandat, et les solutions qu’il propose constitue en véritable retour en arrière, ce sont de Lang-Perruchot !
Pendant ce temps ni notre réponse au sujet des menus sans porc dans les cantines de Blois, ni notre communiqué sur la grenouille-taureau et les fonds européens n’ont reçu le moindre écho…
Romorantin : l’entreprise Carrier délocalise vers l’est. 90 salariés sur le carreau.
Le jour même du nouveau discours d’allégeance de M. Macron à Strasbourg le couperet est tombé à Romorantin pour l’entreprise Carrier.
Intégré au groupe américain UTC, le site de Romorantin demeurait le dernier en Europe de l’Ouest après la fermeture des unités de production en Italie, en Suède et en Allemagne (la Nouvelle République du 18/04/2018).
Tout un symbole. Le maire de Romorantin, Jeanny Lorgeoux, peut bien déplorer cette décision, mais il fait partie des ardents défenseurs de l’Union européenne.
Récemment au Conseil régional, seul les élus FN ont voté contre le rapport sur la stratégie des fonds européens, qui appelle à augmenter la contribution des Etats membres et à la création d’un véritable impôt européen.
Michel Chassier n’avait pas manqué de dénoncer la concurrence déloyale dont les entreprises et les salariés français sont victimes.
Nos élus vont vérifier auprès de la région si cette entreprise n’a pas bénéficié de subventions régionales au cours de ces dernières années, auquel cas nous demanderons un remboursement des aides accordées.
Au-delà des protestations légitime et de la négociation des indemnités, la seule solution pour que cela ne se reproduise pas demain sur un autre site, c’est de voter en juin 2019 pour la liste présentée par le Front National.
Sinon il ne restera plus aux salariés et aux élus qu’à pleurer après chaque délocalisation.
Apprentissage : un nouveau pas vers la concentration dans les métropoles ?
Il ne fallait pas voter Macron !
La réforme de l’apprentissage lancée par le gouvernement inquiète beaucoup les Régions, les départements ruraux, les CFA des villes moyennes, qui évoquent le risque d’une concentration des formations au profit des Métropoles.
Nous citions il y a quelque temps l’exemple du bassin d’emploi de Romorantin, où il n’y a plus de formation initiale (LP ou CFA) dans les métiers de la mécanique générale (tourneurs, fraiseurs, ajusteurs).
Le projet d’un nouveau CFA interprofessionnel à Blois, qui devrait accueillir 1200 apprentis, risque fort d’être compromis, car il n’entre pas dans la logique des branches, que le MEDEF a imposé à Macron.
Ce choix risque d’avoir de graves conséquences car il faut savoir qu’en France il n’existe pas moins de 700 branches professionnelles, et que seules les plus importantes seront en mesure de gérer l’apprentissage. Et ce sont encore les PME-PMI, les artisans et commerçants qui seront pénalisés si jamais les CFA interprofessionnels venaient à disparaître.
Les Régions pourraient perdre de fait le rôle de pilotage que leur avait accordé la loi NOTRe, mais seraient amenées à financer le déficit des CFA, sans disposer des ressources correspondantes.
Ainsi la Région Centre-Val de Loire recevrait de l’Etat 10 millions d’euros, c’est la moitié de la somme qu’elle reverse aux CFA (la Nouvelle République du 29/03/2018).
Le projet de loi qui devait venir devant l’Assemblée nationale en avril est déjà reporté en juin. Comme pour la question de l’eau, dont nous parlions hier, les élus de terrain, parviennent à faire reculer certaines réformes concoctées à Paris par des technocrates hors sol, le plus souvent pour s’aligner sur les directives européennes.
Ce ne sont que les premiers reculs, mais c’est déjà un signe.
Le Président des Régions de France, Hervé Morin, s’adressant aux directeurs des CFA, aux formateurs et aux élus consulaires leur dit « allez voir vos députés En Marche » !
Mais la plupart sont des députés fantômes, ils ne vont à l’assemblée que pour voter tout ce propose le gouvernement.
D’ailleurs lors des 4 partielles en France métropolitaine depuis janvier, tous les députés En Marche ont été battus, parfois sévèrement comme dans le Loiret, et ce quelque soit leur adversaire. Nul doute que si l’élection avait lieu aujourd’hui, plus de la moitié des députés En marche perdrait leur siège et M. Macron sa majorité.
Alors nous ne pouvons pas nous empêcher de redire à M. Morin et à tous les Présidents de Région qui se plaignent aujourd’hui : « il ne fallait pas voter Macron !« .
Les élus du groupe FN sont intervenus sur cette question lors de la session de février.
Marine à Romorantin : blanc, rosé ou rouge ?
Les médias régionaux ont rendu compte de la visite de Marine le Pen à Romorantin.
Des reportages factuels et corrects pour France 3 ou la Nouvelle République, les journalistes ont fait leur métier et nous respectons leur indépendance.
C’est autre chose avec Mag’Centre, média Internet régional mais surtout orléanais, dont la teneur de l’article sort clairement du cadre d’un reportage pour livrer les opinions personnelles du rédacteur.
Il essaie de le faire sur un mode sarcastique, traitant les adhérents du FN avec mépris de « petit peuple« .
Certains participants portaient paraît-il « de fausses fourrures« . Je ne sais pas s’il a vérifié, mais peut-être toutes nos adhérentes n’ont-elles pas les moyens de se payer un vrai manteau de fourrure. Sans doute M. Macron dirait qu’il faut travailler pour se payer un manteau de vison (si M. Hulot est d’accord).
L’article comporte nombre d’erreurs, d’approximations et bien sûr les éléments de langage inévitables sur « l’éviction de Philippot« , alors qu’il est parti de son plein gré, refusant d’affronter le vote des adhérents au prochain Congrès.
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Marine le Pen en Loir et Cher : la dynamique est relancée.
Romorantin-Lanthenay : Marine répond aux question des adhérents.
Dans le cadre de sa tournée des Régions pour la refondation, Marine Le Pen tenait sa 6ème étape aujourd’hui en Loir et Cher.
Un étape qui coïncidait avec la réception par tous les adhérents du fameux questionnaire dont chacun reconnaît qu’il s’agit d’un véritable exercice de démocratie interne peu commun dans les partis.
Après une conférence de presse et une réunion de travail à huis-clos particulièrement riche avec les Secrétaires départementaux de la Région et leurs adjoints, Marine le Pen avait rendez-vous avec les adhérents à la Fabrique Normant pour un déjeuner-débat.
Intervenant dès son arrivée pour présenter les grandes lignes de la refondation qu’elle entend conduire afin de tirer les enseignement des présidentielles, elle devait ensuite répondre longuement aux questions des auditeurs.
On a vraiment pu sentir combien le courant passait avec les adhérents. Ceux qui avaient un instant pu être découragés ont été pleinement rassurés, ils ont retrouvé la confiance.
Ils ont bien compris que le Front National était plus que jamais tourné vers l’avenir dans l’intérêt de la France et des Français.
Nous y reviendrons ces prochains plus en détail, mais ce soir nous pouvons dire merci à Marine et bravo à toute l’équipe d’organisation.
Pour l’anecdote, la grande mobilisation de l’extrême gauche a rassemblé un dizaine de personnes, plutôt dépitées devant le succès de notre réunion.
Les forces de l’ordre et le DPS ont permis que tout se déroule dans le calme, en toute sérénité.
Marine Le Pen en Loir et Cher : plus que deux jours pour s’inscrire.
Il ne reste plus que deux jours pour s’inscrire au déjeuner-débat avec Marine Le Pen à Romorantin le samedi 18 novembre.
Pour cela il faut privilégier le règlement par internet sur le site de la ticketerie-le Pot commun.
En raison des délais de la Poste, il est déconseillé désormais d’envoyer un règlement par chèque. Si vous n’êtes pas inscrit, contactez-nous par mail fn41@frontnational.com, nous pourrons vous enregistrer et vous réglerez sur place.
Attention, ne tardez pas, le compteur en ligne n’enregistre que les inscriptions sur Internet et le nombre de places est limité.
Où était le FN lors de la fermeture de Matra ? Réponse : dans l’usine !
Un groupuscule d’ultra-gauche appelant à manifester contre la venue de Marine Le Pen à Romorantin demande dans un communiqué : « où était le FN lors de la fermeture de Matra ?« .
La réponse est simple : dans l’usine !
En effet de nombreux ouvriers de Matra votaient déjà pour le Front National en 2003, plusieurs étaient d’ailleurs adhérents, y compris un des responsables syndicaux du site de Romorantin.
Pendant ce temps, l’ultra-gauche ne recrutait que dans la salle des profs, arrivant parfois à entraîner quelques élèves.
Dès cet époque ces groupuscules extrémistes et parfois violents ont tenté de faire de la récupération et de prospérer sur la colère légitime des ouvriers licenciés.
Mais ça n’a jamais marché, et ces divers groupuscules font aujourd’hui des scores dérisoires malgré la bienveillance des médias.
Une fois encore, ils rendent service ai pouvoir en place, en appelant à manifester contre la 1ère opposante à M. Macron.
C’est bien pourquoi ils sont tolérés en dépit des violences et de la casse qui ponctue chacune de leurs manifestations.
Marine Le Pen en Loir et Cher : J-7 !
Le compte à rebours est lancé pour la venue de Marine à Romorantin le 18 novembre.
Il est conseillé de s’inscrire le vite possible, soit en ligne sur la site de la ticketerie-le pot commun, soir par courrier en téléchargeant le bulletin d’inscription Bulletin inscription 18-11-2017 et en le renvoyant accompagné du règlement à l’adresse indiquée.
Attention, le nombre de places réservées sur la billetterie en ligne ne comprend pas les réservations ne chèque ou en espèces, il ne faut donc pas attendre pour vous inscrire.
En cas de difficulté pour faire votre réservation ou pour imprimer le bulletin d’inscription, vous pouvez nous contacter au 02 54 42 12 17 et laisser un message, nous vous rappellerons.
N’hésitez pas à partager sur les réseaux sociaux.
Marine Le Pen à Romorantin : l’extrême-gauche craint les ultras.
Le Parti communiste avait pris l’initiative d’une manifestation pour protester contre la venue de Marine le Pen à Romorantin.
Après avoir vainement tenté de faire pression sur le maire de Romorantin pour qu’il nous refuse la salle.
Il aura fallu deux réunions pour que les représentants de l’extrême-gauche, PC et France soumise, Dialogues à gauche et deux syndicats, la CGT et la FSU parviennent à se mettre d’accord pour organiser une manifestation le 16 novembre, deux jours avant la venue de Marine Le Pen.
Il craignaient en effet, en manifestant le jour même, être débordés par l’ultra-gauche.
Toute cette agitation prouve que le message du FN porte toujours dans les milieux populaires.
Non, les électeurs qui se tournent vers nous ne se trompent pas de combat, bien au contraire, ils ont bien compris où se situaient les véritables enjeux, c’est pourquoi ils se sont détournés des partis de gauche et d’extrême-gauche qui les ont trahis.
Il est amusant de voir ces partis et certains syndicats dépenser autant d’énergie pour contrer la seule véritable opposition à Macron, alors qu’ils ont été incapable de s’entendre contre la loi Travail et qu’ils ont fini par capituler.
Mais après tout nous ne pouvons que les remercier pour cette deuxième page de publicité en moins de quinze jours. Aujourd’hui on en parlait dans les bars de Romorantin, et cela faisait bien rire les clients !
Marine Le Pen à Romorantin : merci pour cette polémique !
Lire l’article complet dans la Nouvelle République du 24/10 chez votre marchand de journaux ou sur la Nouvelle République.fr
La section locale du PCF de Romorantin a voulu se faire un peu de publicité en publiant un communiqué protestant contre la venue de Marine Le Pen à Romorantin. Nous avions dit il y a quelques jours sur ce qu’il fallait en penser.
Mais les sectaires du Parti communiste ne se contentent pas de protester : ils auraient voulu que le maire de Romorantin, Jeanny Lorgeoux (ex-PS) annule la location effectuée en bonne et due forme par le FN41.
Aujourd’hui le premier magistrat de la ville leur répond sèchement que « en République, la défense de la liberté ne se divise pas« . Et bien qu’il soit un adversaire politique, il estime que les électeurs et les élus du Front National sont des citoyens comme les autres, et doivent être traités comme tout un chacun (la Nouvelle République du 24/10/2017).
Un langage que l’extrême-gauche ne peut pas comprendre et comme d’habitude les communistes et quelques groupuscules promettent d’organiser une contre-manifestation.
Sans se rendre compte que vouloir faire taire la principale opposante à M. Macron, c’est indirectement le soutenir.
En attendant cette polémique nous permet de faire connaître la venue de Marine Le Pen à Romorantin sur plus d’une demi-page de la Nouvelle République.
Nous pourrions presque remercier le Parti communiste pour sa bêtise !
Nous appelons les Romorantinais intéressés par la venue de Marine Le Pen à s’inscrire dès maintenant :
- soit en ligne, inscription et réglement sécurisé sur la ticketerie.
- soit en demandant un bulletin d’inscription à fn41@frontnational.com
Romorantin : le PCF au secours de Macron ?
L’annonce de la venue de Marine Le Pen à Romorantin fait réagir le PCF, qui tente de faire pression sur la mairie de Romoratin, propriétaire des lieux.
Cela démontre bien, mais ce n’est pas une nouveauté, la nature profondément antidémocratique et antirépublicaine de ce parti en voie de fossilisation, héritier d’un régime qui fait plus de 100 millions de morts pour lesquelles les dirigeants communistes passés ou actuels n’ont jamais fait repentance.
La représentants locaux de la secte communiste s’insurgent contre le fait que Marine le Pen va s’exprimer dans « un lieu du patrimoine et de la mémoire ouvrière locale« .
Ils semblent avoir oublié que Marine Le Pen est régulièrement en tête du vote ouvrier, et que Romorantin-Lanthenay a placé Marine Le Pen en tête du 1er tour de la présidentielle avec 26,39% des suffrages exprimés (presque 40% au 2ème) , devant Macron 22,23%, Fillon 20,18% et Mélenchon 15,45%, soit 11 points derrière Marine.
D’ailleurs de nombreux anciens de Matra sont adhérents au Front National et beaucoup seront présents le 18 novembre, non sans un certain pincement au coeur de se retrouver dans ces lieux.
Non, les communistes n’ont pas le monopole de la mémoire ouvrière, loin de là.
Et en appelant à manifester contre la venue de Marine Le Pen, ils tentent de gêner la 1ère opposante à M. Macron. ce n’est pas surprenant puisqu’en mai dernier, ils avaient déjà fait voter pour lui.
Ne vous laissez pas intimider par ces menaces, et réservez dès maintenant votre place (inscription et règlement en ligne : le lien se trouve également en haut de la colonne de droite de la page d’accueil)
Marine Le Pen en Loir et Cher le 18 novembre.
Dans le cadre de la tournée « En avant pour un nouveau Front !« Marine Le Pen sera le 18 novembre 2017 dans le Loir-et-Cher pour un déjeuner débat à Romorantin.
Cette réunion s’adresse à tous les adhérents, sympathisants, électeurs du Front National qui souhaitent avec nous préparer l’avenir en participant à la réflexion collective afin de redessiner l’organisation politique qui engagera le redressement du pays. Au bout du processus, c’est le Congrès de mars 2018 qui décidera ce que sera le « Nouveau Front » : son nom, son organisation, sa ligne politique et stratégique.
Pour des questions d’organisation l’inscription est obligatoire, il est demandé une participation aux frais de 20 € par personne. Il est possible de réserver et de régler en ligne : le Potcommun – Marine dans le Loir et Cher, par chèque à l’ordre de FN41, BP 86 – 41004 BLOIS CEDEX (téléchargez le bulletin d’inscription : Bulletin inscription 18-11-2017), ou directement en espèces auprès d’un militant, soit à la permanence le vendredi de 10 h à 18 h.
Réservez dès maintenant, faites venir des amis.
Etat d’urgence à Romorantin ?
(cliquez sur l’image pour l’agrandir)
Le 28 septembre Jeanny Lorgeoux signait encore : le Sénateur-Maire…
Réunion en urgence du conseil municipal de Romorantin-Lanthenay le 5 octobre.
Une seule question à l’ordre du jour : l’indemnité du maire.
Il faut dire qu’il n’est plus sénateur depuis le 24 septembre, date à laquelle il a été battu suite à la vengeance de ses anciens amis socialistes.
En conséquence de quoi il va perdre son indemnité de sénateur de 7 209 € bruts par mois indemnités comprises.
Aussitôt il a choisi de réunir le conseil municipal pour rétablir à taux plein son indemnité de maire à 3988,77 € bruts pas mois.
Une misère, à laquelle vient tout de même s’ajouter 1932 € de sa retraite de sénateur (pour un m(cliquez sur l’imageandat de 6 ans) et l’indemnité de Président de la communauté de communes du Romorantinais et du Monestois.
Bien sûr, tout cela est parfaitement conforme à la la légalité, mais l’ex-sénateur aurait tout de même pu attendre le prochain conseil municipal pour régler cette question, il n’y avait pas urgence.
Surtout quand on connaît les délais de versement du RSA ou d’une allocation chômage.
C’est pourquoi Fabien Gozard, conseiller municipal FN a préféré s’abstenir.
Romorantin : des commerçants doublement sinistrés.
Un an après les inondations de juin 2016 que personne n’a oublié à Romorantin, les entrepreneurs et les commerçants ont reçu leurs avis d’impositions et les appels de fonds du RSI (régime social des indépendants).
Le président du Collectif des commerçants sinistrés du Bourgeau explique qu’un de ses collègues, victime des inodations, se voit réclamer 37 000 euros d’impôts et de RSI… après un an de fermeture ! (la Nouvelle République du 22/09/2017).
Il faut dire que les indemnités reçues des assurances et les aides de l’Etat ou des collectivités ont été prises en compte… dans leur chiffre d’affaires.
Alors qu’il a été utilisé pour réparer les dégâts et remettre les entreprises et les commerces en état de reprendre leur activité.
Pour certains, c’est une deuxième catastrophe, qui pourrait les conduire au dépôt de bilan.
Il faut espérer que les élus locaux seront en mesure de les soutenir afin d’obtenir mieux que les simples délais de paiement qu’on leur propose.
Et cela vaut pour toutes les victimes de catastrophes naturelles ou encore d’attentats.
Délinquance : jusqu’où cela va-t-il continuer ?
Romorantin : rue Notre Dame.
Les « faits divers » occupent deux pleines pages dans la Nouvelle République du 7 septembre.
Mais le rôle de la presse est de les rapporter, le nôtre est de les analyser et de les commenter.
Nous ne pouvons bien sûr pas le faire tous les jours, mais il faut bien constater que la délinquance « ordinaire », parfois simplement requalifiée en « incivilités » touche quotidiennement nos concitoyens et constitue un sujet de préoccupation majeur.
A Blois, c’est le principal du collège Rabelais qui a été la cible de tirs au pistolet à billes alors qu’il surveillait la sortie des élèves.
Les deux « jeunes », 20 ans et « déjà connu des services de police » pour l’un, tout juste 18 ans pour l’autre ont agi le visage masqué, mais ils ont été facilement localisés et interpellés grâce aux caméras de vidéosurveillance… dont la gauche ne voulait pas il y a quelques années, et que nos élus ont demandé avec insistance.
Mais ils ont pu être pris parce que des moyens de Police se trouvaient dans le quartier au même moment.
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Sénatoriales : petites manoeuvres à Romorantin.
Louis de Redon a feint vendredi soir une grosse colère vis à vis de ses anciens « amis » et colistiers des Républicains, qui ont refusé de faire, comme lui, liste commune avec Jeanny Lorgeoux (la Nouvelle République du 01/07/2017).
En effet Isabelle Hermsdoff, par ailleurs élue au conseil départemental avec Louis de Redon a fait liste à part, consommant un divorce annoncé depuis les législative, mais ce qui scandalise l’élu MoDem, c’est que la liste de son ex « amie » ait recueilli une fois du Front National !
Un geste purement symbolique qui ne change rien au résultat. Il s’agissait en fait de désigner 9 suppléants pour l’élection du 24 septembre, en cas d’absence d’un conseiller municipal.
A la proportionnelle, une liste LR-MoDem en aurait obtenu 2 et la majorité socialiste 7, le FN aucun.
Jeanny Lorgeoux avait donc offert 2 strapontins de suppléants aix amis de Louis de Redon, la majorité en conservant 7 comme prévu. La liste présentée par Isabelle Hermsdorff a donc finalement privé Jeanny Lorgeoux d’un suppléant, ce qui ne changera rien au scrutin, car il lui reste 4 suppléants de gauche et on imagine 4 conseillers municipaux absents le 24 septembre !
Mais ce gêne sans doute le plus Louis de Redon, qui n’avait pas obtenu l’investiture « En marche » aux législatives, c’est qu’il lui sera difficile de faire une liste commune « de la droite et du centre » en 2020 à Romorantin.
Ce dépit ne devrait pas toutefois l’autoriser à parler des élus « républicains », en excluant les élus du Front National.
Il va encore couler de l’eau d’ici là sous les ponts de la Sauldre, une fois passées les sénatoriales, sur lesquelles nous reviendrons prochainement.
Voiture brûlée à Romorantin.
Une voiture a brûlé la nuit dernière au rond-point de la rue de Veilleins, à Romorantin vers 4 h 40 (source : la Nouvelle République)
La semaine a été déjà été marquée par plusieurs incendies de voitures dans le département.
Mises en avant
Mathilde Paris invitée de la rédaction sur TVTours
Mathilde PARIS, tête de liste « Un autre avenir pour Blois » était jeudi soir l’invitée de la rédaction de @TVTOURS. Revoir la vidéo....
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